Cours FBD 11 02 2020 VE

FONDEMENT DES BASES DE DONNÉES
AU : 2019 - 2020
Auditoire : 1ère Licence Computer Science, Parcours : GLSI
DR. SAHBI ZAHAF
11/02/2020
PLAN DU COURS
• Introduction Générale
• Chapitre 1 : Modélisation Conceptuelle de la BD
– Modèle Entité-Association
– Diagramme De Classe UML
– Chapitre 2 : Modélisation Relationnelle Logique de la BD
– Modèle Relationnel Formel
– Algèbre Relationnelle
– Règles de Passages du Niveau Conceptuel vers le Niveau
Logique Relationnel
– Normalisation
• Chapitre 3 : Langage SQL
– Langage de Définition de Données (LDD)
– Langage de Manipulation de Données (LMD)
– Langage d’Interrogation de données (LID)
– Langage de Contrôle de Données (LCD)
• Conclusion Générale
11/02/2020 Bases de Données 2
INTRODUCTION GÉNÉRALE
DR. SAHBI ZAHAF
A.U : 2019 - 2020

11/02/2020
SYSTÈME D’INFORMATION DE
L’ENTREPRISE (SIE)

ENVIRONNEMENT EXTERNE DE
L’ENTREPRISE

ENVIRONNEMENT INTERNE DE
L’ENTREPRISE (1)
• Système Opérant vs Système de Pilotage
– Système Opérant (SO)
• Système d’exécution des activités métiers qui sont
couvertes par l’entreprise
• Système de transformation de flux qui est réalisée en
respectant des règles bien précises
– Flux financières, Flux de matières, Flux d’informations, etc.
– Système de Pilotage (SP)
• Système de Prise de Décision en ce qui concerne la
définition et l’exploitation des activités métiers
• Système qui permet à l’entreprise de planifier ses
objectifs fixés

L’ENTREPRISE (2)
• Système Opérant : Exemples
• Usine de montage de voitures

Pièces détachées Automobiles
Système
Entrées Sorties
• Atelier de fabrication
Matières premières Produits finis
Système
Entrées Sorties

L’ENTREPRISE (3)
• Relation entre SO et SP
– SP procède à l’adaptation, la régulation et au
contrôle du SO en décidant du comportement
de celui-ci
Système de Pilotage
Informations
sur l’état du SO
Décision sur le SO
Flux entrant Flux sortant
Système Opérant
BESOIN : SYSTÈME D’INFORMATION
Augmentation en quantité et en
complexité des informations
échangées entre les deux systèmes
(SO et SP)
Besoin : un autre Système qui

stocke et traite de façon plus
efficace ces informations
SYSTÈME D’INFORMATION
SYSTÈMES VS ENTREPRISE
Système de Pilotage
Système d’Information
Entrée Sortie
Système Opérant
L’INFORMATION EST OMNIPRÉSENTE DANS
L’ENVIRONNEMENT INTERNE DE L’ENTREPRISE
Tout élément est susceptible
de produire, consommer ou
véhiculer de l’information
L’information doit être :

stockée, extraite, traitée,
maintenue, etc.
C’est le rôle du Système

d’Information
L’information : facteur de production de l’entreprise

SYSTÈME D’INFORMATION DE
L’ENTREPRISE (SIE)
• Le Système d’Information de l’Entreprise
(SIE) est composé d’éléments divers
(employés, ordinateurs, règles et méthodes,
etc.) qui sont chargés de stocker et de
traiter les informations relatives au
Système Opérant (SO) afin de les mettre à
la disposition du Système de Pilotage
(SP)

ASPECTS DU SIE
• Aspect Statique (ou Aspect Données)
– Modélisation des données
– Base de Données
• Aspect Dynamique (ou Aspect Traitement)
– Circulation de l’information entre les
différents acteurs de l’entreprise
– Production de nouvelles informations au
cours d’exécution des différentes activités
métiers

BASE DE DONNÉES

BASE DE DONNÉES : C‘EST QUOI ?
• Une Base de Données (BD) est un “récipient”
commun d’information, partagé par plusieurs
utilisateurs.
– Les informations peuvent être interrogées et mises-à-jour
par l’intermédiaire d’un logiciel (Système de Gestion de
Bases de Données ou SGBD).
– Les informations décrivent les activités de l’entreprise et
sont destinées pour la prise de décision
• Exemples d’applications basées sur une BD :
– Location des véhicules
– Gestion des billets de transport
– Catalogue électronique de la Bibliothèque Universitaire
(BU)
– Etc.
BASE DE DONNÉES : DÉFINITION
• Une Base de Données (BD) est un ensemble structuré
de données (1) enregistrées sur un support
permanent avec le minimum de redondances
possibles (2) pour satisfaire simultanément plusieurs
utilisateurs (3) de façon sélective (4) en un temps
opportun (5)
(1) Organisation et Description des objets et des liens entre
ces objets à l’aide d’un Langage de Description de
Données (LDD)
(2) Stockage sur disque vs Unicité de l’information
(3) Accès à l’information à l’aide du Langage d’Interrogation
de Données (LID), Mise-à-jour de l’information à l’aide
d’un Langage de Manipulation de Données (LMD)
(4) Confidentialité, Sécurité à l’aide du Langage de Contrôle
de Données (LCD)
(5) Performance
BASE DE DONNÉES : EXPLOITATION
• SGBD
– Système de Gestion de Base de Données
• DBMS
– DataBase Management System
• Principaux SGBD du marché :
– Oracle
– MySQL
– SQLite
– SQL Server
– IBM DB2
– Sybase

