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Oracle University and OMNIDATA.

use only
Oracle Database 11g :
Administration Workshop I

Manuel du stagiaire - Volume II

D50102FR20
Edition 2.0
Mai 2010
D65639

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Rédacteurs
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Concepteur graphique
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Editeurs
Jobi Varghese
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Table des matières

Préface

I Introduction
Objectifs du cours I-2
Planning recommandé I-3
Produits et services Oracle I-4
Oracle Database 11g : "g" signifie "grid" I-5
Grid Infrastructure for Single-Instance I-7

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1 Architecture d'une base de données Oracle
Objectifs 1-2
Base de données Oracle 1-3
Se connecter à un serveur 1-4
Architecture d'un serveur de base de données Oracle : Présentation 1-6
Instance : Configurations de base de données 1-7
Connexion à une instance de base de données 1-8
Structures mémoire d'une base de données Oracle 1-9
Zone de mémoire partagée 1-11
Cache de tampons de la base de données 1-13
Tampon de journalisation 1-14
Zone de mémoire LARGE POOL 1-15
Zones de mémoire Java et Streams 1-16
Mémoire PGA (Program Global Area) 1-17
Quiz 1-18
Architecture des processus 1-20
Structure des processus 1-21
Processus DBWn (Database Writer) 1-23
Processus LGWR (Log Writer) 1-25
Processus CKPT (Checkpoint) 1-27
Processus SMON (System Monitor) 1-28
Processus PMON (Process Monitor) 1-29
Processus RECO (Recoverer) 1-30
Processus ARCn (Archiver) 1-31
Séquence de démarrage des processus 1-32
Architecture de stockage de la base de données 1-33
Structures logiques et physiques d'une base de données 1-35

iii

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Segments, extents et blocs 1-37
Tablespaces et fichiers de données 1-38
Tablespaces SYSTEM et SYSAUX 1-39
Automatic Storage Management (ASM) 1-40
Composants de stockage ASM 1-41
Interagir avec une base Oracle : Mémoire, processus et stockage 1-42
Quiz 1-44
Synthèse 1-46
Exercice 1 : Présentation 1-47

2 Installer le logiciel Oracle


Objectifs 2-2

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Tâches d'un administrateur de base de données Oracle 2-3
Outils utilisés pour administrer une base de données Oracle 2-4
Planifier l'installation 2-6
Installation d'Oracle Grid Infrastructure et d'Oracle Database : Configuration système
requise 2-8
Préparer le système d'exploitation 2-9
Définir les variables d'environnement 2-10
Vérifier la configuration système requise 2-11
Oracle Universal Installer (OUI) 2-12
Exemple de scénario d'installation 2-13
Partie 1 : Installer Oracle Grid Infrastructure pour un serveur autonome 2-14
Sélectionner les langues du produit 2-15
Créer un groupe de disques ASM 2-16
Définir les mots de passe ASM 2-17
Définir les groupes du système d'exploitation dotés de privilèges 2-18
Indiquer l'emplacement d'installation 2-19
Créer l'inventaire 2-20
Effectuer les vérifications de prérequis 2-21
Vérifier les données récapitulatives de l'installation 2-22
Surveiller la progression de l'installation 2-23
Exécuter les scripts de configuration root 2-24
Exécuter les assistants de configuration 2-25
Terminer l'installation 2-26
Configurer le groupe de disques FRA 2-27
Quiz 2-28
Partie 2 : Installer le logiciel Oracle Database 2-30
Choisir un type d'installation 2-31
Choisir les options d'installation de Grid Infrastructure 2-32
Choisir les paramètres de langue 2-33

iv

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Choisir l'édition de la base de données 2-34
Indiquer l'emplacement d'installation 2-35
Choisir des groupes du système d'exploitation 2-36
Effectuer les vérifications de prérequis 2-37
Page récapitulative de l'installation 2-38
Page Install Product 2-39
Installation terminée 2-40
Option d'installation : Mode automatique 2-41
Quiz 2-42
Synthèse 2-44
Présentation de l'exercice 2 : Préparer l'environnement de base
de données 2-45

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3 Créer une base de données Oracle à l'aide de DBCA
Objectifs 3-2
Planification de la base de données 3-3
Bases de données : Exemples 3-4
Choisir le jeu de caractères approprié 3-5
Utilisation des jeux de caractères 3-7
Problèmes à éviter 3-8
Assistant DBCA 3-9
Utiliser DBCA pour créer une base de données 3-10
Récapitulatif de la base de données à créer 3-16
Gestion des mots de passe 3-17
Créer un modèle de conception de base de données 3-18
Utiliser DBCA pour supprimer une base de données 3-19
Autres tâches effectuées via l'assistant DBCA 3-21
Quiz 3-22
Synthèse 3-24
Présentation de l'exercice 3 : Utiliser l'assistant DBCA 3-25

4 Gérer l'instance de base de données


Objectifs 4-2
Structure de gestion 4-3
Démarrer et arrêter Database Control 4-4
Oracle Enterprise Manager 4-5
Page d'accueil de la base de données 4-7
Autres outils Oracle 4-8
Utiliser SQL*Plus 4-9
Appeler SQL*Plus à partir d'un script shell 4-10
Appeler un script SQL à partir de SQL*Plus 4-11

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Fichiers de paramètres d'initialisation 4-12
Paramètres d'initialisation simplifiés 4-14
Paramètres d'initialisation : Exemples 4-15
Paramètres d'initialisation : Exemples 4-16
Utiliser SQL*Plus pour afficher les paramètres 4-19
Modifier les valeurs des paramètres d'initialisation 4-21
Modifier les valeurs des paramètres : Exemples 4-23
Quiz 4-24
Démarrage et arrêt de la base de données : Informations d'identification et
de connexion 4-26
Démarrer une instance de base de données Oracle 4-27
Démarrer une instance de base de données Oracle : NOMOUNT 4-28

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Démarrer une instance de base de données Oracle : MOUNT 4-29
Démarrer une instance de base de données Oracle : OPEN 4-30
Options de démarrage : Exemples 4-31
Arrêter une instance de base de données Oracle 4-32
Modes d'arrêt 4-33
Options d'arrêt 4-34
Options d'arrêt : Exemples 4-37
Afficher le fichier d'alertes 4-38
Utiliser les fichiers trace 4-40
Vues dynamiques des performances 4-42
Vues dynamiques des performances : Exemples d'utilisation 4-43
Vues dynamiques des performances : Remarques 4-44
Dictionnaire de données : Présentation 4-45
Vues du dictionnaire de données 4-46
Dictionnaire de données : Exemples d'utilisation 4-48
Quiz 4-49
Synthèse 4-51
Présentation de l'exercice 4 : Gérer l'instance Oracle 4-52

5 Gérer l'instance ASM


Objectifs 5-2
Avantages d'ASM pour les administrateurs 5-3
Instance ASM 5-4
Composants d'une instance ASM : Processus principaux 5-6
Paramètres d'initialisation d'une instance ASM 5-7
Interaction entre les instances de base de données et ASM 5-9
Instance ASM : Vues dynamiques des performances 5-10
Privilèges système ASM 5-11

vi

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Utiliser Enterprise Manager pour gérer les utilisateurs ASM 5-12
Démarrer et arrêter des instances ASM à l'aide de SQL*Plus 5-13
Démarrer et arrêter des instances ASM à l'aide de srvctl 5-15
Démarrer et arrêter des instances ASM à l'aide de l'utilitaire asmcmd 5-16
Présentation des groupes de disques 5-17
Disques ASM 5-18
Unités d'allocation 5-19
Fichiers ASM 5-20
Topographie des extents 5-21
Niveau de détail du striping 5-22
Striping fin 5-23
Groupes d'échec ASM 5-25

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Striping et mise en miroir : Exemple 5-26
Exemple de panne de disque 5-27
Gérer les groupes de disques 5-28
Créer et supprimer des groupes de disques à l'aide de SQL*Plus 5-29
Ajouter des disques à un groupe 5-30
Commandes ALTER 5-31
Gérer ASM à l'aide d'Enterprise Manager 5-32
Compatibilité des groupes de disques ASM 5-33
Attributs des groupes de disques ASM 5-35
Modifier les attributs des groupes de disques à l'aide d'Enterprise Manager 5-36
Extraire des métadonnées ASM 5-37
Présentation de la fonctionnalité ASM Fast Mirror Resync 5-38
Quiz 5-39
Synthèse 5-41
Présentation de l'exercice 5 : Gérer l'instance ASM 5-42

6 Configurer l'environnement réseau Oracle


Objectifs 6-2
Services Oracle Net 6-3
Processus d'écoute Oracle Net 6-4
Etablir des connexions réseau 6-5
Etablir une connexion 6-6
Sessions utilisateur 6-7
Outils de configuration et de gestion de l'environnement réseau Oracle 6-8
Utilitaire de contrôle des processus d'écoute 6-10
Syntaxe de l'utilitaire de contrôle de processus d'écoute 6-11
Utiliser SRVCTL pour démarrer et arrêter le processus d'écoute 6-13
Page d'accueil du processus d'écoute 6-14

vii

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Page Net Services Administration 6-15
Créer un processus d'écoute 6-16
Ajouter des adresses de processus d'écoute 6-17
Enregistrement d'un service de base de données 6-18
Méthodes de résolution de noms 6-20
Easy Connect 6-21
Résolution locale de noms 6-22
Résolution de noms d'annuaire 6-23
Méthode de résolution de noms externe 6-24
Configurer des alias de service 6-25
Options de connexion avancées 6-26
Tester la connectivité Oracle Net 6-28

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Sessions utilisateur : Processus serveur dédiés 6-29
Sessions utilisateur : Processus serveur partagés 6-30
Mémoire SGA et mémoire PGA 6-31
Serveur partagé : Concentration des connexions 6-32
Dans quels cas ne pas utiliser de serveur partagé ? 6-33
Configurer la communication entre bases de données 6-34
Se connecter à une autre base de données 6-35
Quiz 6-36
Synthèse 6-38
Présentation de l'exercice 6 : Utiliser les composants réseau Oracle 6-39

7 Gérer les structures de stockage de base de données


Objectifs 7-2
Mode de stockage des données d'une table 7-3
Bloc de base de données : Contenu 7-4
Explorer la structure de stockage 7-5
Créer un tablespace 7-6
Stockage des tablespaces 7-8
Tablespaces de la base de données préconfigurée 7-10
Modifier un tablespace 7-12
Actions sur les tablespaces 7-14
Supprimer des tablespaces 7-16
Afficher les informations relatives aux tablespaces 7-17
Afficher le contenu d'un tablespace 7-18
Oracle-Managed Files (OMF) 7-19
Etendre la base de données 7-21
Quiz 7-22
Synthèse 7-24
Présentation de l'exercice 7 : Gérer les structures de stockage d'une base

viii

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de données 7-25

8 Administrer la sécurité utilisateur


Objectifs 8-2
Comptes utilisateur de base de données 8-3
Comptes d'administration prédéfinis 8-5
Créer un utilisateur 8-6
Authentification des utilisateurs 8-7
Authentification des administrateurs 8-9
Déverrouiller un compte utilisateur et redéfinir le mot de passe 8-11
Privilèges 8-12

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Privilèges système 8-13
Privilèges objet 8-15
Révoquer des privilèges système accordés avec ADMIN OPTION 8-16
Révoquer des privilèges objet accordés avec GRANT OPTION 8-17
Avantages des rôles 8-18
Affecter des privilèges à des rôles et des rôles à des utilisateurs 8-19
Rôles prédéfinis 8-20
Créer un rôle 8-21
Rôles sécurisés 8-22
Affecter des rôles aux utilisateurs 8-23
Quiz 8-24
Profils et utilisateurs 8-26
Implémenter des fonctionnalités de sécurité utilisant des mots de passe 8-28
Créer un profil de mot de passe 8-30
Fonction prédéfinie de vérification des mots de passe :
VERIFY_FUNCTION_11G 8-31
Affecter des quotas aux utilisateurs 8-32
Appliquer le principe du moindre privilège 8-34
Protéger les comptes dotés de privilèges 8-36
Quiz 8-37
Synthèse 8-39
Présentation de l'exercice 8 : Administrer les utilisateurs 8-40

9 Gérer les accès simultanés aux données


Objectifs 9-2
Verrous externes 9-3
Mécanisme de verrouillage 9-4
Simultanéité d'accès aux données 9-5

ix

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Verrous LMD 9-7
Mécanisme de mise en file d'attente 9-8
Conflits de verrouillage 9-9
Causes possibles des conflits de verrouillage 9-10
Détecter les conflits de verrouillage 9-11
Résoudre les conflits de verrouillage 9-12
Résoudre les conflits de verrouillage à l'aide d'instructions SQL 9-13
"Verrous mortels" 9-14
Quiz 9-15
Synthèse 9-17
Présentation de l'exercice 9 : Gérer les données et la simultanéité d'accès
aux données 9-18

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10 Gérer les données d'annulation
Objectifs 10-2
Données d'annulation 10-3
Transactions et données d'annulation 10-5
Stockage des informations d'annulation 10-6
Données d'annulation et données de journalisation 10-7
Gérer les informations d'annulation 10-8
Configurer la période de conservation des informations d'annulation 10-9
Garantir la période de conservation des informations d'annulation 10-11
Passer à un tablespace d'annulation de taille fixe 10-12
Gestion des annulations : Informations générales 10-13
Utiliser Undo Advisor 10-14
Afficher l'activité du système 10-15
Quiz 10-16
Synthèse 10-18
Présentation de l'exercice 10 : Gérer les segments d'annulation 10-19

11 Implémenter l'audit de la base de données Oracle


Objectifs 11-2
Séparation des responsabilités 11-3
Sécurité de la base de données 11-4
Surveiller la conformité aux règles de sécurité 11-6
Audit de base de données standard 11-7
Configurer la trace d'audit 11-8
Traces d'audit uniformes 11-9
Définir les options d'audit 11-10
Audit par défaut 11-11
Page Audit Settings d'Enterprise Manager 11-12

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Utiliser et gérer les informations d'audit 11-13
Audit basé sur les données 11-14
Audit détaillé 11-16
Stratégie d'audit détaillé 11-17
Instruction LMD auditée : Eléments à prendre en compte 11-19
Règles relatives à l'audit détaillé 11-20
Audit des activités de SYSDBA 11-21
Gérer la trace d'audit 11-22
Oracle Audit Vault 11-23
Quiz 11-24
Synthèse 11-26
Présentation de l'exercice 11 : Implémenter la sécurité de la base

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de données Oracle 11-27

12 Maintenance de la base de données


Objectifs 12-2
Maintenance de la base de données 12-3
Afficher l'historique des alertes 12-4
Terminologie 12-5
Présentation de l'optimiseur Oracle 12-6
Statistiques destinées à l'optimiseur 12-7
Utiliser la page Manage Optimizer Statistics 12-8
Collecter manuellement les statistiques destinées à l'optimiseur 12-9
Préférences relatives à la collecte des statistiques 12-11
Référentiel AWR 12-13
Infrastructure du référentiel AWR 12-14
Lignes de base AWR 12-15
Enterprise Manager et référentiel AWR 12-16
Gérer le référentiel AWR 12-17
Niveaux de statistiques 12-18
Moniteur ADDM 12-19
Résultats ADDM 12-20
Recommandations ADDM 12-21
Infrastructure de conseil 12-22
Enterprise Manager et les fonctions de conseil 12-24
Package DBMS_ADVISOR 12-25
Quiz 12-26
Tâches de maintenance automatisées 12-27
Configuration des tâches de maintenance automatisées 12-29
Alertes générées par le serveur 12-30
Définir des seuils 12-31

xi

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Créer et tester une alerte 12-32
Notification des alertes 12-33
Réagir aux alertes 12-35
Types d'alerte et effacement des alertes 12-36
Quiz 12-37
Synthèse 12-38
Présentation de l'exercice 12 : Maintenance proactive 12-39

13 Gestion des performances


Objectifs 13-2
Surveiller les performances 13-3
Page Performance d'Enterprise Manager 13-4

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Analyser une catégorie particulière d'événements Wait 13-5
Page Performance : Onglet Throughput 13-6
Surveiller les performances : Option Top Sessions 13-7
Surveiller les performances : Option Top Services 13-8
Gérer les composants de mémoire 13-9
Activer la gestion automatique de la mémoire (AMM) 13-10
Activer la gestion automatique de la mémoire partagée (ASMM) 13-11
Fonction de conseil ASMM 13-12
Statistiques dynamiques des performances 13-13
Vues de résolution des problèmes et de réglage 13-15
Objets non valides et inutilisables 13-16
Quiz 13-18
Synthèse 13-20
Présentation de l'exercice 13 : Surveiller et optimiser les performances 13-21

14 Concepts de sauvegarde et de récupération


Objectifs 14-2
Missions du DBA 14-3
Catégories de pannes 14-5
Echec d'une instruction 14-6
Echec d'un processus utilisateur 14-7
Défaillance réseau 14-8
Erreur utilisateur 14-9
Technologie Flashback 14-10
Echec d'une instance 14-12
Récupération d'instance : Processus de point de reprise (CKPT) 14-13
Récupération d'instance : Fichiers de journalisation et processus Log Writer 14-15
Comprendre la récupération d'instance 14-16
Phases de la récupération d'instance 14-17

xii

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Régler la récupération d'instance 14-18
Utiliser MTTR Advisor 14-19
Défaillance physique 14-20
Configurer la base de données afin d'optimiser la possibilité
de récupération 14-21
Configurer la zone de récupération rapide 14-23
Multiplexer les fichiers de contrôle 14-24
Fichiers de journalisation 14-26
Multiplexer le fichier de journalisation 14-27
Fichiers de journalisation archivés 14-28
Processus d'archivage (ARCn) 14-29
Fichier de journalisation archivé : Appellation et destinations 14-30

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Activer le mode ARCHIVELOG 14-31
Quiz 14-32
Synthèse 14-34
Présentation de l'exercice 14 : Configurer la base de données afin d'optimiser
la capacité de récupération 14-35

15 Effectuer des sauvegardes de la basede données


Objectifs 15-2
Solutions de sauvegarde : Présentation 15-3
Oracle Secure Backup 15-4
Sauvegarde gérée par l'utilisateur 15-5
Terminologie 15-6
Recovery Manager (RMAN) 15-8
Configurer les paramètres de sauvegarde 15-9
Planifier des sauvegardes : Stratégie 15-11
Planifier des sauvegardes : Options 15-12
Planifier des sauvegardes : Paramètres 15-13
Planifier des sauvegardes : Planification 15-14
Planifier des sauvegardes : Récapitulatif 15-15
Sauvegarder le fichier de contrôle dans un fichier trace 15-16
Gérer les sauvegardes 15-17
Afficher les états de sauvegarde 15-18
Surveiller la zone de récupération rapide 15-19
Utiliser la ligne de commande RMAN 15-20
Quiz 15-21
Synthèse 15-22
Présentation de l'exercice 15 : Créer des sauvegardes de la base
de données 15-23

xiii

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16 Procéder à une récupération de la base de données
Objectifs 16-2
Ouvrir une base de données 16-3
Maintenir une base de données ouverte 16-5
Data Recovery Advisor 16-6
Perte d'un fichier de contrôle 16-8
Perte d'un fichier de journalisation 16-9
Perte d'un fichier de données en mode NOARCHIVELOG 16-11
Perte d'un fichier de données non essentiel en mode ARCHIVELOG 16-12
Perte d'un fichier de données essentiel pour le système en mode
ARCHIVELOG 16-13
Défaillances de données : Exemples 16-14

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Data Recovery Advisor 16-15
Evaluer les défaillances 16-16
Défaillances de données 16-17
Afficher la liste des défaillances de données 16-18
Obtenir un conseil de réparation 16-19
Exécuter les réparations 16-20
Vues de la fonction de conseil Data Recovery Advisor 16-21
Quiz 16-22
Synthèse 16-24
Présentation de l'exercice 16 : Procéder à une récupération de la base
de données 16-25

17 Déplacer des données


Objectifs 17-2
Déplacer des données : Architecture générale 17-3
Oracle Data Pump : Présentation 17-4
Oracle Data Pump : Avantages 17-5
Objets répertoire pour Data Pump 17-7
Créer des objets répertoire 17-8
Clients Data Pump Export et Data Pump Import : Présentation 17-9
Utilitaire Data Pump : Interfaces et modes 17-10
Procédure d'export Data Pump à l'aide de Database Control 17-11
Exemple d'export Data Pump : Options de base 17-12
Exemple d'export Data Pump : Options avancées 17-13
Exemple d'export Data Pump : Fichiers 17-14
Exemple d'export Data Pump : Planification 17-16
Exemple d'export Data Pump : Récapitulatif 17-17
Exemple d'import Data Pump : impdp 17-18

xiv

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Data Pump Import : Transformations 17-19
Utiliser Enterprise Manager pour surveiller les travaux Data Pump 17-20
Migration à l'aide du mode propriétaire de Data Pump 17-21
Mode propriétaire de Data Pump 17-22
Gérer les emplacements de fichier 17-24
SQL*Loader : Présentation 17-25
Charger des données avec SQL*Loader 17-27
Fichier de contrôle SQL*Loader 17-28
Méthodes de chargement 17-30
Tables externes 17-31
Avantages des tables externes 17-32
Définir une table externe avec ORACLE_LOADER 17-33

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Remplissage d'une table externe avec ORACLE_DATAPUMP 17-34
Utiliser des tables externes 17-35
Dictionnaire de données 17-36
Quiz 17-37
Synthèse 17-39
Présentation de l'exercice 17 : Déplacer des données 17-40

18 Utiliser le support technique


Objectifs 18-2
Utiliser l'outil Support Workbench 18-3
Afficher les alertes d'erreur critique dans Enterprise Manager 18-4
Afficher des détails sur les problèmes 18-5
Afficher des détails sur les incidents : Fichiers dump 18-6
Afficher des détails sur les incidents : Résultats des vérifications 18-7
Créer une "Service Request" (SR) 18-8
Préparer les données de diagnostic et les envoyer au support
technique Oracle 18-9
Effectuer le suivi de la "Service Request" (SR) et implémenter les solutions 18-10
Fermer des incidents et des problèmes 18-12
Configuration du packaging des incidents 18-13
Support Workbench pour Oracle ASM 18-14
Utiliser le support technique Oracle 18-15
Intégration de My Oracle Support 18-16
Utiliser My Oracle Support 18-17
Rechercher des informations sur un problème 18-19
Soumettre une "Service Request" (SR) 18-21
Gérer les patches 18-23
Appliquer un patch logiciel 18-24
Utiliser Patch Advisor 18-25

xv

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Utiliser l'assistant pour patches 18-26
Appliquer un patch 18-27
Mettre un patch en zone de stockage temporaire 18-28
Application à chaud de patches : Présentation 18-29
Installer à chaud un patch en ligne 18-30
Avantages de l'application à chaud de patches 18-31
Patches conventionnels et patches en ligne 18-32
Considérations relatives aux patches en ligne 18-33
Quiz 18-35
Synthèse 18-36
Présentation de l'exercice 18 : Utiliser les outils EM pour les alertes et
les patches 18-37

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Annexe A: Exercices et solutions

Annexe B: Commandes de base de Linux et vi

Annexe C: Syntaxe des instructions SQL

Annexe D: Processus Oracle en arrière-plan

Annexe E: Acronymes and termes

F Oracle Restart
Objectifs F-2
Oracle Restart F-3
Démarrage des processus Oracle Restart F-5
Contrôler Oracle Restart F-6
Choisir l'utilitaire SRVCTL approprié F-8
Configuration Oracle Restart F-9
Utiliser SRVCTL F-10
Obtenir de l'aide sur l'utilitaire SRVCTL F-11
Démarrer des composants à l'aide de SRVCTL F-12
Arrêter des composants à l'aide de SRVCTL F-13
Afficher le statut des composants F-14
Afficher la configuration Oracle Restart d'un composant F-15
Ajouter manuellement des composants à la configuration Oracle Restart F-16
Quiz F-17
Synthèse F-18

G Suite de la formation et autres lectures conseillées

xvi

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Que faire maintenant ? G-2
Ressources de formation G-3
Oracle University G-4
Poursuivre la formation G-5
Domaines spécialisés en matière de base de données G-6
Oracle Real Application Clusters G-7
Oracle Data Guard G-8
Présentation d'Oracle Streams G-9
Oracle Technology Network G-11
Sécurité G-12
Oracle by Example G-13
Oracle Magazine G-14

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Communauté Oracle Applications G-15
Site de support technique My Oracle Support G-16
Page relative au produit Oracle Database G-17
Remerciements G-18

xvii

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Concepts de sauvegarde et de récupération

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Objectifs

A la fin de ce chapitre, vous pourrez :


• identifier les types de défaillance pouvant survenir dans une
base de données Oracle
• décrire comment régler la récupération d'instance
• décrire l'importance des points de reprise, des fichiers de
journalisation et des fichiers de journalisation archivés
• configurer la zone de récupération rapide
• configurer le mode ARCHIVELOG

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 2


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Missions du DBA

L'administrateur de base de données est chargé des tâches


suivantes :
• Protéger la base de données contre les défaillances dans la
mesure du possible
• Augmenter la durée moyenne sans pannes (MTBF)
• Assurer la protection des composants essentiels par la
redondance
• Réduire la durée moyenne de récupération (MTTR)

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• Limiter les pertes de données

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Missions du DBA
L'administrateur de base de données (DBA) est chargé de garantir que la base est ouverte et
disponible au moment où les utilisateurs en ont besoin. Pour cela, il doit effectuer les
opérations suivantes (en collaboration avec l'administrateur système) :
• Il anticipe et prévient les causes courantes de panne.
• Il s'efforce d'augmenter la durée moyenne sans panne (MTBF) afin de favoriser la
disponibilité de la base.
• Il s'assure que le matériel est le plus fiable possible, que les composants essentiels sont
protégés par redondance et que la maintenance du système d'exploitation est effectuée en
temps utile. La base de données Oracle fournit des options de configuration avancées
permettant d'augmenter la durée moyenne sans pannes, notamment :
- Real Application Clusters (voir le cours Oracle Database 11g : Real Application
Clusters)
- Oracle Streams (voir le cours Oracle Database 11g : Implémenter Oracle Streams)
- Oracle Data Guard (voir le cours Oracle Database 11g : Administration de Data
Guard).
• Il réduit la durée moyenne de récupération (MTTR), en testant à l'avance les procédures
de récupération et en configurant les sauvegardes pour qu'elles soient disponibles en cas
de besoin.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 3


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Missions du DBA (suite)
• Il limite les pertes de données. Les DBA qui appliquent les méthodes recommandées peuvent
configurer leurs bases de données de sorte qu'aucune transaction validée ne soit jamais perdue.
Les entités permettant de garantir cela sont les suivantes :
- Fichiers de journalisation archivés, étudiés plus loin dans ce chapitre
- Technologie Flashback
- Bases de données de secours et Oracle Data Guard (voir le cours Oracle Database 11g :
Administration de Data Guard)

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 4


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Catégories de pannes

Les pannes peuvent généralement être réparties en plusieurs


catégories :
• Echec d'une instruction
• Echec d'un processus utilisateur
• Défaillance réseau
• Erreur utilisateur
• Echec d'une instance
• Défaillance physique

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Catégories de pannes
• Echec d'une instruction : Une opération unique sur la base de données (sélection,
insertion, mise à jour ou suppression) échoue.
• Echec d'un processus utilisateur : Une session unique de la base de données échoue.
• Défaillance réseau : La connexion à la base de données est interrompue.
• Erreur utilisateur : Un utilisateur effectue une opération avec succès, mais cette
opération (suppression d'une table ou saisie de données erronées) est incorrecte.
• Echec d'une instance : L'instance de base de données s'arrête de manière inattendue.
• Défaillance physique : Un ou plusieurs fichiers nécessaires au fonctionnement de la base
de données sont perdus (ils ont été supprimés ou le disque a eu une défaillance).

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 5


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Echec d'une instruction

Problèmes typiques Solutions possibles


Tentative d'entrer des données non Aidez les utilisateurs à valider et à
valides dans une table corriger les données.
Tentative d'effectuer des opérations Accordez les privilèges objet ou les
avec des privilèges insuffisants privilèges système appropriés.
Echec d'une tentative d'allocation • Activez le mode de reprise
d'espace après un problème d'allocation
d'espace.
• Augmentez le quota du propriétaire.

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• Ajoutez de l'espace au tablespace.
Erreurs logiques dans les applications Aidez les développeurs à corriger les
erreurs du programme.

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Echec d'une instruction


Lorsqu'une opération de base de données échoue, le DBA peut avoir à intervenir pour corriger
les erreurs concernant des privilèges utilisateur ou l'allocation de l'espace. Il peut également
être amené à résoudre des problèmes qui ne sont pas directement liés à sa fonction. D'une
entreprise à l'autre, son rôle peut être très variable. Par exemple, dans une organisation qui
utilise des applications prêtes à l'emploi (c'est-à-dire qui n'a pas de développeurs), le DBA est
le seul point de contact et il doit étudier les erreurs de logique des applications.
Pour comprendre les erreurs de ce type, vous devez travailler avec les développeurs qui vous
aideront à cerner le problème. Les outils fournis avec Oracle Database peuvent vous aider à
examiner les traces d'audit ou les transactions antérieures.
Remarque : Les échecs d'instructions sont la plupart du temps prévus dans la conception et
souhaités. Par exemple, les stratégies de sécurité et les règles concernant les quotas sont
souvent décidées à l'avance. Quand un utilisateur reçoit un message d'erreur alors qu'il essaie
d'aller au-delà des limites autorisées, il peut être souhaitable que l'opération échoue mais il n'y
a pas lieu d'effectuer une résolution de problème.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 6


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Echec d'un processus utilisateur

Problèmes typiques Solutions possibles


Un utilisateur procède à une L'intervention d'un DBA n'est
déconnexion anormale. généralement pas nécessaire pour
résoudre les échecs de processus
La session d'un utilisateur se utilisateur. Les processus en arrière-
termine de façon anormale. plan de l'instance annulent les
modifications non validées et
Un utilisateur est confronté à une libèrent les verrous externes.
erreur de programme qui met fin à la

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session.
Surveillez les problèmes
récurrents.

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Echec d'un processus utilisateur


Lorsque des processus utilisateur se déconnectent de façon anormale d'une instance, il se peut
que des transactions n'aient pas encore été validées (commit) et nécessitent d'être annulées
(rollback). Le processus en arrière-plan Process Monitor (PMON) interroge périodiquement les
processus serveur afin de vérifier que leurs sessions sont toujours connectées. Si PMON
découvre un processus serveur dont l'utilisateur n'est plus connecté, il procède à une
récupération des transactions en cours. Par ailleurs, il annule les modifications non validées et
libère les éventuels verrous externes (locks) détenus par la session ayant échoué.
Le DBA n'a généralement pas à intervenir en cas d'échec d'un processus utilisateur, mais il
doit surveiller les problèmes récurrents. Le fait qu'un ou deux utilisateurs soient déconnectés
de façon anormale ne doit pas éveiller les soupçons. Il est tout à fait normal que, de temps en
temps, vous rencontriez un faible pourcentage d'échecs.
Les échecs fréquents et systémiques indiquent, en revanche, d'autres problèmes. Un
pourcentage élevé de déconnexions anormales peut mettre en évidence la nécessité d'une
formation des utilisateurs (au cours de laquelle ils apprennent notamment à se déconnecter
plutôt qu'à quitter simplement les programmes). Cela peut également signaler des problèmes
concernant le réseau ou les applications.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 7


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Défaillance réseau

Problèmes typiques Solutions possibles


Echec du processus d'écoute Configurez un processus d'écoute
de secours pour prendre en charge
la gestion des incidents de
connexion.
Défaillance d'une carte réseau Configurez plusieurs cartes réseau.

Echec d'une connexion réseau Configurez une connexion réseau


de secours.

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Défaillance réseau
La meilleure solution pour les défaillances réseau consiste à fournir des chemins redondants
pour les connexions réseau. L'utilisation de processus d'écoute, de connexions réseau et de
cartes réseau de secours permettent de limiter la probabilité qu'une défaillance réseau n'affecte
la disponibilité du système.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 8


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Erreur utilisateur

Causes typiques Solutions possibles


Un utilisateur supprime ou modifie Annulez la transaction et les
des données par inadvertance. transactions dépendantes, ou
revenez à une version antérieure de
la table.
Un utilisateur supprime une table. Récupérez la table à partir de la
corbeille.

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Oracle LogMiner

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Erreur utilisateur
Les utilisateurs peuvent supprimer ou modifier des données par inadvertance. S'ils n'ont pas
encore validé (commit) la transaction ou quitté le programme, il leur suffit d'annuler
(rollback) l'opération.
Vous pouvez utiliser Oracle LogMiner pour interroger les fichiers de journalisation en ligne
(online) et archivés (archived) via Enterprise Manager ou une interface SQL. Il est possible
que les données des transactions persistent plus longtemps dans les fichiers de journalisation
en ligne que dans les segments d'annulation. Par ailleurs, si vous avez configuré l'archivage
des informations de journalisation, celles-ci persistent jusqu'à la suppression des fichiers
archivés. Oracle LogMiner est étudié dans le manuel Oracle Database Utilities.
Les utilisateurs qui suppriment une table peuvent la récupérer dans la corbeille, via un
flashback de la table avant la suppression. Les technologies Flashback sont traitées en détail
dans le cours Oracle Database 11g : Administration Workshop II.
Si la corbeille a déjà été purgée, ou si l'utilisateur a supprimé la table avec l'option PURGE, la
table supprimée peut quand même être récupérée via la récupération jusqu'à un point dans le
temps, dès lors que la base a été correctement configurée. La récupération jusqu'à un point
dans le temps est étudiée dans le cours Oracle Database 11g : Administration Workshop II et
dans le manuel Oracle Database Backup and Recovery User's Guide.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 9


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Technologie Flashback

Utilisation de la technologie Flashback :


• Consulter des états antérieurs des données
• Remonter à des données antérieures
• Faciliter l'analyse des erreurs et la récupération

Pour l'analyse des erreurs : Pour la récupération des


Oracle Flashback Query erreurs :

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Oracle Flashback Versions Query Oracle Flashback Transaction Backout

Oracle Flashback Transaction Query Oracle Flashback Table


Oracle Flashback Drop
Oracle Flashback Database

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Technologie Flashback
La base de données Oracle fournit la technologie Oracle Flashback. Il s'agit d'un groupe de
fonctionnalités permettant de consulter les états antérieurs des données et de remonter à des
données antérieures sans qu'il soit nécessaire d'effectuer une restauration de la base à partir
d'une copie de sauvegarde. Grâce à cette technologie, vous pouvez aider les utilisateurs à
analyser leurs erreurs et à y remédier. Différentes fonctionnalités sont proposées :
• Flashback Query : Permet d'afficher les données telles qu'elles se présentaient à un
moment antérieur spécifique. La commande SELECT assortie de la clause AS OF pointe
vers un instant passé défini à l'aide d'un horodatage ou d'un numéro SCN (System
Change Number).
• Flashback Version Query : Permet d'afficher les données historiques validées pour une
période spécifique. Utilisez la clause VERSIONS BETWEEN de la commande SELECT
(avec les index existants pour des raisons de performances).
• Flashback Transaction Query : Permet d'afficher toutes les modifications effectuées au
niveau transaction dans la base de données.
Solutions possibles de récupération :
• Flashback Transaction Backout annule une transaction spécifique ainsi que les
transactions dépendantes.
• Flashback Table restitue le contenu d'une ou de plusieurs tables correspondant à un
point dans le passé, sans affecter les autres objets de la base.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 10


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Technologie Flashback (suite)
• Flashback Drop annule l'effet d'une suppression de table en la récupérant à partir de la corbeille
avec les objets qui en dépendent (index et déclencheurs notamment).
• Flashback Database revient à une date antérieure de la base de données ou à un numéro SCN
(System Change Number) précis.

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 11


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Echec d'une instance

Causes typiques Solutions possibles


Panne de courant Redémarrez l'instance à l'aide de la
commande STARTUP. La
récupération suite à l'échec d'une
Défaillance matérielle instance est automatique,
notamment via la réimplémentation
des modifications des fichiers de
Echec d'un des principaux journalisation, puis l'annulation des
processus en arrière-plan transactions non validées.

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Procédures d'arrêt d'urgence
Recherchez les causes d'échec à
l'aide du fichier d'alertes, des fichiers
trace et d'Enterprise Manager.

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Echec d'une instance


Une instance échoue lorsqu'elle est arrêtée avant la synchronisation de tous les fichiers de
base de données. L'échec peut se produire suite à une défaillance matérielle ou logicielle, ou
suite à l'utilisation des commandes d'arrêt d'urgence SHUTDOWN ABORT et STARTUP
FORCE.
Il est rarement nécessaire que l'administrateur intervienne pour remédier à un échec d'instance
si Oracle Restart est activé et surveille la base de données. Oracle Restart essaie de redémarrer
l'instance dès que l'échec se produit. Si une intervention manuelle est requise, il y a sans doute
un problème plus sérieux qui empêche le redémarrage, par exemple une défaillance de CPU.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 12


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Récupération d'instance :
Processus de point de reprise (CKPT)
Le processus CKPT assure les opérations suivantes :
• Mise à jour de l'en-tête des fichiers SGA
de données avec les informations Cache de tampons
de point de reprise (checkpoint) de la base
de données
• Mise à jour des fichiers de contrôle
avec les informations de point de reprise
• Indication des opérations des processus DBWn
DBWn au niveau de points Processus
Database Writer
de reprise globaux

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(full checkpoints)
Fichiers
de
CKPT contrôle

Fichiers de
Processus CKPT données

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Récupération d'instance : Processus de point de reprise (CKPT)


Pour comprendre la récupération d'instance, vous devez comprendre le fonctionnement de
certains processus en arrière-plan.
Toutes les trois secondes (ou plus fréquemment), le processus CKPT stocke des données dans
le fichier de contrôle pour indiquer quels blocs modifiés le processus DBWn a écrit de la
mémoire SGA vers le disque. Cette opération est appelée un "point de reprise incrémentiel".
Elle permet d'identifier l'emplacement du fichier de journalisation en ligne (online) à partir
duquel la récupération d'instance doit commencer (cet emplacement est appelé "position du
point de reprise").
Dans le cas d'un changement de fichier de journalisation, le processus CKPT écrit également
les informations de point de reprise dans les en-têtes des fichiers de données.
Les objectifs des points de reprise sont les suivants :
• Garantir que les blocs de données modifiés en mémoire sont écrits régulièrement sur le
disque afin qu'aucune donnée ne soit perdue en cas de panne système ou de panne de la
base.
• Réduire le temps nécessaire à la récupération d'instance. (Seules les entrées écrites dans le
fichier de journalisation en ligne après le dernier point de reprise doivent faire l'objet d'une
récupération.)
• Garantir que toutes les données validées (commit) ont été écrites dans des fichiers de
données pendant l'arrêt.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 13


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Récupération d'instance : Processus de point de reprise (CKPT) (suite)
Les informations de point de reprise écrites par le processus CKPT incluent la position du point de
reprise, le numéro SCN (System Change Number), l'emplacement du fichier de journalisation en
ligne à partir duquel la récupération doit commencer, les informations sur les journaux, etc.
Remarque : Le processus CKPT n'écrit pas de blocs de données sur le disque ni de blocs de
journalisation dans les fichiers de journalisation en ligne.

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 14


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Récupération d'instance :
Fichiers de journalisation et processus Log Writer
Les fichiers de journalisation :
SGA • enregistrent les modifications
apportées à la base de données
Tampon de journalisation
• doivent être multiplexés afin
d'éviter tout risque de perte
Le processus Log Writer écrit :
LGWR • lors d'une validation (commit)
Processus Log Writer • lorsqu'un tiers du tampon de
journalisation est plein
• toutes les trois secondes

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• avant une écriture par le
Groupe de Groupe de Groupe de processus DBWn
fichiers fichiers fichiers
de journa-
lisation 1
de journa-
lisation 2
de journa-
lisation 3
• avant les fermetures "propres"
de la base

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Récupération d'instance : Fichiers de journalisation et processus Log Writer


Les fichiers de journalisation (fichiers redo log) enregistrent les modifications apportées à la
base de données suite à des transactions et à des opérations internes du serveur Oracle. (Une
transaction est une unité de travail logique, composée d'une ou de plusieurs instructions SQL
exécutées par un utilisateur.) Les fichiers de journalisation permettent de conserver la
cohérence de la base suite à une défaillance du système due à une panne de courant, à une
panne de disque, etc. Les fichiers de journalisation doivent être multiplexés, afin que les
informations qu'ils contiennent ne soient pas perdues en cas de défaillance d'un disque.
Un fichier de journalisation est en fait un groupe constitué d'un fichier de journalisation et de
ses copies multiplexées. Toutes les copies identiques appartiennent au même groupe, et
chaque groupe est identifié par un numéro. Le processus LGWR (Log Writer) écrit les
enregistrements de journalisation à partir du tampon de journalisation (redo log buffer) vers
tous les membres d'un groupe de fichiers de journalisation jusqu'à ce que les fichiers soient
remplis ou qu'un changement de fichier de journalisation soit demandé.
Il procède alors au changement et écrit dans les fichiers du groupe suivant. Les groupes de
fichiers de journalisation sont utilisés de manière circulaire.
Recommandation : Si possible, les fichiers de journalisation multiplexés doivent résider sur
des disques différents.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 15


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Comprendre la récupération d'instance

La récupération automatique d'instance ou la récupération


après panne :
• est provoquée par des tentatives d'ouverture d'une base de
données dont les fichiers n'ont pas été synchronisés lors de
l'arrêt
• utilise les informations stockées dans les groupes de
fichiers de journalisation pour synchroniser les fichiers
• implique deux opérations distinctes :
– Réimplémentation des modifications : Les modifications des

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fichiers de journalisation (validées ou non) sont appliquées
aux fichiers de données.
– Annulation : Les modifications effectuées mais non validées
sont annulées. (L'état initial est rétabli.)

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Récupération d'instance
La base de données Oracle procède à une récupération automatique suite à l'échec d'une
instance. Il suffit pour cela que l'instance soit démarrée normalement. Si Oracle Restart est
activé et configuré pour surveiller la base de données concernée, ce démarrage se produit
automatiquement. L'instance monte les fichiers de contrôle, puis tente d'ouvrir les fichiers de
données. Si elle découvre que les fichiers de données n'ont pas été synchronisés lors de l'arrêt,
elle utilise les informations contenues dans les groupes de fichiers de journalisation pour
réimplémenter les modifications des fichiers de données jusqu'à l'instant de l'arrêt. La base est
ensuite ouverte et les transactions non validées sont annulées (rollback).

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 16


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Phases de la récupération d'instance
1. Démarrage de l'instance Instance
(fichiers de données
SGA
désynchronisés)
2. Réimplémentation des
Processus en
modifications (journalisation) arrière-plan
3. Données validées et non
validées dans les fichiers Base de données
4. Base de données ouverte
SCN :
5. Annulation SCN : 140 SCN : 143 74-101

6. Données validées dans les SCN :

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SCN : 129 SCN : 143 102-143
fichiers
Annulation SCN : 99 Groupe de
fichiers
Fichiers de Fichiers de de journa-
données contrôle lisation

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Phases de la récupération d'instance


Pour qu'une instance puisse ouvrir un fichier de données, le numéro SCN (System Change
Number) contenu dans l'en-tête du fichier doit correspondre au numéro SCN stocké dans les
fichiers de contrôle de la base.
Si les numéros ne correspondent pas, l'instance applique les données des fichiers de
journalisation en ligne, en réexécutant de manière séquentielle les transactions jusqu'à ce que
les fichiers de données soient à jour. Une fois tous les fichiers de données synchronisés avec
les fichiers de contrôle, la base est ouverte et les utilisateurs peuvent se connecter.
Une fois tous les fichiers de journalisation appliqués, toutes les transactions sont appliquées
afin de rétablir la base dans l'état dans lequel elle se trouvait au moment de l'échec. Cela
concerne généralement les transactions qui sont en cours, mais qui n'ont pas encore été
validées (commit). Une fois la base de données ouverte, ces transactions non validées sont
annulées (rollback).
A la fin de la phase d'annulation de la récupération d'instance, les fichiers de données
contiennent uniquement des données validées.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 17


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Régler la récupération d'instance
• Au cours de la récupération d'instance, les transactions
effectuées entre la position du point de reprise et la fin du
fichier de journalisation doivent être appliquées aux fichiers
de données.
• Vous réglez la récupération d'instance en contrôlant la
différence entre la position du point de reprise et la fin du
fichier de journalisation.

Fin du fichier de
Position du point de reprise journalisation

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Récupération d'instance

Transactions

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Régler la récupération d'instance


Les informations relatives à une transaction sont enregistrées dans les groupes de fichiers de
journalisation avant que l'instance ne renvoie commit complete pour la transaction. Les
informations des groupes de fichiers de journalisation garantissent que la transaction pourra
être récupérée en cas d'échec. Les informations de transaction doivent également être écrites
dans le fichier de données. L'écriture dans le fichier de données a généralement lieu un peu
après l'enregistrement des informations dans les groupes de fichiers de journalisation, car elle
est beaucoup plus lente que l'écriture des informations de journalisation. (Les écritures
aléatoires dans les fichiers de données sont plus lentes que les écritures en série dans les
fichiers de journalisation.)
Toutes les trois secondes, le processus de point de reprise enregistre dans le fichier de
contrôle des informations concernant la position du point de reprise dans le fichier de
journalisation. Ainsi, la base de données Oracle sait que toutes les entrées de journalisation
enregistrées avant ce point ne sont pas nécessaires pour la récupération. Dans le schéma de la
diapositive ci-dessus, les blocs hachurés n'ont pas encore été écrits sur le disque.
Le temps nécessaire à la récupération de l'instance correspond au temps nécessaire pour
rétablir les fichiers de données de leur état au moment du dernier point de reprise jusqu'à l'état
correspondant au dernier numéro SCN enregistré dans le fichier de contrôle. L'administrateur
contrôle cet instant en définissant une durée moyenne de récupération (MTTR) cible (en
secondes), ainsi que la taille des groupes de fichiers de journalisation. Pour deux groupes de
fichiers de journalisation, par exemple, la distance entre la position du point de reprise et la
fin du groupe de fichiers de journalisation ne peut pas être supérieure à 90 % de la taille du
plus petit groupe.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 18


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Utiliser MTTR Advisor

• Indiquez la durée souhaitée en secondes ou en minutes.


• La valeur par défaut est 0 (désactivé).
• La valeur maximale est 3 600 secondes (une heure).

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Utiliser MTTR Advisor


Pour définir la durée moyenne de récupération (MTTR) cible, vous avez le choix entre deux
méthodes :
• Enterprise Manager > Advisor Central (dans la section Related Links) > MTTR Advisor
• Enterprise Manager > Availability > Recovery Settings
Le paramètre d'initialisation FAST_START_MTTR_TARGET simplifie la configuration de la
durée de récupération suite à un échec d'instance ou une panne système. MTTR Advisor
convertit la valeur FAST_START_MTTR_TARGET en plusieurs paramètres afin de permettre
la récupération d'instance dans un délai aussi proche que possible de la valeur souhaitée.
Notez que l'attribution explicite de la valeur 0 au paramètre FAST_START_MTTR_TARGET
désactive MTTR Advisor.
Vous devez attribuer au paramètre FAST_START_MTTR_TARGET une valeur conforme au
contrat de niveau de service de votre système. Plus la durée MTTR cible est faible, plus la
surcharge d'E/S est importante en raison de l'écriture de fichiers de données supplémentaires
(ce qui a un impact sur les performances). Toutefois, si vous attribuez une valeur trop élevée à
la durée MTTR, la récupération de l'instance suite à un échec est plus longue.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 19


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Défaillance physique

Causes typiques Solutions possibles


Echec d'un disque 1. Restaurez le fichier affecté à
partir d'une sauvegarde.
2. Informez la base de données de
Echec d'un contrôleur de disque
l'emplacement du nouveau
fichier (si nécessaire).
Suppression ou corruption d'un 3. Récupérez le fichier en
fichier nécessaire au fonctionnement appliquant les informations de
de la base de données journalisation (si nécessaire).

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Défaillance physique
Oracle Corporation définit une défaillance physique comme une défaillance entraînant la
perte ou la corruption d'un ou de plusieurs fichiers de base de données (fichiers de données, de
contrôle ou de journalisation).
La récupération suite à une défaillance physique nécessite la restauration et la récupération
des fichiers manquants. Pour garantir que la base pourra être récupérée suite à une défaillance
physique, appliquez les méthodes recommandées décrites dans les pages qui suivent.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 20


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Configurer la base de données afin d'optimiser
la possibilité de récupération
Pour configurer la base de données afin d'optimiser
la possibilité de récupération :
• Planifiez des sauvegardes régulières.
• Multiplexez les fichiers de contrôle.
• Multiplexez les groupes de fichiers de journalisation.
• Conservez des copies archivées des fichiers de
journalisation.

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Configurer la base de données afin d'optimiser la possibilité de récupération


Pour protéger vos données de manière optimale, vous devez effectuer les opérations suivantes :
• Planifier des sauvegardes régulières
La plupart des défaillances physiques nécessitent la restauration des fichiers perdus ou
endommagés à partir d'une sauvegarde.
• Multiplexer les fichiers de contrôle
Tous les fichiers de contrôle associés à une base de données sont identiques. La
récupération suite à la perte d'un fichier de contrôle unique n'est pas difficile. La
récupération suite à la perte de tous les fichiers de contrôle est beaucoup plus complexe.
Protégez-vous contre la perte globale des fichiers de contrôle en conservant au moins deux
copies.
• Multiplexer les groupes de fichiers de journalisation
Lors de la récupération suite à l'échec d'une instance ou à une défaillance physique, les
informations de journalisation sont utilisées pour réimplémenter les modifications dans les
fichiers de données jusqu'à la dernière transaction validée. Si les groupes de fichiers de
journalisation ne comportent qu'un seul fichier, il est probable que la perte de ce fichier
entraînera la perte de données. Veillez à disposer d'au moins trois copies de chaque groupe
de fichiers de journalisation. Si possible, placez ces copies sur des contrôleurs de disque
distincts.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 21


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Configurer la base de données afin d'optimiser la possibilité de récupération (suite)
• Conserver des copies archivées des fichiers de journalisation
Si un fichier est perdu et restauré à partir d'une sauvegarde, l'instance doit appliquer les
informations de journalisation afin de rétablir ce fichier jusqu'au dernier numéro SCN contenu
dans le fichier de contrôle. Par défaut, la base peut modifier les informations de journalisation
une fois qu'elles ont été écrites dans les fichiers de données. La base peut toutefois être
configurée pour conserver les informations de journalisation sous forme de copies archivées des
fichiers de journalisation. La base de données est alors configurée en mode ARCHIVELOG.
Vous pouvez effectuer ces tâches de configuration dans Enterprise Manager ou via la ligne de
commande.

