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Qu’est-ce que LATEX ? C’est à la fois un langage et un moteur pour composer des textes, destinés à une
sortie sur imprimante, et depuis peu à produire des fichiers pdf avec interactivité.
La rédaction du fichier source s’effectue avec un éditeur de texte quelconque (vi, Emacs, Nedit, pico, Kile,
TeXShop, Kwrite, ...). Ces éditeurs peuvent aider à la rédaction, à la compilation et à la visualisation.
1.2 Conseils
ä Deux moteurs possibles. Avec LATEX, on ne peut inclure que des eps. Avec pdfLATEX, il est possible
d’inclure des photos jpg, png et des graphiques pdf. Utiliser la commande eps2pdf.
ä Choisir un bon éditeur pour gérer le fichier source (emacs, TeXShop, Kile, . . .).
ä Compiler relativement souvent pour éviter l’accumulation d’erreurs
ä Regarder le log de la compilation, c’est une mine d’information sur la qualité du fichier source et sur
la façon dont LATEX le comprend.
ä Mettez-vous à jour sur les macros de LATEX2e, en éliminant les vieilleries de LATEX2.09 : incompatibilité,
fonctionnalités non assurées,. . . Pas de souci pour ceux qui se mettent à LATEX aujourd’hui !
ä Pour les gros projets, découper le fichier source en petits fichiers sources (par chapitres par exemple),
et créer un fichier maître :
...
\include{chapitre1}
\include{chapitre2}
...
1.3 Les macros et les environnements
TEX et LATEX utilisent des macros pour fonctionner. Il est possible d’en définir soi-même (voir plus loin).
ä Certaines macros sont simples : \alpha est une macro qui produit α (en mode mathématique).
ä Certaines macros fonctionnent avec un ou plusieurs arguments :
\section{Ma section} pour démarrer une section.
\frac{a \times b}{c - d} pour produire des fractions en mathématique :
a×b
c−d
en mode \textstyle, et en mode \displaystyle :
a×b
c−d
ä Certaines macros ont des arguments optionnels, éventuellement en plus d’arguments obligatoires :
\pagebreak[number], number transforme votre demande en requête (0 = cool, . . ., 4 = on s’impose !).
\section[Ma section\dots]{Ma section a un titre très long}, l’argument optionnel est utilisé
dans la table des matières et dans l’entête de la page.
LATEX introduit la notion d’environnement : \begin{env} ... \end{env}. Il faut y entrer et en sortir !
env = equation, center, abstract, figure, flushleft, minipage, tabular, enumerate,...
ä Il y a des environnements avec arguments, y compris optionnels.
ä Certaines fonctionnalités semblent disponibles sous formes de macros ou d’environnements :
\begin{center} ... \end{center} et \centering{...}.
En réalité, il y a souvent des différences : nouveau paragraphe, espaces verticaux avant et après,. . .
En TEX pur, on a la possibilité de définir de macros avec la commande \def. Elle ne permet pas les arguments
optionnels.
Caractères réservés : \ $ & % # _ { } ~ ^
1.4 L’installation sur l’ordinateur
Toute l’installation des fichiers utilisés par TEX, LATEX et les autres logiciels associés (metafont, metapost,. . .)
est structurée dans des dossiers texmf.
ä Il y a plusieurs dossiers texmf, chacun reproduit la même hiérarchie, mais pas avec les mêmes fichiers !
ä L’installation principale et fondamentale se fait dans un texmf auquel personne n’est censé toucher. . .
donc on n’en parle plus ! D’autant plus qu’il peut y en avoir plusieurs !
/usr/local/teTeX/share/texmf/, /usr/local/teTeX/share/texmf.tetex/
ä L’administrateur de la machine peut installer des fichiers complémentaires à l’installation fondamentale
dans un dossier texmf.local. Tout apport dans ce dossier est utilisable par tous les utilisateurs de la
machine.
/usr/local/teTeX/share/texmf.local/
ä Chaque utilisateur dispose de son propre dossier texmf, dans son $HOME. Il peut y déposer les fichiers
qu’il veut, il est le seul à pouvoir les utiliser.
ä Par principe, LATEX & Co. cherchent en priorité le fichier souhaité dans le dossier courant de travail
(celui du fichier source), puis dans le dossier texmf de l’utilisateur, puis dans texmf.local, enfin dans
le texmf fondamental. Par conséquent, tout fichier dans VOTRE texmf est prioritaire. On trouvera
dans le fichier log la liste des fichiers trouvés et leur chemin.
ä Pour du temps lors de la recherche d’un fichier dans ces immenses dossiers, chaque dossier texmf com-
porte un fichier ls-R, qui contient toute la liste hiérarchique des fichiers qu’il renferme. Par conséquent,
lorsqu’on ajoute un fichier dans un tel dossier, il faut actualiser le fichier ls-R. C’est facile, il faut et
il suffit de taper la commande texhash dans un terminal. Même si vous n’êtes pas l’administrateur de
la machine !
ä En général, les fichiers que vous aurez à installer sont des .sty. Ils se placent dans le dossier :
texmf/tex/latex/ pour le texmf auquel vous avez accès.
Démonstration et exploration d’un tel dossier texmf. . .
1.5 Les différents types de fichiers
. . . après vous avoir donné un aperçu de ce qu’on peut y trouver !
ä Des fichiers textes, dans lesquels on peut « reconnaître » des macros, des définitions, de TEX ou
LATEX. . . : .sty, .cls, . . .
ä Des fichiers (des milliers !) qui décrivent les polices de caractères. Car TEX n’utilise pas les polices
résidentes sur l’ordinateur, mais ses propres polices, installées avec lui. . . Pour décrire ces polices,
constituées de « caractères », il faut différents types de fichiers : bien sûr le dessin des caractères tels
qu’ils apparaissent à l’écran ou sur le papier, mais aussi leur « métrique » (leurs différentes dimensions),
leur place dans un tableau (chaque caractère a une case bien attribué qui permet de le retrouver
facilement. . . or il n’y pas de casier universel. . .), . . .
ä Des fichiers de configuration de l’installation. Vous pouvez en personnaliser certains, mais seulement
si vous les placez dans votre texmf bien sûr.
ä De la documentation ! Dans les texmf vous trouverez un dossier doc. Chaque package est souvent
distribué avec une documentation.
ä Ne plus utiliser \documentstyle, qui date de LATEX2.09. . . On en est à LATEX2e depuis 1995 au moins !
ä Comme vous le savez, il y a diverses « classes » : article, report, book. . .
La différence ? Pas de chapitre dans article, pas de partie dans report. . .
Autres « classes » définies dans d’autres « packages » : amsart, beamer, KOMA-script, memoir. . .
ä Les options de la classe peuvent modifier le rendu : la taille des caractères (ici 12pt), la taille du papier
(a4paper), twocolumn, twoside, fleqn, leqno, . . . Se reporter à la documentation de la classe utilisée.
ä Les autres packages seront évoqués par la suite.
(Ceci sera utilisé par la suite)
2.2 Le package inputenc
\usepackage[latin1]{inputenc} est l’encodage en entrée. Il vous permet de taper votre code source avec
des accents. latin1 fait référence à ISO Latin1, l’encodage utilisé sur Linux.
