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D.Const 2015
D.Const 2015
A Madagascar bien que les crises cycliques alignent la vie politique, les
différentes constitutions ont toutes essayé de réguler ces moments troubles
passagers. On a jusqu’ici 4 constitutions avec 12 révisions constitutionnelles
dont 4 récemment lors de la 3ème République. C’est autant dire que la
constitution ne garantit point la stabilité politique ni la prospérité d’un
pays .Tout est affaire en réalité de volonté aussi bien des gouvernant que des
gouvernés.D’ailleurs il y a lieu de reconnaitre ; comme le souligne Napoléon
que « aucune constitution n’est restées telle qu’elle a était faite. Sa marche
est subordonnées aux hommes et aux circonstances » . Enfin L’etude du
droit constitutionnel est loin d’etre l’étude de la seule constitution il n’est pas
question de procéder à une méthode exégétique. Désormais le droit
constitutionnel dès qu’il se présente àl’heure actuelle comporte 3 grands objet :
l’étude à la fois des institutions normes et des libertés.
Le statut de l’Etat c’est sa constitution. Une personne morale existe qu’en vertu
d’un statut à l’instar d’une personne privée. Tel est le cas de l’Etat qui est une
institution. D’une manière Générale, l’on doit souligner d’emblée qu’il n’existe
point d’autorité qui n’établisse pas de règles. Il peut exister de constitution
écrite comme de constitution non écrite. Dans ces dernières, ce qui marque
l’existence de l’Etat c’est l’ensemble de règles constitutionnelle c à D, de
pratiques de gouvernement façonner par le temps et suivies dorénavant par
toutes la génération d’autorité. Ainsi la constitution écrite ou non symbolise
l’existence d’autorité .Elle est dite loi fondamentale en ce qu’elle sert de
fondement de validité à d’autres normes.
Comme il a été souligné plus haut, c’est sur les droits et libertés des citoyens
que la constitution est essentiellement considérée. L’organisation du pouvoir
s’entend généralement de la répartition de compétences entre les divers organes
étatiques . Il en est ainsi essentiellement des droits et libertés à qui incombe le
droit de déterminer par exemple les règles relatives à chacune des libertés
reconnus par la constitution . Est-ce que la constitution elle-même les définira
ou est ce qu’elle va les renvoyés aux legislateur voir à l’administration ou
même aux juges ? Ainsi en vertu de l’article 95 de la constitution de 2010 c’est
la loi qui fixe « les règles concernant les droits civiques et les garanties
fondamentales accordées aux individus, association, partis politiques, et à tout
autre groupement pour l’exercice des droits et des libertés ainsi que leurs devoirs
et obligations ». En d’autre terme il appartient au parlement de fixer les règles
régissant les partis politiques .La meme constitution ne son article 14 alinéa 2
souligne que les conditions de création des partis politique sont déterminés par
une loi sur les partis politiques et leurs financements . Par la suite c’est en vertu
de ces dispositions constitutionnelles que le parlement à adopté la loi 2011-012
18 aout 2011 relative aux partis politiques qui disposent en son article 1er que
« la présence de loi régis les partis politiques à Madagascar. Elle définit
notamment les règles relatives à la création,à l’organisation, au
fonctionnement et au financement des partis politiques » . Autrement dit le
pouvoir constituant n’a pas gardé le privilège de déterminer lui-même le
régime juridique de différentes libertés tels que les libertés énoncées à
l’article 10 qui sont « les libertés d’opinion et d’expression de
communication , de presse, d’association , de réunion, de circulation , de
conscience et de religion » .C’est législateur qui en serait l’autorité
compétente. L’organisation du pouvoir ou la répartition de compétence s’entend
ainsi de la répartition de compétences entre 4 grandes catégories de pouvoir : le
pouvoir constituant, le pouvoir législatif , le pouvoir règlementaire, le
pouvoir judiciaire.
