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Système d’information 1
2022/2023
Objectifs
i
Grossière
SI Système d’information
SIA Système d’Information Automatisé
SAI Système Automatisé d’Information
ii
Table des matières
Introduction Générale 1
iii
Table des matières iv
2 Outils d’analyse 17
2.1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
2.2 Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
2.2.1 Donnée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
2.2.2 Information . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
2.2.3 Processus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
2.2.4 Connaissance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
2.2.4.1 Critères de qualité d’une information . . . . . . . . . . 19
2.2.5 Rôle de l’information . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
2.2.6 Classes de l’information . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
2.3 Représentation de l’information . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
2.3.1 Notion d’entité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
2.3.2 Notion d’association . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
2.3.2.1 Cardinalités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
2.3.2.2 Dimension d’une association . . . . . . . . . . . . . . 22
2.3.3 Notion de propriété . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
2.3.3.1 Dictionnaire de données . . . . . . . . . . . . . . . . . 23
2.3.4 Notion d’occurrence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24
2.3.5 Identifiant (ou Clé) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
2.3.6 Formalisme graphique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
2.3.7 Notion de fichier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26
2.4 Codification . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
Table des matières v
2.4.1 Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28
2.4.2 Types de codification . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28
2.4.2.1 Codification séquentielle . . . . . . . . . . . . . . . . 28
2.4.2.2 Codification par tranches . . . . . . . . . . . . . . . . 28
2.4.2.3 Codification articulée . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29
2.4.2.4 Codification mnémonique ou significative . . . . . . . 30
2.4.2.5 Codes contrôlables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30
2.4.3 Comment choisir une codification . . . . . . . . . . . . . . . . . 30
2.5 Contrôle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
2.5.1 Nécessité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
2.5.2 Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
2.5.3 Types de contrôle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
2.5.3.1 Contrôles directs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
2.5.3.2 Contrôles indirects . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32
2.6 Coût de stockage et de transport de l’information . . . . . . . . . . . . 33
2.6.1 Techniques de compression de l’information . . . . . . . . . . . 33
2.7 Confidentialité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33
2.7.1 Techniques de cryptage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33
viii
Table des figures ix
3.1 ETUDIANT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38
3.2 Employé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40
3.3 Domaines d’attributs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40
3.4 La relation DEPT et les lignes à ajouter . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41
3.5 La relation noteetd . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52
3.6 CLIENT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55
3.7 PCLIENT1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56
3.8 SCLIENT1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56
3.9 LIVREB1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57
3.10 LIVREB2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57
3.11 INTERLIVRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57
3.12 UNIONLIVRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58
3.13 DIFLIVRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59
x
Introduction Générale
1
Chapitre 1. Introduction au système d’information 2
Chapitre 1
Introduction au système
d’information
Objectifs
1. Savoir ce qu’est un système d’information,
4. Connaître le cycle de vie et les phases de mise en place d’un système d’informa-
tion,
1.1 Introduction
Dans l’activité de chaque organisation, on utilise une quantité importante d’infor-
mations. Pour être utilisables pour la prise des décisions, ces informations doivent
être stockées, diffusées, traitées et transformées. Toute organisation utilise de l’infor-
mation pour son fonctionnement ou pour communiquer avec son environnement. Le
gestionnaire doit être capable de traiter (ou accompagner le traitement) l’informa-
tion et la rendre utile et rentable pour l’organisation.
Chapitre 1. Introduction au système d’information 3
1.2 Définitions
1.2.1 Système
Définition 1.1. Un système est un ensemble d’éléments interagissant entre eux selon
certains principes ou règles.
1.2.2 Organisation
Définition 1.3. Une organisation est un ensemble d’individus, regroupés au sein d’une
structure régulée, ayant un système de communication pour faciliter la circulation de
l’information, dans le but de répondre à des besoins et d’atteindre des objectifs détermi-
nés.
Organiser c’est :
Par exemple :
1. Système opérant (SO) : Il est chargé d’effectuer toutes les opérations d’exécu-
tion. Il englobe toutes les fonctions liées à l’activité propre de l’organisation :
facturer les clients, régler les salariés, gérer les stocks.
