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l’internet des objets (ido – IoT)

Chap.1 Introduction à l’internet des objets (IdO – IoT)

I. Introduction
Pourquoi l’IoT ?

 Evolution naturelle des technologies : lien inévitable entre le monde numérique et le


monde physique,
 Assistance à nos activités professionnelles et personnelles.
 Permet une réduction considérable des dépenses dans l’économie d’aujourd’hui
(industrie, santé, sécurité, etc.).
 L’IoT est ici et il évolue rapidement ! Il n’y a pas de temps à perdre.
 50 milliards d’objets en 2020 (estimation) !

Domaines applicatifs de l’IoT ?

 Ville intelligente : circulation routière intelligente, transports intelligents, collecte des


déchets, cartographies diverses (bruit, énergie, etc.).
 Environnements intelligents : prédiction des séismes, détection d’incendies, qualité de
l’air, etc.
 Sécurité et gestion des urgences : radiations, attentats, explosions.
 Logistique : aller plus loin que les approches actuelles.
 Contrôle industriel : mesure, pronostic et prédiction des pannes, dépannage à distance.
 Santé : suivi des paramètres biologiques à distance.
 Agriculture intelligente, domotique, applications ludiques etc.

Quelques définitions

 Objet connecté : objet possédant la capacité d’échanger des données avec d’autres
entités physiques ou numériques.
 Internet des objets (IdO) : expansion du réseau internet à des objets et/ou des lieux du
monde physique. En anglais, on parle d’IoT : Internet of Things.

« L’Internet des Objets est un réseau de réseaux qui permet, via des systèmes d’identification
électronique normalisés et unifiés, et des dispositifs mobiles sans fil, d’identifier directement
et sans ambiguïté des entités numériques et des objets physiques et ainsi de pouvoir
récupérer,stocker, transférer et traiter, sans discontinuité entre les mondes physiques et
virtuels, les données s’y rattachant. »
Source : L’Internet des objets de Pierre-Jean Benghozi, Sylvain Bureau et Françoise Massit-
Folléa (Edition MSH)

 M2M : machine to machine, échange d’informations entre deux machines sans


intervention humaine

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II. Un peu d’histoire


Au départ simple solution technologique, l’Internet des objets (IdO) ou en anglais « Internet
of Things » (IoT) est devenu un des éléments clés de la transformation numérique et de
l’Internet que nous connaissons. Certains acteurs y voient la dernière évolution majeure des
technologies de l’Internet. Dans les années 1970, le réseau des réseaux a permis de connecter
les machines entre elles, puis dans les années 1990 et 2000, il a rendu possible l’échange
d’informations, via les services de messagerie, le World Wide Web et les réseaux sociaux.
C’est désormais le développement de l’IdO qui transforme en profondeur le monde de
l’Internet.

Depuis l’origine de l’Internet, nous avons appris à communiquer via des objets dédiés,
ordinateur, tablette, smartphone, terminal bancaire, etc. Mais l’IdO constitue une nouvelle
étape, puisqu’il rend communicants des objets du quotidien dont la fonction première n’est
pas de communiquer : vêtements, montres, appareils électro-ménagers, véhicules, etc.

Ces objets deviennent « intelligents » et acquièrent la capacité de collecter des données, de les
traiter, de les échanger et de les acheminer vers d’autres machines, pour in fine s’adapter voire
agir sur ces machines ou sur leur environnement.

Cette évolution constitue une révolution anthropologique qui ouvre des possibilités inédites de
dialogue entre des entités du monde physique. Synthèse du rapprochement entre le monde
physique et le monde numérique, l’Internet des objets offre aussi la possibilité aux objets, aux
personnes et, au-delà, à toute entité physique identifiable sur un réseau de télécommunication,
de communiquer sans aucune interaction d’humain-à-humain ou d’humain-à-machine.

