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Sciences de L'ingénieur
Sciences de L'ingénieur
de l’Ingénieur
Support de cours
«Niveau : T.C.T»
Nom :
Prénom :
Classe :
Prof : A. MOUTALATIF
Lycée : Hassan II
Saison20.. / 20..
Présentation :
Ce document s’organise sous forme de 2 volets qui sont :
Module II :
Module III :
Partie 2 « Annexes » :
Symboles électriques :
L’Analyse
Fonctionnelle
Cours & activités
I) Le besoin :
1- Notion de besoin :
Dans sa vie quotidienne l’Homme éprouve un ensemble de besoins à satisfaire qui sont de différentes natures:
-Les besoins primaires : sont ceux qui sont indispensables à la vie tels que la nourriture, l’habillement…
-Les besoins secondaires : c’est ce qui est nécessaire, mais non indispensable à la survie tels que la lecture,
les loisirs….
-Les besoins tertiaires : sont ceux qui comprennent le superflu tels que les gadgets, les futilités…
1-1- Différents types de besoin :
2- Notion d’exigence :
Définition : L’exigence est un besoin ou une attente pouvant être formulés, habituellement implicites, ou
imposés.
Le terme exigence couvre aussi bien les exigences du marché (clients) que celles qui sont internes
à l’entreprise et réglementaires.
1- Produit :
Définition : Le produit est ce qui est fourni à un utilisateur pour répondre à un besoin.
2- Types de produits :
On peut classer les produits en trois types :
Matériel :
Fluide (gaz ou liquide) exemple Butane, essence, eau, etc.
Matière première : exemple : minerai, bois, sel, etc.
Objet : exemple : ordinateur, réfrigérateur, etc.
Processus :
Processus industriel : exemple : - assemblage de la carrosserie d’une voiture - extraction d’huiles à partir
des olives
Processus administratif : exemple : - l’obtention de la carte d’identité nationale - obtention permis de
conduire, etc.
Service : activité qui ne produit pas directement de bien concret,
Exemple : - société de gardiennage, - banques, - assurances- télécommunications (téléphone et Internet) -
établissements scolaires …
Un produit industriel, que qu’il soit, répond pratiquement au même parcours de sa naissance jusqu'à sa
disparition. Les différentes étapes de son cycle de vie sont les suivantes :
1. Analyse du besoin :
Un produit n'est viable commercialement que s'il satisfait les attentes de l'utilisateur (généralement le client).
Il faut donc, avant d'entreprendre toute action d'industrialisation, analyser correctement le besoin de celui-ci.
2. Etude de la faisabilité :
Cette étude permet d'exprimer le besoin sous forme fonctionnelle afin d'établir le Cahier des Charges
Fonctionnelles (C.d.C.F).
On considère le produit non plus comme un assemblage de pièces mais comme une composition de
différentes " Fonctions de Service ".
3. Conception du produit :
Pour chacune des " Fonctions de Service " définies dans l'Etude de Faisabilité, il faut rechercher la solution
optimum répondant à celles-ci et rédiger le dossier d'Avant-projet (dessin d’ensemble).
4. Définition du produit :
A partir du Dossier d'Avant-projet, il faut définir chaque pièce constituant le produit selon 2 critères :
Définition géométrique (étude des formes de la pièce)
Définition dimensionnelle (cotation).
5. Industrialisation du produit :
L'industrialisation permet la préparation à la fabrication du produit en définissant les éléments nécessaires
à la production.
6. Homologation du produit :
Avant de passer à l'étape de production, le produit subira une phase d'homologation afin de vérifier :
La cohérence du produit de présérie avec le C.d.C.F. et les normes en vigueur (sécurité, respect
de l'environnement...)
Le bon déroulement du processus d'industrialisation.
7. Production :
Cette étape concerne la réalisation du produit en tenant compte des délais de production imposée et la bonne
qualité du produit défini précédemment.
8. Commercialisation :
C’est une des étapes les plus importantes du cycle de vie d’un produit car elle permet le transfert du produit de
l’industriel vers le l’utilisateur.
III)Entreprise industrielle :
Définition : Une entreprise industrielle est un système de production de biens répondant à un besoin. Son
objectif est de produire pour vendre afin d’obtenir des bénéfices.
Elle est organisée selon un organigramme qui prend en compte la répartition adéquate des tâches entre ses
différents départements et services. Cet organigramme varie énormément en passant d’une entreprise classée
PME à une filiale de multinationale par exemple.
Exemple d’organigramme :
1- Structure :
2- Fonctions internes :
L’entreprise est comme un ensemble hiérarchisé de fonctions. Elle se caractérise en effet par tout un réseau à
la fois hiérarchique et technique qui règle son fonctionnement.
L’ensemble hiérarchisé peut être synthétisé selon une multitude de classifications.
La classification ci-dessous en est un exemple :
3- Contraintes économiques :
Toute entreprise en général et industrielle en particulier est confrontée, donc, à la concurrence. Ainsi pour
pouvoir survivre face aux défis du marché, elle doit tenir compte d’un certain nombre de facteurs influençant
la qualité de ses produits notamment :
optimiser la gestion des ressources humaines ;
minimiser les charges directes et indirectes ;
rechercher les solutions optimales en vue d’offrir des produits conformes aux besoins du client.
Sciences de l’Ingénieur « TCT » 5 M I : Analyse fonctionnelle
IV) Réponse au besoin :
2- Qualité du produit :
La qualité d’un produit (ou d'un service) est l'aptitude à satisfaire le besoin du client en assurant les exigences
suivantes :
La conformité à l’usage : la satisfaction d’utilisation du produit
La sûreté de fonctionnement : décrit la disponibilité d’utilisation du produit et les facteurs qui
la conditionnent : la fiabilité, les règles de maintenance et logistique de maintenance,
Le respect des délais : de fabrication et de livraison.
L’optimisation du coût : minimisation de la charge ou la dépense supportée par le fabricant.
V) Processus :
1- Définition :
Un processus est un ensemble d’activités interactives qui transforme des éléments d’entrée, appelés matière d’œuvre,
en éléments de sortie appelés communément produits.
2- Entrées / Sorties :
Les éléments d’entrée d’un processus sont généralement les éléments de sortie d’un autre processus. Les
processus d’un organisme sont généralement planifiés et mis en œuvre dans des conditions maitrisés afin
d’apporter une valeur ajoutée.
*Valeur ajoutée : lors de son passage dans le système, la matière d'œuvre subit une modification ou
transformation. On dit que le système lui a apporté de la valeur ajoutée. La valeur ajoutée peut être un
déplacement, une transformation, un stockage, etc.
*Ordonner : Classer les fonctions de service de manière logique et permettant d’identifier les relations
d’interdépendance entre elles.
*Caractériser : Enoncer les critères d’appréciations, préciser leurs niveaux et indiquer la flexibilité.
*Hiérarchiser : Possibilité d’évaluer l’ordre d’importance des fonctions.
L'analyse fonctionnelle externe, décrit le point de vue de l'utilisateur et ne s'intéresse au produit qu'en tant que
"boite noire" capable de fournir des services dans son environnement durant son cycle d'utilisation.
Pour énoncer le besoin fondamental d’un produit, on utilise l’outil ou diagramme de "bête à cornes", qui pose
3 questions fondamentales suivantes :
Remarque : La réponse à la question " Sur quoi le produit agit-il ?" détermine en général la matière
d’œuvre sur laquelle agit le produit.
Un Actigramme est un bloc ou boîte fonctionnelle, qui indique la nature de l'activité d'un système ; il est
représenté par un rectangle comme suit :
Exemple :
A-0
a) Fonctions de service :
Définition : Comme le rôle d’un produit est de satisfaire le besoin d’un utilisateur donné, c.à.d. lui rendre des
services, toutes les fonctions d’un produit sont alors des fonctions de service du point de vue de l’utilisateur,
donc la fonction de service est l’action attendue d’un produit (ou réalisée par lui) pour répondre à un élément
du besoin.
Elle est décrite par un verbe à l'infinitif suivi d'un complément ;
Elle peut être une fonction :
d'usage : Répond au besoin rationnel ou objectif de l’utilisateur car elle justifie le pourquoi de l'utilisation
du système ;
d'estime : Répond à un besoin subjectif ou superflu car elle concerne par exemple l’aspect d'esthétisme, de
qualité, de coût, etc.
Cette recherche consiste à faire figurer sur un graphique les éléments environnants le produit .
On distingue deux types de fonctions de service :
les Fonctions Contraintes (FC) représentent toutes les contraintes générées par les milieux extérieurs au
produit. (exigences imposées au produit par eux).
Remarque : une contrainte est une limitation à la liberté de choix du concepteur du produit.
-Types de milieu : En général, les éléments de l'environnement d'un système donné peuvent être des milieux
habituels suivants :
Milieu physique : milieu ambiant (vent, humidité, chaleur, poussière, etc.) ;
Milieu technique : énergie (électrique, autonomie, recharge ; etc.) ;
Milieu humain : utilisateur (ergonomie, esthétique, bruit, sécurité ; etc.).
Milieu économique : critères de qualité (coût, entretien, maintenance, etc.).
Exemple :
Remarque : il ya une troisième catégorie de ces fonctions de service qui ne sont pas utilisées dans le diagramme
pieuvre elles sont :
les Fonctions Complémentaires : fonctions répondant à des besoins secondaires.
Exemple :
FC5
A0
Chaque niveau décompose le système du niveau précédent en sous-systèmes. On doit retrouver les matières
d’œuvres, sorties secondaires et les données de contrôle des niveaux précédents.