1.2.3 Entreprise
L’entreprise est un élément de la société, un corps social avec ses aspects : juri-
dique, financiers et sociaux. Elle est régie par son environnement, tout comme elle
régit cette environnement car :
- Moyens matériels : sont les moyens physiques utilisés par l’entreprise pour fa-
briquer des biens ou réaliser des services.
Les moyens mis à la disposition de l’entreprise sont utilisés pour réaliser sa mission.
Celle-ci peut être définie comme la production de biens ou de services nécessaire à la
satisfaction des besoins individuels et collectifs. Exemples :
- Les entreprises commerciales : Elles achètent des biens qui sont appelés «
marchandises » pour les revendre en état sans leur faire subir des transfor-
mations.
la hiérarchie.
Donc, l’entreprise n’est pas isolée, elle a besoin de nombreux partenaires. La figure
1.3 illustre un schéma de l’environnement de l’entreprise.
1.2.3.5 Exercice
Nous voulons représenter par un circuit d’information le processus d’inscription
d’un nouveau bachelier à la Faculté des NTIC.
Le nouveau bachelier doit en premier déposer son relevé de note original, son af-
fectation définitive et les frais d’inscription au niveau du service inscription du vice-
rectorat de la pédagogie. Le responsable lui remet un reçu de paiement, un certificat
de scolarité et sa carte d’étudiant.
Il se présente ensuite au service scolarité de la Faculté NTIC pour déposer un dossier
contenant un acte de naissance, une copie du relevé de notes du BAC, une copie de
l’affectation définitive et 2 photos. La secrétaire lui remet une fiche d’information
qu’il remplit et la remet à la secrétaire. Établir le circuit d’information correspondant
à ce problème.
Chapitre 1. Introduction au système d’information 9
- Il faut retenir, parmi les informations collectées, celles qui sont pertinentes en
regard des activités de l’entreprise (tâche d’analyse).
La collection des informations est réalisée auprès de sources externes qui corres-
pondent à toutes les composantes de l’environnement qui génèrent de l’information
(organismes professionnels par exemple) et de sources internes qui correspondent à
toutes les composantes de l’entreprise qui produisent de l’information (ex : service
comptable).
- Manuels.
pour déterminer les sorties car les mêmes entrées peuvent donner lieu à différentes
sorties.
Exemple : La décision de racheter un étudiant n’est pas programmable car il y a des
Chapitre 1. Introduction au système d’information 12
choix à faire suivant l’étudiant. Ce choix incombe aux membres du jury qui délibère,
seul l’être humain peut trancher dans ces situations.
On en déduit que seules les parties du système d’information correspondant à des
décisions programmables seront automatisées. Le sous ensemble automatisées sera
appelé Système d’Information Automatisé (SIA) .
Or, même l’ensemble de toutes les décisions programmables du SI doivent être sou-
mises au choix des décideurs quand à la priorité de ce qui devra ou non être automa-
tisé. Étant donné que l’automatisation est une opération coûteuse en moyens finan-
ciers, humains et en temps. De plus, l’automatisation peut conduire dans beaucoup
de cas à un bouleversement de l’organisation sur le plan des tâches, des procédures
et organigrammes.
Exemple : Règle d’achat d’un produit : quantité du produit < seuil.
D’ou à partir du SIA, on devra dégager un système automatisé d’information SAI qui
concernera uniquement l’ensemble des décisions programmables pour lesquelles la
priorité aura été fixée. Le SAI peut être vu comme un SI artificiel qui sera greffé au
SI réel. Ceci est représenté par la figure 1.7.
Le SI ne doit donc pas être assimilé au système informatique qui n’en est qu’un sous-
ensemble. Le système informatique constitue un support du SI qui prend en charge
l’information numérisée et les traitements automatisés. D’une manière générale, ce
sont la taille, le secteur d’activité, l’ancienneté de l’entreprise mais aussi la stratégie
des dirigeants qui déterminent le niveau d’automatisation d’un SI.
- Conception du système
Dans ce cours, nous allons nous pencher sur quelques méthodes basées sur la dé-
marche systémique.
1.10 Conclusion
Chapitre 2
Outils d’analyse
2.1 Introduction
Nous introduirons dans ce chapitre les éléments de base pour mener à bien une
analyse d’un système d’information informatisé.