RÔLES D’UN SGBD (1)
• Non redondance des données
• Stockage des données
– Indépendance au niveau Physique
– Indépendance au niveau Logique
• Définition des données
– Langage de Définition de Données (LDD)
• Manipulation des données
– Langage de Manipulation de Données (LMD)
RÔLES D’UN SGBD (2)
• Cohérences des données
– Contraintes d’Intégrité (CI) doivent être
respectées à chaque mise-à-jour de la BD
• Interrogation des données
– Langage d’Interrogation de Données (LID)
• Administration et Contrôle des données
– Langage de Contrôle de Données (LCD)
• Gestion des Requêtes utilisateurs
• Gestion des Transactions
• Gestion de Reprise face aux Pannes

ÉTAPES DE LA MISE EN ŒUVRE
D’UNE BD
• Modélisation Conceptuelle de la BD
– Modèle Conceptuel
• Modèle Entité / Association (E/A)
• Diagramme de Classes UML
• Modélisation Relationnelle Logique de la BD
– Modèle Logique Relationnel
• Application des Règles de Passages : Modèle Conceptuel 
Modèle Logique Relationnel
• Application des Règles de Normalisations : 1 FN  2 FN
3 FN
– Utilisation d’un SGBD
– Langage d’exploitation
• SQL : Structured Query Language

CHAPITRE 1 : MODÉLISATION CONCEPTUELLE DE LA
BD
DR. SAHBI ZAHAF
A.U : 2019- 2020

11/02/2020
CONCEPTION D’UNE BASE DE
DONNÉES
Reconnaissance
Structuration
Monde Réel
Perception
Une Base de Données est une représentation de

la réalité telle qu’elle est perçue par les utilisateurs

CRÉATION D’UNE BASE DE DONNÉES
Modélisation Schéma Conceptuel
Monde Réel Conceptuelle
0:n 1:1
Personne Possède Voiture
Modélisation
Logique
Schéma Logique Personne Nom Adresse Tel

Jemai Gabes 75999244
Ben Salah Sfax 74465983
BASE DE DONNÉES Ktari Gafsa 76547325
……. ……. …….
11/02/2020 Bases de Données Implémentation 23

en SQL
MODÉLISATION CONCEPTUELLE
• Approche utilisée :
– Le concepteur de la BD s’appuie sur une
description exprimée en langage naturel
(interview, cahier des charges, etc.), pour extraire
les entités et les associations. Pour cela, il doit
appliquer les règles suivantes :
• Les noms deviennent des entités
• Les verbes deviennent des associations
– Exemple :
• « Une voiture appartient à un modèle particulier ».
– Les noms sont : « voiture », « modèle »
– Le verbe est : « appartient à »

EXEMPLE
• Le responsable d’une agence de location de voiture
décide d’implanter une DB pour gérer la location de
ses voitures
– Une Voiture est identifiée par son Numéro
d’immatriculation (Immat), une Marque, un Type et une
Puissance.
– Une Voiture est louée à un ou plusieurs Clients.
– Un Client est identifié par un Numéro, un Nom et une
Adresse.
– Un client peut louer une ou plusieurs voitures.
– Pour chaque location de voiture, il faut noter la Date de
Location (DL), la Date de Retour (DR), le Kilométrage de
Départ (KILD) et le Kilométrage de Retour (KILR).

EXEMPLE :
DICTIONNAIRE DE DONNÉES
Classe d’entités Classe d’associations
Champ Voiture Client Louer
Immat X X
Marque X
Type X
Puissance X
NumCl X X
NomCl X
AdrCl X
DL X
DR X
KILD X
KILR X

EXEMPLE : MODÈLE E/A
Voiture Client
Immat NumCl
Marque
Louer NomCl
Type DL AdrCl
Puissance DR
KILD
KILR

EXEMPLE : TYPE DE RELATION
1 N
Voiture Client
M 1
Voiture [N-M] Client

Immat NumCl
Marque
Louer NomCl
Type DL AdrCl
Puissance DR
KILD
KILR

PARTIE 1 : MODÈLE ENTITÉ-ASSOCIATION

MODÈLE CONCEPTUEL « E/A »
• Ensemble de conventions graphiques qui
permettent de représenter la partie
statique d’un Système d’Information
• Concepts de base :
– Objet  Entité
– Lien  Association
– Propriété  Attribut
• + la représentation multiple  lien « Is-
a»
ENTITÉ VS TYPE D’ENTITÉ
• Entité :
– Représentation d’un objet du
monde réel ayant une existence
propre Eya Rim Ali …………. Sami
• Type d’Entité (TE) :

– Représentation d’un ensemble
d’entités perçues comme similaires
et ayant les mêmes caractéristiques
Personne

