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ZHIOUA KHALED // LYCEE IBN ABI DHIAF MANOUBA

MATHEMATIQUES

FORMULAIRES
[4ème M + Sc-exp + Sc-tech + Sc-Info]
.

[2009-2010]

[VIVE LES MATHS // ZHIOUA KHALED // MANOUBA]


RAPPELS DE TRIGONOMETRIE

Valeurs et formules remarquables


   
x 0
6 4 3 2    
cos  x   sin x sin  x   cos x
3 2 1 2  2 
cos x 1 0
2 2 2    
cos  x    sin x sin  x   cos x
1 2 3 2  2 
sin x 0 1
2 2 2
Formules d’addition
cosa  b  cos a cos b  sin a sin b tan a  tan b
tana  b  
cosa  b  cos a cos b  sin a sin b 1  tan a tan b
sina  b  sin a cos b  cos a sin b tan a  tan b
tana  b  
sina  b  sin a cos b  cos a sin b 1  tan a tan b

Formules de linéarisation
cos2a   cos 2 a  sin 2 a  2 cos 2 a  1  1  2 sin 2 a
sin2a   2 sin a cos a

Résolution d’équations

cos x  cos   x   2  ou x   2 


sin x  sin   x   2  ou x     2 
RAPPELS DE GEOMETRIE
 Théorème de la médiane : soit ABC un triangle quelconque,
BC 2
et I le milieu de [BC], on a AB 2  AC 2  2 AI 2 
2
 Dans un triangle quelconque, l’équivalent du théorème de Pythagore est la relation d’Al Kashi : a 2  b 2  c 2  2bc cos 

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 L’aire d’un triangle est donné par : On en déduit :
1 1 1 sin  sin  sin   Dans un repère orthonormal, un cercle de centre x 0 ; y 0  et de rayon R a
S  bc sin   ac sin   ab sin   
2 2 2 a b c pour équation : x  x 0 2   y  y 0 2  R2

DERIVEE  PRIMITIVE
u
2 u
u
u
ln u
u
u 1
2

u u
u e u eu
v   u .u  v  u 
u n 1
u nu
n 1
nu n1u  un
1
2
 1  tan 2 x tan x
cos x
sin ax  b 
cosax  b
a
cosax  b 
sin ax  b 
a

COMPLEXES

Equation du second degré


az ²  bz  c  0   b²  4ac
b  b 
z1  et z 2 
2a 2a
az ²  bz  c  a( z  z1 )( z  z 2 )

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Module

z  x²  y ² est la longueur qui sépare l’origine et le point d’affixe z.


z z
zz'  z . z ' z  z '  z  z ' (inégalité triangulaire) 
z' z'

Conjugué

Le conjugué de z  x  iy est z  x  iy . On a les relations :


zz
z.z  x²  y ² z.z '  z.z ' Re( z ) 
2
1 z z z zz
   Im( z ) 
z z²  z'  z' 2

Arguments
z
argzz'  arg z  arg z ' arg   arg z  arg z '
 z' 
arg( z n )  n arg z arg(  z)  arg z  

Notations trigonométriques et exponentielles


z  r cos   i sin   est la forme trigonométrique d’un complexe. On a Re( z )  r cos  et Im( z)  r sin  . z  re i est la forme exponentielle.

Formule de Moivre : e 
i n
 e in
e i  e i e i  e i
Formules d’Euler : cos   et sin  
2 2i

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Utilisation en géométrie
Considérons trois points distincts A, B et C dans un repère O, i , j .
 

 z  z B  z A  ( x B  x A )  i( y B  y A ) donne l’affixe de AB .
AB

z A  zB
 zI  avec I le milieu de [AB].
2
az  bz B
 zG  A avec G le barycentre de  A; a , B; b.
ab

 AB; AC   argz  z  zA 
 z A   arg z B  z A   arg C
C

2 
 z B z A 
 z  zA 
 AB et AC sont colinéaires  arg C   02 
 zB  zA 
 z  zA  
 AB et AC sont orthogonaux  arg C   2 
 z B  z A  2

Transformations

 M(z)  M'(z+a) est la translation de vecteur v (a).
  
M(z)  M  ze i est la rotation de centre O et d'angle  .
 z  z A  r définit le cercle de centre Az A  et de rayon r.

LIMITES – ASYMPTOTES

Formes indéterminées
    : factorisation du terme dominant (+ haut degré).
 : factorisation du terme dominant, simplification.

0 : factorisation du terme tendant vers 0, simplification.
0

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0   : peut en général se ramener à  ou 0 .
 0
Si des racines carrées interviennent, on pourra multiplier par la quantité « conjuguée ».

