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Neville Goddard 6-5-1970

TOUTES LES MOTS HUMAINS PUISSANTS

Moïse a dit : « Montre-moi ta gloire ; et l'Éternel dit : Je te mettrai dans une fente du rocher, et
je couvrirai ton visage de ma main jusqu'à ce que j'aie passé. Alors je retirerai ma main, et tu
verras mon dos ; mais ma face ne sera pas vue. (Exode 33 : 18, 22, 23)

Le motMoïseest le vieux perfectif du verbe égyptien « naître ». Vous ne pouvez pas voir le visage de Dieu
tant que vous n’êtes pas « né d’en haut ». Il le met dans une fente du rocher. Lerocher, nous dit-on, est
Dieu. (Voir Deutéronome 33:4 ; 1 Samuel 2:2 ; et 2 Samuel 22:32.) « Le rocher qui t'a engendré. »

On nous dit : « lerocherc’est le Christ. » (1 Corinthiens 10 : 4) « Tu ne te souviens pas du rocher qui

t’a engendré, et tu as oublié le rocher qui t’a engendré. » (Deutéronome 32:18)

Vous êtes enterré dans un rocher. Je vais vous le dire, ce rocher est votre magnifique crâne ! Il y a là quelque chose
qui doit naître, il ne peut pas voir le visage du Seigneur jusqu'à ce qu'il naisse – pas avant qu'il ne naisse.

En attendant, il nous est demandé, à vous et à moi, de mettre en pratique un principe connu sous le nom de
Pardon ou Repentir.Repentirest un changement radical d'attitude envers tout dans ce monde. C'est le repentir.

Nous allons maintenant commencer par une histoire qui s'est produite la semaine dernière. Un de mes très
chers amis que j’ai persuadé de faire ce travail à San Francisco – vous le connaissez, Freedom Barry. Il vit
maintenant à Cambria. C'est à mi-chemin entre ici et San Francisco. Il a une passion dévorante : la musique. Il
est diplômé du Conservatoire de musique de la Nouvelle-Angleterre, mais il estime qu'il n'est pas à la hauteur
dans le domaine du concert. C'est un secteur très compétitif, et il sentait vraiment qu'il n'était pas tout à fait de
ce genre. Il est né et a grandi dans la pauvreté – l’extrême pauvreté. Il était orphelin alors qu’il n’était qu’un
petit enfant – un petit bébé. Eh bien, il est venu dans l'Ouest et a trouvé un emploi, et quand il est venu à mes
réunions, après environ deux ans, je l'ai rencontré. Je l'aimais plutôt et je lui ai demandé s'il aimerait faire ce
que je fais, et il a répondu : « Oui, je le ferais, mais je ne suis pas qualifié.

J'ai dit : « Vous avez seulement répondu correctement. Si vous vous sentiez qualifié, vous ne serviriez à rien.

Aujourd’hui, je dirais que je ne suis pas qualifié. Si vous me demandiez mon parcours intellectuel, je ne
pourrais pas me qualifier : demandez-moi n'importe quel parcours, je ne pourrais pas me qualifier. J'ai
rencontré Damrosch une fois à New York au Bohemian Club. Au Harvard Club, ils se réunissaient une fois par
mois. Et lorsque je lui ai été présenté par cette personne très extravertie, il m'a demandé quel était mon
parcours. Était-ce germanique en ce qui concerne mon enseignement ? Était-ce germanique, était-ce français,
était-ce anglais ? J'ai dit : Non, tout est venu par révélation ; et le vieux m'a tourné le dos comme s'il parlait à la
racaille de la terre !

Ici avait lieu une réunion sociale. Il vous a jugé sur votre parcours, selon que vous aviez été formé à
l'école germanique, à l'école française, à l'école anglaise, et il l'a nommé. Eh bien, je n’aurais pas pu
répondre par l’affirmative à cette question ; alors il lui tourna le dos.
Alors, j’ai dit à Freedom : « Vous n’avez besoin d’aucune expérience. Tu me fais confiance. Je t'aime bien. Je pense que
vous êtes honnête et que vous ne tromperez personne. Tu iras vers le nord et tu enseigneras.

Il est donc allé vers le nord et il a enseigné avec succès. Il s'est acheté une maison à Cambria, comme je
l'ai dit, à mi-chemin entre ici et San Francisco. C'est une maison modeste, mais au moins c'est sa maison.
Tout est clair. Mais il a une passion dévorante ; c'est de la musique. Il adore la musique et il avait ce joli
piano à queue, mais il lui fallait quelque chose. Il devait le faire faire, pas le réparer, mais il fallait faire
quelque chose, et il y avait des frais modérés de 400 $ pour faire ce qu'il pensait devoir faire, mais ils ne
pouvaient le faire que s'il le renvoyait à l'usine. Il a été envoyé à l'usine.1

Ils ne le lui renverraient pas à moins qu'il ne vienne d'abord le tester et l'essayer. Tout devrait être
parfait comme il le pensait. Alors il est descendu, a joué dessus et il l’a accepté. Ensuite, ils lui ont
donné une date de livraison. Alors il a attendu chez lui, mais il n'y avait pas de piano. Le lendemain,
pas de piano.