D’une manère générale, seul lles Etats ont une constitution. C’est leur
raison d’etrememe. En tant que loi fondamentale, la constitution ainsi doit
conteneir tout un ensemble de règles gouvernant l’organisation le
fonctionnement et les structures de l’Etat. Ce dernier doit avopir une constitution
c’est-à-dire, ce qui doit le faire exister et debout come tel. Enfn l’on ne doit pas
perdre de vue sa vertu de véritable contrat sociale requérant de procédures
complexes poir sa modification
B La révision de a constitution
La constitutioin en tant que loi fondamentale ou contrat sociale doit
nécessairement se démarquer des autres règles juridiques. C’est sur elle que va
etre apprécié ma constitutionnalité des autres . Le contrôle de constitutionnalité
se présente comme l’appréciation par le juge constitutionnel de la conformité
des règles par rapport à la constitution . Ainsi sont dites inconstitutionnelle ou
anticonstitutionnelles, les règles qui ne trouvent pas leur fondement dans la
constitution.Celle ci quelle qu’elles soient doivent avoir leurs références dans
l’une oùquelque disposition constitutionnel ou dans le système constitutionnel
en général . Ainsi la révision de la constitution doit elle suivre un processus de
procédure assez complexe . On ne change pas de constitution commme l’on
abroge une loi ou un règlement . En d’autres termes c’est elle-même qui indique
ses modalités de révision. Le principe est donné par larticle 161 de la
constitution qui dispose « aucune révision de la constitution ne peut etre initier
sauf en cas de nécessité jugée impérieuse ». Le constituant n’a pas donné ni
meme pas enuméré quelques cas de nécessité jugé impérieux. En droit en
générale, une situation en péril serait celle qui mettrait la vie d’un individu en
danger ; Par analogie la constitution distingue a vie de nation en péril ?
Cependant l’article 163 semble en donner des indications. « En effet tout
semble etre admise sauf « la forme républicaine de l’Etat. Le principe de
l’intégrité du territoire national , le principe de la séparation des pouvoirs le
principe d’autonomie des collectivités territoriales décentralisées, la durée et le
nombre du mandat du Président de la république ».
LA constitution de la 3èmeRep version finale avant le coup d’Etat de Mars 2009
avait fait l’objet d’une révision constitutionnel autorisant le Président de la
république à se présenter indéfini ment. En effet il y a lieu de souligner que la
vie constitutionnel malgache depuis l’Independence du pays est assez
mouvementer alors que les USA, jusqu’à ce jour, n’on qu’une seule
constitution, celé du 17sept avec peut etre 27 amendements , Madagascar a eu
déjà 4constitutions avec 12révisions constitutionnelles dont 04 lors de la 3ème
république Malgré le retour au libéralisme. En effet selon la constitution du 18
sept 1992 dans sa version initiale, en son article 53 « le président de la
république nomme le PM » cependant l’article 90 alinéa 3 précise que « le
Président de la république nomme le PM investit par L’AN . En d’autres termes
l’on avait un dosage de régime parlementaire où c’était lAN qui en réalité
choisissait le premier ministre, ce qui n’était pas dans la connivence du Pr Zafy
ALBERT qui procéda ainsi à une première révision constitutionnelle de la
constitution de la 3ème république (1995) . La seconde révision constitutionnelle
est intervenue avec la réélection du président DIDIER RATSIARAKA en 1997
qui a entrainé l’adoption de la loi constitutionnelle numéro 98 001 du 08 avril
1998 portant révision de la constitution. L’innovation essentielle apportée par la
constitution révisée réside dans l’institution des provinces autonomes. Selon
l’article 2 de la constitution révisée « les provinces autonomes adoptant chacune
sa loi statutaire sont Antananarivo Antsiranana Fianarantsoa Mahajanga
Toamasina et Toliara » En conséquence , La structure étatique évoluait vers un
système fédérale déguisé
L’etat est une véritable institution délibérément mise en place par la société,
alors que la nation se présente comme la société naturelle l’Etat se présente
comme une société instituée ainsi 2 conceptions s’oppose mais se complètent :
d’un coté, la concetption institutionnelle de l’Etat et de l’autre côté a conception
sociétaire de l’Etat selon cette seconde conception il doit y avoir correspondance
entre nation et Etat. LA première en effet doit tout naturellement ressentir le
besoin de la mise en place d’une institution en vue essentiellement d’assurer la