Il existe plusieurs encodages des lettres accentuées, souvent ça dépend du système d’exploitation.
Sur Linux, d’habitude, c’est ISO Latin1, et le « latin1 » y fait référence (vérifier que votre éditeur sauve en
ISO Latin1).
Sur Windows, c’est souvent Windows ANSI, et l’option correspondante pour inputenc est ansinew.
Sur Mac, c’était l’option applemac, mais maintenant on peut utiliser n’importe quel encodage.
Aujourd’hui, les éditeurs savent en général interpréter différents encodages. Le mieux est alors de se conformer
au standard UNICODE, (en réalité un sous ensemble, UTF-8, suffit pour nos langues occidentales), qu’on peut
utiliser aussi avec LATEX (\usepackage[utf8x]{inputenc}), mais il faut installer un package supplémentaire.
Ce package a quelques défaults, et je ne conseille pas de l’utiliser si tout fonctionne bien avec ISO Latin1. . .
Disponible en cliquant ici.
Une remarque : si vous recevez un fichier source dans un encodage exotique, qu’il s’affiche mal à l’écran (les
lettres accentuées sont remplacées par des hiéroglyphes bizarres), la compilation est cependant correcte si
inputenc à la bonne option.
Le rendu : D’un mal il tomba dans un pire, et se vit réduit à la fin à jeûner
et mourir de faim. Il en coûte à qui vous réclame, médecins
du corps et de l’âme. Ô temps, ô mœurs ! J’ai beau crier, tout
le monde se fait payer.
hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébé-
tées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébé-
tées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées
Le rendu : D’un mal il tomba dans un pire, et se vit réduit à la fin à jeûner
et mourir de faim. Il en coûte à qui vous réclame, médecins
du corps et de l’âme. Ô temps, ô mœurs ! J’ai beau crier, tout
le monde se fait payer.
hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébé-
tées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébé-
tées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées
2.3.3 Le même texte avec des accents tapés normalement, encodage OT1 :
Le rendu : D’un mal il tomba dans un pire, et se vit réduit à la fin à jeûner
et mourir de faim. Il en coûte à qui vous réclame, médecins
du corps et de l’âme. Ô temps, ô mœurs ! J’ai beau crier, tout
le monde se fait payer.
hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées hébétées hébétées
Rappel du rendu en encodage T1 : D’un mal il tomba dans un pire, et se vit réduit à la fin à jeûner
et mourir de faim. Il en coûte à qui vous réclame, médecins
du corps et de l’âme. Ô temps, ô mœurs ! J’ai beau crier, tout
le monde se fait payer.
hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébé-
tées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébé-
tées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées
ééûûı̈ï
2.4 Le package babel
On peut composer des textes multilangues avec une déclaration du type
\usepackage[english,french]{babel} :
\selectlanguage{french} passe en français,
\selectlanguage{english} passe en anglais.
Ici le texte est en français. Les césures se font avec les règles de la typographie française. D’autres particularités
sont activées, par exemple les doubles ponctuations ont un espace avant, les mots et expressions internes
sont francisés (chapitre, table des matières, liste des tableaux, . . .), les listes ne se présentent pas de la même
façon :
– Lundi : cassoulet toulousain
– Mardi : choucroute garnie
– Mercredi : moules frites
\selectlanguage{english}
In english, lists are displayed like that:
• Monday : Scones
• Tuesday : Pizza
Where two symbols are present, the left one is the “faked” symbol that LATEX 2ε
provides by default, and the right one is the “true” symbol that textcomp makes
available.
∗
It’s generally preferable to use the corresponding symbol from Table 3 on page 7
because the symbols in that table work properly in both text mode and math mode.
18
Overfull \hbox (3.80855pt too wide) in paragraph at lines 314--318
[]\OT1/cmr/m/n/10 Normally [] and [] will be iden-ti-cal,
3 Changement d’aspect des fontes
3.1 DansThe author commands for fonts set the five attributes:
le texte
Author command Attribute Value in article class
\textrm{..} or \rmfamily family cmr
\textsf{..} or \sffamily family cmss
\texttt{..} or \ttfamily family cmtt
\textmd{..} or \mdseries series m
\textbf{..} or \bfseries series bx
\textup{..} or \upshape shape n
\textit{..} or \itshape shape it
\textsl{..} or \slshape shape sl
\textsc{..} or \scshape shape sc
\tiny size 5pt
\scriptsize size 7pt
\footnotesize size 8pt
\small size 9pt
\normalsize size 10pt
5.2 Polices et tailles des caractèressize
\large 12pt
\Large size 14.4pt
\LARGE size 17.28pt
\huge size 20.74pt
\Huge size 24.88pt
5.2 Polices et tailles des caractères
The values used by these Tab. 5.1 are
commands – Polices
determined by the document class,
using the parameters
Banir à jamais defined
les vieilles in Section 2.4.
commandes héritées de LAT X2.09 :
E
\rm, \textrm{...}
\bf, Note
\sl,\it, .roman
that there . no author commands\textsf{...}
. are sans serifThese
for selecting new encodings.
should be provided
\texttt{...} by packages, such as the fontenc package.
typewriter
how L5.1
Tab.
This section does not explain AT X–font
E Polices
specifications are turned into T X
\textmd{...} medium \textbf{...} bold faceE
font names. This is described in Section 4.
\textrm{...} upright
\textup{...} roman \textsf{...} italic
\textit{...} sans serif
\texttt{...}
2.2 Selection
\textsl{...} typewriter
slanted
commands \textsc{...} small caps
\textmd{...}
\emph{...} medium used to select
emphasised
The low-level commands \textbf{...}
a text bold face font
document
font are as follows.
\textnormal{...}
\textup{...} upright \textit{...} italic
\textsl{...} slanted 6 \textsc{...} small caps
\emph{...} emphasised \textnormal{...} document font
\begin{equation*}
0 \neq 1 \text{ est évident !} Ù 0 6= 1 est évident !
\end{equation*}
3.3 Un conseil. . .
Il est préférable de séparer le fond de la forme. Pour ça, éviter de mettre directement les commandes de
changement d’aspect du texte dans le corps du document lorsque leur utilisation est récurrente : définitions,
résultats, mettre en valeur quelque chose d’important, . . .
\usepackage ; #
2
#
4.1 La géométrie de la page .dtx fichier contenant du code LATEX$(commandes) $
#Entête documenté, le lancement
de L TEX sur un fichier .dtx en extrait la documentation.
A $ $
La page actuelle a les caractéristiques.dvi signifie :DeVice Independent,!c’est le fichier que l’on visualise à l’écran
suivantes " 3
Note 2. The eqnarray and eqnarray* environments described in [Lamport] are not recommended because
5.2 Les sous-équations
Le package amsmath permet de créer des sous-équations :
\begin{equation} \label{a}
a^2 + b^2 = c^2
\end{equation} a2 + b 2 = c 2 (1)
Now we start sub-numbering. Now we start sub-numbering.
\begin{subequations} \label{b}
\begin{equation} \label{b1} d2 + e2 = f 2 (2a)
d^2 + e^2 = f^2
\end{equation} We can refer to equation (1), (2) and (2a).
