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Dea Isp Mbuji Mayi Qs de Techn de Comm Peda 2022-2023
Dea Isp Mbuji Mayi Qs de Techn de Comm Peda 2022-2023
Sommaire
Pages
Introduction 3
1. Importance du Séminaire de Questions Spéciales des Techniques de
Communication Pédagogique 3
2. Objectifs généraux du Séminaire 3
3. Subdivision du Séminaire 4
Chapitre 1 : Communication pédagogique et règles de fonctionnement 5
1. Objectifs 5
2. Notion et processus de la communication pédagogique 5
3. Place des informations verbales, non verbales et para-verbales
en communication pédagogique 6
4. Variables déterminantes de la communication pédagogique 6
5. Quelques règles de fonctionnement de la communication pédagogique 8
Chapitre 2 : Fondement ou paradigme épistémologique des choix didactiques :
apprentissage, enseignement et formation à l’Enseignement
Supérieur et Universitaire 9
1. Objectifs 9
2. Fondement épistémologique des choix didactiques 9
3. Apprentissage à l’Enseignement Supérieur et Universitaire 10
4. Enseignement à l’Enseignement Supérieur et Universitaire 11
5. Formation à l’Enseignement Supérieur et Universitaire 11
Chapitre 3 : Méthodes et stratégies, méthodes participatives,
technologies éducatives, formules pédagogiques 13
1. Objectifs 13
2. Méthodes et stratégies 13
3. Méthodes participatives 13
4. Technologies éducatives 13
5. Formules pédagogiques 13
Chapitre 4 : Définition des objectifs éducationnels d’une unité d’enseignement 16
1. Objectifs 16
2. Pourquoi définir les objectifs éducationnels d’une unité d’enseignement ? 16
3. Comment définir les objectifs éducationnels d’une unité d’enseignement ? 16
4. Tableau des exigences spécifiques d’opérationnalisation des objectifs
éducationnels d’une unité d’enseignement 19
5. Tableau comparatif de quelques conceptions en matière d’objectifs
éducationnels d’une unité d’enseignement 20
Chapitre 5 : Typologie, formulation des items d’évaluation 21
1. Objectifs 21
2. Typologie des items d’évaluation 21
3. Formulation des items d’évaluation 21
Chapitre 6 : Définitions, rôles et types de l’évaluation 26
1. Objectifs 26
2. Définitions de l’évaluation 26
3. Rôles de l’évaluation 27
4. Types de l’évaluation 27
2
Introduction
1. Importance du Séminaire
La communication pédagogique est considérée comme l’une des causes du
mauvais rendement de l’Enseignement Supérieur et Universitaire. Chacun enseigne
suivant ce qu’il pense du « professeur », de « l’étudiant », du « savoir », de
« l’enseignement et de l’apprentissage ».
Le professeur de l’Enseignement Supérieur et Universitaire se présente comme
une autorité académique, un savant en sa matière, une référence et une seule source de
savoir. Il est donc incontestable.
L’étudiant reçoit la matière et apprend du professeur. Il ne peut rien sans le
concours du professeur. Ce qu’il dit est toujours contestable. Il ne peut pas être une
référence.
Le savoir, qui vient du « maître » et qui est son apanage, est sacré. Il est
incontestable. Il doit être enseigné comme le « maître » le lui a, lui-même, enseigné.
La trilogie (professeur-étudiant-savoir) a pour conséquences le constat de
nombreux échecs aux examens à l’Enseignement Supérieur et Universitaire, le
conformisme des étudiants aux paroles du « maître », les limitations pédagogiques dans
le choix des méthodes et des stratégies d’enseignement et d’apprentissage.
Ceci prouve suffisamment l’importance de la communication pédagogique dans
l’action de formation. Il y a nécessité d’étudier cette communication à l’Enseignement
Supérieur et Universitaire, ses règles de fonctionnement, ses stratégies, ses procédures
d’évaluation des connaissances.
Il y a aussi nécessité de formation spécifique des professeurs d’Enseignement
Supérieur et Universitaire, de leurs collaborateurs aux techniques d’une communication
pédagogique efficace.