réguation de l’ordre social. De la nation doit jaillir spontanément un appareil
gouvernant . Le rapport entre nation et Etat est determinant pour expliquer les
distorsions au sein de la société pour en conséquence en étudier la stabilité
politique ou sociale. En effet si les pays riches industrialisés connaissent leur
prosperité et leur stabilité politique actuelle, c’est parce que a nation précède
l’Etat . en d’autres termes les éléments d’une commuauté ne font plus de
difficulté particulière, la nation est formée essentiellement d’abord d’une
communauté de valeur et ensuite d’une communauté d’interet . Au contraire les
pays du Sud notamment de l’Afrique connaissent généralemnt des crises
politiques et d’innombrables coups d’Etat. L’Etat tant à s’imposer avant même
que le peuple lui assure sa légitimité . Autrement dit la concordance entre nation
et Etat est primordiale puisque c’est par la suite que le second va à son tour
essayer d’accompagner les autres institutions inhérente à la vie sociale, dans la
conception institutionnelle de l’Etat. L’etat est l’institution des institutions en
tan qu’il est l’institution suprême ou terminale. On dit que ‘Etat est une
superstructure . Il englobe l’ensemble des autres institutions avec come vocation
la règlementation et la coordination de celle-ci.En d’autres termes encore l’Etat
serait un appareil gouvernant extérieure à la collectivité gouvernée. L’Etat c’est
cette entité s’élevant au-dessus de la société et qui d’une manière générale
n’attend qu’à être respectée en tant que telle A la fois il est légale est légitime.
La légaité veut qu’il résulte du choix du peuple en vertu d’organisation de
scrutin. La légitimité se présente comme une mesure de sa sincérité dans sa
mission de règlementation et d’innovation de la société . ce pendant un Etat
légalement institué peut souffrir de sa légitimité .en vue d’assurer à tout moment
sa légitimité, L’Etat doit veiller à ce que tout processus décisionnels suivent les
mécanismes de la démocratie. Toute décision doit s’inspirer des aspirations des
citoyens . Enfin s’agissant de l’Etat il ya lieu de souligner qu’elle est une
institutions appelée à exister indéfiniment et indépendamment des gouvernants.
Aujourd’hui le pouvoir est dépersonnalisé et tend à se démocratiser. En tant
qu’institution des institutions, plusieurs institutions s’y démembrent Ainsi,
formellement, en vertu de la constitution les institutions de l’Etat sont celles
énumérées à l’article 40 . Par ailleurs, outre ces institutions Etatiques d’autres
institutions peuvent etre prévues par la constitution en vue de régler certaines
questions. Il en est ainsi par exemple de la création du haut conseil pour la
défense de la démocratie et de l’Etat de droit prévue à l’article 43 de la
constitution. Il en est ainsi également de la création du haut conseil de la défense
nationale prévu à l’article 56 au-delà de la mise en place de la haute Cour de
justice prévue à l’article 131. Ainsi l’Etat en tant que tel peut également exister
physiquement avec ses éléments constitutifs
Et une population qui est vu comme sa substance humaine ainsi sur le plan
strictement juridique, l’Etat c’est l’autorité ou gouvernement qui s’impose sur
une population et sur un territoire délimité. L’Etat malgache est le pouvoir
politique qu’il s’impose à l’heure actuelle sur toute la population et sur toute
l’étendue du territoire nationale. Gouvernement , population et territoire sont
traditionnellement les éléments constitutifs de l’ETAT.
A Le gouvernement
B- La population
C- Le territoire
Le principe selon lequel chaque Etat exerce sur son territoire la plénitude de ses
fonctions . Parmi les éléments constitutifs de l’Etat, c’est le territoire qui pose
surtout et particulièrement problème. C’est autant dire que le territoire fait
l’objet de convoitises politiques . Dans l’histoire contemporaine le
conflit israélo-palestiniens, au-delà de ses dimensions religieuses et culturelles,
esst un confllit territorial majeure. Si l’ONU dans sa résolutionde 47 préconise
la création de deux Etats. D’un coté l’etat juif, Israël et de l’autre coté , L’Etat
palestiniens. Le problème jusqu’à nos jours réside alors dans le partage de la
Palestine en deux Etats .bine que le gouvernement et la population ne fasse
problème particulier, l’élément territoriale en demeure. Ainsi parle-t-on
aujourd’hui d’autorité palestinienne que d’Etat palestiniens faute de territoire.