**Démarche :
• L'Actigramme de niveau le plus élevé, noté A-0 correspond à la finalité ou la fonction globale du système ;
• Ce diagramme de niveau A-0 se décompose en n diagrammes : A1 à An (A0) ;
• Chacun des diagrammes A1 à An est décomposé à son tour suivant le même principe. Dans l'exemple ci-
dessous :
□ A0 représente le niveau 0, donc la fonction globale du système ; elle se décompose en n sous-
systèmes A1, A2 ... An ;
□ A1 se décompose en A11, A12 et A13 ;
□ Et ainsi de suite.
• La décomposition se termine si le niveau souhaité pour assurer l'objectif est atteint ;
• Dans chaque diagramme ou niveau, on définit les relations entre les sous systèmes (et aussi avec les matières
d’œuvres, sorties secondaires et les données de contrôle).
Exemple :
A0
M.O.E
(Effecteur
3-2) Chaîne d’énergie : M.O.S
Une chaîne d’énergie regroupe les unités réalisant les fonctions génériques : alimenter, distribuer, convertir
et transmettre.
Elle assure, à partir des ordres élaborés au sein des constituants de l’unité de traitement, les animations
nécessaires aux actions sur la matière d’œuvre
Fonctions génériques, flux d’énergie et composants
(Préactionneurs/Distributeurs) (Actionneurs/Convertisseurs)
(Systèmes de transmission)
Une chaîne d’information regroupe les unités réalisant les fonctions génériques : acquérir, traiter et
communiquer.
Sa mission consiste à prélever l’information source et à élaborer son image informationnelle compatible avec
les énergies utilisées par l’unité de traitement (pneumatique, électrique, électronique…) et de communiquer le
résultat.
Fonctions génériques et flux d’information et composants Vers la
De la PO PO
Vers l’utilisateur
De l’utilisateur ou ou autre système
autre système (par IHM de sortie)
(par IHM d’entrée)
La DDP consiste à concevoir, innover, créer et réaliser un produit à partir d’un besoin à satisfaire ; il s’agit à
la fois d’un art et d’une science.
Etapes d’une DDP (exemple) :
Identification du besoin : étude de marché, définition du besoin, étude de faisabilité,
spécification des tâches.
Conceptualisation : analyse fonctionnelle, exigences (durée de vie, coût, performance, qualité,
…), Contraintes (normes, brevets, …). => Cahier des charges fonctionnel (C.d.C.F).
Avant-projet : recherche de différentes solutions => choix d’une (et une seule) solution
=> rédaction du dossier d'Avant-projet.
Projet : étude détaillée de la solution retenue (conception, notices de calcul, simulations
numériques, …), prototypage, essais et optimisation ; production de plan (dessin technique, notice
de montage, de maintenance, …).
production : fabrication, contrôle, assemblage.
Logistique : conditionnement, stockage, transport, …
Vente : distribution, mise en service.
Service Après Vente (SAV) : utilisation, maintenance.
Définition : Un système technique est un ensemble d’éléments matériels en relation, organisés pour satisfaire
un ou plusieurs besoins.
Un système (produit en général) répond à un besoin éprouvé par l’utilisateur.
Prenons l’exemple d’un particulier qui souhaite installer un store de protection solaire sur une des portes
vitrées de sa maison. De plus, ce store doit pouvoir être remonté en cas de vent violent. Il existe différentes
solutions pour atteindre ce but.
Le store (figure 1) est manœuvré par l’opérateur qui utilise son énergie musculaire pour monter et descendre
le store. C’est l’usager qui décide en fonction de la présence du soleil de conduire cette action.
Dans un système élémentaire ou manuel c’est l’homme qui fournit l’énergie nécessaire au système. L’homme
agit et contrôle en permanence son action, c’est lui qui dirige la succession des opérations.
Le store (figure 2) est manœuvré par un moteur électrique. L’homme n’agit plus directement sur le produit
mais commande le moteur par l’intermédiaire d’un interrupteur. C’est l’usager qui décide encore de
monter ou de descendre le store.
Dans un système mécanisé, l’énergie nécessaire à la transformation du produit est fournie par une source
extérieure. L’homme commande la succession des opérations (ordres).
L’énergie nécessaire au déplacement du store (figure 3) est fournie par un moteur électrique, mais c’est le
système qui commande en fonction des conditions climatiques d’abaisser ou de monter le store.
Dans un système automatisé, l’énergie nécessaire à la transformation du produit est fournie par une source
extérieure. Un « automate » dirige la succession des opérations. L’homme surveille le système et peut
dialoguer avec lui par l’intermédiaire d’un « pupitre » (les IHM).
Pour l’utilisateur
De l’utilisateur
Établir le diagramme bête à cornes des systèmes suivants : Cafetière / Réfrigérateur / Imprimante / machine à
laver / Voiture / Grille-pain.
Compléter l’actigramme de la fonction globale des systèmes suivants à l’aide des propositions :
Système 1 : - Le Moulinet - Gérer le stockage et la tension du fil de pêche- Fil enroulé- Fil déroulé- Contrôle du fil.
Moulinet
Système 2 : - Pain grillé - Miettes - mise en marche - Chargement manuel du pain – Bip ‘‘fin de l’opération’’ -
Griller le pain - Pain non grillé - Chaleur - choix de la durée - électricité - Grille-pain.
Système 3 : -Énergie électrique - Eau - Café chaud - Faire du café - M/A - Dosage du café - Cafetière - Filtre usagé
- choix du nombre de tasse - Café en poudre.
: FP :
Miettes
FC1 : Optimiser la consommation de l’énergie électrique. FC3 FC1
FC2 : FC2 Esthétique
Grille-pain
FC3 : FP
FP1 :
Qualité Données
FP2 :
FP1
FC1 FC3 FC4
FC1 Ordinateur
: Utilisateur Imprimante
FP2
FC2 FC5
FC2 Papier
: Entretien
FC3
FC4
: FC5
FP : Normes de Qualité
Meubles FC5
FC1 : FC1 FC3
FC6 Œil
FC2 :
UtilisateurAspirateur
FC3 : FP
FC2 FC4
FC4 : Poussière
Environnement
FC5 :
FC6 :
Exercice 4 : Caractérisation des FS :
FC4
Gr
FC4 FC6
Aspirate
Système 2 : Aspirateur : Stocker la poussière // S’alimenter avec la tension du secteur // Turbine // Isoler
et stocker la poussière // Moteur électrique // Boite de stockage // Canaliser l’air // Filtre // Créer une
dépression (aspiration) // Variateur .
liste des propositions : Ordres – Programmateur – Pompe – Résistance chauffante – Tambour – Électrovanne.
Distributeur de boissons
Liste des propositions : -- Clavier -- Préparer et servir la boisson -- Carte processeur -- Encaisser le
paiement – Ordres.
……………… …………………
Énergie
…………………
Piloter le …………………
système
…………
Acquérir le
choix du client
……… …………………
…
………………
………..
………..
…………
………………
….......
Tôle découpée
Tapis roulant
Cette machine équipée d’une lame tranchante montée sur un coulisseau qui est mu par un vérin hydraulique
à double effet.
Les tôles sont empilées sur une palette. Un portique permet de transférer la feuille de tôle à découper sur la
table de coupe de la machine. La tôle est ainsi poussée par les butées de poussée à une valeur préréglée par
l’opérateur.
La tôle, en position, est ensuite maintenue par les vérins serre flanc pour être découpée.
L’approche se fait par une descente rapide (Dr) de la lame, suivi d’une descente lente de travail (Dl)
« découpage » et d’un retour rapide (Rr).
L’évacuation des tôles découpées se fait par un tapis roulant « convoyeur ».
Situation d’évaluation :
Pour augmenter sa productivité et être compétitive sur le marché de la construction métallique, une
entreprise opte pour l’acquisition de cette cisaille hydraulique. Dans le but de l’étude d’une pré installation et
d’une exploitation future, elle vous a chargé de découvrir la machine en réalisant les tâches suivantes :
1- Après avoir pris connaissance de la présentation du support ci-dessus ; on vous demande de découvrir la
cisaille hydraulique et son environnement à travers les outils de l’analyse fonctionnelle du besoin :
11 . Afin d'énoncer le besoin qui justifie l’acquisition du produit (cisaille hydraulique), répondre aux
questions du diagramme « bête à cornes ».
A qui rend-elle service ? Sur quoi agit-elle ?
Cisaille hydraulique
2- Dans le cadre d’une analyse fonctionnelle technique de la cisaille et dans le but de comprendre les
solutions technologiques retenues, on vous demande de compléter :
Transférer la tôle
Pousser la tôle
Fixer la tôle
Fp
Guider la lame en translation
Groupe hydraulique
Entrainer la lame
Tapis roulant
A-0
Consignes et
Commande programmation
Réglages
Énergie électrique
Automatisme
Dans les ateliers, les laboratoires, les cabinets dentaires et les industries médicales, graphiques et
alimentaires il y’a souvent besoin d’alimenter les appareils et machines en air comprimé. Les moto-
compresseurs d’air, de différents types, sont conçus pour répondre à ce besoin. Un moto compresseur est un
compresseur associé à son moteur d’entrainement comme les images ci-dessous.
Fonctionnement du système :
Quand le moteur tourne, le piston est animé d’un mouvement de translation rectiligne entre deux points
extrêmes : Point mort haut (PMH) et point mort bas (PMB) (figure 1).
figure 1
Situation d’évaluation :
Une société spécialisée dans la vente du matériel informatique d’occasion, à la suite d’un arrivage de
nouveaux matériels et pour activer l’opération du nettoyage, vous demande de mettre en œuvre le moto-
compresseur d’air à piston et de vérifier quelques performances issues de son cahier des charges. Pour cela
la réalisation des tâches suivantes s’avère nécessaire :
- Après avoir pris connaissance du sujet, découvrir le moto-compresseur et son environnement à travers des
outils d’analyse et de représentation fonctionnelle.