2. Objectifs généraux du Séminaire
A l’issue de ce Séminaire, le participant doit savoir décrire :
a) La communication pédagogique et ses règles de fonctionnement
b) Le fondement ou le paradigme épistémologique des choix didactiques :
l’apprentissage, l’enseignement et la formation à l’Enseignement Supérieur et
Universitaire
c) Les méthodes et les stratégies, les méthodes participatives,
les technologies éducatives, les formules pédagogiques
d) Les objectifs éducationnels d’une unité d’enseignement
e) La typologie et la formulation des items d’évaluation
f) Les définitions, les rôles et les types de l’évaluation
g) L’éthique et la déontologie professionnelle
4
E D
N E
C C
O Medium O
Emetteur Message Destinataire
D D
A A
G G
E E
Feedback
Savoir
« Enseigner » « Apprendre »
Professeur Etudiant
« Former »
»»»»
Savoir (S)
Savoir
Professeur Etudiant
Relation de médiation
Matière
Formateur Apprenant
B) Méthode interrogative
Cette méthode fait appel aux contributions de l’apprenant pour le
développement de la matière. Le formateur est là pour orienter la discussion, en faisant
avancer l’étude de la matière à partir de réponses des participants.
Tableau 4 : Schéma de méthode interrogative
1. Stimulation
(Interrogation)
2. Matière
Formateur Apprenant
3. Matière corrigée
Pose des questions de découverte Cherche, redécouvre, répond
C) Méthodes actives
L’apprenant est confronté à un problème global. Le formateur le guide, pour
qu’il découvre par lui-même l’essentiel du problème. Il part de sa propre expérience pour
atteindre les concepts théoriques. Il est inclus dans le processus de formation et participe
à l’apprentissage de ses collègues.
Les méthodes actives comprennent « la méthode autodidacte assistée » et « la
méthode autodidacte ».
Tableau 5 : Schéma de méthodes actives
Matière Formateur Ap prenant
Encourage, guide les efforts du groupe, Discute, affronte la matière, dégage
coopère avec le groupe, clarifie, fait des apports conceptuels lui-même les solutions
Formateur
des apprenants
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b) Méthode autodidacte
Dans les méthodes actives, l’apprentissage peut se faire également en groupes
non organisés de différentes façons ou individuellement. Dans ce dernier cas, on parle de
méthode « autodidacte » ou de méthode dite « auto-apprentissage ».
Tableau 7 : Schéma de méthode autodidacte
Matière inorganisée Apprenant non contrôlé
Travaille activement seul
2) Exposé
Il s’agit d’une présentation orale de connaissances prononcée par une personne
qualifiée. La communication a lieu à sens unique. On utilise l’exposé, quand on
veut fournir des renseignements précis sur un sujet.
3) Démonstration
C’est une présentation visuelle de procédures à réaliser. Elle est accompagnée
d’explications orales, d’illustrations et de questions. Son seul but est d’amener
l’apprenant à maîtriser la procédure, quand on fait l’apprentissage d’un savoir-faire.
4) Discussion
C’est une méthode où le professeur demande aux participants d’apporter des
renseignements, de partager leur façon de voir et leurs idées sur une matière. On l’utilise
pour solutionner des sujets controversés.
5) Etude de cas
C’est la description d’un problème réel. Les études des cas se font
individuellement ou en petits groupes. Cette méthode fait appel à l’analyse et à la prise
de décision.
6) Atelier ou travail de groupe
L’apprentissage augmente, si l’étudiant est activement impliqué dans un atelier
ou dans un travail de groupe. Les décisions prises dans un travail de groupe, à partir
d’idées trouvées ensemble, se fixent davantage et affectent le comportement de chacun
des participants. Un groupe de 2, de 3 ou de 4 personnes est plus efficace que celui de 5,
de 6, de 7 ou de 8 membres.
7) Remue-méninge (brainstorming)
C’est une effusion ou une émission spontanée d’idées sur une matière donnée.
La créativité des participants prime avant tout. Pendant un temps limité, les idées sont
émises librement et notées. Durant cette période d’inventaire, la quantité des idées est
plus importante que la qualité.
8) Enseignement programmé
C’est « une méthode pédagogique » qui permet de transmettre des
connaissances sans l’intermédiaire direct d’un professeur. L’enseignement
programmé est l’auto-instruction au moyen de textes programmés.
9) Enseignement par modules
C’est un enseignement qui est basé sur des modules. Or, « le module est un
contenu en soi, indépendant d’une série planifiée d’apprentissages, utilisé pour aider
l’étudiant à accomplir certains objectifs bien définis ». Cet enseignement permet, à
l’étudiant, d’évoluer à son propre rythme et à choisir ceux des objectifs qui
correspondent à ses propres intérêts et aptitudes.