A- L’Etat Unitaire
La constitution malgache actueelle en son article premier souligne
expréssement que « le peuple malagay constitue une nation organisée
en Etat souverain, !unitaire, Républicain et laïque » Bieque l’on ne le
souligne pas assez, le caractère unitaire de l’Etat Malgache, Il ya lieu de
souligner que depuis son indépendance, la forme fédérale n’a jamais pu
s’imposer. Au contrraire L’Etat décentralisé à dorénavant inspiré les
malgaches. En effet l’article 3 ajoute aussitôt que « la république de
Madagascar est un Etat reposant sur un système de collectivités
territoriales décentralisées composées de communes de régions et de
provinces ». La forme unitaire aurait été la forme naturelle du pouvoir
politique. L’unité nationale en effet résulte avant tout de l’unité du
pouvoir . Ce dernier a pour vocation d’assurer l’aharmonisation de
diverstiés culturelles fondement même de la démocratie et de la cohésion
sociale. L’Etat unitaire est celui qui ne comporte qu’un seul centre de
décision pour les affaires nationales et une seule souveraineté pour les
affaires internationales. Comme il a été souligner plus haut , l’Etat
unitaire s’aménage bien dans la décentralisation en effet a décentralisation
est à la fois une manifestation de la division verticale du pouvoir et une
constatation de l’existance d’interets locaux dans les différents espaces
territoriaux . D’une manière générale lors des principes sacro-saint est
celui du principe de l’indivisibilité de la république. Ce principe consacre
à la fois l’indivisibilité de la souveraineté, l’indivisibilité du territoire et
l’indivisibilité du peuple. La république n’est pas divisible au sens où
toute tentative de sécession s’apparente à une volonté de créer un nouvel
Etat. En conséquence dans l’Etat unitaire le gouvernement est
farouchement sévère contre tous ceux qui entravent l’unité nationale et de
surcroît, la République. Tout compte fait il ne peut exister dans un Etat
unitaire que 2 types d’aménagement du pouvoir , La décentralisation et la
déconcentration. Dans la décentralisation qui s’impose, dans toute
démocratie le pouvoir centrale consent à transférer des compétences au
profit de pouvoirs locaux . Ces derniers doivent ainsi etreadministés par
les autorités locales élues. Au contraire dans la déconcentration tel que
dans les districts ou les arrondissements , ceux sont des autorités
nommées ap le pouvoir centrale lui-même qui les administres . D’une
manière générale , l’*etat unitaire forme naturel et élémentaire du
pouvoir a pour vocation d’assurer coûte que coûte le pouvoir sur toute
l’etendue du territoire. Cela peut se faire selon des considérations de
représentation. En effet dans unETat unitaire le parlement peut
comprendre une ou deux chambres ; Lorsque la deuxième chambre
s’impose. Elle a pour vocation de représenté les CTDs c’est ce que
souligne l’Article 81 de la constitution qui dispose que « le sénat
représente les CTDs et les organisations économiques et sociales » .
l’article 83 suivant précise que « le sénat est consullté par le
gouvernement pour donner son avis sur les questions économiques
sociales et d’organisation des CTDs » .en d’autres termes la deuxième
chambre dite chambre haute doit son existence à la décentralisation elle-
même. Le developpement peut etre assuré soit dans la forme unitaire soit
dans la forme fédérale. La Chine 1ère puissance économoquie en 2014 est
exceptionnellement un grand Etat unitaire. Au contraire la plupart des
grandes puissances, voir des puissances émergentes sont sous la forme
d’Etat fédérale Etat unis d’amérique, Etat unis du Mexique , Royaume
Uni de grande brtagne et d’Irlande du nord, fédération de Russie sans
oublier les pays comme le Brésil, l’Allemagne ou l’Espagne. Les Etat
unitaires les plus célèbres sont la France, l’Italie, le Japon ou encore la
Pologne . En bref l’Etat unitaire se caractérise par un seul centre de
pouvoir. C’est-à-dire un seul pouvoir normatif, compétent pour établir les
règles applicables sur l’ensemble du terrtoire
B- L’Etat fédérale
Parmi les Etats fédéraux on peut citer encore l’Autriche la Belgique, La
Malaisie le Vénézuela, Les Emirats Arabe unis , L’inde et parmi les pays