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Configurer la zone de récupération rapide
Caractéristiques de la zone de récupération rapide :
• Il est fortement recommandé d'utiliser cette zone pour simplifier la
gestion du stockage des sauvegardes.
• Son espace sur disque est distinct de celui des fichiers de base
de données actifs.
• Son emplacement est indiqué par le paramètre
DB_RECOVERY_FILE_DEST.
• Sa taille est indiquée par le paramètre
DB_RECOVERY_FILE_DEST_SIZE.
• Elle doit avoir une taille suffisante pour les sauvegardes, les
fichiers de journalisation archivés, les journaux Flashback, et les
fichiers de contrôle et de journalisation multiplexés.

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• Elle est gérée automatiquement conformément à la stratégie de
conservation.
La configuration de la zone de récupération rapide suppose la
définition de son emplacement, de sa taille et de la stratégie de
conservation.

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Configurer la zone de récupération rapide


La zone de récupération rapide est un espace réservé sur le disque pour le stockage des
fichiers de journalisation archivés (archived redo logs), des sauvegardes, des journaux
flashback ainsi que des fichiers de contrôle et de journalisation multiplexés. Il est fortement
recommandé de l'utiliser car elle simplifie la gestion du stockage des sauvegardes. Vous
devez la placer dans un espace de stockage distinct de l'emplacement des fichiers de données,
des principaux fichiers de journalisation en ligne et du fichier de contrôle principal.
La quantité d'espace disque à allouer à la zone de récupération rapide dépend de la taille et du
niveau d'activité de la base de données. En règle générale, la zone de récupération rapide est
d'autant plus utile que sa taille est importante. Dans l'idéal, la zone de récupération rapide doit
être assez grande pour recevoir les copies de vos fichiers de données et de contrôle, ainsi que
les fichiers journaux flashback, en ligne et archivés nécessaires à la récupération de la base à
partir des sauvegardes, conformément à votre stratégie de conservation. (En bref, la zone de
récupération rapide doit être au moins deux fois plus grande que la base de données pour
pouvoir contenir une sauvegarde et plusieurs fichiers de journalisation archivés.)
La gestion de l'espace dans la zone de récupération rapide est régie par la stratégie de
conservation des sauvegardes. Cette stratégie détermine à partir de quand les fichiers
deviennent obsolètes et ne sont plus nécessaires à la récupération des données. La base Oracle
gère automatiquement ce stockage en supprimant les fichiers qui ne sont plus utiles.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 23


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Multiplexer les fichiers de contrôle
Pour protéger votre base de données contre les pannes, vous devez
conserver plusieurs copies du fichier de contrôle.

Type de stockage ASM Type de stockage File System


Recomman Une copie sur chaque groupe Au moins deux copies stockées sur des
dation de disques (+DATA et +FRA, disques différents (dont au moins une sur
par exemple) un contrôleur de disque distinct)

Procédure Aucune copie supplémentaire 1. Modifiez le fichier de paramètres


à suivre du fichier de contrôle n'est SPFILE à l'aide de la commande
pour créer requise. ALTER SYSTEM SET
control_files.
des fichiers

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de contrôle 2. Arrêtez la base de données.
supplémen 3. Copiez le fichier de contrôle à un
autre emplacement.
-taires
4. Ouvrez la base de données et
vérifiez que le nouveau fichier de
contrôle a été ajouté.

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Multiplexer les fichiers de contrôle


Un fichier de contrôle est un petit fichier binaire qui décrit la structure de la base de données.
Il doit être accessible en écriture par le serveur Oracle chaque fois que la base est montée ou
ouverte. La base de données ne peut pas être montée sans ce fichier. S'il est perdu, il est
nécessaire de le récupérer ou de le recréer. La base de données doit disposer au minimum de
deux fichiers de contrôle placés sur des périphériques distincts afin de limiter l'impact de la
perte de l'un d'entre eux.
La perte d'un fichier de contrôle entraîne une panne d'instance car tous les fichiers de contrôle
doivent être disponibles à tout moment. Il suffit toutefois de copier l'un des fichiers de
contrôle encore disponibles pour récupérer l'instance. La récupération est plus difficile lorsque
tous les fichiers de contrôle sont perdus, mais ce scénario n'est généralement pas
catastrophique.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 24


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Multiplexer les fichiers de contrôle (suite)
Ajouter un fichier de contrôle
Si vous utilisez la technique de stockage ASM (Automatic Storage Management), il suffit d'avoir
deux fichiers de contrôle dans deux groupes de disques distincts (tels que +DATA et +FRA). Dans
une base de données utilisant OMF (Oracle Managed Files), avec la technique de stockage ASM
notamment, tous les fichiers de contrôle supplémentaires doivent être créés dans le cadre d'un
processus de récupération à l'aide de Recovery Manager (RMAN) ou d'Enterprise Manager. Dans les
bases utilisant la technique de stockage File System, l'ajout d'un fichier de contrôle est une opération
manuelle :
1. Modifiez le fichier SPFILE à l'aide de la commande suivante :
ALTER SYSTEM SET control_files =
'/u01/app/oracle/oradata/orcl/control01.ctl' ,
'/u02/app/oracle/oradata/orcl/control02.ctl' ,
'/u03/app/oracle/oradata/orcl/control03.ctl' SCOPE=SPFILE;
2. Arrêtez la base de données.

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3. Utilisez le système d'exploitation pour copier un fichier de contrôle existant vers l'emplacement
souhaité.
4. Ouvrez la base de données.
Remarque : Le cours Oracle Database 11g : Administration Workshop II et la documentation en
ligne disponible sur le produit fournissent des informations complémentaires sur RMAN.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 25


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Fichiers de journalisation
Multiplexez les groupes de fichiers de journalisation afin de
protéger la base contre toute défaillance physique ou perte de
données. Cela augmente les E/S de la base. Il est
recommandé de respecter les règles suivantes :
• Au moins deux membres (fichiers) par groupe
• Emplacement de chaque membre :
– Sur un disque ou un contrôleur
distinct avec la technique +DATA Membre Membre Membre
a a a
de stockage File System
– Dans un groupe de disques +FRA Membre Membre Membre

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distinct (+DATA et +FRA, b b b
par exemple) avec la technique Groupe 1 Groupe 2 Groupe 3
de stockage ASM

Remarque : Le multiplexage des fichiers de journalisation peut avoir un


impact sur les performances générales de la base de données.

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Fichiers de journalisation
Les groupes de fichiers de journalisation sont constitués d'un ou de plusieurs fichiers de
journalisation (fichiers redo log). Chaque fichier journal d'un groupe est la copie des autres.
Oracle Corporation recommande que chaque groupe de fichiers de journalisation comporte au
moins deux membres. Avec la technique de stockage File System, chaque membre doit être
placé sur un disque ou un contrôleur distinct pour éviter que la défaillance d'un équipement ne
détruise tout un groupe de fichiers de journalisation. Avec la technique de stockage ASM
(Automatic Storage Management), chaque membre doit être placé dans un groupe de disques
distinct, par exemple +DATA et +FRA.
La perte d'un groupe de fichiers de journalisation entier est l'une des défaillances physiques les
plus graves, car elle peut entraîner la perte de données. La perte d'un membre unique d'un
groupe de fichiers de journalisation en comportant plusieurs n'est pas grave et n'affecte pas le
fonctionnement de la base. Elle donne simplement lieu à la publication d'une alerte dans le
fichier d'alertes. En revanche, la récupération suite à la perte d'un groupe de fichiers de
journalisation entier nécessite des techniques de récupération avancées. Elle est étudiée dans le
cours Oracle Database 11g : Administration Workshop II.
Rappelez-vous que le multiplexage des fichiers de journalisation peut avoir un impact
important sur les performances de la base de données, car aucune validation ne peut être
effectuée tant que les informations relatives à la transaction n'ont pas été écrites dans les
fichiers de journalisation. Vous devez placer les fichiers de journalisation sur les disques les
plus rapides, gérés par les contrôleurs les plus rapides. Si possible, ne placez aucun autre fichier
de base de données sur les mêmes disques que les fichiers de journalisation, sauf si vous utilisez
ASM. Etant donné qu'un seul groupe fait l'objet d'une écriture à un instant donné, il n'est pas
gênant pour les performances que des membres de plusieurs groupes résident sur un même
disque.
Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 26
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Multiplexer le fichier de journalisation

Si vous sélectionnez
File System dans le
champ Storage Type,
vous êtes invité à
indiquer un nom de
fichier et un
répertoire.

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Multiplexer le fichier de journalisation


Vous pouvez multiplexer le fichier de journalisation (redo log) en ajoutant un membre à un
groupe de fichiers de journalisation existant. Pour effectuer cette opération alors que la base de
données est ouverte et sans affecter les performances pour les utilisateurs, procédez comme
suit :
1. Sélectionnez Enterprise Manager > Server > Redo Log Groups.
2. Sélectionnez un groupe et cliquez sur le bouton Edit, ou cliquez sur le lien correspondant
au numéro du groupe.
La page Edit Redo Log Group apparaît.
3. Dans la région Redo Log Members, cliquez sur Add. La page Add Redo Log Member
apparaît.
4. Choisissez le type de stockage approprié dans le champ Storage Type, puis entrez les
informations requises. Pour le type de stockage ASM (Automatic Storage Management),
choisissez un groupe de disques et précisez éventuellement un modèle et un alias. Pour le
type de stockage File System, précisez le nom du fichier et le répertoire. Cliquez sur
Continue.
Répétez cette procédure pour chaque groupe de fichiers de journalisation à multiplexer.
L'exemple suivant illustre la syntaxe SQL à utiliser pour ajouter un membre au groupe de
fichiers de journalisation 1 (utilisant ASM) :
SQL> ALTER DATABASE ADD LOGFILE MEMBER '+DATA' TO GROUP 1;
Lorsque vous ajoutez le fichier de journalisation à un groupe, son statut est INVALID (comme
en atteste la vue V$LOGFILE). Il s'agit de l'état attendu, car le nouveau membre du groupe n'a
pas encore fait l'objet d'une écriture. Lorsqu'un changement de fichier de journalisation se
produit au profit du groupe contenant le nouveau membre, le statut de ce dernier devient
NULL.
Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 27
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Fichiers de journalisation archivés
Pour préserver les informations de journalisation, créez des
copies archivées des fichiers de journalisation en procédant de
la façon suivante.
1. Indiquez la convention d'appellation des fichiers de
journalisation archivés.
2. Indiquez un ou plusieurs emplacements d'archivage.
3. Passez la base de données en mode ARCHIVELOG.

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Fichiers de journalisation Fichiers de
en ligne journalisation archivés

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Fichiers de journalisation archivés


L'instance considère les groupes de fichiers de journalisation en ligne comme une mémoire
tampon réutilisable dans laquelle sont stockées les informations relatives aux transactions.
Elle remplit un groupe puis passe au suivant. Une fois que tous les groupes sont pleins,
l'instance commence à remplacer les informations du premier groupe.
Pour configurer la base de données en vue de bénéficier de possibilités de récupération
maximales, vous devez lui ordonner de créer une copie des groupes de fichiers de
journalisation en ligne avant d'autoriser leur remplacement. Ces copies sont appelées fichiers
de journalisation archivés.
Pour faciliter la création de fichiers de journalisation archivés :
1. Indiquez une convention d'appellation pour ces fichiers.
2. Indiquez une ou plusieurs destinations pour le stockage de ces fichiers. L'une de ces
destinations sera probablement la zone de récupération rapide.
3. Placez la base de données en mode ARCHIVELOG.
Remarque : Les étapes 1 et 2 ne sont pas nécessaires si vous utilisez une zone de
récupération rapide.
La destination doit exister pour que la base de données soit placée en mode ARCHIVELOG.
Lorsqu'un répertoire est désigné comme destination, son nom doit se terminer par une barre
oblique.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 28


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Processus d'archivage (ARCn)

Caractéristiques du processus SGA


d'archivage (ARCn) :
• C'est un processus en
Tampon de journalisation
arrière-plan facultatif.
• Il archive automatiquement les
LGWR
fichiers de journalisation en
ligne lorsque le mode Processus
Log Writer
ARCHIVELOG est configuré
pour la base de données.

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Copies des
Fichiers de fichiers
• Il préserve l'enregistrement de journa- de journa-
lisation lisation
toutes les modifications
apportées à la base.
ARCn
Processus d'archivage

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Processus d'archivage (ARCn)


ARCn est un processus en arrière-plan facultatif. Toutefois, il est essentiel pour la
récupération d'une base de données après la perte d'un disque. Lorsqu'un groupe de fichiers de
journalisation en ligne est plein, l'instance Oracle commence à écrire dans le groupe suivant.
Le processus qui consiste à passer d'un groupe de fichiers de journalisation en ligne à un autre
est appelé changement de fichier de journalisation. Le processus ARCn lance l'archivage du
groupe de fichiers de journalisation plein à chaque changement de fichier de journalisation. Il
archive automatiquement le fichier de journalisation en ligne avant que celui-ci ne soit
réutilisé. Toutes les modifications apportées à la base sont ainsi préservées. Il est alors
possible de récupérer la base jusqu'au moment de la panne, même si un disque est
endommagé.
L'une des décisions importantes relevant du DBA est de déterminer si la base de données doit
être configurée pour un fonctionnement en mode ARCHIVELOG ou en mode
NOARCHIVELOG.
• En mode NOARCHIVELOG, les fichiers de journalisation en ligne sont écrasés à chaque
changement de fichier de journalisation.
• En mode ARCHIVELOG, les groupes inactifs de fichiers de journalisation en ligne qui
sont pleins doivent être archivés pour pouvoir être réutilisés.
Remarque
• Le mode ARCHIVELOG est essentiel pour la plupart des stratégies de sauvegarde (de
plus, il est très facile à configurer).
• Si la destination d'archivage des fichiers de journalisation est saturée ou n'est pas
accessible en écriture, la base de données cesse de répondre. Il suffit de supprimer des
fichiers de journalisation archivés pour qu'elle reprenne les opérations.
Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 29
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Fichier de journalisation archivé :
Appellation et destinations

Indiquez le format de nom de fichier et la destination


d'archivage dans la page Recovery Settings. Si vous utilisez le
type de stockage File System, il est recommandé de créer
plusieurs destinations sur des disques distincts.

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Fichier de journalisation archivé : Appellation et destinations


Pour configurer les noms et les destinations des fichiers de journalisation archivés,
sélectionnez Enterprise Manager > Availability > Configure Recovery Settings.
Chaque fichier de journalisation archivé doit porter un nom unique, afin d'éviter le
remplacement des fichiers plus anciens. Indiquez le format d'appellation comme illustré dans
la diapositive ci-dessus. Afin de faciliter la création de noms de fichier uniques, Oracle
Database 11g autorise l'utilisation de plusieurs caractères génériques :
• %s inclut le numéro de séquence du fichier dans le nom de fichier.
• %t inclut le numéro de thread dans le nom de fichier.
• %r inclut un ID resetlogs pour garantir que le nom du fichier de journalisation archivé
reste unique (même suite à l'utilisation de certaines techniques de récupération avancées
qui réinitialisent les numéros de séquence des fichiers de journalisation).
• %d inclut l'ID de la base de données dans le nom de fichier.
Le format doit de préférence inclure %s, %t et %r (%d peut être ajouté si plusieurs bases de
données partagent la même destination pour les fichiers de journalisation archivés).
Si la zone de récupération rapide est activée, USE_DB_RECOVERY_FILE_DEST est indiqué
par défaut comme destination d'archivage. Les fichiers de journalisation archivés peuvent être
écrits dans dix destinations différentes. Ces destinations peuvent être locales (un répertoire)
ou distantes (un alias Oracle Net pour une base de données de secours). Cliquez sur Add
Another Row pour ajouter des destinations. Pour modifier les paramètres de récupération,
vous devez être connecté en tant que SYSDBA ou SYSOPER.
Remarque : Si vous ne souhaitez pas que les archives soient envoyées vers cet emplacement,
supprimez USE_DB_RECOVERY_FILE_DEST.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 30


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Activer le mode ARCHIVELOG
Pour placer la base de données en mode ARCHIVELOG,
procédez de la façon suivante dans Enterprise Manager :
1. Cochez la case ARCHIVELOG Mode et cliquez sur Apply.
La base de données ne peut être placée en mode
ARCHIVELOG qu'à partir de l'état MOUNT.
2. Redémarrez la base de données (avec les privilèges
SYSDBA).
3. (Facultatif) Affichez le statut d'archivage.
4. Sauvegardez la base de données.
Remarque : Les bases de données en mode ARCHIVELOG

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peuvent utiliser toutes les options sqlplus / as sysdba
de sauvegarde et de récupération. shutdown immediate
startup mount
alter database archivelog;
alter database open;
archive log list

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Activer le mode ARCHIVELOG


1. Dans Enterprise Manager, sélectionnez Availability > Configure Recovery Settings >
ARCHIVELOG Mode. La commande SQL équivalente est la suivante :
SQL> ALTER DATABASE ARCHIVELOG;
Cette commande ne peut être exécutée que si la base présente l'état MOUNT. Il est donc
nécessaire de redémarrer l'instance avant d'effectuer cette étape.
2. Dans Enterprise Manager, vous êtes invité à saisir les informations d'identification et de
connexion (credentials) auprès du système d'exploitation et de la base de données
pendant le redémarrage de la base. Les informations d'identification et de connexion à la
base de données doivent concerner un utilisateur doté des privilèges SYSDBA.
3. Une fois l'instance redémarrée, les modifications apportées aux processus d'archivage, au
format des fichiers de journalisation et à leur destination prennent effet. Dans SQL*Plus,
vous pouvez les afficher à l'aide de la commande ARCHIVE LOG LIST.
4. Sauvegardez la base de données après l'avoir placée en mode ARCHIVELOG car elle ne
peut être récupérée qu'à partir de la dernière sauvegarde effectuée dans ce mode.
Lorsque la base est en mode NOARCHIVELOG (par défaut), la récupération n'est possible que
jusqu'à l'instant de la dernière sauvegarde. Toutes les transactions effectuées après cette
sauvegarde sont perdues.
En mode ARCHIVELOG, la récupération est possible jusqu'à l'instant de la dernière validation
(commit). La plupart des bases de données de production s'exécutent en mode ARCHIVELOG.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 31


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Quiz

Un échec d'instruction n'est jamais prévu par la conception et


nécessite toujours l'intervention de l'administrateur de base de
données.
1. Vrai
2. Faux

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Réponse : 2

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 32


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Quiz

Quels paramètres configurent la zone de récupération rapide ?


1. FLASH_RECOVERY_AREA_SIZE
2. DB_RECOVERY_FILE_DEST
3. FLASH_RECOVERY_AREA_LOC
4. DB_RECOVERY_FILE_DEST_SIZE

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Réponses : 2, 4

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 33


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Synthèse

Ce chapitre vous a permis d'apprendre à :


• identifier les types de défaillance pouvant survenir dans une
base de données Oracle
• décrire comment régler la récupération d'instance
• décrire l'importance des points de reprise, des fichiers de
journalisation et des fichiers de journalisation archivés
• configurer la zone de récupération rapide
• configurer le mode ARCHIVELOG

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 34


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Présentation de l'exercice 14 :
Configurer la base de données afin d'optimiser
la capacité de récupération

Dans cet exercice, vous allez :


• vérifier les fichiers de contrôle
• configurer une zone de récupération rapide par défaut
• multiplexer les groupes de fichiers de journalisation
• placer la base de données en mode ARCHIVELOG
• garantir la création de fichiers de journalisation archivés
redondants

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I 14 - 35


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Effectuer des sauvegardes de la base
de données

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Objectifs

A la fin de ce chapitre, vous pourrez :


• créer des sauvegardes cohérentes de la base de données
• sauvegarder la base de données sans l'arrêter
• créer des sauvegardes incrémentielles
• automatiser les sauvegardes de la base de données
• gérer les sauvegardes et afficher les états associés
• surveiller la zone de récupération rapide

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I 15 - 2


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Solutions de sauvegarde : Présentation

Les sauvegardes peuvent être effectuées à l'aide de plusieurs


méthodes :
• Recovery Manager
• Oracle Secure Backup
• Mécanisme géré par l'utilisateur
Base de
Fichiers
de données données Copies d'image
cible
Fichiers de Eléments de sauvegarde

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journalisation
Fichiers de archivés
journalisation Données de sauvegarde
archivés
redondants Zone de récupération rapide

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Solutions de sauvegarde : Présentation


Comme indiqué dans le reste de ce chapitre, Recovery Manager (RMAN) est la méthode
recommandée pour la sauvegarde des bases de données Oracle.
Oracle Secure Backup complète les fonctionnalités existantes en permettant la sauvegarde sur
bande et la sauvegarde des fichiers du système d'exploitation.
Les sauvegardes gérées par l'utilisateur sont fondées sur des scripts qui doivent être écrits par
un DBA. Cette option est abandonnée graduellement car elle demande plus de travail.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 15 - 3


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Oracle Secure Backup
• Oracle Secure Backup et RMAN fournissent une
solution de sauvegarde de bout en bout pour les
environnements Oracle :
– Gestion centralisée des sauvegardes sur bande pour
les données du système de fichiers et la base Oracle
– Couche de gestion des supports très bien intégrée pour
les sauvegardes RMAN
– Sauvegarde de n'importe quelles données n'importe
où sur le réseau
• L'utilisation d'une ressource de support technique unique

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pour l'intégralité de la solution de sauvegarde accélère la
résolution des problèmes.
• Il est ainsi possible d'assurer une protection
fiable des données plus simplement et pour
un coût moindre.

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Oracle Secure Backup


Le produit Oracle actuel de sauvegarde et de récupération de la base de données est Recovery
Manager. Oracle Secure Backup complète les fonctionnalités existantes de la manière
suivante :
• Solution de sauvegarde complète : Oracle Secure Backup protège aussi bien les
données de la base que les données externes. Il s'applique à l'intégralité de
l'environnement Oracle.
• Gestion des supports : Oracle Secure Backup fournit la couche de gestion des supports
(Media Management Layer) pour les sauvegardes de base de données RMAN sur bande.
Avant Oracle Secure Backup, les clients devaient acheter des produits de gestion des
supports tiers coûteux offrant l'intégration aux sauvegardes sur bande RMAN.
• Sauvegarde n'importe où sur le réseau : Oracle Secure Backup peut sauvegarder les
données de plusieurs systèmes informatiques en réseau sur des ressources de stockage
tertiaire appartenant au réseau. Il prend en charge diverses configurations de serveurs, de
clients, de serveurs NAS (Network Attached Storage) et d'unités de stockage tertiaire, et
protège les environnements de stockage en réseau.
La combinaison de RMAN et d'Oracle Secure Backup fournit une solution de sauvegarde de
bout en bout, entièrement intégrée à la pile de produits Oracle. Le support technique est ainsi
plus efficace car Oracle Corporation est en charge de l'intégralité de la solution de
sauvegarde.

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Sauvegarde gérée par l'utilisateur

Caractéristiques d'un scénario géré par l'utilisateur :


• C'est un processus manuel de suivi des sauvegardes
nécessaires et du statut des sauvegardes.
• Il utilise généralement des scripts que vous avez écrits.
• La sauvegarde nécessite que les fichiers de base de
données présentent le mode approprié.
• Les sauvegardes des fichiers sont effectuées à l'aide de
commandes du système d'exploitation.

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Sauvegarde gérée par l'utilisateur


Une sauvegarde gérée par l'utilisateur peut être effectuée de manière interactive. Toutefois,
elle nécessite en général l'écriture de scripts. Plusieurs scénarios peuvent être exécutés et des
scripts doivent être écrits pour les gérer.
Exemples d'opérations à gérer via des scripts :
• Interroger V$DATAFILE pour déterminer les fichiers de données qui doivent être
sauvegardés, ainsi que leur statut en cours.
• Interroger V$LOGFILE pour identifier les fichiers de journalisation en ligne.
• Interroger V$CONTROLFILE pour identifier le fichier de contrôle à sauvegarder.
• Activer le mode de sauvegarde base ouverte pour chaque tablespace.
• Interroger V$BACKUP pour voir quels fichiers font partie d'un tablespace qui a été placé
en mode de sauvegarde base ouverte.
• Exécuter des commandes du système d'exploitation pour copier les fichiers de données
vers l'emplacement de sauvegarde.
• Désactiver le mode de sauvegarde base ouverte pour chaque tablespace.

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Terminologie
• Une stratégie de sauvegarde peut avoir la portée suivante :
– Base de données entière (sauvegarde totale)
– Partie de la base de données (sauvegarde partielle)
• Une sauvegarde peut inclure les éléments suivants,
selon son type :
– Tous les blocs de données des fichiers choisis
(sauvegarde complète)
– Uniquement les informations modifiées depuis une précédente
sauvegarde (sauvegarde incrémentielle)
— Sauvegarde cumulative (modifications depuis le dernier niveau 0)
— Sauvegarde différentielle (modifications
depuis la dernière sauvegarde
incrémentielle)

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• Une sauvegarde peut être effectuée
dans l'un des modes suivants :
Fichiers Fichiers
– Base fermée (sauvegarde de de journa-
Fichiers contrôle
cohérente, à froid) de
lisation
Base de en ligne
– Base ouverte (sauvegarde données
données
incohérente, à chaud)

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Terminologie
Une sauvegarde totale de la base inclut tous les fichiers de données et au moins un fichier de
contrôle. (Souvenez-vous que tous les fichiers de contrôle d'une base de données sont
identiques.)
Les sauvegardes partielles de la base peuvent inclure un nombre quelconque de tablespaces,
un nombre quelconque de fichiers de données et éventuellement un fichier de contrôle.
Les sauvegardes complètes créent une copie de chaque bloc qui contient des données et figure
dans les fichiers indiqués.
Les sauvegardes incrémentielles créent une copie de tous les blocs de données ayant changé
depuis une précédente sauvegarde. La base de données Oracle prend en charge deux niveaux de
sauvegarde incrémentielle (0 et 1). Une sauvegarde incrémentielle de niveau 1 peut être
cumulative ou différentielle. Une sauvegarde cumulative enregistre toutes les modifications
effectuées depuis la dernière sauvegarde de niveau 0. Une sauvegarde différentielle conserve
toutes les modifications effectuées depuis la dernière sauvegarde incrémentielle (niveau 0 ou
niveau 1). La fonctionnalité de suivi des modifications de Recovery Manager (RMAN) prend en
charge les sauvegardes incrémentielles.
Les sauvegardes base fermée (également appelées sauvegardes "à froid" ou sauvegardes
cohérentes) sont effectuées alors que la base de données n'est pas ouverte. Elles sont cohérentes
car, au moment de la sauvegarde, les SCN (System Change Number) figurant dans les en-têtes
des fichiers de données correspondent aux SCN figurant dans les fichiers de contrôle.
Les sauvegardes base ouverte (également appelées sauvegardes "à chaud" ou incohérentes)
sont effectuées alors que la base de données est ouverte. Elles sont incohérentes car, lorsque la
base est ouverte, il n'est pas certain que les fichiers de données soient synchronisés avec les
fichiers de contrôle.
Oracle Database 11g : Administration Workshop I 15 - 6
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Terminologie
Les sauvegardes peuvent être stockées sous diverses formes :
• Copies d'image
• Jeux de sauvegarde

Fichier de données 1 Fichier de Fichier de


données 1 données 2
Fichier de données 2
Fichier de Fichier de
Fichier de données 3 données 3 données 4
Fichier de Fichier de
Fichier de données 4 données 5 données 6
Fichier de données 5

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Jeu de sauvegarde
Fichier de données 6 (Fichiers binaires compressés
au format propriétaire Oracle)
Copies d'image
(Duplication des fichiers de journalisation et de
données au format du système d'exploitation)

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Terminologie (suite)
Les copies d'image sont des doubles des fichiers de données ou des fichiers de journalisation
archivés (semblables à la simple copie des fichiers à l'aide des commandes du système
d'exploitation).
Les jeux de sauvegarde sont des ensembles de fichiers binaires qui contiennent un ou
plusieurs fichiers de données, fichiers de contrôle, fichiers de paramètres serveur ou fichiers
de journalisation archivés. Ils ne contiennent pas les blocs de données vides, ce qui fait qu'ils
occupent moins d'espace sur disque ou sur bande. Ils peuvent être compressés afin de réduire
encore davantage les besoins en termes d'espace.
Les copies d'image doivent être sauvegardées sur disque alors que les jeux de sauvegarde
peuvent être stockés sur disque ou directement sur bande.
L'avantage d'une copie d'image est une meilleure granularité pour l'opération de restauration.
Il est possible d'extraire le ou les fichiers concernés à partir de l'emplacement de sauvegarde.
Avec les jeux de sauvegarde, il faut extraire l'ensemble du jeu de sauvegarde pour obtenir le
ou les fichiers voulus.
L'avantage des jeux de sauvegarde est une utilisation plus efficace de l'espace. Dans la plupart
des bases, au moins 20 % des blocs de données sont vides. Les copies d'image sauvegardent
tous les blocs de données, même s'ils sont vides. Les jeux de sauvegarde limitent
considérablement l'espace requis. Dans la plupart des systèmes, les jeux de sauvegarde sont
préférables aux copies d'image.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 15 - 7


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Recovery Manager (RMAN)
• Langage puissant de contrôle et de génération de script
• Intégré à Enterprise Manager
• API publiée qui assure l'interface avec la plupart des
logiciels de sauvegarde courants
• Sauvegarde les fichiers de données, les fichiers de
contrôle, les fichiers de journalisation archivés et les fichiers
de paramètres serveur (SPFILE)
• Sauvegarde les fichiers sur disque ou sur bande

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Recovery Manager (RMAN)


RMAN est le composant d'Oracle Database utilisé pour les opérations de sauvegarde et de
récupération. Il peut effectuer des sauvegardes cohérentes ou incohérentes, incrémentielles ou
complètes, portant sur l'ensemble de la base ou sur une partie.
RMAN utilise son propre langage de contrôle des travaux et de génération de script, ainsi
qu'une API publiée permettant l'interaction avec de nombreux logiciels de sauvegarde
courants.
RMAN permet de stocker les sauvegardes sur disque, en vue d'une récupération rapide, ou sur
bande, pour un stockage à long terme. Pour que RMAN puisse stocker les sauvegardes sur
bande, vous devez soit utiliser Oracle Secure Backup, soit configurer une interface vers une
unité MML (Media Management Library).
Enterprise Manager fournit une interface graphique qui propose les fonctionnalités les plus
couramment utilisées de RMAN. Les opérations avancées de sauvegarde et de récupération
sont accessibles par l'intermédiaire du client RMAN en mode ligne de commande. Pour plus
d'informations sur ces fonctionnalités, reportez-vous au cours Oracle Database 11g :
Administration Workshop II ou au manuel Oracle Backup and Recovery User's Guide.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 15 - 8


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Configurer les paramètres de sauvegarde

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Configurer les paramètres de sauvegarde


Sélectionnez Enterprise Manager > Availability > Backup Settings. Cette page vous permet
de gérer les paramètres persistants qui sont utilisés pour la création des sauvegardes. Il existe
des paramètres distincts pour les sauvegardes sur disque et pour les sauvegardes sur bande.
Les paramètres relatifs aux sauvegardes sur bande dépendent des possibilités de l'unité Media
Management Library (MML). Les paramètres de sauvegarde sur disque sont les suivants :
• Parallelism : Nombre de flux distincts d'informations de sauvegarde que vous souhaitez
créer. La valeur appropriée dépend du matériel que vous utilisez. A mesure que les
ressources matérielles augmentent, le degré de parallélisme nécessaire augmente
également. En règle générale, vous devez définir un parallélisme égal au nombre de
disques de l'emplacement de sauvegarde. Dans le cas des sauvegardes sur bande,
indiquez le nombre de lecteurs de bande dont vous disposez.
• Disk Backup Location : Emplacement où les sauvegardes doivent être stockées.
L'emplacement par défaut est la zone de récupération rapide. Si vous souhaitez modifier
ce paramètre, cliquez sur "Test Disk Backup" afin de vérifier que RMAN peut écrire
dans le nouvel emplacement.
• Disk Backup Type : Sélectionnez Backup Set (jeu de sauvegarde), Compressed Backup
Set (jeu de sauvegarde compressé) ou Image Copy (copie d'image).
Cliquez sur l'onglet Backup Set pour définir la taille de fichier maximale des éléments de
sauvegarde, pour indiquer l'algorithme de compression dans le cas des jeux de sauvegarde
compressés et pour préciser la redondance dans le cas de sauvegardes sur bande. Les
informations d'identification et de connexion (credentials) auprès de l'hôte sont nécessaires
pour permettre à Enterprise Manager d'enregistrer les modifications apportées aux paramètres
de sauvegarde.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 15 - 9


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Configurer les paramètres de sauvegarde

Recommandation

Eléments de
sauvegarde
Fichier de
suivi des
Zone de
Fichiers de modifications
récupération
données

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Configurer les paramètres de sauvegarde (suite)


Cliquez sur l'onglet Policy. Il propose les options suivantes :
• Sauvegarder automatiquement le fichier de contrôle et le fichier de paramètres serveur
avec chaque sauvegarde. Vous pouvez indiquer un emplacement pour les sauvegardes si
vous ne souhaitez pas qu'elles soient placées dans la zone de récupération rapide.
• Optimiser les sauvegardes en ne sauvegardant pas les fichiers qui sont parfaitement
identiques à des fichiers déjà inclus dans les sauvegardes. Cette option permet d'ignorer
les fichiers de données en lecture seule et les fichiers hors ligne.
• Activer le suivi des modifications des blocs et indiquer un emplacement pour le fichier
de suivi. Si vous prévoyez de créer des sauvegardes incrémentielles, cette option permet
de réduire le temps nécessaire pour choisir les blocs à prendre en compte.
• Exclure des tablespaces d'une sauvegarde totale de la base de données. Certains
administrateurs choisissent de ne pas sauvegarder les tablespaces contenant des données
ou des objets pouvant être facilement recréés (tels que des index ou des données faisant
l'objet de fréquents chargements en mode batch).
• Indiquer une stratégie de conservation et définir la durée pendant laquelle RMAN doit
conserver les sauvegardes. Si vous utilisez la zone de récupération rapide pour le
stockage des sauvegardes, RMAN supprime automatiquement les anciennes sauvegardes
afin de libérer de la place pour les nouvelles (si la stratégie de conservation le permet).
Par défaut, seule la dernière sauvegarde est conservée. La stratégie de conservation peut
être définie sous la forme d'un nombre de sauvegardes ou d'un nombre de jours.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 15 - 10


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Planifier des sauvegardes : Stratégie

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Planifier des sauvegardes : Stratégie


Sélectionnez Enterprise Manager > Availability > Schedule Backup. Sélectionnez la stratégie
de sauvegarde suggérée par Oracle ou votre propre stratégie personnalisée. La stratégie
recommandée par Oracle consiste à créer une sauvegarde unique totale, effectuée base
ouverte. Il s'agit d'une sauvegarde de ligne de base (baseline) incrémentielle de niveau 0.
La stratégie de sauvegarde automatisée consiste ensuite à planifier des sauvegardes
incrémentielles de niveau 1 pour chaque jour suivant. A partir du troisième jour, RMAN
applique la sauvegarde de niveau 1 du début du jour n-1 à la sauvegarde de niveau 0 avant de
commencer la sauvegarde incrémentielle de la journée en cours.
En cliquant sur Schedule Customized Backup, vous accédez à un plus large éventail d'options
de configuration. Sélectionnez les objets que vous souhaitez sauvegarder : la base de données
entière (par défaut), ou bien des tablespaces, des fichiers de données ou des fichiers de
journalisation archivés individuels, ou encore des sauvegardes Oracle résidant actuellement
sur disque (afin de les déplacer sur bande).
Les deux stratégies permettent de configurer des sauvegardes cryptées.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 15 - 11


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Planifier des sauvegardes : Options

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Planifier des sauvegardes : Options


Sélectionnez Full Backup ou Incremental Backup pour Backup Type. Si vous procédez à une
sauvegarde complète de la base de données, vous pouvez sélectionner l'option "Use as the
base of an incremental backup strategy" afin d'en faire une sauvegarde incrémentielle de
niveau 0. Si vous utilisez des copies d'image, vous pouvez sélectionner l'option "Refresh the
latest datafile copy on disk to the current time using the incremental backup" pour mettre à
jour la sauvegarde existante plutôt que de créer une nouvelle copie.
Sélectionnez Online Backup si vous voulez effectuer cette tâche pendant que les utilisateurs
continuent d'utiliser la base. Si les utilisateurs n'ont pas besoin d'accéder à la base,
sélectionnez l'option Offline Backup, qui est effectuée sur une instance montée.
Sélectionnez "Delete obsolete backups" pour supprimer les sauvegardes qui n'entrent pas dans
le cadre de la stratégie de conservation définie précédemment. RMAN supprime
automatiquement les sauvegardes obsolètes si vous procédez à la sauvegarde dans la zone de
récupération rapide. Les options avancées et le cryptage sont traités en détail dans le cours
Oracle Database 11g : Administration Workshop II et dans la documentation relative à la
sauvegarde et à la récupération.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 15 - 12


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Planifier des sauvegardes : Paramètres

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Planifier des sauvegardes : Paramètres


Indiquez si la sauvegarde doit être stockée sur disque ou sur bande.
Pour créer une sauvegarde unique (en plus des sauvegardes planifiées), cliquez sur Override
Current Settings et indiquez vos paramètres de sauvegarde.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 15 - 13


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Planifier des sauvegardes : Planification

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Planifier des sauvegardes : Planification


Déterminez la façon dont la sauvegarde doit être planifiée : en tant que travail unique ou en
tant que processus automatisé et récurrent.
Pour configurer une base de données pour une possibilité de récupération maximale, Oracle
recommande la planification de sauvegardes régulières. L'automatisation des sauvegardes
permet de simplifier la tâche de l'administrateur.
Si vous sélectionnez l'option Repeating, la page affiche des informations de planification
supplémentaires.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 15 - 14


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Planifier des sauvegardes : Récapitulatif

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Planifier des sauvegardes : Récapitulatif


RMAN utilise son propre langage de commande et de génération de script.
La page Review permet de personnaliser les scripts RMAN (si nécessaire) ou de les copier à
des fins d'enregistrement.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 15 - 15


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Sauvegarder le fichier de contrôle dans un fichier trace
Pour les fichiers de contrôle, vous disposez d'une option de
sauvegarde supplémentaire.

En cas de perte de tous les

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fichiers de contrôle, il est
possible d'effectuer une
récupération en utilisant les
sauvegardes effectuées
dans un fichier trace.

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Sauvegarder le fichier de contrôle dans un fichier trace


Sélectionnez Enterprise Manager > Server > Control Files pour gérer les fichiers de contrôle
de votre base de données. Les fichiers de contrôle disposent d'une option de sauvegarde
supplémentaire : ils peuvent être sauvegardés dans un fichier trace. Une telle sauvegarde
contient l'instruction SQL nécessaire pour recréer les fichiers de contrôle si toutes les copies
sont perdues.
Bien que ce scénario soit très peu probable dans une base de données correctement configurée
(avec plusieurs copies du fichier de contrôle placées sur des disques et des contrôleurs
distincts), il reste néanmoins possible. L'administrateur doit donc sauvegarder le fichier de
contrôle dans un fichier trace après chaque modification de la structure physique de la base
(ajout de tablespaces ou de fichiers de données, ajout de groupes de fichiers de journalisation
supplémentaires).
Pour créer des copies du fichier de contrôle dans un fichier trace, procédez comme indiqué
ci-dessus dans Enterprise Manager ou exécutez la commande SQL suivante :
SQL> ALTER DATABASE BACKUP CONTROLFILE TO TRACE;
La sauvegarde dans un fichier trace est créée à l'emplacement désigné par le paramètre
d'initialisation DIAGNOSTIC_DEST (par exemple,
/u01/app/oracle/diag/rdbms/orcl/orcl/trace avec un nom de fichier tel que
orcl_vktm_8400.trc).
Vous pouvez consulter les informations du fichier de contrôle dans l'onglet Advanced de la
page Control Files.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 15 - 16


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Gérer les sauvegardes

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Gérer les sauvegardes


Sélectionnez Enterprise Manager > Availability > Manage Current Backup pour gérer les
sauvegardes existantes. Cette page indique le moment et l'emplacement de stockage (disque
ou bande) de la sauvegarde et précise si celle-ci est toujours disponible.
Les quatre boutons affichés en haut de la page Manage Current Backups permettent d'utiliser
les sauvegardes existantes :
• Catalog Additional Files : Bien que RMAN (utilisé via Enterprise Manager) constitue la
méthode recommandée pour créer des sauvegardes, vous avez la possibilité de créer des
copies d'image ou des jeux de sauvegarde par d'autres moyens ou dans un autre
environnement, si bien que RMAN n'en a pas connaissance. Cette tâche identifie de tels
fichiers et les ajoute au catalogue.
• Crosscheck All : RMAN peut supprimer automatiquement les sauvegardes obsolètes,
mais vous pouvez également les supprimer à l'aide de commandes du système
d'exploitation. Si vous supprimez une sauvegarde sans passer par RMAN, le catalogue ne
sait pas qu'elle est manquante tant que vous n'avez pas procédé à une vérification croisée
entre le catalogue et le contenu réel.
• Delete All Obsolete : Cette option permet de supprimer les sauvegardes qui sont
obsolètes en vertu de la stratégie de conservation.
• Delete All Expired : Cette option permet de supprimer du catalogue les sauvegardes qui
n'ont pas été trouvées lors de la vérification croisée.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 15 - 17


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Afficher les états de sauvegarde

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Afficher les états de sauvegarde


Vous pouvez afficher les informations relatives aux tâches de sauvegarde en sélectionnant
Enterprise Manager > Availability > Backup Reports. Le contenu de l'état de sauvegarde
dépend du fichier de contrôle. L'état de sauvegarde contient des informations récapitulatives
et détaillées sur les données d'entrée et de sortie d'un travail de sauvegarde spécifique :
horodatage, numéro SCN, taille, taux de compression, données endommagées
(éventuellement), etc.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 15 - 18


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Surveiller la zone de récupération rapide

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Surveiller la zone de récupération rapide


Si vous avez configuré les fichiers de journalisation archivés afin qu'ils soient écrits dans la
zone de récupération rapide, il est important de surveiller cet espace pour qu'il n'atteigne pas
sa capacité maximale. Si l'instance ne parvient pas à créer un fichier de journalisation archivé
en raison d'un manque d'espace, elle s'interrompt jusqu'à ce que l'administrateur corrige la
situation.
Sélectionnez Enterprise Manager > Availability > Recovery Settings. Dans cette page, vous
pouvez effectuer les opérations suivantes :
• Vérifier la proportion de la zone de récupération rapide déjà consommée
• Indiquer l'emplacement de la zone de récupération rapide
• Indiquer la taille de la zone de récupération rapide
• Configurer Flashback Database
• Indiquer le délai de conservation
Le délai de conservation détermine le moment où les fichiers deviennent obsolètes (c'est-à-
dire inutiles au regard de vos objectifs de récupération). La base de données Oracle gère
automatiquement ce stockage en supprimant les fichiers qui ne sont plus utiles. Lorsque vous
sauvegardez la zone de récupération, RMAN peut basculer vers d'autres destinations
d'archivage si le fichier de journalisation archivé dans la zone de récupération rapide est
inaccessible ou endommagé.
La copie périodique de sauvegardes sur bande libère de l'espace pour d'autres fichiers dans la
zone de récupération rapide. En revanche, l'extraction et la récupération demandent alors plus
de temps.
Remarque : L'interface d'Enterprise Manager n'a pas encore été mise à jour pour refléter la
modification du nom anglais de la zone de récupération rapide en "fast recovery area" (au lieu
de "flash recovery area").

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 15 - 19


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Utiliser la ligne de commande RMAN

1 $ rman target /
2 RMAN> CONFIGURE …
3 RMAN> BACKUP DATABASE PLUS ARCHIVELOG;

Copies

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Fichiers Fichier de
de journalisation SPFILE
Fichiers
de données contrôle archivé

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Utiliser la ligne de commande RMAN


1. Dans une session de terminal, lancez RMAN et connectez-vous à la base de données
cible.
2. Exécutez les commandes de configuration suivantes :
- CONFIGURE DEFAULT DEVICE TYPE TO disk;
- CONFIGURE DEVICE TYPE DISK BACKUP TYPE TO COPY;
- CONFIGURE CONTROLFILE AUTOBACKUP ON;
3. Une sauvegarde totale de la base est une copie de tous les fichiers de données et du
fichier de contrôle. Vous pouvez éventuellement inclure le fichier des paramètres serveur
(SPFILE) et les fichiers de journalisation archivés (archived redo logs). Pour créer une
copie d'image de tous les fichiers de la base de données à l'aide de RMAN, il suffit de
monter ou d'ouvrir la base, de lancer RMAN et d'exécuter la commande BACKUP
indiquée dans la diapositive ci-dessus.
Vous pouvez également choisir l'option DELETE INPUT lorsque vous sauvegardez des
fichiers de journalisation archivés.
Ainsi, RMAN supprimera ces fichiers après les avoir sauvegardés. Cette méthode est
particulièrement utile en l'absence de zone de récupération rapide. En effet, celle-ci gère
automatiquement l'espace en supprimant des fichiers pour répondre aux nouvelles
demandes. Dans ce cas, la commande RMAN serait la suivante :
RMAN> BACKUP DATABASE PLUS ARCHIVELOG DELETE INPUT;
Vous pouvez également créer une sauvegarde (jeu de sauvegarde ou copie d'image) à
partir de copies d'image antérieures de tous les fichiers de données et de contrôle de la
base, en exécutant la commande suivante :
RMAN> BACKUP COPY OF DATABASE;

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 15 - 20


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Quiz

La fonctionnalité de suivi des modifications permet à RMAN


d'ignorer les blocs qui n'ont pas changé depuis la dernière
sauvegarde lorsqu'il effectue une sauvegarde en tant que copie
d'image.
1. Vrai
2. Faux

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Réponse : 2

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 15 - 21


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Synthèse

Ce chapitre vous a permis d'apprendre à :


• créer des sauvegardes cohérentes de la base de données
• sauvegarder la base de données sans l'arrêter
• créer des sauvegardes incrémentielles
• automatiser les sauvegardes de la base de données
• gérer les sauvegardes et afficher les états associés
• surveiller la zone de récupération rapide

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I 15 - 22


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Présentation de l'exercice 15 :
Créer des sauvegardes de la base de données
Dans cet exercice, vous allez :
• sauvegarder la base de données pendant qu'elle est
ouverte pour les utilisateurs
• planifier des sauvegardes incrémentielles automatiques de
la base pendant la nuit

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I 15 - 23


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Procéder à une récupération de la base
de données

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Objectifs

A la fin de ce chapitre, vous pourrez :


• déterminer la nécessité d'une récupération
• accéder à différentes interfaces (comme Enterprise
Manager et la ligne de commande)
• décrire et utiliser les options disponibles, notamment
Recovery Manager (RMAN) et Data Recovery Advisor
• effectuer une récupération suite à la perte des fichiers
suivants :

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– fichier de contrôle
– fichier de journalisation
– fichier de données

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 2


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Ouvrir une base de données

Pour qu'une base de données puisse être ouverte :


• Tous les fichiers de contrôle doivent être présents et
synchronisés.
• Tous les fichiers de données en ligne doivent être présents
et synchronisés.
• Au moins un membre de chaque groupe de fichiers de
journalisation doit être présent.
OPEN
STARTUP

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MOUNT

NOMOUNT

SHUTDOWN

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Ouvrir une base de données


Lorsqu'une base de données passe de l'état arrêté à l'état totalement ouvert, elle procède aux
vérifications de cohérence interne suivantes :
• NOMOUNT : Pour qu'une instance prenne le statut NOMOUNT (également appelé
STARTED), elle doit lire le fichier de paramètres d'initialisation. A ce stade, aucun
fichier de base de données n'est vérifié.
• MOUNT : Lorsque l'instance prend le statut MOUNT, elle vérifie si tous les fichiers de
contrôle répertoriés dans le fichier de paramètres d'initialisation sont présents et
synchronisés. Dès lors que l'un des fichiers de contrôle est manquant ou endommagé,
l'instance renvoie une erreur (indiquant le fichier manquant) à l'administrateur et reste à
l'état NOMOUNT.
• OPEN : Lorsque l'instance passe du statut MOUNT au statut OPEN :
- Elle vérifie si au moins un membre est présent dans tous les groupes de fichiers de
journalisation (redo logs) connus du fichier de contrôle. Les éventuels membres
manquants sont indiqués dans le fichier d'alertes.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 3


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Ouvrir une base de données (suite)
- L'instance vérifie que tous les fichiers de données connus du fichier de contrôle sont
présents, sauf s'ils ont été mis hors ligne. Les fichiers hors ligne sont en effet ignorés tant
que l'administrateur n'a pas tenté de les mettre en ligne. Ce dernier peut mettre un fichier de
données hors ligne et ouvrir l'instance à condition que ce fichier n'appartienne pas au
tablespace SYSTEM ou UNDO. Si des fichiers sont manquants, une erreur indiquant le
premier fichier absent est renvoyée à l'administrateur et l'instance reste à l'état MOUNT.
Lorsque l'instance détecte des fichiers manquants, seul le premier fichier concerné est
indiqué dans le message d'erreur. Pour trouver tous les fichiers qui doivent être récupérés,
l'administrateur peut examiner la vue dynamique des performances v$recover_file
afin d'obtenir la liste complète des fichiers à prendre en considération :
SQL> startup
ORACLE instance started.
Total System Global Area 171966464 bytes
Fixed Size 775608 bytes

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Variable Size 145762888 bytes
Database Buffers 25165824 bytes
Redo Buffers 262144 bytes
Database mounted.
ORA-01157: cannot identify/lock data file 4 - see DBWR trace file
ORA-01110: data file 4: '/oracle/oradata/orcl/users01.dbf'
SQL> SELECT name, error
2 FROM v$datafile
3 JOIN v$recover_file
4 USING (file#);
NAME ERROR
----------------------------------- ------------------
/oracle/oradata/orcl/users01.dbf FILE NOT FOUND
/oracle/oradata/orcl/example01.dbf FILE NOT FOUND
- L'instance vérifie que tous les fichiers de données qui ne sont pas hors ligne ou en lecture
seule sont synchronisés avec le fichier de contrôle. Si nécessaire, une récupération
d'instance est automatiquement effectuée. Si un fichier est désynchronisé à tel point qu'il ne
peut être récupéré à l'aide des groupes de fichiers de journalisation en ligne, l'administrateur
doit procéder à une restauration physique. Dans ce cas, un message d'erreur indiquant le
premier fichier à restaurer est renvoyé à l'administrateur et l'instance reste à l'état MOUNT :
ORA-01113: file 4 needs media recovery
ORA-01110: data file 4: '/oracle/oradata/orcl/users01.dbf'
Là encore, la vue v$recover_file dresse la liste complète des fichiers à considérer.
Les fichiers qui sont présents et qui nécessitent une restauration physique sont également
répertoriés, mais aucun message d'erreur n'apparaît.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 4


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Maintenir une base de données ouverte

Une fois ouverte, la base de données échoue en cas de perte :


• d'un fichier de contrôle
• d'un fichier de données appartenant au tablespace système
ou au tablespace d'annulation
• d'un groupe de fichiers de journalisation tout entier
(à partir du moment où au moins un membre du groupe est
présent, l'instance reste ouverte)

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Maintenir une base de données ouverte


Une fois que la base de données est ouverte, l'instance peut échouer à cause d'une défaillance
physique : perte d'un fichier de contrôle, de tout un groupe de fichiers de journalisation ou
d'un fichier de données appartenant au tablespace SYSTEM ou UNDO. Même si le groupe de
fichiers de journalisation perdu est inactif, la base de données finit par échouer à cause des
changements de fichier.
Dans de nombreux cas, l'instance en échec ne s'arrête pas complètement, mais elle ne peut
plus fonctionner. La récupération de ces défaillances physiques doit s'effectuer lorsque la base
est arrêtée. L'administrateur doit donc utiliser la commande SHUTDOWN ABORT avant
d'entreprendre les actions de récupération.
La perte de fichiers de données appartenant à d'autres tablespaces ne met pas l'instance en
échec. La base peut alors être récupérée tout en restant ouverte, les tâches se poursuivant dans
les autres tablespaces.
Ces erreurs peuvent être détectées en consultant le fichier d'alertes ou à l'aide de la fonction
de conseil Data Recovery Advisor.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 5


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Data Recovery Advisor
• Détection, analyse et réparation rapides des défaillances
• Défaillances sur une base indisponible ou en cours
d'exécution
• Réduction des interruptions de service pour les utilisateurs
• Interfaces utilisateur :
– Interface graphique
Enterprise Manager
(plusieurs chemins)
– Ligne de commande RMAN
• Configurations de base de données prises en charge :

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– Instance unique
– Absence d'environnement RAC
– Prise en charge du basculement vers une base de secours
en cas de panne, mais pas de fonctionnalités d'analyse et de
réparation

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Data Recovery Advisor


Lorsqu'une erreur survient, la fonction de conseil Data Recovery Advisor collecte
automatiquement des informations relatives aux défaillances portant sur les données. Elle
peut, par ailleurs, effectuer une recherche proactive des défaillances éventuelles. Dans ce
mode, elle repère les défaillances et les analyse avant qu'un processus de base de données ne
détecte la corruption et ne signale une erreur. (Notez que le contrôle des réparations est
toujours manuel.)
Les défaillances de données peuvent être très graves. Par exemple, en l'absence des fichiers de
journalisation en cours, vous ne pouvez pas ouvrir la base. Toutefois, les conséquences de
certaines défaillances (comme les corruptions de blocs dans les fichiers de données) sont
moindres car elles ne mettent pas la base hors service et n'empêchent pas de l'ouvrir. La
fonction de conseil Data Recovery Advisor permet de gérer ces deux cas de figure, à savoir
lorsque la base ne peut pas être démarrée (les fichiers de base de données requis étant
manquants, incohérents ou endommagés) et lorsque des corruptions de fichier sont détectées
lors de l'exécution.
Il est conseillé de procéder comme suit pour résoudre les problèmes de défaillances graves de
données :
1. Basculez vers une base de données de secours si vous utilisez une configuration Data
Guard. Les utilisateurs peuvent ainsi se reconnecter rapidement.
2. Réparez la cause originelle de la défaillance (aucun impact pour les utilisateurs).