Propriétés
 g ( x)  f ( x)  h( x) et lim g ( x)  lim h( x)  l  lim f ( x)  l
 f ( x)  l  g ( x) et lim g ( x)  0  lim f ( x)  l
 lim f ( x)  b et lim g ( y )  l  lim g  f ( x)  l
x a y b x a

Limites usuelles
La limite d'une fonction polynôme en   ou en   est la limite du terme dominant. La limite d'une fonction rationnelle en   ou en   est la
limite du quotient des termes dominants du numérateur et du dénominateur.
sin x cos x  1
lim  1 et lim 0
x 0 x x 0 x

Asymptotes
 lim f ( x)    asymptote verticale d'équation x=a
x a

 lim f ( x)  b  asymptote horizontale d'équation y=b


x  

 lim f ( x)  (ax  b)  0  asymptote oblique d'équation y=ax+b


x  

DERIVEE

Nombre dérivé
f ( x 0  h)  f ( x 0 ) f ( x)  f ( x 0 )
f ' ( x 0 )  lim  lim
h 0 h x  x0 x  x0

Pour que f soit dérivable en x 0 , il faut que les nombres dérivés à gauche et à droite de x 0 soient finis et égaux. La tangente au point d'abscisse x 0 a
pour équation y  f ' ( x 0 )( x  x 0 )  f ( x 0 )

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Bijection
f est dérivable est strictement croissante sur [a;b] donc f réalise une bijection de [a;b] sur  f (a); f (b) et pour tout  de  f (a); f (b) l’équation
f (x)   admet une solution unique dans [a;b].

Inégalités des accroissements finis


f est dérivable sur [a;b] et pour tout x de [a;b] on a :
 m  f'(x)  M  m(b-a)  f(b)-f(a)  M(b-a)
 |f’(x)|  M  |f(b)-f(a)|  M |b-a|

Position de la courbe par rapport à la tangente


La position de (C) la courbe représentative de f par rapport à (T) la courbe représentative de g est donnée par le signe de h(x)=f(x)-g(x)
h>0 : (C) est au dessus de (G)
h<0 : (C) est au dessous (G)
h=0 : intersection des courbes (C) et (G)

RECURRENCE
Soit une propriété P dépendant d’un entier n et n 0 un entier fixé.
- Initialisation : Si P(n 0 ) est vraie,
- Transmission : et si P(n)  P(n  1) pour tout n  n0 ,
- Conclusion : alors P(n) est vraie pour tout entier n  n0 .
LOGARITHME NEPERIEN
 ln est une bijection strictement croissante de 0; sur  ;
 ln x  1
 ln u   u lim

1
 
ln x
lim n  0 n  0
u x 0 x x x

 ln( a.b) = ln a + ln b ln(a n ) = n. ln a


a 1
 ln   = ln a - ln b ln a = ln a
b 2
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FONCTION EXPONENTIELLE
 exp est une bijection strictement croissante de  ; sur 0;

 e   u .e
u u
lim
x 0
ex 1
x
1 lim
xn
x   e x
0 n  0

 e a b a
= e .e b
e na
 
= e a n
e a b ea
= b
e

FONCTION PUISSANCES

f ( x)  x   e  ln x est définie et dérivable sur 0; . La dérivée f ( x)   .x  1 est du même signe que  d’où la monotonie de f.

ln x  ex
Pour   0 : lim 0 lim x e x
0 lim  
x   x  x   x  x

PARITE / SYMETRIE
 f est paire  f est centré en 0 et f(-x)=f(x)
 f est impaire  f est centré en 0 et f(-x)=-f(x)

 ( x 0 ; y 0 ) est centre de symétrie  f ( x 0  h)  f ( x 0  h)  2 y 0


 x  x 0 est axe de symétrie  f ( x0  h)  f ( x0  h)

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EQUATIONS DIFFERENTIELLES
 y   ay a pour solutions l'ensemble des fonctions définies par f ( x)  k.e ax avec a et k des réels. La solution de l’équation différentielle
vérifiant la condition initiale y( x 0 )  y 0 est la fonction définie par f ( x)  y 0 .e x  x0 .

 y    2 y  0 a pour solutions l'ensemble des fonctions définies par f ( x)  A cos .x  B sin . y avec  , A et B des réels. La solution de
l’équation différentielle vérifiant la condition initiale y( x 0 )  y 0 est la fonction définie par y ( x 0 )  y 0 .

