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Classe :EB7

Description d'un paysage hivernal

L'arrivée de novembre amène la saison froide .Les sapins verts


saupoudrés d'une fine poudre blanche font rêver les enfants qui espèrent
avoir été assez sages pour avoir un arbre de Noël avec des cadeaux.
Les montagnes multicolores de l'hiver prennent lentement une teinte
unique, blanche, presque aveuglante, avec des pointes vertes et marron.
les torrents d'habitude si mouvementés se remplissent de neige et de glace
pour enfin arrêter le mouvement si violent de l'eau. Mais, pour moi, le plus
bel endroit en ce moment est le lac. Toutes les petites maisons, certaines
beige, certaines plus colorées, s'unissent pour ne plus pouvoir les distinguer
les unes des autres avec ce qui a l'air d'être un seul toit blanc. Les gouttières
pleurent à cause du gel qui les bleuit. Leurs petites fenêtres illuminées sont
voilées de petits rideaux soignés. Le seul endroit qui n'est pas recouvert de
flocons étincelants est la cheminée, dont la fumée fond toute glace qui
voudrait s'installer là.
La plage de galets devient invisible, les baigneurs de l'été sont remplacés
par des enfants qui s'envoient des boules de neige et qui construisent des
bonhommes, tous emmitouflés dans leur manteaux, bonnets et gants. On
entend les rires, les pas dont le bruit amorti par la neige, et les discussions
des gens qui passent. Le lac, d'habitude d'un bleu gris foncé, devient plus
clair, grâce au reflet du ciel couvert et des environs qui changent de couleur.
Cette étendue qui engloutit chaque diamant du ciel contraste avec
ses alentours, où ils s'accumulent sans pitié. Un air de joie et de festivités
règne avec l'approche de Noël qui ne va pas tarder.

Des expressions pour décrire un paysage :


-Un paysage de la campagne qui semble être au cœur de la nature!
-Une grande jolie maison au milieu d’image avec des arbres alentours en
pleine nature ! Autours il y a des montagnes et des cotes couvertes par ce
magnifique vert tapis naturel. Arrière et assez plus loin les montagnes grises
sont tellement grandes qu’on ait l’impression qu’elles touchent le ciel!
-Bien clair le ciel avec quelques petits nuages qui s’y baladent!
-Ah quelle était belle cette campagne! Quelle était belle avec son tapis vert
décoré de fleurs multicolores et son soleil qui jette ses rayons lumineux sur
l’univers !
-Il y a des hautes montagnes qui touchent le ciel.
-«plus une feuille aux arbres. Les prés sont morts, grisâtres et tristes. L’eau
dort. En haut des rochers, les squelettes noircis des peupliers se dressent
immobiles. Tout est endormi et repose.» (automne)

-Un silence profond régnait dans la solitude de la campagne, car la neige


amortit tous les sons avec son tapis d’hermine. (hiver)

-La grande plaine est blanche, immobile et sans voix ; pas un bruit, pas un
son ; toute vie est éteinte. (hiver)

-Et qu’y a-t-il de plus beau que la neige, lorsque le soleil en fait une nappe
de diamants, ou lorsque la gelée se suspend aux arbres en fantastiques
arcades, en indescriptibles festons de givre et de cristal.( Hiver )

-L’air n’était que tourbillons de neige, sifflements aigus du vent dans les
branches sèches des mélèzes, glapissements insensés des rafales dans le
creux des roches.
(hiver)
Le ciel : «....sous le ciel couleur de plomb».

La terre : «La terre est durcie par la gelée.»

L’eau : «Dans les petits creux où l’eau dort, la glace est prise.»
Les plantes : «Les herbes folles et les grands chardons desséchés sont blancs
de givre.»

«En haut des rochers, les squelettes noircis des grands châtaigniers se
dressent immobiles.»

«Les ajoncs vivaces, au milieu des bruyères grises et des fougères


séchées...».

-«Le ciel profond, net et dur était criblé d’étoiles».

-«Le vent sifflait sur les champs couverts de neige. Il gémissait à travers les
branches de vapeur».

Les armées de nuages reculèrent : la bourrasque bondit, monta, tordit des


masses de vapeur».

«Le vent soufflait par rafales et les arbres qui se heurtaient avec force
faisaient entendre des plaintes en se penchant très bas. J’entendais de longs
sifflements, des craquements et des chutes de branches».

En hiver :

-La campagne, l’hiver, c’est encore autre chose : plus une feuille aux arbres.

-Les près sont morts, grisâtres et tristes. La terre est durcie par la gelée. Les
herbes folles et les grands chardons desséchés sont blancs de givre et, le
long de rives, dans les petits creux où l’eau dort, la glace est prise.

-En haut des rochers, les squelettes noircis des grands châtaigniers se
dressent immobiles, sous le ciel couleur de plomb. Tout est endormi et
repose.

-Pourtant, les ajoncs vivaces, au milieu des bruyères grises et des fougères
séchées, éclairent leur verdure terne de quelques fleurs jaunes, et les houx,
aux feuilles luisantes, montrent leurs belles grappes de graines rouges.
Au printemps

- A partir du printemps, la nature semble se réveiller petit à petit de son long


sommeil d’hiver. Les rayons du soleil viennent apportent la lumière et la
chaleur qui viennent chatouiller les arbres qui se mettent à bourgeonner et
les fleurs commencent à sortir leur tête de terre !

-Peu à peu, l’oreille s’habitue au silence et discerne mille petits bruits qui
lui échappaient La feuille inquiète frissonne et frémit comme une robe de
soie.

-Une eau invisible murmure sous l’herbe. Un caillou sort furtivement d’un
arbre. Un gland se détache et tombe sur le gazon avec un son mat.

-Une bête passe, froissant l’herbe. Un écureuil glapit en escaladant un arbre.


Le pivert, avec un bruit régulier frappe du bec l’écorce des ormes pour en
faire sortir les insectes dont il se nourrit.

En automne

-Des feuilles tombaient à terre, et là, mêlées à la boue, formaient un terreau


glissant et gras.

-Le sentier que nous suivions s’enfonçait en serpentant à travers des fourrés
roussâtres. Des éclaircies, sur nos têtes, laissaient voir un ciel bas, couleur
de grisaille et de cendre.

- La pluie menaçante endeuillait la forêt. Mais quelquefois encore, filtrant


entre deux couches de nuages, un rayon de soleil glissait, traversait
obliquement la futaie, caressait féériquement les haies, s’étalait sur le sol
feuillu».

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