ASSOCIATION VS TYPE
D’ASSOCIATION
• Association :
– Représentation d’un lien logique non orienté
entre deux entités ou plus
• Type d’Association (TA) :
– Représentation d’un ensemble d’associations
ayant la même sémantique et décrites par les
mêmes caractéristiques
Personne Achète Maison
1 « achète » = < 1 personne, 1 maison >

POPULATION D’UN TYPE
D’ASSOCIATION

ASSOCIATION BINAIRE
1 « achète » = < 1 personne, 1 maison >
ACHETEUR ACHETÉ
Association Binaire  deux rôles (relie 2 types d’entités différentes)
ASSOCIATION TERNAIRE
1 « achète » = < 1 personne, 1 produit, 1 fournisseur >
Client Achète Produit
Fournisseur
Association Ternaire  trois rôles (relie 3 types d’entités différentes)
ASSOCIATION CYCLIQUE
1 « marié à » = < 1 personne, 1 personne >
Personne Marié à
Association Cyclique  deux rôles (relie le même type d’entité)

Problème : Comment savoir dans un couple qui est le mari et qui est la femme?
1 « marié à » = < Nour Trabelsi, Nour Trabelsi > ?????
ASSOCIATION CYCLIQUE
Solution : Spécifier le rôle de chaque entité pour supprimer les ambiguïtés
FEMME
Personne Marié à
MARI
1 « marié à » = < Nour Trabelsi / femme, Nour Trabelsi / mari >

CARDINALITÉ DES RÔLES
Combien de voitures (Minimum) une personne peut-elle avoir ?

Combien de voitures (Maximum) une personne peut-elle avoir ?
Min : Max
Personne Possède
SI (Maximum > 1) : les rôles liant l’entité peuvent constituer un

ensemble (par défaut) ou une liste

CONTRAINTES DE CARDINALITÉS
Une personne peut ne pas avoir de voiture, en avoir 1, 2,…., n
0:n
Personne Possède
Une voiture a un et un seul propriétaire
0:n 1:1
0 : n  Pas de contrainte
i : j  Contrainte sur le Type d’Entité (TE) lié
POPULATION D’UN TYPE
D’ASSOCIATION
0:n 1:1

DIFFÉRENTES CARDINALITÉS
A B A B A B
Plusieurs-à-Plusieurs Un-à-Plusieurs Un-à-Un

0,N - 0,M 0,1 - 0,N 0,1 - 0,1
N-M 1-N 1-1

LECTURE DES CARDINALITÉS
Modélisation E/A : Plusieurs Formalismes (Merise, Chen)
Formalisme Merise
Client Produit
Commander
1:n 0:1
Une occurrence de Client est en relation, Un Produit donnée est Commandé, au

Par la relation Commander, avec un ou Maximum par un seul Client mais peut
Plusieurs occurrences de Produit ne pas être commandé
0:1 1:n
Client Commander Produit
Formalisme de Chen
ASSOCIATION BINAIRE
DE TYPE [1-1]
• Une Association binaire de type [1-1] si à
une entité de E peut correspondre par
l’association A au plus une entité de F et
que, réciproquement, à une entité de F ne
peut correspondre au plus qu’une entité de E
Chef [1-1] Département
Diriger
NumCh NumDep
1 1
Chef Département
1 1
ASSOCIATION BINAIRE
DE TYPE [1-N]
• Une Association binaire de type [1-n] si à
une entité de E peut correspondre par
l’association A plusieurs entités de F, mais à
une entité de F ne peut correspondre au plus
qu’une entité de E
[1-N] Département
Enseignant
Travailler
NumEn NumDep
1 1
Enseignant Département
N 1
ASSOCIATION BINAIRE
DE TYPE [N-M]
• Une Association binaire de type [N-M] si
à une entité de E peut correspondre par
l’association A plusieurs entités de F, et
vice-versa
[N-M] Cours
Enseignant
Enseigner
NumEn NumCours
1 N
Enseignant Cours
M 1
ATTRIBUTS
• Décrivent l’information (les propriétés) à
conserver sur :
– Une entité (objet)
– Une association
– Un attribut composite
FEMME
Personne Marié à
MARI
Date_Mariage
Nom Prénom Salaire
Jour Mois Année

Domaine [1, 31]

ATTRIBUT SIMPLE
• Simple (atomique)  non décomposable
– Exemples : Jour, Prénom, etc.
• Feuilles de l’arbre des attributs

– Seuls les attributs simples portent des valeurs
• Le domaine de valeurs est constitué par des

valeurs atomiques
– Exemple : Jour – domaine de valeurs : {1, 2, …, 31}
– Domaines prédéfinis standards, intervalles énumérés

ATTRIBUT COMPOSITE
• Composite (complexe, non atomique)  Décomposable en
d’autres attributs
– Exemples :
• Date (Jour, Mois, Année)
• Adresse (Rue, Numéro, Ville, Code_Postal)
• Un attribut complexe ne porte pas de valeurs propres (pas de

domaine directement associé)
• La valeur d’un attribut complexe est la composition des valeurs

des attributs qui le composent
• Différent niveau d’abstraction aux niveaux composition

d’attributs
– Un composant d’attribut complexe peut être lui-même un attribut
complexe