We can refer\newcommand{\lightbulb}{{\usefont{U}{bulb}{m}{n}A}}
to equation~\eqref{a},
\eqref{b} and~\eqref{b1}. g 2 + h2 = i2 (2b)
\begin{equation} \label{b2}
g^2 + h^2 = i^2 Figure 6: LATEX 2This
ε style
was file (lightbulb.sty)
equation (2b).
\end{equation}
x=y+z (3a)
\end{subequations}
®
(atThis
leastwasinequation~\eqref{b2}.
versions prior to 6.0) and of being more memory-efficient
u=v+w when handled (3b) by a Po
er. See http://www.tex.ac.uk/cgi-bin/texfaq2html?label=textrace
\begin{subequations} \label{c} for(3a)
This was expression (3), consisting of parts pointers to tools
and (3b).
\begin{align}
Typex 1&=fonts from METAFONT.
y+z\label{c1}\\
u &= v+w\label{c2}
Math-mode
\end{align} spacing
This was expression~\eqref{c}, consisting of parts~\eqref{c1} and~\eqref{c2}.
ch as\end{subequations}
“binary operators”, “relations”, and “punctuation” in Section 3 primarily regard the surr
(SeeOnthenotera
Short Math
l’usage Guide
de la for LA
commande TEX [Dow00]
\eqref{label} forfaire
pour a nice exposition
référence on the subject.) To use a
à une équation.
rent5.3
purpose, you can use the TEX commands \mathord, \mathop, \mathbin, \mathrel, \ma
Les matrices
se, 5and \mathpunct.
environnements For :example,
de matrices if youbmatrix,
matrix, pmatrix, want to use \downarrow
Bmatrix, vmatrix, Vmatrix as :a variable (an “o
nstead of a delimiter, you can ∗write “$3 x + \mathord{\downarrow}$”
to
get the properly
α β∗ α β∗ α β∗ α β ∗
α β ∗
α β
rather than theγ ∗awkward-looking
δ γ∗ δ
“3x+
γ∗ δ
↓”. Similarly,
γ∗ δ
to create
∗
γ
a dotted-union
δ
∗
γ δ
symbol (“∪
e the ordinary set-union symbol (\cup) it must be defined with \mathbin, just as \cup is. C
{\cup} B$” (“A∪B”)˙ pour
et un environnement with
des “$A \mathbin{\dot{\cup}}
matrices dans le texte : ac db est obtenu ˙
B$”par(“A ∪B”). See The TEXbook [
efinitive description of math-mode spacing.
$\bigl( \begin{smallmatrix} a&b\\ c&d \end{smallmatrix} \bigr)$
urpose
5.4 ofCréer
the “log-like
un nouvel symbols”
opérateurin Tables 96 and 97 is to provide the correct amount of
mathématique
nd within multiletter function names. Tablecrée
\DeclareMathOperator*{\limperso}{lim-perso} 229une contrasts the output
macro \limperso of the
qui s’affiche log-like symb
en roman.
Utiliser cette macro dans l’entête du document.
naı̈ve alternatives. In addition to spacing, the log-like symbols also handle subscripts prope
\mathrm{lim-perso}+ $\neq$ \verb+\text{lim-perso}+ $\neq$ \verb+\limperso
“\max_{p \in P}” produces “maxp∈P ” in text, but “max” as part of a displayed formula.
p∈P
lim − person→∞ 6= lim-person→∞ 6= lim-perso
n→∞
\begin{align}
x&=y 3.11. EQUATION
& X&=Y NUMBERING & a&=b+c\\ 9
8x’&=y’ & X’&=Y’ & a’&=b\\ 3. DISPLAYED EQUATIONS
Placing
behavior equation
(3.23)
of a base numbers
symbol: can be a ratherA2 = φ(λ; complexΩ! ) − problem
φ(λ; Ω),in multiline displays.
The environments of the amsmath package try hard to avoid overprinting an
equation and number on the equation ! ""
contents, if necessary moving the number
down or up to a separate line. X , ,
Difficulties in accurately limn→∞ calculating the profile of
an equation (3.24)
can occasionally result in = N (λ;movement
A3number
A ω). that doesn’t look right.
There is a \raisetag command provided to adjust the vertical position of the
To define \begin{align}
a command whose
current equation number, if it subscripts
has been shifted follow the away samefrom ‘displaylimits’ behavior
its normal position.
as move A_1&=N_0(\lambda;\Omega’)-\phi(\lambda;\Omega’),\\
\sum,aput \displaylimits at by
thesixtailpoints,
end ofwrite the definition. When multiple
To particular number up \raisetag{6pt}. This
instances A_2&=\phi(\lambda;\Omega’)-\phi(\lambda;\Omega),\\
of \limits, \nolimits, or \displaylimits occur consecutively, the
kind of adjustment is fine tuning like line breaks and page breaks, and should
\intertext{and}
last one betakes
therefore leftprecedence.
undone until your document is nearly finalized, or you may end
A_3&=\mathcal{N}(\lambda;\omega).
up redoing the fine tuning several times to keep up with changing document
\end{align}
7.4 Multiple integral signs
contents.
\iint, 3.11 Equation
\iiint,spacingand \iiiint numbering
give multiple integral signs displays
with the spacing be-
3.9 Vertical and page breaks in multiline
tween them3.11.1 nicely adjusted, inhierarchy
Numbering both text and display style. \idotsint is an
You can
extension use the \\["dimension#] command to get extra
with vertical spacethem.
be-
In of
LATthe
E Xsameif youidea that gives
wanted to havetwo equations
integral signs
numbered dots
withinbetween
sections—that is,
tween lines in all the amsmath displayed equation environments, as is usual
have equation numbers (1.1), (1.2),
" " amsmath . . . , (2.1), (2.2), . . . , in sections 1, 2, and so
in LATEX. When the package"is" "in use page breaks between equa-
(7.2) forth—you could f (x, redefine
y) dx dy \theequation f (x, asz)
y, suggested
dx dy dz in the LATEX manual [7,
tion lines are normally disallowed; the philosophy is that page breaks in such
§6.3, §C.8.4]:
material should receive A individual attention A from the author. To get an in-
""""
\renewcommand{\theequation}{\thesection.\arabic{equation}} " "
dividual page break inside a particular displayed equation, a \displaybreak
(7.3) f (w,pretty
x, y, z)well,
dw dxexceptdy dz that the f (x1 , .counter
· · ·equation . . , xk ) won’t be reset to
command is This works
provided. \displaybreak is best placed immediately before the
zero at the beginning of a new section
\\ where it is to take effect. Like L TEX’s \pagebreak, \displaybreak
A A or chapter,
A unless you do it takes
yourself using
an optional argument between
\setcounter. To make0this anda 4little more convenient,
denoting the desirability the amsmath
of the page-package pro-
Conseil : lire au vides
moinsa une fois dans sa
command \numberwithin. vie la documentation
To have equation de amsmath.
numberingIl y a d’autres macros
tied to section
break. \displaybreak[0] means “it is permissible to break here” without
très utiles. . .
