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1 Généralités sur TEX et LATEX

1.1 Principe de base


Fichier source Þ compilation (pdfLATEX) Þ fichier pdf
C’est du WYSIWYG (What You See Is What You Get). . . asynchrone !

Qu’est-ce que LATEX ? C’est à la fois un langage et un moteur pour composer des textes, destinés à une
sortie sur imprimante, et depuis peu à produire des fichiers pdf avec interactivité.
La rédaction du fichier source s’effectue avec un éditeur de texte quelconque (vi, Emacs, Nedit, pico, Kile,
TeXShop, Kwrite, ...). Ces éditeurs peuvent aider à la rédaction, à la compilation et à la visualisation.
1.2 Conseils
ä Deux moteurs possibles. Avec LATEX, on ne peut inclure que des eps. Avec pdfLATEX, il est possible
d’inclure des photos jpg, png et des graphiques pdf. Utiliser la commande eps2pdf.
ä Choisir un bon éditeur pour gérer le fichier source (emacs, TeXShop, Kile, . . .).
ä Compiler relativement souvent pour éviter l’accumulation d’erreurs
ä Regarder le log de la compilation, c’est une mine d’information sur la qualité du fichier source et sur
la façon dont LATEX le comprend.
ä Mettez-vous à jour sur les macros de LATEX2e, en éliminant les vieilleries de LATEX2.09 : incompatibilité,
fonctionnalités non assurées,. . . Pas de souci pour ceux qui se mettent à LATEX aujourd’hui !
ä Pour les gros projets, découper le fichier source en petits fichiers sources (par chapitres par exemple),
et créer un fichier maître :
...
\include{chapitre1}
\include{chapitre2}
...
1.3 Les macros et les environnements
TEX et LATEX utilisent des macros pour fonctionner. Il est possible d’en définir soi-même (voir plus loin).
ä Certaines macros sont simples : \alpha est une macro qui produit α (en mode mathématique).
ä Certaines macros fonctionnent avec un ou plusieurs arguments :
\section{Ma section} pour démarrer une section.
\frac{a \times b}{c - d} pour produire des fractions en mathématique :
a×b
c−d
en mode \textstyle, et en mode \displaystyle :

a×b
c−d
ä Certaines macros ont des arguments optionnels, éventuellement en plus d’arguments obligatoires :
\pagebreak[number], number transforme votre demande en requête (0 = cool, . . ., 4 = on s’impose !).
\section[Ma section\dots]{Ma section a un titre très long}, l’argument optionnel est utilisé
dans la table des matières et dans l’entête de la page.
LATEX introduit la notion d’environnement : \begin{env} ... \end{env}. Il faut y entrer et en sortir !
env = equation, center, abstract, figure, flushleft, minipage, tabular, enumerate,...
ä Il y a des environnements avec arguments, y compris optionnels.
ä Certaines fonctionnalités semblent disponibles sous formes de macros ou d’environnements :
\begin{center} ... \end{center} et \centering{...}.
En réalité, il y a souvent des différences : nouveau paragraphe, espaces verticaux avant et après,. . .
En TEX pur, on a la possibilité de définir de macros avec la commande \def. Elle ne permet pas les arguments
optionnels.
Caractères réservés : \ $ & % # _ { } ~ ^
1.4 L’installation sur l’ordinateur
Toute l’installation des fichiers utilisés par TEX, LATEX et les autres logiciels associés (metafont, metapost,. . .)
est structurée dans des dossiers texmf.
ä Il y a plusieurs dossiers texmf, chacun reproduit la même hiérarchie, mais pas avec les mêmes fichiers !
ä L’installation principale et fondamentale se fait dans un texmf auquel personne n’est censé toucher. . .
donc on n’en parle plus ! D’autant plus qu’il peut y en avoir plusieurs !
/usr/local/teTeX/share/texmf/, /usr/local/teTeX/share/texmf.tetex/
ä L’administrateur de la machine peut installer des fichiers complémentaires à l’installation fondamentale
dans un dossier texmf.local. Tout apport dans ce dossier est utilisable par tous les utilisateurs de la
machine.
/usr/local/teTeX/share/texmf.local/
ä Chaque utilisateur dispose de son propre dossier texmf, dans son $HOME. Il peut y déposer les fichiers
qu’il veut, il est le seul à pouvoir les utiliser.
ä Par principe, LATEX & Co. cherchent en priorité le fichier souhaité dans le dossier courant de travail
(celui du fichier source), puis dans le dossier texmf de l’utilisateur, puis dans texmf.local, enfin dans
le texmf fondamental. Par conséquent, tout fichier dans VOTRE texmf est prioritaire. On trouvera
dans le fichier log la liste des fichiers trouvés et leur chemin.
ä Pour du temps lors de la recherche d’un fichier dans ces immenses dossiers, chaque dossier texmf com-
porte un fichier ls-R, qui contient toute la liste hiérarchique des fichiers qu’il renferme. Par conséquent,
lorsqu’on ajoute un fichier dans un tel dossier, il faut actualiser le fichier ls-R. C’est facile, il faut et
il suffit de taper la commande texhash dans un terminal. Même si vous n’êtes pas l’administrateur de
la machine !
ä En général, les fichiers que vous aurez à installer sont des .sty. Ils se placent dans le dossier :
texmf/tex/latex/ pour le texmf auquel vous avez accès.
Démonstration et exploration d’un tel dossier texmf. . .
1.5 Les différents types de fichiers
. . . après vous avoir donné un aperçu de ce qu’on peut y trouver !
ä Des fichiers textes, dans lesquels on peut « reconnaître » des macros, des définitions, de TEX ou
LATEX. . . : .sty, .cls, . . .
ä Des fichiers (des milliers !) qui décrivent les polices de caractères. Car TEX n’utilise pas les polices
résidentes sur l’ordinateur, mais ses propres polices, installées avec lui. . . Pour décrire ces polices,
constituées de « caractères », il faut différents types de fichiers : bien sûr le dessin des caractères tels
qu’ils apparaissent à l’écran ou sur le papier, mais aussi leur « métrique » (leurs différentes dimensions),
leur place dans un tableau (chaque caractère a une case bien attribué qui permet de le retrouver
facilement. . . or il n’y pas de casier universel. . .), . . .
ä Des fichiers de configuration de l’installation. Vous pouvez en personnaliser certains, mais seulement
si vous les placez dans votre texmf bien sûr.
ä De la documentation ! Dans les texmf vous trouverez un dossier doc. Chaque package est souvent
distribué avec une documentation.

1.6 Où trouver des fichiers à installer ?


« Pour rentrer chez vous, une seule adresse : la vôtre » . . . Publicité de Francis Blanche.
ä Un seul et unique site Internet : le CTAN, Comprehensive TeX Archive Network
ä Deux interfaces possibles (je préfère la seconde !) :
www.ctan.org ou texcatalogue.sarovar.org/
ä Pour de la documentation en général :
texcatalogue.sarovar.org/bytopic.html
ä Les livres permettent de savoir ce qui existe et d’obtenir une documentation.
2 Les packages usuels d’un fichier source
2.1 Un modèle de fichier source
\documentclass[12pt,a4paper]{article}
\usepackage[T1]{fontenc}
\usepackage[latin1]{inputenc}
\usepackage{textcomp}
\usepackage[a4paper,tmargin=3cm,bmargin=3cm,rmargin=2.2cm,lmargin=2.2cm]{geometry}
\usepackage{amssymb,amsmath}
\usepackage{graphicx}
\usepackage{hyperref}
\usepackage[french]{babel}
...
\pagestyle{headings}
\begin{document}
Mon texte\dots
\end{document}

ä Ne plus utiliser \documentstyle, qui date de LATEX2.09. . . On en est à LATEX2e depuis 1995 au moins !
ä Comme vous le savez, il y a diverses « classes » : article, report, book. . .
La différence ? Pas de chapitre dans article, pas de partie dans report. . .
Autres « classes » définies dans d’autres « packages » : amsart, beamer, KOMA-script, memoir. . .
ä Les options de la classe peuvent modifier le rendu : la taille des caractères (ici 12pt), la taille du papier
(a4paper), twocolumn, twoside, fleqn, leqno, . . . Se reporter à la documentation de la classe utilisée.
ä Les autres packages seront évoqués par la suite.
(Ceci sera utilisé par la suite)
2.2 Le package inputenc
\usepackage[latin1]{inputenc} est l’encodage en entrée. Il vous permet de taper votre code source avec
des accents. latin1 fait référence à ISO Latin1, l’encodage utilisé sur Linux.

Il existe plusieurs encodages des lettres accentuées, souvent ça dépend du système d’exploitation.

Sur Linux, d’habitude, c’est ISO Latin1, et le « latin1 » y fait référence (vérifier que votre éditeur sauve en
ISO Latin1).
Sur Windows, c’est souvent Windows ANSI, et l’option correspondante pour inputenc est ansinew.
Sur Mac, c’était l’option applemac, mais maintenant on peut utiliser n’importe quel encodage.

Aujourd’hui, les éditeurs savent en général interpréter différents encodages. Le mieux est alors de se conformer
au standard UNICODE, (en réalité un sous ensemble, UTF-8, suffit pour nos langues occidentales), qu’on peut
utiliser aussi avec LATEX (\usepackage[utf8x]{inputenc}), mais il faut installer un package supplémentaire.
Ce package a quelques défaults, et je ne conseille pas de l’utiliser si tout fonctionne bien avec ISO Latin1. . .
Disponible en cliquant ici.

Une remarque : si vous recevez un fichier source dans un encodage exotique, qu’il s’affiche mal à l’écran (les
lettres accentuées sont remplacées par des hiéroglyphes bizarres), la compilation est cependant correcte si
inputenc à la bonne option.

Une seconde remarque : il est possible d’utiliser plusieurs encodages en entrée !


Utiliser la commande \inputencoding{encodage}.
2.3 Le package fontenc
Afin d’avoir un rendu correct au niveau du français, utiliser \usepackage[T1]{fontenc}
2.3.1 Voici un texte avec des accents tapés normalement, encodage T1 :
Le texte source : D’un mal il tomba dans un pire, et se vit réduit à la fin à
jeûner et mourir de faim. Il en coûte à qui vous réclame,
médecins du corps et de l’âme. Ô temps, ô mœurs ! J’ai beau
crier, tout le monde se fait payer.

hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées


hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées hébétées hébétées

Le rendu : D’un mal il tomba dans un pire, et se vit réduit à la fin à jeûner
et mourir de faim. Il en coûte à qui vous réclame, médecins
du corps et de l’âme. Ô temps, ô mœurs ! J’ai beau crier, tout
le monde se fait payer.
hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébé-
tées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébé-
tées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées

2.3.2 Le même texte avec des accents tapés à la TEX, encodage T1 :


Le texte source : D’un mal il tomba dans un pire, et se vit r\’eduit \‘a la
fin \‘a je\^uner et mourir de faim. Il en co\^ute \‘a qui
vous r\’eclame, m\’edecins du corps et de l’\^ame. \^O temps,
\^o m\oe urs ! J’ai beau crier, tout le monde se fait payer.

h\’eb\’et\’ees h\’eb\’et\’ees h\’eb\’et\’ees h\’eb\’et\’ees


h\’eb\’et\’ees h\’eb\’et\’ees h\’eb\’et\’ees h\’eb\’et\’ees
h\’eb\’et\’ees h\’eb\’et\’ees h\’eb\’et\’ees h\’eb\’et\’ees
h\’eb\’et\’ees h\’eb\’et\’ees h\’eb\’et\’ees h\’eb\’et\’ees
h\’eb\’et\’ees h\’eb\’et\’ees h\’eb\’et\’ees h\’eb\’et\’ees
h\’eb\’et\’ees h\’eb\’et\’ees h\’eb\’et\’ees h\’eb\’et\’ees
h\’eb\’et\’ees h\’eb\’et\’ees h\’eb\’et\’ees h\’eb\’et\’ees

Le rendu : D’un mal il tomba dans un pire, et se vit réduit à la fin à jeûner
et mourir de faim. Il en coûte à qui vous réclame, médecins
du corps et de l’âme. Ô temps, ô mœurs ! J’ai beau crier, tout
le monde se fait payer.
hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébé-
tées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébé-
tées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées
2.3.3 Le même texte avec des accents tapés normalement, encodage OT1 :
Le rendu : D’un mal il tomba dans un pire, et se vit réduit à la fin à jeûner
et mourir de faim. Il en coûte à qui vous réclame, médecins
du corps et de l’âme. Ô temps, ô mœurs ! J’ai beau crier, tout
le monde se fait payer.
hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées hébétées hébétées

Rappel du rendu en encodage T1 : D’un mal il tomba dans un pire, et se vit réduit à la fin à jeûner
et mourir de faim. Il en coûte à qui vous réclame, médecins
du corps et de l’âme. Ô temps, ô mœurs ! J’ai beau crier, tout
le monde se fait payer.
hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébé-
tées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébé-
tées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées hébétées
hébétées hébétées

ééûûı̈ï
2.4 Le package babel
On peut composer des textes multilangues avec une déclaration du type
\usepackage[english,french]{babel} :
\selectlanguage{french} passe en français,
\selectlanguage{english} passe en anglais.