Les promesses de l’Internet des objets sont donc immenses, tant à l’échelle de notre vie
quotidienne et domestique que dans le monde des entreprises, de l’industrie et plus largement
dans l’ensemble de la sphère sociale.

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Tableau 1 – Dates clés de l’Internet

III. Une définition strictement technique ne suffit pas à cerner le


concept

Pourtant l’Internet des objets n’est pas si facile à définir. De fait il existe autant de
définitions que de locuteurs et de points de vue : législateurs, usagers, fabricants, opérateurs
de réseaux, utilisateurs, intégrateurs de services, etc. Dans une étude de 20181, OCDE a
analysé les différentes définitions de l’IdO au niveau international en vue d’établir une base
commune pour les travaux du Comité de la politique de l’économie numérique (CPEN). Il en
ressort une grande variété d’approches : par type d’objets, par domaine d’application, par
fonction. Cette même étude a proposé une taxonomie pour la mesure de l’IdO. Une autre
étude à paraître de l’OCDE établit une comparaison des définitions retenues de l’IdO par les

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différents organismes statistiques de pays membres dans le cadre des enquêtes publiques sur
l’utilisation des technologies de l’information et de la communication (TIC).

Quelles sont les divergences de point de vue qui rendent si difficile cette définition partagée ?
Le premier point d’achoppement porte sur le périmètre concerné. De quels objets connectés
parle-t-on lorsque qu’on parle d’Internet des objets ?
En fait, les expressions « objets connectés » et « Internet des objets » sont souvent utilisées à
tort l’une pour l’autre, car elles ne recouvrent pas les mêmes notions. Un objet connecté ne
donne aucune précision quant à la nature et aux effets de la connexion, il est simplement
connecté à un réseau informatique dont on ignore a priori la structure et la finalité. Le terme
« Internet des objets » indique que l’on considère une structure globale en capacité de relier
un ensemble d’objets numériques, de traiter les données qui en sont extraites et même d’agir
en fonction de celles-ci, pour en faire un système cohérent.
Les principales sources de divergences dans les définitions portent sur la prise en compte ou
non des objets numériques complexes traditionnels : les ordinateurs, les téléphones, les
téléviseurs, les voitures connectées, etc. Certaines définitions les intègrent quand d’autres
choisissent de ne prendre en compte que les nouvelles catégories d’objets connectés : les
capteurs, les compteurs intelligents, les objets connectés du quotidien (lunettes, montres,
électro-ménager, télévision, etc.), les puces RFID.
Cette seconde catégorie, en considérant que nous sommes à un moment de bascule où ces
objets dont l’usage premier n’était pas nécessairement de communiquer vont constituer une
part croissante des objets connectés. Ils sont désormais plus nombreux à être dotés de
capacités de calcul, de mémorisation et de communication qui peuvent dépendre d’éléments
externes comme des serveurs, des stations de travail ou des smartphones. D’autres définitions
ne considèrent pas comme objet connecté un capteur sans capacité de traitement de
l’information et de calcul, qui se bornerait à retransmettre ce qu’il mesure. Ainsi, selon
certaines définitions, le tag RFID ne serait pas un objet connecté.
Cette première difficulté rend périlleuses toutes les tentatives de mesurer le nombre des
objets aujourd’hui connectés. Certaines projections estiment à plusieurs centaines de millions
le nombre d’objets connectés, d’autres à plusieurs milliards. 15 milliards d’objets seraient
connectés dans le monde pour l’IDATE, contre quelque 180 milliards d’objets connectés au
niveau mondial en 2028 pour IoT Analytics2.
Certaines définitions retiennent la notion d’une interaction entre l’objet et son environnement

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ou « boucle de rétroaction ». Cette interaction peut concerner d’autres machines (Machine-to-


machine, M2M) ou des usagers (Human-to-machine, H2M). Elle permet de générer des
informations qui, une fois traitées, peuvent conduire à une prise de décision ou déclencher une
procédure. Les boucles de rétroactions peuvent s’imbriquer les unes dans les autres et
former ainsi des systèmes particulièrement complexes.
Enfin, certaines définitions apportent des précisions sur les infrastructures qui charpentent l
IdO, comme la nature des réseaux ou des infrastructures de stockage des données.