2.2 Définitions
2.2.1 Donnée
Les données consistent en des réalités brutes. Elles sont les résultats direct d’une
mesure. Elles peut être collectées par un outil de supervision, par une personne ou
être déjà présente dans une base de données. Une donnée seule ne permet pas de
prendre une décision sur une action à lancer. Par exemple :un numéro d’employé, le
nombre total d’heures travaillées dans une semaine.
Comme le montre le tableau 2.1, plusieurs types de données peuvent représenter ces
réalités. Lorsque les réalités sont arrangées de manière significative, ils deviennent
de l’information.
17
Chapitre 2. Outils d’analyse 18
2.2.2 Information
Une information est un ensemble de réalités organisées de manière à avoir une
valeur supplémentaire au-delà de la valeur des réalités individuels. C’est à dire, une
information est une donnée à laquelle un sens et une interprétation ont été donnés.
Une information permet à un responsable opérationnel de prendre une décision
(d’échelle locale ou à petite échelle) sur une action à mener.
Par exemple, les directeurs des ventes peuvent trouver que connaître le total des
ventes mensuelles convient mieux à leur objectif (c’est-à-dire qu’il a plus de valeur)
que de connaître le nombre de ventes pour chaque représentant commercial. Fournir
des informations aux clients peut également aider les entreprises à augmenter leurs
revenus et leurs bénéfices.
2.2.3 Processus
Le processus transforme des données en informations ou est un ensemble de
tâches logiquement liées effectuées pour atteindre un résultat défini. Le processus
de définition des relations entre les données pour créer des informations utiles né-
cessite des connaissances.
2.2.4 Connaissance
La connaissance est la prise de conscience et la compréhension d’un ensemble
d’informations et les façons dont ces informations peuvent être rendues utiles pour
soutenir une tâche spécifique ou prendre une décision. Avoir des connaissances signi-
fie comprendre les relations dans l’information. Par exemple : Une partie des connais-
sances dont vous avez besoin pour construire une disposition de chemin de fer, est
la compréhension de l’espace dont vous disposez pour la disposition, du nombre de
trains qui circuleront sur la voie et de la vitesse à laquelle ils voyageront.
Le lien entre les différents concepts est résumé par la figure 2.1.
La sélection ou le rejet des données en fonction de leur pertinence pour des tâches
particulières est basé sur les connaissances utilisées dans le processus de conversion
des données en informations. Par conséquent, vous pouvez également considérer
les informations comme des données rendues plus utiles grâce à l’application des
connaissances.
Chapitre 2. Outils d’analyse 19
Les travailleurs du savoir (Knowledge workers KW) sont des personnes qui créent,
utilisent et diffusent des connaissances, et sont généralement des professionnels des
sciences, de l’ingénierie, des affaires et d’autres domaines.
Un système de gestion des connaissances (knowledge management system KMS)
est un ensemble organisé de personnes, de procédures, de logiciels, de bases de don-
nées et d’appareils utilisés pour créer, stocker et utiliser les connaissances et l’expé-
rience de l’entreprise.
- Exacte, valide : décrit bien la réalité et provient d’une source digne de confiance.
L’information joue un rôle fondamental dans les relations entre les éléments du sys-
tème. L’activité de service est guidée par les ordres de la direction.
Remarque On parle d’entité type c’est à dire classe d’entité ayant des propriétés
analogues.
Exemple : l’entité personne est l’entité type de deux entités : étudiant et enseignant.
2.3.2.1 Cardinalités
La cardinalité est notée sous la forme (X,Y), X est le nombre minimum d’occur-
rences de l’entité1 relié à l’entité2 et Y est le nombre maximum d’occurrences de
l’entité1 relié à l’entité2.
Dans la pratique on gère les cardinalités suivantes :
- 0,1 : Chaque occurrence de l’entité est relié à au plus une occurrence de l’asso-
ciation. Exemple : Un employé est responsable d’au plus un service.
- Obligatoire ou facultative.
- Unique dans le modèle, Deux ou plusieurs entités ne peuvent jamais avoir une
même propriété (Exemple : Nous avons défini raisonSociale comme propriété
dans l’entité Client, celle – ci ne peut pas être définie dans l’entité Facture.