INTEGRALES
Définition

f (t )dt  F (t )a  F (b)  F (a) est l’intégrale de f entre a et b.


b

b
a


x
f (t )dt est la primitive de f qui s'annule en a.
a

Si pour tout x  a; b on a f ( x)  g ( x) , alors l'aire de la partie du plan comprise entre les deux courbes et les droites d'équations x=a et x=b est

 g (t )  f (t )dt .
b
donnée en unité d'aire par
a

Propriétés
b a b b
 
a
f (t )dt   f (t )dt
b  a
(kf )(t )dt  k  f (t )dt
a
a a
 f est paire  
a
f (t )dt  2 f (t )dt
0


a
 f est impaire  f (t )dt  0
a
a T T
 f est périodique de période T  a
f (t )dt  2 f (t )dt
0
c c b
 
a
f (t )dt   f (t )dt   f (t )dt
b a
(relation de Chasles)

( f  g )t dt   f (t )dt   g (t )dt


b b b
 
a a a
(linéarité)

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Théorème de la moyenne
1
  f (t )dt
b
La valeur moyenne de f est donnée par  
ba a

f est dérivable sur [a;b] et pour tout x de [a;b] on a :


b
 m  f(x)  M  m(b-a)  f (t )dt  M(b-a)
a
b
 |f(x)|  M  a
f (t )dt  M(b-a)

Intégration par parties

u (t ).v (t )dt  u (t ).v(t )a   u (t ).v(t )dt


b b

b
a a

Calcul de volumes
Pour un solide dont l'intersection avec le plan de cote z a pour aire S(z), le volume entre les plans de cote a et b est donné par :
b
V   S ( z )dz
a

SUITES REELLES

Suites arithmétiques
 U n 1  U n  r
 U n  U p  (n  p)r  U n  U 0  nr
n 1 n(n  1) U  U n 1
  U i  nU 0  r  n 0
i 0 2 2

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Suites géométriques
 U n 1  U n q
 U n  U p  q n p  U n  U 0  q n
 q  1  U n  n’a pas de limite et diverge de U 0
0  q  1  U n  converge vers U 0
q  1  U n  tend vers  
n 1 1 q n U 0 U n
  Ui  U0  
i 0 1 q 1 q

Suites monotones, bornées, périodiques


 Si la fonction f est croissante sur a; , la suite définie par U n  f (n) est croissante pour n  a . Attention : la réciproque est fausse (la suite
peut-être croissante alors que la fonction ne l’est pas).
 Une suite à la fois majorée et minorée est appelée suite bornée.
 U n  est périodique de période p lorsque U n  p  U n .

Limites de suites
 lim U n  l  0  lim U n  l
 U n  l  Vn et lim Vn  0  lim U n  l
Vn  U n  Wn
  lim U n  l (Théorème des gendarmes)
lim V n  lim Wn  l
 lim U n  l et lim Vn  l ' et U n  Vn  l  l '
 lim U n  l et lim Vn  l ' et l  l '  U n  Vn
 Les termes de U n  appartiennent à l’intervalle de la fonction f :
lim U n  l et lim f ( x)  l '  lim f (U n )  l '
n   x l n  

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Propriétés
 On peut changer l'ordre des points pondérés.
 On peut multiplier tous les coefficients par un nombre k  0 .
 On peut remplacer une partie des points par leur barycentre partiel affecté de la somme leurs coefficients (associativité).
  i z i    i x i    i y i 
n n n

i 0 i 0 i 0
 Les coordonnées ou l’affixe du barycentre sont données par : z G  n
xG  n
yG  n
 i  i  i
i 0 i 0 i 0

Isobarycentre
 L'isobarycentre des points Ai 1i  n est le barycentre de ces points tous affecté du même coefficient non nul.
 L’isobarycentre de deux points A et B est le milieu de [AB].
 L’isobarycentre de trois points A, B et C est le centre de gravité du triangle ABC (point d'intersection des médianes).

Ensemble de points

 MG  r  dans le plan : cercle de centre G et de rayon r.


dans l’espace : sphère de centre G et de rayon r.
 MG1  MG2  dans le plan : médiatrice de G1G 2 
dans l’espace : plan médiateur de G1G 2 

 MG1  MG2  0  plan : cercle de diamètre G1G 2 
espace : sphère de diamètre G1G 2 

DENOMBREMENT

Cardinal d’un ensemble


Le cardinal d’un ensemble fini est le nombre d’éléments de cet ensemble. Soit A et B deux événements d’un univers fini  .
Dans tous les cas, Card  A  B  Card  A  Card B  Card  A  B .
Si A et B sont incompatibles, Card  A  B  Card  A  Card B .
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Si complémentaires, Card  A  B  Card  A  Card B  Card  .
Pour déterminer les cardinaux de certains ensembles, on s’aide de diagrammes, tableaux ou arbres ou schémas à case.

Arrangements
Un arrangement est une liste ordonnée de p éléments distincts choisis parmi les n éléments d’un ensemble. On l’utilise par exemple pour un tirage
avec ordre et sans remise.
n!
Anp  n  (n  1)  (n  2)   (n  p  1) 
(n  p)!

