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INTRODUCTION À

L’ADMINISTRATION SYSTÈME
PLAN

 Introduction
 Rôle de l‟administrateur système

 Rappel de quelques notions de système


d‟exploitation
 Rappel Commandes Linux

 Rappel programmation Shell

 Quelques techniques d‟administration système


INTRODUCTION
 Un administrateur système désigne le
responsable sur tout les ressources d‟un système
informatique.
 L‟administrateur système dispose les outils et les
privilèges nécessaires pour la gestion des
différents ressources d‟un système d‟exploitation
 Exemple: compte « administrateur » sur windows
NT
 Compte « root » sur les systèmes Unix
RÔLE DE L‟ADMINISTRATEUR SYSTÈME

 Installer et mettre à jour le système et les nouveaux


logiciels
 Administrer les disques (partition, systèmes de fichiers)
 Gérer les utilisateurs (création, expiration, limitations)
 Guider et conseiller les utilisateurs
 Maintenir le bon fonctionnement du parc informatique
 Configurer au mieux les machines
 Résoudre tout type d‟incidents
 Surveiller la sécurité du système
 Administrer le réseau local et l‟accès au réseau public
 Organiser la sauvegarde des données
 Planifier l‟évolution de son parc informatique
RAPPEL: QUELQUES NOTIONS DE SYSTÈME
D‟EXPLOITATION
 Système d‟exploitation (SE)
 Programme ou un ensemble de programmes assurant
la gestion de l‟ordinateur et des périphériques.
 Sert d‟interface entre le matériel (hardware) et le
logiciel (software)
 et l‟utilisateur.

 But : Rendre plus simples

les programmes et l‟utilisation


de l‟ordinateur
RAPPEL: QUELQUES NOTIONS DE SYSTÈME
D‟EXPLOITATION

 Donne la main aux programmeurs pour la


programmation d‟applications appelée API
(Application Programming Interface).
 Le système d‟exploitation gére les ressources d‟un
ordinateur :
 La mémoire centrale

 Les accès aux périphériques,

 Les données sur les disques,

 Les programmes,

 La sécurité,

 La collecte des informations.


RAPPEL: QUELQUES NOTIONS DE
SYSTÈME D‟EXPLOITATION
 Appels systèmes : utilisés par les programmes pour
communiquer avec l‟OS Unix
 Gestion des processus : commutation
des tâches et de leur priorité
(Multitasking).
 Gestion des E/S fichiers: lecture/écriture
des données sur les DD et/ou
périphériques (carte son, imprimante,...)
 Cache : Zone mémoire tampon utilisé
par l‟OS pour écrire provisoirement.
 Pilotes : gérer au plus bas niveau le
matériel ou les structures logiques du
matériel (par exemple les données d‟une
partition).
RAPPEL COMMANDES LINUX
 Le système Linux est un système multi-tâches
multi-utilisateurs
 Ouverture/Fermeture d‟une session
Travailler sous Linux implique une connexion au
système
 Login:
 Identification de l‟utilisateur: login + mot-de-
passe
 Droits accordés par le super-utilisateur(root)
 Logout:
 NE PAS ETEINDRE une machine
“sauvagement”
 commande “logout” dans la console
RAPPEL COMMANDES LINUX
 L‟interprète de commandes (shell) permet
d‟interagir avec le système
 Exécution de commandes (modification /
consultation de l‟état du système)
RAPPEL COMMANDES LINUX

Types de Shell
 sh: BourneShell. L'ancêtre de tous les shells. (encore
répandu)
 bash: BourneAgainShell. Une amélioration du
BourneShell, disponible par défaut sous Linux et Mac OS
X.
 ksh: Korn Shell. Un shellpuissant compatible avec bash.
 csh: C Shell avec syntaxe proche du langage C.
 tcsh: TenexC Shell du C Shell Amélioré.
 zsh: Z Shell. Shell assez récent reprenant les meilleures
idées de bash, kshet tcsh.
RAPPEL COMMANDES LINUX
 Utilisation avancée : combinaison de commandes
par exemple en redirigeant les entrées/sorties
 Programmation shell : combinaison de
commandes au sein d‟un script dans le but
d‟automatiser certains tâches
 Un Script shell correspond à un fichier
exécutable d‟extension .sh
RAPPEL COMMANDES LINUX
 Commande linux:
 Commande –options arguments