Puis il les a appelés et ils ont dit : « Eh bien, nous attendions un chargement complet ; mais maintenant il y a un
chargement complet, et donc tu recevras ton piano mercredi » – de la semaine dernière – pas cette semaine,
mercredi de la semaine dernière. Il a attendu toute la journée et il n'y avait pas de piano ; alors, quand il a appelé, ils
ont dit, assez étrangement : « Notre chauffeur, le camion et son contenu ont disparu et nous ne pouvons pas le
localiser. Nous ne pouvons localiser le camion ni son contenu.

Le lendemain, lorsqu'il a appelé, il n'y avait aucune trace du chauffeur. Alors, désespéré, il m'a appelé. Il a dit : «
Vous savez, j'enseigne cette loi, mais, Neville, chaque centime que j'ai est vraiment enfermé dans mon piano.
J'ai ma maison, mais je n'ai aucun revenu pour le moment et ma seule activité est simplement de jouer. Et il
n'est assuré que pour 2 000 $, et je ne pourrais pas le remplacer pour 4 000 $. Mais bien avant de pouvoir
obtenir les 2 000 $, voire jamais, je suis à court d’argent ; et je vous appelle à l'aide. Tu es la seule vers qui je
peux me tourner.

J'ai dit : « Merci pour votre confiance » ; et puis c'était tout.

Juste après avoir raccroché, jeentendului joue de ce piano. Je pourrais poser mes mains sur son épaule, et je
pourraissentirLiberté. Je pourraissentirle piano, et j'ai entendu cette belle musique. Puis ce soir-là, entre 8h00
et 10h00, il y a un joli programme sur KFAC, et c'est généralement de la musique pour piano, mais c'est de la
belle musique toute la journée, 24 heures sur 24. Donc, à tout moment de la journée, je peux l'activer, ce qui
est de toute façon activé toute la journée. Et j'ai entendu ce glorieux concerto, et j'ai imaginé que Freedom le
jouait, et j'ai simplement posé mes mains sur lui et je l'ai remercié pour la joie qu'il m'a donnée en jouant ce
concerto, et j'ai pu sentir le piano.

Hier matin, à 11 heures, il a appelé. Je n'étais pas disponible mais ma femme a répondu. Il a dit : « Je vous
aurais appelé à 4 h 30 ce matin lorsque le piano a été livré, mais j'ai pensé qu'il n'était pas sage de vous
déranger à cette heure du matin, à 4 h 30 ; mais maintenant je vais t'appeler, car tu dois être debout. Il a
dit : « Je vais éventuellement vous donner tous les détails, je ne peux pas le faire maintenant par
téléphone. C’était une chose étrange, étrange.

1Voir la conférence SF, « Identical Harvest », 13 juillet 1970 ; également des conférences à Los Angeles, « All-Power Human Words », le
15/07/70 et « Pattern of Scripture Real », le 08/06/70.
Il a dit ceci : le conducteur a été arrêté à San Luis Obispo. Il a refusé de donner quoi que ce soit sur
l'endroit où se trouvait le camion et son contenu.

La semaine dernière, j'ai lu dans le journal que nos banques perdaient à cause des hommes qui braquent les banques
– oh, peut-être sept ou huit millions de dollars par semaine, mais les détournements de fonds qui se produisent au
sein des banques auprès d'employés de confiance se chiffrent en dizaines de millions ; et puis ces énormes centaines
de millions de marchandises perdues entre nos ports, nos aéroports et nos entrepôts – toutes volées. Un homme
décolle, et tout disparaît, le camion et son contenu ; et cela représente des centaines et des centaines de millions de
dollars par an.

Mais je me fiche de ce que je lis dans le journal. Je reste fidèle au Principe. Il existe une déclaration infaillible
concernant le péché impardonnable. Le péché impardonnable dans la Bible est le péché contre le Saint-Esprit.
Tous les péchés du monde sont pardonnés, sauf le péché contre le Saint-Esprit. Quel est ce péché
impardonnable ? Doute! Lui qui a créé l'univers et qui le soutient, et vous doutez de son pouvoir de faire quoi
que ce soit dans ce monde ? C’est le seul péché impardonnable.

