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1. Notion de système........................................................................................................................... 3
2. Flux ................................................................................................................................................ 13
4. Acteur : .......................................................................................................................................... 14
1. Introduction : ................................................................................................................................. 28
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CHAPITRE I : SYSTEMES D’INFORMATION
1. Notion de système
Définition1 : Un système est un tout constitué d’éléments unis par des
relations, leurs propriétés et les valeurs que peuvent prendre ces dernières
ainsi que son activité et l’organisation qui en découle.
Ex. : L’entreprise peut être vue comme un système composé d’éléments tels
que des « employés », des « services », des « produits », etc. Les propriétés
décrivant ces éléments peuvent être « le matricule de l’employé », son
« nom », la « référence » du produit, sa « désignation » etc. Entre ces
éléments, on trouve des relations, telle la relation « est rattaché » entre un
employé et son service, la relation « est stocké » entre un produit et son
dépôt de stockage. Les propriétés de ces relations seront du type « date
d’entrée dans le services », « quantité stockée »…
Définition2 : Un système est un ensemble d’éléments matériels ou
immatériels (hommes, machines, méthodes, règles, etc.) en interaction
transformant par un processus des éléments (les entrées) en d’autres
éléments (les sorties).
Ex. : une chaudière transforme, par combustion, du charbon en chaleur.
On obtiendra plus au mois de chaleur selon les réglages qu’on effectuera sur
la chaudière et plus au moins longtemps selon la quantité de charbon.
L’opérateur qui effectue les réglages et qui contrôle le flux de charbon en
entrée constitue un système de pilotage qui par ses commandes au système
physique (à la chaudière) cherche à satisfaire un objectif (tel niveau de
chaleur).
Nous n’envisageons ici que des systèmes constitués par des organisations et
fonctionnant en vue de la réalisation de certains objectifs
Un tel système physique ou système opérant transforme un flux physique
d’entrées (matières premières, flux financiers) en un flux physique de
sorties (produits finis, flux financier).
Entrées Sorties
Système opérant
Exemple :
Règlements à fournisseurs Règlements des clients
Flux financiers
Système opérant (SO)
2. Notion d’Information :
- L’information est l’objet à la base de la communication des
connaissances
- L’information est un renseignement qui améliore notre connaissance
sur un sujet quelconque
(tout ce qui peut se représenter, s’écrire, se dire pour être communiqué
entre hommes et ou entre machines constitue de l’information (sens large).
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Système de l’entreprise
Système de
pilotage (décisions)
Environnement
Système d’information
Informations
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Le système d’information comprendra des images formalisées des flux du
système opérant (bons de commandes, de livraison, factures, etc.) et des
données comptables utilisées par exemple par le contrôle de gestion.
Le système d’information est en liaison d’une part avec un environnement
interne (SO et système de pilotage (SP)) et d’autre part avec un
environnement externe (clients, fournisseurs, etc.). Ces deux
environnements constituent l’univers extérieur (UE) du système
d’information.
Le système d’information est la mémoire de l’organisation : il comporte à ce
titre un aspect statique :
- Enregistrement des faits survenus dans l’univers extérieur (UE) dans
un ensemble mémorisé qu’on pourrait qualifier de base d’information
- Enregistrement des structures de données, règles et contraintes de
l’UE de manière formalisée dans un ensemble mémorisé qu’on
pourrait qualifier de modèle de données.
Il comporte également un aspect dynamique :
- Possibilité de mise à jour des données mémorisées dans la base
d’information
- Possibilité (pour un système adaptable) de changer les structures,
règles et contraintes du modèle de données suite à des changements
survenus dans l’UE et en reflet de ceux-ci. Cette partie active du
système d’information constitue le processeur d’information
(autrement dit le sous système qui traite l’information). Le
processeur d’information peut être constitué d’hommes et de
machines.
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Un système peut se trouver en situation d’information incomplète. Dans ce
cas une même entrée E peut conduire à plusieurs sorties possibles S, S1, S2,
etc. le choix de la sortie effectivement réalisée se fait par une décision.
Ex. : s
Système de décisions
E S1
S2
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5.1 Les méthodes cartésiennes :
Les méthodes cartésiennes constituent la 1ère génération des méthodes de
conception des systèmes d’information. Elles sont basées sur les concepts et
techniques de décomposition hiérarchique des processus et des flux de
données. Elles sont adaptées à l’étude des systèmes constitués par un
nombre limité d’éléments en interaction.