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 6


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Fonctionnalités de Data Recovery Advisor (suite)
Interfaces utilisateur
La fonction de conseil Data Recovery Advisor est disponible à partir d'Enterprise Manager (EM) :
interfaces Database Control et Grid Control. En cas de défaillance, vous pouvez y accéder de
plusieurs manières. Les exemples suivants partent tous de la page d'accueil de l'instance de base de
données :
• Onglet Availability > Perform Recovery > Advise and Recover
• Lien Active Incidents, puis dans la page Support Workbench "Problems" : onglet Checker
Findings > Launch Recovery Advisor
• Database Instance Health > lien qui vous intéresse (par exemple, ORA 1578) dans la section
Incidents > Support Workbench, page Problems Detail > Data Recovery Advisor
• Database Instance Health > section Related Links : Support Workbench > onglet Checker
Findings : Launch Recovery Advisor
• Related Links : Advisor Central > onglet Advisors : Data Recovery Advisor

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• Related Links : Advisor Central > onglet Checkers : Details > onglet Run Detail : Launch
Recovery Advisor
Vous pouvez également utiliser Data Recovery Advisor via la ligne de commande RMAN :
rman target /
rman> list failure all;
Configurations de base de données prises en charge
Dans sa version actuelle, la fonction de conseil Data Recovery Advisor prend en charge les bases de
données à instance unique. Les configurations RAC (Real Application Clusters) ne sont pas prises en
charge.
Data Recovery Advisor ne sait pas utiliser les blocs ou les fichiers transférés depuis une base de
données de secours pour réparer les défaillances d'une base principale.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 7


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Perte d'un fichier de contrôle
En cas de perte ou de corruption d'un fichier de contrôle, l'instance
est normalement abandonnée.
• Si les fichiers de contrôle sont stockés dans des groupes de
disques ASM, les options de récupération sont les suivantes :
– Effectuer une récupération guidée à l'aide d'Enterprise Manager.
– Placer la base de données en mode NOMOUNT et utiliser une
commande RMAN pour restaurer le fichier de contrôle à partir d'une
copie existante.
RMAN> restore controlfile from
'+DATA/orcl/controlfile/current.260.695209463';

• Si les fichiers de contrôle sont stockés dans le système de

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fichiers :
– Arrêtez la base de données.
– Copiez un fichier de contrôle existant à la place du fichier perdu.
Une fois le fichier de contrôle restauré, ouvrez la base de données.

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Perte d'un fichier de contrôle


Les options de récupération disponibles suite à la perte d'un fichier de contrôle sont
différentes selon la configuration de stockage des fichiers de contrôle et selon qu'il existe
encore au moins une copie du fichier de contrôle ou que tous ont été perdus.
Si vous utilisez la technique de stockage ASM et qu'il reste au moins une copie du fichier de
contrôle, vous pouvez effectuer une récupération guidée à l'aide d'Enterprise Manager ou une
récupération manuelle à l'aide de RMAN, de la manière suivante :
1. Placez la base de données en mode NOMOUNT.
2. Connectez-vous à RMAN et exécutez la commande restore controlfile pour
restaurer le fichier de contrôle à partir d'une copie disponible, par exemple :
restore controlfile from
'+DATA/orcl/controlfile/current.260.695209463';
3. Une fois le fichier de contrôle restauré, ouvrez la base de données.
Si vos fichiers de contrôle sont stockés en tant qu'éléments standard du système de fichiers et
qu'il reste au moins une copie du fichier de contrôle, vous pouvez simplement copier celle-ci
à l'emplacement du fichier perdu pendant que la base est arrêtée. Si la défaillance physique est
due à la perte d'un disque ou d'un contrôleur, copiez l'un des fichiers de contrôle restants vers
un autre emplacement et mettez à jour le fichier de paramètres de l'instance afin qu'il pointe
vers ce nouvel emplacement. Vous pouvez également supprimer du fichier de paramètres
d'initialisation la référence au fichier de contrôle manquant. Rappelez-vous qu'Oracle
recommande de disposer en permanence d'au moins deux exemplaires du fichier de contrôle.
Remarque : La récupération suite à la perte de tous les fichiers de contrôle est traitée dans le
cours Oracle Database 11g : Administration Workshop II.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 8


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Perte d'un fichier de journalisation

Si un membre d'un groupe de fichiers de journalisation est


perdu et que le groupe comporte encore au moins un membre :
• L'instance continue à fonctionner normalement.
• Un message indiquant qu'un membre est introuvable est
écrit dans le fichier d'alertes.
• Vous pouvez restaurer le fichier journal manquant en
supprimant le membre perdu et en ajoutant un nouveau
membre.
• Si le groupe qui contenait le fichier perdu a été archivé,

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vous pouvez le vider pour recréer le fichier manquant.

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Perte d'un fichier de journalisation


La récupération suite à la perte d'un membre unique d'un groupe de fichiers de journalisation ne
doit pas affecter l'instance en cours.
Procédez comme suit :
1. Déterminez si un fichier de journalisation est manquant en consultant le fichier d'alertes.
2. Pour restaurer le fichier manquant, commencez par supprimer le membre perdu du groupe
de fichiers de journalisation :
SQL> ALTER DATABASE DROP LOGFILE MEMBER
'+DATA/orcl/onlinelog/group_1.261.691672257';
Ajoutez ensuite un nouveau membre pour remplacer celui qui a été perdu :
SQL> ALTER DATABASE ADD LOGFILE MEMBER '+DATA' TO GROUP 2;
Vous pouvez également utiliser Enterprise Manager pour supprimer et recréer le membre du
groupe de fichiers de journalisation.
Remarque : Si vous avez opté pour des fichiers de journalisation OMF (Oracle Managed
Files) et utilisez la syntaxe précédente pour ajouter un membre à un groupe de fichiers de
journalisation existant, le nouveau membre n'est pas un fichier OMF. Pour garantir que le
nouveau membre sera un fichier OMF, l'option de récupération la plus simple consiste à
créer un nouveau groupe de fichiers de journalisation, puis à supprimer celui dont un
membre a été perdu.
3. Si la défaillance physique est due à la perte d'un disque ou d'un contrôleur, renommez le
fichier manquant.
4. Si le groupe a déjà été archivé, ou si la base de données est en mode NOARCHIVELOG, vous
pouvez choisir de résoudre le problème en vidant le groupe afin de recréer le ou les fichiers
manquants. Sélectionnez le groupe approprié, puis l'action Clear Logfile. Vous pouvez
également vider manuellement le groupe défectueux à l'aide de la commande suivante :
SQL> ALTER DATABASE CLEAR LOGFILE GROUP #;

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 9


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Perte d'un fichier de journalisation (suite)
Remarque : Database Control ne permet pas de vider un groupe de fichiers de journalisation qui n'a
pas été archivé. En effet, il en résulterait une rupture de la chaîne des informations de journalisation.
Si vous devez vider un groupe de fichiers de journalisation non archivé, procédez immédiatement à
une sauvegarde complète de l'ensemble de la base. A défaut, vous vous exposez à une perte de
données si une autre défaillance se produit. Pour vider un groupe de fichiers de journalisation non
archivé, utilisez la commande suivante :
SQL> ALTER DATABASE CLEAR UNARCHIVED LOGFILE GROUP #;

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 10


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Perte d'un fichier de données
en mode NOARCHIVELOG
Si la base est en mode NOARCHIVELOG et qu'un fichier de
données est perdu, procédez de la manière suivante :
1. Arrêtez l'instance si ce n'est déjà fait.
2. Restaurez l'ensemble de la base à partir de la sauvegarde
(y compris tous les fichiers de données et de contrôle).
3. Ouvrez la base de données.
4. Demandez aux utilisateurs d'entrer à nouveau toutes les
modifications apportées depuis la dernière sauvegarde.

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Utilisateur Utilisateur Utilisateur Utilisateur Utilisateur

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Perte d'un fichier de données en mode NOARCHIVELOG


La perte d'un fichier de données dans une base en mode NOARCHIVELOG nécessite de
restaurer l'ensemble de la base, y compris les fichiers de contrôle et tous les fichiers de
données.
Lorsque la base est en mode NOARCHIVELOG, la récupération n'est possible que jusqu'au
moment de la dernière sauvegarde. Par conséquent, les utilisateurs doivent de nouveau entrer
toutes les modifications qui ont été apportées depuis cette sauvegarde.
Pour effectuer ce type de récupération :
1. Arrêtez l'instance si ce n'est déjà fait.
2. Cliquez sur Perform Recovery dans la page de propriétés Maintenance.
3. Sélectionnez Whole Database comme type de récupération.
Si vous utilisez une base de données en mode NOARCHIVELOG avec une stratégie de
sauvegarde incrémentielle, RMAN restaure le niveau 0 le plus récent avant d'appliquer les
sauvegardes incrémentielles.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 11


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Perte d'un fichier de données non essentiel
en mode ARCHIVELOG

En cas de perte ou d'endommagement d'un fichier de données


n'appartenant pas au tablespace SYSTEM ou UNDO, effectuez
une restauration et une récupération de ce fichier.

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Utilisateurs

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Perte d'un fichier de données non essentiel en mode ARCHIVELOG


Lorsque la base est en mode ARCHIVELOG, la perte d'un fichier de données n'appartenant pas
au tablespace SYSTEM ou UNDO affecte uniquement les objets de ce fichier. Le reste de la
base de données est toujours disponible pour les utilisateurs.
Pour restaurer et récupérer le fichier de données manquant :
1. Cliquez sur Perform Recovery dans la page de propriétés Maintenance.
2. Choisissez le type de récupération Datafiles et sélectionnez l'option "Restore to current
time".
3. Ajoutez tous les fichiers de données à récupérer.
4. Déterminez si vous souhaitez restaurer les fichiers dans l'emplacement par défaut ou (si
un disque ou un contrôleur est manquant) vers un nouvel emplacement.
5. Soumettez la demande d'exécution RMAN afin de restaurer et de récupérer les fichiers
manquants.
Comme la base est en mode ARCHIVELOG, la récupération est possible jusqu'au moment de
la dernière validation (commit) et les utilisateurs n'ont pas besoin d'entrer à nouveau leurs
données.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 12


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Perte d'un fichier de données essentiel pour
le système en mode ARCHIVELOG
Si un fichier de données est perdu ou endommagé et qu'il
appartient au tablespace SYSTEM ou UNDO :
1. L'instance peut éventuellement s'arrêter automatiquement.
Si tel n'est pas le cas, utilisez la commande SHUTDOWN
ABORT pour l'arrêter.
2. Montez la base de données.
3. Restaurez et récupérez le fichier de données manquant.
4. Ouvrez la base de données.

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Utilisateurs

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Perte d'un fichier de données essentiel pour le système en mode ARCHIVELOG


Les fichiers de données appartenant au tablespace SYSTEM ou contenant des données
d'annulation (undo) sont considérés comme essentiels pour le système. La perte de l'un de
ces fichiers nécessite la restauration de la base à partir de l'état MOUNT (contrairement aux
autres fichiers de données, qui peuvent être récupérés base ouverte).
Pour procéder à cette récupération :
1. Arrêtez l'instance si ce n'est déjà fait.
2. Montez la base de données.
3. Cliquez sur Perform Recovery dans la page de propriétés Maintenance.
4. Choisissez le type de récupération Datafiles et sélectionnez l'option "Restore to current
time".
5. Ajoutez tous les fichiers de données à récupérer.
6. Déterminez si vous souhaitez restaurer les fichiers dans l'emplacement par défaut ou (si
un disque ou un contrôleur est manquant) vers un nouvel emplacement.
7. Soumettez la demande d'exécution RMAN afin de restaurer et de récupérer les fichiers
manquants.
8. Ouvrez la base de données. Les utilisateurs n'ont pas besoin d'entrer de nouveau les
données, car la récupération a été effectuée jusqu'au moment de la dernière validation
(commit).

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 13


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Défaillances de données : Exemples

• Composants inaccessibles : fichiers de données


manquants au niveau du système d'exploitation,
permissions d'accès incorrectes, tablespace
hors ligne
• Altérations physiques : erreurs de checksum de bloc,
valeurs de champ d'en-tête de bloc non valides
• Altérations logiques : dictionnaire non cohérent, altération
d'un morceau de ligne, d'une entrée d'index ou d'une
transaction

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• Problèmes d'incohérence : fichier de contrôle plus ancien
ou plus récent que les fichiers de données et les fichiers de
journalisation en ligne
• Problèmes d'E/S : plafond de fichiers ouverts atteint,
canaux inaccessibles, erreur réseau ou erreur d'E/S

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Défaillances de données : Exemples


La fonction de conseil Data Recovery Advisor peut analyser les défaillances et proposer des
solutions pour un grand nombre de problèmes.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 14


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Data Recovery Advisor

1. Evaluer les défaillances Health Monitor

2. Classer les défaillances par ordre de gravité


Data
Recovery
3. Demander un conseil Advisor

4. Choisir une solution et l'exécuter

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5. Effectuer des vérifications proactives DBA

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Data Recovery Advisor


Le workflow de diagnostic d'Oracle Database 11g s'exécute automatiquement. Avec Data
Recovery Advisor, vous devez simplement lancer la fonction de conseil, puis exécuter la
solution associée.
1. Health Monitor effectue des vérifications et consigne les défaillances et les symptômes
correspondants en tant que "résultats" dans le référentiel de diagnostic automatique
(ADR - Automatic Diagnostic Repository).
2. La fonction de conseil Data Recovery Advisor évalue ensuite ces "résultats" et répertorie
les défaillances détectées en fonction de leur gravité.
3. Lorsque vous demandez un conseil pour réparer une défaillance, Data Recovery Advisor
détermine des options automatiques et manuelles, vérifie leur faisabilité et vous propose
une solution.
4. Vous pouvez effectuer une réparation manuellement ou demander à Data Recovery
Advisor de l'exécuter automatiquement.
5. En plus des vérifications automatiques (essentiellement "réactives") de Health Monitor et
de Data Recovery Advisor, Oracle recommande d'utiliser la commande VALIDATE en
tant que vérification "proactive".

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 15


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Evaluer les défaillances

Etat de l'instance
1 de base de données 3 Détails sur le problème
2 Lien vers
l'erreur

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Evaluer les défaillances


L'exemple présenté dans la diapositive décrit l'une des interactions possibles entre Health
Monitor et Data Recovery Advisor.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 16


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Défaillances de données

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Défaillances de données
Les défaillances de données sont détectées par des vérifications définies dans le cadre des
procédures de diagnostic de l'état de la base de données ou de ses composants. Chaque
vérification peut diagnostiquer une ou plusieurs défaillances et déterminer la réparation
appropriée.
Une vérification peut être réactive ou proactive. Lorsqu'une erreur se produit dans la base de
données, des vérifications réactives sont exécutées automatiquement. Des vérifications
proactives peuvent également être lancées (via la commande VALIDATE DATABASE, par
exemple).
Dans Enterprise Manager, sélectionnez Availability > Perform Recovery ou cliquez sur le
bouton Perform Recovery si votre base de données est DOWN ou MOUNTED. Cliquez sur
"Advise and Recover" pour qu'Enterprise Manager analyse le problème et vous conseille sur
sa réparation.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 17


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Afficher la liste des défaillances de données

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Afficher la liste des défaillances de données


La page "View and Manage Failures" sert de page d'accueil pour la fonction de conseil Data
Recovery Advisor. La capture d'écran ci-dessus montre comment Data Recovery Advisor
affiche les informations sur les défaillances de données. Vous pouvez lancer diverses
opérations : afficher des conseils, définir des priorités ou fermer des problèmes.
La commande RMAN LIST FAILURE sous-jacente permet, en outre, de consulter le détail
des défaillances de données. Les évaluations ne sont pas lancées à ce stade. Elles sont
exécutées et stockées dans le référentiel ADR (Automatic Diagnostic Repository).
Les défaillances sont affichées par ordre de priorité décroissant, à savoir : CRITICAL, HIGH,
LOW. A priorité égale, elles sont classées par ordre chronologique croissant.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 18


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Obtenir un conseil de réparation

(1) Après réparation manuelle


(2) Réparation automatique

2a

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2b

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Obtenir un conseil de réparation


Lorsque vous cliquez sur Advise dans la page "View and Manage Failures", la fonction de
conseil Data Recovery Advisor génère une liste de vérifications manuelles. Deux types de
problème peuvent alors être mis en évidence :
• Défaillances qui nécessitent une intervention humaine, par exemple un problème de
connectivité dû à un câble de disque mal branché.
• Défaillances dont la réparation nécessite l'annulation d'une action erronée antérieure. Par
exemple, si vous avez renommé un fichier de données par inadvertance, il est plus rapide
de rétablir son nom précédent que d'effectuer une restauration à partir d'une sauvegarde
via RMAN.
Vous avez le choix entre plusieurs actions :
• Cliquez sur "Re-assess Failures" après avoir effectué une réparation manuelle. Les
problèmes résolus sont fermés implicitement. Tous ceux qui demeurent s'affichent dans
la page "View and Manage Failures".
• Cliquez sur "Continue with Advise" pour lancer une réparation automatisée. Lorsque la
fonction de conseil Data Recovery Advisor propose une option de réparation
automatisée, elle génère un script qui indique comment RMAN compte réparer le
problème. Cliquez sur Continue si vous voulez exécuter la réparation automatisée. Dans
le cas contraire, vous pouvez utiliser ce script comme point de départ d'une réparation
manuelle.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 19


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Exécuter les réparations

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Exécuter les réparations


La diapositive ci-dessus illustre les pages affichées par la fonction de conseil Data Recovery
Advisor. Dans l'exemple présenté, la réparation est effectuée en 40 secondes.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 20


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Vues de la fonction de conseil
Data Recovery Advisor
Vues dynamiques du dictionnaire de données
• V$IR_FAILURE : Liste de tous les problèmes, y compris
ceux qui ont été résolus (résultat de la commande LIST
FAILURE)
• V$IR_MANUAL_CHECKLIST : Liste des réparations
manuelles conseillées (résultat de la commande ADVISE
FAILURE)
• V$IR_REPAIR : Liste des réparations (résultat de la
commande ADVISE FAILURE)

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• V$IR_FAILURE_SET : Correspondance entre
les identifiants des problèmes et ceux des
réparations conseillées

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Vues de la fonction de conseil Data Recovery Advisor


Exemple d'utilisation
Supposons que vous deviez afficher toutes les défaillances détectées le 21 juin 2007.
SELECT * FROM v$ir_failure
WHERE trunc (time_detected) = '21-JUN-2007';
Pour plus d'informations sur les vues dynamiques du dictionnaire de données utilisées par la
fonction de conseil Data Recovery Advisor, consultez le manuel Oracle Database Reference.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 21


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Quiz

Quel événement n'entraîne pas l'échec de l'instance ?


1. Perte d'un fichier de contrôle avec subsistance d'une copie
multiplexée
2. Perte du tablespace SYSTEM
3. Perte d'un seul membre d'un groupe de fichiers de
journalisation avec subsistance d'une copie multiplexée
4. Perte du tablespace d'annulation actif

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Réponse : 3

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 22


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Quiz

Les informations utilisées par la fonction de conseil Data


Recovery Advisor ne sont disponibles que via l'interface
Enterprise Manager.
1. Vrai
2. Faux

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Réponse : 2

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 23


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Synthèse

Ce chapitre vous a permis d'apprendre à :


• déterminer la nécessité d'une récupération
• accéder à différentes interfaces (comme Enterprise
Manager et la ligne de commande)
• décrire et utiliser les options disponibles, notamment
Recovery Manager (RMAN) et Data Recovery Advisor
• effectuer une récupération suite à la perte des fichiers
suivants :

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– fichier de contrôle
– fichier de journalisation
– fichier de données

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 24


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Présentation de l'exercice 16 :
Procéder à une récupération de la base de données

Cet exercice porte sur la récupération suite à la perte :


• d'un fichier de contrôle
• d'un fichier de données non essentiel
• d'un fichier de données essentiel pour le système

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I 16 - 25


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Déplacer des données

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Objectifs

A la fin de ce chapitre, vous pourrez :


• décrire les différentes méthodes disponibles pour déplacer
des données
• créer et utiliser des objets répertoire (DIRECTORY)
• utiliser SQL*Loader pour charger des données à partir
d'une base non Oracle (ou de fichiers utilisateur)
• utiliser des tables externes pour déplacer des données via
des fichiers indépendants de la plate-forme

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• expliquer l'architecture générale d'Oracle Data Pump
• utiliser Data Pump Export et Data Pump Import pour
déplacer des données entre des bases Oracle

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 2


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Déplacer des données :
Architecture générale

SQL*Loader
expdp impdp Autres clients
(sqlldr)

Data Pump

Moteur de déplacement de données/métadonnées


DBMS_DATAPUMP

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Programme de Oracle API de
chargement Data Pump chargement API de
Oracle par chemin métadonnées
API de table externe direct

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Déplacer des données : Architecture générale


Principaux composants fonctionnels :
• DBMS_DATAPUMP : Contient l'API associée aux utilitaires d'export et d'import à haute
vitesse pour le déplacement en masse de données et de métadonnées.
• API de chargement des données par chemin direct (DPAPI) : Oracle Database 11g
prend en charge une interface API de chargement des données par chemin direct qui
réduit les opérations de conversion et d'analyse (parse) des données lors du déchargement
et du chargement.
• DBMS_METADATA : Utilisé par les processus actifs pour le déchargement et le
chargement de toutes les métadonnées. Les définitions d'objet de base de données sont
stockées en langage XML plutôt qu'en langage SQL.
• API de table externe : Avec les pilotes d'accès ORACLE_DATAPUMP et
ORACLE_LOADER, vous pouvez stocker des données dans des tables externes (c'est-à-
dire dans des fichiers indépendants de la plate-forme). L'instruction SELECT lit les tables
externes comme si elles étaient stockées dans une base de données Oracle.
• SQL*Loader : Intégré aux tables externes, ce client permet la migration automatique
des fichiers de contrôle SQL*Loader vers des paramètres d'accès aux tables externes.
• expdp et impdp : Couches légères effectuant les appels au package DBMS_DATAPUMP
pour le lancement et la surveillance d'opérations Data Pump.
• Autres clients : Applications (Database Control, fonctionnalités de réplication,
tablespaces transportables et applications utilisateur) qui bénéficient de cette
infrastructure. SQL*Plus peut également être utilisé comme client de DBMS_DATAPUMP
pour de simples interrogations de statut portant sur les opérations en cours.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 3


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Oracle Data Pump : Présentation
En tant que fonctionnalité basée sur le serveur pour le
déplacement à haute vitesse de données et de métadonnées,
Oracle Data Pump :
• peut être appelé via DBMS_DATAPUMP
• fournit les outils suivants :
– expdp
– impdp
– interface Web
• fournit quatre méthodes de déplacement de données :
– copie de fichiers de données
– chargement par chemin direct

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– tables externes
– liaisons réseau
• se détache des travaux à longue durée d'exécution et s'y
rattache
• redémarre les travaux Data Pump

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Oracle Data Pump : Présentation


Data Pump permet le chargement et le déchargement à très haute vitesse de données et de
métadonnées dans des bases Oracle. L'infrastructure Data Pump peut être appelée via le
package PL/SQL DBMS_DATAPUMP. Il est ainsi possible de construire des utilitaires
personnalisés de déplacement de données à l'aide de Data Pump.
Oracle Database 11g fournit les outils suivants :
• Clients d'export et d'import en mode ligne de commande nommés respectivement expdp
et impdp
• Interface Web d'export et d'import accessible à partir de Database Control
Data Pump décide automatiquement des méthodes d'accès aux données à utiliser (chargement
des données par chemin direct ou tables externes). Il utilise un chargement et un
déchargement des données par chemin direct lorsque la structure d'une table le permet et
lorsque l'objectif est d'obtenir des performances maximales avec un flux unique. Toutefois, en
présence de tables clusterisées, de contraintes d'intégrité référentielle, de colonnes cryptées ou
d'un certain nombre d'autres éléments, Data Pump utilise des tables externes plutôt qu'un
chargement par chemin direct pour déplacer les données.
La possibilité de se détacher temporairement des travaux à longue durée d'exécution et de s'y
rattacher sans affecter le travail lui-même vous permet de surveiller les travaux à partir de
plusieurs emplacements pendant leur exécution. Tous les travaux Data Pump arrêtés peuvent
être redémarrés sans perte de données à condition que les méta-informations restent
inchangées. Peu importe que le travail ait été arrêté volontairement ou involontairement en
raison d'une panne.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 4


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Oracle Data Pump : Avantages
Data Pump offre de nombreux avantages et quelques fonctionnalités
nouvelles par rapport aux outils de déplacement de données plus
anciens :
• Sélection fine d'objets et de données
• Spécification explicite de la version de la base de données
• Exécution en parallèle
• Estimation de la consommation d'espace par l'opération d'export
• Mode réseau dans un environnement distribué
• Fonctionnalités de remise en correspondance
• Echantillonnage des données et compression des métadonnées
• Compression des données pendant une opération Data Pump
d'export

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• Sécurité via le cryptage
• Possibilité d'exporter des données XMLType en tant qu'objets
CLOB
• Mode propriétaire permettant la prise en charge des anciens
fichiers d'import et d'export

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Oracle Data Pump : Avantages


Les paramètres EXCLUDE, INCLUDE et CONTENT sont utilisés pour une sélection fine d'objets
et de données.
Vous pouvez indiquer la version de la base de données pour les objets à déplacer (à l'aide du
paramètre VERSION) afin de créer un jeu de fichiers dump compatible avec une version
antérieure de la base Oracle prenant en charge Data Pump.
Vous pouvez utiliser le paramètre PARALLEL pour indiquer le nombre maximal de threads de
serveurs d'exécution actifs pour le compte du travail d'export.
Vous pouvez estimer la quantité d'espace consommée par un travail d'export (sans réellement
réaliser l'export) à l'aide du paramètre ESTIMATE_ONLY.
Grâce au mode réseau, vous pouvez procéder directement à un export entre une base de
données distante et un jeu de fichiers dump. Cela est possible grâce à un lien de base de
données vers le système source.
Pendant l'import, vous pouvez modifier les noms de fichier, les schémas et les tablespaces
cible.
Vous pouvez en outre préciser le pourcentage de données à échantillonner et à décharger à
partir de la base source lors de la réalisation d'une opération Data Pump Export. Il faut pour
cela indiquer le paramètre SAMPLE.
Vous pouvez utiliser le paramètre COMPRESSION pour indiquer si les métadonnées doivent
être compressées dans le fichier dump d'export afin de consommer moins d'espace disque. Si
vous compressez les métadonnées, elles sont automatiquement décompressées pendant
l'import.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 5


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Data Pump : Améliorations apportées par Oracle Database 11g
Oracle Database 11g offre de nouvelles fonctionnalités qui vous permettent d'effectuer les actions
suivantes :
• Compresser à la fois les données et les métadonnées, les données seulement, les métadonnées
seulement ou aucune donnée pendant une opération d'export.
• Indiquer des options de cryptage supplémentaires dans les domaines suivants :
- Vous pouvez choisir de crypter les données et les métadonnées, les données seulement, les
métadonnées seulement, aucune donnée ou uniquement les colonnes cryptées pendant une
opération d'export.
- Vous pouvez indiquer l'algorithme de cryptage à utiliser pendant l'export.
- Vous pouvez préciser le type de sécurité à utiliser pour le cryptage et le décryptage pendant
une opération d'export. Par exemple, il est possible que le jeu de fichiers dump soit importé
dans une base de données différente ou distante. Dans ce cas, il doit rester sécurisé pendant
le transfert. Il peut également être importé, soit sur site à l'aide d'Oracle Encryption Wallet,
soit hors site si Oracle Encryption Wallet n'est pas disponible.

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• Effectuer des exports et des imports en mode table à l'aide de la méthode transportable et
préciser le mode de gestion des tables partitionnées pendant les opérations d'import.
• Remplacer les fichiers dump existants pendant une opération d'export.
• Renommer des tables pendant une opération d'import.
• Indiquer qu'un chargement de données doit être effectué même en cas de violation des
contraintes immédiates. (Cette option n'est valide que pour les opérations d'import qui utilisent
la méthode d'accès par tables externes.)
• Indiquer que les colonnes XMLType doivent être exportées au format CLOB non compressé,
quel que soit le format de stockage XMLType qui a été défini pour ces colonnes.
• Pendant un export, indiquer une fonction de remise en correspondance qui utilise la valeur
d'origine de la colonne désignée comme source et renvoie une valeur remise en correspondance
pour remplacer la valeur initiale dans le fichier dump.
• Remettre les données en correspondance pendant leur import dans une nouvelle base.
• Utiliser les anciens scripts Export (exp) et Import (imp) grâce au mode propriétaire.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 6


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Objets répertoire pour Data Pump

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Objets répertoire pour Data Pump


Les objets répertoire (DIRECTORY) sont des structures logiques représentant un répertoire
physique dans le système de fichiers du serveur. Ils contiennent l'emplacement d'un répertoire
spécifique du système d'exploitation. Les noms des objets répertoire peuvent être utilisés dans
Enterprise Manager, ce qui évite d'avoir à coder les chemins d'accès en dur. La gestion des
fichiers est ainsi plus souple. Les objets répertoire appartiennent à l'utilisateur SYS. Les noms
de répertoire sont uniques au sein de la base de données car tous les répertoires sont situés
dans un espace de noms unique (SYS).
Les objets répertoire sont nécessaires lorsque vous indiquez l'emplacement de fichiers pour
Data Pump, car ce dernier accède à des fichiers situés sur le serveur plutôt que sur le client.
Dans Enterprise Manager, sélectionnez Schema > Database Objects > Directory Objects.
Pour modifier ou supprimer un objet répertoire, sélectionnez-le et cliquez sur le bouton
approprié.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 7


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Créer des objets répertoire

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Créer des objets répertoire


1. Dans la page Directory Objects, cliquez sur le bouton Create.
2. Entrez le nom de l'objet répertoire, ainsi que son chemin d'accès au niveau du système
d'exploitation. Il est nécessaire de créer les répertoires du système d'exploitation avant de
les utiliser. Vous pouvez procéder à un test en cliquant sur le bouton Test File System.
Pour ce test, indiquez les informations d'identification et de connexion (credentials) à
l'hôte (c'est-à-dire l'utilisateur du système d'exploitation qui dispose de privilèges sur ce
répertoire du système d'exploitation).
3. Les droits concernant les objets répertoire sont différents des droits du système
d'exploitation sur le répertoire physique dans le système de fichiers du serveur. Vous
pouvez gérer les privilèges utilisateur sur des objets répertoire individuels. Le niveau de
sécurité est ainsi accru et vous disposez d'un contrôle fin sur ces objets. Dans la page
Privileges, cliquez sur Add pour sélectionner l'utilisateur auquel vous souhaitez octroyer
des privilèges de lecture et/ou d'écriture.
4. Cliquez sur Show SQL pour afficher les instructions sous-jacentes. Cliquez sur Return
lorsque vous avez terminé.
5. Cliquez sur OK pour créer l'objet.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 8


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Clients Data Pump Export et Data Pump Import :
Présentation
Client Lien de base
expdp de données

Source Cible
Travail Processus
Data Pump serveur
Base de Base de
données données
Table Jeu de Jeu de Table
maître fichiers fichiers maître
dump dump

"Mode réseau"

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Processus Travail
serveur Data Pump

Client
impdp

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Clients Data Pump Export et Data Pump Import : Présentation


Data Pump Export est un utilitaire permettant de décharger des données et des métadonnées
dans un ensemble de fichiers du système d'exploitation appelé jeu de fichiers dump. Data
Pump Import est utilisé pour charger sur un système cible les métadonnées et les données
stockées dans un jeu de fichiers dump d'export.
L'API Data Pump accède à ses fichiers sur le serveur plutôt que sur le client.
Les utilitaires Data Pump Export et Data Pump Import peuvent également être employés pour
effectuer un export direct entre une base de données distante et un jeu de fichiers dump, ou
pour charger la base de données cible directement à partir de la base source, sans fichiers
intermédiaires. C'est ce qu'on appelle le mode réseau. Ce mode est particulièrement utile pour
exporter des données à partir d'une base source en lecture seule.
Au centre de chaque opération Data Pump figure la table maître, qui est créée dans le schéma
de l'utilisateur exécutant le travail Data Pump. La table maître gère tous les aspects du travail.
Elle est construite pendant un travail d'export basé sur des fichiers et son écriture dans le jeu
de fichiers dump constitue la dernière étape. Inversement, le chargement de la table maître
dans le schéma de l'utilisateur actuel est la première étape d'une opération d'import basée sur
des fichiers. Cette table est utilisée pour séquencer la création de tous les objets importés.
Remarque : La table maître est la clé de la fonctionnalité de redémarrage de Data Pump en
cas d'arrêt planifié ou non planifié du travail. Elle est supprimée lorsque le travail Data Pump
se termine normalement.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 9


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Utilitaire Data Pump : Interfaces et modes

• Interfaces Data Pump Export et Data Pump Import :


– Ligne de commande
– Fichier de paramètres
– Ligne de commande interactive
– Enterprise Manager
• Modes Data Pump Export et Data Pump Import :
– Complet
– Schéma

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– Table
– Tablespace
– Tablespace transportable

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Utilitaire Data Pump : Interfaces et modes


Vous pouvez interagir avec les utilitaires Data Pump Export et Data Pump Import à l'aide de
l'une des interfaces suivantes :
• Interface de ligne de commande : Vous pouvez indiquer la plupart des paramètres
d'export directement sur la ligne de commande.
• Fichier de paramètres : Vous pouvez indiquer tous les paramètres de ligne de
commande dans un fichier de paramètres. La seule exception est le paramètre PARFILE.
• Ligne de commande interactive : Arrête la connexion au terminal et affiche les invites
d'export ou d'import à partir desquelles vous pouvez entrer différentes commandes. Pour
activer ce mode, appuyez sur [Ctrl] + [C] pendant une opération d'export démarrée avec
l'interface de ligne de commande ou l'interface de type fichier de paramètres. Le mode
commande interactif est également activé lorsque vous vous attachez à un travail qui est
en cours d'exécution ou arrêté.
• Interface Web : Dans la page d'accueil de Database Control, cliquez sur l'onglet Data
Movement, puis sélectionnez l'un des liens suivants dans la région Move Row Data :
Export to Export Files, Import from Export Files ou Import from Database.
Les utilitaires Data Pump Export et Data Pump Import fournissent différents modes de
déchargement et de chargement pour différentes parties de la base de données. Le mode est
indiqué sur la ligne de commande à l'aide du paramètre approprié. Les modes disponibles sont
répertoriés dans la diapositive ci-dessus. Ils sont identiques à ceux des utilitaires d'export et
d'import d'origine.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 10


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Procédure d'export Data Pump à l'aide
de Database Control

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Procédure d'export Data Pump à l'aide de Database Control


Enterprise Manager Database Control fournit un assistant qui vous guide tout au long d'une
procédure d'export et d'import Data Pump. L'exemple ci-dessus illustre une opération
d'export.
Dans la page d'accueil de l'instance de base de données, cliquez sur l'onglet Data Movement
et repérez les options d'export et d'import Data Pump répertoriées sous le titre "Move Row
Data". Cliquez sur le lien "Export to Export Files" pour lancer une session d'export Data
Pump.
La fenêtre suivante permet de sélectionner un type d'export. Si l'utilisateur connecté à
l'instance de base de données est doté de privilèges, les types d'export disponibles sont les
suivants :
• Database
• Schemas
• Tables
• Tablespace
Si l'utilisateur est connecté avec un compte sans privilèges d'administration, la liste des types
d'export est limitée aux options suivantes :
• Schemas
• Tables
Cliquez sur Continue pour continuer l'opération d'export.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 11


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Exemple d'export Data Pump : Options de base

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Exemple d'export Data Pump : Options de base


La page Options propose des options configurables pour le travail d'export Data Pump.
L'entrée "Maximum Number of Threads in Export Job" correspond au paramètre PARALLEL
de la ligne de commande. La valeur que vous indiquez doit être inférieure ou égale au nombre
de fichiers du jeu de fichiers dump. Cette option détermine le nombre de processus serveur
d'E/S en parallèle utilisés, sans compter le processus de contrôle maître et les processus actifs
jouant le rôle de coordinateurs d'interrogations dans les opérations Parallel Query.
L'option Estimate Disk Space inscrit une estimation (en octets) de la quantité d'espace disque
consommée par le travail d'export dans la sortie standard et le fichier journal. Cette estimation
peut être fondée sur le produit du nombre de blocs par leur taille ou sur l'analyse de
statistiques récentes. Cette option correspond au paramètre ESTIMATE de la ligne de
commande.
L'option Generate Log File permet d'associer au travail d'export un fichier journal facultatif
pour tous les messages relatifs au travail en cours, au travail terminé et aux erreurs
rencontrées. L'utilisateur qui effectue l'export doit disposer de droits d'écriture sur l'objet
répertoire indiqué pour ce fichier journal. Si le fichier journal que vous spécifiez existe déjà, il
est écrasé. Cette option correspond au paramètre LOGFILE de la ligne de commande.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 12


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Exemple d'export Data Pump : Options avancées

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Exemple d'export Data Pump : Options avancées


Vous pouvez afficher les options avancées en cliquant sur le lien "Show Advanced Options".
La section Content de la page permet de filtrer les éléments exportés : données seulement,
métadonnées seulement ou données et métadonnées. Cette option correspond au paramètre
CONTENT de la ligne de commande. La section Content contient également des options pour
définir les paramètres INCLUDE et EXCLUDE de la ligne de commande.
Le paramètre EXCLUDE permet d'exclure n'importe quel type d'objet de base de données
d'une opération d'export ou d'import. Le qualificatif de nom facultatif vous permet d'effectuer
une sélection à un niveau plus détaillé au sein de chaque type d'objet indiqué, comme dans les
exemples suivants :
EXCLUDE=VIEW
EXCLUDE=PACKAGE
EXCLUDE=INDEX:"LIKE 'EMP%'"
Le paramètre INCLUDE permet de restreindre une opération aux objets et aux types d'objet
indiqués.
Syntaxe : INCLUDE = object_type[:"name_expr"]
Des interrogations Flashback peuvent être utilisées pendant l'export des données.
Le paramètre QUERY fonctionne de la même manière qu'avec l'utilitaire d'export d'origine,
avec deux améliorations significatives. Il peut être qualifié avec un nom de table de façon à
s'appliquer uniquement à cette table. Par ailleurs, il peut également être utilisé pendant
l'import. Voici un exemple :
QUERY=hr.employees:"WHERE department_id in (10,20)

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 13


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Exemple d'export Data Pump : Fichiers

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Exemple d'export Data Pump : Fichiers


Le paramètre DUMPFILE indique le nom et (éventuellement) le répertoire des fichiers dump
basés sur des disques. Plusieurs spécifications de fichiers peuvent être fournies sous la forme
d'une liste séparée par des virgules ou dans des spécifications de paramètre DUMPFILE
distinctes. Les noms de fichier peuvent contenir la variable de substitution %U, ce qui
implique que plusieurs fichiers peuvent être générés. La variable %U est développée en un
entier à deux caractères, de longueur fixe, augmentant de façon monotone à partir de 01. Si
aucun paramètre DUMPFILE n'est indiqué, expdat.dmp est utilisé par défaut. Par défaut,
les fichiers dump créés sont en auto-extension.
Si le paramètre FILESIZE est indiqué, chaque fichier présente une taille de FILESIZE
octets et n'est pas en auto-extension. Si davantage d'espace dump est requis et qu'un modèle
avec %U a été fourni, un nouveau fichier de FILESIZE octets est créé automatiquement.
Dans le cas contraire, le client reçoit un message l'invitant à ajouter un nouveau fichier.
Si un modèle avec %U est indiqué, le nombre de fichiers initialement créés est égal à la valeur
du paramètre PARALLEL.
Si l'un des fichiers créés a le même nom qu'un fichier préexistant, il n'écrase pas ce dernier
par défaut. Une erreur est générée et le travail est abandonné. Si vous souhaitez écraser les
fichiers existants, indiquez le paramètre REUSE_DUMPFILES=Y. Cliquez sur Next pour
continuer l'opération d'export.
Remarque : Si plusieurs modèles de fichier dump sont fournis, ils sont utilisés de façon
circulaire pour la génération des fichiers dump.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 14


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Exemple d'export Data Pump : Fichiers (suite)
• Vous n'avez pas besoin de créer manuellement un objet répertoire avant d'utiliser Data Pump
Export.
Un objet répertoire par défaut nommé DATA_PUMP_DIR est créé pour chaque base de données
nouvellement créée ou mise à niveau par un script sous UNIX ou Windows. L'accès au
répertoire DATA_PUMP_DIR est octroyé automatiquement aux rôles EXP_FULL_DATABASE
et IMP_FULL_DATABASE. Le répertoire DATA_PUMP_DIR est créé à l'un des emplacements
suivants :
- <ORACLE_BASE>/admin/DB_UNIQUE_NAME/dpdump
- <ORACLE_HOME>/admin/DB_UNIQUE_NAME/dpdump
La spécification de chemin exacte du répertoire DATA_PUMP_DIR varie selon la valeur des
variables d'environnement système ORACLE_BASE et ORACLE_HOME, et selon l'existence du
sous-répertoire DATA_PUMP_DIR. Si la variable ORACLE_BASE est définie sur le système
cible, sa valeur est utilisée. Sinon, c'est la valeur de la variable ORACLE_HOME qui est utilisée.
Si, pour une raison ou pour une autre, le sous-répertoire DATA_PUMP_DIR est introuvable, le

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chemin par défaut suivant est utilisé :
ORACLE_HOME/rdbms/log
Remarque : Dans tous les cas, vous devez disposer des privilèges d'accès appropriés à l'objet
répertoire pour l'opération tentée. Pour un export, vous avez besoin d'un accès en écriture sur tous les
fichiers. Pour un import, vous avez besoin d'un accès en lecture sur les fichiers dump et d'un accès en
écriture sur les fichiers journaux et les fichiers SQL.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 15


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Exemple d'export Data Pump : Planification

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Exemple d'export Data Pump : Planification


Les travaux Data Pump (créés via cet assistant) peuvent être planifiés par Enterprise Manager
Database Control en tant que travaux répétitifs. Si vous ne renseignez pas le champ Job
Name, un nom de travail est généré automatiquement par le système. Cliquez sur Next pour
continuer l'opération d'export.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 16


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Exemple d'export Data Pump : Récapitulatif

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Exemple d'export Data Pump : Récapitulatif


La page Review récapitule les informations entrées dans les pages précédentes et permet
d'examiner la syntaxe PL/SQL de la procédure d'export. Cliquez sur Submit Job pour
continuer. Une fois lancé, le travail ne peut pas être annulé et il vaut mieux fermer la fenêtre
de navigateur.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 17


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Exemple d'import Data Pump : impdp

Vous pouvez lancer Data Pump à partir de la ligne de


commande pour disposer de davantage d'options.

$ impdp hr DIRECTORY=DATA_PUMP_DIR \
DUMPFILE=HR_SCHEMA.DMP \
PARALLEL=1 \
CONTENT=ALL \
TABLES="EMPLOYEES" \
LOGFILE=DATA_PUMP_DIR:import_hr_employees.log \
JOB_NAME=importHR \
TRANSFORM=STORAGE:n

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Exemple d'import Data Pump : impdp


Data Pump fournit des clients en mode ligne de commande pour les opérations d'import et
d'export. L'exemple ci-dessus illustre un import Data Pump via l'utilitaire impdp. Lorsque
vous exécutez Data Pump via la ligne de commande, vous disposez d'options
supplémentaires. Vous trouverez la liste complète de ces options dans le manuel Oracle
Database Utilities 11g Release 2 (11.2).

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 18


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Data Pump Import : Transformations

Vous pouvez remettre en correspondance :


• des fichiers de données à l'aide de REMAP_DATAFILE
• des tablespaces à l'aide de REMAP_TABLESPACE
• des schémas à l'aide de REMAP_SCHEMA
• des tables à l'aide de REMAP_TABLE
• des données à l'aide de REMAP_DATA

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REMAP_TABLE = 'EMPLOYEES':'EMP'

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Data Pump Import : Transformations


Les métadonnées d'objet étant stockées au format XML dans le jeu de fichiers dump, il est
facile d'appliquer des transformations lors de la formation d'une instruction LDD pendant
l'import. Data Pump Import prend en charge plusieurs transformations :
• REMAP_DATAFILE est utile lors du déplacement de bases de données entre des
plates-formes présentant des sémantiques de système de fichiers différentes.
• REMAP_TABLESPACE permet de déplacer des objets d'un tablespace vers un autre.
• REMAP_SCHEMA fournit l'ancienne fonctionnalité FROMUSER /TOUSER permettant de
modifier le propriétaire d'un objet.
• REMAP_TABLE permet de renommer des tables complètes.
• REMAP_DATA permet de remettre en correspondance des données pendant leur insertion.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 19


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Utiliser Enterprise Manager pour surveiller
les travaux Data Pump

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Utiliser Enterprise Manager pour surveiller les travaux Data Pump


Vous pouvez employer l'interface graphique d'Enterprise Manager pour surveiller tous les
travaux Data Pump, y compris ceux qui ont été créés à l'aide des interfaces de ligne de
commande expdp et impdp ou à l'aide du package DBMS_DATAPUMP.
Vous pouvez afficher et modifier le statut actuel du travail (EXECUTE, STOP ou SUSPEND).
Pour accéder à la page "Export and Import Jobs", cliquez sur le lien "Monitor Export and
Import Jobs" dans la région Move Row Data de la page Maintenance.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 20


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Migration à l'aide du mode propriétaire de Data Pump
• Assistance pour la transition des utilitaires imp et exp
aux utilitaires impdp et expdp
• Les utilitaires Data Pump :
1. Passent en mode propriétaire lorsqu'ils rencontrent un
paramètre propre à l'utilitaire imp ou exp
2. Essaient de convertir l'ancienne syntaxe dans la nouvelle
syntaxe
3. Affichent la nouvelle syntaxe
4. Quittent le mode propriétaire
Conseil : Oracle recommande fortement de prendre si possible

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le temps d'examiner la nouvelle syntaxe et d'apporter les
modifications nécessaires aux scripts.