voisins de Madagascar , le royaume uni de Tanzanie, l’Afrique du Sud ou
encore l’union des Comores. L’Etat fédérale est un Etat opposé d’autres
Etat dénommé etat fédéré genéralement ou proovince au Canada ou
canton en Suisse ou Landër en Allemagne u en Autriche . Les Etat fédérés
sont appelés simplement Etat en Russie ou aux Etats Unis. En effet ce
sont de véritable Etats avec ses élements constitutifs constitutionnels qui
s’associent contrairement a ce qui se passe dans l’Etat unitaire ou il
n’existe qu’un seul centre de pouvoir dans l’Etat fédéral le pouvoir est
assez complexe où il faut déterminé les compétences de l’Etat fédéral et
celles des Etat fédérés. L’Etat fédéral peut trouver ses fondements dans
deux situation différentes. En effet il peut s’agir soit d’un fédéralisme par
association sois d’un fédéralisme par dissociation . Dans le premier l’on
est en présence d’une associaition d’Etat unitaire. Par connivence
culturelle, économique, politique, certains Etats unitaires jusque là se
conviennetn de se regrouper en vue de manifester ensemble dans une
seule et meme volonté leur souveraineté sur le plan internationale . Bien
que les différents etats fédérés soit indépendant les uns aux autres, L’etat
fédéra seul jouis de la souveraineté aux yeux d’Etats Tiers. A l’opposé, le
fédéralisme par dissociation résulte de la dissociation lele d’un Etat
unitaire cela ne signifie pas pour autant sécession totale. Seulement l’Etat
demeure conent à ce que d’autres Etats puisse exister en son sein ; Le
fédéralisme par dissociation trouve généralement son fondement dans des
considérations démocratiques notamment des considérationeethniques ou
linguistiques revendiquées apr des troupes minoritaires. C’est le cas par
exemple de l’ex Urss ou encore de l’Autriche, devenu un Etat fédéral en
1918 après la dislocation de l’empire Austro-hongrois. La Belgique
également née en 1830 sous la forme d’Etat unitaire est devenue en 1993
un Etat fédéral suite aux tensions entre Flamants Wallons. Il en résulte de
ces cas rares que c’est l’exigence de respet et de diversité qui conduit au
fédéralisme . En Afrique ce dernier est mal accueillie en raison
notamment des sensibilités ethniques ou culturelles vues essentiellement
comme des paramètres de tensions de conflits voire de tueries carrément
comme dans le génocide du Rwanda de 1994 entre Outou et Tutsi . D’une
maniière générale la structure fédérale obéit à des considérations plutôt
culturelles que politiques c’est pourquoi dans ces Etat fédéraux il y a
moins de tension et de conflits que dans les Etats unitaire. Cependant la
fédération doit etre distinguée de la confédération cette dernière est une
association d’Etat résultant d’un trité internationale et non d’une
constitution comme dans l’Etat fédéral En effet il est question plutôt dans
la confédération de gérer ensemble deux questions ponctuelle tel que des
questions commerciale économique ou sécuritaire. Dans la confédération
les Etats s’y associant conservent leur souveraineté respective sauf dans
le cadre des matières définies dans le traité international. Le cas de
l’union Européenne est aujourd’hui critique. Pour l’heure la confédération
semble s’imposé alors que en 2004 une constitution européenne a été
adoptée. Si jamais celle-ci entrait en vigueur après les ratifications
nécessaire, l’union européenne juridiquement aurait basculé dans l’Etat
fédéral. Ce dernier seul dispose d’une constitution. D’’une manière
générale l’Etat fédérals’impose lorque les Etat eux-mêmes affichent la
volonté de défendre une seul et même souveraineté sur l’échiquier
international. En conséquences , La répartition de compétences entre
l’Etat fédérl et les Etats fédérés est un exercice crucial . Il semnle que les
matières de souveraineté sont celles qui en trait généralement aux
fonctions régaliennes de tout Etat ordinaires . Ceux sont les questions de
défense, de sécurité, de relations internationales et de monnaie. C’est
autant diree qu’en dehors de ses attributions l’’Etat fédéra n’a point de
droit de regard sur les Etats fédérés. Aux Etats Unis la peine de mort est
encore en vigueur dans certains Etat alors qu’elle est déjà abolie dans
d’autres. Enfin Chaque Etat fédéré peut à son tour s’organiser en CTD.