Eh bien, ayant atteint la fin du plan de Dieu pour nous tous, je n'en douterai pas. Je n’ai rien demandé à
Freedom au-delà de sa demande. Il voulait son piano, et tout ce que j'ai fait – j'ai simplemententenduqu'il y
joue. J'ai posé mes mains – mes mains mentales, mes mains imaginaires – sur son épaule et je l'ai remercié
pour la joie que j'ai ressentie en l'entendant jouer. Et puis, quand j'ai allumé KFAC entre 8h00 et minuit et que
j'ai entendu ce délicieux concerto pour piano, j'ai supposé que c'était Freedom qui le jouait ; et j'ai tellement
apprécié le maître qui le jouait que je l'ai remercié pour la joie de l'avoir entendu, puis je l'ai laissé tomber.

Maintenant, j'attends les détails, mais je ne me soucie pas vraiment de la façon dont cela s'est passé. Malgré
les centaines de millions de dollars qui sont perdus chaque année et qui ne sont jamais récupérés, cela ne m’a
pas du tout dérangé. Il a récupéré son piano – c’est tout ce qui comptait, alors je me suis simplement perdu
dans cet acte, et c’était tout.

Nous oublions ce que nous faisons. Une dame qui est ici ce soir – elle a oublié. Il y a environ deux ou
trois mois, elle m'a dit : "Regarde comme je grossis, je sors de mes vêtements !"

J'ai dit: "Tu n'es pas trop gros du tout." Puis elle a dit : « Je veux être mince. »

J'ai dit : « Eh bien, tu es mince. Vous êtes aussi mince que vous le souhaitez, voire plus mince. Et elle est partie.

Elle est revenue ce soir et elle a dit : « Écoutez, je ne peux pas le supporter – comme je suis maigre ! »

J'ai dit : « Vous souvenez-vous qu'il y a deux mois, ou peut-être trois mois, vous m'avez dit à quel point vous étiez
gros ? Je ne pouvais pas le voir, mais pour toi, c'était gros, et tu te méprisais à cause de cette grosseur.

Et ce sont les paroles de Blake : « Oh, qu’ai-je dit, qu’ai-je fait, Oh, paroles humaines toute-
puissantes ! [De « Jérusalem »]

« Paroles humaines toute-puissantes » – oui, parce que l’homme est Dieu ! La Parole de Dieu ne peut pas lui
revenir sans effet. Il doit accomplir ce pour quoi Il l’a envoyé. Il doit effectivement remplir son objectif.
Eh bien, Dieu est homme ! Et l’homme, dans ses moments d’inactivité, fait toutes sortes de déclarations. Puis il la
récolte et il ne reconnaît pas sa propre récolte. Alors elle revient et elle est maigre. Oui, elle est mince – visiblement
très mince. Pour une petite, petite dame, c’est une sacrée perte de poids. Vous pouvez le faire avec n'importe quoi
dans ce monde.

Maintenant, quelle est la déclaration concernant Moïse ? « Montre-moi ta gloire, et le Seigneur lui
dit : Je te mettrai dans une fente du rocher, et je te couvrirai de ma main jusqu'à ce que je passe,
puis j'enlèverai ma main, et tu verras. mon dos, mais mon visage ne sera pas vu.

C'est dans le 33ème chapitre du livre de l'Exode. Vous le lirez dans les versets 18 à 25 ; » et vous
demandez : « Qu'est-ce que cela signifie ? Eh bien, si vous connaissez le sens du mot Moïse, ce qui
signifie « naître », il y a quelque chose qui est planté dans le rocher – dans la fente du rocher – et qui
doit naître. Lorsque cela est né, alors Dieu a amené Son dessein à son paroxysme.

À partir de là – et c’est étrange à vous dire, mais je pense chaque mot – à partir de ce moment-là,
vous n’avancez plus, vous reculez ! Vous remontez jusqu'à la Source. Il vous a amené vers le point
culminant, et ensuite vous ne voyez plus que l'arrière jusqu'à ce que vous reveniez en arrière ; et
quand vous revenez en arrière, vous voyez le visage – la Gloire de Dieu.

Comme il nous est dit dans la deuxième lettre de Paul aux Corinthiens, au chapitre 4 – je pense que c'est
le verset 6 – de « contempler la gloire de Dieu face à Christ ». (2 Corinthiens 4:6)

Vous ne connaîtrez jamais votre visage tant que vous ne le verrez pas sur le visage de votre Fils. Ainsi, dans ce
poème de Browning intitulé « Saul » – MaintenantSaüldans les Écritures était dément. Il était le choix de
l'humanité, le roi d'Israël ; et il était mentalement déficient. Il voulait que ce garçon joue de la harpe pour
apaiser son esprit, et Browning, par expérience, a écrit ce beau poème, et Browning l'appelle maintenant « Saul
». Il est basé sur le chapitre 17 de I Samuel. Et David se tient devant Saül, lui annonçant la venue du Messie, et
ce sont les paroles de Browning. Et David dit :

« Ô, Saül...
Un visage comme mon visage te recevra, et tu aimeras un homme comme
moi et tu seras aimé pour toujours. Une main comme cette main t’ouvrira
les portes d’une nouvelle vie ! Voyez le Christ debout !