Eléments de réponse : ♣ Énergie électrique ♣ Mise en marche ♣ Air comprimé dans le réservoir ♣
4.Réglages des seuils
En exploitant ♣ Bruit ♣ressource
le document Air ambiant ♣ Compte-
1 page rendu ♣leÉnergie
32, compléter FAST decalorifique (chaleur)
la fonction ♣ Constituer
principale Fp par
et maintenir automatiquement une réserve d’air comprimé.
l’indication des solutions constructives associées aux fonctions techniques.
Compresseur
Chaîne
d 'énergie
La fonction générique :
Alimenter
Cours & activités
I) Situation problème ;
Dans la suite de notre étude des systèmes en l'occurrence la cisaille hydraulique, le moto-compresseur
et le poste de perçage automatique. On remarque que pour qu’ils puissent assurer leurs fonctions et
assigner ………………………….……. à la matière d'œuvre, on doit leur…………………………………
…...……………………………………………………………... leurs actionneurs :
Solution constructive
réalisant la fonction Arrivée 3X 380V 50 Hz
Alimenter
L’actionneur
Moteur électrique
-ceux du poste automatique de perçage qui doivent être …………….. en énergie ……………………….
(………………...) et ………………… (....................................de la perceuse).
U =√3 .
Schéma de la distribution
de l’énergie électrique en monophasé et triphasé
Dans les centrales hydrauliques, un courant d'eau (énergie cinétique) actionne les turbines. Pour capter
la force motrice de l'eau, on utilise soit la hauteur des chutes d'eau, soit le débit des fleuves et des rivières. On
classe les centrales hydrauliques en trois catégories :
Elles sont caractérisées par un débit très important mais avec une faible hauteur de chute. Turbine
utilisée : turbine Kaplan. La hauteur de chute est inférieure à 30m.
Elles sont caractérisées par une hauteur de chute comprise entre 30 et 200 m. L'usine se situe
généralement au pied du barrage. Ce sont souvent des usines de retenues Turbine utilisée : turbine Francis.
Elles sont caractérisées par une forte hauteur de chute h>200m. L'usine est toujours située à une distance
importante de la prise d'eau parfois plusieurs kilomètres. Turbine utilisée : turbine Pelton.
Dans les centrales thermiques : La chaleur produite dans la chaudière par la combustion du charbon,
fuel, gaz ou autre, vaporise l'eau. Cette vapeur d'eau est alors transportée sous haute pression et sous haute
température vers une turbine. Sous la pression, les pales de la turbine se mettent à tourner. L'énergie
thermique est donc transformée en énergie mécanique. Celle-ci sera, par la suite, transformée à son tour en
énergie électrique via un alternateur. A la sortie de la turbine, la vapeur est retransformée en eau
(condensation) au contact de parois froides pour être renvoyée dans la chaudière où le cycle recommence.
A l'intérieur du réacteur, l'uranium 235 est le siège d'une réaction nucléaire qui produit une grande
quantité de chaleur (la fission d’un gramme libère une énergie d’environ 22 000 kWh, soit autant que la
combustion de 2500 tonnes de charbon). Cette chaleur est continuellement évacuée hors du réacteur vers un
échangeur de chaleur, grâce à un fluide dit caloporteur. L'échangeur transfère la chaleur qui lui vient du
réacteur à un circuit eau vapeur analogue à celui d'une centrale thermique classique. La vapeur produite sous
forte pression entraîne une turbine couplée à un alternateur, puis se condense dans un condenseur et est
ensuite réinjectée dans l'échangeur.
4) Énergie solaire :
Centrales thermo-solaires : Laconcentration du rayonnement solaire par des miroirs permet d’obtenir
des températures de l’ordre de 450°C. Cette température permet d’évaporer l’eau qui fait tourner des turbines.
Centrales photovoltaïques ou photopiles : Dans ces centrales des cellules photovoltaïques utilisées à cet
effet sont des composants électroniques à semi conducteur capable de débiter un courant électrique dans un
circuit extérieur, lorsqu’ils sont éclairés par le rayonnement solaire.
Les aérogénérateurs (ou éoliennes) convertissent la force du vent en électricité. Ils sont constitués d'une
tour sur lequel tourne une hélice composée de 2 ou 3 pales. Celles-ci captent l'énergie du vent pour faire
tourner une génératrice qui produit du courant électrique. Les éoliennes fonctionnent à pleine puissance de
2000 à 3000 heures par an, soit environ 1/3 du temps.
6) Groupe électrogène :
Le fonctionnement d’un groupe électrogène se base sur le principe suivant lequel l’énergie mécanique
est produite par un moteur à gaz ou moteur diesel (moteur thermique) qui entraîne un alternateur produisant de
l’électricité. . La puissance est généralement limitée à quelques dizaines de kilowatts. Ces groupes sont
généralement utilisés comme alimentation de secours, alimentation électrique ininterruptible dans les locaux
exigeant une continuité de service tel que les hôpitaux, les centres informatiques…
Les accumulateurs et les piles sont des systèmes électrochimiques servant à stocker de l'énergie. Ceux-
ci restituent sous forme d'énergie électrique, exprimée en wattheure (Wh), l'énergie chimique générée par des
réactions électrochimiques. Ces réactions sont activées au sein d'une cellule élémentaire entre deux électrodes
baignant dans un électrolyte lorsqu'une charge, un moteur électrique par exemple, est branché à ses bornes.
a- Définitions :
Branche : Ensemble de dipôles reliés en série et/ou en parallèle et limités par 2 points entre lesquels aucune
dérivation de courant ne se produit.
Maille : Ensemble de branches formant un circuit fermé, chacun des nœuds n’appartenant qu’à 2 branches
de ce circuit fermé.
Exemple :
Loi des nœuds : La somme des courants entrants dans un nœud est égale la somme des courants sortants.
I1+I3+I4=I2+I5
Loi d’Ohm : Soit une résistance de valeur R parcourue par un courant I, la tension U à ses bornes s’écrit ;
Loi des mailles : La somme algébrique des tensions le long d’une maille est nulle.
=0 U=U1 + U2 + U3
Le sens inverse donne le même résultat.
a- en série :
Définition : Des dipôles sont en série lorsqu'ils sont traversés par le même courant.
Exemple : associons trois résistances en série et cherchons la résistance équivalente.
Req
Req
Diviseur de tension :
Définition : on est en présence d'un diviseur de tension chaque fois que des résistors sont branchés en série
c'est-à-dire traversés par le même courant.
Montage :
U1
Diviseur de courant :
Définition : on est en présence d'un diviseur de courant chaque fois que des résistors sont branchés en parallèle
c'est-à-dire soumis à la même tension.
Montage :
b –Courant alternatif :
CAS MONOPHASE
Dans le cas monophasé, le calcul des puissances se fait d’une manière très simple. Le schéma est le
suivant :
CAS TRIPHASE :
Dans ce cas, le récepteur est branché aux phases conductrices. Le schéma est le suivant :
La formule permettant de calculer la puissance absorbée par le récepteur (ici c'est un moteur mais ça
pourrait être un autre récepteur) est :
P=√3.U.I. Cosφ
(P = 3.V.I. Cosφ)
L'énergie pneumatique utilise l'air comprimé comme fluide pour le transport de l'énergie, et sa
transformation en énergie mécanique. La production de l'énergie pneumatique (air comprimé) peut être
résumée en 3 phases principales : la compression, stockage et distribution de l'air comprimé.
1:Accumulateur 2 : Manomètre
3 : Soupape de sécurité 4 : Vanne
d’isolement 5 : Filtre principal 6 : Moteur
7 : Compresseur 8 : Lubrificateur
9 : Filtre – régulateur 10 : Pot de condensation
11 : Purge
a) Compression de l'air :
Un compresseur (7), entraîné par un moteur (6), aspire et comprime l’air ambiant et l’accumule dans un
réservoir (accumulateur).
b) Stockage :
L’accumulateur (1) stocke l’air comprimé issu du compresseur et évite ainsi de faire fonctionner le
moteur tout le temps (en continu). Il permet en plus de compenser les variations de pression. Pour des raisons
de sécurité, l’accumulateur comporte un robinet de purge, une vanne d’isolement et un manomètre.
3) Principes physiques :
La force mécanique produite par l’énergie pneumatique est liée à la pression par la relation : F= p. S
Pression p de F= p.S
l'air comprimé
Le pascal étant trop petit pour les pressions utilisées dans l’industrie, on utilise souvent le bar :
V) Energie hydraulique :
L’énergie hydraulique est en général fournie par un groupe hydraulique (pompes) qui porte l’huile
contenue dans un réservoir et un réseau de canalisations à une pression allant jusqu’à 700 bars voire
quelque milliers.
Exercice 1 :
R1 I1
I2 R2
U3 U4
I3
R3 R4
1-
Trouver l’expression de la résistance équivalente du montage Req puis calculer sa valeur.
2-
Trouver l’expression du courant I et calculer sa valeur.
3-
Trouver l’expression puis calculer la valeur de :
a)
Les tensions U3 et U4 (en utilisant le diviseur de tension).
b)
Les courants I3, I2 et I1 (en utilisant le diviseur de courant).
Exercice 3 :
Soient les montages suivants :
I2
I3
U1 U2 I4
I3 U4
U1
I4
Fig.1 Fig.2
1-
Trouver l’expression de la résistance équivalente Req pour chaque montage puis calculer sa valeur.
2-
Trouver l’expression puis calculer la valeur de : (Fig.1) sachant que UAB=18V.
a)
Les tensions U1 et U2 (en utilisant le diviseur de tension).
b)
Les courants I3 et I4 (en utilisant le diviseur de courant).
3-
Trouver l’expression puis calculer la valeur de : (Fig.2) sachant que UCD=12V.
a)
Les tensions U1 et U4 (en utilisant le diviseur de tension).
b)
Les courants I2, I3 et I4 (en utilisant le diviseur de courant).