ATTRIBUT DÉRIVÉ
• Un attribut est dit dérivé si sa valeur peut être
déduite ou calculée à partir des valeurs d’autres
attributs stockés dans la Base de Données
– Exemples :
• L’âge d’une personne peut être déduit à partir de sa date de
naissance et la date courante (date système)
• La Moyenne d’un étudiant peut être calculée à partir des
Notes qu’il a obtenues et les Coefficients à appliquer
• Le Nombre d’employés peut être trouvé en comptant le
Nombre d’instances
• Remarque importante : les attributs dérivés
constituent une forme de redondance  on ne
les représente dans la base de données sauf dans
des cas particuliers
ATTRIBUT MONO-VALUÉ VS
ATTRIBUT MULTI-VALUÉ
• Attribut Mono-valué
– Une seule valeur par occurrence (cardinalité
max = 1)
– Exemples : Date de Naissance, CIN, etc.
• Attribut Multi-valué
– Plusieurs valeurs par occurrence (cardinalité
max > 1)
– Exemples : Prénoms, Téléphones,
Diplômes, etc.
ATTRIBUT OBLIGATOIRE VS
ATTRIBUT FACULTATIF
• Attribut Obligatoire
– Une valeur au moins par occurrence (cardinalité min  1)
• Exemples : CIN, Matricule, Nom, Prénoms, etc.
• Attribut Facultatif
– Peut ne pas prendre de valeurs (cardinalité min = 0)
• Exemples : Salaire, Téléphones, Fax, etc.
• Le caractère obligatoire ou facultatif est déterminé par les

besoins de l’application :
SI l’on accepte d’enregistrer une personne sans connaître sa
Date_de_Naissance
ALORS l’attribut Date_de_Naissance sera facultatif
SINON l’attribut Date_de_Naissance sera obligatoire

IDENTIFIANT DE TE ET TA
• Identifiant
– Permet de désigner une entité (ou une association) de façon
univoque
– Ensemble minimum d’attributs tel qu’il n’existe pas deux
instances du TE (TA) où ces attributs aient la même valeur
• Remarques :
– Un bon identifiant doit vérifier les propriétés suivantes :
• Sa valeur est connue pour toute entité
• On ne doit jamais avoir besoin de modifier sa valeur
• Sa taille de stockage doit être la plus petite possible (pour des raisons
de performances)
– SI il est difficile de trouver un identifiant pour un type
d’entité ALORS il faut créer un identifiant « abstrait »
indépendant de tout autre attribut (i.e. un numéro, une
référence, un code, etc.)

IDENTIFIANT D’UN TA
RÔLES MULTI-VALUÉS
0:n 0:n
Etudiant Obtenu Cours
No- carte Nom Année Note No- cours Intitulé
Identifiant (Obtenu) = Etudiant.No-carte + Cours.No-cours
Identifiant (TA) = ensemble des identifiants des TE liés

0:n Commande
0:n
Client Produit
Quantité
No-commande
No- client Nom No- produit Nom
Date
Deux identifiants pour Commande :

1) No-commande
2) Client.No-client + Produit.No-produit
(il n’existe qu’une seule commande d’un client donné pour un produit donné)
Identifiant (TA) = attribut propre (TA) + ensemble des identifiants (TE) liés

0:n Commande
0:n
Client Produit
No- client Nom Date Quantité No- produit Nom
Un client peut commander le même produit plusieurs fois

à des dates différentes
Identifiant (Commande) = Client.No-client + Produit.No-produit
+ Commande.Date
Identifiant (TA) = attribut (TA) + ensemble des identifiants (TE) liés

RÔLE MONO-VALUÉ
0:n 1:1
Personne Assure Voiture
0:n
No- cin Compagnie No- imm
Assurance
Nom
Identifiant (Assure) = Voiture.No-imm

Règle : Tout rôle mono-valué induit un identifiant du TA
(l’identifiant du TE lié est aussi identifiant du TA)

CYCLIQUE
FEMME 0:1
Personne Marié à
MARI 0:1
Date_Mariage
CIN Nom Prénom Salaire
Jour Mois Année
Deux rôles mono-valués  Deux identifiants pour « Marié à » :

1) Personne/Femme.CIN
2) Personne/Mari.CIN

IDENTIFIANT DE TE FAIBLE
Un « TE faible » ne peut pas être identifié par ses seuls attributs
propres
Entité Forte Entité Faible

1:1 1:n
Livre Existe Exemplaire
No- ISBN Titre Date-achat No- exemp État
La clé complète d’un « TE faible » résulte de la concaténation de la

clé d’entité forte et de sa clé locale
Identifiant (Exemplaire) = Livre.No-ISBN + Exemplaire.No-exemp

