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N° du dimanche 19 Février 2024—1er DIMANCHE DE CAREME B—-


Couleur liturgique : vert

Titre : « LE REGNE DE DIEU EST TOUT PROCHE. »


Antienne d’ouverture : Quand mon serviteur m'appelle, dit le Seigneur, je lui réponds, je reste près
de lui dans son épreuve. Je vais le délivrer, le glorifier, de long jours je vais le rassasier. »

TITRES BAS DE PAGE :


EDITORIAL : « LA TENTATION»

NOUVELLE EVANGELISATION :«ET SI NOTRE BAPTEME


DEVENAIT UN ENGAGEMENT. »

LITURGIE DE LA PAROLE
VIE DE L’EGLISE
INFORMATIONS
PAGE 2 EDITORIAL

LA TENTATION

« Les temps sont accomplis, le règne de Dieu est tout proche. Convertissez-vous et croyez à
l’Evangile. » Depuis mercredi dernier, nous sommes entrés dans le temps du Carême. Cette
période de quarante jours ressemble à un grand nettoyage où chaque chrétien devrait
mettre au propre sa relation avec Dieu.
Jésus vient d’être baptisé par Jean au bord du Jourdain. Il a été désigné comme le Fils bien
aimé du Père. Aussitôt après cet événement, l’Esprit le pousse au désert pour y être tenté
par Satan. Dans un monde marqué par les vacarmes des moteurs et les hurlements de la
radio, de la télévision et d’autres bruits de maquis venant de toute part, nous penserons à
réserver des zones de désert, de silence pour retrouver Dieu. Il est le Chemin, la Vérité et la
Vie. C’est par lui et avec lui que nous allons au Père.
Tout au long de ce carême, nous sommes invités à la conversion et à suivre Jésus au désert.
Il veut nous associer à sa victoire. Souvent, nous demandons à Dieu de nous protéger. Or
voilà qu’aujourd’hui, il nous conduit sur le lieu du combat. Il nous met en face de nos
responsabilités. Mais il ne nous laisse pas livrés à nos seules forces. C’est avec le Christ que
nous pourrons être victorieux des forces du mal. Nous pouvons vraiment nous appuyer sur
lui. Son amour nous est acquis une fois pour toutes et rien ne peut nous en séparer.
Bon temps de Carême à tous !

DJEDOU Jérôme

PAGE 3 NOUVELLE EVANGELISATION


«ET SI NOTRE BAPTEME DEVENAIT UN ENGAGEMENT. »

Nous voici entrés dans le temps de carême, un temps de grâce, où Dieu se


fait plus proche de nous ; un temps favorable où Dieu, dans sa grande
miséricorde, nous tend la main.

Oui ! nous avons du prix aux yeux de Dieu, sa patience est formidable,
l’exemple du déluge et de l’alliance nouvelle établie avec Noé est sublime ;
l’exemple du Christ aujourd’hui, mort et ressuscité pour nous donner la vie est
encore plus extraordinaire et merveilleux. Quel amour !

Nous expérimentons donc en ce temps de pénitence l’amour insondable de


Dieu. Pourquoi nous éloigner de lui davantage, en nous condamnant nous-
même ? pourquoi renier notre baptême à la moindre chute ou difficulté, au
moindre désert ou regard accusateur des autres ?

Oui ! convertissons-nous et croyons à la bonne nouvelle. Vivons désormais en


acte et en vérité notre baptême. Nous qui pensions avoir eu un diplôme, une
carte biométrique, un visa pour entrer au Royaume des cieux. Non ! le baptême
rime plutôt avec engagement. Engagement à devenir chaque jour Prêtre,
Prophète et Roi dans nos milieux de vie. Engagement à suivre l’exemple du
Christ, en cultivant la piété, l’amour, la vérité, la charité, l’humilité…

Une conscience droite et un sens du discernement dans nos actes quotidiens


même les plus ordinaires ou banals de la vie, pour être ces témoins vivants de la
grâce de Dieu…

Et si notre baptême devenait un engagement à la suite du christ, notre vie ne


serait que rayonnement, joie, paix, amour…

Bon temps de Carême à tous !!!