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Items
De production De sélection
Items
De production De sélection
3) Items améliorés
Consigne : Complétez les affirmations par un adjectif caractérisant le mode de
reproduction :
a) La plupart des poissons sont ………………… : ovipares (qui pondent des œufs)
b) Quelques poissons sont ………………………… : vivipares (dont l’œuf se développe
complètement à l’intérieur de l’utérus maternel, de sorte qu’à la naissance le petit
apparaît formé).
c) Texte lacunaire
1) Principales règles de construction
Moyennant certaines adaptations éventuelles, toutes les 6 règles précédentes
sont valables ici. On y ajoute 4 règles plus spécifiques ci-après :
a) Le texte lacunaire doit former une unité structurée et éviter les informations
accessoires
b) Il faut se méfier de la gymnastique mentale exigée par l’emploi des pronoms
c) Si le genre et le nombre de certains mots (articles, adjectifs…) sont trop indicatifs de
la réponse, il faut mettre les accords entre parenthèses
d) Les blancs seront, de préférence, placés en fin d’énoncé plutôt qu’au début.
2) Items faibles
Consigne : Complétez les blancs par le nom technique qui décrit exactement la
partie de la définition omise.
Texte : « La présentation des données, en statistique, se fait par un double……
en …. horizontales et en ………..verticales, dont l’ensemble constitue un tableau de….
. La constitution d’un ….statistique doit se faire avec le plus grand soin ».
3) Items améliorés
Consigne : Complétez les blancs par le mot technique qui décrit exactement, en
statistique, la partie de la définition omise.
Texte : « La présentation des données, en statistique, se fait par un(e) double
….en…. horizontales et en… verticales, dont l’ensemble constitue un tableau de… . La
constitution d’un(e)…statistique doit se faire avec le plus grand soin ».
C. Item de sélection
a) Item Vrai-Faux
1) Principales règles de construction
a) La rédaction exacte de cet item présente des difficultés. Comme cet item ne permet
pas de manier la réponse, il ne concerne que les rares cas où les propositions
n’admettent pas d’exception
b) Pour éviter que la bonne réponse ne soit pas due au hasard, il est nécessaire de
préparer plusieurs items à alternative relatifs à une même notion et d’exiger toutes
les réponses exactes
c) Il est recommandé de rejeter tous les items dont les propositions sont constituées par
une négation suivie d’une affirmation ou d’une double négation. Il s’agit, dans ce cas,
d’un artifice (ruse) de langage que de l’évaluation d’une opération mentale.
2) Items
a) Einstein proposa la théorie de la relativité : Vrai ou Faux
b) MUDIMBE a-t-il écrit des pièces de théâtre ? Oui ou Non
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a. Fléchage
Consigne : Tracez une flèche pour indiquer quel élément de la liste de droite
complète les phrases de la liste de gauche.
Items
C’est toi qui...fatigué suis
L’un et l’autre...hors d’usage es
Le tas de pierres qui...sur son chemin sommes
Toi et moi...l’exception est
êtes
sont
b. Association des lettres-chiffres
Consigne : Indiquez, pour chacun des types de notes ci-après, en mettant entre
parenthèses prévues, s’il s’agit d’une note qui exprime une performance intrinsèque du
sujet (1) ou bien le niveau de sa performance par rapport à la performance des autres
sujets du groupe (2) :
Items
A. Note réduite ( )
B. Gain brut ( )
C. Notes réduite ( )
D. Rang ( )
c. Tableau cartésien ou tableau de contingence
Consigne : A chaque item de la première liste, faites correspondre la réponse
correcte de la deuxième liste. Utilisez le cadre réservé pour les réponses, en indiquant,
dans la deuxième colonne, le chiffre qui correspond à la lettre de la première colonne.
Items
Première liste : Qu’est-ce qui caractérise, selon J. PIAGET, la vie intellectuelle de :
A. la première enfance ?
B. la deuxième enfance ?
C. la troisième enfance ?
Deuxième liste : l’apparition
1) de la conservation
2) des opérations formelles
3) de la pensée syncrétique
4) de l’intelligence sensori-motrice
Cadre pour les réponses
A
C
27
Evaluation =
===
Action d’examiner le degré d’adéquation ou de correspondance entre
Un ensemble d’informations
Adéquats à
Un ensemble de critères l’objectif fixé
Parmi ces alternatives diverses, il y en a qui sont d’une valeur considérable. Elles
se présentent de la manière ci-après :
1) Sanctionner la réussite ou l’échec en fin d’année (faire des bilans complets)
2) Faire de bilans partiels
3) Attribuer une mention
4) Diagnostiquer
Ce sont donc les quatre objectifs principaux de l’évaluation que la plupart
d’entre nous, enseignants, pratiquent dans leur fonction enseignante au sein des instituts
supérieurs ou universitaires de notre pays.