Ici le texte est en français. Les césures se font avec les règles de la typographie française. D’autres particularités
sont activées, par exemple les doubles ponctuations ont un espace avant, les mots et expressions internes
sont francisés (chapitre, table des matières, liste des tableaux, . . .), les listes ne se présentent pas de la même
façon :
– Lundi : cassoulet toulousain
– Mardi : choucroute garnie
– Mercredi : moules frites

\selectlanguage{english}
In english, lists are displayed like that:

• Monday : Scones

• Tuesday : Pizza

• Wednesday : Fish and Chips

\selectlanguage{french} (retour au français)


Le package babel gère à peu près toutes les langues, la vôtre doit bien y être. . .
2.5 Le package textcomp
\usepackage{textcomp} vous permet d’accéder à des symboles usuels :
€ £ ¥ ¤ § ¶ † © ℗ ® ‰ % ‽ ‡ № • * ™
¥€$, le signe € est très moche. . .
Table 36: Miscellaneous textcomp Symbols
∗ \textasteriskcentered a
ª \textordfeminine
‖ \textbardbl o
º \textordmasculine
○ \textbigcircle ¶ \textparagraph∗
␢ \textblank · \textperiodcentered
¦ \textbrokenbar ‱ \textpertenthousand
• \textbullet ‰ \textperthousand
† \textdagger∗ ¶ \textpilcrow
‡ \textdaggerdbl∗ ' \textquotesingle
( \textdblhyphen ‚ \textquotestraightbase
* \textdblhyphenchar „ \textquotestraightdblbase
, \textdiscount - \textrecipe
℮ \textestimated ※ \textreferencemark
‽ \textinterrobang § \textsection∗
1 \textinterrobangdown  \textthreequartersemdash
♪ \textmusicalnote 4 \texttildelow
№ \textnumero 6 \texttwelveudash
◦ \textopenbullet

Where two symbols are present, the left one is the “faked” symbol that LATEX 2ε
provides by default, and the right one is the “true” symbol that textcomp makes
available.

It’s generally preferable to use the corresponding symbol from Table 3 on page 7
because the symbols in that table work properly in both text mode and math mode.

Table 37: Miscellaneous wasysym Text-mode Symbols


! \permil

18
Overfull \hbox (3.80855pt too wide) in paragraph at lines 314--318
[]\OT1/cmr/m/n/10 Normally [] and [] will be iden-ti-cal,
3 Changement d’aspect des fontes
3.1 DansThe author commands for fonts set the five attributes:
le texte
Author command Attribute Value in article class
\textrm{..} or \rmfamily family cmr
\textsf{..} or \sffamily family cmss
\texttt{..} or \ttfamily family cmtt
\textmd{..} or \mdseries series m
\textbf{..} or \bfseries series bx
\textup{..} or \upshape shape n
\textit{..} or \itshape shape it
\textsl{..} or \slshape shape sl
\textsc{..} or \scshape shape sc
\tiny size 5pt
\scriptsize size 7pt
\footnotesize size 8pt
\small size 9pt
\normalsize size 10pt
5.2 Polices et tailles des caractèressize
\large 12pt
\Large size 14.4pt
\LARGE size 17.28pt
\huge size 20.74pt
\Huge size 24.88pt
5.2 Polices et tailles des caractères
The values used by these Tab. 5.1 are
commands – Polices
determined by the document class,
using the parameters
Banir à jamais defined
les vieilles in Section 2.4.
commandes héritées de LAT X2.09 :
E
\rm, \textrm{...}
\bf, Note
\sl,\it, .roman
that there . no author commands\textsf{...}
. are sans serifThese
for selecting new encodings.
should be provided
\texttt{...} by packages, such as the fontenc package.
typewriter
how L5.1
Tab.
This section does not explain AT X–font
E Polices
specifications are turned into T X
\textmd{...} medium \textbf{...} bold faceE
font names. This is described in Section 4.
\textrm{...} upright
\textup{...} roman \textsf{...} italic
\textit{...} sans serif
\texttt{...}
2.2 Selection
\textsl{...} typewriter
slanted
commands \textsc{...} small caps
\textmd{...}
\emph{...} medium used to select
emphasised
The low-level commands \textbf{...}
a text bold face font
document
font are as follows.
\textnormal{...}
\textup{...} upright \textit{...} italic
\textsl{...} slanted 6 \textsc{...} small caps
\emph{...} emphasised \textnormal{...} document font

Tab. 5.2 – Tailles des polices

\tiny minuscule \Large plus grand


des très
policesgrand
\scriptsize très petit
\LARGE
Tab. 5.2 – Tailles
\footnotesize assez petit
\small
\tiny
petit
minuscule
\huge
\Large énorme
plus grand
normal
géant
\normalsize
\scriptsize
\large
\footnotesize
très petit
grand
assez petit
\Huge
\LARGE très grand
\small petit \huge énorme
\normalsize normal
mode mathématique
Tab. 5.3 – Tailles en points dans les classes standard
3.2 En mode mathématique
commandes
3.2.1 Les commandes

Commande Description Exemple


taille 10pt (défaut) option 11pt option 12pt
\mathnormal default abcXY Z
iny \mathrm 5pt roman 6pt abcXYZ 6pt
criptsizeTab. 5.3 – Tailles \mathbfen 7pt points dans les
gras roman 8pt classes standard
abcXYZ 8pt
ootnotesize \mathsf 8pt sans sérif 9pt abcXYZ 10pt
taille 10pt (défaut) italique
\mathit option 11pt abcXYZoption 12pt
mall
iny \mathtt 9pt 5pt typewriter 6ptabcXYZ
10pt 11pt
6pt
ormalsize \mathcal10ptcalligraphique11pt ABCX YZ 12pt
criptsize \mathbb12pt 7pt black board 8pt ABCXYZ 8pt
arge 12pt 14pt
ootnotesize \mathfrak 8pt gothique 9pt abcXYZ 10pt
arge 14pt 14pt 17pt
mall 9pt 10pt 11pt
ARGETaille du texte en mathématique : 17pt 17pt P 20pt
\textstyle : mode mathématique dans10pt
ormalsize le texte courant et dans11pt
les tableaux. n
12pt
uge\displaystyle : mode mathématique 20pt 20pt 25pt
1
n

arge 12pt 12pt 14pt


X
pour les équations « display ».
uge\scriptstyle : taille pour les indices et25pt 25pt 1 25pt
arge 14ptles exposants de premier14pt
niveau. 17pt
Pn
1
\scriptscriptstyle : taille pour les indices et exposants de niveaux supérieurs. Pn

17pt 17pt 20pt


1

ARGEBanir à jamais les vieilles commandes héritées de LATEX2.09


uge3.2.2 Les commandes boldsymbol 20pt et mathversion
20pt 25pt
uge \boldsymbol(A) met le caractère A en 25ptgras (il faut être dans 25pt
le mode mathématique).25pt
is common to use a thin space (\,) between the words of a multiword operators, as in
Fonctionne avec
n’importe que symbole mathématique.
clareMathOperator*{\argmax}{arg\,max}”. \liminf, \limsup, and
\boldsymbol{A\infty}+ $\neq$ \verb+\mathbf{A\infty}+ all of \verb+A\infty
$\neq$ the log-like symbols shown
ble 97 utilize this spacing convention.
Ù A∞ 6= A∞ = 6 A∞
{\mathversion{bold}
Bold $A\infty$} = $\boldsymbol{A\infty}$ = {\boldmath $A\infty$}
mathematical symbols
X does not normally use bold symbols when typesetting mathematics. However, bold Ùsymbols
A∞ = A∞ = A∞
are occa-
Contraire de \mathversion{bold} : \mathversion{normal}
lly needed, for example when naming vectors. Any of the approaches described at http://www.tex.ac.uk/
bin/texfaq2html?label=boldgreek
Donc : {\bfseries\mathversion{bold}can be used
blabla}to produce bold
passe tout mathematical
en gras, y compris symbols. Table 231:
les mathématiques
asts the output produced by these various techniques. As the table illustrates, these techniques exhibit
{\Large\bfseries\mathversion{bold} la relation $e^{2 i \pi} + 1 = 0$ est très belle !}
tion in their formatting of Latin letters (upright vs. italic), formatting of Greek letters (bold vs. normal),
atting of operators and relations (bold vs. normal),la and spacing. e2iπ + 1 = 0 est très belle !
relation
Ù
commande boldsymbol
Table 231:
l(A) met le caractère A en Producing boldfaut
gras (il mathematical symbols
être dans le mode mathématique). Fonc
ue symbole mathématique.
Package Code Output
none $\alpha + b = \Gamma \div D$ α+b=Γ÷D (no bold)
l{A} != \mathbf{A} : A != A
none $\mathbf{\alpha + b = \Gamma \div D}$ α + b = Γ ÷ D
none \boldmath$\alpha + b = \Gamma \div D$ α+b=Γ÷D
amsbsy $\pmb{\alpha + b = \Gamma \div D}$ α+b=Γ÷D (faked bold)
ion{bold}
amsbsy$A$} = $\boldsymbol{A}$
$\boldsymbol{\alpha : A\div
+ b = \Gamma =A D}$ α + b = Γ ÷ D
bm $\bm{\alpha + b = \Gamma \div D}$ α+b=Γ÷D
series\mathversion{bold} blabla} passe tout en gras,
fixmath $\mathbold{\alpha + b = \Gamma \div D}$ α + b =y Γcompris
÷D les mathémati
\mathversion{bold} la relation $0 = e^{2 i \pi} + 1 \neq \infty$ est j
3.2.3 La commande text
Fonctionnalité de amsmath : en mode mathématique, on peut taper du texte normal en utilisant la com-
mande \text{mon texte à insérer}, y compris les accents. Préférer cette macro à \mbox{...} et à
\mathrm{...} :

\begin{equation*}
0 \neq 1 \text{ est évident !} Ù 0 6= 1 est évident !
\end{equation*}

$A_\text{été} \neq A_{\mbox{été}} \neq A_{\mathrm{été}}$ Ù Aété 6= Aété 6= At .

3.3 Un conseil. . .
Il est préférable de séparer le fond de la forme. Pour ça, éviter de mettre directement les commandes de
changement d’aspect du texte dans le corps du document lorsque leur utilisation est récurrente : définitions,
résultats, mettre en valeur quelque chose d’important, . . .

Utiliser des macros (voir plus loin) définies dans le préambule :


\definition{On appellera $1$ le plus petit entier strictement positif}
donne
On appellera 1 le plus petit entier strictement positif
avec la macro \newcommand{\definition}[1]{\textbf{\mathversion{bold}#1}}
Un changement de la macro dans le préambule change alors l’aspect de TOUTES les définitions !
.tex fichier source TEX ou LATEX ;
.sty fichier contenant des commandes, ! ! que! l’on charge dans le ! préambule
$
4 Une page LATEX d’un document grâce à une commande #
4 5 6

\usepackage ; #
2

#
4.1 La géométrie de la page .dtx fichier contenant du code LATEX$(commandes) $
#Entête documenté, le lancement
de L TEX sur un fichier .dtx en extrait la documentation.
A $ $

.ins fichier permettant d’installer le contenu du fichier .dtx de même nom.


Pour gérer toutes ces dimensions, utiliser leUnepackage geo- LAT X téléchargée de l’Internet est composée d’un fichier
extension E
metry : .dtx et d’un .ins. Exécuter LATEX sur le fichier .ins pour extraire les
fichiers à installer du .dtx.
\usepackage[a4paper,tmargin=3cm,bmargin=3cm,
.cls désigne un fichier de classe contenant la description d’un type de docu-
rmargin=2.2cm,lmargin=2.2cm]{geometry}
ment, chargé par la commande \documentclass;
Note dans
Corps ! 7
la marge
.fd fichier contenant des définitions pour les polices de caractères ;
\usepackage[a4paper,landscape,textheight=23cm,
textwidth=17.5cm]{geometry} Les fichiers suivants sont produits "! !
par LATEX à partir du fichier source (de
! "
9
suffixe .tex) : !
!
10

La page actuelle a les caractéristiques.dvi signifie :DeVice Independent,!c’est le fichier que l’on visualise à l’écran
suivantes " 3

\paperwidth=597.50787pt, et qui servira à l’impression (par dvips par exemple) ;


\paperheight=845.04684pt, .log fichier contenant le compte-rendu ! détaillé!de la compilation
8 " du fichier
\textwidth=284.52756pt, source (avec les messages d’erreur # éventuels), #
! !" Pied de page
\textheight=799.52228pt .toc contient le matériel nécessaire à$la production de la table des matières,
!
1

si celle-ci a été demandée ;


11

Elle a été caractérisée par les options.lof


suivantes
contient: la liste numérotée des figures, si elle a été demandée ;
1 un pouce + \hoffset 2 un pouce + \voffset
papersize={20cm,15cm},tmargin=0.3cm, .lot contient la liste numérotée des tableaux,
3 \evensidemargin = 70pt 4si elle a été
\topmargin demandée ;
= 22pt
5 \headheight = 13pt 6 \headsep = 19pt
.aux contient diverses informations
bmargin=0.3cm,rmargin=0.3cm,lmargin=0.3cm 7 \textheight = utiles
595pt à LA8TE\textwidth
X, en particulier
= 360pt ce qui est
9 \marginparsep = 7pt 10 \marginparwidth = 106pt
nécessaire au fonctionnement des
11 \footskip = 27pt références croisées. Le fichier .aux
\marginparpush = 5pt (non affiché)
produit lors d’une exécution
\paperwidth de
\hoffset = 0pt
L TEX est\paperheight
A
= 597pt lu lors de
\voffset = 0pt
l’exécution sui-
= 845pt
Un besoin de place passager ? Utiliser la commande
vante ;
\enlargethispage{dimension} qui agrandit (ou rétré-
Fig. 5.2 – Paramètres de la disposition d’une page
cit !) la page de dimension
Tab. 1.4 – Les styles de page de LATEX
4.2 Le style de la page
\pagestyle{option} plain imprime le numéro de page au milieu du pied de page. C’est le
\thispagestyle{option} style par défaut.
Spécifie le style de la page à partir headings imprime le titre du chapitre courant et le numéro de page dans
de la page courante, ou de la page l’en-tête de chaque page et laisse le pied de page vide. C’est à peu
courante seulement. près le style utilisé dans ce document.
empty laisse l’en-tête et le pied de page vides.