THIERRY N’GUESSAN

PAGE 4 LITURGIE DE LA PAROLE


LECTURES DE LA MESSE

PREMIÈRE LECTURE (Gn 9, 8-15)

Lecture du livre de la Genèse

Dieu dit à Noé et à ses fils :


« Voici que moi, j’établis mon alliance avec vous,
avec votre descendance après vous,
et avec tous les êtres vivants qui sont avec vous :
les oiseaux, le bétail, toutes les bêtes de la terre,
tout ce qui est sorti de l’arche.
Oui, j’établis mon alliance avec vous :
aucun être de chair ne sera plus détruit par les eaux du déluge,
il n’y aura plus de déluge pour ravager la terre. »
Dieu dit encore :
« Voici le signe de l’alliance que j’établis entre moi et vous,
et avec tous les êtres vivants qui sont avec vous,
pour les générations à jamais :
je mets mon arc au milieu des nuages,
pour qu’il soit le signe de l’alliance entre moi et la terre.
Lorsque je rassemblerai les nuages au-dessus de la terre,
et que l’arc apparaîtra au milieu des nuages,
je me souviendrai de mon alliance qui est entre moi et vous,
et tous les êtres vivants :
les eaux ne se changeront plus en déluge
pour détruire tout être de chair. »

– Parole du Seigneur.

PSAUME

Psaume

24 (25)

R/ Tes chemins, Seigneur,


sont amour et vérité
pour qui garde ton alliance.

Seigneur, enseigne-moi tes voies,


fais-moi connaître ta route.
Dirige-moi par ta vérité, enseigne-moi,
car tu es le Dieu qui me sauve.

Rappelle-toi, Seigneur, ta tendresse,


ton amour qui est de toujours.
Dans ton amour, ne m’oublie pas,
en raison de ta bonté, Seigneur.

Il est droit, il est bon, le Seigneur,


lui qui montre aux pécheurs le chemin.
Sa justice dirige les humbles,
il enseigne aux humbles son chemin.

DEUXIÈME LECTURE (1 P 3, 18-22)

Lecture de la première lettre de saint Pierre apôtre

Bien-aimés,
le Christ, lui aussi,
a souffert pour les péchés,
une seule fois,
lui, le juste, pour les injustes,
afin de vous introduire devant Dieu ;
il a été mis à mort dans la chair,
mais vivifié dans l’Esprit.
C’est en lui qu’il est parti proclamer son message
aux esprits qui étaient en captivité.
Ceux-ci, jadis, avaient refusé d’obéir,
au temps où se prolongeait la patience de Dieu,
quand Noé construisit l’arche,
dans laquelle un petit nombre, en tout huit personnes,
furent sauvées à travers l’eau.
C’était une figure du baptême
qui vous sauve maintenant :
le baptême ne purifie pas de souillures extérieures,
mais il est l’engagement envers Dieu d’une conscience droite
et il sauve par la résurrection de Jésus Christ,
lui qui est à la droite de Dieu,
après s’en être allé au ciel,
lui à qui sont soumis les anges,
ainsi que les Souverainetés et les Puissances.

– Parole du Seigneur.

Ta Parole, Seigneur, est vérité,


et ta loi, délivrance.
L’homme ne vit pas seulement de pain,
mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu.
Ta Parole, Seigneur, est vérité,
et ta loi, délivrance.
ÉVANGILE (Mc 1, 12-15)

Évangile de Jésus Christ selon saint Marc

Jésus venait d’être baptisé.


Aussitôt l’Esprit le pousse au désert
et, dans le désert,
il resta quarante jours,
tenté par Satan.
Il vivait parmi les bêtes sauvages,
et les anges le servaient.

Après l’arrestation de Jean,


Jésus partit pour la Galilée
proclamer l’Évangile de Dieu ;
il disait :
« Les temps sont accomplis :
le règne de Dieu est tout proche.
Convertissez-vous
et croyez à l’Évangile. »

– Acclamons la Parole de Dieu

PAGE 7 VIE DE L’ÉGLISE


MESSAGE DU PAPE FRANÇOIS
POUR LE CARÊME 2024

À travers le désert Dieu nous guide vers la liberté

Chers frères et sœurs !