David se tient devant lui.

Maintenant, le nom de Saül fut changé en Paul. Saül était de la tribu de Benjamin dans l'Ancien
Testament, de la descendance d'Abraham. Paul du Nouveau Testament s'appelait d'abord Saul ; et
lorsqu'il a affronté le Seigneur ressuscité, son nom a été changé en Paul, et il vous le dit. Ainsi, le poème
s’appelle « Saul ». Et là, devant l’humanité démente qui ne reconnaît pas sa propre descendance, comme
l’amnésie :

« Un visage comme mon visage te recevra ; Tu aimeras un homme comme

moi et tu seras aimé par lui pour toujours. Une main comme cette main
t’ouvrira les portes d’une nouvelle vie ! Voyez le Christ debout !
Voici David, le Christ. Il est le Christ, l'Oint du Seigneur. Ainsi, nous parlons dans l’Écriture du « Seigneur
et de son Christ » – de son fils David, qui le révèle comme le Seigneur. Moïse ne peut donc pas voir le
visage jusqu'à ce qu'il recule – il voit le dos. Vous ne verrez pas le visage. Ainsi, lorsque l’histoire divine
atteint son apogée dans ce que l’Écriture appelle la Résurrection, surviennent alors ces quatre actes
majestueux, qui culminent dans la descente du Saint-Esprit sous la forme corporelle d’une colombe.

Or, les Évangiles commencent tous le message de Jésus par la descente du Saint-Esprit au baptême. Ils le
commencent tous, parce que « les derniers seront les premiers ». C'est la fin. C'est le point culminant.

Alors ils le commencent tous. Dans le premier évangile, Marc, il commence par l'histoire du baptême
lorsque la colombe descend sur Jésus. Jean, le plus profond et le plus mystique – il commence par cette
descente du Saint-Esprit sur Jésus. Nous arrivons maintenant à Luc, et ensuite Luc fait la déclaration
concernant la descente du Saint-Esprit sous forme corporelle comme une colombe. Puis il entre
directement et demande à Jésus de déclarer qu'il est l'accomplissement de ce qui a été annoncé dans
Ésaïe 61 :

« L’esprit du Seigneur Dieu est sur moi, car il m’a oint pour prêcher la bonne nouvelle – la bonne
nouvelle aux affligés – aux pauvres, et pour proclamer la liberté à ceux qui sont captifs, et pour
ouvrir les portes de la prison à tous ceux qui sont en prison. sont liés."

En voici un. Il proclame qu'il est l'accomplissement de cette annonce dans le chapitre 61 d'Isaïe.

Maintenant, il y retourne. Lisez l'histoire et tous les événements, maintenant revenez en arrière. Pourquoi?
Alors qu'il disparaît de la vie, il est enterré en nous ! Maintenant, il nous dit : « Je vous ai dit toutes ces choses
avant qu’elles n’arrivent, afin que, quand elles arriveront, vous croyiez. Et maintenant, vos cœurs sont troublés
parce que je vous ai dit que dans peu de temps je vous quitterai. Encore une fois, je reviendrai dans peu de
temps. Et c’est pourquoi vos cœurs sont troublés. Mais je vous dis la vérité. Il est à votre avantage que je m'en
aille, car à moins que je ne m'en aille, le Saint-Esprit – l'Esprit de Vérité – ne peut pas venir, mais si je m'en vais,
je vous l'enverrai, et il vous conduira à toute connaissance et rappelle-toi tout ce que je t'ai dit.

Qui est donc ce Saint-Esprit ? Il est appelé l'Esprit de Vérité ; et Jésus dit : « Je suis la vérité. » C'est
l'Esprit du Seigneur Jésus qui entre dans l'homme lorsque le Seigneur visible disparaît de l'homme.
Il disparaît complètement. C'est lui le professeur et il disparaît. Il vous raconte ce qui s'est passé en
lui lors de sa disparition. Où peut-il aller, sinon retourner auprès du Père ? Il n’y a pas d’autre
endroit où aller que vers le Père ! Il a dit : « Je suis sorti du Père et je suis venu dans le monde. Je
quitte à nouveau le monde et je retourne au Père.

Eh bien, où est le Père ? Le Père est en vous ! Maintenant, Il est l’Esprit dans l’homme.