Ex : la méthode SADT (Structured Analysis and Design Technic).
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CHAPITRE 2 : PRESENTATION DE MERISE
Merise (méthode d’étude et de réalisation informatique par les sous
ensembles (ou pour les systèmes d’entreprises)) est née vers 1978-1979, à
la suite d’une vaste consultation lancée en 1977 par le Ministère de
l’industrie pour choisir plusieurs sociétés de service et de conseil en
informatique et le CETE (Centre d’Etudes Techniques de l’Equipement)
d’Aix-en-Provence afin de mettre au point une méthode de troisième
génération de conception réalisation de système d’information. Le CTI
(Centre Technique d’Informatique) fut alors maître d’œuvre du projet
MERISE.
1. Principes généraux :
La vocation de Merise est double : d’une part Merise représente une
méthode de conception de système d’information et d’autre part Merise
propose une démarche méthodologique de développement de système
d’information.
Les atouts majeurs de merise en tant que méthode de conception sont :
- Une approche globale du système d’information menée parallèlement
et simultanément sur les données et les traitements ;
- Une description du système d’information par niveaux : niveau
conceptuel, niveau organisationnel, niveau logique et niveau physique
ou opérationnel,
- Une description du système d’information utilisant un formalisme de
représentation précis, simple et rigoureux pour la description des
données. Ce formalisme est normalisé au plan international par l’ISO
(International Standard Organization) sous le nom de : modèle
« Entité Relation »,
- Une description très riche du niveau conceptuel fondée sur les
invariants du système d’information permettant ainsi de construire
un nouveau système d’information sur des bases solides
indépendantes de l’organisation et des choix techniques
d’automatisation.
- Enfin, la représentation visuelle, notamment des modèles
conceptuels, contribue dans une large mesure à l’établissement d’un
dialogue constructif entre tous les partenaires qui collaborent pour
concevoir ensemble le nouveau système d’information.
Merise, comme nous l’avons dit, c’est aussi une démarche de
développement de système d’information. Les points forts de la méthode
dans ce domaine sont les suivants :
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- Un découpage du processus de développement en quatre étapes :
Etude préalable
Etude détaillée
Réalisation
Mise en œuvre
- L’étude préalable : cette étude, courte dans le temps, qui débute par
l’analyse de la situation existante permet de proposer une
architecture globale de la solution, en tenant compte des orientations
de gestion, d’organisation et de choix techniques validées par le
comité directeur du projet. Le dossier d’étude préalable est produit à
l’issue de cette étape ;
- L’étude détaillée : elle est menée après l’étude préalable et a pour
objectif de décrire complètement, au plan fonctionnel, la solution à
réaliser. Les phases de traitement sont spécifiées en décrivant les
données saisies, modifiées et restituées ainsi que la description des
traitements exécutés sur ces données. Elle comprend 2 phases :
La conception générale
La conception détaillée et se conclut par le dossier de
spécifications détaillées.
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- La réalisation : son but est d’obtenir les logiciels correspondant au
dossier de spécifications détaillées. Cette étape est elle-même
décomposées en deux phases :
l’étude technique, qui complète l’étude détaillée par la prise en
compte de tout l’environnement technique informatique
La production de logiciel qui permet d’obtenir le logiciel testé sur
jeu d’essai.
- La mise en œuvre : son but est d’exécuter toutes les actions
(formation, documentation, installation de matériels, initialisation
des données, réception…) qui permettront d’aboutir au lancement du
système auprès des utilisateurs.
Par ailleurs il est recommandé d’utiliser, dès l’étude préalable, le
maquettage et le prototypage, pour donner une représentation plus
concrète des principaux sous-ensembles de la solution proposée.
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Dans la pratique, le cycle de décision est intégré dans le cycle de vie. Cela se
traduit par des résultats types à l’issue de chaque étape et par des décisions
attendues.
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CHAPITRE 3 : DIAGRAMME DES FLUX
2. Flux
Un flux est la représentation de l’échange d’informations entre deux
activités, ou entre une activité et un partenaire extérieur à l’entreprise.
Un flux est caractérisé par son nom et la liste des données qui le compose,
par exemple : commande (n° commande, date commande…) les flux
échangés peuvent être aussi des flux de matière, des flux financiers ou
d’autres flux. Dans le cadre des systèmes d’information, seuls en général
sont décrits les flux de données.