—8—numbering,
encouraging a break; with automatic reset
\displaybreak with of nothe equation
optional counter,
argument is write
the same as
6 Divers
6.1 L’environnement tabbing
\begin{tabbing}
Du texte qu’on souhaite aligner sur 1
\= puis sur le chiffre qui suit 1 c-à-d 2
\= puis la suite de la ligne\dots\\
\> aligné \> et hop \\
\> comme un beau tableau \> sans bord
\end{tabbing}
Du texte qu’on souhaite aligner sur 1 puis sur le chiffre qui suit 1 c-à-d 2 puis la suite de la ligne. . .
aligné et hop
comme un beau tableau sans bord
\usepackage{float} :
Improves the interface for defining floating objects such as figures and tables.
Introduces the boxed float, the ruled float and the plaintop float. You can
define your own floats and improve the behaviour of the old ones.
The package also provides the H float modifier option of the obso-
lete here package. You can select this as automatic default with
\floatplacement{figure}{H}.
\definecolor{myblue}{rgb}{.8, .8, 1}
\newcommand*\mybluebox[1]{%
\colorbox{myblue}{\hspace{1em}#1\hspace{1em}}}
a=b (4)
\begin{empheq}[box=\mybluebox]{gather} Ù Z a
a&=b\\ 2
E = mc + x dx (5)
E&=mc^2 + \int_a^a x\, dx a
\end{empheq}
Table 178: bbding Pencils and Nibs
6.8 Le package pifont
\usepackage{pifont} \NibLeft \PencilLeft \PencilRightDown
\NibRight \PencilLeftDown \PencilRightUp
L’utilisation du package pifont permet d’accéder à des symboles divers :
\NibSolidLeft \PencilLeftUp
\ding{217} \ding{34} \ding{188} \ding{52} \ding{80} \ding{114} \ding{40}
\NibSolidRight \PencilRight
donne
Ù"¼4Pr(
Là je superpose deux symboles : q 7 Ù Pratique pour les formulaires non ?
Table 179: pifont Pencils and Nibs
Il permet aussi !
de créer des listes
\ding{46} " en puisant dans
\ding{47} On peut$utiliser
# \ding{48} les caractères
\ding{49} de numérotation :
% \ding{50}
ces symboles : À le premier item de ma liste
+ le premier item de ma liste Á le second item de ma liste
+ le second item de ma liste Table 180: dingbat
 Hands
le troisième item de ma liste
+ le troisième item de ma liste
\leftpointright Ê le premier item
\rightpointleft de ma liste
\rightpointright
r le premier item de \leftthumbsdown
ma liste \rightthumbsdown
Ë le second item de ma liste
\leftthumbsup
r le second item de ma liste Table 178:\rightthumbsup
bbding Pencils and Nibs
Ì le troisième item de ma liste
r le troisième item de \NibLeft
ma liste \PencilLeft \PencilRightDown
\NibRight \PencilLeftDown \PencilRightUp
On peut remplir une ligne\NibSolidLeft
de texte avec un symbole particulier
\PencilLeftUp
:
] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ] Table
\NibSolidRight ]181:] bbding
] ]\PencilRight] ] Hands
] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ]
\HandCuffLeft
ou mieux, découper selon les ciseaux. . . \HandCuffRightUp \HandPencilLeft
! ! ! ! ! ! ! ! ! \HandCuffLeftUp
! ! ! ! ! ! ! ! \HandLeft !!!!!!!!! \HandRight
!!!!!!!!!!!!
Table 186: pifont Xs and Check Marks
\HandCuffRight \HandLeftUp \HandRightUp
! \ding{51}
Table 179:" pifont
\ding{53} # Nibs
Pencils and \ding{55}
$ \ding{52} % \ding{54} & \ding{56}
! \ding{46} " \ding{47} # \ding{48} $ \ding{49} % \ding{50}
Table 182: pifont Hands
5 Dingbats
& \ding{42} Table ' 187:\ding{43}
wasysym Xs ( and\ding{44}
Check Marks ) \ding{45}
Table 180: dingbat Hands
Dingbats are symbols such as Table
" stars,
! 186: pifont
\CheckedBox
arrows, and ! Xs \Square
and Check
geometric shapes.#Marks
\XBox
They are commonly used as bullets in
itemized lists or, more generally,
! as
\leftpointright a means to "
\ding{51} draw attention to #the \ding{55}
\rightpointleft
\ding{53} text that follows.
\rightpointright
The pifont dingbat package $
\leftthumbsdownwarrants
\ding{52}
Table special
183: % mention.
bbding\ding{54}Among
Crosses
\rightthumbsdown and & other
Plussescapabilities,
\ding{56} pifont provides a LATEX
interface to the Zapf Dingbats font (one of the standard 35 PostScript fonts). However, rather than name each
\leftthumbsup Table 188: \rightthumbsup
Circled
\Cross
of the dingbats individually, pifont merely provides\CrossOpenShadow
a single
pifont \dingNumbers
command, \PlusOutline
which outputs the character that
lies at a given position
' \ding{172} ( \ding{182} ) \ding{192} * can’t
in the font.
\CrossBoldOutline The consequence is that
\CrossOutline the pifont symbols be listed by name in this
\PlusThinCenterOpen
\ding{202}
document’s index,+ so be mindful
\CrossClowerTips of that
Table fact
187: when
\Plus searching
wasysym Xs and
\ding{173} , \ding{183} - \ding{193} . \ding{203}for a
Checkparticular
Marks symbol.
/\CrossMaltese
\ding{174} 0 \ding{184}\PlusCenterOpen
1 \ding{194} 2 \ding{204}
" \CheckedBox
! Table 181: ! bbding Hands# \XBox
\Square
3 \ding{175} 4 \ding{185} 5 \ding{195} 6 \ding{205}
\ding{176} 8 Table
7 \HandCuffLeft 172: bbding
\ding{186} Arrows
9 \ding{196}
\HandCuffRightUp : \ding{206}
\HandPencilLeft
; \ding{177}
\HandCuffLeftUp
\ArrowBoldDownRight < \ding{187}
\HandLeft = \ding{197}
\ArrowBoldRightShort > \ding{207}
\HandRight
\ArrowBoldUpRight
? \HandCuffRight
\ding{178} Table @ 184:
\ding{188}
pifont Crosses
A
Table 188:\ArrowBoldRightStrobe and Plusses
\ding{198} B
pifont Circled Numbers \HandRightUp
\HandLeftUp \ding{208}
\ArrowBoldRightCircled
C \ding{179} D \ding{189} E \ding{199} F \ding{209}
' * \ding{57} Table + \ding{59} , \ding{61}
194: bbding Geometric Shapes - * \ding{63}
\ding{180} (
G \ding{172} H \ding{182}
\ding{190} )
I \ding{192}
\ding{200} J \ding{202}
\ding{210}
+ . \ding{58}
\ding{173} , / \ding{60}
\ding{183} 0
- \ding{62}
\ding{193} 1 . \ding{64}
\ding{203}
K
\CircleShadow \ding{181} L \ding{191}
\Rectangle M \ding{201} N \ding{211}
\SquareShadowTopLeft
/ \ding{174} 0 \ding{184} 1 \ding{194} 2 \ding{204}
\CircleSolid
3 (part
\ding{175} 4\RectangleBold
Table
\ding{185}182: pifont
Table 173: pifont Hands
5 aArrows
\ding{195} \SquareShadowTopRight
6 environment
\ding{205}which
pifont of the psnfss package) provides dingautolist
\DiamondSolid
7
resembles\ding{176}
enumerate 8\RectangleThin
but \ding{186}
uses circled 9
numbers \ding{196}
as bullets. 2 : \SquareSolid
See \ding{206}
the psnfss docu-
! \ding{212} " \ding{221}
& \ding{42} # \ding{230}
' \ding{43} ( \ding{44} $ \ding{239}
) \ding{45} % \ding{249}
& \Ellipse ; \ding{177}
mentation
\ding{213} for
' more 185: (bbding
<\Square
Table \ding{187}
information.