Cylindrée :
La cylindrée est le volume balayé par les pistons durant un tour de vilebrequin. La cylindrée peut être
unitaire ou totale. La cylindrée unitaire (Vu) est le volume balayé par le piston pendant un cycle dans un seul
cylindre, elle est calculée à l’aide de la formule : Vu= π.(D/2)2.C , avec D : diamètre de l’alésage (mm) et C
pour la course (mm). Pour connaître la cylindrée totale (Vt), il suffit de multiplier la cylindrée unitaire (Vu)
par le nombre de cylindres.
C
Vu= π.(D/2)2.C
Sachant que le diamètre du piston est D=35mm, sa course est C=26mm,est ce que le critère débit à la
pression atmosphérique est vérifié ?
Solutions constructives :
Donner les noms des constituants de l’installation pneumatique repérés par des lettres majuscules en
consultant le « volet annexes ».
F:
C:
M1, M2
:D:
R1 :
V:
Pression fournie :
D’après les Caractéristiques techniques du moto compresseur quelle la pression de l’énergie pneumatique
délivrée :
L’étude a montré que la force nécessaire pour découper la tôle vaut environ 17,24 KN, le vérin (dont le
diamètre du piston est 12cm) choisi est-il capable de l’exercer, sachant que la pression fournie par le groupe
hydraulique est 18 bars?
Chaîne
d 'énergie
La fonction générique :
Distribuer
I) Situation problème :
Pour assurer la concordance du fonctionnement de la cisaille et la fluidité de passage entre les différentes étapes
afin de transformer la MOE, il faut commander le passage de..........................................................(F.Alimenter)
vers les …………………(F.Convertir). Principalement le vérin entrainant la lame, et aussi permuter les 2
orifices pour avoir......................................dans les 2 sens.
Répondre aux questions page 62 (Système 2)
constructives de
la fonction
Solutions
La partie commande d’un système automatisé met en œuvre une énergie faible. Elle est donc incapable
d’envoyer directement l’énergie nécessaire à l’actionneur ; d’où l’utilisation des préactionneurs qui assurent la
distribution de l’énergie aux actionneurs. Donc les préactionneurs sont des interfaces qui, sur ordre de la
partie de commande, assurent la distribution de l’énergie de puissance disponible aux actionneurs.
2) Actigramme fonctionnel :
Ordres
Distributeurs ou
Préactionneurs
III) Préactionneurs Electriques :
1) Relais électromagnétique :
a) Présentation :
Lorsque la bobine est alimentée, elle crée un champ magnétique qui attire la palette métallique. Lorsque
la bobine n’est plus alimentée, la palette reprend sa position initiale grâce à un ressort de rappel.
Remarque : il existe des relais appelés bistables possédant deux bobines indépendantes. L’alimentation
d’une bobine permet de mettre le contact en position de travail et l’alimentation de l’autre en position de
repos.
**Symbole :
**Contacts :
On appelle contact, les parties métalliques qui transmettent ou interrompent le courant en fonction de
la commande de la bobine.
Types de contacts :
Contact à fermeture NO Contact à ouverture NF Contact inverseur
c) Caractéristiques fondamentales :
-- Tension d’alimentation : C’est une tension continue qui permet d’exciter la bobine.
-- Le courant des contacts : c’est le courant maximal que peut commuter les contacts de relais sans
dommage.
a) Constitution :
** Un ressort de rappel ;
**Une bobine de commande du contacteur. Si la bobine est alimentée elle attire l’armature mobile
pour actionner les pôles de puissance ; Si elle n’est pas alimentée, un ressort de rappel ouvre les pôles
de puissance.
--Tension nominale d’emploi Ue : C’est la tension entre deux pôles de puissance qui ne provoque ni
échauffement ni détérioration du contacteur.
--Courant nominale d’emploi Ie : C’est le courant qui peut circuler dans les pôles de puissance sans
provoquer ni échauffement ni détérioration du contacteur.
d) Principe de fonctionnement :
- Si le bouton poussoir MARCHE du circuit de commande est actionné, la bobine du contacteur KM1 est
alimentée (excitée) ; le contact KM1 du circuit de commande se ferme ainsi que les contacts KM1 du circuit
de puissance, ce qui entraîne la rotation du moteur;
- Si MARCHE est relâché le contact KM1 du circuit de commande maintient l’alimentation de la bobine
du contacteur (mémorisation). On parle alors d’auto-maintien ;
- Pour arrêter le moteur, on appuie sur le bouton poussoir ARRET, ce qui ouvre le circuit de commande ;
la bobine KM1 n’est plus alimentée et les contacts KM1 (commande et puissance) sont ouverts ;
- Le sectionneur porte fusible a aussi un contact auxiliaire noté Q1 qui s’ouvre avant les contacts Q1 du
circuit de puissance au cas où on manœuvre le sectionneur en charge ; ceci a le même effet que le contact
auxiliaire du relais thermique. Ce contact est appelé « contact de pré-coupure ».
Généralement, dans une chaîne d’énergie électrique, le pré-actionneur ne s’utilise pas seul, mais associé à
une classe d’appareillage typique : sectionneur, relais thermique, etc.
Les distributeurs traités précédemment laissent passer l’énergie présente à son entrée entièrement ou
bien la bloquent entièrement on les appelle distributeurs T.O.R (Tout Ou Rien) .Toutefois il existe des
solutions qui permettent de commander des actionneurs électriques par modulation de l’énergie. C à d qu’on
peut injecter une quantité variable de l’énergie aux convertisseurs à tout moment suivant les ordres de la partie
commande. On trouve par exemple les hacheurs pour les machines à courant continu, les onduleurs MLI pour
les machines alternatives. Le marché nous propose aussi des produits plus performants qui offrent une
multitude de fonctionnalités appelés variateurs de vitesses industriels
On peut comparer un distributeur à un robinet que l’on ouvre et fermer non pas à la main, mais par des
ordres donnés par la PC. Il est constitué d’une partie fixe (le corps) et d’une partie mobile (le tiroir) qui peut
se déplacer à l’intérieur de la partie fixe selon un ordre directe (manuelle) ou indirecte (provenant de la PC).
Le tiroir est doté de conduites permettant le passage de l’air entre les différents orifices de la partie fixe.
1 3
1) Fonctionnement:
Si l’on applique une pression à la commande B Le tiroir se déplace vers la gauche, et l’air Sous pression
sera envoyé dans la chambre du Vérins : la tige sort.
Si l’on applique une pression à la commande A Le tiroir se déplace vers la droite : la tige du vérin
Rentre.
Orifices permettant le
Représentation des
branchement
orifices bouchés
des conduits
S’il s’agissait d’un distributeur 3/2 monostable (en supprimant la commande B par exemple),il se
symboliserait de la façon suivante :
La commande du distributeur a pour fonction de positionner le tiroir dans une position ou dans l’autre.
Elle peut être électrique, pneumatique, électropneumatique ou manuelle. La commande du distributeur est
représentée par un rectangle accolé à la case qu’elle commute et complétée par un ou plusieurs symboles
schématisant la technologie utilisée.
Le repérage des orifices des distributeurs est réalisé suivant une codification normalisée.
1 : alimentation de pression
2 et 4 : orifices d’utilisation
3 et 5 : orifice d’échappement
14 : pilotage, fonction commande (mettant en communication l’arrivée de pression (1) avec
l’utilisation(4)).
12 : pilotage, fonction rappel (mettant en communication l’arrivée de pression (1) avec l’utilisation (2)).
5) Désignation :
SYMBOLE DESIGNATION
Désignation de 2D ?
Exercice 2 :
Compléter le schéma et le tableau suivants :
Désignation de 1D ?
Exercice 3 :
Compléter le schéma et le tableau suivants :
Exercice 4 :
Compléter le schéma et le tableau suivants :
Fonctionnement :
L’élément qui interrompe et établie l’énergie dans le circuit de puissance.......................................................,
Chronogramme de fonctionnement :
compléter le chronogramme à partir du fonctionnement du système, et des informations figurant sur les
documents 1 et 2 ci-dessous.
(Document 2)
Intervalle P KM Km M C Pression
0 à t1
t1 à t2
Après t2
Alimentation Échappement
Remplir le tableau ci-dessous par les mouvements de la cisaille (Dr, Dl ou Rr) ainsi que l’état
du serrage de la tôle par les serres flancs (serrée ou libérée) : (à partir des schémas pg.13)
Classement :
Classer les états selon le cycle de fonctionnement ;
Désignation :
Donner la désignation de :
D1 & D2 :
D3 :
Sur quel élément faut-il agir pour régler la valeur de la vitesse de la descente lente de la lame ?
Chaîne
d 'énergie
La fonction générique :
Convertir
I) Situation problème :
Préciser la nature de l’énergie à chaque niveau :
Énergie
….……………
………………..
Énergie
Énergie ….……………
….…………… ………………..
………………..
Énergie
….……………
Énergie
….……………
………………..
Énergie
….……………
………………..
Énergie
….……………
………………..
Énergie
….……………
………………..
Énergie
….……………
………………..
Convertir l’énergie c’est transformer l’énergie en forme ʺcompatibleʺ avec l’effecteur pour provoquer
l’effet souhaité. Puisque l'énergie souvent disponible est électrique, pneumatique ou hydraulique, alors il faut
convertir cette énergie distribuée en énergie mécanique ; d’où l’utilisation des actionneurs qui assurent cette
fonction de conversion. On trouve :
2) Actigramme fonctionnel :
1) Vérins pneumatiques :
a) Actigramme fonctionnel :
/s
b) Types de vérins :
c) Caractéristiques :
2) MOTEURS PNEUMATIQUES :
C’est un moteur rotatif alimenté en air comprimé qui produit un mouvement de rotation dans un ou deux
sens, à des fréquences pouvant atteindre 30 000 tr/min et des puissances de 10 kW. Il en existe plusieurs
types. La technologie à palettes est la plus utilisée, en raison de ses nombreuses qualités. Son principe de
fonctionnement est le suivant : l’air comprimé s’introduit dans le moteur par l'orifice P et arrive dans une
chambre d'admission, où il exerce une force motrice sur la palette la plus proéminente. Ainsi, le rotor tourne et
l'air se détend. Dans le deuxième secteur du moteur, l'air des chambres à l'échappement se vide par l'orifice E.