3. Champ d’étude
Le champ d’étude (ou domaine d’étude) représente les domaines d’activité
et ou les activités qui composent le système à étudier. C’est un sous
ensemble cohérant d’activités de l’entreprise.
Ex : le domaine d’étude « Gestion commerciale » est composé de :
- Gestion des commandes
- Gestion des factures
- Gestion des comptes clients
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Recommandation
Dans la mesure du possible, il faut viser à minimiser les échanges entre un
domaine d’étude et son environnement extérieur. Dans le cas ou il existe un
grand nombre de flux avec par exemple un autre domaine, il faut
s’interroger s’il ne faut pas modifier le contour du champ d’étude afin
d’intégrer partiellement ou complètement les domaines concernés.
4. Acteur :
Un acteur est une entité organisationnelle identifiable par les missions qu’il
remplit dans le cadre du champ d’étude défini.
Un acteur dont les missions se situent à l’intérieur du champ d’étude est
qualifié d’acteur interne. Par raccourci on l’appelle acteur. Un acteur dont
les missions se situent en dehors du champ d’étude mais qui échange des
informations avec un acteur interne est qualifié d’acteur externe. Pour
accomplir ses missions, un acteur (interne) dispose de ressources
matérielles et éventuellement de ressources logicielles.
Ex : une agence locale disposant d’un logiciel de gestion sur serveur PC
accessible par 4 postes via un réseau local.
Le diagramme de flux représente les flux échangés entre :
Les acteurs du domaine d’étude
Les acteurs du domaine d’étude et les partenaires extérieurs ou
domaine extérieur au domaine d’étude.
Formalisme
Acteur flux
flux
Acteur
interne
externe flux Acteur
interne
flux
flux
Acteur
Acteur flux
interne
externe
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Les flèches orientées correspondent aux flux (de l’émetteur vers le
récepteur). Les ellipses en pointillé ou trait discontinu correspondent aux
acteurs externes et les ellipses en trait plein aux acteurs internes. Il est
possible d’indiquer la chronologie des échanges en numérotant les flux.
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CHAPITRE 4 : ELABORATION DU MCD
Une entité est un objet pourvue d’une existence propre et conforme aux
choix de gestion de l’entreprise.
Ex. :
1.2. Relation
Définition : une relation entre entités est une association perçue dans le réel
entre deux ou plusieurs entités. Une relation est dépourvue d’existence
propre.
Formalisme :
Entité 2
Entité 1
Nom de la relation
Entité n
Entité 3
Ex. :
CLIENT
Numclient
Nom
Prénom
SALARIE SERVICE
Affecté à
matricule numservice
nom Date affectation intitulé
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Ex. d’occurrences
SALARIE SERVICE
Affecté à
A01 125
OUMAR 18/01/05 comptabilité
SALARIE
Affecté à
A12
MARIAM 15/03/12
SALARIE SERVICE
Affecté à
A02 124
AMADOU 04/02/09 commercial
1.5 Cardinalités
La cardinalité d’une entité par rapport à une relation s’exprime par 2
nombres appelés cardinalité minimale et cardinalité maximale, dont les
définitions suivent :
La cardinalité minimale (égale 0 ou 1) est le nombre de fois minimum
qu’une occurrence d’une entité participe aux occurrences de la relation.
Si la cardinalité minimale est égale à 0, c’est qu’il existe parmi toutes les
occurrences de l’entité au moins une occurrence ne participant pas aux
occurrences de la relation. Ainsi on peut concevoir qu’il existe dans l’objet
client des occurrences ne participant pas à la relation passer commande, ce
qui revient à dire que l’on peut être client sans n’avoir jamais rien
commandé.
Formalisme
ENTITE
Relation
Cardinalité
Cardinalité
maximale 1 ou N
minimale 0 ou 1
Ex. :
CLIENT COMMANDE
Passer commande
qtecommandée
0,n 1,1
1.6 Identifiant
a) Identifiant d’une entité
C’est une propriété particulière de l’entité telle qu’à chaque valeur de la
propriété corresponde une et une seule occurrence de l’entité.
Ex : numéro matricule étudiant pour identifier un étudiant.