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Migration à l'aide du mode propriétaire de Data Pump


En raison de l'utilisation intensive des scripts d'import et d'export, Oracle Database 11g
Release 2 fournit une aide à la migration via le mode propriétaire de Data Pump. Les
utilitaires Data Pump :
1. Passent en mode propriétaire lorsqu'ils rencontrent un paramètre propre à l'utilitaire exp
ou imp, que ce soit dans la ligne de commande ou dans un script.
2. Mettent l'ancien paramètre en correspondance avec le paramètre expdp ou impdp
équivalent (si possible).
3. Affichent la commande convertie, de sorte que vous pouvez examiner la nouvelle
syntaxe et apporter des modifications si vous en avez le temps.
4. Quittent le mode propriétaire s'ils rencontrent une combinaison d'anciens et de nouveaux
paramètres (la combinaison d'un paramètre Data Pump avec un paramètre de l'ancien
utilitaire d'export ou d'import provoque l'abandon de Data Pump sans exécution de la
tâche).
Pour plus d'informations sur les nouvelles fonctionnalités, reportez-vous au manuel Oracle
Database Utilities 11g Release 2.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 21


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Mode propriétaire de Data Pump
Les utilitaires d'export et d'import Data Pump :
• lisent et écrivent des fichiers au format Data Pump uniquement
• acceptent les commandes des utilitaires exp et imp en mode
propriétaire
• comprennent des paramètres en mode propriétaire qui peuvent
être :
– identiques à la nouvelle syntaxe :
FILESIZE=integer[B | K | M | G]
– similaires :
QUERY= query_clause
– ignorés lorsque la commande est supplantée par des options Data

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Pump par défaut :
BUFFER=integer
COMPRESS={y|n}
DIRECT={y|n}
– générateurs d'erreurs en cas de mélange entre l'ancienne syntaxe et
la nouvelle

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Mode propriétaire de Data Pump


Les utilitaires Data Pump ne fonctionnent qu'avec des fichiers au format Data Pump. (Les
fichiers créés par l'utilitaire exp doivent être lus par l'utilitaire imp.) Le mode propriétaire de
Data Pump permet d'utiliser les scripts existants avec les utilitaires Data Pump, mais vous
devez utiliser la nouvelle syntaxe Data Pump si vous voulez accéder aux nouvelles
fonctionnalités de la base de données.
Lorsqu'un utilitaire Data Pump rencontre un paramètre spécifique à exp ou imp, il passe en
mode propriétaire.
• Les paramètres identiques sont utilisés tels quels. Par exemple,
FILESIZE=integer[B | K | M | G] définit la taille maximale d'un fichier
dump.
• Le paramètre QUERY=query_clause ne provoque aucune conversion, mais il
convient de noter que l'utilitaire expdp gère des interrogations moins restrictives que
l'ancien utilitaire d'export. Les résultats des interrogations risquent donc d'être légèrement
différents.
• Certains paramètres sont ignorés parce qu'ils sont remplacés par de nouvelles options par
défaut, par exemple :
- Le paramètre BUFFER=integer est ignoré parce que l'utilitaire expdp ne
comprend pas de mode par chemin conventionnel.
- Le paramètre COMPRESS={y|n} est ignoré parce que l'utilitaire expdp ne
comprend pas de paramètre équivalent.
- Le paramètre DIRECT={y|n} est ignoré parce que l'utilitaire expdp détermine si
l'export demandé doit utiliser le mode par chemin direct ou par table externe.
• Un mélange de paramètres exp/imp et Data Pump provoque l'échec du travail.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 22


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Mode propriétaire de Data Pump

• Les paramètres du mode propriétaire :


– sont convertis en paramètres Data Pump si possible :
consistent={y|n} -> FLASHBACK_TIME
GRANTS=n -> EXCLUDE=CONSTRAINTS
INDEXES=n -> EXCLUDE=INDEX
LOG=filename -> LOGFILE=filename
FILE=filename -> dumpfile=directory-object:filename
– peuvent être similaires, mais pas identiques :
FEEDBACK=integer -> STATUS
– provoquent une erreur s'ils sont incompatibles avec la

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nouvelle syntaxe Data Pump :
VOLSIZE=integer

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Mode propriétaire de Data Pump (suite)


Utilisez le mode propriétaire de Data Pump pour transférer vos anciens scripts dans la
nouvelle version. Plusieurs paramètres doivent être adaptés à la nouvelle syntaxe :
• Data Pump connaît l'heure en cours et convertit le paramètre CONSISTENT={y|n} en
FLASHBACK_TIME.
• Le paramètre GRANTS=n est converti en EXCLUDE=GRANT.
• Le paramètre INDEXES=n est converti en EXCLUDE=INDEX.
• Le paramètre LOG=filename est converti en LOGFILE=filename. Le contenu du
fichier journal (messages d'information et d'erreur) est au format expdp.
• Le paramètre FILE=filename est converti en dumpfile=directory-
object:filename. Toutefois, l'utilitaire expdp abandonne la procédure s'il ne
trouve pas le chemin d'un objet répertoire existant.
La nouvelle fonctionnalité d'un paramètre converti peut être différente de la fonctionnalité de
l'ancien paramètre. Par exemple, le paramètre FEEDBACK=integer est converti en
STATUS. Il ne s'agit pas d'une correspondance directe car le nouveau paramètre renvoie le
statut du travail d'export et pas seulement le nombre de lignes traitées.
Un paramètre peut entraîner l'abandon d'un travail parce qu'il est incompatible avec Data
Pump. Par exemple, le paramètre VOLSIZE=integer de l'utilitaire exp définit la taille des
volumes sur bande. Data Pump ne prend pas en charge les lecteurs de bande. Ces derniers sont
gérés par Oracle Secure Backup.
Vous trouverez toutes les correspondances entre les paramètres des utilitaires exp/imp et
ceux des utilitaires Data Pump dans le manuel Oracle Database Utilities 11g Release 2.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 23


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Gérer les emplacements de fichier

• Utilitaires exp et imp : Noms de fichier entièrement


qualifiés
• Data Pump : Objet répertoire pour les emplacements de
fichier
– Emplacement par défaut (dans les versions antérieures) :
Paramètre DATA_PUMP_DIR
– Nouvel objet répertoire facultatif DATA_PUMP_DIR_schema-
name
– Géré à l'aide des commandes SQL CREATE DIRECTORY et
GRANT

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– Emplacement par défaut (indépendant du mode propriétaire)
dans les cas suivants :
— Ligne de commande sans paramètre DIRECTORY
— Utilisateur sans privilège EXP_FULL_DATABASE

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Gérer les emplacements de fichier


Les anciens utilitaires d'export et d'import et les utilitaires Data Pump ne gèrent pas les
emplacements de fichier de la même façon. En effet, les anciens utilitaires étaient basés sur le
client et tous les noms de fichier étaient entièrement qualifiés.
Les utilitaires Data Pump sont basés sur le serveur. Ils nécessitent l'utilisation d'un objet
répertoire pour indiquer les emplacements de fichier. Cet objet répertoire doit être accessible
par le schéma. Dans les versions antérieures, l'emplacement par défaut était défini par le
paramètre d'initialisation DATA_PUMP_DIR.
Cette fonctionnalité n'impose pas de nouvelles tâches obligatoires au DBA. Elle introduit un
objet répertoire DATA_PUMP_DIR_<schema-name> facultatif. Si vous choisissez de créer
cet objet répertoire à l'aide des commandes SQL CREATE DIRECTORY et GRANT SQL, vous
donnez aux schémas désignés la possibilité d'utiliser les utilitaires d'export et d'import Data
Pump (ce qui aura un impact sur les ressources habituelles du serveur telles que la CPU, la
mémoire et l'espace disque).
Les utilitaires Data Pump utilisent cet objet répertoire quand aucun répertoire n'est indiqué
dans la ligne de commande et quand l'utilisateur n'a pas le privilège EXP_FULL_DATABASE.
Cet objet est indépendant du mode propriétaire.

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SQL*Loader : Présentation

Fichiers de Fichier de
données d'entrée contrôle
SQL*Loader Rejet
Traitement des champs
Abandon Acceptation
Enregistrement de la sélection
Sélection
Fichier des
Serveur Oracle enregistrements

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Fichier de Rejet refusés
Insertion
rebut
(facultatif)
Fichier
journal

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SQL*Loader : Présentation
L'utilitaire SQL*Loader charge les données de fichiers externes dans des tables d'une base de
données Oracle. Cet utilitaire dispose d'un puissant moteur d'analyse (parse) qui ne limite que
très peu le format des données du fichier.
SQL*Loader utilise les fichiers suivants :
Fichiers de données d'entrée : SQL*Loader lit les données à partir d'un ou plusieurs fichiers
(ou équivalents de fichiers dans le système d'exploitation), indiqués dans le fichier de
contrôle. Du point de vue de SQL*Loader, les données du fichier sont organisées en
enregistrements. Un fichier de données peut se présenter dans un format d'enregistrement de
type fixe, un format d'enregistrement de type variable ou un format d'enregistrement de type
"flux". Ce format peut être défini dans le fichier de contrôle via le paramètre INFILE. Si
aucun format d'enregistrement n'est défini, le format d'enregistrement de type "flux" est utilisé
par défaut.
Fichier de contrôle : Le fichier de contrôle est un fichier texte écrit dans un langage
compréhensible par SQL*Loader. Le fichier de contrôle indique à SQL*Loader où trouver les
données, comment les analyser et les interpréter, où insérer les données, etc. Bien que ce ne
soit pas explicitement défini, le fichier de contrôle du programme de chargement est composé
de trois sections.
• La première section contient des informations de niveau session, par exemple :
- Options globales, telles que le nom du fichier de données d'entrée et les
enregistrements à ignorer
- Clauses INFILE indiquant où trouver les données d'entrée
- Données à charger

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SQL*Loader : Présentation (suite)
• La deuxième section est constituée d'un ou de plusieurs blocs INTO TABLE. Chacun de ces
blocs contient des informations sur la table dans laquelle les données doivent être chargées,
telles que le nom et les colonnes de la table.
• La troisième section est facultative et, si elle est présente, contient les données d'entrée.
Fichier journal : Lorsque l'exécution de SQL*Loader commence, un fichier journal est créé. Si le
système ne peut pas créer ce fichier journal, l'exécution se termine. Le fichier journal contient un
récapitulatif détaillé de la charge, notamment une description des erreurs qui se sont produites
pendant le chargement.
Fichier des enregistrements refusés (bad file) : Ce fichier contient les enregistrements qui sont
rejetés, soit par SQL*Loader, soit par la base de données Oracle. Les enregistrements de fichiers de
données sont rejetés par SQL*Loader lorsque le format d'entrée n'est pas valide. Une fois que
SQL*Loader a accepté le traitement d'un enregistrement de fichiers de données, ce dernier est
envoyé à la base Oracle en vue de son insertion dans une table sous forme de ligne. Si la base de

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données Oracle détermine qu'elle est valide, la ligne est insérée dans la table. Si la ligne est
considérée comme non valide, l'enregistrement est rejeté et SQL*Loader le place dans le fichier des
enregistrements refusés.
Fichier de rebut : Ce fichier n'est créé que s'il est nécessaire, et uniquement si vous avez indiqué
qu'un fichier de rebut doit être activé. Le fichier de rebut contient les enregistrements qui sont exclus
du chargement parce qu'ils ne satisfont à aucun des critères de sélection indiqués dans le fichier de
contrôle.
Pour plus d'informations sur SQL*Loader, reportez-vous au manuel Oracle Database Utilities.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 26


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Charger des données avec SQL*Loader

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Charger des données avec SQL*Loader


Utilisez l'assistant "Load Data from User Files Wizard" pour charger les données d'un fichier
plat dans une base Oracle.
Pour afficher l'assistant, sélectionnez Enterprise Manager Data Movement > Move Row Data
> Load Data from User Files.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 27


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Fichier de contrôle SQL*Loader

Le fichier de contrôle SQL*Loader fournit à ce dernier les


informations suivantes :
• Emplacement des données à charger
• Format des données
• Détails de configuration :
– Gestion de la mémoire
– Rejet des enregistrements
– Détails du traitement des chargements interrompus

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• Détails de la manipulation de données

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Fichier de contrôle SQL*Loader


Le fichier de contrôle SQL*Loader est un fichier texte contenant des instructions LDD
(langage de définition de données). Ces instructions LDD sont utilisées pour contrôler les
aspects suivants d'une session SQL*Loader :
• Où SQL*Loader peut trouver les données à charger.
• Comment ces données doivent être formatées pour SQL*Loader.
• Comment SQL*Loader est configuré (notamment gestion de la mémoire, critères de
sélection et de rejet, traitement des chargements interrompus, etc.) lors du chargement
des données.
• Comment SQL*Loader manipule les données chargées.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 28


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Fichier de contrôle SQL*Loader (suite)
1 -- This is a sample control file
2 LOAD DATA
3 INFILE ’SAMPLE.DAT’
4 BADFILE ’sample.bad’
5 DISCARDFILE ’sample.dsc’
6 APPEND
7 INTO TABLE emp
8 WHEN (57) = ’.’
9 TRAILING NULLCOLS
10 (hiredate SYSDATE,
deptno POSITION(1:2) INTEGER EXTERNAL(3)
NULLIF deptno=BLANKS,
job POSITION(7:14) CHAR TERMINATED BY WHITESPACE
NULLIF job=BLANKS "UPPER(:job)",
mgr POSITION(28:31) INTEGER EXTERNAL
TERMINATED BY WHITESPACE, NULLIF mgr=BLANKS,

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ename POSITION(34:41) CHAR
TERMINATED BY WHITESPACE "UPPER(:ename)",
empno POSITION(45) INTEGER EXTERNAL
TERMINATED BY WHITESPACE,
sal POSITION(51) CHAR TERMINATED BY WHITESPACE
"TO_NUMBER(:sal,’$99,999.99’)",
comm INTEGER EXTERNAL ENCLOSED BY ’(’ AND ’%’
":comm * 100"
)
Voici l'explication des différentes lignes de cet exemple de fichier de contrôle :
1. Les commentaires peuvent apparaître n'importe où dans la section de commande du fichier,
mais ils ne doivent pas apparaître dans les données. Faites précéder les commentaires de deux
traits d'union. Tout le texte situé à droite du double trait d'union est ignoré, jusqu'à la fin de la
ligne.
2. L'instruction LOAD DATA indique à SQL*Loader le début d'un nouveau chargement de
données. Pour poursuivre un chargement dont la progression a été interrompue, utilisez
l'instruction CONTINUE LOAD DATA.
3. Le mot-clé INFILE indique le nom du fichier contenant les données à charger.
4. Le mot-clé BADFILE indique le nom du fichier dans lequel sont placés les enregistrements
refusés.
5. Le mot-clé DISCARDFILE indique le nom du fichier dans lequel sont placés les
enregistrements écartés.
6. Le mot-clé APPEND est l'une des options que vous pouvez utiliser lors du chargement de
données dans une table qui n'est pas vide. Pour charger des données dans une table vide,
utilisez le mot-clé INSERT.
7. Le mot-clé INTO TABLE permet d'identifier les tables, les champs et les types de données. Il
définit la relation entre les enregistrements du fichier de données et les tables de la base.
8. La clause WHEN indique une ou plusieurs conditions relatives aux champs auxquelles chaque
enregistrement doit satisfaire pour que SQL*Loader puisse charger les données. Dans l'exemple
considéré, SQL*Loader ne charge l'enregistrement que si le 57e caractère est un point décimal.
Ce point décimal délimite les dollars et les cents dans le champ et entraîne le rejet des
enregistrements si SAL ne comporte aucune valeur.
9. La clause TRAILING NULLCOLS invite SQL*Loader à considérer comme une colonne NULL
toute colonne positionnée de manière relative et qui n'est pas présente dans l'enregistrement.
10. Le reste du fichier de contrôle contient la liste des champs, qui fournit des informations sur les
formats de colonne dans la table chargée.
Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 29
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Méthodes de chargement
Insertion Ecritures
de données de blocs

Table
HWM

Chargement par chemin conventionnel Chargement par chemin direct


Utilise des opérations COMMIT Utilise des opérations d'enregistrement de
données (plus rapides)
Génère toujours des entrées de journalisation Génère des informations de journalisation
uniquement dans certaines conditions

Applique toutes les contraintes Applique uniquement les contraintes PRIMARY


KEY, UNIQUE et NOT NULL

Exécute des déclencheurs INSERT N'exécute pas de déclencheurs INSERT

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Peut charger les données dans des tables clusterisées Ne charge pas les données dans des clusters

Permet aux autres utilisateurs de modifier les tables Empêche les autres utilisateurs d'apporter des
pendant l'opération de chargement modifications aux tables pendant l'opération de
chargement
Met à jour les entrées d'index à chaque insertion Fusionne les nouvelles entrées d'index à la fin
du chargement

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Comparaison du chargement des données par chemin direct et par chemin


conventionnel
Méthode d'enregistrement des données
Un chargement de données par chemin conventionnel exécute des instructions SQL INSERT
pour remplir des tables dans une base Oracle. Un chargement par chemin direct élimine une
grande partie de la surcharge de la base en formatant des blocs de données Oracle et en les
écrivant directement dans les fichiers de base de données. Comme il n'est pas en compétition
avec les autres utilisateurs des ressources de la base, un chargement par chemin direct peut
généralement s'effectuer à une vitesse proche de celle du disque. Le chargement par chemin
conventionnel utilise le traitement SQL et une opération COMMIT de base de données pour
enregistrer les données. L'insertion d'un tableau d'enregistrements est suivie d'une opération
COMMIT. Chaque chargement de données peut impliquer plusieurs transactions.
Le chargement par chemin direct utilise des opérations d'enregistrement de données pour
écrire les blocs de données dans les fichiers de données Oracle. Il est donc plus rapide qu'un
chargement conventionnel. Les différences entre un enregistrement de données et une
opération COMMIT sont les suivantes :
• Au cours d'un enregistrement, seuls les blocs de base de données complets sont écrits
dans la base.
• Les blocs sont écrits après le repère high-water mark (HWM) de la table.
• Après un enregistrement, le repère HWM est déplacé.
• Les ressources internes ne sont pas libérées après un enregistrement.
• Un enregistrement ne met pas fin à la transaction.
• Les index ne sont pas mis à jour lors de chaque enregistrement de données.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 30


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Tables externes
Les tables externes sont des tables en lecture seule qui
sont stockées dans des fichiers du système d'exploitation,
à l'extérieur de la base de données Oracle.
PGA
Processus Pilote
serveur ORACLE_LOADER

(Texte)
Table externe
(métadonnées
uniquement)

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Pilote
ORACLE_DATAPUMP

Base de données (Binaire)

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Tables externes
Les tables externes accèdent aux données de sources externes comme si elles se trouvaient
dans une table de la base. Vous pouvez vous connecter à la base de données et créer des
métadonnées pour la table externe à l'aide d'instructions LDD (langage de définition de
données). Le code LDD associé à une table externe comprend deux parties : l'une décrit les
types de colonne Oracle Database, l'autre décrit la correspondance entre les données externes
et les colonnes de données Oracle Database.
Une table externe ne décrit ni les données stockées dans la base, ni la manière dont les
données sont stockées dans la source externe. Elle décrit de quelle façon la couche externe
doit présenter les données au serveur. Le pilote d'accès et la couche externe sont chargés
d'appliquer aux données du fichier externe les transformations nécessaires pour qu'elles
correspondent à la définition de la table externe. Les tables externes sont accessibles en
lecture seulement. Il n'est donc pas possible d'effectuer des opérations LMD (langage de
manipulation de données) ni de créer des index sur ces tables.
Deux pilotes d'accès sont utilisés avec les tables externes. Le pilote ORACLE_LOADER ne
peut être utilisé que pour lire les données d'une table externe et les charger dans la base. Il
utilise des fichiers texte comme source de données. Le pilote ORACLE_DATAPUMP peut à la
fois charger les données de table d'un fichier externe dans la base de données et décharger des
données de la base dans un fichier externe. Il utilise des fichiers binaires comme fichiers
externes. Ces fichiers binaires présentent le même format que ceux qui sont employés par les
utilitaires impdp et expdp, avec lesquels ils sont interchangeables.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 31


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Avantages des tables externes
• Les données peuvent être utilisées directement à partir du
fichier externe ou chargées dans une autre base.
• Les données externes peuvent être interrogées et jointes
directement en parallèle avec les tables résidant dans la
base. Il n'est pas nécessaire de les charger au préalable.
• Les résultats d'une interrogation complexe peuvent être
déchargés dans un fichier externe.
• Vous pouvez combiner des fichiers générés à partir de
différentes sources à des fins de chargement.

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Depuis la base Depuis un fichier
de données Oracle externe

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Avantages des tables externes


Les fichiers de données créés pour la table externe peuvent être déplacés et utilisés en tant que
fichiers de données d'une autre table externe, dans la même base ou dans une autre. Les
données externes peuvent être interrogées et jointes directement en parallèle avec les tables
résidant dans la base. Il n'est pas nécessaire de les charger au préalable. Vous pouvez indiquer
si les applications doivent accéder directement aux tables externes avec la commande
SELECT ou si les données doivent d'abord être chargées dans une base cible.
Les résultats d'une interrogation complexe peuvent être déchargés dans un fichier externe via
le pilote d'accès ORACLE_DATAPUMP.
Les fichiers de données alimentés par différentes tables externes peuvent tous être indiqués
dans la clause LOCATION d'une autre table externe. Il est ainsi facile d'agréger des données
provenant de plusieurs sources. La seule restriction est que les métadonnées doivent être
identiques pour toutes les tables externes.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 32


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Définir une table externe avec ORACLE_LOADER

CREATE TABLE extab_employees


(employee_id NUMBER(4),
first_name VARCHAR2(20),
last_name VARCHAR2(25),
hire_date DATE)
ORGANIZATION EXTERNAL
( TYPE ORACLE_LOADER DEFAULT DIRECTORY extab_dat_dir
ACCESS PARAMETERS
( records delimited by newline
badfile extab_bad_dir:'empxt%a_%p.bad'
logfile extab_log_dir:'empxt%a_%p.log'

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fields terminated by ','
missing field values are null
( employee_id, first_name, last_name,
hire_date char date_format date mask "dd-mon-yyyy“))
LOCATION ('empxt1.dat', 'empxt2.dat') )
PARALLEL REJECT LIMIT UNLIMITED;

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Définir une table externe avec ORACLE_LOADER


Les métadonnées d'une table externe sont créées à l'aide du langage SQL dans la base de
données. Le pilote d'accès ORACLE_LOADER utilise la syntaxe SQL*Loader pour définir la
table externe. Cette commande ne crée pas les fichiers texte externes.
L'exemple de la diapositive ci-dessus suppose que trois objets répertoire (extab_dat_dir,
extab_bad_dir et extab_log_dir) sont créés et mis en correspondance avec des
répertoires du système d'exploitation existants, dont l'accès est octroyé à l'utilisateur.
Lors de l'accès à la table extab_employees, la fonctionnalité SQL*Loader est utilisée
pour charger la table, et c'est à ce moment que le fichier journal et le fichier des
enregistrements refusés (bad file) sont créés.
Conseil : Si vous avez beaucoup de données à charger, activez PARALLEL pour l'opération
de chargement :
ALTER SESSION ENABLE PARALLEL DML;

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 33


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Remplissage d'une table externe avec
ORACLE_DATAPUMP

CREATE TABLE ext_emp_query_results


(first_name, last_name, department_name)
ORGANIZATION EXTERNAL
(
TYPE ORACLE_DATAPUMP
DEFAULT DIRECTORY ext_dir
LOCATION ('emp1.exp','emp2.exp','emp3.exp')
)
PARALLEL
AS

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SELECT e.first_name,e.last_name,d.department_name
FROM employees e, departments d
WHERE e.department_id = d.department_id AND
d.department_name in
('Marketing', 'Purchasing');

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Remplissage d'une table externe avec ORACLE_DATAPUMP


L'exemple de la diapositive montre comment l'opération de remplissage de la table externe
peut permettre d'exporter une sélection d'enregistrements résultant de la jointure des tables
EMPLOYEES et DEPARTMENTS.
La table externe risquant d'être volumineuse, vous pouvez recourir à une opération de
remplissage en parallèle pour décharger les données vers celle-ci. Contrairement à ce qui se
passe pour une interrogation en parallèle à partir d'une table externe, le degré de parallélisme
d'une opération de remplissage en parallèle est limité par le nombre de fichiers dans lesquels
le pilote d'accès peut écrire simultanément. A un instant donné, un seul processus serveur
d'exécution en parallèle écrit dans un fichier.
Le nombre de fichiers mentionnés dans la clause LOCATION doit correspondre au degré de
parallélisme indiqué car chaque processus serveur d'E/S requiert son propre fichier. Tout
fichier supplémentaire indiqué est ignoré. Si le nombre de fichiers est insuffisant pour le
degré de parallélisme indiqué, ce dernier est abaissé afin de correspondre au nombre de
fichiers indiqués dans la clause LOCATION.
Une fois remplie, la table externe est accessible en lecture seule. La commande SELECT peut
être très complexe pour remplir la table externe avec des informations spécifiques. Comme la
table externe présente la même structure de fichier que les fichiers Data Pump binaires, elle
peut ensuite être migrée vers un autre système et importée à l'aide de l'utilitaire impdp ou lue
en tant que table externe.
Remarque : Pour plus d'informations sur les paramètres du pilote d'accès
ORACLE_DATAPUMP, reportez-vous au manuel Oracle Database Utilities 11g Release 2
(11.2).

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 34


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Utiliser des tables externes

• Interroger une table externe :

SQL> SELECT * FROM extab_employees;

• Interroger une table externe et la joindre avec une table


interne :
SQL> SELECT e.employee_id, e.first_name, e.last_name,
d.department_name FROM departments d, extab_employees e
WHERE d.department_id = e.department_id;

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• Ajouter des données à une table interne à partir d'une table
externe :
SQL> INSERT /*+ APPEND */ INTO hr.employees SELECT * FROM
extab_employees;

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Utiliser des tables externes


Vous interrogez les tables externes exactement comme les tables internes d'une base de
données. Le premier exemple ci-dessus interroge la table externe EXTAB_EMPLOYEES et
affiche seulement les résultats, sans les stocker dans la base de données.
Le deuxième exemple illustre la jointure entre la table interne DEPARTMENTS et la table
externe EXTAB_EMPLOYEES. Il affiche seulement les résultats. Le troisième exemple
illustre l'ajout direct de données à une table interne via l'interrogation et le chargement de ces
données à partir d'une table externe.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 35


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Dictionnaire de données

Consultez les informations sur les tables externes dans :


• [DBA| ALL| USER]_EXTERNAL_TABLES
• [DBA| ALL| USER]_EXTERNAL_LOCATIONS
• [DBA| ALL| USER]_TABLES
• [DBA| ALL| USER]_TAB_COLUMNS
• [DBA| ALL]_DIRECTORIES

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Dictionnaire de données
Les vues du dictionnaire de données répertoriées dans la diapositive ci-dessus fournissent les
informations suivantes sur les tables :
[DBA| ALL| USER]_EXTERNAL_TABLES : Attributs spécifiques des tables externes
dans la base de données.
[DBA| ALL| USER]_EXTERNAL_LOCATIONS : Sources de données pour les tables
externes.
[DBA| ALL| USER]_TABLES : Descriptions des tables relationnelles de la base de
données.
[DBA| ALL| USER]_TAB_COLUMNS : Descriptions des colonnes des tables, des vues et
des clusters de la base de données.
[DBA| ALL]_DIRECTORIES : Descriptions des objets répertoire de la base de données.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 36


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Quiz

Comme les autres objets de base de données, les objets


répertoire appartiennent à l'utilisateur qui les crée, sauf si un
autre schéma est précisé au moment de leur création.
1. Vrai
2. Faux

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Réponse : 2

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 37


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Quiz

Il est possible de créer un index sur une table externe.


1. Vrai
2. Faux

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Réponse : 2

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 38


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Synthèse

Ce chapitre vous a permis d'apprendre à :


• décrire les différentes méthodes disponibles pour déplacer
des données
• créer et utiliser des objets répertoire (DIRECTORY)
• utiliser SQL*Loader pour charger des données à partir
d'une base non Oracle (ou de fichiers utilisateur)
• utiliser des tables externes pour déplacer des données via
des fichiers indépendants de la plate-forme

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• expliquer l'architecture générale d'Oracle Data Pump
• utiliser Data Pump Export et Data Pump Import pour
déplacer des données entre des bases Oracle

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 39


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Présentation de l'exercice 17 :
Déplacer des données

Dans cet exercice, vous allez :


• utiliser l'assistant Data Pump Export Wizard pour
sélectionner les objets de base de données à exporter
• surveiller un travail Data Pump Export
• utiliser l'assistant Data Pump Import Wizard pour importer
des tables dans la base de données
• utiliser l'assistant Load Data Wizard pour charger des
données dans la base

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• charger des données à partir de la ligne de commande

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I 17 - 40


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Utiliser le support technique

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Objectifs

A la fin de ce chapitre, vous pourrez :


• utiliser l'outil Support Workbench d'Enterprise Manager
• utiliser le support technique Oracle
• rechercher des informations sur le site My Oracle Support
• soumettre des "Service Requests" (SR)
• gérer les patches
– appliquer un patch
– mettre un patch en zone temporaire

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 2


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Utiliser l'outil Support Workbench

Afficher les alertes


1 d'erreur critique dans
Enterprise Manager

Afficher des
7 Fermer les
incidents
2 détails sur les
problèmes

Effectuer le suivi Collecter des


6 de la "Service informations
Request" et implémenter 3 de diagnostic
les solutions supplémentaires

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Préparer les données
4
Créer une
de diagnostic et les
"Service Request"
envoyer au support
technique Oracle

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Utiliser l'outil Support Workbench


Enterprise Manager fournit un outil Support Workbench qui permet d'étudier, de signaler et
(dans certains cas) de résoudre un problème en procédant de la manière suivante :
1. Dans Enterprise Manager, utilisez la page d'accueil de la base de données pour consulter
les alertes d'erreur critique. Sélectionnez une alerte pour en afficher le détail.
2. Analysez le problème et affichez la liste de tous les incidents connexes qui ont été
enregistrés. Affichez les résultats des vérifications qui ont été exécutées
automatiquement.
3. (Facultatif) Exécutez des vérifications supplémentaires et appelez SQL Test Case Builder
pour collecter toutes les données utiles relatives à un problème SQL spécifique et les
présenter de sorte que le support technique Oracle puisse reproduire ce problème.
4. Créez une "Service Request" (SR) sur le site My Oracle Support et notez
(éventuellement) son numéro ainsi que les informations relatives au problème.
5. Appelez Incident Packaging Service pour préparer un package de toutes les données de
diagnostic collectées sur le problème et exportez (éventuellement) ces données vers le
support technique Oracle. Vous avez la possibilité de modifier ces données pour
supprimer des informations confidentielles avant de les charger.
6. Vous pouvez tenir à jour un journal de suivi de la SR dans Support Workbench. Exécutez
les fonctions de conseil (advisors) Oracle pour réparer les erreurs SQL ou les données
endommagées.
7. Modifiez le statut d'un ou de plusieurs incidents, voire de tous les incidents, pour fermer
le problème.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 3


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Afficher les alertes d'erreur critique
dans Enterprise Manager

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Afficher les alertes d'erreur critique dans Enterprise Manager


L'analyse des problèmes (erreurs critiques) commence par un examen des alertes dans la page
d'accueil de la base de données, accessible depuis Enterprise Manager. Si des incidents sont
survenus, cliquez sur le lien Active Incidents dans la section Diagnostic Summary de cette
page d'accueil. Vous pouvez également utiliser la section Alerts pour rechercher les alertes
critiques signalées en tant que telles.
Lorsque vous cliquez sur le lien Active Incidents, vous accédez à la page Support Workbench
dans laquelle vous pouvez extraire des informations détaillées sur tous les problèmes et sur les
incidents correspondants. A partir de là, vous pouvez également extraire les résultats du
vérificateur Health Monitor et les packages créés.
Remarque : Les tâches décrites dans cette section sont toutes effectuées dans Enterprise
Manager. Vous pouvez, toutefois, les exécuter à l'aide de l'outil en mode ligne de commande
ADRCI. Pour plus d'informations sur cet utilitaire, reportez-vous au manuel Oracle Database
Utilities.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 4


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Afficher des détails sur les problèmes

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Afficher des détails sur les problèmes


Dans la section Problems de la page Support Workbench, cliquez sur l'ID du problème que
vous souhaitez étudier. Vous accédez ainsi à la page Problem Details correspondante.
Cette page affiche tous les incidents liés au problème que vous avez sélectionné. Vous pouvez
associer à ce problème un numéro de bug et de "Service Request" fourni par My Oracle
Support. Dans la section "Investigate and Resolve", vous avez accès à un onglet Self Service
qui vous permet d'entreprendre les actions appropriées pour résoudre le problème. Dans la
même section, l'onglet Oracle Support vous redirige directement vers le site My Oracle
Support.
L'onglet Activity Log affiche les opérations générées par le système qui ont été exécutées sur
le problème. Il vous permet d'ajouter des commentaires personnels lors de l'analyse du
problème.
Dans l'onglet Incidents, vous pouvez cliquer sur l'ID d'un incident associé pour accéder à la
page Incident Details correspondante.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 5


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Afficher des détails sur les incidents :
Fichiers dump

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Afficher des détails sur les incidents : Fichiers dump


Lorsque vous accédez à la page Incident Details, l'onglet Dump Files répertorie tous les
fichiers dump correspondants. Vous pouvez alors cliquer sur l'icône représentant des lunettes
pour afficher le contenu d'un fichier dump particulier et ses diverses sections.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 6


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Afficher des détails sur les incidents :
Résultats des vérifications

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Afficher des détails sur les incidents : Résultats des vérifications


Dans la page Incident Details, cliquez sur Checker Findings pour afficher l'onglet Checker
Findings. Cette page affiche les résultats des vérifications d'intégrité de la base effectuées
automatiquement lors de la détection de l'erreur critique. Vous pouvez, en principe,
sélectionner un ou plusieurs résultats et appeler une fonction de conseil (advisor) pour
résoudre le problème.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 7


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Créer une "Service Request" (SR)

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Créer une "Service Request" (SR)


Avant de collecter et de charger les informations de diagnostic relatives à un problème vers le
support technique Oracle, vous devez créer une "Service Request" (SR). Pour ce faire, vous
devez d'abord accéder au site My Oracle Support. Ce site est accessible à partir de la page
Problem Details, en cliquant sur le bouton Go to My Oracle Support dans la section
Investigate and Resolve. Une fois sur My Oracle Support, connectez-vous et créez une SR en
suivant la procédure habituelle.
Une fois la SR créée et envoyée, vous avez la possibilité d'y accéder à nouveau pour consulter
votre problème au besoin.
Dans la section Summary, cliquez sur le bouton Edit en regard du champ SR#. Dans la fenêtre
qui apparaît, entrez le numéro de SR et cliquez sur OK.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 8


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Préparer les données de diagnostic
et les envoyer au support technique Oracle

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Préparer les données de diagnostic et les envoyer au support technique Oracle


Support Workbench fournit deux méthodes pour créer et charger les informations relatives
aux incidents : une méthode rapide, Quick Packaging, et une méthode avancée, Advanced
Packaging. L'exemple présenté dans la diapositive ci-dessus illustre la méthode Quick
Packaging.
Cette méthode est plus automatisée et comprend un minimum d'étapes. Sélectionnez un
problème spécifique, indiquez le nom et la description d'un package d'incidents, puis planifiez
le chargement de ce package (immédiatement ou à une date et une heure données). Support
Workbench place automatiquement les données de diagnostic relatives au problème dans le
package de l'incident, puis finalise ce dernier, crée le fichier ZIP et le charge. Cette méthode
ne vous permet pas d'ajouter, de modifier ou de supprimer des fichiers du package d'incidents,
ni d'ajouter d'autres données de diagnostic telles que des scénarios de test SQL.
Pour préparer les données de diagnostic et les envoyer au support technique Oracle :
1. Dans la page Problem Details, ouvrez la section Investigate and Resolve et cliquez sur
Quick Package.
La page Create New Package de l'assistant Quick Packaging apparaît alors.
2. Entrez le nom et la description du package.
3. Entrez le numéro de "Service Request" qui identifie le problème.
4. Cliquez sur Next, puis continuez d'exécuter l'assistant Quick Packaging. Dans la page
Review, cliquez sur Submit pour charger le package.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 9


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Effectuer le suivi de la "Service Request" (SR)
et implémenter les solutions

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Effectuer le suivi de la "Service Request" (SR) et implémenter les solutions


Après avoir transmis les informations de diagnostic au support technique Oracle, vous pouvez
effectuer diverses activités pour suivre le traitement de votre SR et implémenter les solutions
proposées. Par exemple :
• Ajoutez un numéro de bug Oracle aux informations décrivant le problème. Dans la page
Problem Details, cliquez sur le bouton Edit en regard du libellé Bug#. Cette information
est fournie à titre indicatif uniquement.
• Ajoutez des commentaires au journal des activités du problème :
1. Accédez à la page Problem Details correspondant au problème.
2. Cliquez sur Activity Log pour afficher l'onglet Activity Log.
3. Entrez un commentaire dans le champ Comment, puis cliquez sur Add Comment.
Votre commentaire sera enregistré dans le journal des activités.
• Répondez à une demande de renseignements complémentaires émanant du support
technique Oracle. Votre interlocuteur du support technique peut vous fournir des
instructions pour la collecte et le chargement de ce complément d'informations de
diagnostic.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 10


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Effectuer le suivi de la "Service Request" (SR)
et implémenter les solutions

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Effectuer le suivi de la "Service Request" (SR) et implémenter les solutions


(suite)
A partir de la page Incident Details, vous pouvez exécuter une fonction de conseil (advisor)
Oracle pour appliquer les solutions préconisées. Vous pouvez accéder à la fonction de conseil
proposée en divers points du système :
• Onglet Self-Service de la section "Investigate and Resolve" dans la page Problem Details
• Onglet Checker Findings de la page Incident Details (diapositive ci-dessus)
Les fonctions de conseil disponibles pour résoudre les erreurs critiques sont les suivantes :
• Data Recovery Advisor : Blocs endommagés, fichiers corrompus ou manquants, autres
défaillances de données
• SQL Repair Advisor : Erreurs concernant des instructions SQL

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 11


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Fermer des incidents et des problèmes

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Fermer des incidents et des problèmes


Quand un incident n'est plus d'actualité, vous pouvez le fermer. Par défaut, les incidents
fermés ne sont pas répertoriés dans la page Problem Details. Qu'ils soient fermés ou non, tous
les incidents sont purgés au terme de 30 jours. Vous pouvez désactiver la purge d'un incident
dans la page Incident Details.
Pour fermer des incidents :
1. Accédez à la page d'accueil de Support Workbench.
2. Sélectionnez le problème de votre choix et cliquez sur View.
La page Problem Details apparaît alors.
3. Sélectionnez les incidents à fermer, puis cliquez sur Close.
Une page de confirmation s'affiche.
4. Cliquez sur Yes dans la page Confirmation pour fermer l'incident.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 12


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Configuration du packaging des incidents

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Configuration du packaging des incidents


Vous pouvez configurer des règles de conservation et des paramètres de génération des
packages. Pour ce faire, vous accédez à la page Incident Packaging Configuration à partir de
la section Related Links de la page Support Workbench, en cliquant sur le lien Incident
Packaging Configuration. Vous avez la possibilité de modifier les paramètres suivants :
• Incident Metadata Retention Period : Les métadonnées désignent des informations
relatives aux données. En matière d'incidents, elles comprennent l'heure, l'ID, la taille et
le problème associé. Les données correspondent au contenu réel d'un incident (traces, par
exemple).
• Cutoff Age for Incident Inclusion : Cette valeur inclut dans le package les incidents
survenus depuis un certain nombre de jours. Si vous fixez une date butoir à 90 jours,
seuls les incidents survenus au cours des 90 derniers jours sont inclus.
• Leading Incidents Count et Trailing Incidents Count : Pour chaque problème inclus
dans le package, le système sélectionne un certain nombre d'incidents entre le début
(Leading) et la fin (Trailing) de la période considérée pour le problème. Par exemple, si
un problème compte 30 incidents, et que les options Leading Incidents Count et Trailing
Incidents Count ont respectivement les valeurs 4 et 5, seuls les 5 premiers et les 4
derniers incidents sont inclus.
• Correlation Time Proximity : Ce paramètre définit un intervalle de temps qui
détermine la notion de simultanéité. La corrélation entre incidents (ou problèmes) permet
de mettre en évidence des problèmes qui semblent liés. Le temps est l'un des critères de
corrélation : les incidents qui se produisent simultanément ont de grandes chances d'être
liés au même problème.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 13


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Support Workbench pour Oracle ASM

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Support Workbench pour Oracle ASM


Oracle Enterprise Manager a été étendu afin de permettre le diagnostic et le packaging des
incidents adressés au support technique Oracle pour les instances Oracle ASM.
Vous pouvez surveiller les alertes et les incidents Oracle ASM à l'aide de Support Workbench
pour Oracle ASM.
Pour accéder à cet outil :
1. Cliquez sur l'onglet Software and Support dans la page d'accueil de la base de données.
2. Dans la section Support de la page Software and Support, cliquez sur Support
Workbench.
3. Dans la section Related Links de la page Support Workbench, cliquez sur Support
Workbench (ASM_instance_name).
La page Problems affiche des informations sur les problèmes actuels et antérieurs.
Pour créer un package à envoyer au support technique Oracle, sélectionnez un incident et
cliquez sur Package dans la page Problems de Support Workbench. Support Workbench vous
guide ensuite jusqu'à la fin du processus de packaging.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 14


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Utiliser le support technique Oracle

• Oracle Support Services (OSS) offre une assistance


technique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.
• Cette assistance est fournie de plusieurs manières :
– Site Web My Oracle Support
– Téléphone
– Outil de diagnostic à distance Oracle Direct Connect (ODC)
• Le numéro CSI (Customer Support Identifier) permet
d'effectuer le suivi des logiciels et des services pour
lesquels chaque client a une licence d'utilisation.

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Utiliser le support technique Oracle


Oracle Support Services (OSS) offre à tous les clients Oracle, où qu'ils soient, une assistance
technique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Ce service comprend en effet des centres de support
technique répartis dans le monde entier qui répondent aux demandes 365 jours par an.
Les clients Oracle reçoivent les services de support technique via le site Web My Oracle
Support, par téléphone ou par le biais de l'outil de diagnostic à distance Oracle Direct Connect
(ODC).
Après l'achat d'un logiciel Oracle, les clients se voient attribuer un numéro d'identification
CSI (Customer Support Identifier). Ce numéro permet d'assurer le suivi des logiciels et de
fournir les services de support technique appropriés. Il donne accès aux patches, à la
documentation et aux informations de résolution disponibles sur My Oracle Support. Enfin, il
peut être utilisé pour envoyer une "Service Request" (SR) via OSS.
Remarque : Auparavant, les "Service Requests" étaient appelées "Technical Assistance
Requests" (TAR).

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 15


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Intégration de My Oracle Support

• Enterprise Manager informe automatiquement les


utilisateurs de la disponibilité de nouveaux patches
critiques.
• L'assistant pour patches d'Enterprise Manager permet de
sélectionner un patch ponctuel.
• Vous pouvez consulter le fichier README du patch depuis
Enterprise Manager.
• Vous pouvez télécharger les patches sélectionnés sur le
site My Oracle Support vers la mémoire cache destinée aux

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patches dans Enterprise Manager.

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Intégration de My Oracle Support


Oracle Enterprise Manager facilite considérablement la gestion des patches de logiciels grâce
à l'intégration avec My Oracle Support. Il informe automatiquement les utilisateurs de la
disponibilité de patches critiques et détecte tous les systèmes qui nécessitent un patch
spécifique. Vous pouvez appeler l'assistant pour patches d'Enterprise Manager afin d'identifier
les patches ponctuels disponibles à l'installation. Vous pouvez également utiliser cet assistant
pour sélectionner un patch ponctuel donné et déterminer si l'un de vos systèmes en a besoin.
Vous pouvez consulter les informations relatives aux patches et les fichiers README
associés à partir d'Enterprise Manager.
L'assistant pour patches d'Enterprise Manager permet de télécharger des patches ponctuels
depuis My Oracle Support vers la mémoire cache destinée aux patches d'Enterprise Manager,
vous évitant ainsi d'avoir à multiplier les téléchargements. Vous pouvez stocker
provisoirement les patches appropriés sur les systèmes de destination et les appliquer
manuellement à un moment ultérieur. Pour automatiser davantage la procédure de traitement
des patches, vous pouvez également fournir un script d'application de patches personnalisable.
Les agents Enterprise Manager résidants exécutent ce script sur le système de destination à la
date et à l'heure définies par l'utilisateur. A mesure que des patches sont appliqués à un
système, l'inventaire OUI (Oracle Universal Installer) correspondant est mis à jour
automatiquement pour refléter le niveau de patches du système.
Pour accéder à l'assistant pour patches, cliquez sur Patch dans la région Deployments de la
page Maintenance.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 16


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Utiliser My Oracle Support

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Utiliser My Oracle Support


Pour vous inscrire sur My Oracle Support, accédez à http://myoraclesupport.oracle.com/ et
sélectionnez le lien Register here. Entrez votre numéro CSI lorsque vous y êtes invité et
répondez à quelques questions élémentaires. Une fois inscrit, vous êtes prêt à utiliser My
Oracle Support. Notez que chaque numéro CSI est associé à un administrateur (désigné par le
client) qui contrôle l'accès des nouveaux utilisateurs à My Oracle Support. Ainsi, une fois
l'administrateur désigné par le client, les nouveaux utilisateurs se chargent de le contacter
pour créer leurs comptes respectifs et bénéficier des droits d'accès appropriés au site.
My Oracle Support propose différents outils et méthodes de recherche des problèmes.
La recherche de réponses via les moteurs de recherche standard et avancée est une procédure
relativement simple dont l'inconvénient majeur est de renvoyer un trop grand nombre de
résultats. Voici quelques recommandations simples pour affiner les résultats de vos
recherches :
• Indiquez le texte complet et exact du message d'erreur. Par exemple, vous obtiendrez des
réponses plus pertinentes si vous entrez ORA-1400: mandatory (NOT NULL)
column au lieu du simple code d'erreur ORA-1400.
• Lorsque vous recherchez des erreurs survenues dans Oracle E-Business Suite, précisez le
nom du code d'erreur comme critère de recherche. Ainsi, APXINWKB ORA-1400:
mandatory (NOT NULL) column renvoie une liste de résultats moindre et plus
précise que la simple indication du message d'erreur.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 17


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Utiliser My Oracle Support (suite)
Si vous préférez effectuer vos recherches via une méthode d'analyse descendante plutôt que par mot-
clé, utilisez l'onglet Knowledge pour afficher la page Knowledge Browser, qui permet d'accéder
facilement aux contenus techniques d'Oracle Support Services les plus utilisés.
L'explorateur Knowledge Browser est organisé de manière à fournir instantanément des informations
constamment mises à jour :
• Annonces et informations récentes dans la section Featured News and Articles
• Informations par catégorie de produits
• Etudes de cas
• Outils et formations
• Documentation en ligne
• Manuels de référence électroniques (eTRM)
• Oracle Integration Repository
• Customer Knowledge Exchange

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Les forums My Oracle Support vous permettent également de communiquer avec d'autres clients
Oracle pour partager des idées et discuter des produits Oracle. Vous pouvez les utiliser pour savoir
comment d'autres clients ont effectué des tâches complexes ou répondu aux différents besoins de leur
entreprise à l'aide des produits Oracle. Les forums ne remplacent en aucun cas la création d'une
"Service Request" (SR).
Les clients Oracle peuvent utiliser le moteur de patch pour rechercher des patches à l'aide des
méthodes suivantes :
• Patch Number : Indiquez le numéro du patch si vous le connaissez.
• Latest Consolidated Patch : Utilisez cette option lors d'une mise à niveau afin de déterminer
les derniers patches disponibles pour les produits que vous utilisez.
• Includes File : Quand un problème est détecté dans une partie précise du code, il existe souvent
un patch pour le résoudre. C'est pourquoi les membres du support technique recommandent
souvent aux clients d'appliquer un patch afin de disposer du code le plus à jour pour leur version
du logiciel. Vous pouvez rechercher et appliquer les dernières versions des logiciels Oracle en
identifiant le nom et la version du code, puis en utilisant l'outil de recherche de patches pour
savoir s'il existe une version plus récente.
Remarque : Pour plus d'informations sur la manière d'effectuer ces recherches, reportez-vous à la
note 166650.1 de My Oracle Support ("Working Effectively with Global Customer Support").
Vous pouvez utiliser le lien BUGs pour interroger la base de données BUG lorsque vous recherchez
un problème. Pour ce faire, plusieurs méthodes s'offrent à vous.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 18


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Rechercher des informations sur un problème

Pour rechercher des informations sur un problème via My


Oracle Support :
1. Effectuez une recherche par mot-clé.
2. Consultez la documentation.
3. Utilisez les toolkits en libre-service.
4. Utilisez les tests de diagnostic automatisés et les flux
d'entreprise.
5. Recherchez les patches applicables.

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6. Soumettez une "Service Request" (SR).

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Rechercher des informations sur un problème


My Oracle Support fournit plusieurs ressources permettant de rechercher un problème. Les
étapes suivantes décrivent des techniques de base de résolution des problèmes à l'aide des
ressources de My Oracle Support :
1. Recherche par mot-clé : La plupart des problèmes peuvent être résolus rapidement et
facilement à l'aide de l'outil de recherche par mot-clé de My Oracle Support. Des
recherches pertinentes fournissent souvent des informations précieuses sur un problème
spécifique et les solutions préconisées.
2. Documentation : Si les recherches par mot-clé ne fournissent pas de solution, consultez
la documentation pour vous assurer que la cause profonde n'est pas liée à des problèmes
de configuration. Les problèmes de configuration représentent plus d'un tiers de toutes les
"Service Requests". Il est toujours bon de vérifier les configurations au début du
processus de résolution du problème. La documentation comprend des guides
d'utilisation et des manuels d'implémentation au format PDF, ainsi que des fichiers
README sur les produits et des notes d'installation au format HTML. Les deux formats
de documentation sont disponibles sur My Oracle Support et vous pouvez y accéder via
les toolkits en libre-service associés à chaque produit.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 19


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Rechercher des informations sur un problème (suite)
3. Toolkits en libre-service (SSTK) : Ces toolkits fournissent un large éventail d'informations sur
chaque produit. Dans la plupart des cas, ils contiennent des réponses aux questions fréquemment
posées (FAQ), des listes de patches et d'autres informations utiles qui peuvent vous aider à
analyser et résoudre les problèmes que vous rencontrez. Comme les SSTK proposent le contenu
le plus fréquemment utilisé pour chaque produit, vous avez intérêt à les consulter
périodiquement pour identifier les problèmes connus avant que votre environnement n'en fasse
les frais.
4. Diagnostics et flux : Bon nombre d'innovations récentes d'Oracle Support Services concernent
les tests de diagnostic automatisés et les flux d'entreprise. Ces tests et flux ont été créés pour
vous permettre de vérifier la configuration de votre système ou de collecter des informations sur
un problème. Dans le cas des tests de diagnostic, il vous suffit d'exécuter un script Java ou SQL.
Les résultats de ces tests peuvent non seulement vous aider à résoudre des problèmes, mais aussi
permettre à Oracle Support Services d'identifier la cause d'un problème si vous devez créer une
SR.