Démocratie exige Chaque Etat détermine ses propres
structures ,organisation et fonctionnement des CTDs
C- L’Etat régional
Le souci majeure demeure la promotion de la démocratie, comment
assurer sur toute l’étendue du territoire, les aspirations réelles des
différents individus ou des différentes collectivités come il à été souligner
plus haut , l’Etat unitaire aurait été la forme naturlle et élémentaire du
pouvoir seulement l’exigence démocratique requiert davantage des
aménagement structurels. Dans un etat unitaire décentralisé l’effectivité
de la decentralisation demeure le principale défi. Les différentes localités
réégionales doivent s’exprimées librement notamentdasn leurs affaires
propres. Le seul centre de puvoir requit dans l’Etat unitaire ne signifie
paas pour autant que le pouvoir en question dispose de compétences
entières sur toute les questions d’interet nationale ou locale d’ailleurs les
CTDs ont pour vocation de revnediquer quotidiennement une gaamme de
droits et liberté leurs permettant d’assurer le developpement local. Le
développement de la deecentralisationà ainsi conduit à l‘emergence d’un
Etat de forme nouvelle : l’Etat régional appelé également Etat
autonoique ou Etat des autonomies . Il semble qu’il se présentnt comme
une Etape de transformation d’un Etat unitaire vers un Etat fédéral . Il
touve essentiellement son fondement dans la prise en considération de
certaines valeurs sociétales ; Tel que les valeurs culturelles, linguistiques
ethniques ou religieuses . La démocratie en effet c’est aaussi le respect
des droits des minorités, elle requiert le respect des choix culturels d’un
groupe ou d’une collectivité. L’Etat unitaire s’il se veut etre véritablement
démocratique, consacre volontiers les aspirations profondes de différents
groupes composant la collectivité nationale. L’unité nationale se présente
comme un concept qui consacre le postulat selon lequel la diversité
constitue une richesse qu’en conséquence la nation est d’autant plus riche
lorsqu’elle absorbe les diversités régionales . Dans ‘Etat régional c’est la
constitution elle-même qui garantit l’autonomie régionale. En d’autres
termes les différentes collectivités doivent jouir d’un véritable droit à
l’autonomie c’est un principe constitutionnel auquel on ne peut y
déroger .Cela signifie que sa consécration ne puisse pas se transformer En
formes d’Etat fédéral.en clair l’autonomie est accordées sans que l’on
puisse reconnaitre l’existence d’un véritable Etat, Il ne peut pas y avoir
d’Etat dans l’Etat. C’est un Etat dit g régional en ce que celui-ci accorde
leur autonomie aux différentes régions . D’une manière générale , l’Etat
régional est une nouvel forme d’Etat tendant seulement vers le
fédéralisme , l’une de ses caractéristiques fondamentales , réside dans le
pouvoir normatif autonome accordé aux différentes collectivités. Pour se
faire, il y a lieu cependant de distinguer la régionalisation administrative
de la régionalisation politique. Dans la première aucune compétence
normative n’est accordée aux régions. Au contraire dans la seconde la
dualité des sources normatives s’impose avec la reconnaissance d’un
pouvoir législatif. Ainsi dans l’Etat régional, l’autonomie accordée aux
régions est plus large que dans la décentralisation classique. A
Madagascar la réviision constitutionnel apportée ppar la loi
constitutionnelle 98-001 du 8 avril 1998 consacre une institution de type
nouveau à Madagascar : La province autonome .en effet le retour au
pouvoir de Didier RATSIRAKA est marqué essentiellement par cette
innovation constitutionnelle qui tend à implanter un etat fédéral à
Madagascar. En réalité l’on peut dire que ce n’était qu’une tentative pour
le respect des aspirations réelles des différentes régions et localités à
Madagascar. L’Article 1er de la loi récité est claire en la matière : « cet
Etat est une République une et indivisible ». En d’autres termes dans
le jargon constitutionnel il s’agit bien d’un Etat unitaire. Seulement
comme le précise l’article 127 « chaque province autonome gère
démocratiquement et librement ses affaires propres dans le cadre
d’une loi statutaire adopté par le conseil provincial et conformément
aux règles fixées par les lois intérieure ». Ainsi chaque province doit
adopter sa propre loi statutaire. Cette dernière adoptée par le conseil
provincial vaut règle générale applicable dans le ressort territoriale de la
province en question. Ce pouvoir quasi-législatif fait que les provinces
disposent d’autonomie plus accrues que dans la décentralisation
ordinaire. En conséquence l’Etat Malgache résultant de la révision
constitutionnel de 1998 peut s’apparenté à la typologie de l’Etat régional.