Lorsque notre Dieu se révèle, il communique la liberté : « Je suis


le Seigneur ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la
maison d’esclavage » (Ex 20, 2). C’est ainsi que s’ouvre le
Décalogue donné à Moïse sur le mont Sinaï. Le peuple sait bien de
quel exode Dieu parle : l’expérience de l’esclavage est encore
gravée dans sa chair. Il reçoit les dix consignes dans le désert
comme un chemin vers la liberté. Nous les appelons «
commandements », pour souligner la force de l’amour avec lequel
Dieu éduque son peuple. Il s’agit en effet d’un appel vigoureux à
la liberté. Il ne se réduit pas à un seul événement, car il mûrit au
cours d’un cheminement. De même qu’Israël dans le désert
conserve encore en lui l’Égypte – en fait, il regrette souvent le
passé et murmure contre le ciel et contre Moïse – de la même
façon, aujourd’hui, le peuple de Dieu garde en lui des liens
contraignants qu’il doit choisir d’abandonner. Nous nous en
rendons compte lorsque nous manquons d’espérance et que nous
errons dans la vie comme sur une lande désolée, sans terre
promise vers laquelle tendre ensemble. Le Carême est le temps de
la grâce durant lequel le désert redevient – comme l’annonce le
prophète Osée – le lieu du premier amour (cf. Os 2, 16-17). Dieu
éduque son peuple pour qu’il sorte de l’esclavage et expérimente
le passage de la mort à la vie. Comme un époux, il nous ramène à
lui et murmure à notre cœur des paroles d’amour.
L’exode de l’esclavage vers la liberté n’est pas un chemin abstrait.
Pour que notre Carême soit aussi concret, la première démarche
est de vouloir voir la réalité. Lorsque, dans le buisson ardent, le
Seigneur attira Moïse et lui parla, il se révéla immédiatement
comme un Dieu qui voit et surtout qui écoute : « J’ai vu, oui, j’ai
vu la misère de mon peuple qui est en Égypte, et j’ai entendu ses
cris sous les coups des surveillants. Oui, je connais ses
souffrances. Je suis descendu pour le délivrer de la main des
Égyptiens et le faire monter de ce pays vers un beau et vaste pays,
vers un pays, ruisselant de lait et de miel » (Ex 3, 7-8).
Aujourd’hui encore, le cri de tant de frères et sœurs opprimés
parvient au ciel. Posons-nous la question : est-ce qu’il nous
parvient à nous aussi ? Nous ébranle-t-il ? Nous émeut-il ? De
nombreux facteurs nous éloignent les uns des autres, en bafouant
la fraternité qui, à l’origine, nous liait les uns aux autres.

Lors de mon voyage à Lampedusa, j’ai opposé à la mondialisation


de l’indifférence deux questions de plus en plus actuelles : « Où
es-tu ? » (Gn 3, 9) et « Où est ton frère ? » (Gn 4, 9). Le parcours
de Carême sera concret si, en les écoutant à nouveau, nous
reconnaissons que nous sommes encore sous la domination du
Pharaon. Une domination qui nous épuise et nous rend
insensibles. C’est un modèle de croissance qui nous divise et nous
vole l’avenir. La terre, l’air et l’eau en sont pollués, mais les âmes
sont elles aussi contaminées. En effet, bien que notre libération ait
commencé avec le baptême, il subsiste en nous une inexplicable
nostalgie de l’esclavage. C’est comme une attirance vers la
sécurité du déjà vu, au détriment de la liberté.

Je voudrais souligner, dans le récit de l’Exode, un détail qui n’est


pas sans importance : c’est Dieu qui voit, qui s’émeut et qui
libère, ce n’est pas Israël qui le demande. Le Pharaon, en effet,
anéantit même les rêves, vole le ciel, fait apparaître comme
immuable un monde où la dignité est bafouée et où les relations
authentiques sont déniées. En un mot, il réussit à enchaîner à lui-
même. Posons-nous la question : est-ce que je désire un monde
nouveau ? Suis-je prêt à me libérer des compromis avec l’ancien ?
Le témoignage de nombreux frères évêques et d’un grand nombre
d’artisans de paix et de justice me convainc de plus en plus à
devoir dénoncer un défaut d’espérance. Il s’agit d’un obstacle au
rêve, d’un cri muet qui monte jusqu’au ciel et touche le cœur de
Dieu et ressemble à ce regret de l’esclavage qui paralyse Israël
dans le désert, en l’empêchant d’avancer. L’exode peut prendre
fin : autrement, on ne pourrait pas expliquer pourquoi une
humanité qui a atteint le seuil de la fraternité universelle et des
niveaux de développement scientifique, technique, culturel et
juridique capables d’assurer la dignité de tous, tâtonne dans
l’obscurité des inégalités et des conflits.