L’évaluation et ses types de décision ainsi succinctement décrits ici jouent, dans
l’enseignement et l’apprentissage, le rôle pronostique, le rôle de jaugeage ou
d’inventaire et le rôle diagnostique.
3. Rôles de l’évaluation
a) Rôle pronostique
Dans ce cadre, l’évaluation sert à prédire le succès de l’étape qui va commencer.
Par exemple, la réussite du premier graduat prédit celle du deuxième et ainsi de suite.
b) Rôle de jaugeage ou d’inventaire
Ici, l’évaluation a pour objet de contrôler ou d’inventorier les acquisitions et
d’apprécier le progrès réalisé. On compare le sujet concerné à lui-même. On fait le point
et on détermine la position relative de ce sujet. Par exemple, à la fin du trimestre, en
premier graduat en psychologie, l’objectif étant celui de la maîtrise de la moyenne, du
médian et du mode, en statistique, l’étudiant WERASSON où en est-il ?
c) Rôle diagnostique
Dans ce cas, l’évaluation envisage de rechercher les causes et les origines des
insuffisances scolaires et académiques rencontrées dans les processus mentaux. Par
exemple, pourquoi tous les étudiants échouent-ils, chaque année, dans un cours ?
Bref, il résulte de tout ce qui vient d’être dit à propos de l’évaluation qu’il existe
principalement trois types d’évaluation, à savoir : l’évaluation « sommative »,
l’évaluation « continue » et l’évaluation « formative ».
4. Types de l’évaluation
a) Evaluation « sommative »
Utilisé en fin de semestre ou d’année, ce type d’évaluation vise à apprécier les
performances ou les compétences des apprenants et à leur donner des mentions, des
certificats, des diplômes. Il fut développé par Michael SCRIVEN.
C’est une appréciation qui consiste à interpréter des notes obtenues à une
épreuve d’inventaire de connaissances ou un score à un test donné, en les situant dans
une distribution statistique. La performance ou la compétence d’un individu est
appréciée par référence à celle d’autrui. C’est d’après la place ainsi obtenue que l’on juge
le travail de ces sujets. Or, dans les deux cas, le résultat enregistré est essentiellement
relatif.
Aujourd’hui, on observe que la quasi-totalité des établissements
d’enseignement national (primaire, secondaire, supérieur et universitaire), dans notre
pays, pratique, au sein des processus d’enseignement et d’apprentissage, l’évaluation
sommative.
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b) Evaluation « continue »
Ce mode d’évaluation apprécie constamment les résultats de l’acte d’enseigner
et d’apprendre. Il applique aux étudiants, à des intervalles de temps assez courts et
réguliers, une épreuve d’évaluation construite sur la matière de cours. C’est donc un
processus de contrôle permanent et régulier dans l’enseignement et dans l’apprentissage
visant à identifier, à produire et à communiquer de l’information indispensable et
suffisante pour une décision à prendre parmi les possibilités multiples, en relation avec
les objectifs retenus.
L’évaluation « continue » permet ainsi de choisir l’intervention adéquate à
l’objectif, de décider d’un maintien ou d’un ajustement de cette intervention. Elle
s’identifie donc à une décision qui doit être continuellement revue et améliorée, en
persistant dans la ligne de l’objectif poursuivi ou en changeant simplement d’objectif.
c) Evaluation « formative »
Pour construire une épreuve d’évaluation « formative », il faut déterminer des
unités ou des étapes d’enseignement et d’apprentissage, préciser le contenu de chacune
de ces unités et définir les performances attendues des sujets. Une telle méthode
permet, au professeur, de rendre compte, au long de l’enseignement et de
l'apprentissage, de l’assimilation des unités pré-requises de toutes ces différentes
actions.
Il s’agit donc d’une appréciation qui accompagne régulièrement le processus
d’enseignement et d’apprentissage. Au moyen d’évaluation « diagnostique », elle en
étudie les conséquences, en détermine les causes de défaillances possibles, établit les
modalités de ces défaillances et aide aux prises de décision concernant les maintiens ou
les ajustements que requièrent les états analysés. L’évaluation de ce type est dite « non
normative ». Elle est centrée sur l’individu ou le groupe et sur le critère constitué par la
matière que cet individu doit apprendre. Elle constitue, de ce fait, l’intégration du
diagnostic au processus de l’évaluation « continue ».
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Tardif, J. (1999). Le transfert des apprentissages. Montréal : Ed. Logique.
Roegiers, X. (2003). Des situations pour intégrer les acquis scolaires. Bruxelles : De Boeck
et Lancier.
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Promotion : DEA
Date : le
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