Maintenant, l’Esprit de Vérité appelé Saint-Esprit, contre lequel vous ne devez pas pécher – et ne pas
douter de sa puissance pour faire quoi que ce soit dans ce monde, « Il vous rappellera tout ce que je vous
ai dit. » Par conséquent, qui est l’Esprit de Vérité, autre que celui qui se souvient ? Il se souvient. Le tout
est fait !
C'est pourquoi je peux dire avec audace : le salut est accompli ! La rédemption est parfaite. Personne ne peut
échouer, parce que l'Esprit – celui qui se souvient – est maintenant enterré dans l'homme, et Il ne peut pas vous
emmener vers Dieu le Père. Il vous fait reculer !

Ainsi, Il se lève à un point appelé l’Éveil en vous. Au moment où Il s’éveille en vous, vous êtes «
né d’en haut ». Ce sont les deux faces d’une même médaille. Puis Il vous fait reculer. Et quand Il
reviendra, vous verrez maintenant le « visage de Dieu face au Christ – Son fils David. David est
l’Oint du Seigneur, et vous saurez à quoi vous ressemblez en regardant directement le visage
de votre Fils appelé David. Et David est le Christ ! Tu es le Père, mais tu es venu au monde.

Maintenant, il déclare : « Moi et mon Père sommes un. » (Jean 10:30)

« Celui qui me voit voit Celui qui m'a envoyé. » (Jean 14 : 9) Il ne m’a jamais quitté.

Pourtant il fait cette déclaration qui a semé la confusion dans tous les sacerdoces du monde : « Mon Père est
plus grand que moi ». (Jean 14 :28) Vous lisez cela dans le chapitre 14 du livre de Jean.

Dans le 10ème chapitre du livre de Jean, il fait cette déclaration ! "Moi et mon Père ne faisons qu'un."
Maintenant, il déclare : « Mon Père est plus grand que moi ».

Le Seigneur n'est pas inférieur quant à son Être essentiel, mais quant à sa fonction deenvoyé.Lui et l'Envoyeur ne font
qu'un, mais lorsque l'Envoyeur s'envoie dans le monde pour raconter l'histoire de la Rédemption, la position de
l'Envoyeur estenvoyéest inférieur à l'expéditeur. Et pourtant, ils ne font qu’un !

Ainsi, ici, le Seigneur Jésus-Christ n'est pas inférieur quant à son propre Être essentiel, mais quant à sa fonction de
envoyédans ce monde – alors il fait la déclaration :

« Celui qui me voit voit Celui qui m'a envoyé. » "Moi et

mon Père ne faisons qu'un."

Pourtant, dans cette déclaration, il vous montre la différence entre jouer le rôle – la fonction de envoyépar
rapport à celui de l'Expéditeur, et pourtant l'Expéditeur et leenvoyésommes un, car « Écoute, Israël, l’Éternel
notre Dieu, l’Éternel est un ». Ce ne sont pas deux, mais ce sont des fonctions différentes que l'Un remplit. Alors
au bureau duenvoyéil est moins – il semble être moins, mais il n'est pas vraiment, dans son Être Essentiel,
moins que Dieu le Père.

Ainsi : « Je suis sorti du Père et je suis venu dans le monde ; encore une fois, je quitte le
monde et je vais au Père. (Jean 16:28)

« Et maintenant, vos cœurs sont tristes parce que je vous ai dit cela, mais je vous dis que c'est opportun, et qu'il
est dans votre intérêt que je m'en aille, car si je ne m'en vais, le Saint-Esprit ne peut pas venir ; mais si je m'en
vais, je l'enverrai. (Jean 16 :6, 7)
Maintenant, il devient l'Envoyeur, et il envoie – c'est toujours Lui-même, mais cette fois on l'appelle par un nom
différent, il s'envoie Lui-même ! Et vous pouvez le connaître sous le nom de Jean, vous pouvez le connaître sous le
nom de Marie ; mais c'est toujours le même expéditeur. Maintenant vous le connaissez sous le nom de Neville – le
même Être qui était envoyé; et pendant que je suis dans le monde en tant queenvoyé; Je joue le rôle inférieur à celui
de l'Expéditeur ; mais avant j'étaisenvoyé, j’ai été incorporé au corps de l’Envoyeur, et je suis pour toujours un avec
Lui, car « Celui qui est uni au Seigneur devient un seul esprit avec Lui ». Mais dans le monde où je suis maintenant
envoyé, je suis soumis à toutes les faiblesses et aux limites du monde.envoyé, et je dois me soumettre à toutes les
faiblesses de l’humanité. Mais sur la dissolution de ce petitvêtement, je ne suis donc pas rendu à la vie ; Je ne fais
qu'un avec le Père – un avec l'Expéditeur.