Identifiant (Existe) = Livre.No-ISBN + Exemplaire.No-exemp
LIEN DE GÉNÉRALISATION /
SPÉCIALISATION (1)
Article
Un « Article Alimentaire » Lien « Is-a »
est un « Article »
Article Article Article
Alimentaire Habillement Hi-Fi
Produit Fruits et
Viande
Laitier Légumes
Une relation de Généralisation / Spécialisation est toujours

représentée par un lien orienté de l’Entité Type Spécifique
vers l’Entité Type Générique (lien « Is-a »)
SPÉCIALISATION (2)
TE Générique
Article
Spécialisation Généralisation
Lien « Is-a »
TE Spécifique
La Sémantique du lien (« Is-a ») est qu’à toute occurrence de

l’Entité Type Spécifique correspond une occurrence de
l’Entité Type Générique qui décrit le même objet du monde réel
Inversement, à toute occurrence de l’Entité Type Générique
correspond zéro ou une occurrence par l’Entité Type Spécifique
SPÉCIALISATION (3)
TE Générique
Article
Spécialisation Généralisation
Lien « Is-a »
TE Spécifique
Inclusion de Population :
X Est un Y Tout X est Y
X Sous-type de Y
Y Sur-type de X
X Y

SPÉCIALISATION (4)
0:n 0:n
No- article Attributs
Existe Article Marque Commun
Type
Lien « Is-a »

0: n
Date limite Taille Couleur Puissance
Réparation
Les Attributs des sous-types sont 0: n
spécifiques aux informations
Service Après
additionnelles propres aux sous-types
Vente
GÉNÉRALISATION MULTIPLE (1)
Personne
Lien « Is-a »
Étudiant Enseignant
Doctorant Assistant Professeur
Assistants
Assistant-Doctorant
Assistants-Doctorants
Population
Doctorants
GÉNÉRALISATION MULTIPLE (2)
Personne
Lien « Is-a »
Étudiant Enseignant
Doctorant Assistant Professeur
Assistant-Doctorant
L’héritage pose des problèmes au niveau de la Généralisation Multiple :

il faut éviter d’hériter deux fois d’un ancêtre commun
 « Assistant-Doctorant » doit hériter une seule fois de « Personne » soit
par « Doctorant-Étudiant » soit par « Assistant-Enseignant »
CONTRAINTES D’INTÉGRITÉ (CI)
• Règles définissant les états cohérents de la BD
– Les CI sont des propriétés sémantiques du réel
perçu qui ne sont pas exprimables avec le modèle
E/A et que doivent satisfaire les données de la base
– Les CI doivent être décrites explicitement avec un
langage approprié
• Une BD est cohérente si toutes les CI définies
sont respectées par les valeurs stockées dans la BD
• Les CI sont subdivisées en deux catégories
– Contrainte Statique
– Contrainte Dynamique

CONTRAINTE STATIQUE
• Une contrainte statique est une
propriété qui doit être vérifiée à tout
moment
• Exemples :
– Un auteur doit écrire au moins un article
(cardinalité « 1..n »)
– Date de mariage d’une Personne > Date
de sa naissance

CONTRAINTE DYNAMIQUE
• Une contrainte dynamique est une propriété qui
doit respecter tout changement d’état de la Base
de Données
• Exemples :
– Le salaire d’un Employé ne peut qu’augmenter
– L’état civil d’une Personne évolue dans l’un des sens
suivants :
• {Célibataire}  {Marié}
• {Marié}  {Divorcé, Veuf}
• {Divorcé, Veuf}  {Marié}
• Remarque Importante :
– SI à un instant donnée, les valeurs de la BD ne satisfont
pas toutes les contraintes ALORS la BD est
incohérente
CONTRAINTES D’INTÉGRITÉ SUR LES
ATTRIBUTS
• But :
– Limiter les valeurs possibles d’un attribut à
certaines valeurs du domaine sous-jacent
• Exemples :
– Note de l’étudiant  [0..20]
– SI mois  {4, 6, 9, 11} ALORS jour  [1..30]
SINON SI mois = 2 ALORS jour  [1..29] SINON
jour  [1..31]
– SI une Personne participe à l’association
« Epouser » ALORS son état civil doit être
« Marié »

PARTIE 2 : DIAGRAMME DE CLASSE UML

VUES DE MODÉLISATION
Fonctionnelle
Diagramme de Use Cases
(Diagramme d’activités)
(Diagramme de séquence)
3 Axes de
modélisation
Statique Dynamique
Diagramme de Classes Diagramme d’états
(Diagramme d’objets) (Diagramme d’activités)
(Diagramme de séquence)
Diagramme de composants
(Diagramme de déploiement) Diagramme de Collaboration