\ding{222} Xs=and\ding{197}
\ding{231} Check) Marks > \TriangleDown
\ding{241} \ding{207}
* \ding{250}
? \ding{178}
+ \EllipseShadow
\ding{214} , @\SquareCastShadowBottomRight
\ding{223} \ding{188}
- \ding{232} A \ding{198}. \ding{242} B \TriangleUp
\ding{208}
/ \ding{251}
\Checkmark \XSolid \XSolidBrush
C \ding{179}
0 \EllipseSolid
\ding{215} 1 \ding{224} D\SquareCastShadowTopLeft
\ding{189}
2 \ding{233} E \ding{199}3 \ding{243} F \ding{209}4 \ding{252}
G \ding{180}\CheckmarkBold \XSolidBold
H\SquareCastShadowTopRight
\ding{190} I \ding{200} J \ding{210}
5 \HalfCircleLeft
\ding{216} 6 \ding{225} 7 \ding{234}
Table 183: bbding Crosses and Plusses 8 \ding{244} 9 \ding{253}
K \ding{181}
: \HalfCircleRight
\ding{217} ; \ding{226} Table
L \ding{191}< 189: wasysym
\ding{235} Stars
M \ding{201}= N \ding{211}
\ding{245} > \ding{254}
\SquareShadowBottomRight
? \ding{218} \Cross @$ \ding{227} A 52
\CrossOpenShadow
\ding{236}
\davidsstar % \hexstar & \varhexstar B \PlusOutline
\ding{246}
pifont
C \ding{219} (partDof the
\CrossBoldOutline psnfss package)
\ding{228} provides
\CrossOutline
E \ding{237} a dingautolist environment which
\PlusThinCenterOpen
F \ding{247}
resembles
G \ding{220} enumerate
H
\CrossClowerTips but
\ding{229} uses circled
I
\Plus numbers
\ding{238} as Jbullets. 2
See
\ding{248} the psnfss docu-
mentation for
\CrossMaltese more information. \PlusCenterOpen
Table 190: Table 195:Stars,
bbding Geometric
pifontFlowers, andShapes
Similar Shapes
! \ding{108} " \ding{111} # \ding{114} $ \ding{117} % \ding{121}
\Asterisk \FiveFlowerPetal
Table 174: marvosym Scissors \JackStar
& \ding{109} ' \ding{112} Table (189:\ding{115} )
wasysym Stars \ding{119} * \ding{122}
\AsteriskBold \FiveStar \JackStarBold
Table 184:
+ \ding{110} s, \Cutleft
\ding{113}q - CrossesSand\Leftscissors
\ding{116}
pifont
\Cutright .Plusses
\ding{120}
$ \davidsstar
\AsteriskCenterOpen % \hexstar & \varhexstar
\FiveStarCenterOpen \SixFlowerAlternate
* r \Cutline
\ding{57} + R \Kutline, \ding{61}
\ding{59} Q \Rightscissors
- \ding{63}
\AsteriskRoundedEnds \FiveStarConvex \SixFlowerAltPetal
. \ding{58} / \ding{60} 0 \ding{62} 1 \ding{64}
6.9 Les couleurs
\usepackage{color}
ä \definecolor{nom}{modele}{specification} définit une couleur dont le nom est nom, en utilisant
un modèle parmi modele = rgb, cmyk, gray, named. La spécification dépend du modèle.
ä \color{nom} utilise la couleur nommée, pour le texte qui suit.
\textcolor{nom}{texte}, équivalent de {\color{nom}texte}.
ä \colorbox{nom}{texte} et \fcolorbox{nom}{texte} créent une boîte de couleur avec le texte spé-
cifié.
ä \pagecolor{nom} met le fond de la page dans le couleur nom.
\definecolor{macouleur1}{rgb}{0.2, 0.5, 0.8}
\definecolor{macouleur2}{cmyk}{0.2, 0.5, 0.8, 0.3}
\definecolor{macouleur3}{gray}{0.9}
\textcolor{macouleur1}{Texte dans la couleur \texttt{macouleur1}}
\colorbox{macouleur2}{Une boîte dans la couleur \texttt{macouleur2}}
\pagecolor{macouleur3}
\begin{texteenretrait}
Il y a aujourd’hui ...
\end{texteenretrait}
Il y a aujourd’hui trois cent quarante-huit ans six mois et dix-neuf jours que les
parisiens s’éveillèrent au bruit de toutes les cloches sonnant à grande volée dans la
triple enceinte de la Cité, de l’Université et de la Ville.
\newenvironment{texteenretrait2}[1][\mdseries]%
{\par\medskip\leftskip=50pt\rightskip=60pt plus 10em #1}{\par\medskip}
\begin{texteenretrait2}[\bfseries]
Il y a aujourd’hui ...
\end{texteenretrait2}
\begin{texteenretrait2}
Il y a aujourd’hui ...
\end{texteenretrait2}
Il y a aujourd’hui trois cent quarante-huit ans six mois et dix-neuf jours que
les parisiens s’éveillèrent au bruit de toutes les cloches sonnant à grande
volée dans la triple enceinte de la Cité, de l’Université et de la Ville.
Il y a aujourd’hui trois cent quarante-huit ans six mois et dix-neuf jours que les parisiens
s’éveillèrent au bruit de toutes les cloches sonnant à grande volée dans la triple enceinte
de la Cité, de l’Université et de la Ville.
8 Les compteurs
8.1 Liste des compteurs
Les compteurs usuels de LATEX :
Bien sûr, chaque package peut définir son propre compteur, donc cette liste est très minimale.
On peut personnaliser leur valeur : \setcounter{equation}{12} met le compteur d’équation à 12...
On peut changer la façon dont ils apparaissent : LATEX utilise pour chaque compteur une commande
"\the..." qui affiche le contenu du compteur. C’est cette commande qu’il faut redéfinir.
Ici, nous en sommes à la page 22 (la page \thepage), dans la section 8 (section \thesection), sous-
section 8.1 (sous-section \thesubsection). Le compteur d’équation en est à 5.