Permutations
Une permutation est un arrangement des n éléments de l’ensemble. On l’utilise par exemple pour trouver tout les anagrammes d’un mot.
Ann  n!  n  (n  1)  (n  2) 1

Combinaisons
Une combinaison est une liste non-ordonnée de p éléments choisis parmi les n éléments d’un ensemble (une combinaison est une partie). On
l’utilise pour un tirage sans ordre et sans remise.
n  (n  1)  (n  2)   (n  p  1) Anp n!
C np   
p! p! p! (n  p)!

Propriétés des combinaisons


Cnp  Cnp 1  Cnp11 (somme) Cnp  Cnn  p (parité)
C n0  C nn  1 Cn1  Cnn 1  n

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Les C np sont données par le triangle de Pascal :

Les coefficients des égalités remarquables sont ceux du triangle de Pascal. La formule du binôme de Newton les résume :
a  bn  Cn0 a nb0  Cn1a n1b1  Cn2 a n2b 2    Cnn a 0b n  p0 Cnp a n pb p
n

n
Pour a=b=1, on a un cas particulier et  Cnp  Cn0  Cn1    Cnn  2n
p 0

Le nombre de combinaisons d’un ensemble à n éléments est 2 n .

Introduction aux probabilités


 Les formules pour les probabilités sont similaires à celles du cardinal (incompatibilité, complémentarité…).
1
 Lorsque tous les éléments d’un univers ont même probabilités, il y a équiprobabilité. La probabilité pour chaque élément est et pour
Card  
Card  A
tout événement A, on aura p A  .
Card 

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PROBABILITES

Probabilités conditionnelles
A et B sont deux événements et pB   0 . La probabilité conditionnelle de A sachant que B est déjà réalisée est définie se note :
p A  B 
p A B    p  A  B   p  A B   p B 
p B 

A et B sont indépendants lorsque p A  B  p A pB . On a donc :


p A B   p A et pB A  pB 

Arbres pondérés

La somme des probabilités des branches issues d’un même nœud est toujours égale à 1.
La probabilité d’un chemin est le produit des probabilités des branches de ce chemin.
La probabilité d’un événement est la somme des probabilités conduisant à cet événement.

Variable aléatoire
Une variable aléatoire X est une application de l’univers  dans R.
X :   1,2 ,,n   X   x1, x2 ,, xn 

 X  xi  est l’ensemble des éléments de  qui ont pour image x i .


La probabilité de l’événement  X  x i  est noté p X  xi   p i .

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Etude d’une variable aléatoire
 On détermine la loi de probabilité de X en trouvant toutes les probabilités des événements associant une partie de l’univers aux différentes
valeurs prises par la variable aléatoire.
n
xi x1 x2  xn
p i  p1  p 2    p n  1
pi p1 p2  pn i 1

 La fonction de répartition est définie par F ( x)  p X  xi  pour tout réel x. C’est une fonction en escalier qui présente des « sauts ». Elle
est croissante, minorée par 0 et majorée par 1.

 L’espérance mathématique, ou moyenne de X, est définie par :


n
E  X    x i p i  x1 p1  x 2 p 2    x n p n
i 1

 La variance de la variable aléatoire est un réel positif défini par :


n 
V  X    p i x i  E ( X )     x i2 p i   E  X 
n
2 2

i 1  i 1 

 L’écart type de X est le nombre réel positif défini par :


 (X )  V (X )
Schéma de Bernoulli
Une épreuve de Bernoulli est une expérience aléatoire ne comportant que deux issues : le succès ou l’échec. Un schéma de Bernoulli est la
répétition n fois, de façon indépendante, d’une épreuve de Bernoulli.

La loi binomiale permet de calculer la probabilité d’obtenir k succès.


Soit p la probabilité du succès à chaque épreuve et X la variable aléatoire qui compte le nombre de succès au cours des n épreuves :
Pk  Cnk  p k  1  p 
nk

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Probabilités continues
  
 
1
x suit une loi uniforme sur un intervalle de longueur L : P( x   )  f ( t)dt  dt  , la densité de probabilité est f.
 0 L L
   
 
1
Probabilité que x soit entre  et  : P(  x   )  f (t)dt  dt  .
  L L
 L
L
 1 2
 
1 1 L
Moyenne : x  t. dt  t. dt   t   .
 L 0 L  2 L 0 2

  u 
t
 e u du  
t t
x suit une loi exponentielle de paramètre  : P(0  x  t)   0
f ( u)du 
 0  
e   1  e t  F(t) .
0



1
Moyenne : x   ue u du  en faisant une intégration par parties ;
0 
cette moyenne représente la durée de vie moyenne et peut être déterminée expérimentalement.