\pagenumbering{numstyle} : spécifie le style de la numérotation de la page.


numstyle = arabic, roman, Roman, alph, Alph.
4.3 Personnalisation du style de la page et autres. . .
Il est possible de personnaliser un peu l’apparence d’une page, ou le comportement de quelques automatismes
de LATEX : la numérotation des chapitres, des sections. . ., la profondeur de la table des matières, . . .
En général, pour aller plus loin qu’un simple replâtrage, il est préférable (et plus agréable) d’utiliser des
packages dédiés :
ä fancyhdr : Extensive control of page headers and footers in LATEX2e.
ä titlesec : A package providing an interface to sectioning commands for selection from various title
styles. E.g., marginal titles and to change the font of all headings with a single command, also providing
simple one-step page styles. Also includes a package to change the page styles when there are floats in
a page. You may assign headers/footers to individual floats, too.
ä titletoc : A companion for titlesec handling toc/lof/lot entries.
Voir le livre disponible à la bibliothèque !
5 Les mathématiques et le package amsmath
5.1 Les équations en displaystyle
$$...$$ \begin{displaymath}...\end{displaymath}
Z 1
2 xdx = 1 Z 1
0 2 xdx = 1
\[...\] 0
Z 1
2 xdx = 1 \begin{equation*}...\end{equation*}
0
Z 1
2 xdx = 1
0
ä $$...$$ est la version TEX. Aucune gestion des numéros et des labels. Aucun intérêt si on veut travailler
en LATEX.
ä \[...\] = \begin{displaymath}...\end{displaymath} sont les versions équivalentes LATEX. Aucune
gestion des numéros et des labels.
Short Math Guide for L TEX, version 1.09 (2002-03-22)
A 2
ä \begin{equation*}...\end{equation*} est la version la plus aboutie.
Sa version non étoilée, \begin{equation}...\end{equation}, gère les numéros d’équation automa-
tiquement, ainsi que les labels. C’est celle qu’il faut préférer (compatibilité, passage de la version
numérotée à la version non numérotée. . .).
Règle générale : préférer les environnement venant du package amsmath plutôt que les autres,
même ceux de LATEX pur. Ils sont plus aboutis. Ainsi, préférer
\begin{align}...\end{align} à \begin{eqnarray}...\end{eqnarray}.
Table 1: Multi-line equations and equation groups (vertical lines indicating nominal mar-
gins).
\begin{equation}\label{xx}
\begin{split}
a& =b+c-d\\ a=b+c−d
& \quad +e-f\\ +e−f
(2.1)
& =g+h\\ =g+h
& =i =i
\end{split}
\end{equation}
\begin{multline}
a+b+c+d+e+f\\ a+b+c+d+e+f
+i+j+k+l+m+n +i+j+k+l+m+n (2.2)
\end{multline}
\begin{gather}
a_1=b_1+c_1\\ a1 = b1 + c1 (2.3)
a_2=b_2+c_2-d_2+e_2 a2 = b2 + c2 − d2 + e2 (2.4)
\end{gather}
\begin{align}
a_1& =b_1+c_1\\ a1 = b1 + c1 (2.5)
a_2& =b_2+c_2-d_2+e_2 a2 = b2 + c2 − d2 + e2 (2.6)
\end{align}
\begin{align}
a_{11}& =b_{11}&
a_{12}& =b_{12}\\ a11 = b11 a12 = b12 (2.7)
a_{21}& =b_{21}& a21 = b21 a22 = b22 + c22 (2.8)
a_{22}& =b_{22}+c_{22}
\end{align}
\begin{flalign*}
a_{11}& =b_{11}&
a_{12}& =b_{12}\\ a11 = b11 a12 = b12
a_{21}& =b_{21}& a21 = b21 a22 = b22 + c22
a_{22}& =b_{22}+c_{22}
\end{flalign*}
Note 1. The split environment is something of a special case. It is a subordinate environment that can
be used as the contents of an equation environment or the contents of one “line” in a multiple-equation
structure such as align or gather.

Note 2. The eqnarray and eqnarray* environments described in [Lamport] are not recommended because
5.2 Les sous-équations
Le package amsmath permet de créer des sous-équations :
\begin{equation} \label{a}
a^2 + b^2 = c^2
\end{equation} a2 + b 2 = c 2 (1)
Now we start sub-numbering. Now we start sub-numbering.
\begin{subequations} \label{b}
\begin{equation} \label{b1} d2 + e2 = f 2 (2a)
d^2 + e^2 = f^2
\end{equation} We can refer to equation (1), (2) and (2a).
We can refer\newcommand{\lightbulb}{{\usefont{U}{bulb}{m}{n}A}}
to equation~\eqref{a},
\eqref{b} and~\eqref{b1}. g 2 + h2 = i2 (2b)
\begin{equation} \label{b2}
g^2 + h^2 = i^2 Figure 6: LATEX 2This
ε style
was file (lightbulb.sty)
equation (2b).
\end{equation}
x=y+z (3a)
\end{subequations}
®
(atThis
leastwasinequation~\eqref{b2}.
versions prior to 6.0) and of being more memory-efficient
u=v+w when handled (3b) by a Po
er. See http://www.tex.ac.uk/cgi-bin/texfaq2html?label=textrace
\begin{subequations} \label{c} for(3a)
This was expression (3), consisting of parts pointers to tools
and (3b).
\begin{align}
Typex 1&=fonts from METAFONT.
y+z\label{c1}\\
u &= v+w\label{c2}
Math-mode
\end{align} spacing
This was expression~\eqref{c}, consisting of parts~\eqref{c1} and~\eqref{c2}.
ch as\end{subequations}
“binary operators”, “relations”, and “punctuation” in Section 3 primarily regard the surr
(SeeOnthenotera
Short Math
l’usage Guide
de la for LA
commande TEX [Dow00]
\eqref{label} forfaire
pour a nice exposition
référence on the subject.) To use a
à une équation.
rent5.3
purpose, you can use the TEX commands \mathord, \mathop, \mathbin, \mathrel, \ma
Les matrices
se, 5and \mathpunct.
environnements For :example,
de matrices if youbmatrix,
matrix, pmatrix, want to use \downarrow
Bmatrix, vmatrix, Vmatrix as :a variable (an “o
nstead of a delimiter, you can ∗write “$3 x  + \mathord{\downarrow}$”
to get the properly
α β∗ α β∗ α β∗ α β ∗ α β ∗
  
α β
rather than theγ ∗awkward-looking
δ γ∗ δ
“3x+
γ∗ δ
↓”. Similarly,
γ∗ δ
to create

γ
a dotted-union
δ

γ δ
symbol (“∪
e the ordinary set-union symbol (\cup) it must be defined with \mathbin, just as \cup is. C
{\cup} B$” (“A∪B”)˙ pour
et un environnement with
des “$A \mathbin{\dot{\cup}}
matrices dans le texte : ac db est obtenu ˙
B$”par(“A ∪B”). See The TEXbook [
efinitive description of math-mode spacing.
$\bigl( \begin{smallmatrix} a&b\\ c&d \end{smallmatrix} \bigr)$
urpose
5.4 ofCréer
the “log-like
un nouvel symbols”
opérateurin Tables 96 and 97 is to provide the correct amount of
mathématique
nd within multiletter function names. Tablecrée
\DeclareMathOperator*{\limperso}{lim-perso} 229une contrasts the output
macro \limperso of the
qui s’affiche log-like symb
en roman.
Utiliser cette macro dans l’entête du document.
naı̈ve alternatives. In addition to spacing, the log-like symbols also handle subscripts prope
\mathrm{lim-perso}+ $\neq$ \verb+\text{lim-perso}+ $\neq$ \verb+\limperso
“\max_{p \in P}” produces “maxp∈P ” in text, but “max” as part of a displayed formula.
p∈P
lim − person→∞ 6= lim-person→∞ 6= lim-perso
n→∞

Table 229: Spacing Around/Within Log-like Symbols

LATEX expression Output


$r \sin \theta$ r sin θ (best)
$r sin \theta$ rsinθ
$r \mbox{sin} \theta$ rsinθ
$r \mathrm{sin} \theta$ rsinθ

msmath package makes it straightforward to define new log-like symbols:


of dots across Usage:
the final \mathfrak{S}.
three columns.
5.5For
Short piece-wise
Math
Autres Guidetrucs function
foren LATvrac
EX, definitions
A B C D1.09
version there G is
E F (2002-03-22)
HI a Jcases
K L Menvironment:
NOPQRSTUVWXYZ 4
P_{r-j}=\begin{cases}
Class abcdefghijklmnopqrstuvwxyz
Description
0& \text{if
number $r-j$
Mnemonic is odd},\\ (part of speech) Examples
4. Notations
r!\,(-1)^{(r-j)/2}& \text{if $r-j$ is even}.
0 Ord version 1.09 simple/ordinary
(2002-03-22) (“noun”) !0"
A Φ∞ #10
Short Math
\end{cases} 4.1.Guide Topforand LATEX, bottom embellishments These are visually similar to accents b
1 Op prefix operator
Notice3.18.1.
the use erally span multiple
Calligraphic letters (cmsy; symbols rather
no lowercase) math.than(conjunction)
being applied to a single base symbol.
2 of \text Binand the embedded binary operator +∪∧
Usage: of reference, \widetilde and \widehat are redundantly included here and in the
Note. The plain3TEX form
\mathcal{M}. Rel \matrix{...\cr...\cr} relation/comparison
and the related(verb) commands \pmatrix,= < ⊂ \cases should be
math accents.
avoided in L TEX
A
4 (and A Open
when
B C D E F G H I J Kleft/opening
the amsmath package is loaded
LMN OP QR delimiter
they are disabled). ( [ { %
ST UVWXYZ
5\widetilde{xxx}
Close #$%&
right/closing delimiter )]}& −−→ \overrig
4.5. Math !spacing
xxx commands When the
xxx \overbrace{xxx}
amsmath package is used, all of xxx
these math
6
3.18.2. Blackboard Pun Bold letters (msbm; postfix/punctuation
no lowercase) .,;! xxx \underri
spacing commands
" \widehat{xxx}
xxx can be used both in and xxxout of math mode.
\underbrace{xxx} −−→
Usage: \mathbb{R}. %&#$ ← →selection
Note 1. 3.4.
The SPLIT
Abbrev.distinction EQUATIONS
in TEX between
Spelled out WITHclass ALIGNMENT
Example← 0 and −−an additional
Abbrev. class
Spelled 7 has to
out do only with xxx
font
Example 5\overlef
xxx \overline{xxx}
issues and is immaterial here. xxx \overleftarrow{xxx}
no ABCDEFGHIJKLMNOPQRSTUVWXYZ
space 34 no space 34 xxx
← → \underle
xxx \underline{xxx} xxx \underleftarrow{xxx}
Note 2. 3.3
\,
Symbols Split equations
\thinspace
of class Bin, notably without3
the 4 minus alignment
←−−\!
sign \negthinspace
−, are automatically coerced to class 34 0 (no space) if
they do 3.18.3.
not haveFraktur
a suitable letters (eufm)
left operand.
\:
The \medspace
environment 3is4a variation of the equation \negmedspace environment 34 used for
Usage:multline
4.2. Extensible
\mathfrak{S}. arrows \xleftarrow and \xrightarrow produce arrows tha
\;
Theequations
spacing \thickspace
that
for a don’t
few fit
symbols on 3afollows
4single tradition
line. The first
instead \negthickspace
line of of a
the general
multline 3will
4 although
rule: be at / co
automatically A B C Dto E Faccommodate
GHIJKLMNO unusually
PQRSTU wide
V W subscripts
XYZ or superscripts. These
the left
is (semantically margin\quad
speaking) and the last
ofa bclass 3 line 4
2, we at write
the right
k/2 margin,
with noexcept space for an indention
around the slashon rather
take one optional cargument
d e f3g h i j k l4m(the
n o p subscript)
q r s t u v w x y zand one mandatory argument (the sup
than k both
/ 2. Andsides \qquad
in the
compare amount
p|q p|qof(no space) with p\mid
\multlinegap. Any additional lines inspacing).
q p | q (class-3 between will
possibly
4. Notations
empty):
ForThe beproper
finer centered
controlway independently
over tomath definespacing,
a new within math
use the display
symbol
\mspace iswidth
and
n+µ−1 (unless
discussed
‘math inthe
units’.
n±i−1 LAOne
Tfleqn ε option
EX 2math font isor mu,
selection
unit,
A ← − − − −− B − − − − → C
[LFG].
is equalin
4.1. effect).
Itto is1/18
Top not and really
em. Thus
bottom possible
to gettoa give
embellishments negative aThese
useful are \quad
half visually write
synopsis similar Ttobecause
accents but
here\mspace{-9.0mu}. onegen-needs first to
erally span multiple symbols rather than being applied to a single base symbol. For ease
understand
There Like
thealso
are
of reference,
ramifications
three commands
equation, of font that
multline
\widetilde and \widehat are redundantly
has leaveonly a space
specifications. single equation
equal to the number
height
included here and in the i-1}
(thus,
and/ornone
table of
width of
\xleftarrow{n+\mu-1}\quad \xrightarrow[T]{n\pm
a givenof the
fragment
math individual
accents. of L TElines
A should be marked with \notag). The equation number
X material:
3.2. Someis placedsymbols
4.3. on
Example
Affixing
intentionally
the last line #$%&(reqno
symbols Result
to
omitted
option)
other
here
or first The
symbols
following
line−−In
(leqno
→ addition
math symbols
option);
to the vertical
standard
that
accen
are mentioned
! \widetilde{xxx}
xxx
centering inasthe for LAsplit
TEX book is
xxx not [Lamport]
\overbrace{xxx}
supported arebyintentionally
multline. xxxomitted from this discussion
\overrightarrow{xxx}
tion \phantom{XXX}
3.16), other symbolsspace can be placed
assymbols
wide and above high or xxx
below
as three a base symbol with the \over
X’s package
\underrightarrow{xxx}
because they
" \widehat{xxx}
xxx are
It’s\underset superseded
possible tocommands. by
xxx
force one of equivalent
\underbrace{xxx}
the middle lineswhen the amssymb
to \overset{*}{X}
the
−−
→left
→ or right with is loaded.
com-
\hphantom{XXX}
%&#$ For
space example,
as wide writing
as three ←
X’s;
xxx height 0 will place
\overleftrightarrow{xxx} a supersc
If youxxx
are using
\overline{xxx}
mands the amssymb\shoveright.
\shoveleft, package
← − − ∗ anyway,
xxx \overleftarrow{xxx} These thecommands
only thingxxx that
take youentire
the are likely
line to
as gain
an by
usingxxxthe ∗ above
alternate \vphantom{X}
the X, thus: X. space
See of
also width
the 0, height
description ← =
→ ofheight
\sideset of X
\underleftrightarrow{xxx}
in Section 8.4.
argument,
\underline{xxx} upname to butis not anxxx
←−− unnecessary
including theincrease
\underleftarrow{xxx} final \\;inforthe number of fonts used by your
example
document. For preferred placement of andellipsis dots (raised orarrows
on-line) in various contexts
4.6. Dots 4.4.
4.2. Extensible Matricesarrows The environments
\xleftarrow pmatrix,
\xrightarrow producebmatrix, Bmatrix,
that extend vmatrix and
there is no general
(3.10) consensus. \Box,
have (respectively)
automatically to accommodate It
( ),may
unusually {therefore
[ ],see A
},\square
wide andbe
subscripts
| |, %!%orconsidered
delimiters aThese
superscripts.built matter
in. of taste.
There
commands By ausing
is also matrix
the semantically
take onement oriented
optional argument commands
(the
sans delimiters, and an arraysubscript)see and one ♦
mandatory argument (the superscript,
B environment that can be used to obtain left al
\Diamond, \lozenge
possibly empty):
• \dotscorfor other
“dots variations
with \leadsto, in the
commas” see
column
n+µ−1 specs.
\rightsquigarrow
n±i−1 #
A ←−−−−− B −−−−→ C (4.1)
\Join, see \bowtie T "# C
• \dotsb for “dots with binary operators/relations”
\begin{pmatrix}
\xleftarrow{n+\mu-1}\quad \lhd, see \vartriangleleft
\xrightarrow[T]{n\pm i-1} $ ' (
\alpha& \beta^{*}\\
• \dotsm for “multiplication dots” D α β ∗
\unlhd, see \trianglelefteq %
4.3. Affixing \gamma^{*}&
symbols to other \delta symbols In addition to the standard accents (Sec- γ∗ δ
• \dotsi for “dots
tion 3.16), other\end{pmatrix}
\begin{multline} with integrals”
\rhd, see \vartriangleright
symbols can be placed above or below a base symbol with the \overset and &
\underset commands.
for “other∗dots”
\framebox[.65\columnwidth]{A}\\
• \dotso \unrhd,
For example,
(nonewriting see
of the \trianglerighteq
above)
\overset{*}{X} ' a superscript-size
will place
∗ aboveTo the produce
X,)thus:*X.
\framebox[.5\columnwidth]{B}\\ a See
small also matrix
the descriptionsuitable for useinin
of \sideset text,8.4.
Section there is aAsmallmatrix envi
Furthermore,
instead of \ldots there
and are many,you
\cdots, many make additional
it possible symbols
for your available
document fortoL Tbe EXthan
use above
adapted to
(e.g., a b ) that
\shoveright{\framebox[.55\columnwidth]{C}}\\ comes closer to fitting within a single text line a normal
and beyond
different the ones included
conventions The on the fly,here.
environments in case This (forlist is not intended you havetotobesubmit comprehensive.
and For a
by example) it to a publisher
4.4. Matrices c d pmatrix, bmatrix, Bmatrix, vmatrix Vmatrix
This example
have (respectively)
\framebox[.65\columnwidth]{D}( ), [ ], was
{ }, | |,produced
and % % delimiters built in. There is also a matrix environ-
much more comprehensive
who insists on following house list of tradition
symbols, including in this respect. nonmathematically
The default oriented treatment onesforsuch
the
ment sans delimiters, and an array environment that can be used to obtain left alignment
\end{multline}
as phonetic
various or kinds
otheralphabetic
follows in
variations orthedingbats,
American columnMathematical
specs.see The ComprehensiveSociety conventions: L TEX Symbols List (Pakin):
A
The value of \multlinegap can be changed with the usual LATEX commands
\begin{pmatrix}
We have
http://www.ctan.org/tex-archive/info/symbols/comprehensive/.
\setlength
the\alpha& or$A_1,A_2,\dotsc$,
series\beta^{*}\\ \addtolength. We have
' (
α β ∗the series A1 , A2 , . . . , the re-
the regional \gamma^{*}& \delta
sum $A_1+A_2+\dotsb$, gional γ ∗sum δ A + A + · · · , the orthogonal
3.3. 3.4 \end{pmatrix}
Latin Split equations
letters and Arabic withnumerals alignment The Latin letters 1
are simple
2
symbols, class 0.
the orthogonal product $A_1A_2\dotsm$, product A1 A2 · · · , and the infinite inte-
The
and default
Like font afor
To infinite
produce smallthemthe
matrix in mathenvironment
suitable formulas
for use in text, is isitalic.
forgral
there single equationsenvironment
is a smallmatrix that are too long
the )multline,
* integral split
a b ) that comes closer to fitting within a single text line than a !normal ! matrix.
(e.g.,
to fit on c d one line and hence must beMsplit into multiple lines. Unlike
\[\int_{A_1}\int_{A_2}\dotsi\].
A B C
This example was produced by
D E F G H I J K L N O P Q R S T U V W X Y Z multline,
however, the split ···.
a benvironment
c d e f g h i j kprovides l m n o pfor q r salignment
t u v w x y amongz A Athe split lines,
arate the columns:

(3.12) x=y X=Y a=b+c


(3.13) x! = y ! X! = Y ! a! = b
(3.14) x + x! = y + y ! X + X! = Y + Y ! a! b = c! b

\begin{align}
x&=y 3.11. EQUATION
& X&=Y NUMBERING & a&=b+c\\ 9
8x’&=y’ & X’&=Y’ & a’&=b\\ 3. DISPLAYED EQUATIONS

x+x’&=y+y’ & X+X’&=Y+Y’


finer control: [1] means& allow
a’b&=c’b
page breaks, but avoid them as much as possi-
Like the array
\end{align} environment, these -ed variants
ble; values of 2,3,4 mean increasing also take an When
permissiveness. optional [t] or
display breaks are
20 argument
[b] enabled to with
specify vertical positioning. the \\*
\allowdisplaybreaks, command can be
8. COMMUTATIVE used to prohibit
DIAGRAMS
Line-by-line
“Cases” annotations
constructions on
like an
the equation
following
a pagebreak after a given line, as usual. can
are be
common done inby judicious
mathematics: application of
7.3 Placement Note: of Certain ! equation
subscripts environments wrap their contents in an
and limits
unbreakable 0 if r − j is odd,
(3.21)
The default Pr−j box,
= with the consequence that neither \displaybreak
nor \allowdisplaybreaks will have any effectsymbol
positioning for subscripts
r! (−1) depends
(r−j)/2
if ron− the
j is base
even. on them. involved.
TheseTheinclude
default split,
for sum-class
aligned, symbols
gathered,is ‘displaylimits’
and alignedat. positioning: When a sum-class
symbol
and in theappears
amsmath in apackage
displayed there formula,
is a cases subscript and superscript
environment to makeare themplaced
easyin
write: 3.10
to‘limits’ positionInterrupting
above and below, a display
but in an inline formula, they are placed to
the side,Theto avoid
command unsightly and wasteful
\intertext is usedspreading
for a shortof theinterjection
surroundingoftext one lines.
or two lines
P_{r-j}=\begin{cases}
The default for integral-class symbols is to have sub- and superscripts always to \text
0& of\text{if
text in the $r-j$middle of a multiple-line display structure (see also the
is odd},\\
the side,command
even in displayed
in §6). Its formulas.
salient (Seefeaturethe discussion of theofintlimits and which
r!\,(-1)^{(r-j)/2}& \text{if $r-j$ isispreservation
even}. the alignment,
related would
optionsnot in happen
Section if 2.)you simply ended the display and then started it up again
\end{cases}
Operator names such
afterwards. as sin ormay
\intertext lim mayonly have
appear eitherright‘displaylimits’
after a \\ or or \\*
‘limits’
command.
Notice the
positioning use of \text
depending (cf.
on §6)
how and
they the
were nested
defined. math The formulas.
standard operator names
Notice the position of the word “and” in this example.
are defined
3.8 Adjusting according to normal mathematical usage.
tag placement
(3.22)
The commands \limits and \nolimits A1 = N0 (λ;can Ω! )be φ(λ; Ω
− used to),override the normal
!

Placing
behavior equation
(3.23)
of a base numbers
symbol: can be a ratherA2 = φ(λ; complexΩ! ) − problem
φ(λ; Ω),in multiline displays.
The environments of the amsmath package try hard to avoid overprinting an
equation and number on the equation ! ""
contents, if necessary moving the number
down or up to a separate line. X , ,
Difficulties in accurately limn→∞ calculating the profile of
an equation (3.24)
can occasionally result in = N (λ;movement
A3number
A ω). that doesn’t look right.
There is a \raisetag command provided to adjust the vertical position of the
To define \begin{align}
a command whose
current equation number, if it subscripts
has been shifted follow the away samefrom ‘displaylimits’ behavior
its normal position.
as move A_1&=N_0(\lambda;\Omega’)-\phi(\lambda;\Omega’),\\
\sum,aput \displaylimits at by
thesixtailpoints,
end ofwrite the definition. When multiple
To particular number up \raisetag{6pt}. This
instances A_2&=\phi(\lambda;\Omega’)-\phi(\lambda;\Omega),\\
of \limits, \nolimits, or \displaylimits occur consecutively, the
kind of adjustment is fine tuning like line breaks and page breaks, and should
\intertext{and}
last one betakes
therefore leftprecedence.
undone until your document is nearly finalized, or you may end
A_3&=\mathcal{N}(\lambda;\omega).
up redoing the fine tuning several times to keep up with changing document
\end{align}
7.4 Multiple integral signs
contents.
\iint, 3.11 Equation
\iiint,spacingand \iiiint numbering
give multiple integral signs displays
with the spacing be-
3.9 Vertical and page breaks in multiline
tween them3.11.1 nicely adjusted, inhierarchy
Numbering both text and display style. \idotsint is an
You can
extension use the \\["dimension#] command to get extra
with vertical spacethem.
be-
In of
LATthe
E Xsameif youidea that gives
wanted to havetwo equations
integral signs
numbered dots
withinbetween
sections—that is,
tween lines in all the amsmath displayed equation environments, as is usual
have equation numbers (1.1), (1.2),
" " amsmath . . . , (2.1), (2.2), . . . , in sections 1, 2, and so
in LATEX. When the package"is" "in use page breaks between equa-
(7.2) forth—you could f (x, redefine
y) dx dy \theequation f (x, asz)
y, suggested
dx dy dz in the LATEX manual [7,
tion lines are normally disallowed; the philosophy is that page breaks in such
§6.3, §C.8.4]:
material should receive A individual attention A from the author. To get an in-
""""
\renewcommand{\theequation}{\thesection.\arabic{equation}} " "
dividual page break inside a particular displayed equation, a \displaybreak
(7.3) f (w,pretty
x, y, z)well,
dw dxexceptdy dz that the f (x1 , .counter
· · ·equation . . , xk ) won’t be reset to
command is This works
provided. \displaybreak is best placed immediately before the
zero at the beginning of a new section
\\ where it is to take effect. Like L TEX’s \pagebreak, \displaybreak
A A or chapter,
A unless you do it takes
yourself using
an optional argument between
\setcounter. To make0this anda 4little more convenient,
denoting the desirability the amsmath
of the page-package pro-
Conseil : lire au vides
moinsa une fois dans sa
command \numberwithin. vie la documentation
To have equation de amsmath.
numberingIl y a d’autres macros
tied to section
break. \displaybreak[0] means “it is permissible to break here” without
très utiles. . .
—8—numbering,
encouraging a break; with automatic reset
\displaybreak with of nothe equation
optional counter,
argument is write
the same as
6 Divers
6.1 L’environnement tabbing
\begin{tabbing}
Du texte qu’on souhaite aligner sur 1
\= puis sur le chiffre qui suit 1 c-à-d 2
\= puis la suite de la ligne\dots\\
\> aligné \> et hop \\
\> comme un beau tableau \> sans bord
\end{tabbing}
Du texte qu’on souhaite aligner sur 1 puis sur le chiffre qui suit 1 c-à-d 2 puis la suite de la ligne. . .
aligné et hop
comme un beau tableau sans bord

6.2 Les packages exscale et relsize


\usepackage{exscale, relsize}
{\Large Voici du texte en grand {\relsize{-2}et en plus petit} à l’intérieur\dots}
\begin{equation*}
\mathsmaller \sum_{i=1}^n \neq \sum_{i=1}^n \neq \mathlarger\sum_{i=1}^n
\end{equation*}
Voici du texte en grand et en plus petit à l’intérieur. . .
n n
Pn X X
i=1 6= 6=
i=1 i=1

6.3 Le package hyperref


Le package hyperref permet de créer des hyperliens dans des documents pdf : hyperliens externes (sites
internet), hyperliens internes (saut vers une page du même document).
Exemple : Ce lien porte sur le modèle de fichier source
La table des matières, les labels et leurs références, la bibliographie créent automatiquement des hyperliens
internes au document.
Le package hyperref permet aussi d’inclure des métadonnées pdf, consultables dans le menu « Fichier
ÙPropriétés du document » dans Acrobat Reader.
% renseignements pour le fichier pdf
\hypersetup{
plainpages=false, colorlinks=true,
linkcolor=blue, urlcolor=red,
anchorcolor=grey, citecolor=black,
menucolor=black, bookmarks=true,
bookmarksopen=true, bookmarksnumbered=true,
pdftitle={Un cours sur Latex}, pdfauthor={Thierry Masson},
pdfsubject={latex}, pdfkeywords={tex, latex, packages},
pdfcreator={LaTeX}, pdfproducer={pdfLaTeX}}
La table des matières présentée par Acrobat Reader déteste les formules de mathématiques. . . Mais elle
récupère ses informations des arguments de \chapter, \section, \subsection. . . et parfois on y place des
symboles mathématiques.
Utiliser alors la macro suivante dans ces arguments :
\texorpdfstring{Texte pour TeX}{Texte pour Acrobat Reader}
Exemple :
\section{\texorpdfstring{$a=b$}{a=b}}
6.4 Le package soul
\usepackage{soul, color}
Maître \st{Corbeau}, sur un arbre perché,
Tenait en son bec un \ul{fromage}.
Maître \hl{Renard}, par l’\so{odeur all\’ech\’e},
Lui tint à peu près ce langage :
\og Hé ! bonjour, Monsieur du \st{Corbeau}.
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !\dots
Maître Corbeau, sur un arbre perché, Tenait en son bec un fromage. Maître Renard,
par l’o d e u r a l l é c h é, Lui tint à peu près ce langage : « Hé ! bonjour, Monsieur
du Corbeau. Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !. . .
6.5 Le problème des flottants
Un flottant, c’est un « gros truc » qui gène la mise en page : figure, tableau,. . . Alors LATEX essaie de traiter
le problème lui-même, en positionnant ce truc « au mieux ». Au mieux pour lui n’est pas nécessairement au
mieux pour celui qui rédige !
Il existe des packages pour mieux gérer le positionnement des flottants. Mais ils ne sont pas nécessairement
très efficaces !