Ceux qui n’ont pas encore fait l’expérience de ce dont je parle seront restaurés à la vie dans un monde comme
celui-ci, dans un corps nouveau – glorieusement nouveau, inexplicablement nouveau – dans un monde
terrestre comme celui-ci, pour continuer leur voyage jusqu’à ce qu’ils atteignez le point culminant qui est la
Résurrection, car vous êtes enterré dans la fente d'un rocher. Tu es çaMoïse–quelque chose à naître. Ainsi, « je
te mettrai dans la fente du rocher, et je couvrirai ton visage de ma main jusqu'à ce que j'aie passé. Alors je
retirerai ma main, et tu verras mon dos ; mais ma face ne sera pas vue. On ne peut pas le voir jusqu'à ce que
mon Fils le révèle ; et mon « Fils » est David !

Personne ne connaîtra le visage qu’il porte réellement jusqu’à ce qu’il le voie reflété dans son
Fils David, car David est l’image du Dieu invisible. David est le reflet de Dieu et porte l'image
exacte du Dieu invisible. Tu es le Dieu invisible !

Voici donc ce que j’entends par « la vérité la plus profonde », et pourtant son application la plus pratique :
ne pensez pas un seul instant, même si vous êtes innocent de ce que vous dites, que ce soit un mot vain.
Parce que quoi? Vous êtes Dieu, et les paroles de Dieu ne peuvent lui revenir vides. Ils doivent accomplir
ce qu’il a prévu et « prospérer dans la chose pour laquelle il l’a envoyé ». Ainsi, même si vous ignorez la
Loi, vous êtes le pouvoir opérant, appliquant cette Loi dont vous ignorez peut-être totalement l’existence,
mais il n’y a aucune excuse. Vous récolterez toujours les résultats, comme mon amie a récolté les
résultats de la perte de poids, qu'elle ne pouvait pas se permettre.

Et mon ami Freedom, aussi distrait soit-il – eh bien, à quoi sert un ami dans ce monde si vous ne pouvez pas l'appeler
et lui demander et lui tendre la main pour obtenir de l'aide lorsque cela est nécessaire ? Ainsi, la Liberté enseigne
cette Loi, et puis-je vous le dire, il l'enseigne magnifiquement. Et il a connu un énorme succès en aidant un nombre
incalculable de personnes à utiliser cette loi, mais ensuite est venu un test pour la liberté, car sa seule passion
dévorante est la musique. Il aime la musique. Donnez-lui de la musique, et vous lui avez donné toute la journée, et il
peut s'asseoir dans son petit appartement à Cambria et jouer du piano toute la journée et oublier les repas, il est
tellement complètement emporté par la musique – il adore ça.

Mais maintenant, la seule chose pour l'exprimer a disparu, et voici que cette semaine paraît l'histoire
dans le LA Times des centaines de millions de dollars que nous perdons chaque année à cause des vols
entre les quais de notre pays – les aéroports de notre pays et les zones intérieures où les marchandises
sont placées dans des fourgons pour la livraison. Et il existe un syndicat de vol, mais il se chiffre en
millions.
Eh bien, quand vous lisez cela, même si vous l'enseignez et qu'il est si proche et que vous ne pouvez pas le
remplacer, la personne moyenne qui a de l'argent dira : « Très bien, je suis assuré, je suis sous-assuré pour 2
000 $, mais je le ferai. sortez et achetez-en un autre. Eh bien, il ne pouvait pas sortir et en acheter un autre ; il
n'avait pas l'argent. Il est né un garçon très, très pauvre, et Freedom n’a jamais vraiment fait de l’argent un
objet dans la vie. Il ne l’a jamais vraiment fait. Il aime la beauté. Il aime la musique. Il aime toutes les belles
choses de la vie, et il les apprécie, mais il n’a jamais vraiment fait de l’argent un objectif dans la vie. Il ne pouvait
donc pas remplacer l’instrument de 4 000 $. Mais jeentenduclairement avec l'aide de KFAC, et j'ai entendu ce
beau concerto ; et j'ai simplement utilisé mon imagination pour le voir. Je pourraisvoirJe l'ai assis là, jouant ce
très beau morceau, puis j'ai posé mes mains sur ses épaules et je l'ai remercié pour la joie que j'avais ressentie
de l'avoir entendu, puis j'ai ressenti la beauté solide et solide de son piano. Et il a appelé hier matin à 11h00. Il
va maintenant me raconter en détail comment procéder. L'homme a été retrouvé ainsi qu'au moins le piano.
Quel que soit le contenu du camion, je ne le sais pas, mais cela ne m'intéresse pas vraiment.