1. Modèle fonctionnel :
3. Moteurs électriques :
a) Moteurs à courant continu :
Les moteurs à courant continu sont appréciés pour leur grande facilité de variation de vitesse et pour la
simplicité de la source d’alimentation (transportant leur réserve d’énergie : batteries, piles …). Les moteurs de
grande puissance sont de coût élevé et présentent des problèmes d’entretien .Ils sont utilisés dans le domaine de
faible puissance (Jouets, micro outillage …), en automobile (lève- vitres, essuie- glaces, démarreur…)
Stator
Rotor
Lorsque le bobinage d’un inducteur de moteur est alimenté par un courant continu, sur le même principe qu’un
moteur à aimant permanent (comme la figure ci-dessous), il crée un champ magnétique (flux d’excitation) de
direction Nord-Sud. Une spire capable de tourner sur un axe de rotation est placée dans le champ magnétique.
De plus, les deux conducteurs formant la spire sont chacun raccordés électriquement à un demi collecteur et
alimentés en courant continu via deux balais frotteurs. D’après la loi de Laplace (tout conducteur parcouru par
un courant et placé dans un champ magnétique est soumis à une force), les conducteurs de l’induit placés de
part et d’autre de l’axe des balais (ligne neutre) sont soumis à des forces F égales mais de sens opposé en
créant un couple moteur : l’induit se met à tourner !
Si le système balais-collecteurs n’était pas présent (simple spire alimentée en courant continu), la spire
s’arrêterait de tourner en position verticale sur un axe appelé communément « ligne neutre ». Le système balais-
collecteurs a pour rôle de faire commuter le sens du courant dans les deux conducteurs au passage de la ligne
neutre. Le courant étant inversé, les forces motrices sur les conducteurs le sont aussi permettant ainsi de
poursuivre la rotation de la spire.
Sens de rotation:
Pour inverser le sens de
1 2 rotation il suffit
d’inverser la tension
d’alimentation du
U
M moteur: selon la position
des commutateurs le
M moteur tourne soit dans le
sens 1 soit dans le sens 2.
M M
b) Moteur asynchrone :
Le moteur asynchrone utilise le courant alternatif fourni par le réseau. C’est l’actionneur le plus utilisé dans
l'industrie. Il existe des moteurs asynchrones monophasés et triphasés.
Caractéristiques :
La tension d’alimentation en Volt (V) (220V pour le monophasé et 380V pour le triphasé)
L’intensité du courant en Ampère (A)
La fréquence du réseau en Hertz 50 Hz
La puissance nominale en Watt
La fréquence de rotation en tr/min
Le couple moteur en N.m
Schématisation :
Pu = Cm . ωm
Pu : puissance utile (watt)
V) Convertisseurs statiques :
.
Sciences de l’Ingénieur « T .C 7 M II : Chaine d’énergie « Convertir
Partie Activités :
Réducteur
En pratique : Le moteur tourne « vite » en général, tandis que le couple moteur est assez faible. On y
remédie (dans la plupart des cas) en ajoutant un réducteur.
Rendement :
η = Pu /Pa
η = Cr.wr /(U.I)
Fig.1
Quel est le rôle de chaque bouton poussoir K?
Exercice 2:
(A-0)
Exercice 3 :
Caractéristiques d’un motoréducteur
Un motoréducteur se compose d’un moteur et d’un réducteur dont les caractéristiques sont :
Caractéristiques du réducteur : Caractéristiques du moteur :
Rapport de réduction : r = 0,10267
Puissance nominale du moteur : Pnom = 35 kW
Rendement global du réducteur : g = 0,96
Vitesse de rotation nominale du moteur : Nnom = 750
tr/min
Questions :
1) Calculer le couple nominal Cnom que peut fournir le moteur.
2) Calculer la puissance utile Pu disponible en sortie de réducteur.
3) Calculer la vitesse de rotation Nsortie de l’arbre de sortie du réducteur.
4) Déduire des questions 2 et 3 le couple utile Csortie disponible en sortie de réducteur.
Exercice 4:
fig.2
(A-0)
O : ouverture ; F : fermeture
Exercice 6 :
Vitesse du moteur :
Couple utile:
Relever la valeur de la puissance utile fournie par le moteur( on considère que c’est sa puissance utile
nominale). Pu=
Donner l’expression puis calculer la valeur du couple moteur Cm :
Puissance absorbée :
Sachant que le vérin reçoit un débit qui vaut Q= 2.714 l/s, déterminer sa puissance absorbée :
Force de traction :
Donner l’expression puis calculer la valeur de la force de traction (rentrée) si d= 4.5 cm :
Vitesse Vdr:
Course :
Si la descente rapide dure 0.5 s et la descente lente 1.5 s, quelle est alors la course de ce vérin ?
LA TRANSMISSION DE MOUVEMENT
I. Situation problème :
Énergie
Compresseur
Énergie
Elle est réalisée par des mécanismes qu'on les appelle systèmes de transmission.
1) Modèle fonctionnel :
Énergie Mécanique
Transmettre (et adapter) l’énergie Énergie mécanique transmise
Systèmes de transmission
2) Système de transmission:
Un système de transmission d'énergie transmet (et modifie) les caractéristiques d'une énergie mécanique. Il
reçoit l'énergie mécanique fournie par l'actionneur puis il la transmet (et il l’adapte) à l'effecteur.
N.B: si l'énergie fournie par l'actionneur est adaptée au besoin de l’effecteur alors la fonction de ce mécanisme
se limite à la transmission uniquement.
b) Les engrenages:
-- Engrenage parallèle (engrenage à roues dentées cylindriques) ;
**Le mouvement est transmis par des obstacles (les dents), ce qui garantit l’absence de glissement pendant le
fonctionnement.
**Pour fonctionner, les dents ont besoin d’être de même «pointure» : le module.
**Ils sont très souvent utilisés pour adapter l’énergie produite par les moteurs électriques.
**Deux roues dentées dont les dents sont en contact forment un engrenage.
Application :
**Le système roue-vis sans fin permet de transmettre et adapter un mouvement de rotation entre deux arbres
orthogonaux. A chaque tour de la vis, chaque filet de la vis pousse la roue d’une dent. Un filet de la vis
équivaut à une dent de roue dentée. Il est souvent irréversible : la roue ne peut pas faire tourner la vis.
c) Chaine-pignon:
**Le pignon et la crémaillère portent des dents qui s’engrènent entres elles donc la rotation du pignon entraîne
le déplacement de la crémaillère (et inversement). Le pignon roule sans glisser sur la crémaillère. Si l’axe du
pignon est fixe, par rapport au bâti, la crémaillère avance de : T = π.D.n.
Avec:- D est le diamètre du pignon ; - n est le nombre de tours du pignon.
fonction :
principe :
Le mécanisme se compose d’une vis en liaison hélicoïdale avec un écrou, munis de deux filetages
complémentaires (sous forme d’hélice).
montages :
pas
Il existe 4 montages possibles résumés dans le tableau ci-dessous:
1 2 3 4
Ecrou R T RT R: rotation T: translation
Vis T R RT
c) Système bielle-manivelle :
Fonction :
Le système bielle-manivelle est un système plan de solides articulés. Il permet de transformer, par
l'intermédiaire d'une bielle, le mouvement de rotation continue d'une manivelle (également appelée
vilebrequin) en mouvement de translation alternative du coulisseau (à vitesse non constante).Le système
est réversible et nécessite une lubrification constante.
La course :
Le moteur commande la rotation de la broche de perceuse à l’aide du système poulies étagées avec courroie.
Les 2 poulies étagées sont identiques et leur sens de montage sur l’axe du moteur et l’axe de la broche est
inversé. Le réglage de la vitesse de rotation de la broche se fait en plaçant la courroie sur le gradin souhaité.
On obtient ainsi quatre rapports de transmission : r1, r2, r3 et r4. Pour faire des trous de diamètre 10 mm
dans une bride, on règle la position de la courroie sur le deuxième gradin. La broche de la perceuse a alors
une vitesse de rotation N2 = 600 tr/min. On demande :
3. Calculer la vitesse de coupe du foret, VF en m/min (vitesse linéaire en m/min d’un point situé sur la
périphérie du foret)
4. On place la courroie sur le gradin 1. Calculer alors le rapport de transmission r1 = (N1/NM) (1pt)
a) Sur quel gradin faut-il placer la courroie pour obtenir la vitesse de rotation maximale de la broche,
Nmaxi ? (1pt)
b) Justifiez votre réponse en calculant le rapport de transmission maxi rMaxi = (NMAxi/NM), puis la
vitesse de rotation maxi du foret NMaxi en tr/min (1pt)
On donne :
Le schéma cinématique et les caractéristiques des différents éléments de la chaîne cinématique de transmission de
mouvement :
Les roues A et B sont à denture droite avec m=2,5mm, l’entraxe entre A et B a=125mm, le diamètre
extérieur de la roue B et 155mm. La vis a un pas p=3mm.
- Calculer le nombre de dents des roues A et B.
- Quel est le déplacement T1 de la table pour 5 tours du volant ?
- Quel est le déplacement T2 de la table si on tourne le volant de 3π/4 ?