Numéro d’immatriculation pour identifier une voiture
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S’il existe pour un même objet plusieurs possibilités, dans un MCD, on en
retiendra un seul.
Ex : si l’on considère un fichier de véhicules on peut avoir pour l’identifiant
de l’entité VEHICULE le choix entre :
Le numéro d’immatriculation
Le numéro de série du moteur.
Dans ce type d’exemple, il s’agira pour le concepteur de retenir l’identifiant
correspondant au mieux à l’entité à modaliser, en tenant compte des choix
de gestion de l’entreprise.
Formalisme
L’identifiant est repéré dans la liste des propriétés de la manière suivante.
L’identifiant figure en 1er position dans la liste des propriétés
L’identifiant est souligné.
Ex :
PRODUIT
NumProduit
Libellé
Prix
PRODUIT COMMANDE
Commander produit
codeprod numcommande
qtecommandée date
designation
prix
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Relation réflexive
C’est une relation d’une entité sur elle-même.
Ex : considérons l’entité personne représentant tous les individus identifiés
au RAVEC et essayons de représenter la relation mariage.
numRavec
date
nom
0,n (être ou avoir
été marié)
2. Construction du MCD
2.1 Introduction :
Nous allons faire comprendre la méthode à l’aide d’un exemple.
Le système contient essentiellement des propriétés figurant sur les bons de
commande.
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BON DE COMMANDE
TOTAL
a) donnée élémentaire.
Une donnée est élémentaire si elle ne résulte pas d’une concaténation de
données.
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Une donnée est élémentaire si les caractères qui la composent ne peuvent
être utilisés isolement.
Ex : l’adresse, composée de la rue, de la ville et du code postal est une
donnée non élémentaire. Par contre si une donnée composite est toujours
utilisée globalement, on la considère alors comme élémentaire.
Ex : si adresse composée de la rue, de la porte, du quartier est toujours
utilisée globalement, on la considère comme donnée élémentaire.
b) synonymie et polysémie
On cherche à épurer la liste des données donc à lever certaines ambiguïtés
liées à des problèmes de synonymie et ou de polysémies.
c) donnée calculée :
Une donnée calculée est une donnée qu’il est possible d’obtenir a partir de
données élémentaires, en appliquant une règle de gestion. Il n’est donc pas
utile de retenir cette donnée dans la base puisqu’on peut l’obtenir à tout
moment, sauf dans 2 cas :
- Lorsque les données figurant dans la règle de gestion sont
susceptibles d’évoluer.
- Ex : montant = quantité * prixunit
Prixunit peut évoluer (après MAJ on aura plus la valeur initiale de
montant)
- Lorsque le calcul de la donnée calculée conduit à conserver un
nombre important (voire inutile) de valeurs de données dans la base.
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C’est souvent le cas de donnée de type solde (solde client, solde d’un
compte stock).
Ex : solde client = somme (montant TTC) – somme (montant réglé)
b) DF élémentaire (DFE):
on dit qu’il ya DFE entre les propriétés a et b si aucune partie de a ne
détermine b.
(codeclient+prénom) → nomclient n’est pas élémentaire puisque
codeclient → nomclient par contre (numbon + réf) → qte est une DFE.
qte
date corep
design pu
codeclient
nomrep
codeclient adresse ville bp
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La propriété qte est isolée.
S’il reste des propriétés isolées, on cherche des DF qui conduisent à ces
propriétés à partir de propriétés concaténées. Si on n’en trouve pas pour
une propriété celle-ci reste isolée.
qte
nomrep
codeclient adresse ville bp
numbon ref
qte
date corep
design pu
codeclient
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nomrep
codeclient adresse ville bp
2.6 Etablissement du MCD
PRODUIT
COMMANDE
1,n Se compose de
0,n Ref
Numbon qte Design
date
1,1 pu
0,n
CLIENT REPRESENTANT
codeclient corep
nom nomrep
obtient 0,n
adresse
ville
bp
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CHAPITRE 5 : LE MODELE RELATIONNEL DE DONNEES (MRD)
1. Introduction :
Il ne faut surtout pas confondre les relations du modèle relationnel avec les
relations du modèle entités/relations à partir duquel nous avons construit
notre MCD.
Dans le modèle entité/relation une relation exprime une association entre
entités.
Dans le modèle relationnel, il s’agit d’association de propriétés. Les
relations sont couramment appelées les tables.
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