Je vais jusqu'au bout, et en ce qui concerne l'homme, lui aussi est Dieu, bien qu'il ait joué un rôle dans ce
petit incident du voleur. Il travaille peut-être pour un syndicat. Je ne suis pas inquiet. Pourtant, derrière ce
masque de voleur, c'est mon frère. Celui qui a joué le rôle du voleur est mon frère. Il n'y a rien d'autre
que la Fraternité dans ce monde !

« Allez dire à mes frères que je monte vers leur Père et vers mon Père, vers leur Dieu et mon
Dieu. »

Nous sommes donc tous frères derrière ces masques. Nous sommes un. Il n'y a que Dieu. Donc, s’il y a dans ce
monde aujourd’hui, à cause de l’imagination et du mauvais usage de l’imagination, ces choses horribles dans le
monde, puis-je vous le dire, Dieu les transforme toutes – comme le grand artiste prend les discordes et
transforme finalement ces dissonances en belles. des harmonies ? Il prendra toutes les discordes du monde,
comme le vol ou le meurtre – tout dans le monde et les résoudra, parce qu'Il est le Grand Artiste.

Et chez nous, tout est pardonné. Celui qui a joué ce rôle ce soir, ou celui qui a volé ce camion et son
contenu pour embarrasser mon ami, qui n'a pas d'argent pour remplacer son grand amour – supposons
que celui-là, au sens physique, soit mon frère ? Savez-vous ce que je dirais ? "Relâchez-le." Je m'en fiche
de ce qu'il a fait. J'aime tellement mes frères que s'ils étaient surpris en train de commettre un acte – peu
importe de quoi il s'agissait – s'il s'agissait d'un acte violent, je demanderais au juge de le libérer. C'est ce
que je ferais, et je le penserais parce que c'est mon frère. Eh bien, derrière le masque, c'est mon frère.
Chaque être dans le monde est mon frère ; et tous mes frères ensemble forment Dieu. Ils forment tous
les Elohim – un mot pluriel : l’un composé d’autres. C'est Dieu !

Nous sommes donc ici pour tirer une leçon. L’une des grandes leçons est le repentir : comment changer mon
attitude envers un état qui semble figé et inaltérable. C'est inaltérable, et pourtant je veux ce que cela, si cela
pouvait être changé, produirait. Maintenant, apprenez à le changer ! Ignorez-le complètement et allez jusqu'au
bout où il a été modifié – comme : alors il a pris le piano, peut-être qu'il l'a vendu. Peut-être qu'il l'a brûlé, mais
je vais l'entendre [Liberté] jouer de l'instrument le plus glorieux et ainsi en profiter. Donc, j'ignore lefaitsde la
vie – ignorer complètement les faits, et aller dans mon imagination jusqu’au bout comme je veux qu’il soit et là
je le verrai. Je vous le dis, c'est profondément spirituel et donc directement pratique !
Ainsi, il vient au monde et raconte une histoire que le monde ne comprend pas, parce qu'il a atteint le
point culminant du plan de salut de Dieu, et ayant atteint le point culminant, il vous dit qu'il doit partir. Il
doit disparaître en tant qu'enseignant. Mais où pouvait-il aller, sinon vers le Père ? Et où est le Père, sinon
en toi ?

Maintenant, il va envoyer l'Esprit de Vérité. Mais il dit : « Je suis la Vérité », alors qui va-t-il envoyer à
part lui-même ? Mais quand il viendra maintenant, il serarésistantun nom différent. Il portera un
autre nom. Il ne fait qu'un avec le Père et contrôle le Tout, mais il s'enverra désormais sous un nom
différent pour continuer l'enseignement et annoncer au vaste monde tout entier le plan de
rédemption de Dieu. Il n'y a que Dieu !

C’est Dieu Lui-même qui est descendu dans le monde de l’humanité et s’est enseveli dans l’homme, et
seul Dieu peut être racheté, et Dieu a planifié le processus de rédemption « avant que le monde existe ».
Ce n’est pas une réflexion après coup. Il ne s’agit pas d’une réflexion d’urgence. C’était « avant cela, le
monde était ». Voilà comment ça va se passer. Vous allez aller jusqu’au bout jusqu’à atteindre le point
culminant. Le point culminant est la Résurrection depuis cette petite fente dans le rocher, et vous sortez,
et ensuite vous allez repartir.

Ainsi, les évangélistes – tous les quatre – commencent l’histoire du ministère de Jésus avec l’acte final, qui
est le baptême lorsque la colombe descend sur lui sous une forme corporelle comme symbole du Saint-
Esprit. Et ils commencent tous de cette façon, puis ils reviennent.