Tableau 2 – Critères retenus pour définir l’Internet des objets, selon les sources

IV. Concepts fondamentaux


« L’Internet des objets est un ensemble d’objets connectés et de technologies de réseaux qui
se conjuguent en associant :
des objets physiques qui possèdent des capteurs connectés, éventuellement dotés de
capacités de calcul et qui sont en mesure d’interagir avec leur environnement ;
des réseaux de communication numériques filaires ou non filaires qui permettent de
communiquer les données issues de ces objets ;
des espaces de stockages distants pour les données recueillies ;

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des applications de traitement des données qui engagent des processus décisionnels à
même de rétroagir sur des objets physiques inanimés ou vivants.Un objet ou un
ensemble d’objets de l’IdO est appelé un dispositif IdO. »
de la diversité des objets connectés ou connectables : les compteurs intelligents
(électricité, eau ou gaz), les caméras de surveillance, les véhicules avec système de
communication embarqué, les capteurs disséminés permettant d’optimiser une chaîne de
production dans une usine, l’éclairage urbain ou la collecte des déchets à l’échelle d’une
ville, la surveillance et le contrôle à distance des appareils ménagers, les systèmes
domotiques assurant la gestion de l’éclairage, les appareils électroménagers, les jouets
connectés, les assistants vocaux, les télévisions connectées, les textiles connectés, les
objets personnels connectés (montres, etc.), mais aussi les cartes avec ou sans contact ou
les tags RFID ;
des multiples technologies réseaux possibles. Cette définition est agnostique aux
technologies réseaux, sur lesquelles sont déployés les dispositifs IdO, qu’il s’agisse d’un
réseau privé à l’intérieur d’un bâtiment ou d’un réseau satellitaire (suivi de containers
dans le transport maritime) ;
des différents modes de stockage des données qui peuvent être utilisés : localement
(dans un réseau privé), en périphérie (edge computing) ou de manière centralisée (cloud) ;
des interactions avec l’environnement qui peuvent prendre la forme de remontées
périodiques d’informations (capteurs environnementaux de suivi de températures, de
qualité de l’air ou de suivi des sols pour l’agriculture, par exemple), alimenter un système
d’alerte (suivi des paramètres vitaux d’une personne hospitalisée via un tensiomètre ou un
appareil d’oxygénation connecté) ou encore nourrir un algorithme pour des prises de
décision dans des cas d’usages critiques (véhicule « autonome »,appelé maintenant en
particulier dans la législation « véhicule à conduite automatisée », opérations chirurgicales
à distance).
Quelques objets connectés
Objets « traditionnels » : ordinateurs, tablettes, smartphones, etc.

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Nouveaux objets connectés : appareils électroménagers, instruments de mesure, robots, serrures,


machines-outils, bennes à ordures, drones, jouets, montres, véhicules, etc.

Acquisition de signaux issus du monde physique (capteurs, transcription de grandeurs