En tout cas il ne peut pas se développé vers la forme fédérale. LLaoi
constitutionnelle de 1998 est sévère en son article 129. En mettant en
garde « toute sécession ou tentative de sécession d’une ou plusieurs
provinces autonomes est interdites ». Autrement dit lees provinces
autonomes ne doivent pas conduire ni au fédéralisme par dissociation ni
à la naissance d’un véritable Etat dissident. Enfin dans le cadre de cette
expérience des provinces autonomes à Madagascar, l’article 135 de la loi
de 1998 avait bien fait de souligner que »la loi de l’Etat prime sur la loi
des provinces autonomes ». Tout compte fait Madagascar demeure un
Etat unitaire qui compte assurer l’effectivité de la décentralisation.
SECTION 3 : L’ETAT DE DROIT
Tout système juridique s’acvhève par un système juridictionnel cela se pose tout
naturellement en raison meme de divergence de point de vue sur un texte dans la
conception du droit comme dans l’interet de chacune des partis . Il y a
contentieux lorsqu’il y a contestation d’un droit de la part d’un citoyens ou
d’une partie au litige . LA justice conqtitutionnel est celle qui proocède de
règlements de différents résultant essentiellement de l(interpretation de la
constitution Avant d’étudier la justice constitutionnel dans le cadre de la société
malgache il importe tout d’abord d’apporter des précision sur le concept de
justice constitutionnel
En d’autres Termes, Jusitc ce C °elle n’est pas umement contrôle de Cot é de loi
Comme son nom l’indique, il est question comme dns d’autres atières , De
justice ,
D’une manière générale , ce que l(in désgne par justice choir) dan de
procédé……
La démocratie est dvenue une exigence fondamentale . C’est sur sa base que les
différentes dispositions constitutionnelles vont etreharmoniser . En conséquence
le pouvoir constituant aura à peser ses mots et choisrs des éléments sémantiques
reflétant tel ou tel concepconsti juridique.
D’ue lanière générale , la souveraineté est un attribut de l’Etat. Seul l’Etat est
souverain , En sesens que lui seul peut fétenir le monopoole de a
fircedgggggggggggdu pouvoir du commendement. A contraeop aucune
autreentité ne peut prédtendre à prendre la couveraineté !
Le droit inter s’en défend en avançant que seul l’Etat peut pétendre à la
souveraineté de ces terres inhabité qui sonnt RES Niuius » c’est la
cqqasnotamentdespretentionprétentielles de la France sur les îles éparses, faisant
partis de Madagascar durant la colonisation. La France entend faire prévaloir
« Le droit du premier occupant ». En réalit les premiers aoccupantsétaint
d’abords des persioonnes briefer, des indiv .
La perfection n’est pas de ce monde c’est pour ainsi dire qu’en son état actuel à
son apogée, la séparation de pouvoir se manifeste dans la distribution des
compétences, dans trois grandes institutions le gouvernement, le parlement et
la cour constitutionnelle. Celle- ci correspondent aux trois grandes fonctions de
l’Etat, la fonction exécutive, a fonction législative et la fonction juridictionnelle.