PRODUITS SCALAIRE - VECTORIEL

Produit scalaire
 Le produit scalaire est une valeur numérique réelle. Soit H le projeté orthogonal du point B sur la droite OA :

OA  OB  OA  OH  OA  OB  cos  AOB 


   
u v  v u ku  v  k u  v        
u  v  w  u  v  u  w

Norme et produit scalaire


        2  
 u 2  u  u u u v  u  v  2u  v 
2 2 2
 u
2 2  
u  v  u v
2

 u  v   u  v   u 2  v 2  
u v 
2

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Orthogonalité dans l’espace
        
 u  v  u v  0  u  v  u  v u  x2  y2  z2
2 2 2

 Un vecteur est normal à un plan si et seulement si il est orthogonal à deux vecteurs non colinéaires de ce plan.

 Deux plans sont perpendiculaires si et seulement si un vecteur normal à l’un est orthogonal à un vecteur normal à l’autre.
 
 L’ensemble des points M de l’espace tel que AM u  0 est le plan passant par A et de vecteur normal u  0 .

Orientation de l’espace
Un repère est dit positif ou direct lorsque ses vecteurs unitaires respectent la règle des trois doigts de main DROITE.

Produit vectoriel

 Le produit vectoriel de deux vecteurs est un troisième vecteur normal au plan formé par les deux autres vecteurs :

OA  OB  OA  OB  sin  AOB 

O; OA; OB; OC est une base directe


          
 u  v  v  u  ku   v  k u  v  u  v  w  u  v  u  w

Colinéarité et alignement
    
 u  v  0  u et v sont colinéaires.

 AB  AC  0  A, B, C sont alignés.

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Expression analytique
 
 Soit u x; y; z  et v x ; y ; z  dans un repère orthonormal, on a :
 
u  v  xx   yy   zz 

 y y 
X   yz   zy  
 z z 
 
  z z
u  v Y   zx   xz  
 x x 
 
 x x 
Z  y  xy   yx  
 y 
    
u  v   yz   zy i  zx   xz  j  xy   yx k

 La norme du produit vectoriel de deux vecteurs est égale à l’aire du parallélogramme construit à partir de ces vecteurs. L’aire du triangle ABC
est donc égale à la moitié de cette norme.

COURBES PARAMETREES

Représentation paramétrique d’une droite



Le système d’équations paramétriques de la droite (D) passant par le point Ax A ; y A ; z A  et de vecteur directeur u a; b; c  détermine l’appartenance
ou non d’un point de l’espace à la droite.

 x  ta  x A Les coefficients du système sont



M x; y; z  D   y  tb  y A les coordonnées d’un vecteur
 z  tc  z directeur de la droite.
 A

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Equation cartésienne d’un plan

L’équation cartésienne du plan (P) passant par le point Ax A ; y A ; z A  et de vecteur normal n a; b; c  détermine l’appartenance ou non d’un point de
l’espace au plan.

M x; y; z  P   AM  n  0 Les coefficients de l’équation sont


ax  x A   b y  y A   cz  z A   0 les coordonnées d’un vecteur
ax  by  cz  d  0 normal au plan.

Astuce : si on connaît trois points non alignés du plan (P), on pourra se servir du produit vectoriel pour trouver un vecteur normal à (P).

Courbes paramétrées
 Soient f et g deux fonctions définies sur un intervalle donné. Lorsque la variable t décrit cet intervalle, le point M(t) de coordonnées  f (t ); g (t )
décrit une courbe paramétrée.
 x  f t 
 est la représentation paramétrique de la courbe.
 y  g t 

Vecteur dérivé en un point

 S’il n’est pas nul, le vecteur dérivé vt 0  f (t 0 ); g (t 0 ) est un vecteur directeur de la tangente à la courbe en M t0  .

 f (t 0 )  0  la courbe admet une tangente verticale en M t0  .


g (t 0 )  0  la courbe admet une tangente horizontale en M t0  .

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formules utiles sur les coniques
PARABOLES
Equations x 2  2 py y ²  2 py
 p p 
Foyers F  0,  F  ,0 
 2 2 
p p
Directrices y x
2 2

ELLIPSES Avec a>b Avec a<b


2
x y²
Equation  1
a ² b²
c= a ²  b² b²  a ²
c c
e=
a b
Sommets A(a,0) A’(-a,0) B(0,b) B’ (0,-b)
Axe Focal Ox Oy
Foyers F(c,0) F’(-c,0) F(0,c) F’ (0,-c)
a² b²
x y
c c
Directrices
a² b²
x y
c c