INTRODUCTION
DIAGRAMME DE CLASSE
• Représente la structure des classes d’un
système :
– Les Propriétés et les Méthodes de chaque
classe
– Les Relations existantes entre les classes
• Reprend les concepts du Modèle E/A et
propose de nouvelles fonctionnalités
pour améliorer la sémantique du d’un
schéma conceptuel
• S ’adapte parfaitement à la modélisation
d’une BD Relationnelle ou BD Objet-
Relationnelle
NOTION D’UNE CLASSE
• Classe
– Une classe est une structure qui décrit un groupe d’objets du
monde réel ayant les mêmes caractéristiques et le même
comportement
– Exemples : Client, Produit, Étudiant, Matière
• Attribut
– Un Attribut est une propriété de la Classe
– Exemples : Numéro, Nom, Prénom, Adresse, Téléphone,
etc.
– À chaque Attribut est associé un Type (Entier, Réel, Texte,
Date, Booléen, etc.) et éventuellement une valeur par défaut
– Un identifiant caractérise de façon unique les instances d’une
Classe
• Opération / Méthode
– Une Opération définit un service qui peut être demandé par
n’importe quel objet de la classe
– Une Méthode est une implémentation d’une Opération
– Dans le cadre de ce cours : Opération  Méthode
REPRÉSENTATION D’UNE CLASSE
Niveau sans détail Niveau détail d’analyse
PERSONNE PERSONNE Nom de la Classe
Nom
Prénom Attributs
Adresse
Modifier_Adresse() Opérations
• Niveau détail de conception (on doit préciser de plus par
rapport au niveau détail d’analyse)
– Les Types des Attributs (integer, string, date, etc.)
– Les valeurs par défaut
– Les signatures des opérations
– Le niveau de visibilité (Attributs et/ou Opérations) :
• (+) Public : « Membre Public » accessible par toutes les Classes
(visibilité par défaut)
• (-) Privé : « Membre Privé» inaccessible en dehors de sa Classe
(accessible seulement par la Classe elle-même)
• () Protégé : « Membre Protégé» accessible par les Méthodes de sa Classes
et ses Classes Dérivées
ATTRIBUT DÉRIVÉ
• Un attribut peut être dérivé (/Attribut) :
– Déduit par application d’une formule sur
d’autres Attributs
– Conduit en implémentation à une Opération
RECTANGLE RECTANGLE
Longueur Longueur
Note
Largeur Largeur
/ Surface Surface = Longueur * Largeur
Opérations Surface()
Niveau Analyse Niveau Conception

ASSOCIATIONS
• Association
– Une Association est un lien sémantique qui existe entre deux
Classes d’objets ou plus
• Plusieurs types d’associations
– Association à navigabilité restreinte
– Classe d’associations
– Associations récursives (réflexives)
– Associations n-aires
– Association d’agrégation
– Association de composition
– Héritage
• Remarque : Par rapport au Modèle E/A les
Représentations Conceptuelles UML sont plus riches
sémantiquement et plus proches de la réalité

RÔLE & ASSOCIATION (1)
• L’extrémité d’une Association peut posséder un
nom appelé Rôle qui décrit comment une Classe
source voit une Classe destination au travers
de l’association
[Nom Association]
CLASSE 1 CLASSE 2
[Rôle 1] [Rôle 2]
• Rôle 1 : le rôle joué par CLASSE 1 dans l’association

• Rôle 2 : le rôle joué par CLASSE 2 dans l’association
Employeur
SOCIÉTÉ PERSONNE
Employée

RÔLE & ASSOCIATION (2)
• L’indication des Rôles est nécessaire pour
les Associations ambiguës
Client
SOCIÉTÉ PERSONNE
Directeur
Parents
PERSONNE
Matricule : Entier
Nom : Texte
Enfants

MULTIPLICITÉ & ASSOCIATIONS
• Chaque extrémité d’une association porte
une indication de multiplicité
– Elle exprime le nombre minimum et maximum
d’objets d’une classe qui peuvent être reliés à
un objet d’une autre classe
Multiplicité Signification
1..1 (ou 1) Un et un seul
0..1 Zéro ou un
0..* (ou *) Zéro ou plus
1..* Un ou plus
m..n De m à n ( m et n des entiers)
AFFECTATION DES CARDINALITÉS
E/A VS UML
Entité 1 Entité 2
Diagramme A11 Card1 Card2 A21
Nom
E/A A12 Association A22
… …
CLASSE 1 CLASSE 2
Diagramme Card2 Card1
A11 A21
Classe UML A12 Nom A22
… Association …

E/A VS UML (EXEMPLE)
• Considérons les règles de gestion
suivantes :
– Un livre comporte plusieurs chapitres
– Un chapitre appartient à un seul livre
– Un livre est édité par un seul éditeur
– Un éditeur peut éditer plusieurs livres
• Réalisez la modélisation conceptuelle de
cet exemple en utilisant : E/A et UML

E/A VS UML (EXEMPLE)
Diagramme E/A
ÉDITEUR LIVRE CHAPITRE
Num Ed
1, n 1,1 NumLiv
1, n 1,1 NumCh
NomEd Éditer Titre Appartenir TitreCh
… … …
Diagramme Classe UML

ÉDITEUR LIVRE CHAPITRE
Num Ed
1..1 1..* NumLiv
1..1 1..* NumCh
NomEd Titre TitreCh
… Éditer … Appartenir …

ASSOCIATION À NAVIGABILITÉ
RESTREINTE
• Par défaut, une Association est navigable dans les
deux sens
• La réduction de la portée d’une Association peut
être exprimée à l’aide d’une flèche orientée pour
indiquer que les instances d’une Classe ne
« connaissent » pas les instances d’une autre
ÉLECTEUR CANDIDAT
NumCart : Entier 0..* 0..1 NumCand : Entier
NomElec : Texte NomCand : Texte
Voter
Un Candidat aux élections présidentielles ne peut pas connaître les Électeurs

qui ont voté pour lui
CLASSES D’ASSOCIATIONS
• Une Classe d’Association est une
Association promue au rang de la
Classe
– Elle possède à la fois les caractéristiques
d’une Association et celles d’une Classe et
peut donc porter des Attributs
– Une Classe d’Association est caractérisée
par un trait discontinu entre la Classe et
l’Association qu’elle représente