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5. Patches et BUGs : Des bugs sont parfois découverts dans les produits Oracle. Pour les corriger,
des patches sont nécessaires. Lorsque vous essayez de résoudre un problème, vérifiez s'il existe
des patches qui fourniraient à votre système une version plus récente du produit. L'outil de
recherche de patches permet de trouver des patches contenant des fichiers spécifiques.
L'application des patches les plus récents rationalise le processus de résolution en éliminant des
bugs pouvant être à l'origine de votre problème. Faites également appel au moteur de recherche
de bugs pour savoir si un bug en rapport avec votre problème a été signalé, sans pour autant qu'il
soit résolu.
6. Soumettre une SR : Si toutes les options en libre-service échouent, il est parfois nécessaire de
recourir aux services d'un agent du support technique.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 20


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Soumettre une "Service Request" (SR)

• Pour soumettre une SR, cliquez sur l'onglet Service


Request dans la page d'accueil de My Oracle Support.
• My Oracle Support effectue des recherches en fonction du
numéro CSI et du profil SR.
• Fournissez les informations suivantes :
– Description du problème (avec les messages d'erreur
obtenus)
– Actions effectuées pour tenter de résoudre le problème
– Version du logiciel

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– Etapes à suivre pour reproduire le problème
– Incidence fonctionnelle du problème

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Soumettre une "Service Request" (SR)


Il est possible que vos recherches sur My Oracle Support n'aboutissent à aucune solution.
Dans ce cas, vous devez soumettre une "Service Request" (SR) via My Oracle Support. Vous
pouvez soumettre une SR en cliquant sur l'onglet Service Request dans la page d'accueil de
My Oracle Support.
La première étape consiste à sélectionner un numéro CSI et un profil SR. Une fois que vous
avez envoyé les informations de profil requises, My Oracle Support réunit quelques
informations spécifiques telles que le type de problème, le message d'erreur, un bref résumé
du problème et votre langue de communication préférée. My Oracle Support effectue ensuite
une recherche à l'aide de ces informations et essaie de trouver une solution.
La recherche effectuée à ce stade peut fournir des résultats différents de ceux que vous aviez
obtenus précédemment. Les deux recherches exploitent les notes et les bugs de la même base
de données, mais la pondération et les moteurs de recherche sont légèrement différents.
Comme les résultats peuvent différer, il est important de les analyser lors du processus de
création de la SR, même si des recherches antérieures ont été effectuées à l'aide du moteur de
recherche de My Oracle Support.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 21


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Soumettre une "Service Request" (SR) (suite)
Si les résultats n'apportent pas de solution au problème, le processus de création de SR se poursuit
avec une série de questions et de demandes d'informations. Une fois que vous avez répondu à ces
questions, la SR est soumise électroniquement à un agent du support technique qui effectue une
analyse plus approfondie. Les fichiers, captures d'écran et autres informations complémentaires
doivent être chargés immédiatement après soumission de la SR, à l'aide de l'outil fourni dans la
section SR de My Oracle Support.
Vous devez vous assurer que les informations suivantes sont parfaitement claires dans la SR, car elles
permettront à l'agent du support technique de traiter efficacement votre problème et de lui accorder la
priorité qu'il mérite :
• Description claire du problème assortie des messages d'erreur exacts
• Description des actions entreprises pour essayer de résoudre le problème et résultats obtenus
• Versions exactes des logiciels
• Etapes à suivre pour reproduire le problème

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• Incidence fonctionnelle du problème, en termes d'étapes jalons, de dates et de coûts
Chaque demande est identifiée par un identificateur unique : le numéro de SR. Lorsque vous
soumettez une telle demande, My Oracle Support lui attribue un numéro (celui-ci vous sera
communiqué par l'agent du support technique si vous demandez une assistance téléphonique). La SR
est placée dans la file d'attente de l'agent habilité, via un processus d'allocation automatisé qu'Oracle
Support Services utilise pour distribuer toutes les SR soumises par téléphone ou via le Web. Ce
processus garantit que toutes les SR sont confiées à l'agent du support technique le plus à même de
traiter le problème signalé.
Remarque : Pour plus d'informations, reportez-vous à la note technique 166650.1 de My Oracle
Support ("Working Effectively with Global Customer Support").

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 22


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Gérer les patches

Types de patch
• Patches ponctuels
– Correction de problèmes spécifiques
– Absence de test de régression
• Patches CPU (Critical Patch Update)
– Correction de problèmes de sécurité
critiques
– Tests de régression effectués

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– Numéro de version inchangé
• Patches logiciels

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Gérer les patches


Il existe divers types de patch à appliquer à divers moments et pour différentes raisons.
• Les patches ponctuels (ou patches one-off ou one-of) sont créés pour résoudre des
problèmes spécifiques. Ils ne sont pas soumis à des tests de régression complets. En
général, ils sont installés à l'aide de l'utilitaire opatch. L'assistant pour patches
d'Enterprise Manager permet d'automatiser le processus en téléchargeant les patches, puis
en les appliquant et en les mettant en zone de stockage temporaire. Cet assistant utilise
opatch en arrière-plan.
• Les patches CPU (Critical Patch Update) comprennent des patches de sécurité et les
patches associés (sans lien avec la sécurité). Ils sont cumulatifs, c'est-à-dire qu'ils
comprennent les correctifs issus des alertes de sécurité et des patches CPU précédents. Il
n'est donc pas nécessaire d'avoir appliqué les précédents patches de sécurité pour
appliquer des patches CPU. En revanche, vous devez être au niveau de patch indiqué. Les
patches CPU correspondent à un niveau de patch logiciel spécifique (par exemple,
10.2.0.3). Ils sont installés à l'aide de l'utilitaire opatch ou via l'assistant pour patches
d'Enterprise Manager et sont édités tous les trimestres. Vous pouvez supprimer des
patches CPU et ponctuels de votre système à l'aide de la commande opatch
rollback -id <patch id>.
Oracle soumet les patches CPU à des tests de régression et à des tests intensifs
d'utilisation avec ses propres applications. Pour savoir si un patch a été appliqué,
exécutez la commande opatch -lsinventory et vérifiez s'il figure dans la liste
renvoyée.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 23


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Appliquer un patch logiciel

• Les patches logiciels sont des correctifs de produit qui ont


été entièrement testés et présentent les caractéristiques
suivantes :
– Ils n'apportent aucune fonctionnalité nouvelle.
– Ils affectent uniquement les logiciels résidant dans le
répertoire d'origine Oracle Home de votre installation.
– Ils contiennent des correctifs de bugs particuliers.
– Ils ont des numéros de version.
• Pour appliquer un patch :

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1. Déterminez votre environnement logiciel Oracle.
2. Définissez vos informations de connexion à My Oracle
Support.
3. Mettez le patch logiciel en zone temporaire.

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Appliquer un patch logiciel


La gestion des logiciels suppose la mise à jour régulière des logiciels Oracle à l'aide des
derniers correctifs édités pour les produits. Oracle publie périodiquement des patches de
version (corrections) pour ses logiciels. Ces patches logiciels sont des correctifs qui ont été
testés sur les produits. Ils n'offrent pas de nouvelles fonctionnalités. L'application d'un patch
logiciel affecte uniquement les logiciels qui résident dans votre répertoire d'origine Oracle
Home. Elle n'entraîne pas de mise à niveau ni de modification de la base de données.
Les patches sont des correctifs de bugs particuliers. Un jeu de patches se définit comme un
ensemble de correctifs cumulés à la date d'édition du jeu de patches logiciels. Les patches et
jeux de patches logiciels portent des numéros de version. Par exemple, si vous avez acheté
Oracle Database 11g version 11.1.0.2, il existe un jeu de patches de version 11.1.0.3. Chaque
patch ou jeu de patches est également identifié par un numéro. A chaque patch logiciel est
associé un fichier README qui décrit les corrections apportées. Le fichier README
contient également les instructions à suivre pour appliquer le patch manuellement.
Enterprise Manager permet de rechercher le dernier patch logiciel disponible sur le site Web
My Oracle Support et de le télécharger dans votre répertoire d'origine Oracle Home.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 24


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Utiliser Patch Advisor

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Utiliser Patch Advisor


La fonction de conseil Patch Advisor affiche une liste de patches CPU (Critical Patch
Updates) et recommande les patches à appliquer sur votre système. La liste peut inclure tous
les patches disponibles ou être limitée selon les fonctionnalités utilisées. La page de
configuration des patches doit être renseignée et la tâche RefreshFromMetalink doit
être exécutée pour que les patches soient visibles.
Cliquez sur le lien Patching Setup dans la section Related Links de la page Patch Advisor
pour accéder à la page de configuration des patches.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 25


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Utiliser l'assistant pour patches

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Utiliser l'assistant pour patches


Lorsque vous cliquez sur Apply Patch dans la section Database Software Patching de la page
Software and Support, l'assistant pour patches démarre.
La première étape de l'assistant se nomme Select Patches. Cliquez sur Add Patches pour
sélectionner d'autres patches à appliquer au cours de cette session de l'assistant.
L'étape Target List est spécifique des environnements RAC. Elle est ignorée dans Oracle
Database 11g.
L'étape Library Step Properties est ignorée, sauf si le client a personnalisé les procédures de
déploiement à l'aide de variables personnalisées, auquel cas les valeurs de ces variables
doivent être entrées par l'utilisateur à ce stade.
L'étape suivante consiste à fournir les informations d'identification et de connexion
(credentials) pour lancer l'application des patches et déterminer si cette tâche doit s'exécuter
immédiatement ou ultérieurement.
Il suffit ensuite de vérifier les paramètres avant de soumettre la demande d'exécution.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 26


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Appliquer un patch

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Appliquer un patch
Vous pouvez rechercher et appliquer un patch logiciel (y compris de type CPU) à l'aide de la
page Software and Support.

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Mettre un patch en zone de stockage temporaire

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Mettre un patch en zone de stockage temporaire


Lorsque vous cliquez sur Stage Patch dans la section Database Software Patching de la page
Software and Support, l'assistant pour patches démarre.
La première étape consiste à sélectionner un patch, en indiquant son numéro ou des critères de
sélection.
Vous sélectionnez ensuite la destination dans une liste de cibles disponibles.
Vous indiquez les informations d'identification et de connexion (credentials) de l'utilisateur
censé appliquer le patch. (Il est recommandé que ce soit le propriétaire de l'installation.)
A l'étape suivante, vous choisissez soit de mettre simplement le patch en zone temporaire, soit
de le mettre en zone temporaire et de l'appliquer.
Vous planifiez l'exécution.
Enfin, vous vérifiez les paramètres avant de soumettre la demande d'exécution.
Les patches mis en zone temporaire sont stockés dans le répertoire
$ORACLE_HOME/EMStagedPatches_<sid> sur les plates-formes UNIX et Linux et
dans le répertoire %ORACLE_HOME%\EMStagedPatches_<sid> sur les plates-formes
Windows.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 28


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Application à chaud de patches : Présentation

L'application à chaud d'un correctif de bug ou d'un patch de


diagnostic à une instance Oracle en cours d'exécution permet
d'effectuer les opérations suivantes :
• Installation
• Activation
• Désactivation

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Application à chaud de patches : Présentation


L'application à chaud de patches permet d'installer, d'activer et de désactiver un correctif de
bug ou un patch de diagnostic sur une instance Oracle en cours d'exécution. L'application à
chaud est recommandée pour les patches en ligne car elle évite les temps d'arrêt. Oracle
permet de l'utiliser avec n'importe quelle base de données Oracle, à l'aide de l'utilitaire en
mode ligne de commande opatch. Des patches en ligne peuvent être fournis lorsque la mise
à jour du code est peu étendue et relativement simple, par exemple avec les patches de
diagnostic ou les correctifs de bugs mineurs.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 29


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Installer à chaud un patch en ligne

• L'application d'un patch en ligne ne nécessite pas d'arrêter


l'instance, de rééditer les liens du code binaire Oracle, ni de
redémarrer l'instance.
• L'utilitaire OPatch peut être utilisé pour installer ou
désinstaller à chaud un patch en ligne.
• OPatch détecte les conflits entre deux patches en ligne,
mais aussi entre un patch en ligne et un patch
conventionnel.
• Pour déterminer si un patch peut être appliqué à chaud :

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opatch query -is_online_patch <patch location>
ou
opatch query <patch location> -all

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Installer à chaud un patch en ligne


Contrairement aux méthodes conventionnelles d'application de patches, l'application d'un
patch en ligne (online) ne nécessite pas d'arrêter ni de redémarrer l'instance.
Vous pouvez en revanche utiliser le même utilitaire OPatch que pour installer un patch
conventionnel.
Pour déterminer si un patch peut être installé à chaud, utilisez les commandes suivantes :
opatch query -is_online_patch <patch location> ou
opatch query <patch location> -all
Remarque : Le code du patch est envoyé sous la forme d'une bibliothèque
dynamique/partagée qui est ensuite mise en correspondance avec la mémoire par chaque
processus Oracle.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 30


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Avantages de l'application à chaud de patches

• Aucun temps d'arrêt, aucune interruption d'activité


• Installation et désinstallation extrêmement rapides
• Intégration à OPatch :
– Détection des conflits
– Inscription dans l'inventaire des patches
– Prise en charge des environnements RAC
• Installation persistante après arrêt et redémarrage de
l'instance

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Avantages de l'application à chaud de patches


Il n'est pas nécessaire d'arrêter l'instance de base de données pour appliquer un patch en ligne.
A la différence de la méthode conventionnelle, l'application à chaud permet d'installer et de
désinstaller des patches très rapidement. Comme elle utilise OPatch, vous bénéficiez de tous
les avantages de cet outil déjà évoqués pour l'application conventionnelle de patches. Après
avoir installé un patch à chaud, vous pouvez arrêter la base de données aussi souvent et aussi
longtemps que vous le voulez : le patch sera conservé.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 31


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Patches conventionnels et patches en ligne

Patches conventionnels Patches en ligne


Arrêt de l'instance nécessaire pour Installation et désinstallation sans arrêt
l'installation et la désinstallation de l'instance
Installation et désinstallation via Installation et désinstallation via
OPatch OPatch
Installation persistante après arrêt Installation persistante après arrêt et
et redémarrage de l'instance redémarrage de l'instance
Plusieurs minutes pour l'installation Quelques secondes seulement pour

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ou la désinstallation l'installation ou la désinstallation

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Patches conventionnels et patches en ligne


L'application de patches conventionnels nécessite un arrêt de l'instance de base de données.
Au contraire, l'application des patches en ligne n'implique aucun temps d'arrêt. Les
applications peuvent continuer de tourner pendant que vous installez ces patches à chaud. De
même, les patches déjà installés à chaud peuvent être désinstallés sans temps d'arrêt.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 32


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Considérations relatives aux patches en ligne
• Les patches en ligne sont pris en charge sur les plates-formes
suivantes :
– Linux x86 32/64
– HP Itanium
– Sun Sparc Solaris 64
– AIX
– Windows x86 32/64
• Leur application consomme un peu plus de mémoire.
– La quantité de mémoire nécessaire dépend des facteurs
suivants :

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— Taille du patch
— Nombre de processus Oracle simultanément en cours d'exécution
– La quantité de mémoire minimale est d'environ une page du
système d'exploitation par processus Oracle en cours
d'exécution

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Considérations relatives aux patches en ligne


Une page du système d'exploitation représente généralement 4 Ko sur Linux x86 et 8 Ko sur
Solaris SPARC64. Si l'on compte en moyenne un millier de processus Oracle en cours
d'exécution simultanément, un petit patch en ligne nécessite environ 4 Mo de mémoire
supplémentaire.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 33


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Considérations relatives aux patches en ligne

• Il peut s'écouler un bref délai (quelques secondes) avant


que tous les processus Oracle n'installent le patch en ligne.
• Les correctifs de bugs et les patches de diagnostic ne sont
pas tous disponibles sous forme de patch en ligne.
• Utilisez des patches en ligne lorsqu'il n'est pas possible de
ménager des temps d'arrêt.
• Dès lors qu'il est possible d'arrêter l'instance, il est
préférable d'installer les patches conventionnels.

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Considérations relatives aux patches en ligne (suite)


La plupart des patches de diagnostic sont disponibles en tant que patches en ligne. En ce qui
concerne les correctifs de bugs, tout dépend de leur nature. L'objectif à long terme est de
fournir tous les patches CPU (Critical Patch Updates) en tant que patches en ligne.
Remarque : Vous devez désinstaller le patch en ligne avant d'appliquer le patch
conventionnel correspondant.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 34


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Quiz

Quelles affirmations s'appliquent à un patch en ligne ?


1. Il peut être installé via OPatch.
2. Son application nécessite un arrêt momentané de
l'instance.
3. Il est conservé lorsque l'instance est arrêtée puis
redémarrée.
4. Sa désinstallation ne nécessite pas de temps d'arrêt.

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Réponses : 1, 3 et 4

Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 35


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Synthèse

Ce chapitre vous a permis d'apprendre à :


• utiliser Support Workbench
• utiliser le support technique Oracle
• rechercher des informations sur le site My Oracle Support
• soumettre des "Service Requests" (SR)
• gérer les patches
– appliquer un patch logiciel
– mettre un patch logiciel en zone temporaire

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 36


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Présentation de l'exercice 18 :
Utiliser les outils EM pour les alertes et les patches

Dans cet exercice, vous allez utiliser Support Workbench pour


effectuer des recherches sur une erreur critique.

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I 18 - 37


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Annexe A
Exercices et solutions

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Sommaire
Exercices - Chapitre 1 ..................................................................................................... 4
Exercice 1-1 : Examiner l'architecture d'Oracle Database ............................................ 5
Exercices - Chapitre 2 ..................................................................................................... 9
Exercice 2-1 : Installer et configurer Oracle Grid Infrastructure ................................ 10
Exercice 2-2 : Installer le logiciel Oracle Database 11g ............................................. 18
Exercices - Chapitre 3 ................................................................................................... 21
Exercice 3-1 : Créer une base de données Oracle....................................................... 22
Exercices - Chapitre 4 ................................................................................................... 30
Exercice 4-1 : Gérer l'instance Oracle........................................................................ 31
Exercice 4-2 : Tester Oracle Restart et la base de données......................................... 37
Exercices - Chapitre 5 ................................................................................................... 39
Exercice 5-1 : Fonctionnalité ASM Fast Mirror Resync ............................................ 40

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Exercice 5-2 : Utiliser ASMCMD................................................................................. 45
Exercices - Chapitre 6 ................................................................................................... 48
Exercice 6-1 : Configurer le réseau Oracle pour accéder
à une autre base de données....................................................................................... 49
Exercice 6-2 : Créer un autre processus d'écoute ....................................................... 54
Exercices - Chapitre 7 ................................................................................................... 57
Exercice 7-1 : Examiner les structures de stockage de la base de données ................. 58
Exercice 7-2 : Créer un tablespace............................................................................. 62
Exercices - Chapitre 8 ................................................................................................... 68
Exercice 8-1 : Créer et utiliser un profil..................................................................... 69
Exercice 8-2 : Créer des rôles.................................................................................... 71
Exercice 8-3 : Créer et configurer des utilisateurs...................................................... 73
Exercices - Chapitre 9 ................................................................................................... 77
Exercice 9-1 : Résoudre des conflits de verrouillage.................................................. 78
Exercices - Chapitre 10 ................................................................................................. 82
Exercice 10-1 : Gérer les données d'annulation.......................................................... 83
Exercices - Chapitre 11 ................................................................................................. 88
Exercice 11-1 : Configurer l'audit de la base de données ........................................... 89
Exercices - Chapitre 12 ................................................................................................. 92
Exercice 12-1 : Maintenance de la base de données................................................... 93
Exercices - Chapitre 13 ............................................................................................... 102
Exercice 13-1 : Gérer les performances ................................................................... 103
Exercices - Chapitre 14 ............................................................................................... 112
Exercice 14-1 : Configurer la base de données pour la récupération ........................ 113
Exercices - Chapitre 15 ............................................................................................... 118
Exercice 15-1 : Sauvegarder la base de données ...................................................... 119
Exercices - Chapitre 16 ............................................................................................... 125
Exercice 16-1 : Préparer l'environnement de l'exercice ............................................ 126
Exercice 16-2 : Récupérer la base suite à la perte d'un fichier de données................ 127
Exercice 16-3 : Récupérer la base suite à la perte d'un fichier
du tablespace SYSTEM............................................................................................ 130
Exercice 16-4 : Récupérer la base suite à la perte d'un fichier de contrôle................ 133

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 2

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Exercices - Chapitre 17 ............................................................................................... 137
Exercice 17-1 : Déplacer des données à l'aide de Data Pump................................... 138
Exercice 17-2 : Charger des données à l'aide de SQL*Loader ................................. 144
Exercices - Chapitre 18 ............................................................................................... 147
Exercice 18-1 : Effectuer des recherches sur une erreur critique .............................. 148

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 3

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Exercices - Chapitre 1
Contexte : Dans cet exercice, vous allez vérifier vos connaissances sur les composants de
l'architecture Oracle en répondant à des questions sur les concepts étudiés dans le
chapitre.

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 4

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Exercice 1-1 : Examiner l'architecture d'Oracle Database
Complétez les phrases suivantes en indiquant les réponses correctes.

1) Les deux principaux composants d'un système Oracle Database élémentaire sont :
_________________________ et _______________________

Conseil : Voir page 1-6

2) Une instance se compose de processus _____________________ et


_____________________.

Conseil : Voir page 1-6

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3) Une session est une connexion entre le processus _______________ et le processus
______________.

Conseil : Voir page 1-8

4) Nommez les principaux composants de la mémoire SGA :


• ___________________________
• ___________________________
• ___________________________
• ___________________________
• ___________________________
• ___________________________
• ___________________________
• ___________________________
• ___________________________

Conseil : Voir page 1-9

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 5

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Exercice 1-1 : Examiner l'architecture d'Oracle Database (suite)
5) Citez six des nombreux processus en arrière-plan qu'une instance Oracle Database
peut comprendre :
• ___________________________
• ___________________________
• ___________________________
• ___________________________
• ___________________________
• ___________________________

Conseil : Voir page 1-21

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6) Le processus _______________________ écrit les tampons "dirty" dans les fichiers
de données.

Conseil : Voir page 1-23

7) Le processus _______________________ écrit les entrées de journalisation dans les


fichiers de journalisation en ligne.

Conseil : Voir page 1-25

8) Les principaux fichiers associés à une base de données Oracle sont :


• ___________________________
• ___________________________
• ___________________________
Citez d'autres fichiers importants :
• ___________________________
• ___________________________
• ___________________________
• ___________________________
• ___________________________

Conseil : Voir page 1-33

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 6

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Exercice 1-1 : Examiner l'architecture d'Oracle Database (suite)
9) Les structures de stockage logiques d'une base de données Oracle sont :
• ___________________________
• ___________________________
• ___________________________
• ___________________________
• ___________________________

Conseil : Voir page 1-35

10) Le processus ___________________ copie les fichiers de journalisation (fichiers

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redo log) vers une destination d'archivage.

Conseil : Voir page 1-31

11) La _____________________ contient des données et des informations de contrôle


pour un processus serveur ou d'arrière-plan.

Conseil : Voir page 1-17

12) La structure de tablespace logique est associée aux fichiers ____________________


physiques sur disque.

Conseil : Voir page 1-35

13) LGWR effectue une opération d'écriture dans les cas suivants :
• ___________________________
• ___________________________
• ___________________________
• ___________________________

Conseil : Voir page 1-25

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 7

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Exercice 1-1 : Examiner l'architecture d'Oracle Database (suite)
14) Indiquez si les affirmations suivantes sont vraies ou fausses.
a) La mémoire SGA comprend le cache de tampons (buffer cache) de la base de
données et le tampon de journalisation (redo log buffer). ____
b) Chaque processus serveur a sa propre mémoire PGA. ____
c) Les tampons du cache de la base de données sont organisés en deux listes : la liste
des tampons utilisés récemment et la liste LRU des tampons qui n'ont pas été
utilisés dernièrement. ____
d) Les processus utilisateur exécutent l'application ou l'outil qui se connecte à une
instance Oracle. ____
e) Les processus Oracle Database comprennent des processus serveur et des
processus en arrière-plan. ____

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f) Les points de reprise (checkpoints) sont enregistrés dans les en-têtes des fichiers
journaux. ___

Conseil : Voir pages 1-9, 1-10, 1-13, 1-20, 1-21, 1-27

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 8

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Exercices - Chapitre 2
Contexte : Dans les exercices portant sur ce cours, vous jouez le rôle d'un administrateur
de base de données (DBA). Les comptes du système d'exploitation sur votre ordinateur
sont les suivants :
• L'utilisateur oracle, avec le mot de passe oracle.
• L'utilisateur root, avec le mot de passe oracle.
L'administrateur système a configuré le système d'exploitation de sorte qu'il soit prêt pour
l'installation du logiciel Oracle. Vous devez effectuer deux installations : Oracle Grid
Infrastructure pour un serveur autonome et Oracle Database 11g.

Les supports d'installation sont enregistrés aux emplacements suivants :


• /stage/11.2.0/clusterware/Disk1 pour Oracle Grid Infrastructure
• /stage/11.2.0/database/Disk1 pour Oracle Database 11g

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Effectuez les tâches suivantes en tant qu'utilisateur du système d'exploitation oracle
par défaut, sauf indication contraire.
Remarque : Vous devez réaliser cet exercice pour pouvoir effectuer les exercices des
chapitres suivants.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 9

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Exercice 2-1 : Installer et configurer Oracle Grid Infrastructure
Dans cet exercice, vous allez installer Oracle Grid Infrastructure pour un serveur
autonome. Pendant cette installation, vous devrez configurer le groupe de disques ASM
+DATA qui servira au stockage des fichiers de la base de données. Une fois l'installation
terminée, vous configurerez le groupe de disques ASM +FRA qui servira à stocker les
sauvegardes et les autres fichiers de la base.
1) Démarrez l'installeur OUI (Oracle Universal Installer) en vue d'installer Oracle Grid
Infrastructure. En tant qu'utilisateur oracle, accédez au répertoire
/stage/11.2.0/clusterware/Disk1 et entrez ./runInstaller.
a) Cliquez avec le bouton droit de la souris sur le bureau et cliquez sur Open
Terminal pour ouvrir une fenêtre de terminal, puis entrez les commandes
suivantes :

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$ cd /stage/11.2.0/clusterware/Disk1
$ ./runInstaller
2) Dans la page Select Installation Option, sélectionnez l'option Install and Configure
Grid Infrastructure for a Standalone Server et cliquez sur Next.
3) Dans la page Select Product Languages, sélectionnez toutes les langues disponibles et
cliquez sur Next.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 10

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Exercice 2-1 : Installer et configurer Oracle Grid Infrastructure
(suite)
4) Dans la page Create ASM Disk Group, assurez-vous que la valeur de Disk Group
Name est DATA et que l'option Redundancy sélectionnée est Normal. Sélectionnez les
quatre premiers groupes de disques (ORCL:ASMDISK01, ORCL:ASMDISK02,
ORCL:ASMDISK03 et ORCL:ASMDISK04), puis cliquez sur Next.

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5) Dans la page Specify ASM Password, sélectionnez l'option permettant d'utiliser le
même mot de passe pour les deux comptes SYS et SYSTEM. Indiquez le mot de passe
oracle_4U et cliquez sur Next.
6) La page Privileged Operating System Groups apparaît. Comme votre installation est
destinée à un serveur autonome, vous pouvez utiliser le même groupe du système
d'exploitation (dba) pour tous les groupes d'administration répertoriés.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 11

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Exercice 2-1 : Installer et configurer Oracle Grid Infrastructure
(suite)
a) Sélectionnez dba dans les trois listes déroulantes et cliquez sur Next pour
continuer.

Oracle University and OMNIDATA. use only


b) Un message d'avertissement s'affiche parce que vous avez sélectionné le même
groupe pour les trois privilèges d'administration. Cet avertissement est normal.
Cliquez sur Yes pour continuer.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 12

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Exercice 2-1 : Installer et configurer Oracle Grid Infrastructure
(suite)
7) Dans la page Specify Installation Location, assurez-vous que le champ Oracle Base
contient la valeur /u01/app/oracle. Dans le champ Software Location, entrez
/u01/app/oracle/product/11.2.0/grid. Cliquez sur Next.

Oracle University and OMNIDATA. use only


8) Dans la page Create Inventory, acceptez toutes les sélections par défaut et cliquez sur
Next pour continuer.
9) La page Perform Prerequisite Checks s'affiche. L'installeur OUI vérifie que votre
environnement est conforme à la configuration minimale requise pour cette
installation. Si une vérification échoue, l'installeur OUI peut la plupart du temps
générer un script qui résout le problème. Dans l'environnement de la salle de cours,
toutes les conditions requises sont satisfaites. L'installeur ne détecte donc aucun
problème et affiche la page suivante.
10) Dans la page Summary, vérifiez les paramètres et les informations concernant
l'installation, puis cliquez sur Finish.
11) La page Setup affiche alors la progression de l'installation et le statut des tâches
successives. Lorsque la boîte de dialogue Execute Configuration scripts apparaît,
suivez les étapes indiquées.
a) Ouvrez une fenêtre de terminal et connectez-vous en tant qu'utilisateur root.
$ su –
Password:
#

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 13

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Exercice 2-1 : Installer et configurer Oracle Grid Infrastructure
(suite)
b) Exécutez les scripts indiqués dans la fenêtre Execute Configuration scripts.
i) Le premier script se trouve à l'emplacement
/u01/app/oraInventory/orainstRoot.sh.
# /u01/app/oraInventory/orainstRoot.sh
Changing permissions of /u01/app/oraInventory.
Adding read,write permissions for group.
Removing read,write,execute permissions for world.

Changing groupname of /u01/app/oraInventory to oinstall.


The execution of the script is complete.
#
ii) Le deuxième script est

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/u01/app/oracle/product/11.2.0/grid/root.sh. Acceptez le
répertoire bin local par défaut /usr/local/bin en appuyant sur la touche
Entrée.
# /u01/app/oracle/product/11.2.0/grid/root.sh
Running Oracle 11g root.sh script...
The following environment variables are set as:
ORACLE_OWNER= oracle
ORACLE_HOME= /u01/app/oracle/product/11.2.0/grid
Enter the full pathname of the local bin directory:
[/usr/local/bin]:
Copying dbhome to /usr/local/bin ...
Copying oraenv to /usr/local/bin ...
Copying coraenv to /usr/local/bin ...
Creating /etc/oratab file...
Entries will be added to the /etc/oratab file as needed by
Database Configuration Assistant when a database is created
Finished running generic part of root.sh script.
Now product-specific root actions will be performed.
2009-07-08 09:35:07: Checking for super user privileges
2009-07-08 09:35:07: User has super user privileges
2009-07-08 09:35:07: Parsing the host name
Using configuration parameter file:
/u01/app/oracle/product/11.2.0/grid/crs/install/crsconfig_para
ms
Creating trace directory
LOCAL ADD MODE
Creating OCR keys for user 'oracle', privgrp 'oinstall'..
Operation successful.
CRS-4664: Node edrsr12p1 successfully pinned.
Adding daemon to inittab
CRS-4123: Oracle High Availability Services has been started.
ohasd is starting

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 14

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Exercice 2-1 : Installer et configurer Oracle Grid Infrastructure
(suite)
edrsr12p1 2009/07/08 09:35:39
/u01/app/oracle/product/11.2.0/grid/cdata/edrsr12p1/backup_200
90708_093539.olr
Successfully configured Oracle Grid Infrastructure for a
Standalone Server
#
c) Cliquez sur OK dans la fenêtre Execute Configuration scripts. L'installeur
procède alors aux tâches d'installation restantes.
12) Cliquez sur Close dans la page Finish pour terminer la procédure d'installation
d'Oracle Grid Infrastructure pour un serveur autonome.
13) L'étape suivante consiste à configurer le groupe de disques +FRA. Dans une fenêtre
de terminal où vous êtes connecté en tant qu'utilisateur oracle, effectuez les étapes

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suivantes :
a) Lancez l'utilitaire oraenv pour définir l'environnement de la session de terminal.
Lorsque vous êtes invité à indiquer la valeur de ORACLE_SID, entrez +ASM :
$ . oraenv
ORACLE_SID = [orcl] ? +ASM
The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/grid is
/u01/app/oracle
b) Lancez l'utilitaire ASM Configuration Assistant en entrant asmca à partir de la
ligne de commande :
$ asmca

c) L'assistant affiche les groupes de disques actuellement configurés pour l'instance


+ASM. Cliquez sur Create.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 15

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Exercice 2-1 : Installer et configurer Oracle Grid Infrastructure
(suite)
d) Dans le champ Disk Group Name, entrez FRA. Dans la section Redundancy,
sélectionnez l'option External (None). Sélectionnez les groupes de disques
ORCL:ASMDISK05, ORCL:ASMDISK06, ORCL:ASMDISK07 et
ORCL:ASMDISK08 puis cliquez sur OK.

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e) Cliquez sur OK dans la fenêtre DiskGroup: Creation.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 16

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Exercice 2-1 : Installer et configurer Oracle Grid Infrastructure
(suite)
f) Notez que deux groupes de disques (DATA et FRA) sont désormais répertoriés
pour l'instance +ASM. Cliquez sur Exit.

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g) Cliquez sur Yes pour confirmer que vous souhaitez quitter l'application.
14) Fermez toutes les fenêtres de terminal.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 17

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Exercice 2-2 : Installer le logiciel Oracle Database 11g
L'étape suivante consiste à installer le logiciel Oracle Database 11g.
1) Ouvrez une fenêtre de terminal en tant qu'utilisateur oracle pour installer le logiciel
Oracle Database. Accédez au répertoire /stage/11.2.0/database/Disk1 et
démarrez Oracle Universal Installer (OUI) en entrant la commande
./runInstaller.
a) Cliquez avec le bouton droit de la souris sur le bureau et cliquez sur Open
Terminal pour ouvrir une fenêtre de terminal, puis entrez les commandes
suivantes :
$ cd /stage/11.2.0/database/Disk1
$ ./runInstaller
2) La première page de l'installeur se nomme Configure Security Updates. Dans un

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environnement réel, vous devriez y entrer votre adresse e-mail et votre mot de passe
d'accès au site My Oracle Support, mais comme l'environnement utilisé pour le cours
est isolé, vous n'avez pas à effectuer ces opérations. Désélectionnez la case à cocher
qui demande à recevoir les mises à jour de sécurité de ce site et cliquez sur Next.
3) Cliquez sur Yes dans la boîte de dialogue Email Address Not Specified qui s'affiche.
4) Dans la page Select Installation Option, sélectionnez l'option Install database
software only, puis cliquez sur Next.

5) Dans la page Install Type, vérifiez que l'option Single instance database installation
est sélectionnée et cliquez sur Next.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 18

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Exercice 2-2 : Installer le logiciel Oracle Database 11g (suite)
6) Dans la page Select Product Languages, sélectionnez toutes les langues disponibles et
cliquez sur Next.
7) Dans la page Select Database Edition, vérifiez que l'option Enterprise Edition
(3.95GB) est sélectionnée, puis cliquez sur Next.
8) Dans la page Specify Installation Location, assurez-vous que le champ Oracle Base
contient la valeur /u01/app/oracle. Dans le champ Software Location, entrez
/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1. Cliquez sur Next.

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9) Dans la page Privileged Operating System Groups, sélectionnez dba pour les deux
groupes OSDBA et OSOPER, puis cliquez sur Next.
10) L'installeur OUI effectue ensuite les vérifications préalables requises. Il ne devrait
détecter aucun problème et la page Summary devrait apparaître. Cliquez sur Finish.
11) Dans la page Install Product, vous pouvez suivre le déroulement de l'installation et
constater le statut de chaque tâche. Lorsque la boîte de dialogue Execute
Configuration scripts apparaît, suivez les étapes indiquées.
a) Ouvrez une fenêtre de terminal et connectez-vous en tant qu'utilisateur root.
$ su –
Password:
#

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 19

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Exercice 2-2 : Installer le logiciel Oracle Database 11g (suite)
b) Exécutez le script indiqué dans la fenêtre Execute Configuration scripts. Acceptez
le répertoire bin local par défaut et choisissez de ne pas remplacer les fichiers
existants (vous pouvez simplement appuyer sur [Entrée] puisqu'il s'agit de l'option
par défaut).
# /u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1/root.sh
Running Oracle 11g root.sh script...

The following environment variables are set as:


ORACLE_OWNER= oracle
ORACLE_HOME= /u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1

Enter the full pathname of the local bin directory:


[/usr/local/bin]:
The file "dbhome" already exists in /usr/local/bin. Overwrite

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it? (y/n)
[n]:
The file "oraenv" already exists in /usr/local/bin. Overwrite
it? (y/n)
[n]:
The file "coraenv" already exists in /usr/local/bin.
Overwrite it? (y/n)
[n]:

Entries will be added to the /etc/oratab file as needed by


Database Configuration Assistant when a database is created
Finished running generic part of root.sh script.
Now product-specific root actions will be performed.
Finished product-specific root actions.
#
c) Cliquez sur OK dans la fenêtre Execute Configuration scripts.
12) Cliquez sur Close dans la page Finish pour terminer la procédure d'installation du
logiciel Oracle Database 11g.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 20

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Exercices - Chapitre 3
Contexte : Vous êtes sur le point de créer votre première base de données Oracle. Vous
prévoyez que plusieurs bases semblables seront nécessaires dans un futur proche. Par
conséquent, vous décidez de créer la base orcl, ainsi qu'un modèle de base de données
et les scripts de création de base de données. Placez les scripts dans le répertoire
/home/oracle/labs (il s'agit du répertoire le plus souvent utilisé dans ce cours).

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 21

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Exercice 3-1 : Créer une base de données Oracle
Cet exercice consiste à créer la base de données orcl. Vous allez pour cela utiliser
l'assistant DBCA (Database Configuration Assistant).
1) Démarrez DBCA.
a) Ouvrez une fenêtre de terminal en tant qu'utilisateur oracle en cliquant sur le
bureau avec le bouton droit de la souris et en sélectionnant Open Terminal.
b) Définissez la variable d'environnement ORACLE_HOME à l'aide de l'utilitaire
oraenv. Indiquez orcl pour ORACLE_SID et
/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1 pour ORACLE_HOME.
Remarque : Vous devez entrer le chemin complet du répertoire ORACLE_HOME
à ce stade car la base de données orcl n'existe pas encore. Une fois la base créée,
il suffira d'entrer orcl pour SID et ORACLE_HOME sera déterminé

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automatiquement.
$ . oraenv
ORACLE_SID = [oracle] ? orcl
ORACLE_HOME = [/home/oracle] ?
u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1
The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1 is
/u01/app/oracle

c) Pour démarrer l'assistant DBCA, entrez :


$ dbca

2) Cliquez sur Next dans la page Welcome pour commencer à créer la base de données
orcl.
3) Dans la page Operations, sélectionnez Create a Database, puis cliquez sur Next.
4) Dans la page Database Templates, sélectionnez le modèle General Purpose or
Transaction Processing.
a) Cliquez sur Show Details et répondez aux questions suivantes :
i) Question 1 : Combien de fichiers de contrôle sont créés ?

Réponse : Deux
Remarque : L'emplacement changera lorsque vous choisirez la technique de
stockage ASM, plus loin dans cet exercice.
ii) Question 2 : Combien de groupes de fichiers de journalisation sont créés ?

Réponse : Trois
Remarque : L'emplacement changera lorsque vous choisirez la technique de
stockage ASM, plus loin dans cet exercice.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 22

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Exercice 3-1 : Créer une base de données Oracle (suite)
iii) Question 3 : Quelle est la taille des blocs de base de données
(db_block_size) ?

Réponse : 8 Ko
iv) Question 4 : Quelle est la valeur de Sample Schemas ?

Réponse : Sample Schemas a la valeur False.


Remarque : Vous modifierez ce paramètre ultérieurement dans l'exercice
pour que l'exemple de schéma HR soit inclus dans votre base de données.
v) Question 5 : Quel est le jeu de caractères par défaut du modèle ?

Réponse : WE8MSWIN1252
Remarque : Vous modifierez ce paramètre ultérieurement dans l'exercice afin

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d'utiliser un jeu Unicode.
b) Cliquez sur Close pour fermer la fenêtre Template Details.
c) Cliquez sur Next dans la page Database Templates pour continuer la création de
la base de données.
5) Dans la page Database Identification, entrez orcl.example.com comme nom
global de base de données (Global Database Name). Le SID prend par défaut le nom
de base de données orcl. Cliquez sur Next.
6) Dans la page Management Options, assurez-vous que les éléments suivants sont
sélectionnés :
a) Dans l'onglet Enterprise Manager : Configure Enterprise Manager et
Configure Database Control for local Management
b) Dans l'onglet Automatic Maintenance Tasks : Enable Automatic maintenance
tasks
c) Cliquez sur Next pour continuer.
7) Dans la page Database Credentials, sélectionnez Use the Same Password for All
Accounts, puis entrez oracle_4U dans les champs Password et Confirm Password.
Cliquez ensuite sur Next.
8) Dans la page Database File Locations, indiquez le type de stockage ASM et
choisissez le groupe de disques +DATA comme emplacement de stockage.
a) Sélectionnez Automatic Storage Management (ASM) dans le champ Storage
Type.
b) L'option de stockage Use Oracle-Managed Files est sélectionnée
automatiquement. Cliquez sur le bouton Browse en regard du champ Database
Area.
c) Dans la fenêtre Select Disk Group, assurez-vous que le groupe de disques DATA
est sélectionné et cliquez sur OK.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 23

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Exercice 3-1 : Créer une base de données Oracle (suite)
d) Cliquez sur Next dans la page Database File Locations.

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e) La fenêtre ASM Credentials apparaît. Entrez le mot de passe que vous avez
indiqué pendant l'installation et la configuration de l'instance ASM (pour
l'environnement du cours, il doit normalement s'agir du mot de passe
oracle_4U), puis cliquez sur OK.
9) Dans la page Recovery Configuration, configurez la zone de récupération rapide.
Remarque : La zone de récupération rapide Flash Recovery Area est désormais
appelée Fast Recovery Area, mais dans cette version, les pages d'Enterprise Manager
utilisent encore l'ancien nom. Attendez-vous à voir cette modification prise en compte
dans de futures versions du produit.
a) Sélectionnez Specify Flash Recovery Area.
b) Cliquez sur le bouton Browse en regard du champ Flash Recovery Area.
c) Dans la fenêtre Select Disk Group, sélectionnez le groupe de disques FRA et
cliquez sur OK.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 24

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Exercice 3-1 : Créer une base de données Oracle (suite)
d) Cliquez sur Next dans la page Recovery Configuration.

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10) Dans la page Database Content, sélectionnez Sample Schemas, puis cliquez sur
Next.
11) Dans l'onglet Memory de la page Initialization Parameters, sélectionnez l'option
Typical et indiquez une taille mémoire de 550 Mo. Choisissez ensuite d'utiliser le jeu
de caractères Unicode AL32UTF8.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 25

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Exercice 3-1 : Créer une base de données Oracle (suite)
a) Sélectionnez Typical et entrez 550 dans le champ Memory Size (SGA and
PGA). Assurez-vous que la case Use Automatic Memory Management est
cochée.

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b) Cliquez sur l'onglet Character Sets et sélectionnez Use Unicode (AL32UTF8).


c) Consultez les onglets Sizing et Connection Mode, mais ne modifiez aucune
valeur. Cliquez ensuite sur Next.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 26

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Exercice 3-1 : Créer une base de données Oracle (suite)
12) Dans la page Database Storage, examinez le nom et l'emplacement des fichiers.
Cliquez ensuite sur Next.
13) Dans la page Creation Options, effectuez les actions suivantes :
a) Cochez la case Create Database.
b) Cochez la case Save as a Database Template. Entrez orcl dans le champ
Name et orcl Database Template dans le champ Description.
c) Cochez la case Generate Database Creation Scripts et entrez
/home/oracle/labs dans le champ Destination Directory.
d) Cliquez ensuite sur Finish.
14) La page Confirmation apparaît.
a) Vérifiez les options et paramètres retenus, notamment ceux indiqués dans le

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tableau suivant, puis cliquez sur OK.
Nom Valeur
Sample Schemas True
db_block_size 8KB
db_create_file_dest +DATA
db_recovery_file_dest +FRA
memory_target 550MB
Database Character Set AL32UTF8
b) Cliquez sur OK pour confirmer que le modèle a été créé.
c) Cliquez sur OK pour confirmer que les scripts ont été générés.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 27

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Exercice 3-1 : Créer une base de données Oracle (suite)
15) L'assistant DBCA affiche la progression des différentes étapes d'installation. Une fois
la base de données créée, l'assistant DBCA affiche les principales informations
relatives à celle-ci. Relevez ces informations. L'URL de Database Control sera
utilisée dans bon nombre des exercices suivants.

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:
a) Important : Notez ci-après l'URL de Database Control :

https://_________________________________________:______/em
Vous l'utiliserez à maintes reprises dans le reste de ce cours.
b) Cliquez sur le bouton Password Management.
c) Faites défiler la page Password Management vers le bas pour atteindre le nom
utilisateur HR.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 28

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Exercice 3-1 : Créer une base de données Oracle (suite)
d) Désélectionnez Lock Account? et entrez oracle_4U dans les colonnes New
Password et Confirm Password. Cliquez ensuite sur OK.

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e) Cliquez sur Exit pour fermer l'assistant DBCA.
Vous avez terminé la tâche qui vous était impartie, à savoir créer une base, un modèle
de conception de base de données et des scripts de génération de base de données.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 29

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Exercices - Chapitre 4
Contexte : Vous venez d'installer le logiciel Oracle et de créer une base de données.
Vous souhaitez vous assurer que vous pouvez démarrer et arrêter la base et afficher les
données d'application.

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Exercice 4-1 : Gérer l'instance Oracle
Cet exercice va vous permettre de vous familiariser avec l'interface Oracle Enterprise
Manager. Celle-ci permet d'effectuer les tâches suivantes :
• Afficher et modifier les paramètres de l'instance
• Arrêter la base de données
• Démarrer la base de données
Vous allez également consulter divers paramètres de l'instance à l'aide de SQL*Plus et
examiner la version texte du fichier d'alertes à partir d'une fenêtre de terminal.
1) Appelez Enterprise Manager, puis connectez-vous en tant qu'utilisateur SYS. Quel
numéro de port la base de données utilise-t-elle ? Vous avez noté cette information
dans l'exercice 3.
Réponse : 1158
a) Cliquez deux fois sur l'icône Web Browser du bureau pour ouvrir le navigateur

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Web en tant qu'utilisateur oracle.
b) Entrez l'URL que vous avez notée dans l'exercice 3. Elle se présente sous la forme
suivante :
https://hostname:portnumber/em
Remarque : Lors de votre première tentative de connexion, un message du type
Secure Connection Failed s'affiche et une fenêtre Alert peut apparaître. Pour en
sortir, ajoutez une exception et acceptez le certificat.
i) Cliquez sur OK dans la fenêtre Alert si elle s'affiche.
ii) Cliquez sur le lien Or you can add an exception… en bas de la page.
iii) Un avertissement s'affiche à propos de l'ajout d'exceptions. Cliquez sur le
bouton Add Exception….
iv) Dans la fenêtre Add Security Exception, cliquez sur le bouton Get
Certificate.
v) La page Certificate Status apparaît. Vérifiez que l'option sélectionnée consiste
à stocker cette exception de manière permanente, puis cliquez sur le bouton
Confirm Security Exception.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 31

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Exercice 4-1 : Gérer l'instance Oracle (suite)
c) Dans l'écran de connexion à Oracle Enterprise Manager, entrez sys dans le
champ User Name et oracle_4U dans le champ Password, puis sélectionnez
SYSDBA dans le champ Connect As. Cliquez ensuite sur Login.

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2) Affichez les paramètres d'initialisation et attribuez la valeur 15 au paramètre
JOB_QUEUE_PROCESSES. Quelle instruction SQL est exécutée pour cette opération ?
a) Sélectionnez Server > Initialization Parameters (dans la section Database
Configuration).

b) Entrez job dans le champ Name, puis cliquez sur Go.

c) Lorsque le paramètre d'initialisation JOB_QUEUE_PROCESSES apparaît,


remplacez sa valeur par 15.
d) Cliquez sur Show SQL et examinez l'instruction SQL qui va être exécutée.

e) Cliquez sur Return, puis sur Apply.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 32

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Exercice 4-1 : Gérer l'instance Oracle (suite)
3) Question : Quelle est la signification de la présence d'une coche dans la colonne
Dynamic ?
Réponse : Un paramètre "dynamique" peut être modifié lorsque la base de données
est en service.
4) Arrêtez l'instance de base de données à l'aide d'Enterprise Manager.
a) Dans la session de navigateur d'Enterprise Manager, cliquez sur l'onglet
Database.
b) Cliquez sur le bouton Shutdown.
c) Dans la région Host Credentials, entrez oracle dans les champs Username et
Password.
d) Cliquez sur OK. La page Startup/Shutdown: Confirmation apparaît.

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e) Cliquez sur Advanced Options pour afficher le mode d'arrêt, mais conservez la
valeur "Immediate".
f) Cliquez sur Cancel pour revenir à la page précédente.
g) Cliquez sur Yes pour confirmer l'opération d'arrêt.
h) Cliquez sur Refresh. Si une erreur se produit au cours de la régénération, cliquez
sur OK et poursuivez la régénération. L'erreur se résoudra d'elle-même.
i) Notez que le statut (Status) de l'instance est désormais "Down".

5) A l'aide de SQL*Plus, vérifiez que vous ne pouvez pas vous connecter en tant
qu'utilisateur HR à une base de données qui a été arrêtée.
a) Dans la fenêtre de commandes Linux, passez dans l'environnement de la base de
données orcl à l'aide de l'outil oraenv.
$ . oraenv
ORACLE_SID = [oracle] ? orcl
The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1 is
/u01/app/oracle
$

b) Entrez la commande suivante pour tenter de vous connecter à la base de données :


$ sqlplus hr

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 33

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Exercice 4-1 : Gérer l'instance Oracle (suite)
c) Entrez oracle_4U comme mot de passe.
d) Le message "ORACLE not available" apparaît.
e) Appuyez sur [Ctrl] + [D] pour quitter l'invite de nom utilisateur.
6) Utilisez Enterprise Manager pour redémarrer l'instance de base de données, puis
connectez-vous à nouveau en tant qu'utilisateur SYS.
a) Dans Enterprise Manager, cliquez sur le bouton Startup.
b) Entrez oracle dans les champs Username et Password de la région Host
Credentials.
c) Cliquez sur OK.
d) La page Select Startup Type apparaît. Vérifiez que l'option "Start database along
with dependent resources" est sélectionnée et cliquez sur OK.