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HYPERBOLES
Equations x 2 y² x 2 y²
 1   1
a ² b² a ² b²
Axe Focal Ox Oy
Sommets A(a,0) A’(-a,0) B(0,b) B’ (0,-b)
b b
Asymptotes  y x '  y   x
a a
c= a ²  b²
c c
e=
a b
Foyers F(c,0) F’(-c,0) F(0,c) F’ (0,-c)
a² b²
x y
c c
Directrices
a² b²
x y
c c

Isométries planes
 et  sont deux isométries .
  conserve :
1. La distance
2. L’alignement
3. La configuration (l’image d’une droite est une droite, d’un segment est un segment isométrique, d’un cercle est un cercle
isométrique, d’un triangle est un triangle isométrique, d’un carré est carré isométrique, etc.…)
4. Le barycentre (en particulier le milieu)
5. Le parallélisme    
6. L’équipollence des bipoints ( AB  CD  (A)(B)  (A)(B) )
7. Le produit scalaire (en particulier l’orthogonalité et le contact)
 Toute application qui conserve le produit scalaire est une isométrie
  est injective   (M,N)  2 , M  N  (M)  (N)
  est bijective   N   , !M   / (M)  N
 1 et    sont des isométries .

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 et  deux déplacements

  conserve les mesures des angles orientés et transforme un ROND en un ROND


  est la composée d’un nombre pair de symétries orthogonales
 
  
AB , (A)(B) est fixe appelé angle de 
 Si  d’angle  et  d’angle  Alors :
1.    est un déplacement d’angle   
2. 1 est un déplacement d’angle ( )
 Si AB  A 'B'  0 Alors !  / (A)  A ' et (B)  B'
Translation Rotation
 Si son angle est  Si son angle est
nul non nul
 N’admet pas des  Admet un seul
points invariants point invariant
 t v  S '  S  R(, )  S '  S
Où  //  ' et Où    '   et
t 1  ()   '
2
v
  ,  '  2 
 t 0  Id
 R(,(2k  1))  S
 R(,2k)  Id

 et  deux antidéplacements

  change les mesures des angles orientés en leurs opposées et transforme un ROND en un RONI
  est la composée d’un nombre impair de symétries orthogonales
 Si AB  A 'B'  0 Alors !  / (A)  A ' et (B)  B'
 M  (M) l’axe de 

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Symétrie axiale Symétrie glissante
 Fixe son axe  N’admet pas des
points invariants
   S  t v  t v  S

Où  et v ont la
même direction
     t 2v

 La composée de deux déplacements ou de deux antidéplacements est un déplacement


La composée d’un déplacement et d’un antidéplacement est un antidéplacement

Liste des similitudes

Toute similitude de rapport différent de 1 possède un point fixe unique, nommé centre de la similitude.
Forme réduite d’une similitude de rapport différent de 1
Soit f une similitude de rapport différent de 1 quelconque. Soit A son centre et k son rapport ( k > 0 , k  1 ) .
1) Si f est directe, il existe une unique rotation de centre A , soit r ( A ,  ) , dont le produit avec l'homothétie de centre A et de rapport
k est égal à la similitude :
f = h(A,k)or(A,) (k>0, k1) .
Ce produit est commutatif. Il s'appelle la forme réduite de la similitude. (Une similitude directe non isométrique est caractérisée par un
centre, un rapport et un angle.)
2) Si f est indirecte, il existe une unique réflexion, soit sD , dont l'axe D passe par A , et dont le produit avec l'homothétie de centre A
et de rapport k est égal à la similitude :
f = h ( A , k ) o sD (k>0, k1, AD).
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Ce produit est commutatif. Il s'appelle la forme réduite de la similitude. (Une similitude indirecte non isométrique est caractérisée par un
centre, un rapport et un axe.)
Ces propriétés ne sont pas évidentes : étant donné deux figures semblables quelconques (voir par exemple des crochets), on ne
discerne pas immédiatement la forme simple de la similitude qui applique une figure sur l'autre. On voit plutôt des manières de
passer d'une figure à l'autre en plus de deux étapes : agrandir, tourner et translater ; ou bien : agrandir, retourner et tourner ; etc.
Pour apprendre à déterminer le centre et l’angle, ou le centre et l’axe, d’une similitude non isométrique quelconque,

Droites globalement invariantes


1) Soit f une similitude directe de rapport différent de 1, donnée sous forme réduite :
f = h(A,k)or(A,) (k>0, k1) .
Si la rotation n'est ni l'identité, ni un demi-tour, aucune droite n’est globalement invariante par f .
Si la rotation est l’identité ou un demi-tour (c.-à-d. si f est une homothétie, de rapport k ou -k ) , les droites globalement invariantes par
f sont les droites passant par le centre.
2) Soit f une similitude indirecte de rapport différent de 1 , donnée sous forme réduite :
f = h ( A , k ) o sD ( k > 0 , k  1 , A  D ) .
Les droites globalement invariantes par f sont l'axe D de la réflexion, et la droite perpendiculaire à D en A .