physiques en grandeurs électriques, puis numérisation puis transmission vers des systèmes
informatiques ou d’autres systèmes physiques)
Action sur le monde physique (déclanchement du fonctionnement de dispositifs, chauffage,
extinction de feux, ouverture d’une porte, mise en service d’une machine, régulation d’une
grandeur physique, exécution d’une tâche robotique, etc.) L’ordre peut provenir d’un système
informatique ou d’autres objets physiques connectés.
La mise en réseau de plusieurs objets connectés apporte de nouvelles fonctionnalités de
mesure de l’environnement et d’actionnement collectif. Par exemple : collaboration entre
plusieurs objets pour exécuter une tâche qu’un objet ne peut réaliser seul. Exemple : relevé
des températures dans une forêt en plusieurs points permet de prévenir les départs d’incendie
et éviter les ca aberrants.
Une problématique de sécurité accrue : en effet, le risque dépasse largement le vol de
données.Par exemple, arrêter le fonctionnement d’une usine ou y provoquer des dégâts
matériels ou humains, ouvrir les portes d’une habitation ou d’un magasin pour y effectuer des
vols, contrôler à distance un véhicule terrestre ou volant, bloquer le trafic routier de toute une
ville, etc. Il convient d’être particulièrement vigilant lors de la conception d’un objet
connecté.
Aujourd’hui, la baisse des coût des microcontrôleur ainsi que des puces de communication
sans fil (WiFi, Bluetooth, Zigbee, etc.) permet de mettre une intelligence et des moyens de
communication dans beaucoup d’objets de la vie courante ou professionnels. Exemple,
systèmes fondés sur la puce esp8266 de ESPRESSIF.

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V. Interactions entre le « monde numérique » et le « monde


physique »
 On désignera par « monde numérique » tous les systèmes manipulant des données
numériques ainsi que les réseaux permettant l’échange des données (calculateurs,
microcontrôleurs, serveurs informatiques, bases de données, réseaux informatiques,
protocoles de communication filaires ou sans fil, etc.).
 On désignera par « monde physique » tous les systèmes vivants ou artificiels que
nous côtoyons et qui interagissent entre eux par divers effets physiques (être humains,
animaux, végétaux, véhicules, objets du quotidien, outils, machines diverses, outils de
production, etc.). Ces systèmes interagissent entre eux au moyens de grandeurs
physiques (forces, déplacements, variation de température ou de pression, voix, son,
lumière, etc.)
Attention ! Certains objets du « monde numérique » sont bien « physiques » mais ils
manipulent essentiellement des données (un ordinateur par exemple) et on s’intéresse
généralement à leur aptitude à traiter des données.
Enjeu majeur de l’IoT : comment faire interagir ces deux mondes ?
• Pour cela, il convient de mettre en œuvre des moyens permettant à une grandeur physique de
renseigner un système informatique et, inversement, des moyens permettant à un système
informatique d’agir sur le monde physique (c’est-à-dire : changer son état).

Exemple : allumage et extinction d’une LED


Une LED (Light Emitting Diode) ou DEL (Diode Electroluminescente) est un composant
électronique très utilisé dans les appareils électroniques comme indicateur ou afficheur

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L’allumage d’une LED s’effectue en


appliquant à ses bornes une tension
électrique à travers une résistance de
limitation de courant.

Idée : comment commander l’état de la


LED à distance (par exemple via le réseau
internet) ?
Pour réaliser ce fonctionnement à l’aide
d’un système informatique, il convient
d’utiliser un dispositif d’entrée/sortie
(E/S).

Extension : déclenchement d’un dispositif


quelconque à distance
La commande d’une LED à distance ne
présente qu’un intérêt limité. Cependant, il
est possible d’étendre ce concept pour
déclencher divers dispositifs à distance :
éclairage, ventilation, climatisation,
 Représentation physique des états moteur, déverrouillage ou ouverture de
logiques sorties de secours, allumage d’un
 les états logiques sont matérialisés ordinateur… ou tout dispositif électrique.
par des niveaux de tensions 0V et
+5V (ou 0V et 3,3V).

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VI. Interactions : capteurs et actionneurs


De manière générale, l’IoT met en œuvre deux types d’éléments pour interagir avec le monde
physique : des capteurs et des actionneurs.
Les capteurs permettent de recueillir des informations depuis le monde physique et de
les transmettre vers le système informatique.
Les actionneurs permettent au système informatique d’agir sur le monde physique en
modifiant son état.
1. Les capteurs
Ils permettent de traduire une grandeur physique en un signal électrique. Ce dernier est
ensuite numérisé pour être transmis au système informatique.
Par exemple : un capteur de température permet de traduire l’amplitude de la
température en une tension électrique. Cette dernière est numérisée puis transmise.