-Si on tourne le voulant à une vitesse Nv=120 tr/min que sera la vitesse de déplacement de la table Vt en
mm/s?
Exercice 4 :
Soit un système pignon crémaillère :
On donne diamètre du pignon d=75mm ; le module m=2,5mm
-Déterminer le nombre de dents du pignon Z= ?
-Pour 4 tours et demi du pignon, calculer la translation T de la
crémaillère en (mm).
-Déterminer la translation T1 si le pignon tourne d’un angle α de
270°?
- Si on tourne le pignon d'un angle beta=5π/6 de combien se
déplace la crémaillère T2?
-Soit n= 275.4 tr/min la vitesse du pignon, quelle est alors la
vitesse linéaire de la crémaillère Vc en m/s?
Poulies :
Si on prend compte du rapport de réduction mentionné dans la fonction Convertir et sachant que le diamètre
de la poulie installée sur le compresseur est D’=100mm .Donner l’expression puis calculer le diamètre D de
la poulie installée sur le moteur :
Si on considère que le rendement de ce système est η1=97% Donner l’expression puis calculer la valeur du
couple à l’entrée du compresseur :
Système bielle-manivelle :
Rayon de la manivelle:
D’après les données de calcul de La cylindrée (activités F.Alimenter), Donner l’expression puis calculer la
valeur du rayon R de la manivelle :
Chaîne
d 'énergie
La fonction générique :
Transmettre
Ordres
I. Définition :
Les fonctions TRANSMETTRE et AGIR sont généralement réalisées par des mécanismes. Ils sont
constitués de pièces reliées entre elles par des liaisons mécaniques. Ces mécanismes permettent de
transmettre l'énergie reçue et agissent directement sur la matière d’œuvre.
1) Degré de liberté :
Pour remplir correctement les différentes fonctions techniques d'un mécanisme, ses constituants doivent
être assemblés en respectant certaines conditions qui déterminent leurs possibilités de mouvement relatif, c'est
à dire leurs degrés de liberté.
Une pièce libre dans tout ses déplacements est une pièce qui n'a aucune liaison avec une autre pièce.
Dans ce cas elle peut se déplacer suivant trois axes et chacun de ses déplacements se fait dans les deux sens.
Cette pièce possède six degrés de liberté.
Il existe une liaison entre deux solides, lorsqu'un ou plusieurs degrés de libertés sont supprimés entre ces
deux solides On dit que deux pièces sont en liaison si elles sont en contact par l’intermédiaire de surface(s)
ou de point(s).
** Contact linéaire ou linéique : La zone de contact est réduite à une ligne (pas forcément droite).
** Contact surfacique : La zone de contact est une surface (plan, cylindre, sphère…).
¤ Liaisons élémentaires:
A partir des trois volumes élémentaires (plan, cylindre, sphère) nous pouvons définir toutes les
combinaisons de contact possibles et leurs mouvements relatifs.
Il s’agit de remplacer les représentations, planes ou volumiques d’un mécanisme composé de nombreuses
pièces de formes complexes pouvant être difficiles à comprendre, par un dessin plus simple à lire (schéma)
dont le but d’exprimer le fonctionnement, donc Le schéma cinématique est une image simplifiée d'un
mécanisme qui rend compte de la cinématique ou des mouvements possibles des solides ou groupes de
solides.
Le serre joint permet de maintenir un assemblage par pincement. Il est composé de plusieurs pièces
repérées sur le dessin ci-dessous :
** Groupes cinématiques :
E1 : couleur :
E2 : couleur :
E3 : couleur :
E4 : couleur :
E1 E2
E3 E4
Mécanisme3 : Étau
DESSIN TECHNIQUE
1) Présentation :
Au cours de son évolution, l’homme a rapidement éprouvé le besoin de représenter son univers (scènes de
chasse par exemple) à l’intention de ses semblables. L’apparition des techniques va peu à peu conduire
l’Homme vers une autre utilisation du dessin. Le dessin devient alors un moyen de traduction de la pensée
technique (Archimède, Leonard de Vinci)
Avec l’avènement de la révolution industrielle, on voit se développer des outils d’expression graphique et
de communication. Ces outils facilitent les échanges de la pensée technique entre les individus. Le dessin
technique est donc le moyen d’expression indispensable et universel de tous les techniciens.
C’est lui qui permet de transmettre, à tous les services de production, la pensée technique et les impératifs
de fabrication qui lui sont liés. C’est pourquoi ce langage conventionnel est soumis à des règles ne permettant
aucune erreur d’interprétation et définie par la normalisation.
* A0 = 841 x 1189
* A1 = 594 x 841
* A2 = 420 x 594
* A3 = 297 x 420
* A4 = 210 x 297
4) Cadre:
Il se situe à 10 mm du bord de la feuille pour les formats courants (A4, A3, A2).
5) Cartouche et Nomenclature:
Le cartouche est la carte d’identité du dessin technique. Il est situé au bas du format. Il contient des
indications comme :
Le titre du dessin, l’échelle du dessin, l’identité du dessinateur (nom, prénom, classe), la date, le format,
le nom de l’établissement, le symbole de disposition des vues ...
Ex :
La nomenclature est la liste complète des pièces qui constituent un ensemble dessiné. Elle est liée au dessin par
le repère des pièces.
La nomenclature est composée de 5 colonnes :
6) Écriture normalisée :
Les textes écrits à la main sur un dessin doivent être lisible même après une reproduction en format
réduit. Pour cela on utilise l'écriture normalisée
Ex :
7) Échelle :
Certains objets sont trop petits ou trop grands pour être dessinés à leur taille réelle. L’échelle d’un dessin est
le rapport entre les dimensions dessinées et les dimensions réelles de l’objet.
9)Projection orthogonale :
a - Principe:
L’observateur se place perpendiculairement à l’une des faces de l’objet à dessiner .La face observée est
ensuite projetée et dessinée dans un plan de projection parallèle à cette face et situé en arrière de l’objet .La
vue, plane, dessinée obtenue est une projection orthogonale de l’objet.
Les différentes projections obtenues à partir de l’objet dans l’espace sont rassemblées sur un même plan
(feuilles de papier) en les plaçant les unes à coté des autres, elles prennent le nom de vues. Elles définissent
complètement l’objet technique.
(Norme européenne)
Le but est d’améliorer la lisibilité d’un dessin en remplaçant les contours internes cachés par des contours
vus plus lisibles.
Remarque: On ne coupe jamais les pièces pleines.
Définition :
Une coupe représente les contours de la pièce situés dans le plan sécant et la partie de la pièce située
en arrière de ce plan.
Méthode :
LES HACHURES :
Elles sont utilisées pour mettre en évidence la section d'une pièce. Elles symbolisent les traits de la scie.
Elles sont tracées en traits continus fins inclinés et régulièrement espacés. Pour une même pièce, elles sont
identiques.
**REGLE 1:
Les hachures ne coupent jamais un trait fort.
**REGLE 2:
Les hachures ne s’arrêtent jamais sur un trait interrompu fin.
11) SECTIONS ;
Une section représente les contours de la pièce situés dans le plan de coupe sans représenter ce qui est
en arrière de ce plan. On évite ainsi les vues surchargées en isolant les formes que l’on désire préciser.
Méthode :
Section rabattue :
Section sortie:
C-C
Repasser sur toutes les vues les contours repérés sur la perspective en bleu et en vert.
2. Mettre les plans de coupe, les flèches et les lettres autour des vues.
1. Mettre les noms des coupes A-A et B-B au-dessus des vues coupées.
2. Mettre les plans de coupe, les flèches et les lettres autour des vues.
23 : 21 : 12 : 26 :
Chaîne
d'information
La fonction générique :
Acquérir
En présence d’énergie, pour agir correctement sur la matière d'œuvre d’entrée, un système automatisé a
besoin de recueillir les informations sur la partie opérative pour gérer les actions. La chaîne
d’information peut être modélisée par les fonctions génériques suivantes :
I) Situation problème :
II) Présentation :
C’est la fonction de Prélever une grandeur physique mesurable, comme la position, la vitesse, la
température, la pression, la lumière, etc. et la transformer en un signal ou une information (le plus souvent
électrique ‘‘faible’’), afin d’être traité selon le besoin. L’élément qui peut assurer cette fonction s’appelle : un
capteur ou un détecteur.
1. Définition :
Un capteur est un composant technique qui détecte un événement physique se rapportant au
fonctionnement du système (présence d'une pièce, température, etc.) et traduit cet événement en un signal
exploitable par ce système. Ce signal est généralement électrique sous forme d'un signal basse tension.
L'information détectée par un capteur peut être d'une grande variété, ce qui implique une grande variété de
besoins en capteurs. On cite parmi les plus connus et fréquents, les capteurs de position, de présence, de
vitesse, de température et de niveau.
2. Actigramme :
**Logique : L’information ne peut prendre que les valeurs 1 ou 0 ; on parle alors d’un capteur Tout ou
Rien (TOR).
**Analogique : L’information peut prendre toutes les valeurs possibles entre 2 certaines valeurs limites ;
on parle alors d’un capteur analogique.
**Numérique : L’information peut prendre une valeur numérique codée en une suite de 0 et de 1
(exemple : 0011001010).
Les capteurs mécaniques de position, appelés aussi interrupteurs de position, sont surtout employés dans
les systèmes automatisés pour assurer la fonction détecter les positions. On parle aussi de détecteurs de
présence. La détection se fait par contact avec un élément mobile.
Symbole :
La détection se fait à distance (pas d’efforts sur le capteur, pas d’usure par frottement).