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e) La page Startup/Shutdown: Confirmation apparaît.
f) Cliquez sur Advanced Options pour afficher le mode et les options de démarrage
disponibles, mais ne modifiez pas le mode de démarrage qui doit rester "Open".
g) Cliquez sur Cancel pour revenir à la page précédente.
h) Cliquez sur Yes pour confirmer l'opération de démarrage.
i) La page Startup apparaît pendant que la base de données démarre. Lorsque la
page de connexion apparaît, connectez-vous en tant qu'utilisateur SYS avec le mot
de passe oracle_4U et le privilège SYSDBA.
Remarque : Lors de la première tentative de connexion, vous pouvez recevoir un
message indiquant que l'agent n'a pas réussi à se connecter à l'instance. Attendez
quelques minutes. Le message devrait disparaître et laisser place à la page
d'accueil de la base de données.
7) Dans le fichier d'alertes, affichez les différentes phases de démarrage de la base de
données. Quelles sont-elles ?
a) Sélectionnez Database > Related Links > Alert Log Contents. Cliquez sur Go.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 34

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Exercice 4-1 : Gérer l'instance Oracle (suite)
b) Faites défiler le fichier et examinez les différentes phases de la base de données
au cours du démarrage. Vous risquez d'obtenir un fichier d'alertes différent de la
capture ci-dessous, en fonction d'activités système différentes.

c) Au cours du démarrage, la base de données passe par les modes MOUNT et OPEN.
d) Trouvez et examinez la version texte du fichier d'alertes.
Connectez-vous à la base de données en tant qu'utilisateur system (mot de passe
oracle_4U) à l'aide de SQL*Plus et interrogez la vue V$DIAG_INFO. Pour
afficher le fichier d'alertes au format texte, sans les balises XML, procédez de la
manière suivante :

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i) Dans les résultats de l'interrogation de la vue V$DIAG_INFO, notez le
chemin correspondant à l'entrée Diag Trace.
SQL> select * from V$DIAG_INFO;

INST_ID NAME
---------- ------------------------------------------------
VALUE
-----------------------------------------------------------
...
1 Diag Trace
/u01/app/oracle/diag/rdbms/orcl/orcl/trace
...
ii) Quittez SQL*Plus et passez dans le répertoire indiqué.
$ cd /u01/app/oracle/diag/rdbms/orcl/orcl/trace
iii) Ouvrez le fichier alert_orcl.log à l'aide d'un éditeur de texte.
Remarque : Dans d'autres bases de données, ce fichier sera nommé
alert_<sid>.log, où <sid> désigne le nom de l'instance.
e) Essayez de repérer les entrées correspondant aux opérations d'arrêt et de
démarrage effectuées précédemment.
8) Connectez-vous à la base de données en tant que sysdba à l'aide de SQL*Plus.
Remarque : N'oubliez pas d'appeler oraenv pour définir la base de données orcl
comme environnement si vous ne l'avez pas déjà fait dans la fenêtre de terminal.
$ sqlplus / as sysdba

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 35

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Exercice 4-1 : Gérer l'instance Oracle (suite)
9) Utilisez la commande SHOW PARAMETER pour vérifier les valeurs de
SGA_MAX_SIZE, DB_CACHE_SIZE et SHARED_POOL_SIZE.

SQL> show parameter sga_max_size

NAME TYPE VALUE


------------------------------------ ----------- ----------
sga_max_size big integer 552M
SQL> show parameter db_cache_size

NAME TYPE VALUE


------------------------------------ ----------- ----------
db_cache_size big integer 0
SQL> show parameter shared_pool_size

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NAME TYPE VALUE
------------------------------------ ----------- ----------
shared_pool_size big integer 0
SQL>

10) Vérifiez la valeur de JOB_QUEUE_PROCESSES.

SQL> show parameter job_queue_processes

NAME TYPE VALUE


------------------------------------ ----------- ----------
job_queue_processes integer 1000
SQL>

Remarque : Vous avez affecté à JOB_QUEUE_PROCESSES la valeur 15 dans une


étape antérieure de cet exercice, mais cette modification s'appliquait uniquement à
l'instance active et n'a pas été enregistrée dans le fichier SPFILE. Lors du
redémarrage suivant, c'est le paramètre stocké dans le fichier SPFILE qui est pris en
compte.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 36

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Exercice 4-2 : Tester Oracle Restart et la base de données
Dans cet exercice, vous allez tester la fonctionnalité Oracle Restart en provoquant une
panne de la base de données et en examinant comment s'effectue le redémarrage.
1) Utilisez Enterprise Manager pour déterminer si votre instance de base de données
orcl est actuellement gérée par Oracle Restart.
a) Accédez à la page d'accueil (Home) en cliquant sur l'onglet Database.
b) Dans la page Home, examinez la section High Availability et vérifiez que la
fonctionnalité Oracle Restart est activée pour cette instance de la base de données.
2) Pour déterminer l'effet d'Oracle Restart, arrêtez le processus LGWR de l'instance
orcl. Que constatez-vous ?
a) Définissez les variables d'environnement de votre instance de base de données
orcl.

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$ . oraenv
ORACLE_SID = [orcl] ? orcl
The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1 is
/u01/app/oracle
Enter
b) Entrez ps -ef | grep ora_lgwr_orcl pour obtenir l'ID du processus
LGWR associé à votre base de données.
$ ps -ef | grep ora_lgwr_orcl
oracle 10478 1 0 10:54 ? 00:00:00 ora_lgwr_orcl
oracle 11371 24865 0 11:00 pts/3 00:00:00 grep
ora_lgwr_orcl
c) Arrêtez le processus LGWR à l'aide de la commande kill -9 en précisant l'ID
de processus obtenu à l'étape précédente. Cette commande va arrêter l'instance.
$ kill -9 10478

d) Entrez à nouveau ps -ef | grep ora_lgwr_orcl pour savoir si le


processus LGWR a redémarré. Répétez cette étape jusqu'à ce que le processus
LGWR ait redémarré. Notez que l'ID du processus ora_lgwr_orcl est
différent de celui que vous avez utilisé dans la commande kill -9.
$ ps -ef | grep ora_lgwr_orcl
oracle 11849 11687 0 11:06 pts/3 00:00:00 grep
ora_lgwr_orcl
$ ps -ef | grep ora_lgwr_orcl
oracle 11855 11687 0 11:06 pts/3 00:00:00 grep
ora_lgwr_orcl
$ ps -ef | grep ora_lgwr_orcl
oracle 11946 1 0 11:06 ? 00:00:00 ora_lgwr_orcl
oracle 12034 11687 0 11:07 pts/3 00:00:00 grep
ora_lgwr_orcl

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 37

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Exercice 4-2 : Tester Oracle Restart et la base de données (suite)
3) Connectez-vous à la base de données en tant que sysdba à l'aide de SQL*Plus pour
vérifier que le redémarrage s'est effectué correctement. Interrogez v$instance
pour connaître le statut de votre instance.
Remarque : N'oubliez pas d'utiliser oraenv pour définir la base de données orcl
comme environnement si vous ne l'avez pas déjà fait dans votre fenêtre de terminal.
$ sqlplus / as sysdba

SQL*Plus: Release 11.2.0.1.0 Production on Tue Aug 18 11:16:40


2009

Copyright (c) 1982, 2009, Oracle. All rights reserved.

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Oracle Database 11g Enterprise Edition Release 11.2.0.2.0 -
Production
With the Partitioning, Automatic Storage Management, OLAP,
Data Mining
and Real Application Testing options

SQL> select status from v$instance;

STATUS
------------
OPEN

SQL>

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 38

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Exercices - Chapitre 5
Contexte : Dans ces exercices, vous allez examiner les avantages de la fonctionnalité
ASM de resynchronisation rapide de disque miroir (ASM Fast Mirror Resync). Vous
vous familiariserez également avec l'utilitaire en mode ligne de commande ASMCMD.

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 39

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Exercice 5-1 : Fonctionnalité ASM Fast Mirror Resync
Dans cet exercice, vous allez remettre en service un disque mis hors ligne à la suite d'un
problème n'entraînant pas de perte de données. Vous effectuerez cette opération sans,
puis avec la fonctionnalité de resynchronisation rapide de disque miroir (ASM Fast
Mirror Resync) afin de comparer les durées.
1) Déterminez les attributs de compatibilité des groupes de disques ASM existants. Que
constatez-vous ?
a) Définissez les variables d'environnement appropriées pour l'instance +ASM.
Exécutez l'interrogation illustrée dans la capture d'écran ci-après pour vérifier les
attributs de compatibilité de l'instance ASM et de la base de données. Vous devez
constater que la valeur de compatibilité de la base de données est 10.1.
$ . oraenv

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ORACLE_SID = [orcl] ? +ASM
The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/grid is
/u01/app/oracle
$ sqlplus / as sysasm

SQL> select name,compatibility,database_compatibility from


v$asm_diskgroup;

NAME COMPATIBILITY DATABASE_COMPATIBILITY


-------------------- ------------------ ----------------------
DATA 11.2.0.0.0 10.1.0.0.0
FRA 11.2.0.0.0 10.1.0.0.0

2) Dans Enterprise Manager, accédez à la page du groupe de disques DATA.


a) Connectez-vous à Enterprise Manager Database Control en tant qu'utilisateur SYS
en utilisant l'URL fournie au cours de l'exercice précédent. Par exemple :
https://edrsr12p1.us.oracle.com:1158/em/
b) Cliquez sur le lien +ASM dans la page d'accueil Database.
c) Dans la page d'accueil ASM, cliquez sur l'onglet Disk Groups.
d) Dans la page Automatic Storage Management Login, entrez sys dans le champ
Username et oracle_4U dans le champ Password, puis sélectionnez SYSASM
dans la liste déroulante Connect As. Cochez la case Save as Preferred
Credentials. Cliquez ensuite sur Login.
e) Dans la page Disk Groups, cliquez sur le lien DATA du tableau.
3) Dans Enterprise Manager Database Control, modifiez l'attribut Database
Compatibility du groupe de disques DATA. Affectez-lui la valeur 11.2.0.0.0.
a) Dans l'onglet General de la page Disk Group: DATA, cliquez sur Edit dans la
section Advanced Attributes.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 40

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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Exercice 5-1 : Fonctionnalité ASM Fast Mirror Resync (suite)
b) Dans la page Edit Advanced Attributes for Disk Group: DATA, entrez
11.2.0.0.0 dans le champ Database Compatibility. Cliquez ensuite sur OK.
c) Retournez dans l'onglet General de la page Disk Group: DATA. Vérifiez que le
champ Database Compatibility a été mis à jour. Vous devriez également constater
un taux de remplissage des disques d'environ 40 %.
d) Essayez de rétablir l'ancienne valeur 10.1.0.0.0 du paramètre Database
Compatibility. Que constatez-vous ?
4) Utilisez SQL*Plus pour vérifier que la mise à jour précédente a été correctement
effectuée.
a) Dans une fenêtre de terminal où vous êtes connecté en tant qu'utilisateur oracle,
lancez SQL*Plus et examinez V$ASM_DISKGROUP :

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$ . oraenv
ORACLE_SID = [orcl] ? +ASM
The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/grid is
/u01/app/oracle
$ sqlplus / as sysasm
SQL> select name,compatibility,database_compatibility from
v$asm_diskgroup;

NAME COMPATIBILITY DATABASE_COMPATIBILITY


------ ------------- ----------------------
DATA 11.2.0.0.0 11.2.0.0.0
FRA 11.2.0.0.0 10.1.0.0.0
b) Quittez SQL*Plus lorsque vous avez terminé.
5) Exécutez le script lab_05_01_05.sh à partir du répertoire labs pour configurer
l'environnement nécessaire à cet exercice. Ce script crée dans le groupe de disques
DATA un tablespace nommé TBSJMW utilisant un fichier de 50 Mo. Il crée ensuite
dans le nouveau tablespace une table nommée SYSTEM.JMW dans laquelle il insère
quelques lignes.
$ cd ~/labs
$ ./lab_05_01_05.sh
ORACLE_SID = [oracle] ? The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1 is
/u01/app/oracle

SQL*Plus: Release 11.2.0.1.0 Production on Wed Jul 29 04:43:05


2009

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 41

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Exercice 5-1 : Fonctionnalité ASM Fast Mirror Resync (suite)
With the Partitioning, Automatic Storage Management, OLAP,
Data Mining
and Real Application Testing options
SQL> SQL> SQL> SQL>
Tablespace created.
SQL> SQL> drop table jmw purge
*
ERROR at line 1:
ORA-00942: table or view does not exist

SQL> SQL>
Table created.
SQL> SQL>
1 row created.

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SQL> SQL>
Commit complete.

SQL> SQL> 2 3 4 5 6 7
PL/SQL procedure successfully completed.

SQL> SQL> Disconnected from Oracle Database 11g Enterprise


Edition Release 11.2.0.1.0 - Production
With the Partitioning, Automatic Storage Management, OLAP,
Data Mining
and Real Application Testing options
$

6) Mettez hors ligne le deuxième membre du groupe de disques DATA en vous assurant
que l'attribut Disk Repair Time a pour valeur 0.
a) Accédez à nouveau à l'onglet General de la page Disk Group: DATA.
Sélectionnez le deuxième disque (ASMDISK02) et cliquez sur Offline.
b) Dans la page Confirmation, remplacez la valeur par défaut (3.6) de Disk Repair
Time par 0.0 et cliquez sur Show SQL.
ALTER DISKGROUP DATA OFFLINE DISK ASMDISK02 DROP AFTER 0.0 h

c) Cliquez sur Return.


d) Retournez dans la page Confirmation. Cliquez sur Yes.
7) Que constatez-vous ?
a) Accédez à nouveau à l'onglet General de la page Disk Group: DATA. Vous
remarquez que le disque ASMDISK02 est hors ligne. Actualisez la page du
navigateur jusqu'à ce qu'il n'apparaisse plus. Il est renommé de la manière
suivante :
_DROPPED_0000_DATA
Le champ Pending Operations indique la valeur 1 pendant la suppression du
disque. Cliquez sur le lien 1 pour examiner la progression de l'opération de
rééquilibrage.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 42

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Exercice 5-1 : Fonctionnalité ASM Fast Mirror Resync (suite)
b) Accédez à nouveau à l'onglet General de la page Disk Group: DATA. Vous
devriez désormais constater un taux de remplissage des trois disques restants
d'environ 54 %. Les extents (ensembles de blocs contigus) en miroir qui ont été
perdus ont été redistribués entre les disques intacts.
8) Modifiez quelques lignes dans la table SYSTEM.JMW (supprimez 499 lignes).
L'opération réussit-elle ?
a) Vous pouvez toujours modifier la table JMW :
$ . oraenv
ORACLE_SID = [+ASM] ? orcl
The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1 is
/u01/app/oracle
$ sqlplus system

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Enter password: oracle_4U

SQL> delete from system.jmw where rownum<500;

499 rows deleted.

SQL> commit;

9) Ajoutez le disque ASM précédemment supprimé au groupe de disques DATA.


a) Vous devez effacer le disque supprimé avant de le réintroduire dans le groupe.
Cette opération nécessite d'être connecté en tant que root :
# oracleasm listdisks
# oracleasm deletedisk ASMDISK02
# oracleasm createdisk ASMDISK02 /dev/xvdc

b) Accédez à nouveau à l'onglet General de la page Disk Group: DATA. Cliquez


sur Add.
c) Dans la page Add Disks, sélectionnez ORCL:ASMDISK02 dans le tableau
Candidate Member Disks. Affectez à REBALANCE POWER la valeur 11.
d) Cliquez sur Show SQL.
ALTER DISKGROUP DATA ADD DISK 'ORCL:ASMDISK02' SIZE 2304 M
REBALANCE POWER 11
e) Cliquez sur Return.
f) Dans la page Add Disks, cliquez sur OK.
10) Que constatez-vous ?
a) Accédez à nouveau à l'onglet General de la page Disk Group: DATA. Cliquez
sur le lien Pending Operations 1 pour surveiller l'opération de rééquilibrage.
b) Vous constatez qu'elle a déjà commencé.
c) Laissez le rééquilibrage se terminer. Cela peut prendre plusieurs minutes.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 43

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Exercice 5-1 : Fonctionnalité ASM Fast Mirror Resync (suite)
11) Mettez hors ligne le deuxième disque du groupe DATA en vous assurant que l'attribut
Disk Repair Time a la valeur par défaut 3.6. Modifiez à nouveau la table
SYSTEM.JMW (en supprimant un autre lot de 499 lignes). Quelles remarques
pouvez-vous faire ?
a) Accédez à nouveau à l'onglet General de la page Disk Group: DATA.
Sélectionnez le deuxième disque (ASMDISK02) et cliquez sur Offline.
b) Dans la page Confirmation, conservez la valeur par défaut 3.6 (heures) du champ
Disk Repair Time et cliquez sur Yes.
c) Accédez à nouveau à l'onglet General de la page Disk Group: DATA. Vous
remarquez que le disque ASMDISK02 n'est pas vide. Même si vous actualisez la
page du navigateur, aucun rééquilibrage n'a lieu.
d) Vous pouvez toujours modifier la table SYSTEM.JMW.

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$ . oraenv
ORACLE_SID = [+ASM] ? orcl
The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1 is
/u01/app/oracle
$ sqlplus system
Enter password: oracle_4U

SQL> delete from system.jmw where rownum<500;

SQL> commit;

12) A présent, comment allez vous réintroduire le disque hors ligne dans le groupe
DATA ? Il n'est pas nécessaire d'effacer le disque supprimé.
a) Accédez à nouveau à l'onglet General de la page Disk Group: DATA.
Sélectionnez le disque hors ligne et cliquez sur Online.
b) Dans la page Confirmation, cliquez sur Yes.
c) Accédez à nouveau à l'onglet General de la page Disk Group: DATA. Vous
devriez constater que le disque présente son taux de remplissage d'origine
(environ 41 %). Aucune opération de rééquilibrage n'a été nécessaire. Le disque
est réintroduit immédiatement dans le groupe.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 44

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Exercice 5-2 : Utiliser ASMCMD
Dans cet exercice, vous allez vous entraîner à gérer des groupes de disques à l'aide de
commandes ASMCMD.
1) Démarrez ASMCMD et affichez le contenu du groupe de disques +DATA. Obtenez la
liste des éléments du répertoire DATAFILE.
$ . oraenv
ORACLE_SID = [orcl] ? +ASM
The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/grid is
/u01/app/oracle
$ asmcmd
ASMCMD> ls +DATA/*
+DATA/ASM/:

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ASMPARAMETERFILE/
+DATA/ORCL/:
CONTROLFILE/
DATAFILE/
ONLINELOG/
PARAMETERFILE/
TEMPFILE/
Spfileorcl.ora

ASMCMD> ls +DATA/ORCL/DATAFILE
EXAMPLE.260.630800437
SYSAUX.257.628766309
SYSTEM.256.628766309
TBSJMW.269.628767357
UNDOTBS1.258.628766309
USERS.259.628766309

2) Dans ASMCMD, générez une liste de toutes les commandes autorisées à l'aide de la
commande help.
ASMCMD> help

3) Accédez au répertoire CONTROLFILE de la base de données ORCL dans le groupe de


disques DATA et utilisez ASMCMD pour copier le fichier de contrôle en cours dans le
répertoire /tmp. Utilisez la commande help cp pour obtenir une aide syntaxique.
ASMCMD> cd +DATA/ORCL/CONTROLFILE
ASMCMD> ls
Current.260.692183799
ASMCMD> help cp
ASMCMD> cp Current.260.692183799 /tmp
copying +DATA/ORCL/CONTROLFILE/Current.260.692183799 ->
/tmp/Current.260.692183799

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 45

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Exercice 5-2 : Utiliser ASMCMD (suite)
4) Essayez de supprimer le fichier de contrôle en cours. Utilisez la commande help
rm pour obtenir une aide syntaxique.
Remarque : Il est important que l'instance de base de données ORCL soit en service
et que le groupe de disques soit monté.
ASMCMD> help rm
ASMCMD> rm Current.260.692183799
ORA-15032: not all alterations performed
ORA-15028: ASM file
'+DATA/ORCL/CONTROLFILE/Current.260.692183799' not dropped;
currently being accessed (DBD ERROR: OCIStmtExecute)

5) Déterminez la syntaxe de la commande lsdg et générez une liste de tous les groupes
de disques.

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ASMCMD> help lsdg
ASMCMD> lsdg
State Type Rebal Sector Block AU Total_MB
Free_MB Req_mir_free_MB Usable_file_MB Offline_disks
Voting_files Name
MOUNTED NORMAL N 512 4096 1048576 13824
10269 600 4834 0
N DATA/
MOUNTED EXTERN N 512 4096 1048576 9216
8982 0 8982 0
N FRA/

6) Déterminez la syntaxe de la commande mkdg et créez un groupe de disques


supplémentaire nommé DATA2 avec le type de redondance external, composé de
deux disques ORCL:ASMDISK11 et ORCL:ASMDISK12. Vérifiez que la création
du groupe de disques a réussi.
ASMCMD> help mkdg
ASMCMD> mkdg <dg name="DATA2" redundancy="external"> <dsk
string="ORCL:ASMDISK11" /> <dsk string="ORCL:ASMDISK12" />
</dg>
ASMCMD> lsdg
State Type Rebal Sector Block AU Total_MB
Free_MB Req_mir_free_MB Usable_file_MB Offline_disks
Voting_files Name
MOUNTED NORMAL N 512 4096 1048576 13824
10269 600 4834 0
N DATA/
MOUNTED EXTERN N 512 4096 1048576 4608
4556 0 4556 0
N DATA2/
MOUNTED EXTERN N 512 4096 1048576 9216
8982 0 8982 0
N FRA/

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 46

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Exercice 5-2 : Utiliser ASMCMD (suite)

7) Déterminez la syntaxe de la commande dropdg et supprimez le groupe de disques


DATA2 créé à l'étape précédente. Vérifiez le résultat.
ASMCMD> help dropdg
ASMCMD> dropdg DATA2
ASMCMD> lsdg
State Type Rebal Sector Block AU Total_MB
Free_MB Req_mir_free_MB Usable_file_MB Offline_disks
Voting_files Name
MOUNTED NORMAL N 512 4096 1048576 13824
10269 600 4834 0
N DATA/
MOUNTED EXTERN N 512 4096 1048576 9216
8982 0 8982 0
N FRA/

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 47

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Exercices - Chapitre 6
Contexte : Dans cet exercice, vous allez configurer la connectivité entre votre ordinateur
et une base de données située sur l'ordinateur d'un autre stagiaire. Vous devrez également
configurer et tester un processus d'écoute (listener) supplémentaire. Cet exercice sert
seulement à consolider vos acquis. Aucun des exercices ultérieurs n'en dépend.

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 48

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Exercice 6-1 : Configurer le réseau Oracle pour accéder à une
autre base de données
Vous devez configurer votre environnement réseau pour pouvoir vous connecter à la base
de données orcl d'un partenaire. Utilisez la résolution locale de noms et créez un
service réseau nommé testorcl qui pointe vers cette base. Testez votre réseau en
essayant de vous connecter à orcl via le nom de service testorcl.
1) Créez une copie de votre fichier tnsnames.ora. Il se trouve dans le répertoire
$ORACLE_HOME/network/admin de votre base de données.
a) Dans une fenêtre de terminal, utilisez oraenv pour définir le répertoire d'origine
Oracle Home de votre base de données comme environnement.
$ . oraenv
ORACLE_SID = [orcl] ? orcl

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The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1 is
/u01/app/oracle
$

b) Entrez cd $ORACLE_HOME/network/admin pour accéder au répertoire


/u01/app/oracle/product/11.1.0/db_1/network/admin.
c) Entrez cp tnsnames.ora tnsnames.old pour créer une copie du fichier
tnsnames.ora.
d) Entrez ls -l si vous souhaitez voir cette copie et les privilèges associés dans
votre répertoire.
2) Accédez à la page Net Services Administration. Commencez par cliquer sur le lien
Listener de la page d'accueil Database.
a) Appelez Enterprise Manager en tant qu'utilisateur SYS avec le rôle SYSDBA pour
votre base de données orcl.
b) Dans la page Database Instance – Home, cliquez sur le lien Listener dans la
région General.
c) Dans la région Related Links, cliquez sur Net Services Administration.
3) Modifiez le fichier de résolution locale de noms de façon à pouvoir vous connecter à
une autre base de données. Nommez testorcl la connexion à la base de données
orcl de votre partenaire.
a) Dans la page Net Services Administration, sélectionnez Local Naming dans la
liste déroulante Administer, puis cliquez sur Go.
b) La page Netservices Administration: Host Login apparaît. Si vous avez
précédemment enregistré le nom utilisateur oracle et le mot de passe oracle
comme informations d'identification et de connexion (credentials) pour l'hôte, ces
informations apparaissent à l'écran. Sinon, entrez oracle sous Username et
Password, cochez la case Save as Preferred Credential, puis cliquez sur Login.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 49

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Exercice 6-1 : Configurer le réseau Oracle pour accéder à une
autre base de données (suite)
c) Dans la page Local Naming, cliquez sur Create pour entrer un nouveau nom de
service réseau.
d) Entrez testorcl sous Net Service Name.
e) Sélectionnez Use Service Name, puis entrez orcl.example.com dans le
champ Service Name.
Remarque : Vous pouvez également choisir d'entrer un identificateur de système
en sélectionnant l'option Use SID. Dans ce cas, vous devez entrer orcl dans le
champ SID.
f) Sélectionnez l'option Database Default.

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g) Cliquez sur Add dans la région Addresses.
h) Dans la page Add Address, indiquez les valeurs suivantes :
Option Valeur
Protocol TCP/IP
Port 1521
Host <Nom d'hôte ou adresse IP de votre partenaire, par
exemple : edrsr25p1.us.oracle.com ou
139.185.35.125>

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 50

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Exercice 6-1 : Configurer le réseau Oracle pour accéder à une
autre base de données (suite)

i) Cliquez sur OK afin de revenir à la page de propriétés Create Net Service Name.

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j) Cliquez sur OK.
Le message de création suivant apparaît : Net Service "testorcl" created
successfully.
4) Dans Enterprise Manager, testez l'accès à la base de données orcl de votre
partenaire en vous connectant en tant qu'utilisateur system avec le mot de passe
oracle_4U à l'aide de la résolution locale de noms testorcl.
a) Sélectionnez testorcl dans la page Local Naming, puis cliquez sur Test
Connection.
Le message "Test Connection To Net Service Name: testorcl" apparaît.
b) Entrez system dans le champ Username et oracle_4U dans le champ
Password, puis cliquez sur Test.
La page Processing affiche des informations de statut. Elle est suivie d'un
message de réussite. Si vous recevez des erreurs ou des avertissements, résolvez-
les.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 51

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Exercice 6-1 : Configurer le réseau Oracle pour accéder à une
autre base de données (suite)

Oracle University and OMNIDATA. use only


Cliquez sur OK une fois le test terminé.
5) Testez les modifications apportées à la configuration réseau en utilisant SQL*Plus.
Entrez system@testorcl, puis indiquez oracle_4U comme mot de passe. Pour
voir les informations de votre partenaire, sélectionnez les colonnes
instance_name et host_name dans la table v$instance.
a) Assurez-vous que votre environnement est configuré pour la base de données
orcl en exécutant oraenv.
$ . oraenv
ORACLE_SID = [oracle] ? orcl
The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1 is
/u01/app/oracle
$

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 52

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Exercice 6-1 : Configurer le réseau Oracle pour accéder à une
autre base de données (suite)
b) Dans une fenêtre de terminal, entrez :
$ sqlplus system@testorcl

SQL*Plus: Release 11.2.0.1.0 Production on Fri Jul 10 11:07:11


2009

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Production

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With the Partitioning, Automatic Storage Management, OLAP,
Data Mining
and Real Application Testing options

SQL>

La fenêtre Oracle SQL*Plus apparaît. Si vous recevez des erreurs ou des


avertissements, résolvez-les.
c) A l'invite SQL>, entrez la commande suivante :
SQL> select instance_name, host_name from v$instance;

INSTANCE_NAME
----------------
HOST_NAME
-----------------------------------------------------------
orcl
edrsr25p1.us.oracle.com

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 53

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Exercice 6-2 : Créer un autre processus d'écoute
Dans cet exercice, vous devez créer un deuxième processus d'écoute (listener) nommé
LISTENER2 à l'aide d'Enterprise Manager.
1) Créez le processus d'écoute LISTENER2. Associez-lui le port 1561.
a) Connectez-vous à Enterprise Manager en tant qu'utilisateur SYS avec le rôle
SYSDBA. Dans la page Database Instance – Home, cliquez sur le lien Listener
dans la région General.
b) Dans la région Related Links, cliquez sur Net Services Administration.
c) Dans la page Net Services Administration, sélectionnez Listeners dans la liste
déroulante Administer, puis cliquez sur Go. Entrez le nom utilisateur oracle et
le mot de passe oracle comme informations d'identification et de connexion
(credentials) à l'hôte, puis cliquez sur Login.

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d) Dans la page Listeners, qui donne un aperçu des processus d'écoute existants,
cliquez sur le bouton Create.
La page Create Listener apparaît.
e) Entrez LISTENER2 dans le champ Listener Name, puis cliquez sur Add pour
ajouter une adresse de processus d'écoute.
f) Entrez les valeurs suivantes ou vérifiez leur exactitude :
Option Valeur
Protocol TCP/IP
Port 1561
Host <Nom d'hôte de votre ordinateur, par exemple :
edrsr12p1.us.oracle.com>
g) Cliquez sur OK.
h) Cliquez sur l'onglet Static Database Registration.

i) Cliquez sur le bouton Add pour connecter le nouveau processus d'écoute à votre
base de données orcl.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 54

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Exercice 6-2 : Créer un autre processus d'écoute (suite)
j) Entrez les valeurs suivantes :
Option Valeur
Service Name orcl
Oracle Home Directory /u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome
_1
Oracle System Identifier orcl
(SID)

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k) Cliquez sur OK pour ajouter le service de base de données.
l) Cliquez sur OK afin de créer le processus d'écoute LISTENER2.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 55

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Exercice 6-2 : Créer un autre processus d'écoute (suite)
2) Démarrez le processus d'écoute LISTENER2.
a) Vérifiez que le processus d'écoute LISTENER2 et les actions Start/Stop sont
sélectionnés, puis cliquez sur Go.
b) Cliquez sur OK dans la page Start/Stop.
Un message de confirmation comportant un lien View Details apparaît.
c) Cliquez éventuellement sur le lien View Details, examinez les informations de
statut du processus d'écoute et utilisez le bouton Back (page précédente) de votre
navigateur pour revenir à la page précédente.
3) Vérifiez le statut du nouveau processus d'écoute et testez ce dernier.
a) Assurez-vous que votre environnement est configuré pour la base de données
orcl en exécutant oraenv.

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$ . oraenv
ORACLE_SID = [oracle] ? orcl
The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1 is
/u01/app/oracle
$
b) Exécutez les commandes suivantes à partir de l'invite de commande.
$ lsnrctl status LISTENER2

c) Connectez-vous à votre base de données à l'aide du nouveau processus d'écoute en


utilisant une chaîne de connexion Easy Connect.
Remarque : Cette méthode n'est pas recommandée pour un environnement de
production. Elle n'est utilisée dans l'environnement simple de la salle de cours que
pour montrer que le nouveau processus d'écoute fonctionne.
$ sqlplus hr/oracle_4U@your_ip_address:1561/orcl

La connexion utilise le nouveau processus d'écoute. Quittez SQL*Plus à la fin de


cette étape.
4) Vous pouvez arrêter LISTENER2 car vous n'en aurez plus besoin jusqu'à la fin du
cours.
$ lsnrctl stop LISTENER2

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 56

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Exercices - Chapitre 7
Contexte : Dans cet exercice, vous allez examiner les informations relatives aux
structures de stockage existantes et créer un tablespace pour l'application INVENTORY.
Vous devrez également créer un utilisateur de base de données pour effectuer toutes les
tâches d'administration sans recourir aux comptes SYS et SYSTEM.

Remarque : Comme la création d'utilisateurs n'a pas été traitée dans le cours, un script
est fourni pour cette étape.

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 57

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Exercice 7-1 : Examiner les structures de stockage de la base de
données
Dans cet exercice, vous allez examiner les informations relatives aux structures de
stockage existantes de votre base de données. Avant de commencer, vous exécuterez un
script pour créer l'utilisateur DBA1 que vous utiliserez désormais pour effectuer vos
tâches d'administration de base de données. Vous devrez ajouter cet utilisateur à la liste
des administrateurs dans Enterprise Manager.
1) Exécutez le script lab_07_01_01.sh qui crée un répertoire (utilisé
ultérieurement) ainsi que l'utilisateur DBA1. Ce script se trouve dans le répertoire
/home/oracle/labs. Le mot de passe de DBA1 est oracle_4U.
a) Si vous n'avez pas gardé de fenêtre de terminal ouverte, cliquez avec le bouton
droit de la souris sur votre bureau et sélectionnez Open Terminal.

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b) Assurez-vous que vos variables d'environnement sont configurées correctement
pour vous permettre de vous connecter à votre base de données orcl.
$ . oraenv
ORACLE_SID = [orcl] ? orcl
The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1 is
/u01/app/oracle

c) Remplacez le répertoire en cours par le répertoire labs en entrant la commande


suivante :
$ cd labs

d) Entrez la commande suivante pour exécuter le script qui crée l'utilisateur DBA1 :
$ ./lab_07_01_01.sh
e) Laissez la fenêtre de terminal ouverte. Vous l'utiliserez ultérieurement.
2) Dans l'angle supérieur droit de la fenêtre Enterprise Manager (EM), cliquez sur le lien
Setup pour configurer l'utilisateur DBA1 avec le droit d'effectuer des tâches
d'administration. Une fois l'utilisateur autre que SYS configuré, fermez la session
SYS et connectez-vous en tant qu'utilisateur DBA1. Effectuez le reste des tâches
suivantes en tant qu'utilisateur DBA1, sauf indication contraire.
a) Dans l'angle supérieur droit de la fenêtre d'Enterprise Manager, cliquez sur Setup,
puis sélectionnez Administrators dans la page Setup.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 58

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Exercice 7-1 : Examiner les structures de stockage de la base de
données (suite)
b) Cliquez sur Create pour ajouter l'utilisateur DBA1 à la liste Administrators.
L'utilisateur DBA1 pourra ainsi effectuer des opérations de gestion à l'aide
d'Enterprise Manager.

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c) Entrez dba1 dans le champ Name et laissez le champ E-mail address vide. Dans
le champ Administrator Privilege, sélectionnez Super Administrator, puis
cliquez sur Review.

d) Dans la page Create Administrator dba1: Review, cliquez sur Finish.


e) Maintenant qu'un utilisateur autre que SYS existe, cliquez sur Logout dans l'angle
supérieur droit, puis sur Login.
f) Entrez dba1 dans le champ User Name et oracle_4U dans le champ
Password, puis sélectionnez SYSDBA dans le champ Connect As. Cliquez
ensuite sur Login.
La page d'accueil de la base de données apparaît.
3) Dans Enterprise Manager, affichez les informations relatives au tablespace
EXAMPLE. Répondez aux questions suivantes le concernant :
a) Question 1 : Quel pourcentage d'espace libre peut être utilisé avant d'atteindre le
seuil d'avertissement (Warning threshold) ?
i) Dans Enterprise Manager, sélectionnez Server > Storage > Tablespaces.
ii) Cliquez sur le nom du tablespace EXAMPLE.
Réponse : 85 %

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 59

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Exercice 7-1 : Examiner les structures de stockage de la base de
données (suite)
b) Question 2 : Combien de segments y a-t-il dans le tablespace EXAMPLE ?
i) Dans la liste déroulante Actions, sélectionnez Show Tablespace Contents,
puis cliquez sur Go.
ii) La page Show Tablespace Contents apparaît.
Réponse : 420 (Votre réponse peut être différente.)

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c) Question 3 : Quel index du tablespace EXAMPLE occupe le plus d'espace ?
i) Sélectionnez INDEX dans la liste déroulante Type de la région Search, puis
cliquez sur Go.
ii) Notez que la colonne Size est la colonne de tri et qu'elle est triée en ordre
décroissant.

Réponse : SH.CUSTOMERS_PK
d) Question 4 : Quel segment est stocké physiquement en premier dans le
tablespace ? Autrement dit, lequel est stocké immédiatement à la suite de l'en-tête
du tablespace ?

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 60

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Exercice 7-1 : Examiner les structures de stockage de la base de
données (suite)
i) Accédez au bas de la page et cliquez sur l'icône représentant le signe plus, à
gauche du libellé Extent Map.
ii) Après quelques secondes, la topographie des extents apparaît (Extent Map).
Notez que la légende de la topographie indique que le rose correspond à l'en-
tête du tablespace.
iii) Revenez en haut de la page, sélectionnez All Types dans la liste déroulante
Type, puis cliquez sur Go.
iv) Cliquez sur l'extent situé immédiatement à droite de l'extent d'en-tête du
tablespace. (L'extent sélectionné devient jaune.) Lorsque vous passez le
curseur sur cet extent, une info-bulle affiche le nom du segment stocké à cet
emplacement.

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v) Revenez en haut de la page et notez le nom du segment désigné :

Réponse : HR.COUNTRY_C_ID_PK

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 61

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Exercice 7-2 : Créer un tablespace
Dans cet exercice, vous allez créer le tablespace Inventory qui sera utilisé dans un
exercice ultérieur.
1) Créez un tablespace géré localement nommé INVENTORY, d'une taille de 5 Mo.
a) Dans Enterprise Manager, sélectionnez Server > Storage > Tablespaces.
b) Cliquez sur Create.
c) Indiquez le nom de tablespace INVENTORY et vérifiez que l'option Locally
Managed est sélectionnée dans la section Extent Management, l'option
Permanent dans la section Type, l'option Read Write dans la section Status.
Dans la section Datafiles, la case à cocher Use bigfile tablespace doit être
désélectionnée.

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d) Cliquez sur Add dans la région Datafiles.
e) Dans la page Add Datafile, sélectionnez Automatic Storage Management dans
le champ Storage Type, vérifiez que le groupe de disques DATA est sélectionné
dans le champ DiskGroup et entrez la valeur 5 MB dans le champ File Size.
Cliquez ensuite sur Continue.

f) Cliquez sur l'onglet Storage, puis vérifiez que l'option Automatic est
sélectionnée dans les sections Extent Allocation et Segment Space Management,
l'option Disabled dans la section Compression Options, et l'option Yes dans la
section Enable Logging.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 62

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Exercice 7-2 : Créer un tablespace (suite)
g) Cliquez sur l'onglet General et vérifiez vos choix de configuration.

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h) Cliquez sur Show SQL pour voir l'instruction SQL qui sera exécutée, puis cliquez
sur Return.
i) Cliquez sur OK. Un message confirmant le succès de la mise à jour apparaît.
2) En tant qu'utilisateur DBA1, exécutez le script lab_07_02_02.sql pour créer et remplir
une table (nommée X) dans le tablespace INVENTORY. Quelle erreur apparaît alors ?
a) Dans une fenêtre de terminal, accédez au répertoire labs. N'oubliez pas d'appeler
oraenv pour définir la base de données orcl comme environnement si vous ne
l'avez pas déjà fait.
$ cd labs

b) Connectez-vous à SQL*Plus en tant qu'utilisateur dba1 (avec le mot de passe


oracle_4U) et exécutez le script lab_07_02_02.sql.
Remarque : N'oubliez pas d'appeler oraenv pour définir la base de données orcl
comme environnement si vous ne l'avez pas déjà fait dans la fenêtre de terminal.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 63

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Exercice 7-2 : Créer un tablespace (suite)
$ sqlplus dba1

SQL*Plus: Release 11.2.0.1.0 Production on Wed Jul 8 12:06:50


2009

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With the Partitioning, Automatic Storage Management, OLAP,
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and Real Application Testing options

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SQL> @lab_07_02_02.sql

c) Notez qu'une erreur ORA-01653 se produit, indiquant que la table ne peut pas
être étendue. L'espace est insuffisant pour prendre en charge toutes les lignes à
insérer.
...
SQL> insert into x select * from x
2 /
1024 rows created.
SQL> insert into x select * from x
2 /
insert into x select * from x
*
ERROR at line 1:
ORA-01653: unable to extend table DBA1.X by 128 in tablespace
INVENTORY

SQL> commit
2 /
Commit complete.
SQL> quit
Disconnected from Oracle Database 11g Enterprise Edition
Release 11.1.0.6.0 - Production
With the Partitioning, OLAP, Data Mining and Real Application
Testing options

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 64

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Exercice 7-2 : Créer un tablespace (suite)
3) Accédez à la fenêtre Enterprise Manager et augmentez l'espace disponible pour le
tablespace INVENTORY. Pour enrichir votre formation, vous utiliserez deux
méthodes pour effectuer cette tâche. Vous commencerez par porter la taille du fichier
de données en cours à 40 Mo. Ensuite, pour montrer qu'il peut exister des fichiers
ASM et non-ASM dans le même tablespace, vous ajouterez un fichier de données
utilisant le système de stockage File System. La taille de ce deuxième fichier de
données sera de 30 Mo. Pour les deux méthodes, vous afficherez les instructions SQL
sous-jacentes à l'aide de la fonctionnalité Show SQL.
a) Sélectionnez Server > Storage > Tablespaces.
b) Sélectionnez le tablespace INVENTORY, puis cliquez sur Edit.
c) Dans la région Datafiles, cliquez sur Edit.
d) Dans le champ File Size, remplacez la valeur 5 MB par 40 MB.

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e) Cliquez sur Continue pour revenir à l'onglet General.
f) Cliquez sur Show SQL pour afficher l'instruction SQL qui sera exécutée. Il s'agit
d'une instruction ALTER DATABASE. Cliquez sur Return.

g) Dans la région Datafiles, cliquez sur Add.


h) Dans le champ Storage Type, sélectionnez File System. Dans le champ File
Name, entrez inventory02.dbf. Dans le champ File Directory, entrez
/u01/app/oracle/oradata/orcl. Dans le champ File Size, entrez
30 MB.
Remarque : Ce répertoire a été créé par le script exécuté plus tôt.
i) Cliquez sur Continue pour revenir à l'onglet General.
j) Cliquez sur Show SQL pour afficher l'instruction SQL qui sera exécutée. Il s'agit
d'une instruction ALTER DATABASE. Cliquez sur Return.

k) Cliquez sur Apply.


l) Notez que le tablespace INVENTORY comprend désormais deux fichiers de
données. L'un utilise le stockage ASM, et l'autre, un type de stockage non-ASM
(File System).

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 65

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Exercice 7-2 : Créer un tablespace (suite)
4) Revenez à la fenêtre de terminal et exécutez le script lab_07_02_04.sql. Il
supprime la table et réexécute le script d'origine ayant précédemment renvoyé l'erreur
de manque d'espace.
a) Accédez à la fenêtre de terminal.
b) Connectez-vous à SQL*Plus en tant qu'utilisateur dba1 (avec le mot de passe
oracle_4U) et exécutez le script lab_07_02_04.sql.
Remarque : N'oubliez pas d'appeler oraenv pour définir la base de données
orcl comme environnement si vous ne l'avez pas déjà fait dans la fenêtre de
terminal.
$ sqlplus dba1

SQL*Plus: Release 11.2.0.1.0 Production on Wed Jul 8 12:06:50


2009

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and Real Application Testing options

SQL> @lab_07_02_04.sql
c) Notez que le même nombre d'insertions de ligne est entrepris, et qu'aucune erreur
ne se produit en raison de la plus grande taille du tablespace.
5) Dans une fenêtre de terminal, exécutez le script lab_07_02_05.sql dans
SQL*Plus en tant qu'utilisateur dba1 pour nettoyer le tablespace en vue de son
utilisation dans les exercices suivants.
Remarque : N'oubliez pas d'appeler oraenv pour définir la base de données orcl
comme environnement si vous ne l'avez pas déjà fait dans la fenêtre de terminal.
$ sqlplus dba1

SQL*Plus: Release 11.2.0.1.0 Production on Wed Jul 8 12:06:50


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Exercice 7-2 : Créer un tablespace (suite)
With the Partitioning, Automatic Storage Management, OLAP,
Data Mining
and Real Application Testing options

SQL> @lab_07_02_05.sql

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 67

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Exercices - Chapitre 8
Contexte : Vous devez créer un compte utilisateur pour Jenny Goodman, le nouveau
manager du département des ressources humaines (HR). Ce département compte aussi
deux nouveaux opérateurs, à savoir David Hamby et Rachel Pandya. Tous les trois
doivent pouvoir se connecter à la base de données orcl, sélectionner des données et
mettre à jour des enregistrements dans la table HR.EMPLOYEES. Le manager doit
également pouvoir insérer et supprimer des enregistrements d'employé. Par ailleurs, vous
devez faire en sorte que les nouveaux utilisateurs soient déconnectés automatiquement au
bout de 15 minutes s'ils oublient de se déconnecter en fin de journée. Enfin, vous devez
créer un compte utilisateur pour l'application de gestion des stocks que vous installez.

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 68

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Exercice 8-1 : Créer et utiliser un profil
Dans cet exercice, vous créez l'utilisateur INVENTORY comme propriétaire de la
nouvelle application de gestion des stocks. Vous allez créer un profil pour limiter le
temps d'inactivité des utilisateurs. Si un utilisateur reste longtemps inactif ou oublie de se
déconnecter, sa session est fermée au bout de 15 minutes.
1) Tâche obligatoire : Examinez et exécutez le script lab_08_01_01.sh (situé dans
le répertoire /home/oracle/labs) pour créer l'utilisateur INVENTORY (mot de
passe oracle_4U) dont vous vous servirez dans l'exercice suivant.
a) Dans une fenêtre de terminal, entrez :
$ cd $HOME/labs
$ cat lab_08_01_01.sh
# Oracle Database 11g: Administration Workshop I
# Oracle Server Technologies - Curriculum Development

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#
# ***Training purposes only***
#***Not appropriate for production use***
#
# Start this script as OS user: oracle
# This script creates the INVENTORY schema user
# The DROP command fails the first time
# you execute the script.
# The error can be ignored.

cd ~/labs

. set_db.sh

sqlplus / as sysdba << EOF

drop user inventory cascade;

create user inventory identified by oracle_4U


default tablespace inventory;

grant connect, resource to inventory;

exit;
EOF
$ ./lab_08_01_01.sh

SQL*Plus: Release 11.2.0.1.0 Production on Wed Jul 8 13:00:36


2009

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 69

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Exercice 8-1 : Créer et utiliser un profil (suite)
With the Partitioning, Automatic Storage Management, OLAP,
Data Mining
and Real Application Testing options

SQL> SQL> drop user inventory cascade


*
ERROR at line 1:
ORA-01918: user 'INVENTORY' does not exist

SQL> SQL> 2
User created.

SQL> SQL>
Grant succeeded.

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SQL> SQL> Disconnected from Oracle Database 11g Enterprise
Edition Release 11.2.0.1.0 - Production
With the Partitioning, Automatic Storage Management, OLAP,
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and Real Application Testing options
$

2) Créez un profil nommé HRPROFILE autorisant un temps d'inactivité de 15 minutes.


a) Appelez Enterprise Manager en tant qu'utilisateur DBA1 avec le rôle SYSDBA
pour votre base de données orcl.
b) Cliquez sur l'onglet Server, puis sur l'option Profiles dans la section Security.
c) Cliquez sur le bouton Create.
d) Entrez HRPROFILE dans le champ Name.
e) Entrez 15 dans le champ Idle Time (Minutes).
f) Conservez la valeur DEFAULT dans tous les autres champs.
g) Cliquez sur l'onglet Password et vérifiez les options relatives au mot de passe, qui
ont actuellement toutes la valeur DEFAULT.
h) Si vous le souhaitez, cliquez sur le bouton Show SQL, consultez l'instruction
SQL sous-jacente, puis cliquez sur Return.
i) Enfin, cliquez sur OK pour créer le profil.
3) Affectez la valeur TRUE au paramètre d'initialisation RESOURCE_LIMIT pour
appliquer les limites du profil.
a) Cliquez sur l'onglet Server, puis sur l'option Initialization Parameters dans la
section Database Configuration.
b) Entrez resource_limit dans le champ Name, puis cliquez sur Go.
c) Sélectionnez TRUE dans la liste déroulante Value, puis cliquez sur Apply.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 70

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Exercice 8-2 : Créer des rôles
Dans cet exercice, vous allez créer les rôles HRCLERK et HRMANAGER qui vous serviront
dans l'exercice suivant.
1) Créez un rôle nommé HRCLERK doté des permissions SELECT et UPDATE sur la
table HR.EMPLOYEES.
a) Cliquez sur l'onglet Server, puis sur l'option Roles dans la section Security.
b) Cliquez sur le bouton Create.
c) Entrez HRCLERK dans le champ Name. Ce rôle n'est pas authentifié.
d) Cliquez sur l'onglet Object Privileges.
e) Sélectionnez Table dans la liste déroulante Select Object Type, puis cliquez sur
Add.

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f) Entrez HR.EMPLOYEES dans le champ Select Table Objects.
g) Déplacez les privilèges SELECT et UPDATE vers la zone Selected Privileges.
Cliquez sur OK.
h) Cliquez sur le bouton Show SQL et examinez l'instruction SQL sous-jacente.

i) Cliquez sur Return, puis sur OK pour créer le rôle.


2) Créez un rôle nommé HRMANAGER doté des permissions INSERT et DELETE sur la
table HR.EMPLOYEES. Accordez le rôle HRCLERK au rôle HRMANAGER.
a) Cliquez sur l'onglet Server, puis sur l'option Roles dans la section Security.
b) Cliquez sur Create.
c) Entrez HRMANAGER dans le champ Name. Ce rôle n'est pas authentifié.
d) Cliquez sur l'onglet Object Privileges.
e) Sélectionnez Table dans la liste déroulante Select Object Type, puis cliquez sur
Add.
f) Entrez HR.EMPLOYEES dans le champ Select Table Objects.
g) Déplacez les privilèges INSERT et DELETE vers la zone Selected Privileges.
Cliquez sur OK.
h) Cliquez sur l'onglet Roles, puis sur le bouton Edit List.
i) Déplacez le rôle HRCLERK dans la zone Selected Roles, puis cliquez sur OK.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 71

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Exercice 8-2 : Créer des rôles (suite)
j) Cliquez sur le bouton Show SQL et examinez l'instruction SQL sous-jacente.

k) Cliquez sur Return, puis sur OK pour créer le rôle.