Avec les commandes qui vont suivre, on peut changer l’apparence des compteurs, par exemple le compteur
enumi utilisé par les listes enumerate :
α. premier
β. second
γ. troisième
8.2 Commandes pour manipuler les compteurs
8.2.1 Commandes pour manipuler directement les compteurs :
ä \addtocounter : ajoute une certaine valeur à un compteur :
\addtocounter{counter}{value}
ä \newcounter : créé un nouveau compteur. En option, un compteur déjà existant. Lorsque oldcounter
est incrémenté, newcounter est remis à 0 :
\newcounter{newname}[oldcounter]
\numberwithin{equation}{section} permet de remettre à 0 le compteur equation lorsque le comp-
teur section est incrémenté (fonctionnalité de amsmath).
ä \setcounter : met un compteur à une certaine valeur :
\setcounter{counter}{value}
ä \usecounter : utilisé dans l’environnement list, c’est le compteur utilisé pour les item :
\usecounter{counter}
ä \value : retourne la valeur du compteur, en tant qu’entier. Peut servir là où LATEX attend un entier :
\value{counter}
Par exemple : \hspace{\value{moncompteur}\parindent}
a=b (6)
\renewcommand{\theequation}{\Alph{equation}} : maintenant les équations sont numérotées avec des
lettres capitales :
E = mc2 (G)
\setcounter{equation}{12} et \renewcommand{\theequation}{\roman{equation}} met le compteur
d’équation à 12 en chiffre romain, ce qui donne ici :
0 6= 1 (xiii)
Tiens, ça donne 13 ! Normal, le compteur est incrémenté d’une unité AVANT d’être utilisé. . .
On peut utiliser plusieurs compteurs :
\renewcommand{\theequation}{\thesubsection---\alph{equation}} donne
c=d (8.3—n)
\renewcommand{\thesubsection}{\thesection-\roman{subsection}}
sin(0) = 0 (8-iii—o)
L’équation (page 23, XVI) est bizarrement numérotée, alors que la (xiii) est plus normale. . .
\renewcommand{\thesubsubsection}{\thesubsection.\alph{subsubsection}}
\renewcommand{\thefootnote}{\fnsymbol{footnote}}.
Ceci est un renvoi à une note de bas de page‡ .
Ceci est un autre renvoi à une note de bas de page§ .
\renewcommand{\thefootnote}{\Alph{footnote}}.
Ceci est un renvoi à une note de bas de pageE .
Ceci est un autre renvoi à une note de bas de pageF .
\renewcommand{\thefootnote}{\engrec{footnote}}
Ceci est un renvoi à une note de bas de pageη .
Ceci est un autre renvoi à une note de bas de pageθ .
6 Divers 15
8 Les compteurs 22
13 Documentation 36
9 Les boîtes et les dimensions
9-i La mise en boîtes
Qu’est-ce que TEX au fond ? Un manipulateur de boîtes ! Lettres, symboles, mots, lignes, paragraphes, . . .
sont des boîtes.
Il est possible de créer et manipuler des boîtes soi-même.
Comprendre qu’une boîte a des attributs de dimension : largeur (\width, la largeur au sens ordinaire),
hauteur (\height, la hauteur au dessus de la ligne de texte) et profondeur (\depth : ce qui est sous la ligne
de texte). On a accès à la hauteur totale : \totalheight = \height + \depth.
9-ii Manipuler des dimensions
Personnalisation de LATEX
TEX sait manipuler différentes unités de longueur :
Quelques dimensions usuelles :
Tab. 5.5 – Unités TEX \parindent : indentation d’un paragraphe
\baselineskip : distance entre les lignes d’un pa-
mm millimètre ragraphe.
cm centimètre = 10 mm \baselinestretch : multiplie \baselineskip.
in pouce a = 25,4 mm
\parskip : espace vertical supplémentaire entre les
pt point ≈ 1/72 pouce ≈ 0, 35 mm
paragraphes.
em largeur d’un “M” dans la police courante
\textwidth, \textheight : dimensions de la com-
ex hauteur d’un “x” dans la police courante
posante texte d’une page.
a \linewidth : largeur d’une ligne de texte dans
Inch en anglais. NdT.
l’envronnement local.
\unitlength : unité de longueur dans l’environne-
De l’espace supplémentaire entre deux lignes du même paragraphement ou à picture.
Combien mesure la boîte « paquet » ?
ntérieur d’une table peut être obtenu par la commande :
Réponse grâce à ces macros :
\newlength{\lalargeur}
\[longueur ] \settowidth{\lalargeur}{paquet}
\newlength{\lahauteur} \settoheight{\lahauteur}{paquet}
Les commandes \bigskip et \smallskip permettent de créer des espa-
\newlength{\laprofondeur}\settodepth{\laprofondeur}{paquet}
ments verticaux
Largeur prédéfinis sans se préoccuper
= \the\lalargeur, des dimensions
Hauteur exactes.
= \the\lahauteur, Profondeur = \the\laprofondeur
Largeur = 34.91508pt, Hauteur = 7.37915pt, Profondeur = 2.33276pt
4 Disposition d’une page
Autres macros :
LATEX 2ε permet d’indiquer la taille du papier en paramètre de la com-
ä \the\unelongueur affiche la dimension \unelongueur.
ande \documentclass. Il définit ensuite automatiquement les marges les
eux adaptées. Parfois, on peut ne pas être
ä \newlength{\unelongeur} créesatisfait par les dimension
une nouvelle valeurs pré-nommée \unelongueur.
finies et ä
vouloir les modifier. La figure 5.2 montre
\setlength{\lalargeur}{1cm} : tous les paramètres qui
uvent être modifiés. Cette figure a été réalisée avec l’extension layout de
Maintenant Largeur = \the\lalargeur donne Largeur = 28.45274pt
nsemble tools.
ä \addtolength{\laprofondeur}{\the\lahauteur}
Attendez !. . . avant de vous lancer dans « élargissons un peu ce texte : »,
enez deux secondes
Maintenant pourProfondeur
réfléchir. Comme souvent avec LATEX, donne
= \the\laprofondeur il y a de
Profondeur = 9.71191pt
nnes raisons(ce pour disposer les pages de cette
qui représente \totalheight) façon.
Sans doute, comparé avec une page standard produite avec MS Word, une
TEX introduit la notion de longueur élastique : 1cm plus 10pt minus 5pt signifie que la longueur peut
ge de LA TEX à l’air horriblement étroite. Mais regardez votre livre préféré 4
varier
comptez de plusde
le nombre 10pt à moinssur5pt,
caractères uneen fonction
ligne desVous
normale. besoins ! qu’il
verrez
y a guère plus de soixante-six caractères par ligne. L’expérience 1.0pt
Exemple de longueur élastique : \parskip = 0.0pt plus montre
On définit une longueur élastique avec la même macro :
’un texte devient moins lisible si le nombre de caractères par ligne dépasse
tte valeur, cela parce qu’il devient plus difficile pour les yeux de passer de
\newlength{\unelongeur}
fin d’une ligne au début de la ligne suivante.
\setlength{\unelongeur}{1cm plusCeci explique
10pt minusaussi
5pt} Ù28.45274pt plus 10.0pt minus 5.0pt
que les
urnaux \the\unelongeur
utilisent plusieurs colonnes.