Un interrupteur à lame souple est constitué d'un boîtier à l'intérieur duquel est placé un contact électrique
métallique souple sensible aux champs magnétiques. Lorsque le champ est dirigé vers la face sensible du
capteur le contact se ferme et permet la transmission d'une information de nature électrique (signal
électrique). Ce type de capteur est couramment utilisé pour contrôler la position d'un vérin :
Les détecteurs de proximité inductifs permettent de détecter sans contact des objets métalliques à une
distance variable de 0 à 60 mm. Ils permettent de détecter des objets :
- présence/absence (d'objets),
- fragiles (pas de contacts),
- peints,
- comptage d'objets métalliques.
Symbole :
Les détecteurs de proximité capacitifs permettent de détecter sans contact des objets de toutes natures,
conducteurs ou non conducteurs, tels que : Métaux, minerais, bois, plastique, verre, carton, cuir, céramique,
distance de détection <15mm. Ils permettent de détecter des objets :
- présence/absence (d'objets),
- fragiles (pas de contacts),
- liquides etc.…
3. Détecteurs photoélectriques :
Il est composé d'un émetteur de lumière associé à un récepteur photosensible, les deux composants sont
indépendants et placés l'un en face de l'autre. La présence d'un objet dans le champ du capteur interrompt le
faisceau lumineux et le récepteur délivre alors un signal (de détection).
Symbole :
Il est composé d'un émetteur de lumière associé à un récepteur photosensible, les deux composants sont
placés dans le même boîtier et c'est l'objet à détecter qui renvoie le faisceau lumineux vers le récepteur. La
présence d'un objet suffisamment réfléchissant dans le champ du capteur réfléchit le faisceau lumineux et le
récepteur délivre alors un signal.
Symbole :
Il est composé d'un émetteur de lumière associé à un récepteur photosensible, les deux composants sont placés dans
le même boîtier et c'est un réflecteur qui renvoie le faisceau lumineux vers le récepteur. La présence d'un objet dans le
champ du capteur interrompt le faisceau lumineux et le récepteur délivre alors un signal.
Symbole :
a) les photorésistances :
La résistance varie en fonction de la lumière, utilisée par exemple dans l’éclairage public (automatique) des
rues.
Se sont des semi-conducteurs qui ‘‘transforment’’ le signal optique (lumière) en signal électrique.
** Capteurs de température :
a) Les thermistances :
Se sont des résistances dont la valeur varie en fonction de la température ; se sont des capteurs analogiques.
Deux fils de métaux différents (ex : cuivre/fer ; chrome/nickel) sont soudés à leurs extrémités, la différence
de température entre les deux milieux différents (intérieur de four et extérieur de four par exemple) engendre
un courant très faible et proportionnel à la température, circule dans les deux fils d’où une différence de
potentiel d.d.p mesurée par un voltmètre .se sont des capteurs analogiques.
Le contrôle continuel de la vitesse du vent par exemple dans le store automatisé se fait par un anémomètre.
- La Résolution : Elle correspond à la plus petite variation de la grandeur observée que le capteur est
susceptible de déceler.
- La fidélité : Un capteur est dit fidèle si le signal qu’il délivre en sortie ne varie pas dans le temps pour
une série de mesures concernant la même valeur de la grandeur physique d’entrée. Il
caractérise l’Influence du vieillissement.
- Etendue de la mesure : C'est la différence entre le plus petit signal détecté et le plus grand
sans risque de destruction pour le capteur.
I) Situation problème :
Les informations délivrées par les deux capteurs à l'unité de traitement sont :..............................du vent et
…………………… d'ensoleillement se forme de signaux logiques .
Pour la suite on considère que les informations (vent et soleil) vont correspondre au dépassement d’un seuil
préréglé par l’utilisateur, donc ils ne vont prendre que............valeurs : vraie = … si le seuil est dépassé et
fausse = … si le seuil n'est pas dépassé. Vent et soleil seront alors les valeurs les variables d'entrée.
Élaboration des ordres à partir des infos acquises par les capteurs :
La partie opérative du système reçoit deux ordres, ………………….. et...............................du store :
Descente du store si (cocher la bonne réponse) : Montée du store (cocher la bonne réponse) :
D: …………………………………………….. M: ………………………………………………
M et D (les ordres) seront les variables de sortie, leur nature est binaire (logique ou booléennes).
On remarque bien que la carte électronique reçois, traite et délivre des informations binaire ou logique
(puisque ils ne prennent que deux valeurs possibles).
Pour traduire ces ordres ou les phrases de commande précisées précédemment, on adopte une nouvelle
écriture exploitable par l'unité de traitement, on obtient :
On vient de déterminer ainsi les deux équations qui régissent le comportement du système et serviront à
réaliser le câblage de la partie commande (schéma logique ou logigramme (voir activités)).
MONTER= DESCENDRE=
Dans la chaîne d'information, les informations issues de la fonction « acquérir » doivent être traitées puis
communiquées à l'environnement. Traiter les informations c’est les faire subir un traitement suivant une
logique préétablie dans le but d’atteindre un résultat donné. A cette fin, des solutions technologiques
spécifiques sont utilisées. Le traitement des informations se fait dans la partie commande du système. La
connaissance de la nature des informations circulant entre les divers éléments est indispensable.
1- Filtrage :
2- Amplification :
Le CAN permet de transformer le signal analogique issu du capteur en un signal numérique exploitable
par l’unité de traitement, le CNA fait l’opération inverse.
1. Logique câblée :
Ce type de traitement est figé et en conséquence réservé aux systèmes simples, sans possibilité d'évolution. Il
est réalisé par des composants électroniques non programmables (portes logiques) ou électromécaniques
(relais).
2. Logique programmée :
Ce type de traitement est réservé aux systèmes de traitements complexes avec possibilité d'évolution. Il est
réalisé par des composants électroniques programmables (microprocesseur, μControleur, automate
programmable industriel …).
Microprocesseur :
Circuit intégré permettant le traitement automatique d'informations numériques selon un programme stocké
en mémoire. Utilisé pour des applications où une forte puissance de calcul est nécessaire.
Microcontrôleur :
Circuit intégré contenant toutes les fonctions nécessaires au traitement automatique d'informations
numériques (il est équipé en outre de ports d'entrée-sortie et de périphériques spécifiques) et optimisé pour des
applications où une faible puissance de calcul est possible.
3. Logique combinatoire :
Consulter le chapitre « Logique combinatoire». Ci-aprés.
L’algèbre de BOOLE est une logique symbolique à deux états, une variable Booléenne ne peut prendre
que deux valeurs 1 ou 0 (vraie ou fausse) Si a n’est pas égale à 1 alors a= 0. Exemple :
Les variables Booléennes sont menues d’un certains nombres d’opérateurs, en associant ces opérateurs à ces
variables on obtient des fonctions logiques.
Une fonction logique peut être représentée par :
** Fonction OUI :
Symbole :
**Fonction ET (AND):
Symbole :
**Fonction OU (OR) :
Symbole :
=1
Symbole :
**Logigramme :
Le logigramme réalisé à partir d’opérateurs logiques est la représentation graphique d’une équation
logique.
Une équation logique est une combinaison de plusieurs variables logiques (ou binaire) donnant l’état
d’une variable associée dite de sortie. Cette combinaison est réalisée à l’aide d’opérations logiques.
Exemple: S = (a · b) + c + d
3- Théorèmes de "MORGAN" :
Ce théorème d'une grande utilité, permet de calculer le complément d'une expression logique quelconque:
a+b=a·b
a·b=a+b
D'une façon générale, Le complément d'une expression quelconque s'obtient en complémentant les
variables et en permutant les opérateurs "+" et ".".
S
L’expression de la sortie S étant assez longue, il faut la simplifier. Pour cela on utilise les propriétés
vues aux paragraphes précédents. Après simplification:
S=
On peut s’apercevoir que cette méthode peut devenir très longue et fastidieuse dès que le nombre
de variables devient important. On sera donc amené à utiliser une méthode plus rapide consistant
à effectuer les simplifications directement. (Tableau de Karnaugh).
Cette méthode permet de repérer visuellement les simplifications possibles sans utiliser l’algèbre de
Boole.
Organisation :
Comme pour la table de vérité, le tableau de Karnaugh contient la valeur de la fonction pour
toutes les combinaisons possibles des variables d’entrée.
La construction du tableau de Karnaugh utilise 2 règles :
On partage les variables d’entrées en 2 groupes qui constitueront les entrées verticales et
horizontales du tableau.
les différentes combinaisons des variables verticales et horizontales sont disposées suivant un ordre
défini par le code Gray ou binaire réfléchie. (Ce code a pour unique intérêt de ne pas modifier plus d’une
variable entre 2 états successifs.).
Donc le nombre de cases du tableau égal au nombre de combinaisons (2n pour n entrées). Pour
2 variables d’entrée a et b, on aura 22 = 4 cases,
Etape 2 : On effectue des regroupements de 2n de 1 logique (un seul 1 ou 2 ou 4 etc.) sur des cases
adjacentes. On essaie en un minimum de groupements, les plus grands possibles, de rassembler toutes les 1
du tableau.
Etape 3 : On déduit l’équation logique simplifiée de la lecture des regroupements en éliminant les
variables qui changent au sein du même groupement et ne gardant que ceux qui conservent la même valeur.
Exemples :
Le chronogramme est un graphe qui permet de définir l’état d’une variable de sortie à partir de l’état des
variables d’entrée définies chronologiquement.
Exemple : on prend S=
abc
S
Partie Activités :
Vent
Soleil
Monter
Descendre
On demande :
1) Tracer le schéma logique de S (non simplifiée).
2) Représenter l’équation S dans le tableau de Karnaugh et la simplifier.
3) Compléter le chronogramme, et donner l’état de S.
Exercice 5: LAMPES
Q1. Donnez la table de vérité du système. Pour les combinaisons matériellement impossibles, le feu
rouge restera allumé.
Q2. En déduire les équations Logiques de "Vert" et "Rouge".