Dieu ne s’est pas lassé de nous. Accueillons le Carême comme le


temps fort durant lequel sa Parole s’adresse de nouveau à nous : «
Je suis le Seigneur ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte,
de la maison d’esclavage » (Ex 20, 2). C’est un temps de
conversion, un temps de liberté. Jésus lui-même, comme nous le
rappelons chaque année à l’occasion du premier dimanche de
Carême, a été conduit par l’Esprit au désert pour être éprouvé
dans sa liberté. Pendant quarante jours, il sera devant nous et
avec nous : il est le Fils incarné. Contrairement au Pharaon, Dieu
ne veut pas des sujets, mais des fils. Le désert est l’espace dans
lequel notre liberté peut mûrir en une décision personnelle de ne
pas retomber dans l’esclavage. Pendant le Carême, nous trouvons
de nouveaux critères de jugement et une communauté avec
laquelle nous engager sur une route que nous n’avons jamais
parcourue auparavant.

Cela implique une lutte : le livre de l’Exode et les tentations de


Jésus dans le désert nous le disent clairement. À la voix de Dieu,
qui dit : « Tu es mon Fils bien-aimé ; en toi, je trouve ma joie »
(Mc 1, 11) et « Tu n’auras pas d’autres dieux en face de moi » (Ex
20, 3), s’opposent en effet les mensonges de l’ennemi. Les idoles
sont plus redoutables que le Pharaon : nous pourrions les
considérer comme sa voix en nous. Pouvoir tout faire, être
reconnu par tous, avoir le dessus sur tout le monde : chaque être
humain ressent en lui la séduction de ce mensonge. C’est une
vieille habitude. Nous pouvons nous accrocher ainsi à l’argent, à
certains projets, à des idées, à des objectifs, à notre position, à une
tradition, voire à certaines personnes. Au lieu de nous faire
avancer, elles nous paralyseront. Au lieu de nous rapprocher,
elles nous opposeront. Mais il y a une nouvelle humanité, le
peuple des petits et des humbles qui n’a pas succombé à l’attrait
du mensonge. Alors que les idoles rendent muets, aveugles,
sourds, ou immobiles ceux qui les servent (cf. Ps 114, 4), les
pauvres en esprit sont immédiatement ouverts et prêts : une
silencieuse force de bien qui guérit et soutient le monde.

Il est temps d’agir, et durant le Carême, agir c’est aussi s’arrêter.


S’arrêter en prière, pour accueillir la Parole de Dieu, et s’arrêter
comme le Samaritain, en présence du frère blessé. L’amour de
Dieu et du prochain est un unique amour. Ne pas avoir d’autres
dieux, c’est s’arrêter en présence de Dieu, devant la chair de son
prochain. C’est pourquoi la prière, l’aumône et le jeûne ne sont
pas trois exercices indépendants, mais un seul mouvement
d’ouverture, de libération : finies les idoles qui nous alourdissent,
finis les attachements qui nous emprisonnent. C’est alors que le
cœur atrophié et isolé s’éveillera. Alors, ralentir et s’arrêter. La
dimension contemplative de la vie, que le Carême nous fera ainsi
redécouvrir, mobilisera de nouvelles énergies. En présence de
Dieu, nous devenons des frères et des sœurs, nous percevons les
autres avec une intensité nouvelle : au lieu de menaces et
d’ennemis, nous trouvons des compagnons et des compagnes de
route. C’est le rêve de Dieu, la terre promise vers laquelle nous
tendons une fois sortis de l’esclavage.
La forme synodale de l’Église, que nous redécouvrons et cultivons
ces dernières années, suggère que le Carême soit aussi un temps
de décisions communautaires, de petits et de grands choix à
contre-courant, capables de changer la vie quotidienne des
personnes et la vie d’un quartier : les habitudes d’achat, le soin de
la création, l’inclusion de celui qui n’est pas visible ou de celui qui
est méprisé. J’invite chaque communauté chrétienne à faire cela :
offrir à ses fidèles des moments pour repenser leur style de vie ; se
donner du temps pour vérifier leur présence dans le quartier et
leur contribution à le rendre meilleur. Quel malheur si la
pénitence chrétienne ressemblait à celle qui attristait Jésus. À
nous aussi, il dit : « Et quand vous jeûnez, ne prenez pas un air
abattu, comme les hypocrites : ils prennent une mine défaite pour
bien montrer aux hommes qu’ils jeûnent » (Mt 6, 16). Au
contraire, que l’on voie la joie sur les visages, que l’on sente le
parfum de la liberté, qu’on libère cet amour qui fait toutes choses
nouvelles, en commençant par les plus petites et les plus proches.
Cela peut se produire dans chaque communauté chrétienne.