En d’autres termes,e pouvoirs exécutif serait détenu par le gouvernement qui
n’aurait comme tache que d’exécuter les décisions prises par le pouvoir
législatif. Ce dernier en effet bien qu’il puisse etre moins prestigieux que le
pouvoir exécutif est l’instance de décision. En théorie, le pouvoir de décision
appartient au parlement. Enfin le pouvoir juridictionnel est conçu en vue de
régler les litiges dans la pratique, ils s’interposent entre le pouvoir législatif et
le pouvoir exécutif. Dans toute organisation il existe toujours des conflits de
compétences. Ce n’est pas que les textes ne sont pas toujours assez clairs mais
il arrive que le sens de responsabilité puisse conduire dans l’immixtion des
affaires dévolues à d’autres. Dans une démocratie , la décentralisation se
présente comme la manifestation de la volonté du pouvoir central de transférer
des compétences au pouvoir local en l’occurrence aux collectivités territoriales
décentralisées ou CTD . Cependant ces dernières ne rentrent pas à proprement
parler dans le cadre de la séparation des pouvoirs, comme le souligne l’article
139 de la constitution de 2010, elles « constituent le cadre institutionnelle de la
participation effective des citoyens à la gestion des affaires publiques et
garantissent l’expression de leurs diversités et de leurs spécificités » Le but
serait dans le cadre de la décentralisation de conférer la liberté aux collectivités
locales. La décentralisation repose essentiellement sur le principe de la liberté
locale ou libre administration. En conséquence , la théorie de la séparation des
pouvoirs est à distingué de la théorie de la décentralisation. Dans cette dernière
il ne s’agit pas comme le préconise Montesquieu d’arreter le pouvoir mais de
traansférer les compétences en vue d’assurer la gouvernance locale .endéfiitive
la séparation des pouvoirs peut se formuleer de la manière suivante : comme la
démocratie requiert la participation et le contrôle des citoyens, le pouvoir
étatique ne serait pas démocratique sans la mise en place d’au moins 3
institutions qui aurait chacune un pouvoir de décision, un pouvoir d’exécution
et un pouvoir de juger. Les institutions malgaches se sont inspirées également
de la théorie de la séparation de pouvoir. Bien que les trois pouvoirs existent à
travers les quatre constitutions, des institutions originales peuvent etre conçus
ainsi les insitutions de la deuxième rep malgache font apparître outre le
PRDTde la Rep,le Gouvernement, l’Assemblée Nat populaire et la HCC,des
institutions originales conçus dans le contexte de la révolution tel que le conseil
suprême de la révolution (CSR ) et le comité militaire pour le Dev (CMD).Ce
qui nous conduit à approfondir davantage la théorie de la séparation de pouvoir
dans le contexte de la rep malgache.
D’une manière générale il faut ien qu’il y ait une institution qui s’imposerait
entre le parlement et le gouvernement. Ce dernier de tout temps essai coûte que
coût de s’accaparer de toutes les fonctions de gouvernement au sens large. C’est
la raison pour laquelle il faut bien en contrôler ses impulsions. La théorie de ka
séparation des pouvoirs ne saurait être complète et efficace. Sans
l’indépeendance totale de la cour constitutionnnelle. Un regime de la
compatibilité des fonctions anime dorénavant la théorie de la séparation des
pouvoirs. Ainsi l’art 115 de la constitution actuelle souligne expressément que
« les fonctions de membre de la HCC sont incompatibles avec celles de
membres du gouvernement du parlement avec tout mandat public éléctif
tout autre activités professionnelle rémunérée à l’exception des activités
d’enseignement ainsi que toutes activités au sein d’un parti politique ou
d’un syndicat ». Une seue personnalité ne saurait exercer plusieurs fonctions
gouvernante à la fois . Autant qu’il existe d’institutions, il doit exister autant de
personnalité. En conséquence lerégime d’incompatibilité des fonctions répond
non seulement à la nécessité de séparer le pouvoir mais surtout en vue de
s’assurer du principe du pluralisme d’idée. En définitif dans le cadre de la
démocratie préconisée par la constitution de 2010, le constituant malgache,
entend mettre en œuvre la théorie de la séparation de pouvoir , tout en faisant
preuve d’originalité. La haute Cour de justice, le haut conseil de la défense
Nationale comme le haut conseil pour la défense de la démocratie et de l’Etat
de droit ne sont que des institutions « subsidiaires » sont conçues davanntages
pour essayer de contrôler encore les institutions de l’Etat officiel
préévuàl’article40 . En d’autres termes , Ces différentes intitutions ou
organisme doivent etre les unes des autres autonomes eec’est à dire , exercée
par des personnalité différente avec des administration spécifique et du budget
autant que possible, échappant au contrôle de l’Etat Cette démocratie à
Madagascar s’apprécie davantage dans les différents régimes plitique qui s’y sit
succédée.
A LE parlement