Ainsi, si vous élargissez le corps du texte, ayez conscience que vous le
9-iii Manipuler des boîtes
ndez aussi moins lisible. Ceci dit, si vous tenez à modifier les paramètres
ä \makebox[largeur][position]{Le
i contrôlent la disposition d’une page, voici comment procéder créé
contenu} : une boîte contenant Le contenu, de largeur finale
4 largeur et dont le contenu est positionné selon position = c, l, r, s.
Un vrai livre, imprimé par un grand éditeur. . .
Il existe une version avec cadre
\framebox[largeur][position]{Le contenu}
\framebox{Le contenu} Ù Le contenu
\framebox[1cm][l]{Le contenu} Ù Le contenu
\framebox[1cm][l]{Le contenu} et du texte ensuite Ù Le contenu
et du texte ensuite
\framebox[3cm][c]{Le contenu} Ù Le contenu
\framebox[3cm][s]{Le contenu} Ù Le contenu
ä Boîtes pour des paragraphes entiers : \parbox[position]{largeur}{contenu} ou
\begin{minipage}[position]{largeur}
contenu
\end{minipage}
Exemple :
\framebox{%
\begin{minipage}[t]{5cm}
Voici un texte contenu
Voici un texte contenu dans voici du texte après. . .
dans une boîte de 5 cm.
une boîte de 5 cm.
Ù Il comporte plusieurs para-
Il comporte plusieurs
graphes.
paragraphes.
\end{minipage}}
voici du texte après\dots
ä Élever une boîte : \raisebox{elevation}[profondeur][hauteur]{contenu} élève la boîte de la di-
mansion elevation, et fournit une boîte finale de profondeur et de hauteur données.
Hello !
\raisebox{10pt}{Hello !} donne et \raisebox{-10pt}{Ça va ?} donne
Ça va ?
\raisebox{-10pt}[0pt][\height]{Coucou !} donne , maintenant, pour voir la différence,
Coucou !
il faut au moins une seconde ligne en dessous, et là on se rend compte que la profondeur est nulle !
Vous voulez créer une boîte de dimensions nulles ? Facile, il suffit de combiner les macros précédentes :
AVANT
c’estAPRÈS
ici
Intérêt ? Vous pouvez placer une boîte relativement à votre point courant sans qu’elle ne perturbe la mise
en page qui suit !
Exemple, je veux placer le mot « FIN » en bout de cette ligne, 0.6cm en dessous.
Je suis passé à la ligne, mais avant, j’ai inséré derrière le point ci-dessus la commande FIN
\hfill\raisebox{-0.6cm}[0pt][0pt]{\makebox[0pt][r]{FIN}}
Du coup, le mot est au bout de la ligne, mais il ne compte pas ! TEX le considère comme une boîte de taille
nulle placée juste après le point de « en dessous. » Pratique pour des mises en pages un peu complexes. . .
9-iv Faites de l’espace. . .
Vous voulez réserver une place entre deux mots qui correspondrait à la taille de la boîte du texte. . .
ä Première solution, mesurer cette boite, et créer, d’une façon ou d’une autre, une boîte vide avec ces
dimensions.
Seconde solution : utiliser un fantôme de « du texte ».
Entre ce mot et celui-ci, se cache un fantôme !
Entre ce mot du texte et celui-ci, se cache un fantôme ! (ligne pour vérifier)
On obtient ça en tapant
Entre ce mot \phantom{du texte} et celui-ci, se cache un fantôme !
ä Comment réserver un espace dont on connaît les dimensions ?
En utilisant \rule[elevation]{largeur}{hauteur} (les filets)
\rule{3mm}{.1pt}\rule[-1mm]{5mm}{1cm}\rule{3mm}{.1pt}
\rule[1mm]{1cm}{5mm}\rule{3mm}{.1pt}
donne
Donc pour créer une boîte de largeur 1cm, de hauteur 1.1cm et de profondeur 15pt, on tape
\rule[-15pt]{0pt}{1.1cm}\rule{1cm}{0pt}
Un première ligne pour constater la hauteur.
J’insère la commande ici et ça me réserve l’espace de la boîte.
i X iY + i Y i X = 0
LX = iX d + diX : A → A
vérifie
pour tous X, Y ∈ g. Il faut noter que LX est une dérivation de degré 0 sur A qui commute
avec la différentielle,
LX d = dLX
8 mars 2006
3.3 Cohomologie de de Rham . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 98
L’algèbre différentielle Ω∗ (M ) – Le lemme de Poincaré – La suite de Mayer-Vietoris –
% redéfinition deà la
Couplage présentation
l’homologie singulière – de la table
La formule des matières
de Künneth et le polynôme de Poincaré
\titlecontents{chapter}[20pt]%
3.4 Variété compacte, orientée et sans bord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 103
{\addvspace{1pc}\normalfont\sffamily\bfseries\large}
Les groupes d’homologie et de cohomologie de plus haut degré – Dualité de Poincaré –
{\contentslabel[\thecontentslabel]{20pt}}{}{\hfill\contentspage}[]
L’application de Hodge, la codifférentielle et le laplacien
3.5 Cohomologies à supports compacts et à décroissance rapide . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
\titlecontents{section}[40pt]% 106
Cohomologie à support compact – Courants de de Rham – Suite de Mayer-Vietoris à
{\addvspace{0.3pc}\normalfont\sffamily}
support compact – Cohomologie à décroissance rapide – Classe de Thom d’un fibré
{\contentslabel[\thecontentslabel]{25pt}}{}{\dotfill\contentspage}[]
vectoriel réel orienté
3.6 Cohomologie de Čech . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 109
\titlecontents*{subsection}[60pt]%
Le complexe de Čech – La cohomologie de Čech – Relation avec la cohomologie de
{\filright\normalfont\sffamily\footnotesize}{}{}{}[~{–}\ ][]
de Rham – Cohomologie de Čech à valeurs dans des faisceaux – Application aux fibrés en
droites complexes
\setcounter{tocdepth}{2}
4 Homologies et cohomologies des groupes et algèbres de Lie 117
4.1 (Co)homologies d’algèbres de Lie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 117
Homologie d’algèbres de Lie – Cohomologie d’algèbres de Lie – Homologie et cohomologie
invariantes – Extensions d’algèbres de Lie – Déformation d’un crochet de Lie
4.2 Algèbres de Lie réductives . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 121
!∗
Définitions
!∗ ∗ – Résultats sur les homologies et les cohomologies – Structures de I( g) et
I( g )
4.3 (Co)homologies de groupes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 125
Définitions et premières propriétés – Les groupes de (co)homologie en bas degrés –
Résultats structurels
\begin{center}
\includegraphics[width=6cm]{LogoUPS}\\
\includegraphics[width=6cm]{LogoCNRS}
\reflectbox{\includegraphics[width=6cm]{LogoCNRS}}
\end{center}
\begin{center}
\includegraphics[width=4cm, angle=6]{tourdepise}
\includegraphics[width=8cm, angle=-6]{tourdepise2}
\end{center}
j(3)
k odd
i(5)
x 14 x 23 x 34 x 43
− + − +
x 13 i(2) x 24 i(6) x31 i(4) x 44
x 11 + 1 + − 2 −
x 22 + 3 +
x 33 − 4 − x 42
− + − +
k even
x 12 x 21 i(7) x 32 x 41
j(1) k levels
P M
A R
r
=⇒ G
~uz
C ~uy
Q
~ux
O d B
X4 X3
+ +
− − − −
+ L2− +
l4
l1 l2
L1 11
10
9
l2 8
7
+ l3 6
14 13 12
− − L3 17
6
18 16 5
+ 19
5
4
20 4
7 3
21
3
9
10 15
l3
22 2 l1
8
2
− 1
X1 + +
−
23 1
X2 24
θ r
2
T~ ~uy B
V+ V− h
~uy0
l ~ux O
A O’
~ux0
√
d/ 3 F~el
O O P+ P− ~
B
r
d
d F~1
1 3
r2
C
θ r
V1 V2 y2
écran
B
h
A O’ O
\begin{floatingfigure}[l]{4cm}
\caption{La séance du Gun-Club.}
\includegraphics[width=4cm]{JulesVerne}
\end{floatingfigure}
Permettez-moi, reprit-il, de vous...