Q3. Réalisez le schéma à l’aide de portes logiques.
Exercice 10 :
Questions :
Déterminer les équations logiques d’ouverture des deux vannes V1 et V2
en fonction du niveau détecté par les 3 capteurs (s), (b), (h).
Nota : Lorsque le niveau est détecté par un capteur, sont état = 1
(X = Etat impossible).
I) Situation problème :
Déterminer les résultats obtenus après le passage par la fonction traiter : …………………………….…………
…………………………………………………………
…………………………………………………………...
…………………………………………………………...
…………………………………………………………...
à partir de la représentation quelles sont les solutions constructives qui doivent communiquer ( véhiculer) ces resulta
………………………………………………………….. Antenne de liaison avec
…………………………………………………………... Carte l’afficheur électronique
…………………………………………………………...
…………………………………………………………...
…………………………………………………………...
Sous quelle forme ces éléments transmettent ils ces + Afficheur à l’intérieur informant l’utilisateur s
informations : ………………………………………
………………………………………………………
…………………………………………………………...
…………………………………………………………...
A l'intérieur d'un réseau local, le transfert des informations se fait le plus souvent sous forme numérique en
utilisant soit des câbles soit une liaison sans fil. On peut aussi vouloir transférer des informations d'un réseau
local à un autre situé à plusieurs centaines de kilomètres. Dans ce cas le transfert est réalisé soit sous forme
analogique, soit sous forme numérique. Les différents supports fréquemment utilisés sont : le câble
téléphonique classique, le câble coaxial, la fibre optique, les liaisons radio. A l'heure actuelle, aucun support
ne représente la liaison idéale, chacun ayant ses spécificités propres en termes de débit (nombre de bits
transmis par seconde), de coût, de distance maximum entre deux nœuds.
La bande passante correspond à la quantité maximale de données qu’une voie de communication peut
transmettre par seconde.
La bande passante se mesure en bits par seconde. Plus la capacité de la bande passante est grande, plus la
quantité d'informations transmises par seconde sera grande. Les données sont par conséquent chargées plus
rapidement. La vitesse de chargement d'un fichier du web est déterminée en fonction de la bande passante de
l'utilisateur.
Les champs électriques et magnétiques de l’environnement peuvent induire des signaux parasites,
l’immunité au bruit est la capacité d’un système à tolérer les signaux parasites sans pour autant avoir un
comportement incontrôlé ou erratique.
Notons que les sources de bruit sont :
bruit externe ;
Diaphonie ;
ligne d'alimentation.
V) L’atténuation :
L’atténuation est la réduction de l'amplitude et de l'énergie d'un signal pendant son existence. L’atténuation
est quantifiée en décibels par kilomètre.
L’interface Homme/Machine est une fonction de communication indispensable pour bien gérer un système
automatisé. Il consiste à fournir à l'opérateur l'ensemble des informations concernant l'état du système
automatisé qu’on désigne par "messages". Le dialogue Homme/Machine se fait par l’utilisation de
constituants regroupés dans ce qu'on appelle "pupitre" de commande.
1. Les voyants :
Les voyants sont des témoins lumineux qui constituent une interface de dialogue
simple donnant à l'opérateur des informations sur l'état du système automatisé.
Les terminaux d'exploitation sont des constituants de dialogue programmés permettant à l'opérateur :
Messages: ce sont des informations qui circulent de la partie qui commande vers l’opérateur.
Consignes: ce sont des informations qui circulent de l’opérateur vers la partie qui commande.
Ordres: Informations qui vont de la partie qui commande vers la partie qui agit afin d’ordonner le
bon déroulement du cycle.
Comptes-rendus: Informations renseignant la partie qui commande sur l’état de la partie qui agit
ou sur l’état de son environnement.
Pour permettre des échanges d’informations de nature électrique entre les différentes parties d’un système,
ou entre systèmes, il existe plusieurs types de liaisons:
Principe :
2- Liaison parallèle :
Principe :
Remarques :
1- Le câble coaxial :
Le câble coaxial ou ligne coaxiale est une ligne de transmission composée d'un câble à deux conducteurs.
L'âme centrale, qui peut être mono-brin ou multi-brins (en cuivre ou en acier cuivré ou en cuivre argenté), est
entourée d'un matériau diélectrique (isolant). Le diélectrique est entouré d'une gaine conductrice tressée (ou
feuille d'aluminium enroulée), appelée blindage, puis d'une enveloppe de matière plastique.
Ce type de câble est utilisé pour la transmission de signaux numériques ou analogiques à haute ou basse
fréquence.Par exemple, vous trouverez un câble coaxial :
entre votre antenne TV et votre télévision ;
dans le réseau câblé urbain de télévision et Internet ;
entre votre lecteur de CD, votre récepteur FM et votre amplificateur ;
pour les liaisons interurbaines téléphoniques et dans les câbles sous-marins.
Etc.
Ensemble de fils rassemblés avec une bande, utilisés dans diverses application par exemple la liaison IDE ou
Serial ATA (pour les disques durs ;lecteurs …).
3- paires torsadées :
1- Liaison infrarouge : La communication infrarouge utilise la lumière infrarouge pour transférer des
données dans les télécommandes pour téléviseurs et récepteurs. Par exemple, la communication
infrarouge offre une alternative au câble. Elle donne un moyen économique de relier des appareils entre
eux ou avec des périphériques et autres dispositifs. Il ne doit pas y avoir d’obstacle entre l’émetteur et
le récepteur avec une précision de l’alignement. Le débit peut atteindre 10Mb/s pour une distance de
30m.
3- Liaison Bluetooth: Elle sert à relier des périphériques avec un ordinateur ou d’autres périphériques en
utilisant des ondes radio. Bluetooth fonctionne sur la bande de fréquence 2,4 GHz et permet des débits
maximums de 1 Mbit par seconde avec une portée faible, de plusieurs mètres seulement.
Les messages sont codés numériquement en impulsions lumineuses et transmis de très grandes vitesses (150
mégabits par seconde (Mbits/s)) sur de grandes distances le long de ces minces fibres. les signaux transmis
sont complètement insensibles aux rayonnements électromagnétiques, ne subissant ainsi aucune altération.
Grâce à de telles vitesses, il devient possible de transmettre en temps réel des sons, et même des images
animées. Ce support est encore d'un coût élevé mais tend à devenir compétitif avec le câble coaxial.
Condensateurs, inductances
Condensateur
Condensateur polarisé Condensateur variable
Symbole général
Inductance Inductance avec noyau et
Inductance avec noyau
Symbole général entrefer
Semi-conducteurs
Diode Symbole général Diode Zéner ou avalanche contrôlée
A K Thyristor
AK G
Ano deCathode
A1 A2
Transistor à effet de champ Canal P
DSD
Diode électroluminescente G Triac G S
C Transistor bipolaire NPN C Transistor bipolaire PNP Transistor à effet de champ Canal N
B B
G
E E
DTransistor MOS à grille isolée Canal N DTransistor MOS à grille isolé Canal P
GG Amplificateur intégré
SS
Opto-électronique
Convertisseurs de puissance
Convertisseur Convertisseur
Convertisseur
alternatif/continu continu/alternatif
Symbole général
Redresseur Onduleur
Redresseur en couplage à Convertisseur
Convertisseur
double voie continu alternatif
continu/continu
(en pont) redresseur/onduleur
Transformateurs
Contacts
Contact à fermeture Contact à deux directions Contact à fermeture retardé
(contact de travail) (NO) sans chevauchement au travail (NO)
Contact à deux positions
Contact à ouverture Contact à ouverture retardé
avec position médiane
(contact de repos) (NC) au repos (NC)
d'ouverture
Bouton rotatif à fermeture
Contact à fermeture à Bouton poussoir à fermeture
sans retour automatique
commande manuelle (NO) à retour automatique (NO)
(NO)
Interrupteur à fermeture Interrupteur à ouverture
Contact d'un relais
(NO) commandé par la (NC) commandé par la
thermique (NC)
température . température .
Contact d'un interrupteur
Contact d'un disjoncteur Contacteur
sectionneur
Contact d'un interrupteur
Contact d'un fusible
Contact d'un sectionneur sectionneur à ouverture
sectionneur
automatique
Capteur sensible à une Dispositif sensible à une proximité,
Contact d'un fusible
proximité avec contact à commandé avec un aimant, avec un
interrupteur sectionneur contact à fermeture
fermeture
NO : Normally opened normalement ouvert NC : Normally closed normalement fermé (NF)
Appareils de mesures
Divers
Fusible Capteur sensible à une
Témoin lumineux
(symbole général) proximité
Par commande
Distributeur 4/2
électrique
Mécanique par
Distributeur 4/3
poussoir
Moteur à un sens
de rotation
Ventouse Venturi
Raccorde
Permet le passage
simplement et sans Clapet anti-
Raccord rapide outillage 2 conduits
de l’air dans un seul
retour sens
d’air comprimé
Permet le passage
de l’air comprimé
Sécheur Enlève l’humidité Clapet anti- dans un seul sens à
déshydrateur de l’air retour piloté condition d’avoir
une pression de
pilotage (pointillé)
Enlève les
Réduit le débit dans
impuretés Réducteur de
Filtre contenues dans
le circuit placé en
débit aval
l’air
Permet de régler le
Huile l’air Réducteur de
Lubrificateur comprimé
débit dans le circuit
débit variable placé en aval
Permet d’obtenir
Indique la
Régulateur de une pression
Thermomètre température de l’air
comprimé pression constante dans le
circuit placé en aval
Séparateur
manuel
Dissocie l’air des
autres composants
Séparateur (eau, poussières…)
automatique
E CHANFREIN Petite surface obtenue par suppression d’une arête sur une pièce
O TROU OBLONG Trou plus long que large, terminé par deux demi-cylindres.