EXEMPLE 1
• Un Employé peut travailler sur plusieurs Projets et un Projet
peut impliquer plusieurs Employés. On désire comptabiliser le
nombre d’heures de travail de chaque Employé, sur chaque
Projet
EMPLOYÉ PROJET
Matricule : Entier 0..* 0..* NumProj : Entier
NomEmp : Texte NomProj : Texte
Grade : Texte Lieu : Texte
Travailler_Sur
NbreHeur : Réel

EXEMPLE 2
• Une Commande client peut contenir plusieurs lignes. Chaque
ligne correspond à un Produit commandé avec une certaine
quantité
COMMANDE PRODUIT
NumCde : Entier 0..* 1..* NumProd : Entier
DateCde : Date Libellé : Texte
PrixUnit : Réel
LigneCommande
Quantité : Réel

ASSOCIATIONS RÉCURSIVES
• Une Association Récursive ou bien
Cyclique représente un lien sémantique
entre les objets d’une même Classe
• En cas d’ambigüité, il faut préciser le Rôle
que va jouer chaque instance de la
Classe dans la Relation

EXEMPLE 1
• Dans une entreprise, chaque Employé possède un seul
supérieur hiérarchique (à part le PDG), alors qu’un chef peut
superviser un nombre quelconque de subordonnés
Superviser
Supérieur 0..1
EMPLOYÉ
Matricule : Entier 0..*
NomEmp : Texte
Grade : Texte Subordonné

EXEMPLE 2
• Dans un plan de formation, certains Cours nécessitent
d’autres Cours comme prérequis
Requérir
0..*
COURS
NumCours : Entier 0..*
IntituléC : Texte

ASSOCIATION N-AIRES
• Une Association N-Aires relie trois
Classes ou plus
• Elle est représentée par un grand
losange, où les arcs qui relient les
Classes impliquées dans l’association
sont marqués chacun de multiplicités

ASSOCIATION N-AIRES
EXEMPLE
• Un Enseignant peut donner plusieurs Cours à une même Classe, mais
un Cours ne peut pas être donné par plus d’un Enseignant à une même
Classe. De même, un Enseignant peut donner le même Cours à
plusieurs Classes
ENSEIGNANT COURS
Matricule : Entier 0..1 0..* NumCours : Entier
NomEns : Texte Donner Libellé : Texte
Grade : Texte
0..*
CLASSE
CodeClasse : Texte
LibelléCl : Texte
Dépt : Texte

ASSOCIATION D’AGRÉGATION (1)
• Une Agrégation est une Association non
symétrique et transitive qui :
– Exprime un couplage fort et une relation de
subordination
– Représente une relation de type « ensemble /
élément »
– Peut notamment (mais pas nécessairement) exprimer :
• qu’une Classe (un « élément agrégé ») fait partie d’une
autre (l’agrégat)
• qu’un changement d’état d’une Classe, entraîne un
changement d’état d’une autre,
• qu’une action sur une Classe, entraîne une action sur une
autre
• Les agrégations n’ont pas besoin d’être
nommées explicitement. Elles signifient
« contient »
ASSOCIATION D’AGRÉGATION (2)
• Une instance d’élément agrégé peut exister
sans agrégat (et inversement)
• Les cycles de vie de l’agrégat et de ses éléments
agrégés peuvent être indépendants
La création et la suppression de l’un n’implique
pas celle de l’autre
LIVRE COUVERTURE
Agrégation
Élément Agrégat Élément Agrégé

ASSOCIATION D’AGRÉGATION
EXEMPLES
Exemple 1 : Un Ordinateur peut contenir un ou plusieurs Disques Durs
ORDINATEUR DISQUE DUR

NumSérie : Entier NumDisque : Entier
Marque : Texte 1..* Capacité : Entier
0..1

ASSOCIATION DE COMPOSITION
• La Composition est une forme d’Agrégation avec un
couplage plus important, ce couplage indique :
– Les Composants ne sont pas partageables
– La destruction de l’agrégat entraîne la destruction des
composants agrégés
• La Composition est utilisée pour spécifier une dépendance
existentielle d’une entité vers une autre
– L’entité qui représente le tout est appelée Composite
– L’entité qui représente une partie du tout est appelée
Composant
• Dans une Association de Composition, la multiplicité du
côté du composite est systématiquement 1, car un
Composant doit appartenir à un et un seul Composite

ASSOCIATION DE COMPOSITION
EXEMPLES
Exemple 1 : Un Immeuble est composé de plusieurs Appartements
IMMEUBLE APPARTEMENT
NumImm : Entier NumAppa : Entier
Adresse : Texte 1..* Étage : Entier
1..1
Exemple 2 : Un Livre qui est composé de plusieurs Chapitres, peut

éventuellement contenir des Couvertures
COUVERTURE LIVRE CHAPITRE
0..1 1..1
NumC : Entier ISBN : Entier NumChap : Entier
Couleur : Texte 1..* Titre : Texte 1..* NumPage : Entier