Jean étant le plus profond, il retourne à la tombe et le raconte de manière symbolique, et tous les signes sont
en réalité – tous les signes qu'il utilise dans cette merveilleuse image de la tombe sont tous – eh bien, des
signes. Ce sont tous des chiffres, mais les choses qu’ils signifient sont littérales. Ainsi, il raconte l'histoire de la
naissance en utilisant le signe d'une serviette, qui signifie l'après-naissance, le placenta. Il vous raconte ce qui
s'est passé dans cet état concret appelé tombeau : lorsque vous avez trouvé cette petite serviette, alors une
naissance a eu lieu. Eh bien, c’était un autre type de naissance ; c'était la naissance de Dieu. Dieu est né dans
cet état. Il commence donc par le tout premier acte, car il y a quatre « actes puissants », et le premier acte est
la Résurrection. Quelques instants plus tard, elle est suivie de la « naissance d'en haut », Jean la termine par là,
mais il la commence par la descente de la colombe. Donc tout cela vous montre que ça va être à l'envers
maintenant.

Ainsi, nous l’amenons à son point culminant, et alors l’histoire divine est terminée, et maintenant le grand Esprit de
Dieu, appelé le Saint-Esprit, nous emmène en arrière – non pas en avant, mais en arrière jusqu’à où ? En arrière vers
la Source, qui est votre Soi, qui est Dieu le Père. Cela vous ramène tout le chemin du retour ; et quand vous y
retournez, une seule chose au monde peut vous convaincre que vous êtes Dieu le Père : quand vous voyez votre
gloire se refléter sur le visage du Christ. Et Christ est David ! C'est l'histoire.

Maintenant, réfléchissez-y ce soir, vous qui l'avez enregistré. Jouez-le encore et encore. Je ne fais aucune
déclaration prophétique concernant la date de mon départ. Personnellement, je ne peux pas croire que
cela puisse être trop long, mais je n'ai ni jour, ni mois, ni année ; Je ne l'ai pas – parce que personne ne
sait quand il enlèvera ce vêtement – seulement quand j'aurai fini de faire ce que je suis censé faire. Je
suis censé le répéter encore et encore, car dans mon cas, c'est terminé. Cela a atteint son apogée avec la
descente de la colombe sur moi et il est resté là, et il est toujours là – le symbole du Saint-Esprit, se
revêtant de moi pour le dire, car Il a toute la connaissance – pas le
la connaissance de comment aller sur la lune, mais la vraie connaissance du mystère de Dieu. Il ne se soucie
pas de toutes les choses de la terre ; Il se préoccupe uniquement du dessein et du plan de Dieu. Et ainsi, Il me
révélera, comme Il l’a fait, tout ce qui concerne Sa Parole dans l’Écriture ; et Il le révèle en me permettant d’en
faire l’expérience, car Il est venu à moi apparemment comme quelqu’un d’inconnu. Et puis, d’une manière
étrange et mystérieuse, Il m’a permis de faire l’expérience de Qui-Il-Est dans une expérience singulière à la
première personne, au présent.

Ainsi, toute l’histoire est mon Soi, remontant vers tout cela, car c’était ainsi au début, mais vous arrivez au
point culminant. Puis ça s'arrête. Le temps s'arrête, puis vous revenez à la Source, et vous voilà Dieu le
Père ! Et sur le chemin du retour tu le dis alors que tu portes encore un vêtementqui est en contact avec
habitsdans ce monde, parce que quand tu te débarrasses de çavêtement vous avez perdu le contact.
Parce que je ne serai pas en contact, pour monvêtementdemain est ce vêtement qui est parfait. Où que
je sois, tout est parfait. Il n'y a aucune raison de discuter, pour ce Corps que vous allezporterdans la
Résurrection est un corps parfait. Et rien n'est mortdans votre monde ; rien ne peut être imparfait dans
votre monde. Tout est parfait où que vous soyez. C’est le Corps de Résurrection, et il est mentionné dans
les Écritures comme le « Royaume des Cieux ». Ainsi, le Royaume des Cieux n’est pas un lieu, ce n’est pas
un royaume ; c'est un corps !

Ainsi, où que vous soyez, revêtu de ce Corps Ressuscité, tout est parfait. Mais ceux quimourir avant
la Résurrection ici – et tous seront finalement ressuscités, ils sont vêtus d’un corps semblable à celui
qu’ils ont abandonné, seulement ce corps est jeune – inexplicablement nouveau, dans un monde
terrestre comme celui-ci, et ils continuent leur voyage.

J'espère que vous n'oublierez pas, car le seul grand péché contre cela est de douter du pouvoir
de ce Souvenateur. Car quand » Il entre dans votre vie, Il est celui qui se souvient. Il se souvient
de tout ce que Dieu a accompli. Alors, quand il se souvient réellement de tout ce que Dieu a
accompli en vous, Il vous reprend, et vous êtes le Dieu qui l'a accompli. Le tout se reproduit en
vous à cause de sa présence intérieure. C'est l'histoire.

Maintenant, entrons dans le silence.