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ARITHMETIQUES

Théorème (Petit théorème de Fermat)


Pour tout entier a et tout nombre premier p, a p ≡ a (mod p)
Lemme
Soient p un nombre premier, a un entier premier avec p, b et c deux entiers quelconques,
a . b ≡ a . c (mod p) b ≡ c (mod p)
Démonstration du théorème
Si a ≡ 0 (mo d p), le résultat est évident.
Si a est non nul modulo p, a est inversible modulo p. Le théorème peut donc se formuler de la façon suivante en multipliant les deux
membres de l'énoncé par a - 1 :
a p - 1 ≡ 1 (mod p) pour p premier et a non nul modulo p.
Considérons l'ensemble E = {1 . a , 2 . a ,3 . a , ... , (p -1) . a}.
D'après le lemme, les éléments de E sont distincts modulo p, et aucun d'eux n'est nul modulo p (sinon, toujours d'après le lemme, 0 . a
= k . a (mod p) 0 =k(modp); or k < p).
Ainsi modulo p, l'ensemble E qui contient p-1 éléments distinct non nuls est égal à l'ensemble N = {1 , 2 , 3 , ... , (p -1)}.
Par suite : 1a . 2a . 3a . ... . (p-1)a ≡ 1 . 2 . 3 . ... . (p-1) (mod p),
(1 . 2 . 3 . ... . (p-1)) . a p - 1 ≡ 1 . 2 . 3 . ... . (p-1) (mod p),
(p - 1) ! . a p - 1 ≡ (p - 1) ! (mod p).
Comme p et (p-1) ! n'ont pas de facteurs communs, (p - 1) ! est non nul modulo p et le lemme s'applique : a p - 1 ≡ 1 (mod p).

Division euclidienne d’un entier relatif :


Soit a un entier relatif et b un entier naturel non nul.
Il existe un unique couple (q ; r) , q  ZZ et r  IN tel que : a = bq + r et r < b
a est le dividende, b le diviseur, q le quotient et r le reste.
On dit que le couple unique (q ; r) est le résultat de la division euclidienne de a par b.

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Congruence
Définition

Soit p un entier naturel et a et b deux entiers relatifs. On note : a ≡ b [p] ou


On dit que a est congru à b modulo p, si a et b ont le même reste dans la a ≡ b (modulo p) ou
division euclidienne par p. a ≡ b (p)

Remarques :
 a ≡ b [p]  b ≡ a [p]
 a ≡ 0 [p]  a est divisible par p
 Si a ≡ r (b) et si 0  r < b, alors r est le reste de la division euclidienne de a par b
Propriétés

 a ≡ b [p]  b - a est multiple de p


 Si a ≡ b [p] et si b ≡ c [p] alors a ≡ c [p]
 Si a ≡ b [p] et si a' ≡ b' [p]
alors a + a' ≡ b + b' [p] ; a - a' ≡ b - b' [p] ; aa' ≡ bb' [p] ; an ≡ bn [p] n  IN*
 Si a ≡ b [p] alors pour tout c  ZZ a + c ≡ b + c [p] ; a - c ≡ b - c [p] ; ac ≡ bc [p]

Propriété – algorithme d’Euclide


Soit a et b deux entiers naturels non nuls.
On définit la suite rn d'entiers naturels de la façon suivante : r0 = b ; r1 est le reste de la division euclidienne de a par b
Pour n  1 : - si rn = 0 alors rn+1 = 0
- si rn  0 alors rn+1 est le reste de la division euclidienne de rn-1 par rn
Alors il existe un entier n0 tel que rn0  0 et pour tout n > n0 , rn = 0
On a PGCD(a ; b) = rn0

Inverse modulo b
Soit a et b deux entiers relatifs non nuls tels que b 2 et a  b = 1 . Alors il existe un entier non nul u appartenant à  0 , 1 , 2 , ……… , b – 1
 tel que au = 1( mod b) . On dit que u est inverse modulo b .

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TThhééoorrèèm
mee ddee B
Beezzoouutt

Soit d le pgcd(a,b) ; alors, il existe 2 relatifs u et v tels que . a×u+ b×v = d


définition : 2 nombres sont premiers entre eux si et seulement si leur pgcd est égal à 1.

corollaire pgcd(a, b) = 1   u, v   Z ² / a× u+ b× v = 1

pgcd(a, b) = d 
 a  a ' d
2° corollaire 

 b  b ' d


  
 u, v  Z ² /a'×u+ b'× v = 1

Théorème de Gauss

Si a divise b  c et si  a  b   1 , alors a divise c.