\usepackage{float} :

Improves the interface for defining floating objects such as figures and tables.
Introduces the boxed float, the ruled float and the plaintop float. You can
define your own floats and improve the behaviour of the old ones.
The package also provides the H float modifier option of the obso-
lete here package. You can select this as automatic default with
\floatplacement{figure}{H}.

6.6 Le package fancybox


\usepackage{fancybox}
Une première boîte
\shadowbox{\large\bf Une première boîte}

\doublebox{\large\bf Une seconde boîte} Une seconde boîte


 
\ovalbox{\large\bf Une troisième boîte} Une troisième boîte 
 
\Ovalbox{\large\bf Une quatrième boîte} Une quatrième boîte
 
6.7 Le package empheq
\usepackage{empheq}
\begin{empheq}[box=\shadowbox*]{align*} E = mc2
E&=mc^2 \\ ∞
Y&= \sum_{n=1}^\infty \frac{1}{n^2} Ù Y =
X 1
n2
\end{empheq} n=1

\definecolor{myblue}{rgb}{.8, .8, 1}
\newcommand*\mybluebox[1]{%
\colorbox{myblue}{\hspace{1em}#1\hspace{1em}}}
a=b (4)
\begin{empheq}[box=\mybluebox]{gather} Ù Z a
a&=b\\ 2
E = mc + x dx (5)
E&=mc^2 + \int_a^a x\, dx a

\end{empheq}
Table 178: bbding Pencils and Nibs
6.8 Le package pifont
\usepackage{pifont} \NibLeft \PencilLeft \PencilRightDown
\NibRight \PencilLeftDown \PencilRightUp
L’utilisation du package pifont permet d’accéder à des symboles divers :
\NibSolidLeft \PencilLeftUp
\ding{217} \ding{34} \ding{188} \ding{52} \ding{80} \ding{114} \ding{40}
\NibSolidRight \PencilRight
donne
Ù"¼4Pr(
Là je superpose deux symboles : q 7 Ù Pratique pour les formulaires non ?
Table 179: pifont Pencils and Nibs
Il permet aussi !
de créer des listes
\ding{46} " en puisant dans
\ding{47} On peut$utiliser
# \ding{48} les caractères
\ding{49} de numérotation :
% \ding{50}
ces symboles : À le premier item de ma liste
+ le premier item de ma liste Á le second item de ma liste
+ le second item de ma liste Table 180: dingbat
 Hands
le troisième item de ma liste
+ le troisième item de ma liste
\leftpointright Ê le premier item
\rightpointleft de ma liste
\rightpointright
r le premier item de \leftthumbsdown
ma liste \rightthumbsdown
Ë le second item de ma liste
\leftthumbsup
r le second item de ma liste Table 178:\rightthumbsup
bbding Pencils and Nibs
Ì le troisième item de ma liste
r le troisième item de \NibLeft
ma liste \PencilLeft \PencilRightDown
\NibRight \PencilLeftDown \PencilRightUp
On peut remplir une ligne\NibSolidLeft
de texte avec un symbole particulier
\PencilLeftUp
:
] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ] Table
\NibSolidRight ]181:] bbding
] ]\PencilRight] ] Hands
] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ] ]
\HandCuffLeft
ou mieux, découper selon les ciseaux. . . \HandCuffRightUp \HandPencilLeft
! ! ! ! ! ! ! ! ! \HandCuffLeftUp
! ! ! ! ! ! ! ! \HandLeft !!!!!!!!! \HandRight
!!!!!!!!!!!!
Table 186: pifont Xs and Check Marks
\HandCuffRight \HandLeftUp \HandRightUp
! \ding{51}
Table 179:" pifont
\ding{53} # Nibs
Pencils and \ding{55}
$ \ding{52} % \ding{54} & \ding{56}
! \ding{46} " \ding{47} # \ding{48} $ \ding{49} % \ding{50}
Table 182: pifont Hands
5 Dingbats
& \ding{42} Table ' 187:\ding{43}
wasysym Xs ( and\ding{44}
Check Marks ) \ding{45}
Table 180: dingbat Hands
Dingbats are symbols such as Table
" stars,
! 186: pifont
\CheckedBox
arrows, and ! Xs \Square
and Check
geometric shapes.#Marks
\XBox
They are commonly used as bullets in
itemized lists or, more generally,
! as
\leftpointright a means to "
\ding{51} draw attention to #the \ding{55}
\rightpointleft
\ding{53} text that follows.
\rightpointright
The pifont dingbat package $
\leftthumbsdownwarrants
\ding{52}
Table special
183: % mention.
bbding\ding{54}Among
Crosses
\rightthumbsdown and & other
Plussescapabilities,
\ding{56} pifont provides a LATEX
interface to the Zapf Dingbats font (one of the standard 35 PostScript fonts). However, rather than name each
\leftthumbsup Table 188: \rightthumbsup
Circled
\Cross
of the dingbats individually, pifont merely provides\CrossOpenShadow
a single
pifont \dingNumbers
command, \PlusOutline
which outputs the character that
lies at a given position
' \ding{172} ( \ding{182} ) \ding{192} * can’t
in the font.
\CrossBoldOutline The consequence is that
\CrossOutline the pifont symbols be listed by name in this
\PlusThinCenterOpen
\ding{202}
document’s index,+ so be mindful
\CrossClowerTips of that
Table fact
187: when
\Plus searching
wasysym Xs and
\ding{173} , \ding{183} - \ding{193} . \ding{203}for a
Checkparticular
Marks symbol.
/\CrossMaltese
\ding{174} 0 \ding{184}\PlusCenterOpen
1 \ding{194} 2 \ding{204}
" \CheckedBox
! Table 181: ! bbding Hands# \XBox
\Square
3 \ding{175} 4 \ding{185} 5 \ding{195} 6 \ding{205}
\ding{176} 8 Table
7 \HandCuffLeft 172: bbding
\ding{186} Arrows
9 \ding{196}
\HandCuffRightUp : \ding{206}
\HandPencilLeft
; \ding{177}
\HandCuffLeftUp
\ArrowBoldDownRight < \ding{187}
\HandLeft = \ding{197}
\ArrowBoldRightShort > \ding{207}
\HandRight
\ArrowBoldUpRight
? \HandCuffRight
\ding{178} Table @ 184:
\ding{188}
pifont Crosses
A
Table 188:\ArrowBoldRightStrobe and Plusses
\ding{198} B
pifont Circled Numbers \HandRightUp
\HandLeftUp \ding{208}
\ArrowBoldRightCircled
C \ding{179} D \ding{189} E \ding{199} F \ding{209}
' * \ding{57} Table + \ding{59} , \ding{61}
194: bbding Geometric Shapes - * \ding{63}
\ding{180} (
G \ding{172} H \ding{182}
\ding{190} )
I \ding{192}
\ding{200} J \ding{202}
\ding{210}
+ . \ding{58}
\ding{173} , / \ding{60}
\ding{183} 0
- \ding{62}
\ding{193} 1 . \ding{64}
\ding{203}
K
\CircleShadow \ding{181} L \ding{191}
\Rectangle M \ding{201} N \ding{211}
\SquareShadowTopLeft
/ \ding{174} 0 \ding{184} 1 \ding{194} 2 \ding{204}
\CircleSolid
3 (part
\ding{175} 4\RectangleBold
Table
\ding{185}182: pifont
Table 173: pifont Hands
5 aArrows
\ding{195} \SquareShadowTopRight
6 environment
\ding{205}which
pifont of the psnfss package) provides dingautolist
\DiamondSolid
7
resembles\ding{176}
enumerate 8\RectangleThin
but \ding{186}
uses circled 9
numbers \ding{196}
as bullets. 2 : \SquareSolid
See \ding{206}
the psnfss docu-
! \ding{212} " \ding{221}
& \ding{42} # \ding{230}
' \ding{43} ( \ding{44} $ \ding{239}
) \ding{45} % \ding{249}
& \Ellipse ; \ding{177}
mentation
\ding{213} for
' more 185: (bbding
<\Square
Table \ding{187}
information.
\ding{222} Xs=and\ding{197}
\ding{231} Check) Marks > \TriangleDown
\ding{241} \ding{207}
* \ding{250}
? \ding{178}
+ \EllipseShadow
\ding{214} , @\SquareCastShadowBottomRight
\ding{223} \ding{188}
- \ding{232} A \ding{198}. \ding{242} B \TriangleUp
\ding{208}
/ \ding{251}
\Checkmark \XSolid \XSolidBrush
C \ding{179}
0 \EllipseSolid
\ding{215} 1 \ding{224} D\SquareCastShadowTopLeft
\ding{189}
2 \ding{233} E \ding{199}3 \ding{243} F \ding{209}4 \ding{252}
G \ding{180}\CheckmarkBold \XSolidBold
H\SquareCastShadowTopRight
\ding{190} I \ding{200} J \ding{210}
5 \HalfCircleLeft
\ding{216} 6 \ding{225} 7 \ding{234}
Table 183: bbding Crosses and Plusses 8 \ding{244} 9 \ding{253}
K \ding{181}
: \HalfCircleRight
\ding{217} ; \ding{226} Table
L \ding{191}< 189: wasysym
\ding{235} Stars
M \ding{201}= N \ding{211}
\ding{245} > \ding{254}
\SquareShadowBottomRight
? \ding{218} \Cross @$ \ding{227} A 52
\CrossOpenShadow
\ding{236}
\davidsstar % \hexstar & \varhexstar B \PlusOutline
\ding{246}
pifont
C \ding{219} (partDof the
\CrossBoldOutline psnfss package)
\ding{228} provides
\CrossOutline
E \ding{237} a dingautolist environment which
\PlusThinCenterOpen
F \ding{247}
resembles
G \ding{220} enumerate
H
\CrossClowerTips but
\ding{229} uses circled
I
\Plus numbers
\ding{238} as Jbullets. 2
See
\ding{248} the psnfss docu-
mentation for
\CrossMaltese more information. \PlusCenterOpen
Table 190: Table 195:Stars,
bbding Geometric
pifontFlowers, andShapes
Similar Shapes
! \ding{108} " \ding{111} # \ding{114} $ \ding{117} % \ding{121}
\Asterisk \FiveFlowerPetal
Table 174: marvosym Scissors \JackStar
& \ding{109} ' \ding{112} Table (189:\ding{115} )
wasysym Stars \ding{119} * \ding{122}
\AsteriskBold \FiveStar \JackStarBold
Table 184:
+ \ding{110} s, \Cutleft
\ding{113}q - CrossesSand\Leftscissors
\ding{116}
pifont
\Cutright .Plusses
\ding{120}
$ \davidsstar
\AsteriskCenterOpen % \hexstar & \varhexstar
\FiveStarCenterOpen \SixFlowerAlternate
* r \Cutline
\ding{57} + R \Kutline, \ding{61}
\ding{59} Q \Rightscissors
- \ding{63}
\AsteriskRoundedEnds \FiveStarConvex \SixFlowerAltPetal
. \ding{58} / \ding{60} 0 \ding{62} 1 \ding{64}
6.9 Les couleurs
\usepackage{color}
ä \definecolor{nom}{modele}{specification} définit une couleur dont le nom est nom, en utilisant
un modèle parmi modele = rgb, cmyk, gray, named. La spécification dépend du modèle.
ä \color{nom} utilise la couleur nommée, pour le texte qui suit.
\textcolor{nom}{texte}, équivalent de {\color{nom}texte}.
ä \colorbox{nom}{texte} et \fcolorbox{nom}{texte} créent une boîte de couleur avec le texte spé-
cifié.
ä \pagecolor{nom} met le fond de la page dans le couleur nom.
\definecolor{macouleur1}{rgb}{0.2, 0.5, 0.8}
\definecolor{macouleur2}{cmyk}{0.2, 0.5, 0.8, 0.3}
\definecolor{macouleur3}{gray}{0.9}
\textcolor{macouleur1}{Texte dans la couleur \texttt{macouleur1}}
\colorbox{macouleur2}{Une boîte dans la couleur \texttt{macouleur2}}
\pagecolor{macouleur3}