 Langage sensible à la casse

 Exemple:

 date

 whoami: affiche le nom de l‟utilisateur connecté

 echo: affiche un message (echo"bonjour !")

 ls: liste le contenu d‟un répertoire

 man <cde>: manuel en ligne


RAPPEL COMMANDES LINUX

 Caractères spéciaux
 ! ^ * ? [] \; & < > | >>

 L'étoile „*’

 Interprété comme toute suite de caractères


alphanumériques
 utiliser avec précaution(commande rm par
ex...)
 Le point d‟interrogation „?’ :remplace 1 seul
caractère alphanumérique
RAPPEL COMMANDES LINUX

 Le point-virgule: ; Séparateur de commandes


 Les crochets: [] Remplace un caractère choisi parmi
ceux énumérés entre les crochets
 L‟anti-slash: \ Inhibe la signification du méta-
caractère qui suit Interprétation des chaînes de
caractères
 Texte entre (simples quotes): le texte n‟est pas
interprété mais considéré comme un mot
 Texte entre (doubles quotes): seuls sont interprétés
les métacaractères $,\et`
 Texte entre`` (anti quotes): considéré comme une
commande à interpréter, et c‟est le résultat qui sera
utilisé.
RAPPEL COMMANDES LINUX

 Manipulation des fichiers


 Copier: cp fich1 fich2

 Déplacer/renommer :mv fich1 fich2

 Effacer : rm fich

 Afficher le contenu: cat fich

 Trier le contenu :sort fich


RAPPEL COMMANDES LINUX

 Changer les permissions: chmod


 chmod <classe op perm, …>|nnn<fic>

 classe:
 u : user
 g : group
 o : others
 a : all
 op:
 = : affectation
 -: suppr.
 + : ajout
 perm:
 r : lecture
 w : écriture
 x : exécution
RAPPEL COMMANDES LINUX

 Liens physiques
 ln <nom_fich> <nouveau_nom_fich>
 permet de donner plusieurs noms à un fichier et pas pour les
répertoires
 ne traverse pas les partitions
 un fichier est détruit quand TOUS ses liens physiques sont
supprimés (≠ raccourcis)

 Liens symboliques
 ln -s <nom_fich> <nouveau_nom_fich>
 crée un raccourci
 traverse les partitions
 fonctionne aussi pour les répertoires
 Lister les liens d‟un fichier: ls -l <nom_fich>
RAPPEL COMMANDES LINUX
 Les redirections
 Une commande ouvre 3 descripteurs de fichiers;
par défaut:

 Redirections= remplacer les canaux par défaut,


rediriger vers une autre commande ou un fichier
RAPPEL COMMANDES LINUX
 Les Tubes « pipe »
 Tube: |

 Permet de “connecter 2 commandes”


RAPPEL COMMANDES LINUX
 Les processus
 Processus = objet dynamique qui représente un
programme en cours d‟exécution et son contexte
 Caractéristiques:

 identification (pid)

 identification du proc. parent (ppid)

 propriétaire

 priorité

 ...

 On affiche les processus en cours: ps


RAPPEL COMMANDES LINUX

 Options de ps:
 -aliste tous les processus actifs

 -uformat d‟affichage long

 -x inclut les processus sans terminal

 Tuer un processus:

 kill-9 <PID>

 Processus en arrière-plan: & (le terminal n‟est


pas bloqué)
 exemple: emacsmonfichier.c&
RAPPEL COMMANDES LINUX
 Les filtres
 cat : affiche le contenu des fichier passés en
paramétres par défaut(stdin)
 Options –b, -v , -n

 more: affiche page par page les fichiers passés en


argumentpar défaut stdin l‟option h pour avoir le
détail des commande
 tee: recopie l‟entrée stdsur la sortie standard et
dans le fichier passé en paramètre
RAPPEL COMMANDES LINUX

 sort: trie l‟entrée ligne par ligne


 options:-r(inverse l‟ordre de tri)+n(ignore les
n1erschamps)
 ex:ls | sort

 ls -l |sort +4

 comm: sélectionne les lignes entre deux fichiers

 syntaxe: comm [-123] fich1 fich2

 1= lignes de fic1 (fic2)

