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METHODOLOGIE DE COMMENTAIRE D’ARRET

1) Quels sont les faits de l’espèce ?


Il s’agit d’une décision administrative qui affecte la situation juridique de Sieur RB ici un
avantage dont il bénéficie en sa qualité de Sénateur et conseiller du Président. La recevabilité
de la requête devant Le Conseil d’Etat qui est établi ici nous le prouve.

2) Qui est l’auteur de la saisine et la procédure ?


Sieur RB requiert devant le Conseil d’Etat l’annulation et le sursis à exécution de la décision
du n°27-MFB/SG/DGB/3 Du 18 juin 2009 portant retrait d’un logement administratif en sa
qualité de Conseiller du Président. Au motif de cette annulation Sieur RB soulève le cadre
d’une question préjudiciel en application de l’Article 114 de la constitution, il soulève
l’Inconstitutionnalité de l’ordonnance 2009-003 du 18 mars 2009 portant suspension du
parlement par la HAT l’exception en inconstitutionnalité est dit la cour régulière en la forme.

3) Quelle est la question de droit ?


L’ordonnance 2009-003 adopte par une autorité de fait portant suspension du parlement et sur
la base de laquelle l’administration de la transition décide de retirer un avantage reconnu à un
Sénateur élu est-elle conforme à la Constitution ?

4) Les arguments des partis


Paragraphe 11, 12,13
Le passage à une période de transition de fait suite aux ordonnances n°2009-001 et n°2009-
002 prises le 17 mars 2009 à Engendrée par la disparition de l’organisation étatique initiale et
la mise en place d’autorité de fait, que l’application des mesures administratives conformes aux
lois et règlements en vigueur relevé de la compétence de ces autorités de fait.

5) Quelle est la réponse de la Cour ?


Rejet de la Cour, Irrecevable

L’administration ne devait-elle pas par simple bonne foi chercher à justifier en quoi sa décision
clairement pré justiciable pour un administré est au moins conforme à la constitution. La Haute Cour
semble réagir a se fait en rappelant sur 3 paragraphes, l’importance de cette possibilité pour
l’administration.

II- L’inconstitutionnalité de l’ordonnance 2009-003.

Sieur RB soulève l’inconstitutionnalité de l’ordonnance sur la base de motif d’une part qu’elle a été
adoptée par une institution non prévue par la Constitution. D’autre part que l’ordonnance en
question n’a pas fait l’objet d’une connaissance à postériori par la juridiction constitutionnelle. Le
premier moyen se fonde sur une simple lecture de la constitution. Cette dernière énumérant de
manière exhaustive les institutions de la République. En outre la compétence de légiféré par
ordonnance est un point délicat en ce qu’il s’agit d’une confusion exceptionnelle du pouvoir. Dans les
Démocraties occidentales en raison de ces faits, cette compétence est strictement encadrée afin
d’éviter les abus de l’exécutif. En France par exemple, elle doit être expressément autorisé par le
pârmeen,t pour une matière précise et pour un temps limité. L’ordonnance est dons une exception
au principe de la souveraineté parlementaire qui doit être préservé en matière législative. Ce n’est
donc que par l’intermédiaire de l.. que l’exécutif peut exercer ce pouvoir. Dans le cas qui nous est
soumis c’est l’exécutif de la transition qui a suspendu le Parlement et légiféré par ordonnance.
D’autre part Sieur RB semble incohérent dans ses moyens. il soulève en effet que l’ordonnance n’as
pas fait d’objet d’une reconnaissance formelle toute en prétendant qu’elle a été adopté par une
institution nonprévue par la constitution. Comment la HHC pourrait-elle pu formellement
reconnaitre un acte pris par une autorité qui selon Sieur RB lui-même n’est pas conforme à la
constitution. On pourrait donc penser qu’il s’agit d’un motif abondant. On ne pourrait justifier cette
précotion supplémentaire prise par Sieur RB qu’à la lecture du paragraphe 11 où la HCC fait
référence à sa propre décision numéro 2 HCC dans laquelle elle reçoit l’existence d’une situation de
fait donc non inscrite dans la droit en vigueur tout en habilitant les autorité appliqués les mésures
administratives conformes au loi et règlements en vigueur.

III- La démarche contradictoire de la Haute Cour :

Parmi les moyens invoqués par la Cour pour rejeter l’exception se trouve une existence de lien entre
l’acte administratif objet de la requête devant le conseil d’Etat et l’ordonnance dont
l’inconstitutionnalité de ainsi il semble contradictoire à la lecture de l’intégralité de l’arrêt, la
HHC ses vertus à argumenter au fond un moyen qu’elle prétend pourtant sans lien avec l’objet du
litige. En outre, elle avance que la transition de fait à engendrer la disparition de , mais quelle
est la qualification juridique qui s’y est à cette transition de fait ? Celle qui convient à l’organisation
étatique initiale, la Cour devait répondre à ces questions car elle constitue l’objet même l . En
réalité à la lecture du premier moyen, on retrouve dans les paragraphes 11 12 13, la cour répond a
une double question dont l’éléments sont indiqués de façon causale. Les autorités de fait, au regard
de la Constitution ont elles d’une part la compétence qui dissout le Parlement et qui au regard de son
contenu instaure également un nouvel exécutif entrainant ainsi pour RB tend ma perte de qualité de
Sénateur que Conseiller de Président de la République.. dont l’un d’entre eux a pour objet ici
de porter atteinte a un avantage a qui par un administré. La réponse a cette double question tient
comme une phrase, oui si l’ordonnance dont il est question et conforme et en la forme à la
Constitution.

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