\textcolor{red}{Texte dans la couleur \texttt{red}}


\colorbox{yellow}{\color{blue}Du texte en \texttt{blue}
dans une boîte en \texttt{yellow}}
Texte dans la couleur macouleur1 Une boîte dans la couleur macouleur2
Texte dans la couleur red Du texte en blue dans une boîte en yellow
(\pagecolor{white})
\usepackage{colortbl}, ou comment colorer des tableaux. . .
\begin{tabular}{>{\columncolor{blue}\color{white}\bfseries}lr} Jour Nombre
\rowcolor[gray]{0.8} Lundi 10
\color{black} Jour & \bfseries Nombre \\[2pt] Mardi 15
Lundi & 10 \\ Mardi & 15 \\ Mercredi 2
Mercredi & 2 \\ Jeudi & 35 \\ Ù Jeudi 35
Vendredi & 7 \\ Samedi & 22 \\ Vendredi 7
Dimanche & 17 \\ Samedi 22
\cellcolor[gray]{0.8}\color{black}Total & 108 Dimanche 17
\end{tabular} Total 108
\setlength\arrayrulewidth{2pt}\arrayrulecolor{blue}
\setlength\doublerulesep{2pt}\doublerulesepcolor{yellow}
\begin{tabular}{||l||c||}
\hline\hline one two
one&two\\ Ù three four
three&four\\
\hline\hline
\end{tabular}
6.10 Quelques packages en vrac
ä array et tabularx : extension des fonctionnalités de l’environnement tabular de LATEX.
ä longtable : gestion des tableaux qui dépassent une page. Utile par exemple dans les projets ANR !
ä lscape : permet de passer en mode landscape pour quelques pages dans un document portrait. Utile
par exemple pour des tableaux larges.
ä enumitem : permet de personnaliser les environnements enumerate, itemize et description.
ä showlabels : permet de placer le nom des labels dans la marge, et ainsi y faire référence plus facilement
dans une phase préliminaire d’écriture.
ä bezos : extensions des accents en mode mathématique, écriture des tenseurs plus facile.
ä ifthen : syntaxe pour gérer des condition if...then...else, case, whiledo.
ä calc : syntaxe pour mener des calculs sur les compteurs et les dimensions.
ä ntheorem : extension de l’environnement theorem de LATEX.
ä eurosym : donne accès à un caractère euro plus joli que celui de textcomp.
\euro : e (rappelez-vous de € !).
ä xy : permet de créer des diagrammes très compliqués, mais la syntaxe est elle aussi très compliquée !
ä hhline : meilleure gestion des barres horizontales dans les tableaux.
ä titling : meilleur contrôle de l’apparence de \maketitle.
ä pdfpages : permet d’insérer dans un document latex des pages d’un document pdf externe.
ä bundledoc : permet de créer une archive contenant TOUS les fichiers utiles à la compilation de votre
document (.sty, .cls, .fd, images,. . .).
7 Créer des macros et des environnements
7.1 Les commandes
Il est possible de définir des macros très complexes. Dans LATEX, utiliser les macros suivantes pour en définir
de nouvelles :
ä \newcommand{\macommandenouvelle}{ce qu’elle doit faire} : dès qu’on place
\macommandenouvelle dans le fichier source, LATEX le remplace par « ce qu’elle doit faire ».
ä \newcommand{\macommandeavecargument}[1]{ce qu’elle fait avec #1 ? Nul ne le sait !} :
\macommandeavecargument{mon texte} donne « ce qu’elle fait avec mon texte ? Nul ne le sait ! ».
ä \renewcommand{\unecommandequiexistedéjà}{ce qu’elle doit faire} : pareil que ci-dessus, mais
pour une macro qui existe déjà et qu’on souhaite redéfinir.
Pour définir des environnements nouveaux :
ä \newenvironment{nom}[nombre]{avant}{après} : crée une nouvel environnement appelé nom, qui ad-
met nombre arguments. avant et après sont les commandes exécutée à l’ouverture de l’environnement
et à la fermeture. Nombre est compris entre 1 et 9.
ä \renewenvironment{nom}[nombre]{avant}{après} : modifie un environnement déjà existant.
ä \newenvironment{nom}[nombre][option]{avant}{après} : idem que ci-dessus, mais cette fois le
premier argument est optionnel, et il est remplacé par option s’il n’est pas présent lors de l’utilisation
de cet environnement. . .
7.2 Exemples
7.2.1 Jouons avec itemize
L’item d’une liste de type itemize est obtenu par la macro \labelitemi.
Ainsi, \renewcommand{\labelitemi}{\ding{109}} redéfinit l’item en « m ».
m Et maintenant, on peut essayer, et on obtient une étoile comme voulu. . .
On peut emboîter jusqu’à 4 environnements de type liste (itemize, enumerate, description).
Les 3 autres macros sont : \labelitemii, \labelitemiii, \labelitemiv.
– Seconde liste
– Troisième liste
– Quatrième liste.
Je change les items : \renewcommand{\labelitemiv}{\ding{110}} « n »
n Et voici l’item iv.
Retour dans la troisième liste.
\renewcommand{\labelitemiii}{\ding{115}} « s »
s Et voici l’item iii.
Retour dans la seconde liste.
\renewcommand{\labelitemii}{\ding{117}} « u »
u Et voici l’item ii.
m Et voici l’item i qui revient. On replace des itemize emboîtés, et là surprise !
– Seconde liste
– Troisième liste
– Quatrième liste.
m On a perdu nos définitions !
7.2.2 La portée d’une définition
La portée d’une définition est bloquée par ce qu’on appelle un groupe : {...} ou un environnement.
Il en est de même par exemple pour des changements d’aspect des polices : {\bfseries ...} a sa portée
limitée aux accolades.
m Je viens d’entrer dans un environnement itemize.
Je place maintenant \bfseries ici (sans accolades) : le texte qui suit est en gras.
m et ici aussi, car le groupe local est \begin{itemize}...\end{itemize} (celui de m).
– Une seconde liste emboîtée est aussi touchée. . .
Ici je suis hors de itemize, et je ne suis pas affecté par \bfseries.
Pour rendre une définition globale, il faut la placer hors d’un groupe.
7.2.3 Jouons en mode mathématique
On souhaite créer une macro qui donne a2 + b2 . On peut poser
\newcommand{\hypothenuse}{$a^{2}+b^{2}$}. Ça fonctionne très bien. . . sauf si je suis déjà en mode
mathématique !
Alors utilisons \newcommand{\hypothenuse}{a^{2}+b^{2}}. . . Ça fonctionne bien sauf si on est sorti du
mode mathématique !
Comment résoudre ce problème ? En utilisant \ensuremath :
\newcommand{\hypothenuse}{\ensuremath{a^{2}+b^{2}}} fonctionne partout :
L’hypothénuse est \hypothenuse,
en math c’est $\hypothenuse$. Ù L’hypothénuse est a2 + b2, en math c’est a2 + b2.
7.2.4 Un environnement pour mettre du texte en retrait
\newenvironment{texteenretrait}{\par\medskip\leftskip=50pt\rightskip=60pt plus 10em}%
{\par\medskip}

\begin{texteenretrait}
Il y a aujourd’hui ...
\end{texteenretrait}
Il y a aujourd’hui trois cent quarante-huit ans six mois et dix-neuf jours que les
parisiens s’éveillèrent au bruit de toutes les cloches sonnant à grande volée dans la
triple enceinte de la Cité, de l’Université et de la Ville.
\newenvironment{texteenretrait2}[1][\mdseries]%
{\par\medskip\leftskip=50pt\rightskip=60pt plus 10em #1}{\par\medskip}

\begin{texteenretrait2}[\bfseries]
Il y a aujourd’hui ...
\end{texteenretrait2}
\begin{texteenretrait2}
Il y a aujourd’hui ...
\end{texteenretrait2}
Il y a aujourd’hui trois cent quarante-huit ans six mois et dix-neuf jours que
les parisiens s’éveillèrent au bruit de toutes les cloches sonnant à grande
volée dans la triple enceinte de la Cité, de l’Université et de la Ville.

Il y a aujourd’hui trois cent quarante-huit ans six mois et dix-neuf jours que les parisiens
s’éveillèrent au bruit de toutes les cloches sonnant à grande volée dans la triple enceinte
de la Cité, de l’Université et de la Ville.
8 Les compteurs
8.1 Liste des compteurs
Les compteurs usuels de LATEX :

part paragraph figure enumi


chapter subparagraph table enumii
section page footnote enumiii
subsection equation mpfootnote enumiv
subsubsection tocdepth

Bien sûr, chaque package peut définir son propre compteur, donc cette liste est très minimale.
On peut personnaliser leur valeur : \setcounter{equation}{12} met le compteur d’équation à 12...
On peut changer la façon dont ils apparaissent : LATEX utilise pour chaque compteur une commande
"\the..." qui affiche le contenu du compteur. C’est cette commande qu’il faut redéfinir.

Ici, nous en sommes à la page 22 (la page \thepage), dans la section 8 (section \thesection), sous-
section 8.1 (sous-section \thesubsection). Le compteur d’équation en est à 5.

Avec les commandes qui vont suivre, on peut changer l’apparence des compteurs, par exemple le compteur
enumi utilisé par les listes enumerate :
α. premier
β. second
γ. troisième
8.2 Commandes pour manipuler les compteurs
8.2.1 Commandes pour manipuler directement les compteurs :
ä \addtocounter : ajoute une certaine valeur à un compteur :
\addtocounter{counter}{value}
ä \newcounter : créé un nouveau compteur. En option, un compteur déjà existant. Lorsque oldcounter
est incrémenté, newcounter est remis à 0 :
\newcounter{newname}[oldcounter]
\numberwithin{equation}{section} permet de remettre à 0 le compteur equation lorsque le comp-
teur section est incrémenté (fonctionnalité de amsmath).
ä \setcounter : met un compteur à une certaine valeur :
\setcounter{counter}{value}
ä \usecounter : utilisé dans l’environnement list, c’est le compteur utilisé pour les item :
\usecounter{counter}
ä \value : retourne la valeur du compteur, en tant qu’entier. Peut servir là où LATEX attend un entier :
\value{counter}
Par exemple : \hspace{\value{moncompteur}\parindent}

8.2.2 Commande qui retourne la valeur du compteur dans différents formats :


ä \arabic : chiffres arabes, 1,2,3,... \arabic{counter}
ä \alph, \Alph : lettres (Capitales) a,b,c,... ou A,B,C,... \alph{counter}
ä \roman, \Roman : en chiffre romain, petit ou grand i,ii,iii,iv,... I,II,III,IV,... \roman{counter}
ä \fnsymbol : symboles des footnotes. 9 symboles qui se suivent : asterisk, dagger, double dagger, section
mark, paragraph mark, double vertical lines, double asterisks, double daggers, double double daggers.
Par exemple : 8 (\arabic{section}), h (\alph{section}), viii (\roman{section}), †† (\fnsymbol{section}).
8.3 Exemples
8.3.1 Les équations et les sections

a=b (6)
\renewcommand{\theequation}{\Alph{equation}} : maintenant les équations sont numérotées avec des
lettres capitales :
E = mc2 (G)
\setcounter{equation}{12} et \renewcommand{\theequation}{\roman{equation}} met le compteur
d’équation à 12 en chiffre romain, ce qui donne ici :

0 6= 1 (xiii)

Tiens, ça donne 13 ! Normal, le compteur est incrémenté d’une unité AVANT d’être utilisé. . .
On peut utiliser plusieurs compteurs :
\renewcommand{\theequation}{\thesubsection---\alph{equation}} donne

c=d (8.3—n)

\renewcommand{\thesubsection}{\thesection-\roman{subsection}}

sin(0) = 0 (8-iii—o)

Et pourquoi pas \renewcommand{\theequation}{page \thepage, \Roman{equation}} ?

sin(π/2) = 1 (page 23, XVI)

L’équation (page 23, XVI) est bizarrement numérotée, alors que la (xiii) est plus normale. . .
\renewcommand{\thesubsubsection}{\thesubsection.\alph{subsubsection}}

8-iii.b Les notes de bas de page


Ceci est un renvoi à une note de bas de page1 .
Ceci est un autre renvoi à une note de bas de page2 .

\renewcommand{\thefootnote}{\fnsymbol{footnote}}.
Ceci est un renvoi à une note de bas de page‡ .
Ceci est un autre renvoi à une note de bas de page§ .

\renewcommand{\thefootnote}{\Alph{footnote}}.
Ceci est un renvoi à une note de bas de pageE .
Ceci est un autre renvoi à une note de bas de pageF .

\renewcommand{\thefootnote}{\engrec{footnote}}
Ceci est un renvoi à une note de bas de pageη .
Ceci est un autre renvoi à une note de bas de pageθ .

8-iii.c La profondeur de la table des matières


\setcounter{tocdepth}{2} limite la table des matières au niveau 2, le niveau des sections
part = −1, chapter = 0, section = 1, subsection = 2, subsubsection = 3, paragraph = 4.

\tableofcontents ne présente que les sections.