 2= lignes de fic2 (fic1)

 2= lignes communes
RAPPEL COMMANDES LINUX
 cut sélectionne uniquement certaines colonnes du fichier passé en paramètre
 options:

 -f<liste>: liste des champs à garder


 -c<liste>: liste des colonnes à garder
 -d<char> : séparateur de champs
–ex:
•cut -c-10 rep.txt

1 tonton 0
2 tux 0077
3 vuja 013

•cut -f1,2 -d" " rep.txt

 1 tonton
 2 tux
 vuja
RAPPEL COMMANDES LINUX

 uniq: détruit les lignes consécutives dupliquées


 options: -u (affiche les lignes "uniques"),-d (affiche les
lignes "dupliquées")
 ex:

 uniq -u fic

 uniq -d fic

 diff:compare deux fichiers

 options: -b (ignorer les lignes vides)

 Exemple : diff fich1 fich2


RAPPEL COMMANDES LINUX

 tr: recopie stdin sur stdout en substituant des caractères


 syntaxe: tr [-cds] [s1 [s2]]
options:
 -c (complément des1)
 -d efface les car. de s1
 -s tteséquence dans s1est substituée par un car. unique
dans s2
ex:
 tr A-Z a-z < essairemplace les majuscules par des
minuscules
 tr A-Z a-z < essai | tr -sc a-z ‘\012’remplace les
majuscules par des minuscules, puis remplace tout ce qui
n‟est pas une lettre minuscule par un retour chariot („\012‟)
RAPPEL COMMANDES LINUX
 La commande grep
 Recherche, dans le fichier passé en paramètre,
les lignes vérifiant une expression régulière
donnée
 syntaxe : grep expr_reg [fichier]

 ex:

 grep'toto' essai cherche dans essaitoutes les


lignes qui contiennent le mot toto
 grep'^[A-Z]' essai cherche dans essaitoutes les
lignes qui commencent par une majuscule
RAPPEL PROGRAMMATION SHELL
 Un langage de scriptest un langage de
programmation qui permet de manipuler les
fonctionnalités d'un système informatique
configuré pour fournir à l'interpréteur de ce
langage un environnement.
 Le langage de script est généralement exécuté à
partir de fichiers contenant le code source du
programme qui sera interprété
RAPPEL PROGRAMMATION SHELL
 1-Créer le fichier script.sh
 #vi script.shextention.sh

 2-Donner les droits d'exécution au script

 #chmod+xscript.sh

 3-exécuter le script

 #./script.sh ou#sh script.sh


RAPPEL PROGRAMMATION SHELL
 Pour exécuter un script on doit :
 1-Soit être sur le bon répertoire avec ./ avant
 2-Soit utiliser un chemin absolu avec ./ avant
 Pour les commandes comment ça marche ?
 Création d’une commande
 Les commandes sont dans les répertoire spéciaux il
faut appeler les path pour les afficher :
 # echo $PATH $PATH est une variable
d’environnement
 Il suffit de copier votre script dans un de ces
répertoires : exemple /usr/bin
RAPPEL PROGRAMMATION SHELL
 Définition
 Comme dans tous les langages de programmation les
variables nous permettent de stocker temporairement des
informations en mémoire.
 Leur utilisation en bash est plutôt particulière il faut être
vigilent.