Grandeur communément mesurées :


• Systèmes à deux états (0,1), (fermé, • Température
ouvert) (éteint, allumé), etc. • Pression
• Comptage d’impulsions (tachymètre), • Luminosité
cardio-fréquencemètre, • Position
•vitesse

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2. Les actionneurs
Ils permettent d’agir dans le monde physique, c’est-à-dire, changer son état.
Par exemple : un actionneur peut allumer un appareil à distance (voir l’exemple donné
dans les transparents précédents)
Actionneurs couramment utilisés :
•Allumage d’un éclairage
• Déclenchement d’un avertisseur sonore
• Allumage d’une machine
• Génération de mouvements (ex. servomoteur)
• Commande de robots
• Commande de moteurs (à courant continu, pas-à-pas, etc.)
• Contrôle de débits (air, pression, liquides, etc.)

VII. Infrastructures pour l’IoT


1. Infrastructure élémentaire

.
2. Exploitation du réseau internet

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3. Caractéristiques générales d’une plateformes pour l’IoT

Avant de se lancer dans la réalisation d’un objet connecté, il convient de bien choisir la
plateforme technologique à utiliser.
 Quelle puissance de calcul ? (Quels sont les traitements et calculs à effectuer en local ?)
 Quelle quantité de mémoire ? (Que doit-on stocker en local ?)
 Quelles interactions avec le monde physique ? (Capteurs - actionneurs)
 Quelle autonomie énergétique ? (durée d’utilisation, accessibilité, usage de batteries,
panneaux solaires, etc.)
 Quelles caractéristiques logicielles ? (Programmation simple ou complexe, accès
distant, OS, etc.)
 Quels protocoles de communication ? (Protocoles standards ou dédiés, liaison filaire ou
sans fil, cryptage, etc.)
 Quel coût ? (Nombre d’objets à réaliser, budget dédié à la partie IoT, degré de fiabilité
requis, etc.)

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VIII. Solutions technologiques


La révolution des systèmes embarqués à faible coût :
Deux approches majeures :
Systèmes construits autour d’un OS embarqué (RASPBERRY PI, BEAGLEBONE, et
plateformes similaires)
• Avantages : ouverts, puissants, langages de programmation multiples,
• Inconvénients : parfois complexes à mettre en oeuvre, prise en main longue, réactivité
moyenne, coût relativement élevé, interfaçage plus difficile.
Systèmes dédiés compacts à logiciel propriétaire (ARDUINO, GENUINO, INTEL
GALILEO, ESP8266 etc.)
• Avantages : Très réactifs, très faible coût, fonctionnement plus robuste (pas de couches
logicielles), interfaçage aisé, prise en main très rapide.
• Inconvénients : moins puissants, langages de programmation plus limités, moins flexibles sur
le plan logiciel.

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Ko ou 1 Mo

• Alimentation : 3,3 V, ne tolère PAS le 5 V


• Consommation : 10 μA à 170 mA
• Lignes de port GPIO : 17, avec les
fonctions I²C, SPI, UART, MLI multiplexées
• Port analogique : 1, résolution de 10 bit,
plage 0 à 1 V
• Compatible 802.11 : b/g/n/....
• Liaisons TCP simultanées : max 5
• Modes disponibles : station, point d’accès,
Une application complète : caractéristiques
station + point d’accès
• Processeur : Tensilica L106, 32 bits
• Switch transmetteur embarqué, balun,
• Horloge processeur : 80 / 160 MHz
LNA, Ampli de puissance, circuit
• Mémoire RAM : 32 + 80 Ko
d’adaptation.
• Mémoire flash : max. 16 Mo, typique 512
• Circuits de gestion de la puissance

Raspberry pi 3

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