1
On fait référence à cette note grâce à un numéro
2
On fait référence à cette note grâce à un numéro

On fait référence à cette note grâce à un symbole
§
On fait référence à cette note grâce à un symbole
E
On fait référence à cette note grâce à une lettre capitale
F
On fait référence à cette note grâce à une lettre capitale
η
Il m’a fallu créer une macro pour obtenir ce résultat. Cette macro m’a été demandée par Fabien.
θ
Idem
Table des matières
1 Généralités sur TEX et LATEX 1

2 Les packages usuels d’un fichier source 3

3 Changement d’aspect des fontes 7

4 Une page LATEX 10

5 Les mathématiques et le package amsmath 11

6 Divers 15

7 Créer des macros et des environnements 20

8 Les compteurs 22

9 Les boîtes et les dimensions 25

10 Personnalisation grâce à titlesec et titletoc 28

11 Le package graphicx et les inclusions d’images 30

12 Des outils externes 35

13 Documentation 36
9 Les boîtes et les dimensions
9-i La mise en boîtes
Qu’est-ce que TEX au fond ? Un manipulateur de boîtes ! Lettres, symboles, mots, lignes, paragraphes, . . .
sont des boîtes.
Il est possible de créer et manipuler des boîtes soi-même.
Comprendre qu’une boîte a des attributs de dimension : largeur (\width, la largeur au sens ordinaire),
hauteur (\height, la hauteur au dessus de la ligne de texte) et profondeur (\depth : ce qui est sous la ligne
de texte). On a accès à la hauteur totale : \totalheight = \height + \depth.
9-ii Manipuler des dimensions
Personnalisation de LATEX
TEX sait manipuler différentes unités de longueur :
Quelques dimensions usuelles :
Tab. 5.5 – Unités TEX \parindent : indentation d’un paragraphe
\baselineskip : distance entre les lignes d’un pa-
mm millimètre ragraphe.
cm centimètre = 10 mm \baselinestretch : multiplie \baselineskip.
in pouce a = 25,4 mm
\parskip : espace vertical supplémentaire entre les
pt point ≈ 1/72 pouce ≈ 0, 35 mm
paragraphes.
em largeur d’un “M” dans la police courante
\textwidth, \textheight : dimensions de la com-
ex hauteur d’un “x” dans la police courante
posante texte d’une page.
a \linewidth : largeur d’une ligne de texte dans
Inch en anglais. NdT.
l’envronnement local.
\unitlength : unité de longueur dans l’environne-
De l’espace supplémentaire entre deux lignes du même paragraphement ou à picture.
Combien mesure la boîte « paquet » ?
ntérieur d’une table peut être obtenu par la commande :
Réponse grâce à ces macros :
\newlength{\lalargeur}
\[longueur ] \settowidth{\lalargeur}{paquet}
\newlength{\lahauteur} \settoheight{\lahauteur}{paquet}
Les commandes \bigskip et \smallskip permettent de créer des espa-
\newlength{\laprofondeur}\settodepth{\laprofondeur}{paquet}
ments verticaux
Largeur prédéfinis sans se préoccuper
= \the\lalargeur, des dimensions
Hauteur exactes.
= \the\lahauteur, Profondeur = \the\laprofondeur
Largeur = 34.91508pt, Hauteur = 7.37915pt, Profondeur = 2.33276pt
4 Disposition d’une page
Autres macros :
LATEX 2ε permet d’indiquer la taille du papier en paramètre de la com-
ä \the\unelongueur affiche la dimension \unelongueur.
ande \documentclass. Il définit ensuite automatiquement les marges les
eux adaptées. Parfois, on peut ne pas être
ä \newlength{\unelongeur} créesatisfait par les dimension
une nouvelle valeurs pré-nommée \unelongueur.
finies et ä
vouloir les modifier. La figure 5.2 montre
\setlength{\lalargeur}{1cm} : tous les paramètres qui
uvent être modifiés. Cette figure a été réalisée avec l’extension layout de
Maintenant Largeur = \the\lalargeur donne Largeur = 28.45274pt
nsemble tools.
ä \addtolength{\laprofondeur}{\the\lahauteur}
Attendez !. . . avant de vous lancer dans « élargissons un peu ce texte : »,
enez deux secondes
Maintenant pourProfondeur
réfléchir. Comme souvent avec LATEX, donne
= \the\laprofondeur il y a de
Profondeur = 9.71191pt
nnes raisons(ce pour disposer les pages de cette
qui représente \totalheight) façon.
Sans doute, comparé avec une page standard produite avec MS Word, une
TEX introduit la notion de longueur élastique : 1cm plus 10pt minus 5pt signifie que la longueur peut
ge de LA TEX à l’air horriblement étroite. Mais regardez votre livre préféré 4
varier
comptez de plusde
le nombre 10pt à moinssur5pt,
caractères uneen fonction
ligne desVous
normale. besoins ! qu’il
verrez
y a guère plus de soixante-six caractères par ligne. L’expérience 1.0pt
Exemple de longueur élastique : \parskip = 0.0pt plus montre
On définit une longueur élastique avec la même macro :
’un texte devient moins lisible si le nombre de caractères par ligne dépasse
tte valeur, cela parce qu’il devient plus difficile pour les yeux de passer de
\newlength{\unelongeur}
fin d’une ligne au début de la ligne suivante.
\setlength{\unelongeur}{1cm plusCeci explique
10pt minusaussi
5pt} Ù28.45274pt plus 10.0pt minus 5.0pt
que les
urnaux \the\unelongeur
utilisent plusieurs colonnes.
Ainsi, si vous élargissez le corps du texte, ayez conscience que vous le
9-iii Manipuler des boîtes
ndez aussi moins lisible. Ceci dit, si vous tenez à modifier les paramètres
ä \makebox[largeur][position]{Le
i contrôlent la disposition d’une page, voici comment procéder créé
contenu} : une boîte contenant Le contenu, de largeur finale
4 largeur et dont le contenu est positionné selon position = c, l, r, s.
Un vrai livre, imprimé par un grand éditeur. . .
Il existe une version avec cadre
\framebox[largeur][position]{Le contenu}
\framebox{Le contenu} Ù Le contenu
\framebox[1cm][l]{Le contenu} Ù Le contenu
\framebox[1cm][l]{Le contenu} et du texte ensuite Ù Le contenu
et du texte ensuite
\framebox[3cm][c]{Le contenu} Ù Le contenu
\framebox[3cm][s]{Le contenu} Ù Le contenu
ä Boîtes pour des paragraphes entiers : \parbox[position]{largeur}{contenu} ou
\begin{minipage}[position]{largeur}
contenu
\end{minipage}
Exemple :
\framebox{%
\begin{minipage}[t]{5cm}
Voici un texte contenu
Voici un texte contenu dans voici du texte après. . .
dans une boîte de 5 cm.
une boîte de 5 cm.
Ù Il comporte plusieurs para-
Il comporte plusieurs
graphes.
paragraphes.
\end{minipage}}
voici du texte après\dots
ä Élever une boîte : \raisebox{elevation}[profondeur][hauteur]{contenu} élève la boîte de la di-
mansion elevation, et fournit une boîte finale de profondeur et de hauteur données.
Hello !
\raisebox{10pt}{Hello !} donne et \raisebox{-10pt}{Ça va ?} donne
Ça va ?
\raisebox{-10pt}[0pt][\height]{Coucou !} donne , maintenant, pour voir la différence,
Coucou !
il faut au moins une seconde ligne en dessous, et là on se rend compte que la profondeur est nulle !

Vous voulez créer une boîte de dimensions nulles ? Facile, il suffit de combiner les macros précédentes :

AVANT \raisebox{0pt}[0pt][0pt]{\makebox[0pt][c]{\color{red}c’est ici}} APRÈS

AVANT
c’estAPRÈS
ici

Intérêt ? Vous pouvez placer une boîte relativement à votre point courant sans qu’elle ne perturbe la mise
en page qui suit !

Exemple, je veux placer le mot « FIN » en bout de cette ligne, 0.6cm en dessous.
Je suis passé à la ligne, mais avant, j’ai inséré derrière le point ci-dessus la commande FIN
\hfill\raisebox{-0.6cm}[0pt][0pt]{\makebox[0pt][r]{FIN}}
Du coup, le mot est au bout de la ligne, mais il ne compte pas ! TEX le considère comme une boîte de taille
nulle placée juste après le point de « en dessous. » Pratique pour des mises en pages un peu complexes. . .
9-iv Faites de l’espace. . .
Vous voulez réserver une place entre deux mots qui correspondrait à la taille de la boîte du texte. . .
ä Première solution, mesurer cette boite, et créer, d’une façon ou d’une autre, une boîte vide avec ces
dimensions.
Seconde solution : utiliser un fantôme de « du texte ».
Entre ce mot et celui-ci, se cache un fantôme !
Entre ce mot du texte et celui-ci, se cache un fantôme ! (ligne pour vérifier)
On obtient ça en tapant
Entre ce mot \phantom{du texte} et celui-ci, se cache un fantôme !
ä Comment réserver un espace dont on connaît les dimensions ?
En utilisant \rule[elevation]{largeur}{hauteur} (les filets)
\rule{3mm}{.1pt}\rule[-1mm]{5mm}{1cm}\rule{3mm}{.1pt}
\rule[1mm]{1cm}{5mm}\rule{3mm}{.1pt}

donne
Donc pour créer une boîte de largeur 1cm, de hauteur 1.1cm et de profondeur 15pt, on tape
\rule[-15pt]{0pt}{1.1cm}\rule{1cm}{0pt}
Un première ligne pour constater la hauteur.
J’insère la commande ici et ça me réserve l’espace de la boîte.

Une troisième ligne pour constater la profondeur.


10 Personnalisation grâce à titlesec et titletoc
% redéfinition de la présentation des chapitres
\titleformat{\chapter}[display]%
{\raggedright\normalfont\sffamily\huge\bfseries\mathversion{bold}}
{\chaptertitlename\ \thechapter}{20pt}
{\Huge}
\titlespacing*{\chapter} {0pt}{50pt}{40pt}
% redéfinition de la présentation des sections 171
\titleformat{\section}%
{\normalfont\sffamily\Large\bfseries\mathversion{bold}}{\thesection}{1em}{}
\titlespacing*{\section} {0pt}{3ex plus 1ex minus .2ex}{2ex plus .2ex}
...
Chapitre 6

Cohomologies et actions de groupes

6.1 Opérations algébriques


La notion d’opération d’une algèbre de Lie sur une algèbre différentielle graduée com-
mutative tire son origine de l’étude des fibrés principaux avec connexions. Le formalisme
purement algébrique qui a ainsi été construit a été dégagé par les mathématiciens H. Car-
tan, C. Chevalley, J.-L. Koszul et A. Weil dans les années 1940-50.
L’idée de base est simple : elle consiste à ne conserver que l’aspect algébrique des objets
définis sur un fibré principal. Par exemple, dans un premier temps, nous verrons comment
remplacer l’action d’un groupe de Lie connexe G sur un fibré principal P par une opération
de son algèbre de Lie g sur l’algèbre différentielle graduée Ω∗ (P ) des formes différentielles.

6.1.1 Opérations de Cartan


Définitions
Soient A une algèbre différentielle graduée commutative unitale, et g une algèbre de Lie
de dimension finie. Nous dirons que nous avons une opération de g sur A (ou encore que A
est une g-opération), s’il existe une application linéaire

i : g → Der−1 (A) = {dérivations de degré −1 de A}

dérivations que nous noterons iX : A → A pour tout X ∈ g, telle que

i X iY + i Y i X = 0

pour tous X, Y ∈ g et telle que l’application

LX = iX d + diX : A → A

vérifie

[LX , iY ] = i[X,Y ] [LX , LY ] = L[X,Y ]

pour tous X, Y ∈ g. Il faut noter que LX est une dérivation de degré 0 sur A qui commute
avec la différentielle,
LX d = dLX

8 mars 2006
3.3 Cohomologie de de Rham . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 98
L’algèbre différentielle Ω∗ (M ) – Le lemme de Poincaré – La suite de Mayer-Vietoris –
% redéfinition deà la
Couplage présentation
l’homologie singulière – de la table
La formule des matières
de Künneth et le polynôme de Poincaré
\titlecontents{chapter}[20pt]%
3.4 Variété compacte, orientée et sans bord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 103
{\addvspace{1pc}\normalfont\sffamily\bfseries\large}
Les groupes d’homologie et de cohomologie de plus haut degré – Dualité de Poincaré –
{\contentslabel[\thecontentslabel]{20pt}}{}{\hfill\contentspage}[]
L’application de Hodge, la codifférentielle et le laplacien
3.5 Cohomologies à supports compacts et à décroissance rapide . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
\titlecontents{section}[40pt]% 106
Cohomologie à support compact – Courants de de Rham – Suite de Mayer-Vietoris à
{\addvspace{0.3pc}\normalfont\sffamily}
support compact – Cohomologie à décroissance rapide – Classe de Thom d’un fibré
{\contentslabel[\thecontentslabel]{25pt}}{}{\dotfill\contentspage}[]
vectoriel réel orienté
3.6 Cohomologie de Čech . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 109
\titlecontents*{subsection}[60pt]%
Le complexe de Čech – La cohomologie de Čech – Relation avec la cohomologie de
{\filright\normalfont\sffamily\footnotesize}{}{}{}[~{–}\ ][]
de Rham – Cohomologie de Čech à valeurs dans des faisceaux – Application aux fibrés en
droites complexes
\setcounter{tocdepth}{2}
4 Homologies et cohomologies des groupes et algèbres de Lie 117
4.1 (Co)homologies d’algèbres de Lie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 117
Homologie d’algèbres de Lie – Cohomologie d’algèbres de Lie – Homologie et cohomologie
invariantes – Extensions d’algèbres de Lie – Déformation d’un crochet de Lie
4.2 Algèbres de Lie réductives . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 121
!∗
Définitions
!∗ ∗ – Résultats sur les homologies et les cohomologies – Structures de I( g) et
I( g )
4.3 (Co)homologies de groupes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 125
Définitions et premières propriétés – Les groupes de (co)homologie en bas degrés –
Résultats structurels