 Les variables
 Après la première ligne qui désigne le bash utilisé dans
notre script le sha-bang on écrit :
 variable1= ‘ABC‟ sans espaces
 variable1 c’est le nom de notre variable.
 ABC c’est la valeur de la variable.
 On exécute on obtient ? RIEN il n’y a pas de
commande d’affichage
RAPPEL PROGRAMMATION SHELL
 Les variables
 Variables utilisateurs (chaînes de caractères)
 Contenu obtenu en préfixant $ à la variable
 Affectation par l‟opérateur = ( autrement selon le shell)
 Exemple : v=bonjour
 echo $v
 Afficher bonjour
 Variables prédéfinies
 Affectées par le shell: # ? $ ! –
 Affectées avant l‟exécution : HOME PATH MAIL TERM PS1
PS2 IFS (variables de configuration)
 Macroprocesseurde substitution
 Commandes internes break continue cd eval exit export login
newgrp read shift set wait unmask trap
 Structure de contrôles : if-then-else for-do-done while-do-
donecase-in-esac
RAPPEL PROGRAMMATION SHELL
 Variables d'environnement prédéfinies
 HOME chemin d'accès au répertoire initial de
l'utilisateur
 PATH suite de chemins d'accès aux répertoires des
exécutables
 PS1 invite principale du shell en mode interpréteur
 PS2 invite secondaire du shell en mode
programmation
 IFS séparateurs de champ des arguments
 MAIL chemin d'accès à la boite aux lettres utilisateur
 MAILCHECK intervalle en sec au bout duquel le
mail est contrôlé
 DISPLAY nom de l‟écran d‟affichage
 TERM nom du type de terminal
RAPPEL PROGRAMMATION SHELL
 Le quotage
 le quotage est utilisé pour supprimer les
fonctionnalités de certains caractères spéciaux du
shell, dont les métacaractères.
 Méta-caractères: \$ * ` " '
 Caractère d‟échappement: \
 le caractère \préserve la valeur littérale du caractère
qui le suit
 Simples quotes'...' les caractères inclus entre 2
simples quotes ne sont pas évalués
 Doubles quotes"..."
 les caractères inclus entre 2 doubles quotes
conservent leur valeur à l'exception de $ ` et \.
 Exemple TOTO='bonjour‟echo'$TOTO et '
"$TOTO"$TOTO et bonjour
RAPPEL PROGRAMMATION SHELL
 On utilise la commande echo comme ceci dans le script :
 #!/bin/bash

variable1= ‘ABC’
echo$variable1
 Affichage des variables avec echo

 #!/bin/bash

variable1= ‘ABC’
echo’ma variable est :$variable1’
 Cela ne fonctionne pas donc il faut mettre :

 echo "ma variable est :$variable1"


RAPPEL PROGRAMMATION SHELL
 Pour demander du texte a un utilisateur :
 readvariable

 Exemple

 #!/bin/bash

 readvar

 echo$var

 La saisie

 En exécutant ce script vous obtenez rien ,


juste on attend votre saisie
RAPPEL PROGRAMMATION SHELL
 Pour afficher un message pour demander a
l‟utilisateur des données:
 #read-p'Entrezla donnée:'var
 Exemple
 #!/bin/bash
 Read -p „votre prénom est :'var( on saisie AAA)
 echo" votre nom est prénom : $nom "
 Afficher un message
 Avec le paramètre –n on peut limiter le nombre
de caractères
 Mettre le saut de ligne \n pour l’esthétique.
 #!/bin/bash
 read-p'Entrezvotrelogin
 echo-e "\nBonjour$nom!"
RAPPEL PROGRAMMATION SHELL
 Les variables d‟environnement
 les variables que vous créez dans vos scripts bash
n'existent que dans ces scripts .
 Les variables d'environnement sont des variables
globales utilisables dans tous les scripts .
 Pour les afficher :
 # env
 ces variables sont, par convention, écrits en
majuscules.
 Pour définir votre propre variable d'environnement.
on utilise la commande export dans votre .bashrcou
.profile
 Exemple : export DIR_APPLI= /etc/appli
 Pour supprimer : unset$VAR
RAPPEL PROGRAMMATION SHELL
 Structure de contrôle: test
 Options courantes:

 ch1=ch2:chaînesdecaractèresch1etch2identiques

 ch1!=ch2:chaînesdecaractèresch1etch2différentes

 nb1–eqnb2:nombresnb1etnb2égaux

 nb1–nenb2:nombresnb1etnb2différents

 nb1–gtnb2:nb1>nb2

 nb1–genb2:nb1>=nb2

 nb1–ltnb2:nb1<nb2

 nb1–lenb2:nb1<=nb2
RAPPEL PROGRAMMATION SHELL
 L’instruction if
 La syntaxe est la suivante:
 if condition1
then
liste_commande1
 elif condition2
then
liste_commande2
 Else
liste_commande3
 fi
Lesconditionscondition1etcondition2doiventêtredescommandes.
En shell, la valeur zéro est associée à la valeur booléenne vraie et
touteautrevaleurcorrespondàlavaleurfaux.Lespartieselifetelsesontoptionn
elles
RAPPEL PROGRAMMATION SHELL
 Les boucles
 Boucle while