Dans la mesure où ce Carême sera un Carême de conversion,


alors l’humanité égarée éprouvera un sursaut de créativité :
l’aube d’une nouvelle espérance. Je voudrais vous dire, comme
aux jeunes que j’ai rencontrés à Lisbonne l’été dernier : «
Cherchez et risquez, cherchez et risquez. À ce tournant de
l’histoire, les défis sont énormes, les gémissements douloureux.
Nous assistons à une troisième guerre mondiale par morceaux.
Prenons le risque de penser que nous ne sommes pas dans une
agonie, mais au contraire dans un enfantement ; non pas à la fin,
mais au début d’un grand spectacle. Il faut du courage pour
penser cela » ( Rencontre avec les jeunes universitaires, 3 août
2023). C’est le courage de la conversion, de la délivrance de
l’esclavage. La foi et la charité tiennent la main de cette « petite
fille espérance ». Elles lui apprennent à marcher et elle, en même
temps, les tire en avant [1].

Je vous bénis tous ainsi que votre cheminement de Carême.

Rome, Saint-Jean-de-Latran, le 3 décembre 2023, 1er dimanche


de l’Avent.

PAGE 8– INFORMATIONS
SEMAINE DU SAMEDI 17 AU VENDREDI 23 FEVRIER 2024

Permanence 24 h/24 h

SECTION DE KOUMASSI

PHCIE DU CANAL / TEL. 27 21 36 27 48

PHCIE EL RAPHA DE ZOE BRUNO / TEL. 27 21 20 62 40/ 07 87 93 18 93

PHCIE IROKO (GDE) / TEL. 27 21 56 43 53

PHCIE ST ALBERT / TEL. 27 21 28 76 04/ 01 01 44 43 65

PHCIE STE FOI /TEL. 27 21 56 17 40

PHCIE DE SOPIM /TEL. 27 21 36 69 32

MARCORY

PHCIE MAHANDIANA / TEL. 27 21 26 21 62 / 07 57 04 86 36

PHCIE DES HIBISCUS (NLLE) /TEL. 21 26 31 66 / 07 47 50 92 93

PHCIE DE LA VIE (NOUVELLE) /TEL. 27 21 28 18 68 / 07 57 10 78 65

PHCIE JEHOVA-JIRE SARL-U /TEL. 27 21 53 80 53/ 01 01 71 98 45

PHCIE NOUVELLE PERGOLA /TEL. 27 21 24 48 26

PHCIE ELITE /TEL. 27 21 25 01 84

PHCIE ST JOSEPH /TEL. 27 21 24 45 20

TEXTES AU QUOTIDIEN

Lundi 19 février 2024

(Lv 19, 1-2.11-18); Ps 18B (19), 8, 9, 10,15; (Mt 25, 31-46)

Mardi 20 février 2024

(Is 55, 10-11); Ps 33 (34), 4-5, 6-7, 16-17, 18-19; (Mt 6, 7-15)

Mercredi 21 février 2024

(Jon 3, 1-10);Ps 50 (51), 3-4, 12-13, 18-19; (Lc 11, 29-32)

Jeudi 22 février 2024

(1 P 5, 1-4); Ps 22 (23), 1-2b, 2c-3, 4, 5, 6; (Mt 16, 13-19)


Vendredi 23 février 2024

( Ez 18, 21-28); Ps 129 (130), 1-2, 3-4, 5-6ab, 7bc-8; (Mt 5, 20-26)

Samedi 24 février 2024

(Dt 26, 16-19); Ps 118 (119), 1-2, 4-5, 7-8; ( (Mt 5, 43-48)

Dimanche 25 février 2024

(Gn 22, 1-2.9-13.15-18); Ps 115 (116b), 10.15, 16ac-17, 18-19; (Rm 8, 31b-34); (Mc 9, 2-10)

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