% redéfinition des styles de page


5 Homologies et cohomologies des algèbres associatives 133
\renewpagestyle{myheadings}[\normalfont\sffamily\bfseries\mathversion{bold}]{
5.1 Calculs différentiels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 133
\headrule
Calculs différentiels universels – L’algèbre TA et le calcul différentiel universel unital –
\setfoot[][][]{}{}{}
Calcul différentiel basé sur les dérivations
\sethead[\usepage][]
5.2 Homologies de Hochschild . . . . . . . . . . \thechapter\
[\ifthechapter{\chaptertitlename\ . . . . . . . . . . . . . . . .–. . \chaptertitle}{\chaptertitle}]
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 140
Définition des complexes – La trace et l’invariance de
{\ifthesection{Section \thesection\ – \sectiontitle}{\chaptertitle}}{}{\usepage}} Morita – Produit de battage –
Relations avec d’autres homologies – Homologie de Hochschild d’une algèbre
commutative – Homologie de Hochschild des algèbres non unitales
172 Chapitre 6 – Cohomologies et actions de groupes
5.3 Cohomologie de Hochschild. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 148
Définition des complexes – Exemples pour deux bimodules particuliers – Cohomologie de
puisque d2Hochschild
= 0. Nous noterons
à valeurs dans (A, g, i)–une
l’algèbre telle opération.
Déformation d’algèbres associatives – Cohomologie de
Dans l’algèbre A, nous avons alors des sous espaces vectoriels canoniquement associés à
Hochschild des algèbres topologiques
cette
5.4 opération
Homologie: cyclique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 153
– I(A) {a ∈ A et/ leurs
Les=complexes = 0 ∀X– ∈
LX aopérateurs g}, ensemble
Propriétés structurelles des –éléments
L’homologie cyclique des de A. Il est
invariants
facile de vérifier
Section
algèbres 6.1 que c’est
– Opérations
commutatives une sous
– Homologies algèbre différentielle
algébriques
périodique et négative – Cohomologiegraduée decyclique A. 173
– B(A) = {a ∈ A / iX a = 0 et LX a = 0 ∀X ∈ g}, ensemble des éléments basiques de
6 Cohomologies
Il est là aussi
A. Connexion etfacile
actions
algébrique de vérifierde groupesque c’est une sous algèbre différentielle graduée 171de
A, et même plus précisément de I(A).
6.1 OpérationsSoit algébriques
(A, g, i) une. . .opération.
. . . . . . . . . . .Une
. . . . .connexion . . . . . . . . . . . . sur
. . . . . . . . . . . .algébrique . . . . cette
. . . . . .opération
. . . 171 est un élé-
– H(A) = {a ∈ A1 / iX a = 0 ∀X ∈ g}, ensemble des éléments horizontaux de A. C’est
ment
Opérations
ω ∈ de ⊗ g tel
A Cartan que
– Connections et courbures algébriques – L’algèbre des formes sur un
une fibré
sousprincipal
algèbre–graduée invariante par LX , mais a priori ∗ non munie d’une différentielle.
Les opérations 0 de ALie sur TA, ΩU (A) et C (A, A) – L’opération de g
1. i ω =! 1 ⊗ X ∈ A ⊗ g pour tout X ∈ g ;
Soit ϕ : A → A un morphisme d’algèbres différentielles graduées commutatives. Nous
X

dirons que ϕ2.est LXun ω=morphisme


−adX ω = −[X, ω] pour tout X
de g-opérations si,∈étant
g. données deux g-opérations i et
i sur A et ASoit
! !
, nousϕ : avons
A → A! un morphisme de g-opérations. Supposons que A et A! soient munies
8 mars 2006 chacune d’une connexion algébrique ϕ ◦ iX = ωi!X et ◦ ϕω ! . Nous dirons que ϕ est un morphisme de
X ∈ g. Nous avec
pour toutg-opérations alors ϕ ◦ LXsi= L!X ◦ ϕ pour! tout X ∈ g, ϕ(I(A)) ⊂ I(A! ),
avonsconnexions
ϕ(B(A)) ⊂ B(A! ) et ϕ(H(A)) ⊂ H(A! ). ϕ(ω) = ω
Soientoù
(A, g, i)=etϕ(ω
ϕ(ω) (Ak!), g,
⊗iE!
)kdeux
. g-opérations. On définit sur l’algèbre différentielle gra-
duée commutative A⊗A une g-opération en posant i⊗
! ! ! p ! !
X (ap ⊗a ) = (iX ap )⊗a +(−1) ap ⊗(iX a )
pour tousCourbure
X ∈ g, ap algébrique
∈ Ap et a! ∈ A! . On a alors L⊗ X (a ⊗ a ) = (LX a) ⊗ a + a ⊗ (LX a ) pour
! ! ! !

tous X ∈ g, aNous et a! ∈ A! .laOn


∈ Adéfinissons appelle cette
courbure opérationdel’opération
algébrique la connexionproduit
ω par tensoriel.
11 Le package graphicx et les inclusions d’images
\usepackage{graphicx}.
Le package graphicx définit des commandes permettant de manipuler des boîtes :
ä \rotatebox[options]{angle}{boite} effectue une rotation sur une boîte. Les options sont origin
= lrctbB ou x=..., y=... qui spécifient le centre de la rotation et units = ... qui spécifie l’unité
de l’angle.
ä \scalebox{echelle-h}[echelle-v]{boite} effectue une mise à l’échelle selon les spécifications hori-
zontales et verticales. Si l’option verticale n’est pas spécifiée, son facteur est identique à l’horizontale.
ä \reflectbox{boite} équivaut à \scalebox{-1}[1]{boite}
ä \resizebox{longueur-h}{longueur-v}{boite} et \resizebox*{longueur-h}{longueur-v}{boite}
redimensionnent la boîte aux spécifications données. La version étoile utile la hauteur totale, alors que
la version sans étoile utile la hauteur au dessus de la ligne de base.
Du texte\dots
\rotatebox{180}{A l’envers}
\rotatebox[origin=c]{180}{A l’envers}
\rotatebox[origin=tr]{180}{A l’envers} A l’envers
A l’envers
et du texte.\\ Du texte. . . A l’envers et du texte.
Du texte\dots
\scalebox{2}{étiré !} Du texte. . . étiré ! étiré ! et du texte.
\scalebox{2}[1]{étiré !} 1 1
et du texte.\\ Du texte. . . et du texte.
Du texte\dots 2 2
\resizebox{2cm}{1cm}{$\dfrac{1}{2}$}
\resizebox*{2cm}{1cm}{$\dfrac{1}{2}$}
et du texte.
11-i Photos jpeg et png

\begin{center}
\includegraphics[width=6cm]{LogoUPS}\\
\includegraphics[width=6cm]{LogoCNRS}
\reflectbox{\includegraphics[width=6cm]{LogoCNRS}}
\end{center}
\begin{center}
\includegraphics[width=4cm, angle=6]{tourdepise}
\includegraphics[width=8cm, angle=-6]{tourdepise2}
\end{center}

La Tour de Pise semble pencher de 6°


(La Tour de Pise semble pencher de 6\textdegree)
11-ii Dessins produits avec Metapost
Merci à Fabien et à Emmanuel. . .
k cells

j(3)
k odd
i(5)
x 14 x 23 x 34 x 43
− + − +
x 13 i(2) x 24 i(6) x31 i(4) x 44
x 11 + 1 + − 2 −
x 22 + 3 +
x 33 − 4 − x 42
− + − +
k even
x 12 x 21 i(7) x 32 x 41

j(1) k levels
P M

A R
r

=⇒ G
~uz
C ~uy
Q
~ux
O d B
X4 X3
+ +
− − − −
+ L2− +

l4
l1 l2
L1 11
10
9

l2 8
7
+ l3 6
14 13 12
− − L3 17
6
18 16 5
+ 19
5
4
20 4
7 3
21
3
9
10 15

l3
22 2 l1
8
2

− 1
X1 + +

23 1
X2 24

θ r

2
T~ ~uy B
V+ V− h
~uy0
l ~ux O
A O’
~ux0

d/ 3 F~el
O O P+ P− ~
B
r
d
d F~1
1 3

P~ F~2 F~el Ecran

r2
C

θ r
V1 V2 y2

écran
B
h
A O’ O

rayons obstacle percé


d lumineux de deux fentes

Ecran source lumineuse


~
B P1 P2 E
11-iii Images dans du texte
\usepackage{floatflt}

\begin{floatingfigure}[l]{4cm}
\caption{La séance du Gun-Club.}
\includegraphics[width=4cm]{JulesVerne}
\end{floatingfigure}
Permettez-moi, reprit-il, de vous...
Permettez-moi, reprit-il, de vous rappeler en quelques mots
Fig. 1 – La séance du comment certains esprits ardents, embarqués pour des
Gun-Club. voyages imaginaires, prétendirent avoir pénétré les secrets
de notre satellite. Au XVIIe siècle, un certain David Fa-
bricius se vanta d’avoir vu de ses yeux des habitants de
la Lune. En 1649, un Français, Jean Baudoin, publia le
« Voyage fait au monde de la Lune par Dominique Gonza-
lès », aventurier espagnol. A la même époque, Cyrano de
Bergerac fit paraître cette expédition célèbre qui eut tant
de succès en France. Plus tard, un autre Français — ces
gens-là s’occupent beaucoup de la Lune —, le nommé Fon-
tenelle, écrivit la « Pluralité des Mondes », un chef-d’oeuvre
en son temps ; mais la science, en marchant, écrase même
les chefs-d’oeuvre ! Vers 1835, un opuscule traduit du « New
York American » raconta que Sir John Herschell, envoyé
au cap de Bonne-Espérance pour y faire des études astro-
nomiques, avait, au moyen d’un télescope perfectionné par un éclairage intérieur,
ramené la Lune à une distance de quatre-vingts yards [Le yard vaut un peu moins
que le mètre, soit 91 cm.]. Alors il aurait aperçu distinctement des cavernes dans
lesquelles vivaient des hippopotames, de vertes montagnes frangées de dentelles d’or,
des moutons aux cornes d’ivoire, des chevreuils blancs, des habitants avec des ailes
membraneuses comme celles de la chauve-souris. Cette brochure, oeuvre d’un Améri-
cain nommé Locke [Cette brochure fut publiée en France par le républicain Laviron,
qui fut tué au siège de Rome en 1840.], eut un très grand succès. Mais bientôt on
reconnut que c’était une mystification scientifique, et les Français furent les premiers
à en rire.
\usepackage{wrapfig}

\begin{wrapfigure}{r}[0pt]{4cm}
\includegraphics[width=4cm]{JulesVerne}
\end{wrapfigure}
Permettez-moi, reprit-il, de vous...
Permettez-moi, reprit-il, de vous rappeler en quelques mots
comment certains esprits ardents, embarqués pour des
voyages imaginaires, prétendirent avoir pénétré les secrets
de notre satellite. Au XVIIe siècle, un certain David Fa-
bricius se vanta d’avoir vu de ses yeux des habitants de
la Lune. En 1649, un Français, Jean Baudoin, publia le
« Voyage fait au monde de la Lune par Dominique Gon-
zalès », aventurier espagnol. A la même époque, Cyrano de
Bergerac fit paraître cette expédition célèbre qui eut tant
de succès en France. Plus tard, un autre Français — ces
gens-là s’occupent beaucoup de la Lune —, le nommé Fon-
tenelle, écrivit la « Pluralité des Mondes », un chef-d’oeuvre
en son temps ; mais la science, en marchant, écrase même
les chefs-d’oeuvre ! Vers 1835, un opuscule traduit du « New
York American » raconta que Sir John Herschell, envoyé au cap de Bonne-Espérance
pour y faire des études astronomiques, avait, au moyen d’un télescope perfectionné
par un éclairage intérieur, ramené la Lune à une distance de quatre-vingts yards [Le
yard vaut un peu moins que le mètre, soit 91 cm.]. Alors il aurait aperçu distincte-
ment des cavernes dans lesquelles vivaient des hippopotames, de vertes montagnes
frangées de dentelles d’or, des moutons aux cornes d’ivoire, des chevreuils blancs, des
habitants avec des ailes membraneuses comme celles de la chauve-souris. Cette bro-
chure, oeuvre d’un Américain nommé Locke [Cette brochure fut publiée en France
par le républicain Laviron, qui fut tué au siège de Rome en 1840.], eut un très grand
succès. Mais bientôt on reconnut que c’était une mystification scientifique, et les
Français furent les premiers à en rire.
12 Des outils externes
ä makeindex : permet de créer un index. Utiliser le package makeidx. Les entrées sont personnalisables :
\index{suite exacte},
\index{suite exacte!courte},
\index{suite exacte!courte!scindee@scindée},
\index{commutative!algebre@algèbre --},
\index{z(a)@$\mathcal{Z}(\mathbf{A})$} (affiche Z(A) dans la position alphabétique « z(a) »).
ä bibtex : permet de gérer la bibliographie à partir d’un fichier contenant toutes les références.
@book{Blac:98, @Article{Feynman:1948ur,
Author = {Blackadar, B.}, author = "Feynman, R. P.",
Keywords = {Personnel}, title = "Space-time approach to
Number = {5}, nonrelativistic quantum mechanics",
Publisher = {Cambridge University journal = "Rev. Mod. Phys.",
Press}, volume = "20",
Series = {Math. Sc. Research year = "1948",
Inst. Pub.}, pages = "367-387"
Title = {{$K$}-Theory for }
Operator Algebras},
Year = {1998}}
13 Documentation
ä Les sites officiels :
Le CTAN
The TEX Catalogue On Line Ù on y retrouve tous les packages décrits ici !
ä L’association GUTENBERG des utilisateurs francophones de LATEX :
ä Cours sur LATEX :
Documentations officielles sur LATEX : classes (clsguide.pdf), fontes (fntguide.pdf), user guide
(usrguide.pdf). . .
A not so short Introduction to Latex, disponible dans diverses langues.
A beginner’s guide to LaTeX (beginlatex-3.6.pdf)
Faire des présentations avec LATEX
ä Un journal en ligne : PracTeX, journal avec des articles pour les utilisateurs de base de TEX, LATEX &
Co.
ä Les polices de caractères :
LATEX2e font selection (fntguide.pdf)
Liste de tous les symboles disponibles sous LATEX (symbols-a4.pdf)
PSNFSS (psnfss2e.pdf), utilisation des polices PostScript standard sous LATEX.
ä Graphiques :
Using Imported Graphics in LATEX and pdfLATEX (epslatex.pdf)
Le package graphicx
ä Listes de diffusion :
Liste de listes sur tex.org
Groupe comp.text.tex et Groupe fr.comp.text.tex chez Google.
Groupe LATEX chez Google

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