 Boucle until

 Boucle for
QUELQUES TECHNIQUES
D‟ADMINISTRATION SYSTÈME

 Compte root
 Fichier d‟administration

 Commandes d‟administration

 Les scripts

 Les outils intégrés


QUELQUES TECHNIQUES
D‟ADMINISTRATION SYSTÈME
 Compte root
 Le nom de l‟administrateur d‟un système Linux est « root», appelé aussi le «
super user ».
 Pour administrer un système Unix, il faut prendre l’identité de root.
 Pour cela, on peut se connecter en tant que root. Quel que soit le shell de
connexion, l‟invite est le symbole « #» et le répertoire de connexion/root.
 Il est aussi possible de prendre temporairement, quand on est déjà connecté,
l‟identité de l‟administrateur grâce à la commande su.
 Remarques
 Il n‟est pas conseillé de toujours travailler connecté en tant queroot. Il est
préférable de disposer d‟un compte ordinaire et d‟exécuter la commande susi
nécessaire.
 Par défaut, la commande suchange l‟identité mais pas l‟environnement.
QUELQUES TECHNIQUES
D‟ADMINISTRATION SYSTÈME
 Fichiers d‟administration

 C‟est le moyen primitif pour administrer un «Unix».


 Il consiste à éditer, avec vi, le fichier d‟administration
concerné.
 C‟est pour cela que tous les fichiers de
configuration et d’administration du système
Linux sont de type texte.
 Ils sont stockés dans le répertoire/etc.
 Cette méthode d‟administration nécessite de bien
connaître la structure du fichier et les liens éventuels
avec d‟autres fichiers, au risque d‟introduire des
incohérences graves.
QUELQUES TECHNIQUES
D‟ADMINISTRATION SYSTÈME

 Commandes d‟administration
 Appelées le plus souvent commandes systèmes,
elles sont stockées dans le répertoire /sbinet ne
sont accessibles qu‟à l‟utilisateur root.
 Le plus souvent, ces commandes modifient un ou
plusieurs fichiers d‟administration.
 La connaissance approfondie de ces commandes
permet aux administrateurs expérimentés
d‟automatiser leur utilisation dans des scripts.
QUELQUES TECHNIQUES
D‟ADMINISTRATION SYSTÈME
 Outils intégrés
 Beaucoup de distributions Linux fournissent
maintenant des outils intégrés qui permettent de
réaliser les principales tâches d‟administration avec
une interface Homme-Machine (IHM).
 Ces outils évitent de mémoriser la syntaxe des
commandes et de connaître la structure des fichiers
d‟administration. Ils procurent donc une meilleure
convivialité.
 Les outils, s‟ils diffèrent sensiblement dans la forme
selon les distributions Linux, procurent à peu près les
mêmes fonctionnalités. Certains outils fonctionnent
soit en mode texte soit en mode graphique, et d‟autres
dans les deux modes.
QUELQUES TECHNIQUES
D‟ADMINISTRATION SYSTÈME

 setup: il permet, en mode texte, la configuration du clavier, de la


souris, de la carte son, du fuseau horaire et du système graphique
Xfree86.
 linuxconf: il existe en mode texte comme en mode graphique et
permet de configurer le réseau, les comptes d‟utilisateur, les systèmes
de fichiers, le mode de démarrage, ... Utilisable aussi à partir d‟un
navigateur.
 gnorpm, kpackage: il permet, en mode graphique, d‟administrer les
paquetages. control-panel : il permet de réaliser les tâches
essentielles d‟administration en mode graphique.
 printtool: il permet, en mode graphique, de configurer aisément le
service d‟impression.
 lisa: un outil spécifique à la distribution Caldera. Il couvre toutes les
tâches d‟administration, y compris le réseau.
 yast: un outil spécifique de la distribution SuSe. Il couvre lui aussi
toutes les tâches d‟administration.
 webmin: il permet, via un navigateur et une connexion sécurisée,
d‟exécuter de nombreuses tâches d‟administration

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