AGRÉGATION & COMPOSITION
EXEMPLE RÉCAPITULATIF (1)
• Enoncé :
– Une Personne possède un ou plusieurs
Immeubles
– Dans un Immeuble, on trouve un
Ascenseur
– Un Immeuble est composé d’Étages
– Une Personne possède un Compte et une
Adresse
• Représentez le Diagramme de Classe ?
• Raisonnement :
– Une Personne possède un ou plusieurs
Immeubles
• Lien conceptuel entre PERSONNE et IMMEUBLE :
les objets ont des cycles de vie indépendants
• Ce lien exprime une relation temporaire
 Association classique

• Raisonnement :
– Dans un Immeuble, on trouve un Ascenseur
• Lien conceptuel entre IMMEUBLE et ASCENSEUR :
les objets ont des cycles de vie qui représentent une
intersection
• La suppression de l’Immeuble n’entraîne pas
obligatoirement celle de l’Ascenseur
• Un Ascenseur ne peut pas être utilisé (au même
temps) par plus qu’un Immeuble
• Dans le temps, le même Ascenseur peut être utilisé
par différents Immeubles
 Agrégation
• Raisonnement :
– Un Immeuble est composé d’Étages
• Lien conceptuel entre IMMEUBLE et ÉTAGE :
les objets ont des cycles de vie qui coïncident
• La création de l’Immeuble  la création de
ses Étages
• La suppression de l’immeuble  la
suppression de ses Étages
• Un étage ne peut pas être partagé par
différents Immeubles
 Composition
• Diagramme de Classe :
IMMEUBLE Posséder PERSONNE
0..* 1..*
1..*
Habiter
1..* 0..* 1..* 1..*
ÉTAGE ASCENSEUR ADRESSE COMPTE

HÉRITAGE
• L’héritage est un type d’Association qui
définit la structure d’une Classe en fonction
d’une autre (Association « EST-UN » ou
« IS-A »)
– La Classe de base est appelée super-classe 
identifie les attributs communs
– La Classe dérivée est appelée sous-classe 
précise les attributs spécifiques
• La sous-classe hérite à la fois les Attributs (y compris
l’identifiant), les Méthodes et les Associations de la
super-classe

HÉRITAGE
EXEMPLE
Exemple : La classe « Employé » généralise les classes « Administratif »,
« Technicien » et « Ouvrier »
EMPLOYÉ
Matricule : Entier
NomEmp : Texte
Grade : Texte
ADMINISTRATIF TECHNICIEN OUVRIER

Fonction : Texte Spécialité : Texte Nb_heures : Réel

Cours FBD 11 02 2020 VE

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FONDEMENT DES BASES DE DONNÉES

Auditoire : 1ère Licence Computer Science, Parcours : GLSI

DR. SAHBI ZAHAF

Auditoire : 1ère Licence Computer Science, Parcours : GLSI

DR. SAHBI ZAHAF

A.U : 2019 - 2020

11/02/2020 Bases de Données 4

11/02/2020 Bases de Données 5

11/02/2020 Bases de Données 6

• Usine de montage de voitures

11/02/2020 Bases de Données 7

Besoin : un autre Système qui

L’information doit être :

C’est le rôle du Système

L’information : facteur de production de l’entreprise

11/02/2020 Bases de Données 12

11/02/2020 Bases de Données 13

11/02/2020 Bases de Données 14

11/02/2020 Bases de Données 17

11/02/2020 Bases de Données 19

11/02/2020 Bases de Données 20

Auditoire : 1ère Licence Computer Science, Parcours : GLSI

DR. SAHBI ZAHAF

A.U : 2019- 2020

Une Base de Données est une représentation de

11/02/2020 Bases de Données 22

Schéma Logique Personne Nom Adresse Tel

11/02/2020 Bases de Données Implémentation 23

11/02/2020 Bases de Données 24

11/02/2020 Bases de Données 25

11/02/2020 Bases de Données 26

11/02/2020 Bases de Données 27

Voiture [N-M] Client

11/02/2020 Bases de Données 28

PARTIE 1 : MODÈLE ENTITÉ-ASSOCIATION

11/02/2020 Bases de Données 29

• Type d’Entité (TE) :

11/02/2020 Bases de Données 31

1 « achète » = < 1 personne, 1 maison >

Personne Achète Maison

11/02/2020 Bases de Données 33

Personne Achète Maison

Client Achète Produit

Association Cyclique  deux rôles (relie le même type d’entité)

11/02/2020 Bases de Données 35

Personne Possède Voiture

Combien de voitures (Minimum) une personne peut-elle avoir ?

SI (Maximum > 1) : les rôles liant l’entité peuvent constituer un

11/02/2020 Bases de Données 36

Une voiture a un et un seul propriétaire

11/02/2020 Bases de Données 38

Plusieurs-à-Plusieurs Un-à-Plusieurs Un-à-Un

11/02/2020 Bases de Données 39

Une occurrence de Client est en relation, Un Produit donnée est Commandé, au

Jour Mois Année

11/02/2020 Bases de Données 44

• Feuilles de l’arbre des attributs

• Le domaine de valeurs est constitué par des

11/02/2020 Bases de Données 45

• Un attribut complexe ne porte pas de valeurs propres (pas de

• La valeur d’un attribut complexe est la composition des valeurs

• Différent niveau d’abstraction aux niveaux composition

11/02/2020 Bases de Données 46