Chapitre 2. Outils d’analyse 24
- Exemple de Polysème :
Date est une propriété qui peut représenter la date de la commande client
et la date de livraison. Dans cet exemple, il faut utiliser deux propriétés
pour représenter chacune des deux dates, ComDate pour la date de la
commande et LivDate pour la date de livraison.
- Exemple de synonyme :
Libellé et désignation sont deux propriétés qui ont représentent le nom
d’un produit, ils ont donc le même sens. Dans cet exemple, il faut choisir
un seul nom pour désigner le nom du produit.
(a) Occurrence d’une propriété Toute valeur prise par la propriété définit une
occurrence de la propriété.
La propriété Date_naiss prend les valeurs (donc les occurrences) : 28/10/96 ;
08/10/95 ; 23/01/97 ; 02/09/95.
Chapitre 2. Outils d’analyse 25
(b) Occurrence d’une entité L’ensemble de valeurs prises par les propriétés carac-
térisant une entité définit l’occurrence d’une entité.
Exemple : Chaque ligne du tableau 2.3 est une occurrence de l’entité Étudiant.
F IGURE 2.2 – Formalisme graphique de deux entités liés par une association.
(a) Structure d’un fichier : c’est un ensemble d’informations, il est à vrai dire un
ensemble d’ensembles d’informations. Le deuxième ensemble est un groupe de
propriétés relatives à une même entité. Ce groupe de propriétés constitue ce
que l’on appelle un enregistrement. Nous pouvons dire qu’un fichier est un en-
semble d’enregistrements. Exemple : Soit le fichier étudiant constitué d’un en-
semble d’informations relatives aux étudiants. ( Matricule (Mat), nom, prénom,
date-naissance, adresse, année-cursus, année-Bac ). Cette suite d’informations
constitue la structure de l’enregistrement du fichier étudiant. La structure d’un
fichier est la structure de l’enregistrement qui le constitue.
- Exemple :
Chapitre 2. Outils d’analyse 27
(a)
(b)
F IGURE 2.4 – (a) Exemple : association n-naire. (b) Exemple : association réflexive.
2.4 Codification
Les informations saisies par les organisations se présentent parfois sous des formes
difficiles à exploiter : elles sont volumineuses, verbeuses, la même information peut
Chapitre 2. Outils d’analyse 28
2.4.1 Définition
Définition 2.1. La codification est une opération d’optimisation, elle substitue à une
information sous forme naturelle, un symbole conventionnel (code) qui est mieux adapté
aux objectifs de l’utilisateur et au traitement automatique.
1. Codification juxtaposée se présente sous forme d’une série de champs les uns
à côté des autres.
Exemple : codification des numéros d’immatriculation des véhicules (voire la
figure 2.5).
- Vérifier d’abord s’il existe des codifications déjà proposées par des organismes
spécialisés,
- Définir la codification avec les personnes qui auront par la suite à l’utiliser,
Chapitre 2. Outils d’analyse 31
2.5 Contrôle
2.5.1 Nécessité
Les informations qui circulent dans une organisation sont très importantes pour
son bon fonctionnement et la prise de décision par ses dirigeants. C’est pourquoi
l’intrusion d’une erreur dans ces informations peut être fatale à l’organisation. Pour
éviter ces erreurs, il faut prévoir des contrôles.
2.5.2 Définition
Contrôler une information c’est vérifier sa justesse et sa conformité à la réalité de
l’organisation.
Exemple : Soit le code d’un employé : (CodeService/NunSéquentiel)=(A/999).
Si CodeService ∈ [P, D, S, C] alors le code employé F/010 est erroné, car le Co-
deService F ne correspond à aucun service de l’entreprise. Remarques : Le contrôle
peut être effectué par l’observation ou le calcul comme il peut être réalisé par la ma-
chine(l’ordinateur). Dans ce dernier cas, c’est à l’utilisateur de spécifier à la machine
les caractéristiques de l’information qui doivent être contrôlées.
d’un employé.
- Ancienneté : 10 ans.
2.7 Confidentialité
2.7.1 Techniques de cryptage