Permettez-moi, reprit-il, de vous rappeler en quelques mots
Fig. 1 – La séance du comment certains esprits ardents, embarqués pour des
Gun-Club. voyages imaginaires, prétendirent avoir pénétré les secrets
de notre satellite. Au XVIIe siècle, un certain David Fa-
bricius se vanta d’avoir vu de ses yeux des habitants de
la Lune. En 1649, un Français, Jean Baudoin, publia le
« Voyage fait au monde de la Lune par Dominique Gonza-
lès », aventurier espagnol. A la même époque, Cyrano de
Bergerac fit paraître cette expédition célèbre qui eut tant
de succès en France. Plus tard, un autre Français — ces
gens-là s’occupent beaucoup de la Lune —, le nommé Fon-
tenelle, écrivit la « Pluralité des Mondes », un chef-d’oeuvre
en son temps ; mais la science, en marchant, écrase même
les chefs-d’oeuvre ! Vers 1835, un opuscule traduit du « New
York American » raconta que Sir John Herschell, envoyé
au cap de Bonne-Espérance pour y faire des études astro-
nomiques, avait, au moyen d’un télescope perfectionné par un éclairage intérieur,
ramené la Lune à une distance de quatre-vingts yards [Le yard vaut un peu moins
que le mètre, soit 91 cm.]. Alors il aurait aperçu distinctement des cavernes dans
lesquelles vivaient des hippopotames, de vertes montagnes frangées de dentelles d’or,
des moutons aux cornes d’ivoire, des chevreuils blancs, des habitants avec des ailes
membraneuses comme celles de la chauve-souris. Cette brochure, oeuvre d’un Améri-
cain nommé Locke [Cette brochure fut publiée en France par le républicain Laviron,
qui fut tué au siège de Rome en 1840.], eut un très grand succès. Mais bientôt on
reconnut que c’était une mystification scientifique, et les Français furent les premiers
à en rire.
\usepackage{wrapfig}
\begin{wrapfigure}{r}[0pt]{4cm}
\includegraphics[width=4cm]{JulesVerne}
\end{wrapfigure}
Permettez-moi, reprit-il, de vous...
Permettez-moi, reprit-il, de vous rappeler en quelques mots
comment certains esprits ardents, embarqués pour des
voyages imaginaires, prétendirent avoir pénétré les secrets
de notre satellite. Au XVIIe siècle, un certain David Fa-
bricius se vanta d’avoir vu de ses yeux des habitants de
la Lune. En 1649, un Français, Jean Baudoin, publia le
« Voyage fait au monde de la Lune par Dominique Gon-
zalès », aventurier espagnol. A la même époque, Cyrano de
Bergerac fit paraître cette expédition célèbre qui eut tant
de succès en France. Plus tard, un autre Français — ces
gens-là s’occupent beaucoup de la Lune —, le nommé Fon-
tenelle, écrivit la « Pluralité des Mondes », un chef-d’oeuvre
en son temps ; mais la science, en marchant, écrase même
les chefs-d’oeuvre ! Vers 1835, un opuscule traduit du « New
York American » raconta que Sir John Herschell, envoyé au cap de Bonne-Espérance
pour y faire des études astronomiques, avait, au moyen d’un télescope perfectionné
par un éclairage intérieur, ramené la Lune à une distance de quatre-vingts yards [Le
yard vaut un peu moins que le mètre, soit 91 cm.]. Alors il aurait aperçu distincte-
ment des cavernes dans lesquelles vivaient des hippopotames, de vertes montagnes
frangées de dentelles d’or, des moutons aux cornes d’ivoire, des chevreuils blancs, des
habitants avec des ailes membraneuses comme celles de la chauve-souris. Cette bro-
chure, oeuvre d’un Américain nommé Locke [Cette brochure fut publiée en France
par le républicain Laviron, qui fut tué au siège de Rome en 1840.], eut un très grand
succès. Mais bientôt on reconnut que c’était une mystification scientifique, et les
Français furent les premiers à en rire.
12 Des outils externes
ä makeindex : permet de créer un index. Utiliser le package makeidx. Les entrées sont personnalisables :
\index{suite exacte},
\index{suite exacte!courte},
\index{suite exacte!courte!scindee@scindée},
\index{commutative!algebre@algèbre --},
\index{z(a)@$\mathcal{Z}(\mathbf{A})$} (affiche Z(A) dans la position alphabétique « z(a) »).
ä bibtex : permet de gérer la bibliographie à partir d’un fichier contenant toutes les références.
@book{Blac:98, @Article{Feynman:1948ur,
Author = {Blackadar, B.}, author = "Feynman, R. P.",
Keywords = {Personnel}, title = "Space-time approach to
Number = {5}, nonrelativistic quantum mechanics",
Publisher = {Cambridge University journal = "Rev. Mod. Phys.",
Press}, volume = "20",
Series = {Math. Sc. Research year = "1948",
Inst. Pub.}, pages = "367-387"
Title = {{$K$}-Theory for }
Operator Algebras},
Year = {1998}}
13 Documentation
ä Les sites officiels :
Le CTAN
The TEX Catalogue On Line Ù on y retrouve tous les packages décrits ici !
ä L’association GUTENBERG des utilisateurs francophones de LATEX :
ä Cours sur LATEX :
Documentations officielles sur LATEX : classes (clsguide.pdf), fontes (fntguide.pdf), user guide
(usrguide.pdf). . .
A not so short Introduction to Latex, disponible dans diverses langues.
A beginner’s guide to LaTeX (beginlatex-3.6.pdf)
Faire des présentations avec LATEX
ä Un journal en ligne : PracTeX, journal avec des articles pour les utilisateurs de base de TEX, LATEX &
Co.
ä Les polices de caractères :
LATEX2e font selection (fntguide.pdf)
Liste de tous les symboles disponibles sous LATEX (symbols-a4.pdf)
PSNFSS (psnfss2e.pdf), utilisation des polices PostScript standard sous LATEX.
ä Graphiques :
Using Imported Graphics in LATEX and pdfLATEX (epslatex.pdf)
Le package graphicx
ä Listes de diffusion :
Liste de listes sur tex.org
Groupe comp.text.tex et Groupe fr.comp.text.tex chez Google.
Groupe LATEX chez Google