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 72

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Exercice 8-3 : Créer et configurer des utilisateurs
Dans cet exercice, vous allez créer les utilisateurs suivants et leur affecter les profils et les
rôles appropriés :
Nom Nom utilisateur Description
David Hamby DHAMBY Nouvel opérateur du département HR
Rachel Pandya RPANDYA Nouvel opérateur du département HR
Jenny Goodman JGOODMAN Nouveau manager du département HR

1) Créez un compte pour David Hamby, nouvel opérateur du département HR.


a) Cliquez sur l'onglet Server, puis sur l'option Users dans la section Security.
b) Cliquez sur Create, puis entrez DHAMBY dans le champ Name.
c) Sélectionnez le profil HRPROFILE.

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d) Sélectionnez Password Authentication, puis entrez newuser comme mot de
passe. Entrez ce même mot de passe dans le champ Confirm Password. Cochez
la case Expire Password now, de sorte que David Hamby soit obligé de changer
le mot de passe lors de sa première connexion.
e) Cliquez sur l'onglet Roles. Notez que le rôle CONNECT a été affecté
automatiquement à l'utilisateur.
f) Ajoutez le rôle HRCLERK en cliquant sur Edit List et en déplaçant le rôle dans la
zone Selected Roles. Cliquez sur OK afin de fermer la fenêtre Modify Roles.
g) Cliquez de nouveau sur OK afin de créer l'utilisateur.
2) Créez un compte pour Rachel Pandya, nouvelle opératrice du département HR.
Répétez les étapes précédentes, mais en utilisant RPANDYA comme nom utilisateur.
3) Créez un compte pour Jenny Goodman, nouveau manager du département HR.
Procédez comme précédemment, mais en utilisant JGOODMAN comme nom
utilisateur et en sélectionnant le rôle HRMANAGER au lieu du rôle HRCLERK.
a) Cliquez sur le bouton Show SQL et examinez l'instruction SQL sous-jacente.

b) Cliquez sur Return, puis sur OK pour créer l'utilisateur.


4) Testez les nouveaux utilisateurs dans SQL*Plus. Connectez-vous à la base de
données orcl en tant qu'utilisateur DHAMBY. Utilisez oracle_4U comme nouveau
mot de passe. Dans la table HR.EMPLOYEES, sélectionnez la ligne comportant l'ID
EMPLOYEE_ID=197. Essayez ensuite de la supprimer. (Vous devez obtenir une
erreur de type "privilèges insuffisants".)
a) Dans une fenêtre de terminal, entrez :
$ . oraenv

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 73

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Exercice 8-3 : Créer et configurer des utilisateurs (suite)
ORACLE_SID = [oracle] ? orcl
The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1 is
/u01/app/oracle
$ sqlplus dhamby

Si vous vous trouvez déjà dans SQL*Plus, utilisez la commande CONNECT. Si


vous vous reconnectez en tant qu'utilisateur dhamby dans SQL*Plus, la session
de connexion et de modification de mot de passe ressemble à ce qui suit :
SQL> CONNECT dhamby
Enter password: newuser <<<Le mot de passe n'apparaît pas à l'écran
ERROR:
ORA-28001: the password has expired

Changing password for dhamby

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New password: oracle_4U <<<Le mot de passe n'apparaît pas à l'écran
Retype new password: oracle_4U <<<Le mot de passe n'apparaît pas à l'écran
Password changed

Connected to:
Oracle Database 11g Enterprise Edition Release 11.2.0.1.0 -
Production
With the Partitioning, Automatic Storage Management, OLAP, Data
Mining
and Real Application Testing options
SQL>

b) Dans la table HR.EMPLOYEES, sélectionnez le salaire correspondant à l'ID


EMPLOYEE_ID=197.
SQL> SELECT salary FROM hr.employees WHERE EMPLOYEE_ID=197;

SALARY
----------
3000
c) Tentez à présent de supprimer ce même enregistrement de la table
hr.employees.
SQL> DELETE FROM hr.employees WHERE EMPLOYEE_ID=197;
DELETE FROM hr.employees WHERE EMPLOYEE_ID=197
*
ERROR at line 1:
ORA-01031: insufficient privileges

5) Renouvelez le test en tant qu'utilisateur JGOODMAN. Utilisez oracle_4U comme


nouveau mot de passe. Une fois la ligne supprimée, effectuez une opération
d'annulation (rollback) afin de conserver les 107 lignes d'origine.
a) Connectez-vous à la base de données orcl en tant qu'utilisateur JGOODMAN.
SQL> connect jgoodman
Enter password:

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 74

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Exercice 8-3 : Créer et configurer des utilisateurs (suite)
ERROR:
ORA-28001: the password has expired
<Modifiez le mot de passe en oracle_4U comme indiqué
précédemment>

b) Dans la table HR.EMPLOYEES, sélectionnez la ligne comportant l'ID


EMPLOYEE_ID=197.
SQL> SELECT salary FROM hr.employees WHERE EMPLOYEE_ID=197;

SALARY
----------
3000

c) Supprimez à présent cette même ligne de la table HR.EMPLOYEES.

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SQL> DELETE FROM hr.employees WHERE EMPLOYEE_ID=197;

1 row deleted.
d) Annulez (rollback) l'opération de suppression, car il ne s'agissait que d'un test.
SQL> rollback;

Rollback complete.
e) Assurez-vous que la table comporte toujours 107 lignes.
SQL> SELECT COUNT(*) FROM hr.employees;

COUNT(*)
----------
107

SQL>

Question 1 : Où la ligne a-t-elle été stockée après sa suppression ?

Réponse : Elle a été stockée dans le tablespace d'annulation.

Question 2 : Lorsque vous avez créé les nouveaux utilisateurs, vous n'avez pas
sélectionné de tablespace par défaut ni de tablespace temporaire. Qu'est-ce qui
détermine les tablespaces qui seront employés par les nouveaux utilisateurs ?

Réponse : Les tablespaces permanent et temporaire définis par défaut par le système.

Question 3 : Vous n'avez accordé le privilège système CREATE SESSION à aucun


des nouveaux utilisateurs, mais tous peuvent se connecter à la base de données.
Pourquoi ?
Réponse : Enterprise Manager affecte automatiquement le rôle CONNECT aux
nouveaux utilisateurs et le privilège CREATE SESSION est contenu dans ce rôle.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 75

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Exercice 8-3 : Créer et configurer des utilisateurs (suite)
6) Utilisez SQL*Plus pour vous connecter à la base de données orcl en tant
qu'utilisateur RPANDYA. Utilisez le nouveau mot de passe oracle_4U. (Vous devez
changer de mot de passe car il s'agit de la première connexion sous le nom utilisateur
RPANDYA.) Laissez RPANDYA connecté pendant le chapitre suivant ou jusqu'à la fin
de la journée. Le profil HRPROFILE indique que les utilisateurs dont les sessions
sont inactives pendant plus de 15 minutes sont automatiquement déconnectés.
Vérifiez que l'utilisateur a été automatiquement déconnecté en essayant de nouveau
d'effectuer une sélection dans la table HR.EMPLOYEES.

ERROR at line 1:
ORA-02396: exceeded maximum idle time, please connect again

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 76

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Exercices - Chapitre 9
Contexte : Le support technique vient de recevoir un appel de Susan Mavris, membre du
département des Ressources humaines (HR), qui se plaint que la base de données est
"bloquée". Après l'avoir interrogée, vous découvrez qu'elle tentait de mettre à jour
l'enregistrement personnel de John Chen pour indiquer le nouveau numéro de téléphone
de celui-ci, mais que la session s'est alors bloquée et qu'elle ne pouvait plus rien faire.
Des fichiers de script SQL sont fournis dans le répertoire /home/oracle/labs.

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 77

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Exercice 9-1 : Résoudre des conflits de verrouillage
Dans cet exercice, vous allez utiliser deux sessions SQL*Plus distinctes pour provoquer
un conflit de verrouillage. Vous utiliserez Enterprise Manager pour détecter la cause du
conflit et le résoudre. Pour vous faciliter la tâche, le code SQL provoquant le conflit de
verrouillage est fourni dans des scripts qu'il vous sera demandé d'exécuter au cours de
l'exercice.
1) Effectuez une mise à jour non validée de la ligne en question en exécutant le script
lab_09_01_01.sql. Ce script crée les utilisateurs smavris et ngreenberg
impliqués dans l'exercice, ainsi que le rôle hremployee qui donne à ces utilisateurs
l'accès à la table hr.employee. Il établit ensuite la connexion de ngreenberg à
SQL*Plus et effectue une mise à jour de la table hr.employee, mais sans la
valider.
a) Assurez-vous que votre environnement est configuré pour la base de données

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orcl en exécutant oraenv.
$ . oraenv
ORACLE_SID = [oracle] ? orcl
The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1 is
/u01/app/oracle
$

b) Entrez la commande ci-après pour exécuter le script. Une fois l'exécution du


script terminée, vous obtenez une note indiquant qu'une mise à jour non validée a
été effectuée.
$ sqlplus dba1

SQL*Plus: Release 11.2.0.1.0 Production on Thu Jul 9


03:57:42 2009
Copyright (c) 1982, 2009, Oracle. All rights reserved.

Enter password:
Connected to:
Oracle Database 11g Enterprise Edition Release 11.2.0.1.0 -
Production
With the Partitioning, Automatic Storage Management, OLAP,
Data Mining
and Real Application Testing options

SQL> @lab_09_01_01.sql
Creating users...

... … Some output not shown here to conserve space …

Connecting as ngreenberg ...


Connected.
SQL> show user
USER is "NGREENBERG"

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Exercice 9-1 : Résoudre des conflits de verrouillage (suite)
SQL> update hr.employees set phone_number='650.555.1212'
where employee_id = 110 ;

1 row updated.

SQL> prompt User "ngreenberg" made an update and left it


uncommitted in this session.
User "ngreenberg" made an update and left it uncommitted in
this session.
SQL>
SQL>
SQL>
c) Laissez la session connectée en l'état. Ne quittez pas SQL*Plus.
2) Essayez de mettre à jour la même ligne dans une autre session, en exécutant le script

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lab_09_01_02.sql dans une fenêtre de terminal distincte. Avant de continuer,
assurez-vous d'obtenir le message "Update is being attempted now". Ne vous
inquiétez pas si la session semble se bloquer, puisque c'est précisément ce que nous
voulons obtenir.
a) Ouvrez une fenêtre de terminal pour lancer un autre interpréteur de commande et
entrez la commande suivante pour exécuter le deuxième script.
$ . oraenv
ORACLE_SID = [oracle] ? orcl
The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1 is
/u01/app/oracle
$ sqlplus dba1

SQL*Plus: Release 11.2.0.1.0 Production on Thu Jul 9


04:04:47 2009

Copyright (c) 1982, 2009, Oracle. All rights reserved.

Enter password:

Connected to:
Oracle Database 11g Enterprise Edition Release 11.2.0.1.0 -
Production
With the Partitioning, Automatic Storage Management, OLAP,
Data Mining
and Real Application Testing options

SQL> @lab_09_01_02.sql
Sleeping for 20 seconds to ensure first process gets the
lock first.

PL/SQL procedure successfully completed.

Sleep is finished.
Connected.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 79

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Exercice 9-1 : Résoudre des conflits de verrouillage (suite)
USER is "SMAVRIS"
Update is being attempted now.

b) Notez que cette session semble bloquée. Laissez-la en l'état et passez à l'étape
suivante.
3) Dans Enterprise Manager, cliquez sur le lien Blocking Sessions de la page
Performance pour détecter la session responsable du conflit de verrouillage.
a) Dans Enterprise Manager, cliquez sur la page Performance.
b) Cliquez sur Blocking Sessions dans la zone Additional Monitoring Links. Vous
devez obtenir l'écran suivant :

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4) Quelle est la dernière instruction SQL que la session bloquante a exécutée ?
a) Sélectionnez la session NGREENBERG, puis cliquez sur View Session.
b) Cliquez sur le lien de la valeur de hachage (hash value) en regard de
Previous SQL.

c) Notez l'instruction SQL exécutée le plus récemment.

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Exercice 9-1 : Résoudre des conflits de verrouillage (suite)
5) Résolvez le conflit en faveur de l'utilisateur qui s'est plaint en fermant la session
bloquante. Quelle instruction SQL résout le conflit ?
a) Cliquez sur le bouton Back (page précédente) du navigateur.
b) Dans la page Session Details: NGREENBERG, cliquez sur Kill Session.
c) Conservez la valeur Kill Immediate du champ Options, puis cliquez sur Show
SQL pour afficher l'instruction qui va être exécutée pour fermer la session.
Remarque : Il est fort probable que votre session et numéro de série soient
différents de ceux ci-après.

d) Cliquez sur Return, puis sur Yes pour exécuter la commande KILL SESSION.

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6) Revenez à la fenêtre de commande SQL*Plus et notez que la mise à jour de
SMAVRIS a été effectuée avec succès. Le message de réussite peut mettre quelques
secondes à apparaître.
USER is "SMAVRIS"
Update is being attempted now.

1 row updated.

Update is completed.
SQL>

7) Essayez d'exécuter une instruction SQL SELECT dans la session NGREENBERG. Que
constatez-vous ?
SQL> SELECT sysdate from dual;
SELECT sysdate from dual
*
ERROR at line 1:
ORA-03135: connection lost contact
Process ID: 7129
Session ID: 51 Serial number: 7460

SQL>
Réponse : La session a été déconnectée.
Fermez toutes les sessions SQL ouvertes en entrant la commande exit, puis fermez
les fenêtres de terminal.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 81

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Exercices - Chapitre 10
Contexte : Les utilisateurs et la direction de votre organisation décident qu'ils ont besoin
d'un délai de conservation de 48 heures pour les informations d'annulation dans la base de
données Oracle afin de prendre en charge les opérations Flashback. Votre tâche consiste à
configurer la base orcl pour répondre à ce besoin.

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Exercice 10-1 : Gérer les données d'annulation
Dans cet exercice, vous commencez par afficher l'activité du système en ce qui concerne
les données d'annulation, puis vous configurez la base de données orcl en vue de
prendre en charge un délai de conservation de 48 heures pour les opérations Flashback.
1) En tant qu'utilisateur DBA1, affichez dans Enterprise Manager l'activité du système
liée aux informations d'annulation.
a) Cliquez sur l'onglet Server, puis sélectionnez Automatic Undo Management
dans la section Database Configuration.
b) Cliquez sur l'onglet System Activity.

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Remarque : Vos informations seront différentes des captures d'écran présentées car
elles dépendent de la période d'analyse et de l'activité du système pendant cette
période.
c) Question : D'après la capture d'écran précédente, combien d'erreurs le système
a-t-il rencontrées ?
Réponse : Aucune
d) Question : D'après la capture d'écran précédente, quelle est la durée d'exécution
de l'interrogation qui prend le plus de temps ?
Réponse : 18 minutes (Votre réponse peut être différente.)

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 83

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Exercice 10-1 : Gérer les données d'annulation (suite)
e) Cliquez sur l'icône Plus pour afficher les graphiques correspondants.

f) Question : Combien de graphiques sont affichés ? Oracle University and OMNIDATA. use only
Réponse : Trois (Undo Tablespace Usage, Undo Retention Auto-Tuning et Undo
Generation Rate)
g) Question : D'après le graphique Undo Retention Auto-Tuning, ce système peut-il
prendre en charge des opérations de Flashback allant au-delà de l'interrogation
dont l'exécution est actuellement la plus longue ?

Réponse : Oui (mais probablement pas suffisamment pour prendre en charge les
48 heures requises).

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 84

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Exercice 10-1 : Gérer les données d'annulation (suite)
2) Modifiez la période de conservation des informations d'annulation et calculez la taille
du tablespace d'annulation pour prendre en charge le délai de conservation de
48 heures demandé.
a) Cliquez sur l'onglet General pour retourner à la page General Automatic Undo
Management.
b) Dans la section Undo Advisor, sélectionnez Specified manually to allow for
longer duration queries or flashback.
c) Entrez 48 hours dans le champ Duration et cliquez sur le bouton Run Analysis.

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Exercice 10-1 : Gérer les données d'annulation (suite)
d) Lorsque la fonction de conseil Undo Advisor a terminé, examinez les résultats.

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Remarque : Vous pouvez obtenir une taille recommandée différente de celle
indiquée précédemment.
e) Cliquez sur le bouton Show SQL dans le coin supérieur droit de la page
Automatic Undo Management > General.

f) Cette commande modifie la période de conservation des informations d'annulation


pour prendre en charge le délai de 48 heures demandé. Examinez l'instruction
SQL, puis cliquez sur Return.
g) Cliquez sur Apply pour appliquer la modification.
h) Réglez à présent la taille du tablespace d'annulation en cliquant sur le bouton Edit
Undo Tablespace.
i) Faites défiler l'affichage jusqu'à la section Datafiles et cliquez sur Edit pour
apporter une modification à la taille du fichier de données du tablespace
d'annulation.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 86

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Exercice 10-1 : Gérer les données d'annulation (suite)
j) Indiquez comme nouvelle taille la valeur Minimum Required Undo Tablespace
Size déterminée précédemment par la fonction de conseil Undo Advisor (249 Mo
dans notre exemple), puis cliquez sur Continue.
k) Cliquez sur Show SQL pour examiner les commandes SQL qui vont être
exécutées.

Cliquez sur Return.


l) Cliquez sur Apply pour modifier la taille du tablespace.
3) Retournez dans la page Automatic Undo Management pour voir les résultats de vos

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modifications. Vous constatez que la période de conservation des informations
d'annulation a augmenté pour prendre en charge le délai de 48 heures demandé. La
taille du tablespace d'annulation a également augmenté conformément à la
modification que vous avez apportée à la taille du fichier de données de ce tablespace.

a) Question : Quelles opérations Flashback peuvent être affectées par cette


modification ?
Réponse : Les opérations Flashback Query, Flashback Transaction et Flashback
Table.
b) Question : Les données d'annulation subsistent-elles après l'arrêt de la base ?
Réponse : Oui, les données d'annulation sont persistantes.

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Exercices - Chapitre 11
Contexte : Vous avez été informé d'activités suspectes dans la table HR.JOBS de votre
base de données orcl. Tous les plus hauts salaires semblent fluctuer de façon étrange.
Vous décidez d'activer l'audit de base de données standard et de surveiller les activités
LMD (langage de manipulation de données) dans cette table.

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Exercice 11-1 : Configurer l'audit de la base de données
Connectez-vous en tant qu'utilisateur DBA1 (avec le mot de passe oracle_4U, en tant
que SYSDBA) et effectuez les tâches nécessaires via Enterprise Manager Database
Control ou SQL*Plus. Tous les scripts nécessaires à cet exercice figurent dans le
répertoire /home/oracle/labs.
1) Utilisez Enterprise Manager pour activer l'audit de la base de données. Attribuez la
valeur XML au paramètre AUDIT_TRAIL.
a) Appelez Enterprise Manager en tant qu'utilisateur DBA1 avec le rôle SYSDBA
pour votre base de données orcl.
b) Cliquez sur l'onglet Server, puis sur l'option Audit Settings dans la section Security.
c) Cliquez sur la valeur de Audit Trail (lien DB).
d) Dans la page Initialization Parameters, cliquez sur l'onglet SPFile.

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e) Entrez audit dans le champ Name et cliquez sur Go.
f) Pour le paramètre audit_trail, entrez la valeur XML.
g) Cliquez sur Show SQL.

h) Examinez l'instruction, puis cliquez sur Return.


i) Dans la page Initialization Parameters, cliquez sur Apply.
2) Etant donné que vous avez modifié un paramètre statique, vous devez redémarrer la
base de données. Pour cela, exécutez le script lab_11_01_02.sh.
a) Dans une fenêtre de terminal, entrez :
$ cd /home/oracle/labs
$ ./lab_11_01_02.sh
b) Passez à l'étape suivante lorsque vous constatez que la base a redémarré.
3) De retour dans Enterprise Manager, sélectionnez l'objet audité HR.JOBS, puis
DELETE, INSERT et UPDATE sous Selected Statements. Collectez les informations
d'audit par session. La base de données ayant été redémarrée, vous devez vous
reconnecter à Enterprise Manager en tant qu'utilisateur DBA1.
a) Cliquez sur logout dans le coin supérieur droit de la fenêtre Enterprise Manager.
b) Connectez-vous en tant qu'utilisateur DBA1 avec le rôle SYSDBA pour la base de
données orcl.
c) Cliquez sur l'onglet de la page d'accueil (Home) de la base de données pour
vérifier qu'Enterprise Manager a eu le temps de mettre à jour le statut de la base et
ses connexions agent.
d) Cliquez sur l'onglet Server, puis sur l'option Audit Settings dans la section Security.
e) Cliquez sur l'onglet Audited Objects en bas de la page, puis sur le bouton Add.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 89

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Exercice 11-1 : Configurer l'audit de la base de données (suite)
f) Dans la page Add Audited Object, vérifiez que la valeur de Object Type est
Table, puis entrez HR.JOBS dans le champ Table (ou utilisez l'icône représentant
une torche pour extraire cette table).
g) Transférez les instructions DELETE, INSERT et UPDATE dans la zone Selected
Statements en cliquant deux fois sur chacune d'elle.
h) Cliquez sur Show SQL.

i) Examinez l'instruction, puis cliquez sur Return.


j) Cliquez sur OK pour activer cet audit.
4) Fournissez des entrées pour l'audit en exécutant le script lab_11_01_04.sh. Ce

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script crée l'utilisateur AUDIT_USER, se connecte à SQL*Plus sous le nom de cet
utilisateur et multiplie les valeurs de la colonne MAX_SALARY par 10. L'utilisateur
HR se connecte ensuite et divise les valeurs de la colonne par 10. Enfin, l'utilisateur
AUDIT_USER est supprimé.
a) Dans une fenêtre de terminal, entrez :
$ cd /home/oracle/labs
$ ./lab_11_01_04.sh

5) Dans Enterprise Manager, vérifiez les objets audités.


a) Cliquez sur l'onglet Server, puis sur l'option Audit Settings dans la section
Security.
b) Cliquez sur Audited Objects dans la zone Audit Trails, située sur le côté droit de la page.
c) Dans la page Audited Objects, examinez les informations collectées.

Question : Pouvez-vous savoir quel utilisateur a augmenté les salaires et lequel les
a diminués ?

Réponse : Non, les enregistrements d'audit standard indiquent uniquement quel


utilisateur a accédé à la table.
d) Cliquez sur Return.
6) Annulez les paramètres d'audit pour HR.JOBS, désactivez l'audit de la base de
données, puis redémarrez cette dernière à l'aide du script lab_11_01_06.sh.
a) En bas de la page Audit Settings, cliquez sur l'onglet Audited Objects.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 90

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Exercice 11-1 : Configurer l'audit de la base de données (suite)
b) Entrez HR sous Schema, puis cliquez sur Search.
c) Sélectionnez les trois lignes, puis cliquez sur Remove.
d) Dans la page Confirmation, cliquez sur Show SQL.

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e) Examinez les instructions, puis cliquez sur Yes pour confirmer la suppression.
f) Dans la page Audit Settings, cliquez sur XML dans la région Configuration.
g) Dans la page Initialization Parameters, cliquez sur l'onglet SPFile.
h) Dans la page SPFile, entrez audit dans le champ Name, puis cliquez sur Go.
i) Pour le paramètre audit_trail, entrez la valeur DB.
j) Cliquez sur Show SQL.

k) Examinez l'instruction, puis cliquez sur Return.


l) Dans la page Initialization Parameters, cliquez sur Apply.
m) Etant donné que vous avez modifié un paramètre statique, vous devez redémarrer
la base de données. Pour cela, exécutez le script lab_11_01_06.sh. Dans une
fenêtre de terminal, entrez :
$ cd /home/oracle/labs
$ ./lab_11_01_06.sh

7) Gérez la trace d'audit. Puisque vous avez complètement terminé cette tâche,
sauvegardez et supprimez tous les fichiers d'audit du répertoire
/u01/app/oracle/admin/orcl/adump.
a) Dans une fenêtre de terminal, entrez :
$ cd /u01/app/oracle/admin/orcl/adump
$ ls

b) Créez une sauvegarde des fichiers de trace d'audit, puis supprimez ces fichiers.
$ tar –czf $HOME/audit_today.tar.z *
$ rm –f *

c) Fermez la fenêtre de terminal.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 91

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Exercices - Chapitre 12
Contexte : Vous souhaitez surveiller la base de données orcl de manière proactive, de
façon à pouvoir résoudre les problèmes courants avant qu'ils n'affectent les utilisateurs.
Cet exercice invente des problèmes afin que vous puissiez vous familiariser avec les
outils disponibles. Vous allez d'abord exécuter des scripts afin de configurer votre
environnement de base de données pour l'exercice.

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Exercice 12-1 : Maintenance de la base de données
1) Créez un tablespace géré localement nommé TBSSPC. Il contient un fichier de
données de 50 Mo stocké dans le groupe de disques +DATA. Vérifiez que le
tablespace TBSSPC n'utilise pas la gestion automatique de l'espace dans les segments.
Exécutez le script lab_12_01_01.sh pour réaliser ces tâches. Dans une fenêtre de
terminal, entrez :
$ cd /home/oracle/labs
$ cat lab_12_01_01.sh

sqlplus / as sysdba << END

set echo on

drop tablespace TBSSPC including contents and datafiles;

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CREATE SMALLFILE TABLESPACE "TBSSPC"
DATAFILE '+DATA' SIZE 50M
AUTOEXTEND ON NEXT 10M MAXSIZE 200M
LOGGING
EXTENT MANAGEMENT LOCAL
SEGMENT SPACE MANAGEMENT MANUAL;

exit;
END

$ ./lab_12_01_01.sh

2) Créez un utilisateur SPCT, identifié par oracle_4U. Affectez le tablespace


TBSSPC comme tablespace par défaut. Affectez le tablespace TEMP comme
tablespace temporaire. Octroyez les rôles CONNECT, RESOURCE et DBA à
l'utilisateur SPCT. Exécutez le script lab_12_01_02.sh pour réaliser ces tâches.
Dans une fenêtre de terminal, entrez :
$ cat lab_12_01_02.sh

sqlplus / as sysdba << END

set echo on
drop user spct cascade;
create user spct identified by oracle_4U
default tablespace TBSSPC
temporary tablespace temp;

grant connect, resource, dba to spct;

exit;
END

$ ./lab_12_01_02.sh

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 93

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Exercice 12-1 : Maintenance de la base de données (suite)
3) Utilisez le package DBMS_ADVISOR pour configurer une durée d'activité de base de
données de 30 minutes. En tant qu'utilisateur SPCT, supprimez et créez la table
SPCT, puis collectez des statistiques pour cette table. Créez un cliché dans le
référentiel AWR (Automatic Workload Repository). Exécutez le script
lab_12_01_03.sh pour réaliser ces tâches. Dans une fenêtre de terminal, entrez :
$ cat lab_12_01_03.sh

sqlplus / as sysdba << EOF

set echo on

exec
dbms_advisor.set_default_task_parameter('ADDM','DB_ACTIVITY_MI
N',30);

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connect spct/oracle_4U

drop table spct purge;


create table spct(id number, name varchar2(2000));

exec DBMS_STATS.GATHER_TABLE_STATS(-
ownname=>'SPCT', tabname=>'SPCT',-
estimate_percent=>DBMS_STATS.AUTO_SAMPLE_SIZE);

exec DBMS_WORKLOAD_REPOSITORY.CREATE_SNAPSHOT();

exit;
EOF
$ ./lab_12_01_03.sh

4) Créez l'activité à analyser. Exécutez le script lab_12_01_04.sh pour réaliser


cette tâche.
Dans une fenêtre de terminal, entrez les éléments suivants. Après l'exécution de
plusieurs procédures PL/SQL, vous pouvez être amené à appuyer sur la touche
[Entrée] pour voir à nouveau l'invite de commande.
$ ./lab_12_01_04.sh

5) Dans Enterprise Manager, consultez la page Performance avec un nom utilisateur


connecté en tant que SYSDBA. Affichez les données de performances en temps réel
avec un cycle de régénération de 15 secondes. Au bout de quelques instants, vous
devez voir un pic dans le graphique Average Active Sessions. Il s'agit de l'activité à
analyser. En examinant le graphique, vous pouvez déjà déterminer que cette instance
souffre de problèmes de simultanéité d'accès aux données.
a) Appelez Enterprise Manager en tant qu'utilisateur DBA1 avec le rôle SYSDBA
pour votre base de données orcl.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 94

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Exercice 12-1 : Maintenance de la base de données (suite)
b) Cliquez sur l'onglet Performance.

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Remarque : Selon le moment où vous exécutez la charge globale, vous pouvez
noter des différences entre votre graphique et celui fourni comme solution
possible.
c) Une fois le pic terminé, exécutez le script lab_12_01_05.sh. Ce script force
la création d'un cliché et collecte des statistiques sur la table SPCT.
Remarque : Il n'est pas facile de créer le même problème de performances dans
tous les environnements. Pour favoriser la réussite du test, attendez environ une
minute après la fin du pic d'activité pour exécuter le script suivant dans une
fenêtre de terminal :
$ ./lab_12_01_05.sh

6) Consultez les résultats Performance Analysis dans l'ordre de leur impact. Vous
pouvez accéder à ces informations de différentes manières. Les résultats devraient
ressembler à ceci :

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Exercice 12-1 : Maintenance de la base de données (suite)
La section Performance Analysis indique que le premier résultat a un impact
important sur le système (95,9 % dans notre exemple). Votre première réaction est
donc d'examiner ce résultat plus en détail. Toutefois, l'examen de cette instruction
SQL ne vous aide pas à comprendre le problème de simultanéité d'accès aux données
de la base.
Etudiez les résultats dont l'impact est moins grave. Intéressez-vous notamment aux
valeurs Buffer Busy. Pour l'un de ces résultats, vous devriez constater un problème de
contention en lecture et en écriture sur la table SPCT. L'action recommandée consiste
à utiliser la fonction de gestion automatique de l'espace dans les segments pour la
table SPCT. Les étapes à suivre sont décrites ci-après :
a) Accédez à la page d'accueil Database, puis cliquez sur Advisor Central en bas de
la page.
b) La tâche ADDM doit déjà être affichée. Sinon, recherchez-la et affichez-la dans

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cette page.

c) Sélectionnez la tâche et cliquez sur le bouton View Result (vous pouvez


également cliquer sur le nom de la tâche).

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Exercice 12-1 : Maintenance de la base de données (suite)
d) La page de résultats du moniteur ADDM (Automatic Database Diagnostic
Monitor) s'affiche.
Remarque : A ce stade, ne cliquez pas sur le bouton Run ADDM puisque vous
avez déjà effectué l'analyse de performances ADDM en exécutant le script
lab_12_01_05.sh. Vous obtiendriez un jeu de résultats vide.

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En examinant la section ADDM Performance Analysis, vous constatez que le
premier résultat a un impact important sur le système (95,9 % dans notre
exemple). Vous remarquez également des valeurs Buffer Busy relatives à la
mémoire tampon. Etant donnée l'importance du pourcentage Top SQL
Statements, votre premier reflexe est d'explorer les détails de ce diagnostic.
Remarque : Divers facteurs agissent sur les performances de votre ordinateur, de
sorte que les résultats que vous obtenez peuvent être différents de ceux affichés
dans les captures d'écran proposées. Par exemple, les diagnostics peuvent
apparaître dans un autre ordre. Si vous obtenez à ce stade des résultats différents
de ceux présentés dans la capture d'écran précédente, recommencez l'exercice
depuis le début. Si vous n'avez toujours pas les résultats escomptés, il se peut que
vous deviez ajuster la charge en modifiant les scripts lab_12_01_04.sh et
lab_12_01_04.sql. Le cas échéant, demandez conseil au formateur. Prenez
soin de ne pas augmenter la charge dans des proportions qui risqueraient de trop
ralentir votre système.
e) Cliquez sur le lien Top SQL Statements dans la colonne Finding.
f) Examinez les recommandations de la page Performance Finding Details.
L'examen de cette instruction SQL ne vous aide pas à comprendre le problème de
simultanéité d'accès aux données de la base. Cliquez sur le bouton Back (page
précédente) de votre navigateur Web.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 97

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Exercice 12-1 : Maintenance de la base de données (suite)
g) Examinez les diagnostics Buffer Busy du moniteur ADDM. Cliquez sur le
premier lien Buffer Busy (Buffer Busy - Hot Objects).

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L'analyse indique un problème de contention en lecture et en écriture sur des
blocs de la base de données. La solution recommandée consiste à utiliser un
tablespace géré localement et la gestion automatique de l'espace dans les
segments.
h) Retournez à la page de résultats du moniteur ADDM et examinez les autres
diagnostics Buffer Busy. L'un d'eux devrait vous donner les informations
suivantes :

Il s'agit d'un problème de bloc de données très sollicité (hot block) dans la table
SPCT.SPCT. Le moniteur recommande d'étudier la logique applicative pour
remonter à la cause première.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 98

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Exercice 12-1 : Maintenance de la base de données (suite)
7) Vous décidez de mettre en oeuvre la solution de gestion automatique de l'espace dans
les segments. Pour cela, vous devez recréer l'objet. Créez un tablespace géré
localement nommé TBSSPC2 avec un fichier de données de 50 Mo dans le groupe de
disques +DATA. Assurez-vous que le tablespace TBSSPC2 utilise la fonction de
gestion automatique de l'espace dans les segments. Exécutez ensuite le script
lab_12_01_07.sh pour supprimer la table SPCT, la recréer dans le nouveau
tablespace, collecter des statistiques et prendre un nouveau cliché.
a) Dans Enterprise Manager, cliquez sur l'onglet Server, puis sur Tablespaces dans
la section Storage.
b) Cliquez sur Create.
c) Entrez le nom de tablespace TBSSPC2. Vérifiez que la valeur de Extent
Management est Locally Managed, la valeur de Type est Permanent, la valeur

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de Status est Read Write, et que l'option Use Bigfile tablespace n'est pas
sélectionnée.
d) Cliquez sur Add dans la région Datafiles.
e) Dans la page Add Datafile, assurez-vous que le champ DiskGroup contient la
valeur DATA et entrez la valeur 50 MB dans le champ File Size.
f) Cliquez sur Continue.
g) Cliquez sur l'onglet Storage. Vérifiez que l'option Automatic est sélectionnée
dans les sections Extent Allocation et Segment Space Management, et que
l'option Yes est sélectionnée dans la section Enable logging.
h) Cliquez sur l'onglet General.
i) Cliquez sur Show SQL pour voir l'instruction SQL qui sera exécutée, puis cliquez
sur Return.

j) Cliquez sur OK. Un message s'affiche pour confirmer le succès de l'opération.


k) Dans une fenêtre de terminal, entrez :
$ ./lab_12_01_07.sh

8) Exécutez à nouveau la charge globale. (Utilisez le script lab_12_01_04.sh.)


Entrez la commande suivante dans une fenêtre de terminal. Après l'exécution de
plusieurs procédures PL/SQL, vous pouvez être amené à appuyer sur la touche
[Entrée] pour voir à nouveau l'invite de commande.
$ ./lab_12_01_04.sh

9) Dans Enterprise Manager, consultez la page Performance en tant qu'utilisateur


SYSDBA. Affichez les données de performance en temps réel avec un cycle de
régénération de 15 secondes. Au bout de quelques instants, vous devez voir un pic
dans le graphique Average Active Sessions.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 99

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Exercice 12-1 : Maintenance de la base de données (suite)
Une fois le pic terminé, exécutez à nouveau le script lab_12_01_05.sh. Ce script
force la création d'un cliché et collecte des statistiques sur la table ADDM.
a) Appelez Enterprise Manager en tant qu'utilisateur DBA1 avec le rôle SYSDBA
pour votre base de données orcl.
b) Cliquez sur l'onglet Performance. Attendez la fin du pic d'activité dans le
graphique Active Sessions.

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c) Une fois le pic d'activité terminé, exécutez le script lab_12_01_05.sh pour
forcer la création d'un cliché et collecter des statistiques sur la table SPCT. Dans
une fenêtre de terminal, entrez la commande suivante :
$ ./lab_12_01_05.sh
10) Utilisez le lien Advisor Central pour examiner les diagnostics du moniteur ADDM.
a) Accédez à la page d'accueil de la base de données et cliquez sur Advisor Central
en bas de la page.
b) Cliquez sur le nom de la tâche répertoriée en tête de liste par ADDM.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 100

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Exercice 12-1 : Maintenance de la base de données (suite)
c) Vous constatez que le diagnostic Buffer Busy concernant le problème de
contention en lecture et écriture a disparu. En déplaçant la table ADDM vers le
tablespace géré localement TBSSPC2, pour lequel l'option AUTOEXTEND est
activée, vous avez visiblement résolu la cause de ce problème.
Remarque : Ne tenez pas compte à ce stade des autres diagnostics Buffer Busy
que vous pouvez obtenir (avec des impacts inférieurs), ni des recommandations
complémentaires concernant l'amélioration des performances.

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11) Exécutez le script lab_12_01_11.sh pour nettoyer votre environnement en vue
des exercices suivants.
Dans une fenêtre de terminal, entrez :
$ ./lab_12_01_11.sh

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 101

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Exercices - Chapitre 13
Contexte : Les utilisateurs se plaignent d'une dégradation des performances pour les
opérations impliquant les applications de gestion des ressources humaines et de saisie des
commandes. Après avoir interrogé les autres DBA, vous vous rendez compte que des
opérations de maintenance ont eu lieu récemment sur certaines des tables appartenant au
schéma HR. Vous devez déterminer la cause des problèmes de performances et apporter
les modifications appropriées pour les résoudre. Des fichiers de script SQL sont fournis
dans le répertoire /home/oracle/labs. Les autres répertoires sont nommés de façon
individuelle.

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 102

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Exercice 13-1 : Gérer les performances
1) Connectez-vous à SQL*Plus en tant qu'utilisateur SYS et effectuez des opérations de
maintenance sur des tables du schéma HR en exécutant le script
lab_13_01_01.sql.
$ cd ~/labs
$ . oraenv
ORACLE_SID = [oracle] ? orcl
The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1 is
/u01/app/oracle
$ sqlplus / as sysdba
SQL> @lab_13_01_01.sql

2) Vous recevez des appels d'utilisateurs de l'application HR indiquant que l'exécution

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d'une interrogation particulière est plus longue que d'habitude. Cette interrogation
figure dans le script lab_13_01_02.sql. Pour exécuter ce script, entrez les
commandes suivantes dans SQL*Plus :
SQL> CONNECT hr
Password: oracle_4U <<<Le mot de passe n'apparaît pas à l'écran
Connected.
SQL> @lab_13_01_02.sql

3) A l'aide d'Enterprise Manager, localisez la session HR dans laquelle l'instruction qui


précède vient d'être exécutée et affichez le plan d'exécution correspondant.
a) Dans Enterprise Manager, cliquez sur l'onglet Performance, puis sur Search
Sessions dans la section Additional Monitoring Links.
b) Dans la page Search Sessions, remplacez le critère de recherche par DB User,
entrez HR dans le champ situé à droite, puis cliquez sur Go.
c) Cliquez sur le numéro de la colonne SID dans la liste Results.
d) Vous voyez maintenant la page Session Details correspondant à cette session.
Cliquez sur le lien de valeur de hachage (hash value) situé à droite du libellé
Previous SQL dans la section Application.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 103

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Exercice 13-1 : Gérer les performances (suite)
e) La page SQL Details affiche les informations correspondant à la dernière
instruction SQL exécutée par cette session (celle en question). Cliquez sur l'onglet
Plan pour voir le plan d'exécution correspondant à l'interrogation.

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f) Dans la colonne Operation, vous voyez que cette interrogation effectue un
balayage complet de table (TABLE ACCESS FULL). Puisque vous savez que la
condition de l'interrogation est une comparaison d'égalité sur la clé primaire
(EMPLOYEE_ID), vous décidez d'examiner le statut de l'index de clé primaire.
4) A l'aide d'Enterprise Manager, déterminez le statut de l'index de la table EMPLOYEE
sur EMPLOYEE_ID. Vérifiez s'il s'agit de VALID.
a) Dans la page d'accueil de la base de données, cliquez sur l'onglet Schema, puis
sur Indexes.
b) Sélectionnez Table Name comme valeur Search By.
c) Entrez HR dans le champ Schema.
d) Entrez EMPLOYEES dans le champ Object Name.
e) Cliquez sur Go. Une liste de six index apparaît.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 104

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Exercice 13-1 : Gérer les performances (suite)
f) Cliquez sur l'index nommé EMP_EMP_ID_PK.

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g) Dans la page View Index, remarquez que l'index présente le statut UNUSABLE.

5) Maintenant que vous avez vu un index dont le statut n'est pas VALID, vous décidez
de vérifier tous les index. A l'aide de SQL*Plus, connectez-vous en tant qu'utilisateur
HR et recherchez les index de schéma HR dont le statut (STATUS) ne présente pas la
valeur VALID. Pour cela, vous pouvez interroger une vue du dictionnaire de données
avec une condition sur la colonne STATUS.
a) Accédez à la session SQL*Plus où vous êtes encore connecté en tant qu'utilisateur
HR, puis exécutez cette interrogation :
SQL> select index_name, table_name, status
from user_indexes where status <> 'VALID';

INDEX_NAME TABLE_NAME STATUS


--------------------- ------------------------ --------
EMP_EMAIL_UK EMPLOYEES UNUSABLE
EMP_EMP_ID_PK EMPLOYEES UNUSABLE

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 105

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Exercice 13-1 : Gérer les performances (suite)
EMP_DEPARTMENT_IX EMPLOYEES UNUSABLE
EMP_JOB_IX EMPLOYEES UNUSABLE
EMP_MANAGER_IX EMPLOYEES UNUSABLE
EMP_NAME_IX EMPLOYEES UNUSABLE

6 rows selected.

SQL>

b) Notez que le résultat répertorie six index, tous sur la table EMPLOYEES. Vous
allez devoir résoudre ce problème.
6) Vous décidez de réorganiser tous les index du schéma HR qui sont marqués comme
UNUSABLE à l'aide d'Enterprise Manager.
a) Dans Enterprise Manager, dans la page affichant l'index EMP_EMP_ID_PK,

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sélectionnez Reorganize dans la liste Actions, puis cliquez sur Go.
b) Dans la page Reorganize Objects, cliquez sur Add pour ajouter chacun des cinq
autres index à l'opération de réorganisation.
c) Dans l'écran Add, choisissez Indexes dans la liste déroulante Type, puis entrez
HR dans le champ Schema. Cliquez sur Search.
d) Sélectionnez les cinq autres index dont le nom commence par "EMP_".

e) Cliquez sur OK pour retourner à la page Reorganize Objects: Objects.


f) Vérifiez que les six index associés à la table EMPLOYEES sont répertoriés et
cliquez sur Next.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 106

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Exercice 13-1 : Gérer les performances (suite)
g) Conservez tous les paramètres par défaut pour Options, puis cliquez sur Next. La
génération du script de réorganisation s'effectue, puis la page Impact Report
apparaît.
h) Notez qu'aucun problème n'est signalé dans le rapport d'impact (Impact Report),
puis cliquez sur Next.
i) Dans la page Schedule, entrez oracle dans les champs Username et Password,
sous Host Credentials.
j) Cliquez sur Next.
k) Dans la page Review, cliquez sur Submit Job.
l) Après l'apparition de la page de confirmation, cliquez sur View Job Details pour
voir le statut du travail.

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m) Cliquez sur le bouton Reload (actualiser) de votre navigateur jusqu'à ce que le
travail apparaisse comme ayant réussi.

7) Revenez à la session SQL*Plus dans laquelle est connecté l'utilisateur HR, puis lancez
le script lab_13_01_07.sql afin d'exécuter le même type d'interrogation.
Répétez ensuite la procédure pour voir si le plan de la dernière instruction SQL
exécutée par cette session a changé.
a) Entrez la commande suivante à l'invite SQL*Plus :
SQL> @lab_13_01_07.sql

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 107

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Exercice 13-1 : Gérer les performances (suite)
b) Répétez les actions décrites à l'étape 3 pour voir le plan d'exécution de
l'interrogation. L'icône indique désormais qu'un index est utilisé. Cliquez sur
View Table. Notez que le plan utilise désormais un balayage unique d'index
(index unique scan).

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c) Quittez la session SQL*Plus.
8) Quelle est la différence entre les plans d'exécution et pourquoi ?
Réponse : L'exécution de l'instruction utilise un balayage unique d'index au lieu d'un
balayage complet de table (full table scan), car l'index est utilisable après la
réorganisation des index.
9) Simulez une charge globale sur votre instance en exécutant le script
lab_13_01_09.sql en tant qu'utilisateur SYS. Notez la valeur de SID qui est
indiquée.

Valeur de SID : __________________________________

L'exécution de ce script prend environ 20 minutes. Exécutez-le dans une fenêtre de


terminal distincte et poursuivez l'exercice pendant son exécution.
Remarque : Etant donné que ce script génère une charge relativement élevée en
termes de CPU et d'E/S disque, vous constaterez que le temps de réponse de
Database Control est plus long.
$ sqlplus / as sysdba
SQL> @lab_13_01_09.sql
10) Retournez dans Enterprise Manager et examinez les performances de votre base de
données.
a) Dans Enterprise Manager, accédez à la page Performance et examinez les
performances du système.
b) Vous devrez sans doute attendre une minute ou deux pour voir les effets du script
de génération de charge apparaître sur les graphiques.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 108

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Exercice 13-1 : Gérer les performances (suite)

Attendez de déceler une


activité dans le graphique
Average Active Sessions avant

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de continuer.

Question 1 : Dans le graphique Average Active Sessions, quelles sont les deux
catégories principales attendues par les sessions actives ?

Réponse : Dans cet exemple, il apparaît que les valeurs de CPU Wait et User I/O sont
particulièrement élevées. La catégorie Configuration présente également une forte
activité d'attente. Vos résultats peuvent être différents de ceux illustrés ici.

Question 2 : Dans la catégorie d'attentes Configuration, quel est l'un des contributeurs
au temps d'attente ? Cliquez sur Configuration pour voir le graphique.

Réponse : Tous les éléments ci-après contribuent au temps d'attente, mais il semble
que "log file switch completion" et "log buffer space" soient les plus importants :

Question 3 : Cliquez sur Back (page précédente), puis sur Settings dans la page
Performance. Dans Detail Chart Settings, sélectionnez I/O pour Default View et I/O
Function pour I/O Chart Settings, puis cliquez sur OK. Faites défiler l'affichage vers
le bas pour voir les graphiques d'E/S afin de déterminer quel processus effectue le

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 109

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Exercice 13-1 : Gérer les performances (suite)
plus d'opérations d'écriture sur le disque.

Réponse : LGWR

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c) Cliquez sur Top Activity dans la région Additional Monitoring Links.
d) Cliquez sur le SQL ID de la première instruction SQL répertoriée dans la région
Top SQL.

e) Examinez la première instruction SQL.


11) Fermez la session générant la charge. Utilisez l'ID de session noté à l'étape 9. Il est
indiqué dans la colonne SID du tableau Detail for Selected 5 Minute Interval.
a) Cliquez sur le numéro de SID correspondant à l'ID de session noté
précédemment. Il figure sous l'en-tête Detail for Selected 5 Minute Interval.

b) Dans la page Session Details, cliquez sur Kill Session, puis sur Yes pour
confirmer.

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Exercice 13-1 : Gérer les performances (suite)
Remarque : Si vous gardez cette page Session Details ouverte assez longtemps pour
que des actualisations automatiques aient lieu, il est possible que vous obteniez
l'avertissement "WARNING, Session has expired" ou une erreur SQL indiquant que
la session est marquée en vue de sa fermeture. Cela signifie que vous essayez
d'actualiser des informations concernant une session qui a déjà été fermée. Vous
pouvez ignorer cet avertissement.
c) Cliquez sur Top Activity dans l'historique de navigation en haut de la page. Notez
que les activités de session dans la base de données ont considérablement
diminué.

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Exercices - Chapitre 14
Contexte : Votre base de données orcl est prête à passer de la phase de test ou de
développement à la phase de production.
Vous devez la configurer en vue de limiter les risques de défaillance ou de perte de
données. Pour cela, procédez de la manière suivante :
• Garantissez la redondance du fichier de contrôle et sauvegardez celui-ci dans un
fichier trace.
• Vérifiez la configuration de la zone de récupération rapide.
• Prenez soin de conserver au moins deux membres dans chaque groupe de fichiers
de journalisation.
• Placez la base de données en mode ARCHIVELOG.
• Configurez des destinations redondantes pour les fichiers de journalisation
archivés.

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Exercice 14-1 : Configurer la base de données pour la
récupération
Dans cet exercice, vous configurez la base de données afin de limiter les risques de
défaillance ou de perte de données.
Remarque : Vous devez réaliser cet exercice pour pouvoir effectuer les exercices de
sauvegarde et récupération qui suivent.
1) Commencez par exécuter le script lab_14_01_01.sh pour créer des données
supplémentaires qui seront utilisées dans les scénarios des exercices suivants. Ce
script crée des tables dans le tablespace INVENTORY et simule une activité
élémentaire de la base de données.
$ cd ~/labs
$ ./lab_14_01_01.sh

2) Vérifiez que vous disposez d'au moins deux fichiers de contrôle pour assurer une

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redondance suffisante.
a) Appelez Enterprise Manager en tant qu'utilisateur DBA1 avec le rôle SYSDBA
pour votre base de données orcl.
b) Cliquez sur Server > Control Files (dans la section Storage).

Question 1 : Dans la page Control Files: General, combien avez-vous de fichiers


de contrôle ?
Réponse : 2
3) Vérifiez la configuration de la zone de récupération rapide et portez sa taille à 8 Go.
a) Dans Enterprise Manager, sélectionnez Availability > Recovery Settings dans la
section Setup.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 113

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Exercice 14-1 : Configurer la base de données pour la
récupération (suite)
b) Faites défiler l'affichage jusqu'à la fin de la page.

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c) Question : La zone de récupération rapide est-elle activée ?
Réponse : Oui, elle a été configurée lors de la création de la base de données à
l'aide de DBCA (Database Configuration Assistant).
d) Notez l'emplacement de la zone de récupération rapide.
Par exemple : +FRA
e) Question : Quelles tâches essentielles de DBA pouvez-vous effectuer dans cette
section ?
Réponse : Modifier l'emplacement, la taille ou le délai de conservation de la zone
de récupération rapide, mais aussi activer la fonctionnalité Flashback Database.
f) Question : Une modification de la taille de la zone de récupération rapide
nécessite-t-elle le redémarrage de la base ?
Réponse : Non, il n'est pas nécessaire de redémarrer la base pour que cette
modification prenne effet.
g) Portez la taille de la zone de récupération rapide à 8 Go en entrant la valeur 8
dans le champ Flash Recovery Area Size et en choisissant l'option GB dans la
liste située en regard de ce champ.
h) Cliquez éventuellement sur Show SQL et examinez l'instruction, puis cliquez sur
Return.

i) Cliquez sur Apply.