Résolution de l'équation ax + by = c :

Appelons (e) cette équation ax + by = c. Lorsque (bzt) est résolue, on a l'égalité au + bv = 1 , par suite a.(uc) + b.(vc) = c et le couple (xo,yo) = (uc,vc) est une
solution de (e). Supposons donc connue une solution (xo,yo). Nous pouvons écrire que (e) équivaut au système :

ax + by = c , axo + byo = c

Posons X= x - xo et Y=y - yo, le système est équivalent à : aX + bY = 0 , axo + byo = c

Or aX + bY = 0 équivaut à : aX = -bY, et cela signifie que a divise bY et que b divise aX. Mais il a été supposé que a et b sont premiers entre eux; par suite a divise
Y, donc Y = ak (k entier relatif), d'où X = - bk et les solutions de (e) sont de la forme : (xo - bk , yo + ak), k décrivant Z.

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Statistiques
Vocabulaire
Une étude statistique porte sur un ensemble (de personnes, d’animaux, d’objets, … ) appelé population.
Chaque élément de la population est un individu.
L’aspect étudié est nommé caractère ou variable.
Les résultats obtenus après observation donnent une série statistique.
Il existe des séries à une ou plusieurs variables.
Lorsque les variables prennent des valeurs numériques ( exemple : notes, tailles, âges, … ), les variables sont dites quantitatives ( si la variable prend
n’importe quelle valeur dans un intervalle donné, la variable est dite continue , si elle prend des valeurs isolées, la variable est dite discrète ).
Dans le cas contraire, les variables sont dites qualitatives (nationalité, couleurs, … ) ; les différentes possibilités du caractère sont appelées modalités
( la commune de résidence pour des élèves de première fréquentant un lycée … ).
Représentations graphiques
Diagramme en bâtons : Il est formé de bâtons dont l’abscisse est la valeur xi et la hauteur l’effectif ni.
Histogramme : Lorsque les valeurs sont regroupées en classes, on représente la série par des rectangles de base chacune des classes et dont l’aire est
proportionnelle à l’effectif de la classe.
Diagramme cumulatif : Lorsque la série est regroupée en classes, le diagramme des effectifs cumulés croissants est formé des segments reliant les points
ayant pour abscisse l’extrémité xi de chaque classe, et pour ordonnée Ni, l’effectif cumulé croissant de la valeur xi.

Paramètres de position
Dans le cas d’une série regroupée en classes, les calculs suivants s’effectuent en remplaçant chaque valeur x i par le centre de chaque classe.
Le mode est la valeur du caractère qui a le plus grand effectif.
Dans un cas de variable continue, on parle de classe modale, le mode étant alors le centre de la classe.
La médiane est la valeur qui sépare la population en deux sous-ensembles de même effectif.
C’est la valeur qui correspond à la fréquence cumulée croissante égale à 50 %.
n x +n x +…+npxp 1 p
N
La moyenne est le nombre x tel que : x = 1 1 2 2 = ni xi .
N i 1

Paramètres de dispersion
L’étendue d’une série statistique est la différence entre la plus grande valeur et la plus petite valeur prise par le caractère.

La variance, notée V, est la moyenne des carrés des écarts entre les valeurs du caractère et la moyenne x . Elle est telle que :
p p

 ni (x  xi ) 2 n x i
2
i
V= i 1
= i1
x2
N N
Variance = moyenne des carrés – carré de la moyenne .
L’écart type, noté  , est la racine carrée de la variance σ = V

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Série statistique à deux variables

Quand on étudie deux caractères statistiques sur une même population, on obtient une série statistique double.
Si les valeurs prises par le premier caractère sont x1, x2, …, xn et celles prises par le second caractère sont y1, y2, …, yn, alors les valeurs prises par cette
série sont les couples ( x1 ; y1), ( x2 ; y2), …, ( xn ; yn).
L’ensemble des points {M1, M2, …,Mn } où M1 a pour coordonnées ( x1 ; y1 ), M2 ( x2 ; y2 ), …, Mn ( xn ; yn ) dans un repère du plan,
est le nuage de points de la série.
Le point moyen du nuage {M1, M2, …,Mn } est le point G de coordonnées ( x ; y ), où x est la moyenne de la série ( xi) et y est la moyenne
de la série ( yi ).
Ajustement affine
Quand les points d’un nuage sont sensiblement alignés, on peut construire une droite passant au plus près de ces points ; on dit que cette droite réalise un
ajustement affine du nuage de points.
On peut tracer cette droite au jugé, ou alors utiliser des méthodes particulières.
On choisit en général une droite passant par le point moyen du nuage.

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