4) Vérifiez le nombre de membres dans chaque groupe de fichiers de journalisation.
Assurez-vous que chaque groupe comporte au moins deux fichiers. Un jeu de
membres doit être stocké dans la zone de récupération rapide.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 114

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Exercice 14-1 : Configurer la base de données pour la
récupération (suite)
a) Sélectionnez Server > Redo Log Groups, puis notez le nombre de membres
indiqué dans la colonne "# of Members".
Réponse : Chaque groupe comprend deux membres.

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b) Sélectionnez l'un de vos groupes de fichiers de journalisation et cliquez sur View
pour voir l'emplacement de chaque membre de ce groupe. Vous devez constater
qu'un membre se trouve sur le groupe de disques +DATA, et le second, sur le
groupe de disques +FRA.

5) Notez que, pour chaque groupe de fichiers de journalisation, la colonne Archived


indique No. Cela signifie que la base de données ne conserve pas de copies des
fichiers de journalisation pour la récupération. En cas de défaillance, vous perdrez
toutes les données depuis la dernière sauvegarde. Placez la base de données en mode
ARCHIVELOG afin que les fichiers de journalisation soient archivés.
Remarque : Vous devez passer à l'étape 5 pour que vos modifications soient
appliquées.
a) Dans Enterprise Manager, sélectionnez Availability > Recovery Settings dans la
section Setup.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 115

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Exercice 14-1 : Configurer la base de données pour la
récupération (suite)
b) Dans la région Media Recovery, cochez la case ARCHIVELOG Mode. Vérifiez
que le champ Log Archive Filename Format contient %t, %s et %r.

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c) Notez que la destination actuelle des fichiers de journalisation archivés,
USE_DB_RECOVERY_FILE_DEST, pointe vers la zone de récupération rapide
(+FRA).
Remarque : Si vous ajoutez des destinations pour l'archivage des fichiers de
journalisation, vous devez créer le répertoire d'archivage (s'il n'existe pas déjà).
d) Cliquez sur Apply.
e) Cliquez sur Yes lorsque vous êtes invité à redémarrer la base de données.
f) Entrez les informations d'identification et de connexion (credentials) à l'hôte pour
redémarrer la base de données (oracle dans les champs Username et Password),
puis cliquez sur OK.
g) Lorsque vous êtes invité à confirmer l'opération, cliquez de nouveau sur Yes.
h) Si vous recevez un message d'erreur pendant les opérations d'arrêt et de
démarrage, cliquez sur OK pour le valider, puis cliquez sur Refresh. (Il se peut
que vous soyez plus rapide que la base de données.)
6) Une fois que la base a redémarré, utilisez éventuellement SQL*Plus pour vérifier
qu'elle est en mode ARCHIVELOG. Dans une fenêtre de terminal, connectez-vous à
SQL*Plus en tant que SYSDBA et exécutez la commande archive log list.
$ . oraenv
ORACLE_SID = [oracle] ? orcl
The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1 is
/u01/app/oracle
$ sqlplus / as sysdba

SQL*Plus: Release 11.2.0.1.0 Production on Sat Jul 11 10:16:40


2009

Copyright (c) 1982, 2009, Oracle. All rights reserved.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 116

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Exercice 14-1 : Configurer la base de données pour la
récupération (suite)
Connected to:
Oracle Database 11g Enterprise Edition Release 11.2.0.1.0 -
Production
With the Partitioning, Automatic Storage Management, OLAP,
Data Mining
and Real Application Testing options

SQL> archive log list


Database log mode Archive Mode
Automatic archival Enabled
Archive destination USE_DB_RECOVERY_FILE_DEST
Oldest online log sequence 126
Next log sequence to archive 128
Current log sequence 128

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SQL> exit
Disconnected from Oracle Database 11g Enterprise Edition
Release 11.2.0.1.0 - Production
With the Partitioning, Automatic Storage Management, OLAP,
Data Mining
and Real Application Testing options
$

La base de données étant maintenant en mode ARCHIVELOG, elle archivera en


permanence une copie de chaque fichier de journalisation en ligne avant de le
réutiliser pour stocker d'autres données de journalisation.
Remarque : N'oubliez pas que cette opération consomme de l'espace sur le disque et
que vous devez sauvegarder régulièrement les anciens fichiers de journalisation
archivés sur un autre périphérique de stockage.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 117

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Exercices - Chapitre 15
Contexte : Votre base de données étant désormais prête à passer en phase de production,
il est temps de commencer à créer des sauvegardes. Effectuez une sauvegarde du fichier
de contrôle dans un fichier trace et une sauvegarde immédiate sur disque, puis
programmez des travaux de sauvegarde nocturnes qui se répètent à l'infini.

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 118

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Exercice 15-1 : Sauvegarder la base de données
Dans cet exercice, vous allez sauvegarder le fichier de contrôle dans un fichier trace,
effectuer une sauvegarde immédiate sur disque et programmer une opération de
sauvegarde s'exécutant de nuit.
1) Effectuez une sauvegarde du fichier de contrôle dans un fichier trace.
a) Appelez Enterprise Manager en tant qu'utilisateur DBA1 avec le rôle SYSDBA
pour votre base de données orcl.
b) Cliquez sur Server > Control Files (dans la section Storage).

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c) Cliquez sur Backup to Trace.
d) Lorsque vous recevez le message indiquant que l'opération a réussi, notez
l'emplacement du répertoire de trace, puis cliquez sur OK.

e) Vous pouvez éventuellement utiliser une fenêtre de terminal en étant connecté en


tant qu'utilisateur oracle pour afficher le nom du fichier trace à la fin du fichier
d'alertes. Pour ce faire, exécutez la commande suivante :
cd /u01/app/oracle/diag/rdbms/orcl/orcl/trace
tail alert_orcl.log
L'exemple suivant présente uniquement les dernières lignes de résultats :
$ cd /u01/app/oracle/diag/rdbms/orcl/orcl/trace
$ tail alert_orcl.log
Sat Jul 11 09:10:03 2009
SMCO started with pid=23, OS id=9837
Sat Jul 11 09:46:31 2009
ALTER DATABASE BACKUP CONTROLFILE TO TRACE
Backup controlfile written to trace file
/u01/app/oracle/diag/rdbms/orcl/orcl/trace/orcl_ora_12190.trc
Completed: ALTER DATABASE BACKUP CONTROLFILE TO TRACE
Sat Jul 11 09:46:56 2009
ALTER DATABASE BACKUP CONTROLFILE TO TRACE
Backup controlfile written to trace file
/u01/app/oracle/diag/rdbms/orcl/orcl/trace/orcl_ora_12190.trc
Completed: ALTER DATABASE BACKUP CONTROLFILE TO TRACE
$

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 119

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f) Si vous souhaitez consulter les informations relatives à la taille et à l'utilisation
des différentes sections du fichier de contrôle, cliquez sur l'onglet Record
Section.

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Les valeurs que vous obtenez peuvent être différentes de celles présentées par la
capture d'écran. Pour plus d'informations, cliquez sur Help dans le coin supérieur
droit de la page.
2) Quelle est la différence entre un jeu de sauvegarde et une copie d'image ?
Réponse : Un jeu de sauvegarde contient les fichiers de données et les fichiers de
journalisation archivés, dans un format propriétaire Oracle. Les fichiers doivent être
extraits pour être utilisés. Les copies d'image sont l'équivalent des copies de fichier du
système d'exploitation et peuvent être utilisées pour restaurer des opérations
immédiatement.
3) Quelle est la destination des sauvegardes sur disque réalisées ?
a) Accédez à la page Availability et cliquez sur Backup Settings.

b) Le message sous Disk Backup Location indique que la zone de récupération


rapide est l'emplacement de sauvegarde sur disque actuel.
4) Définissez une stratégie de sauvegarde qui conserve automatiquement les fichiers de
contrôle et le fichier SPFILE.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 120

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a) Cliquez sur l'onglet Policy dans la page Backup Settings.
b) Cochez la case Automatically backup the control file and server parameter
file (SPFILE) with every backup and database structural change.

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c) Faites défiler l'affichage jusqu'en bas de la page. Dans la section Host Credentials,
entrez oracle dans les champs Username et Password et cochez la case Save as
Preferred Credential.
d) Cliquez sur OK.
5) Testez la réalisation d'une sauvegarde sur disque, sous la forme d'un jeu de
sauvegarde, avec oracle sous Host Credentials.
a) Cliquez sur l'onglet Device dans la page Backup Settings.
b) Sélectionnez Backup Set comme type de sauvegarde sur disque (Disk Backup
Type).
c) En bas de la page, assurez-vous que la valeur oracle est affectée aux
informations Host Credentials.
d) En haut de la page, cliquez sur Test Disk Backup.
e) Un message de suivi s'affiche. Lorsque le test est terminé et que le message "Disk
Backup Test Successful!" s'affiche, cliquez sur OK en bas de la page.
6) Sauvegardez l'intégralité de la base de données, avec les fichiers de journalisation
archivés, pendant que la base est ouverte pour les utilisateurs. Cette sauvegarde doit
servir de base à une stratégie de sauvegarde incrémentielle.
a) Question : Quelle condition préalable doit être satisfaite pour pouvoir créer une
sauvegarde valide d'une base de données sans l'arrêter ?
Réponse : La base de données doit être en mode ARCHIVELOG. Les sauvegardes
effectuées base ouverte sans le mode ARCHIVELOG ne peuvent pas être utilisées
pour la récupération.
b) Sélectionnez Availability > Schedule Backup (section Manage).
Si vous pensez que la stratégie Oracle-Suggested Backup répond à vos besoins,
choisissez cette option. Pour les besoins de cet exercice, vous allez planifier une
sauvegarde personnalisée.
c) Sélectionnez Whole Database comme objet à sauvegarder.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 121

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d) Dans la section Host Credentials, entrez (ou confirmez) la valeur oracle dans
les champs Username et Password.
e) Cliquez sur Schedule Customized Backup.
f) Dans la page Schedule Customized Backup: Options, sélectionnez Full Backup
sous Backup Type, puis cochez la case Use as the base of an incremental
backup strategy.
g) Sélectionnez Online Backup sous Backup Mode.
h) Dans la section Advanced, sélectionnez Also back up all archived logs on disk
et Delete all archived logs from disk after they are successfully backed up,
puis cliquez sur Next pour continuer.
i) Dans la page Schedule Customized Backup: Settings, sélectionnez Disk comme
emplacement de sauvegarde. (Remarquez que l'emplacement Disk Backup
Location est mémorisé. Vous pourriez le modifier pour une sauvegarde

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ponctuelle, mais pas cette fois-ci.)

j) Cliquez sur Next.


k) Acceptez toutes les valeurs par défaut dans la page Schedule Customized Backup:
Schedule, puis cliquez sur Next pour continuer.
Remarque : Schedule Type doit avoir pour valeur One Time (Immediately).
l) Dans la page Schedule Customized Backup: Review, examinez le script RMAN et
cliquez sur Submit Job.

m) Cliquez sur View Job afin de surveiller le statut du travail de sauvegarde. La


durée de la sauvegarde dépend de vos ressources matérielles et système.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 122

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n) Cliquez sur le bouton Refresh ou Requery de votre navigateur jusqu'à ce que le
travail soit terminé.

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7) Planifiez des sauvegardes incrémentielles sur disque, base ouverte, pendant la nuit
pour l'intégralité de la base de données, y compris les fichiers de journalisation
archivés. Demandez que ces fichiers soient supprimés du disque à la fin de chaque
opération de sauvegarde. Planifiez l'exécution des sauvegardes pour 23h00. La
planification doit être applicable indéfiniment.
a) Dans Enterprise Manager, sélectionnez Availability > Schedule Backup
(section Manage).
b) Sélectionnez Whole Database comme objet à sauvegarder.
c) Dans la section Host Credentials, entrez ou confirmez la valeur oracle dans les
champs Username et Password, puis cliquez sur Schedule Customized Backup.
d) Dans la page Schedule Customized Backup: Options, sélectionnez Incremental
Backup sous Backup Type.
e) Sélectionnez Online Backup sous Backup Mode.
f) Dans la région Advanced, sélectionnez Also backup all archived logs on disk et
Delete all archived logs from disk after they are successfully backed up, puis
cliquez sur Next pour continuer.
g) Dans la page Schedule Customized Backup: Settings, sélectionnez Disk comme
emplacement de sauvegarde, puis cliquez sur Next pour continuer.
h) Dans la page Schedule Customized Backup: Schedule, affectez au champ Job
Name la valeur Nightly_Backup et acceptez la valeur par défaut du champ
Job Description.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 123

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i) Sélectionnez Repeating dans la région Schedule. Notez l'affichage d'autres
informations contextuelles.
j) Sélectionnez By Days dans la liste déroulante Frequency Type et entrez la valeur
1 dans le champ Repeat Every. Vérifiez que l'option Indefinite est sélectionnée
dans le champ Repeat Until et entrez la valeur 11:00 PM dans le champ Start
Time.

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k) Cliquez sur Next pour continuer.
l) Dans la page Schedule Customized Backup: Review, vérifiez les informations des
sections Settings et RMAN Script.

m) Cliquez sur Submit Job, puis sur OK.


n) Cliquez sur Jobs dans la section Related Links de la page Availability pour voir le
travail planifié dans la liste Job Activity.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 124

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Exercices - Chapitre 16
Contexte : De nombreuses défaillances de la base de données Oracle semblent provenir
d'une défaillance physique (disque ou contrôleur). Dans cet exercice, vous êtes confronté
à divers problèmes qui imposent une récupération de la base de données.
• Récupérer la base de données suite à la perte d'un fichier de données
• Récupérer la base de données suite à la perte d'un fichier du tablespace SYSTEM
• Récupérer la base de données suite à la perte d'un fichier de contrôle
Des fichiers de script SQL sont fournis dans le répertoire /home/oracle/labs. Si
nécessaire, utilisez les annexes concernant Linux et la syntaxe SQL. Après avoir
configuré une défaillance à l'aide d'un script SQL, vous devez effectuer la récupération
avant de passer à un autre exercice.
Remarque : Les noms de fichier de votre système d'exploitation peuvent être différents
de ceux présentés ici. Les résultats que vous obtenez peuvent donc avoir un aspect
différent. (Les lignes vides ont été supprimées pour des raisons de place.)

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 125

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Exercice 16-1 : Préparer l'environnement de l'exercice
Avant de commencer à traiter les scénarios de récupération, vous devez exécuter un script
pour préparer l'environnement.
1) Accédez à votre répertoire labs et exécutez le script lab_16_01_01.sql (dans
SQL*Plus) en tant qu'utilisateur SYS. Ce script prépare des procédures qui seront
appelées dans la suite de l'exercice.
$ cd /home/oracle/labs
$ . oraenv
ORACLE_SID = [oracle] ? orcl
The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1 is
/u01/app/oracle
$ sqlplus / as sysdba

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SQL*Plus: Release 11.2.0.1.0 Production on Sun Jul 12 23:29:58
2009

Copyright (c) 1982, 2009, Oracle. All rights reserved.

Connected to:
Oracle Database 11g Enterprise Edition Release 11.2.0.1.0 -
Production
With the Partitioning, Automatic Storage Management, OLAP,
Data Mining
and Real Application Testing options

SQL> @lab_16_01_01.sql
Connected.

Java created.

Procedure created.

PL/SQL procedure successfully completed.

PL/SQL procedure successfully completed.

PL/SQL procedure successfully completed.

PL/SQL procedure successfully completed.

PL/SQL procedure successfully completed.

PL/SQL procedure successfully completed.

Synonym created.

Grant succeeded.

SQL>

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 126

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Exercice 16-2 : Récupérer la base suite à la perte d'un fichier de
données
Dans cet exercice, vous allez provoquer la perte d'un fichier de données d'application,
puis effectuer la procédure de récupération appropriée.
1) Ouvrez une session SQL*Plus en tant qu'utilisateur SYS et exécutez le script
lab_16_02_01.sql à partir de votre répertoire labs. Ce script supprime l'un des
fichiers de données d'application.
Remarque : N'oubliez pas d'appeler oraenv pour définir la base de données orcl
comme environnement si vous ne l'avez pas déjà fait dans la fenêtre de terminal.
$ sqlplus / as sysdba

SQL*Plus: Release 11.1.0.6.0 - Production on Sun Aug 31


10:45:19 2008

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Copyright (c) 1982, 2007, Oracle. All rights reserved.

Connected to:
Oracle Database 11g Enterprise Edition Release 11.1.0.6.0 -
Production
With the Partitioning, OLAP, Data Mining and Real Application
Testing options

SQL> @lab_16_02_01.sql

PL/SQL procedure successfully completed.

"Data file deleted. Database should be open."


SQL>
2) Le support technique a reçu un appel d'un utilisateur qui se plaint de ne pas pouvoir
accéder à la table PRODUCT_MASTER du schéma INVENTORY de l'application.
Comptez les lignes de la table pour savoir s'il y a un problème.
Remarque : Si vous ne voyez pas d'erreur de fichier de données, essayez d'effectuer
une mise à jour dans la table INVENTORY.PRODUCT_MASTER à partir d'une autre
session SQL*Plus. La base de données peut ne s'apercevoir de l'absence du fichier
qu'au bout d'un certain temps. Si vous ne voulez pas attendre, vous pouvez ignorer
cette étape et passer à la suivante.
SQL> select count(*) from INVENTORY.PRODUCT_MASTER;
select count(*) from INVENTORY.PRODUCT_MASTER
*
ERROR at line 1:
ORA-00376: file 7 cannot be read at this time
ORA-01110: data file 7:
'/u01/app/oracle/oradata/orcl/inventory02.dbf'
SQL>

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 127

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Exercice 16-2 : Récupérer la base suite à la perte d'un fichier de
données (suite)
3) Résolvez le problème et procédez si nécessaire à une récupération. Le message
d'erreur suggère que le fichier de données inventory02.dbf est endommagé ou
manquant.
a) Dans Enterprise Manager, examinez la section Alerts de la page d'accueil (Home)
et repérez l'alerte Data Failure.
b) Cliquez sur Availability > Perform Recovery.
c) Cliquez sur Advise and Recover.
d) Dans la page View and Manage Failures, cliquez sur l'icône Plus (+) sous la
description du problème. L'affichage devrait ressembler à ceci :

Cliquez ici pour réduire ou

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développer les
informations relatives aux
défaillances portant sur
les données..

Remarque : Si vous ne voyez pas le problème de fichier de données non-


système, actualisez la page jusqu'à ce qu'il apparaisse.
e) Assurez-vous que les problèmes sont sélectionnés et cliquez sur Advise.
f) Comme le fichier n'a pas été simplement renommé ou déplacé, mais bien
supprimé, vous poursuivez en cliquant sur Continue with Advise.

g) Le script RMAN s'affiche dans la page Recovery Advise. Cliquez sur Continue.

h) La page Review affiche le problème et la solution suggérée. Cliquez sur Submit


Recovery Job.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 128

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Exercice 16-2 : Récupérer la base suite à la perte d'un fichier de
données (suite)
i) Une fenêtre Processing s'affiche, suivie de la page Job Activity. Un message doit
confirmer la création du travail. (Le nom de votre lien sera probablement
différent.)

j) Cliquez sur le lien indiquant le nom du travail.


k) Dans la page Job Run, vérifiez la valeur du champ Status dans la section
Summary. Si cette valeur est Running, cliquez sur le bouton Refresh ou Requery
de votre navigateur jusqu'à ce que le travail soit terminé.

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l) Dans votre session SQL*Plus, vérifiez que la table
INVENTORY.PRODUCT_MASTER est désormais accessible.
Remarque : Vous pouvez obtenir une valeur différente.
SQL> select count(*) from INVENTORY.PRODUCT_MASTER;

COUNT(*)
----------
217368
m) La récupération étant terminée, accédez à la page d'accueil de la base de données
dans Enterprise Manager et effacez l'alerte.
i) Cliquez sur le lien affiché dans la colonne Message pour l'alerte Data Failure.
ii) Cliquez sur Clear Open Alert.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 129

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Exercice 16-3 : Récupérer la base suite à la perte d'un fichier du
tablespace SYSTEM
Dans cet exercice, vous allez provoquer la perte d'un fichier du tablespace SYSTEM, puis
effectuer la procédure de récupération appropriée.
1) Pourquoi la récupération suite à la perte d'un fichier de données système ou d'un
fichier de données appartenant à un tablespace d'annulation est-elle différente de la
récupération d'un fichier de données d'application ?

Réponse : La récupération des fichiers de données système ou d'annulation doit être


effectuée base fermée, tandis que la récupération d'un fichier de données d'application
peut être effectuée base ouverte, celle-ci étant disponible pour les utilisateurs.
2) En tant qu'utilisateur du système d'exploitation oracle, exécutez le script

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lab_16_03_02.sh à partir de votre répertoire labs. Ce script supprime le fichier
de données système.
$ ./lab_16_03_02.sh
3) Dans Enterprise Manager, consultez la page d'accueil Database. Si un message vous
signale que la connexion a été refusée, essayez d'entrer à nouveau l'URL de la page
d'accueil d'EM dans le navigateur. Il se peut que plusieurs tentatives soient
nécessaires.

4) La base de données est arrêtée. Essayez de la démarrer.


a) Cliquez sur Startup pour essayer de l'ouvrir.
b) Dans la page "Startup/Shutdown:Specify Host and Target Database Credentials",
entrez oracle et oracle comme valeurs Host Credentials. Cliquez sur OK.
c) Dans la page Select Startup Type, conservez la sélection par défaut et cliquez
sur OK.
d) Dans la page Startup/Shutdown: Confirmation, cliquez sur Yes.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 130

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Exercice 16-3 : Récupérer la base suite à la perte d'un fichier du
tablespace SYSTEM (suite)
e) Un message Srvctl Error signale qu'il est impossible d'identifier le fichier de
données 1. Cliquez sur l'onglet Database pour retourner à la page d'accueil de la
base de données.

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5) Cliquez sur Perform Recovery.
a) Entrez deux fois oracle sous Host Credentials, puis cliquez sur Continue.
b) Votre base de données est actuellement hors service et vous devez la démarrer
avec l'état MOUNTED pour effectuer la récupération. Cliquez sur le lien Start up
the Database.
i) Vous êtes invité à fournir les informations d'identification et de connexion
pour l'hôte. Entrez oracle comme nom utilisateur et comme mot de passe,
puis cliquez sur OK.
ii) Dans la page Select Startup Type, conservez la sélection par défaut et cliquez
sur OK.
iii) Dans la boîte de dialogue Startup/Shutdown: Confirmation, cliquez sur
Advanced Options.
iv) Sélectionnez Mount the database pour Startup mode et cliquez sur OK.
v) De retour dans la boîte de dialogue Startup/Shutdown: Confirmation, cliquez
sur Yes.
vi) Le démarrage a réussi. Cliquez sur l'onglet Database.
c) Notez que la base de données présente désormais le statut Mounted. Cliquez à
nouveau sur Perform Recovery.
d) Dans la section Host Credentials, entrez oracle dans les champs Username et
Password. Cliquez ensuite sur Continue.
e) Dans la page Database Login, entrez dba1 dans le champ Username,
oracle_4U dans le champ Password et SYSDBA dans le champ Connect As.
Cliquez ensuite sur Login.
f) Dans la page Perform Recovery, cliquez sur Advise and Repair.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 131

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Exercice 16-3 : Récupérer la base suite à la perte d'un fichier du
tablespace SYSTEM (suite)
g) Dans la page View and Manage Failures, examinez la description du problème.
Assurez-vous que le problème de fichier de données système est sélectionné et
cliquez sur Advise.
h) Dans la page Manual Actions, cliquez sur Continue with Advise.
i) Dans la page Recovery Advice, examinez le script RMAN et cliquez sur
Continue.
j) Dans la page Review, cliquez sur Execute Recovery.
k) Une page de suivi du traitement s'affiche, suivie de la page Recovery Results. La
durée de cette opération dépend de vos ressources système. L'opération de
récupération devrait aboutir.

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l) Dans la page Recovery Results, cliquez sur Open Database.
m) Lorsque vous recevez le message indiquant que l'opération a réussi, cliquez sur
OK.
n) Vérifiez que la base de données est ouverte et fonctionne normalement :
connectez-vous à Enterprise Manager comme utilisateur DBA1 avec le rôle
SYSDBA et examinez la page d'accueil de la base.
o) La récupération étant terminée, effacez l'alerte.
i) Cliquez sur le lien affiché dans la colonne Message pour l'alerte Data Failure.
ii) Cliquez sur Clear Open Alert.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 132

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Exercice 16-4 : Récupérer la base suite à la perte d'un fichier de
contrôle
Dans cet exercice, vous allez provoquer la perte d'un fichier de contrôle. Pour vous
familiariser avec l'environnement de la ligne de commande RMAN, vous procéderez à
une récupération manuelle.
1) Dans une fenêtre de terminal, exécutez en tant qu'utilisateur oracle le script
lab_16_04_01.sh qui supprime un de vos fichiers de contrôle.
$./lab_16_04_01.sh

2) Le support technique commence à recevoir des appels indiquant que la base de


données semble hors service. Résolvez le problème et procédez si nécessaire à une
récupération. Utilisez SRVCTL pour essayer de démarrer la base.

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a) Dans une fenêtre de terminal, assurez-vous à l'aide de la commande oraenv que
votre environnement est configuré pour votre base de données orcl.
b) Exécutez la commande SRVCTL suivante pour essayer de démarrer la base :
srvctl start database –d orcl –o open
$ srvctl start database -d orcl -o open
PRCR-1079 : Failed to start resource ora.orcl.db
ORA-00205: error in identifying control file, check alert log
for more info
CRS-2674: Start of 'ora.orcl.db' on 'edrsr12p1' failed
c) Notez l'erreur signalant l'impossibilité d'identifier le fichier de contrôle.
3) Etudiez le problème de plus près en examinant le fichier d'alertes
alert_orcl.log (situé dans le répertoire
/u01/app/oracle/diag/rdbms/orcl/orcl/trace). Dans une fenêtre de
terminal, entrez la commande suivante pour afficher les 20 dernières lignes du fichier
d'alertes.
$ tail -20 alert_orcl.log
ALTER DATABASE MOUNT
NOTE: Loaded library:
/opt/oracle/extapi/32/asm/orcl/1/libasm.so
NOTE: Loaded library: System
SUCCESS: diskgroup DATA was mounted
SUCCESS: diskgroup FRA was mounted
ORA-00210: cannot open the specified control file
ORA-00202: control file:
'+FRA/orcl/controlfile/current.256.695531381'
ORA-17503: ksfdopn:2 Failed to open file
+FRA/orcl/controlfile/current.256.695531381
ORA-15012: ASM file
'+FRA/orcl/controlfile/current.256.695531381' does not exist
NOTE: dependency between database orcl and diskgroup resource
ora.DATA.dg is established
Sat Aug 22 03:18:05 2009
Checker run found 1 new persistent data failures

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 133

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Exercice 16-4 : Récupérer la base suite à la perte d'un fichier de
contrôle (suite)
ORA-205 signalled during: ALTER DATABASE MOUNT...
Sat Aug 22 03:18:08 2009
Shutting down instance (abort)
License high water mark = 1
USER (ospid: 17765): terminating the instance
Instance terminated by USER, pid = 17765
Sat Aug 22 03:18:08 2009
Instance shutdown complete
$

4) Vous constatez que le fichier de contrôle manquant est celui stocké dans votre groupe
de disques +FRA. Vous savez que le groupe de disques +DATA contient également
un fichier de contrôle. Vous pouvez donc restaurer la copie située dans le groupe
+DATA, mais vous devez connaître le nom du fichier. Utilisez asmcmd pour

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déterminer le nom du fichier de contrôle stocké dans le groupe de disques +DATA.
a) Ouvrez une fenêtre de terminal en tant qu'utilisateur et configurez votre
environnement pour l'instance +ASM à l'aide de l'utilitaire oraenv.
$ . oraenv
ORACLE_SID = [oracle] ? +ASM
The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/grid is
/u01/app/oracle

b) Démarrez asmcmd et utilisez la commande ls pour déterminer le nom du fichier


de contrôle dans le groupe de disques +DATA (ce fichier se trouve dans le
répertoire +data/orcl/controlfile).
$ asmcmd
ASMCMD> ls +data/orcl/controlfile
Current.260.695209463
ASMCMD>
c) Relevez le nom du fichier et son chemin complet car vous aurez besoin de ces
informations dans l'étape suivante.
5) Dans une autre fenêtre de terminal, connectez-vous à RMAN et exécutez la
commande suivante pour restaurer le fichier de contrôle :
restore controlfile from
'+DATA/orcl/controlfile/yourcontrolfilename';
Montez et ouvrez la base de données.
a) Configurez votre environnement pour la base de données orcl à l'aide de
l'utilitaire oraenv, puis connectez-vous à RMAN.
$ . oraenv
ORACLE_SID = [oracle] ? orcl
The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1 is
/u01/app/oracle
$ rman target /

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 134

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Exercice 16-4 : Récupérer la base suite à la perte d'un fichier de
contrôle (suite)

Recovery Manager: Release 11.2.0.2.0 - Production on Sat Aug


22 03:27:29 2009

Copyright (c) 1982, 2009, Oracle and/or its affiliates. All


rights reserved.

connected to target database (not started)

RMAN>

b) Vous devez commencer par placer votre base de données en mode NOMOUNT.
RMAN > startup nomount

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Oracle instance started
Total System Global Area 577511424 bytes
Fixed Size 1337984 bytes
Variable Size 469763456 bytes
Database Buffers 100663296 bytes
Redo Buffers 5746688 bytes
RMAN>
c) Restaurez le fichier de contrôle à partir de celui disponible dans le groupe de
disques +DATA.
Remarque : Utilisez le nom de fichier noté à l'étape 4.
RMAN> restore controlfile from
'+DATA/orcl/controlfile/current.260.695209463';
Starting restore at 22-AUG-09
using target database control file instead of recovery catalog
allocated channel: ORA_DISK_1
channel ORA_DISK_1: SID=23 device type=DISK
channel ORA_DISK_1: copied control file copy
output file name=+DATA/orcl/controlfile/current.260.695209463
output file name=+FRA/orcl/controlfile/current.256.695532623
Finished restore at 22-AUG-09
RMAN>
d) Montez la base de données.
RMAN> alter database mount;

database mounted
e) Ouvrez la base de données.
RMAN> alter database open;

database open

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 135

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Exercice 16-4 : Récupérer la base suite à la perte d'un fichier de
contrôle (suite)
6) Ouvrez une fenêtre de navigateur et connectez-vous à Enterprise Manager en tant
qu'utilisateur dba1. Dans la page d'accueil de la base de données, vérifiez que votre
base est de nouveau en service.
7) Quittez toutes les sessions et fermez toutes les fenêtres.

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 136

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Exercices - Chapitre 17
Contexte : Vous avez récemment reçu un certain nombre de questions concernant le
schéma HR. Afin de les analyser sans perturber les activités quotidiennes, vous décidez
d'utiliser l'assistant Data Pump Wizard pour exporter le schéma HR vers un fichier.
Lorsque vous effectuez l'export, vous n'êtes pas certain de la base de données dans
laquelle vous importerez ce schéma.

Vous apprenez finalement qu'orcl est la seule base de données pour laquelle la direction
approuve un import. Vous effectuez donc l'import à l'aide de Data Pump Wizard, en
mettant le schéma HR en correspondance avec le schéma DBA1.

Vous recevez ensuite deux demandes de chargement de données pour lesquelles vous
décidez d'utiliser SQL*Loader.

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 137

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Exercice 17-1 : Déplacer des données à l'aide de Data Pump
Dans cet exercice, vous commencez par accorder à l'utilisateur DBA1 les privilèges
permettant d'accéder au répertoire DATA_PUMP_DIR. Vous exportez ensuite le schéma
HR en vue de pouvoir ensuite importer les tables qui vous intéressent dans le schéma
DBA1. Dans le cadre de cet exercice, vous importerez uniquement la table EMPLOYEES.
1) Vous devez tout d'abord accorder à l'utilisateur DBA1 les privilèges appropriés sur le
répertoire DATA_PUMP_DIR et créer les utilisateurs et les rôles nécessaires pour cet
exercice. Il existe un script qui effectue toutes ces étapes de configuration de votre
environnement.
a) Examinez le script lab_17_01_01.sql qui accorde des privilèges sur le
répertoire DATA_PUMP_DIR à l'utilisateur DBA1 et effectue d'autres tâches de
configuration de votre environnement. Pour cela, exécutez la commande suivante
à partir de votre répertoire labs :

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$ cat lab_17_01_01.sql

b) Le script lab_17_01_01.sh appelle le script lab_17_01_01.sql.


Exécutez à présent le script lab_17_01_01.sh :
$ ./lab_17_01_01.sh
Create HR_TEST tablespace, HR_TEST_ROLE role, the HR_TEST
users

Tablespace created.

User created.

Role created.

Grant succeeded.

Grant succeeded.

Table altered.

Grant succeeded.

Grant succeeded.

You may now login as: hr_test/oracle_4U


spool off
$

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 138

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Exercice 17-1 : Déplacer des données à l'aide de Data Pump
(suite)
2) Connectez-vous à Enterprise Manager en tant qu'utilisateur DBA1 avec le rôle
Normal et exportez le schéma HR.
a) Appelez Enterprise Manager en tant qu'utilisateur DBA1 avec le rôle Normal
pour la base de données orcl. La valeur du paramètre Connect As doit être
Normal.
b) Sélectionnez Data Movement > Move Row Data > Export to Export Files.
c) Sélectionnez Schemas, entrez oracle sous Username et sous Password,
sélectionnez Save as Preferred Credential, puis cliquez sur Continue.
d) Dans la page Export: Schemas, cliquez sur Add, sélectionnez le schéma HR, puis
cliquez sur le bouton Select.

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e) Vous constatez que le schéma HR figure désormais dans la liste. Cliquez sur
Next.

f) Dans la page Export: Options, sélectionnez DATA_PUMP_DIR dans la liste


déroulante Directory Objects, puis entrez hrexp.log dans le champ Log File.

g) Examinez les options avancées (Advanced Options) sans les modifier, puis
cliquez sur Next.
h) Dans la page Export: Files, sélectionnez DATA_PUMP_DIR dans la liste
déroulante Directory Object, entrez HREXP%U.DMP sous File Name, puis cliquez
sur Next.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 139

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Exercice 17-1 : Déplacer des données à l'aide de Data Pump
(suite)
i) Dans la page Export: Schedule, entrez hrexp dans le champ Job Name et
Export HR schema dans le champ Description, acceptez l'option
Immediately dans la zone Start, puis cliquez sur Next.

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j) Dans la page Export: Review, cliquez sur Show PL/SQL et examinez l'instruction
PL/SQL que l'assistant Export Wizard vous a aidé à créer.
k) Cliquez sur Submit Job pour exécuter le travail.
l) Cliquez sur le lien du travail HREXP pour en surveiller la progression. Actualisez
la page de navigateur jusqu'à ce que vous constatiez que le travail s'est déroulé
correctement, puis passez à l'étape suivante.

3) A présent, importez la table EMPLOYEES du schéma HR exporté dans le schéma


DBA1. Pour vous faire une idée de l'interface en mode ligne de commande, vous
pouvez utiliser impdp à partir de la ligne de commande pour importer la table
EMPLOYEES dans le schéma utilisateur DBA1.
a) Assurez-vous que votre environnement est configuré pour la base de données
orcl en exécutant oraenv.
$ . oraenv
ORACLE_SID = [oracle] ? orcl
The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1 is
/u01/app/oracle
$

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 140

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Exercice 17-1 : Déplacer des données à l'aide de Data Pump
(suite)
b) Entrez toute la ligne de commande ci-après, en prenant soin de n'appuyer sur
[Entrée] qu'à la fin :
impdp dba1/oracle_4U DIRECTORY=data_pump_dir
DUMPFILE=HREXP01.DMP REMAP_SCHEMA=hr:dba1
TABLES=hr.employees LOGFILE=empimport.log
$ impdp dba1/oracle_4U DIRECTORY=data_pump_dir
DUMPFILE=HREXP01.DMP REMAP_SCHEMA=hr:dba1 TABLES=hr.employees
LOGFILE=empimport.log

Import: Release 11.2.0.1.0 - Production on Thu Jul 16 00:46:18


2009

Copyright (c) 1982, 2009, Oracle and/or its affiliates. All

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rights reserved.

Connected to: Oracle Database 11g Enterprise Edition Release


11.2.0.1.0 - Production
With the Partitioning, Automatic Storage Management, OLAP,
Data Mining
and Real Application Testing options
Master table "DBA1"."SYS_IMPORT_TABLE_01" successfully
loaded/unloaded
Starting "DBA1"."SYS_IMPORT_TABLE_01": dba1/********
DIRECTORY=data_pump_dir DUMPFILE=HREXP01.DMP
REMAP_SCHEMA=hr:dba1 TABLES=hr.employees LOGFILE=empimport.log
Processing object type SCHEMA_EXPORT/TABLE/TABLE
Processing object type SCHEMA_EXPORT/TABLE/TABLE_DATA
. . imported "DBA1"."EMPLOYEES" 16.81
KB 107 rows
Processing object type
SCHEMA_EXPORT/TABLE/GRANT/OWNER_GRANT/OBJECT_GRANT
Processing object type SCHEMA_EXPORT/TABLE/INDEX/INDEX
Processing object type
SCHEMA_EXPORT/TABLE/CONSTRAINT/CONSTRAINT
Processing object type
SCHEMA_EXPORT/TABLE/INDEX/STATISTICS/INDEX_STATISTICS
Processing object type SCHEMA_EXPORT/TABLE/COMMENT
Processing object type
SCHEMA_EXPORT/TABLE/CONSTRAINT/REF_CONSTRAINT
ORA-39083: Object type REF_CONSTRAINT failed to create with
error:
ORA-00942: table or view does not exist
Failing sql is:
ALTER TABLE "DBA1"."EMPLOYEES" ADD CONSTRAINT "EMP_JOB_FK"
FOREIGN KEY ("JOB_ID") REFERENCES "DBA1"."JOBS" ("JOB_ID")
ENABLE

ORA-39083: Object type REF_CONSTRAINT failed to create with


error:
ORA-00942: table or view does not exist

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 141

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Exercice 17-1 : Déplacer des données à l'aide de Data Pump
(suite)
Failing sql is:
ALTER TABLE "DBA1"."EMPLOYEES" ADD CONSTRAINT "EMP_DEPT_FK"
FOREIGN KEY ("DEPARTMENT_ID") REFERENCES "DBA1"."DEPARTMENTS"
("DEPARTMENT_ID") ENABLE

Processing object type SCHEMA_EXPORT/TABLE/TRIGGER


ORA-39082: Object type TRIGGER:"DBA1"."SECURE_EMPLOYEES"
created with compilation warnings
ORA-39082: Object type TRIGGER:"DBA1"."SECURE_EMPLOYEES"
created with compilation warnings
ORA-39082: Object type TRIGGER:"DBA1"."UPDATE_JOB_HISTORY"
created with compilation warnings
ORA-39082: Object type TRIGGER:"DBA1"."UPDATE_JOB_HISTORY"
created with compilation warnings

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Processing object type
SCHEMA_EXPORT/TABLE/STATISTICS/TABLE_STATISTICS
Job "DBA1"."SYS_IMPORT_TABLE_01" completed with 6 error(s) at
00:46:45
Remarque : Vous risquez d'obtenir des messages d'erreur relatifs à des contraintes et
à des déclencheurs non créés, puisque seule la table EMPLOYEES a été importée (sans
les autres objets du schéma). Ces erreurs ne sont pas inattendues.
c) Vous pouvez également vérifier que l'import a réussi en consultant le fichier
journal.
$ cat /u01/app/oracle/admin/orcl/dpdump/empimport.log

4) Vérifiez que la table a été chargée dans le schéma DBA1 en vous connectant à
SQL*Plus en tant qu'utilisateur DBA1 et en sélectionnant des données de la table
EMPLOYEES.
a) Connectez-vous à SQL*Plus en tant qu'utilisateur DBA1.
Remarque : N'oubliez pas d'appeler oraenv pour définir la base de données
orcl comme environnement si vous ne l'avez pas déjà fait dans la fenêtre de
terminal.
$ sqlplus dba1

SQL*Plus: Release 11.1.0.6.0 - Production on Sun Aug 31


16:54:32 2008
Copyright (c) 1982, 2007, Oracle. All rights reserved.
Enter Password:
Connected to:
Oracle Database 11g Enterprise Edition Release 11.1.0.6.0 -
Production
With the Partitioning, OLAP, Data Mining and Real Application
Testing options
SQL>

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 142

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Exercice 17-1 : Déplacer des données à l'aide de Data Pump
(suite)
b) Pour vérifier l'import, demandez le nombre de lignes de la table EMPLOYEES du
schéma DBA1.

SQL> select count(*) from employees;

COUNT(*)
----------
107
SQL>

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 143

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Exercice 17-2 : Charger des données à l'aide de SQL*Loader
Dans cet exercice, vous devez charger des données dans la table PRODUCT_MASTER à
l'aide de SQL*Loader via Enterprise Manager Database Control. Les fichiers de données
et de contrôle sont fournis.
1) En tant qu'utilisateur DBA1, utilisez Enterprise Manager pour charger le fichier de
données lab_17_02_01.dat. Ce fichier contient les lignes de données destinées à
la table PRODUCT_MASTER. Le fichier de contrôle pour le chargement est
lab_17_02_01.ctl.
Vous pouvez éventuellement afficher les fichiers lab_17_02_01.dat et
lab_17_02_01.ctl pour examiner leur structure avant de continuer.
a) Appelez Enterprise Manager en tant qu'utilisateur DBA1 avec le rôle Normal
pour la base de données orcl.

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b) Sélectionnez Data Movement > Move Row Data > Load Data from User Files.
c) Sélectionnez Use Existing Control File. Si nécessaire, entrez oracle sous
Username et sous Password, puis sélectionnez Save as Preferred Credential et
cliquez sur Continue.

d) Dans la page Load Data: Control File, entrez


/home/oracle/labs/lab_17_02_01.ctl comme nom et chemin du
fichier de contrôle, ou utilisez l'icône représentant une torche pour sélectionner ce
fichier de contrôle. Cliquez sur Next.

e) Dans la page Load Data: Data File, sélectionnez Provide the full path and name
on the database server machine et entrez
/home/oracle/labs/lab_17_02_01.dat comme nom et chemin du
fichier de données, ou utilisez l'icône représentant une torche pour sélectionner ce
fichier de données. Cliquez sur Next.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 144

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Exercice 17-2 : Charger des données à l'aide de SQL*Loader
(suite)
f) Dans la page Load Data: Load Method, sélectionnez Conventional Path, puis
cliquez sur Next.

g) Dans la page Load Data: Options, acceptez toutes les valeurs par défaut, mais
entrez /home/oracle/labs/lab_17_02_01.log comme nom et chemin
du fichier journal. Examinez les options avancées si vous le souhaitez, mais sans

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les modifier, puis cliquez sur Next.

h) Dans la page Load Data: Schedule, entrez lab_17_02_01 dans le champ Job
Name et Load data into the PRODUCT_MASTER table dans le champ
Description. Lancez le travail immédiatement, puis cliquez sur Next.

i) Dans la page Load Data: Review, examinez les paramètres et informations de


chargement, puis cliquez sur Submit Job.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 145

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Exercice 17-2 : Charger des données à l'aide de SQL*Loader
(suite)
j) Cliquez sur le lien du travail LAB_17_02_01 pour en surveiller la progression.
Assurez-vous que le travail s'est terminé avec succès avant de passer à l'étape suivante.

k) Vérifiez les résultats en consultant le fichier lab_17_02_01.log dans le


répertoire /home/oracle/labs.

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2) En tant qu'utilisateur INVENTORY, chargez les données dans la table
PRODUCT_ON_HAND à l'aide de la ligne de commande SQL*Loader. Le fichier
lab_17_02_02.dat contient les lignes de données destinées à la table
PRODUCT_ON_HAND. Le fichier de contrôle pour le chargement est
lab_17_02_02.ctl.
Vous pouvez éventuellement afficher les fichiers lab_17_02_02.dat et
lab_17_02_02.ctl pour examiner leur structure avant de continuer.
a) Ouvrez une fenêtre de terminal et accédez au répertoire /home/oracle/labs.
b) Assurez-vous que votre environnement est configuré pour la base de données
orcl en exécutant oraenv.
$ . oraenv
ORACLE_SID = [oracle] ? orcl
The Oracle base for
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1 is
/u01/app/oracle
$
c) Entrez la commande SQL*Loader suivante (n'appuyez sur [Entrée] qu'à la fin) :
sqlldr userid=inventory/oracle_4U control=lab_17_02_02.ctl
log=lab_17_02_02.log data=lab_17_02_02.dat

$ sqlldr userid=inventory/oracle_4U control=lab_17_02_02.ctl


log=lab_17_02_02.log data=lab_17_02_02.dat
SQL*Loader: Release 11.2.0.1.0 - Production on Tue Jul 14
14:56:44 2009
Copyright (c) 1982, 2009, Oracle and/or its affiliates. All
rights reserved.
Commit point reached - logical record count 64
Commit point reached - logical record count 83
$
d) Vérifiez les résultats en consultant le fichier lab_17_02_02.log dans le
répertoire /home/oracle/labs.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 146

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Exercices - Chapitre 18

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 147

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Exercice 18-1 : Effectuer des recherches sur une erreur critique
Cet exercice consiste à effectuer des recherches sur une erreur critique. Un bloc de
données a été endommagé. Vous allez utiliser la fonction Support Workbench, les
vérificateurs d'intégrité de la base et les fonctions de conseil d'Enterprise Manager pour
résoudre le problème.
1) Configurez la base de données pour l'exercice. Il s'agit de créer un tablespace et
d'effectuer une sauvegarde de ce dernier. Pour ce faire, exécutez le script
lab_18_01_01.sh. Tous les scripts nécessaires à cet exercice se trouvent dans le
répertoire $HOME/labs.
$ cd $HOME/labs
$ ./lab_18_01_01.sh
2) Afin de créer l'erreur critique requise pour cet exercice, exécutez le script
lab_18_01_02.sql à partir de SQL*Plus en étant connecté en tant que sysdba.

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Ce script vous demande d'indiquer un numéro de bloc. Entrez celui proposé.
Examinez le message d'erreur qui, dans notre scénario, peut être vu par n'importe quel
utilisateur et non signalé immédiatement au DBA.
Remarque : N'oubliez pas d'appeler oraenv pour définir la base de données orcl
comme environnement si vous ne l'avez pas déjà fait dans la fenêtre de terminal.
$ sqlplus / as sysdba

SQL*Plus: Release 11.2.0.1.0 Production on Wed Jul 15 01:30:42


2009

Copyright (c) 1982, 2009, Oracle. All rights reserved.

Connected to:
Oracle Database 11g Enterprise Edition Release 11.2.0.1.0 -
Production
With the Partitioning, Automatic Storage Management, OLAP,
Data Mining
and Real Application Testing options

SQL> @lab_18_01_02.sql
Connected. Notez ce numéro de
bloc. Il vous sera
FILE_NO BLOCK_NO demandé
---------- ---------- ultérieurement.
9 129

System altered.

'Enter Block number when prompted'


Enter value for block_no: 129
0+1 records in
0+1 records out
80 bytes (80 B) copied, 6.693e-05 seconds, 1.2 MB/s

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 148

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Exercice 18-1 : Effectuer des recherches sur une erreur critique
(suite)
0+1 records in
0+1 records out
79 bytes (79 B) copied, 6.3419e-05 seconds, 1.2 MB/s

SELECT * from js.jscopy


*
ERROR at line 1:
ORA-01578: ORACLE data block corrupted (file # 9, block # 129)
ORA-01110: data file 9:
'/u01/app/oracle/oradata/orcl/jstbs01.dbf'

Disconnected from Oracle Database 11g Enterprise Edition


Release 11.2.0.1.0 - Production

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With the Partitioning, Automatic Storage Management, OLAP,
Data Mining
and Real Application Testing options
$
3) Connectez-vous à Enterprise Manager en tant qu'utilisateur DBA1 avec le rôle
SYSDBA, puis examinez les alertes affichées dans la page d'accueil de la base de
données et consultez les détails les concernant. Lorsque l'incident apparaît, cliquez
sur le lien Active Incidents.
Vous devez voir une ou plusieurs alertes critiques. En fonction de la chronologie,
vous pouvez obtenir une ou plusieurs des alertes suivantes :

Au départ, le nombre d'incidents actifs ne correspond pas forcément au nombre


d'alertes. Cliquez sur le lien Active Incidents.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 149

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Exercice 18-1 : Effectuer des recherches sur une erreur critique
(suite)
4) Examinez les informations relatives au problème.
Dans l'onglet Problems de la page Support Workbench, développez le problème dont
la description est ORA 1578.
Cliquez sur le numéro de l'incident le plus récent (premier de la liste).
5) Examinez la page Incident Details. Remarquez que le texte SQL de l'instruction qui a
généré l'erreur est indiqué, ainsi que des informations relatives à la session. En
fonction de l'erreur, ces informations peuvent être très utiles pour déterminer une
solution.
6) Consultez un fichier trace.
Cliquez sur l'icône représentant des lunettes pour afficher le premier fichier trace
répertorié. Si vous êtes invité à fournir les informations d'identification et de

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connexion pour l'hôte (Host Login Credentials), entrez oracle comme nom
utilisateur et mot de passe, puis cliquez sur Continue.
Remarque : Si aucun fichier trace n'est répertorié, attendez un instant. Le fichier
trace peut n'apparaître dans la liste qu'au bout de quelques minutes.
Vous pouvez examiner le fichier trace dans la page Contents. Il est possible de
développer ou de réduire les sections de ce fichier. Le fichier trace est destiné à
l'usage interne d'Oracle. Cliquez sur OK.
Dans la liste de chemins de navigation figurant en haut de la page, cliquez sur le lien
Support Workbench pour revenir à la page du même nom.
7) Déterminez la manière de résoudre le problème.
Cliquez sur l'ID du problème ORA 1578.

8) Lorsque les détails relatifs au problème s'affichent, observez que la section


Investigate and Resolve comprend deux onglets qui vous permettent de poursuivre la
résolution vous-même ou de faire appel au Support technique Oracle.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 150

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Exercice 18-1 : Effectuer des recherches sur une erreur critique
(suite)

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9) Obtenez les informations du vérificateur. Dans la liste de chemins de navigation
figurant en haut de la page, cliquez sur le lien Support Workbench pour revenir à la
page du même nom. Cliquez sur l'onglet Checker Findings.

10) Obtenez des conseils. Dans la section Data Corruption de l'onglet Checker Findings,
sélectionnez le résultat dont la description commence par "Datafile …" et cliquez sur
Launch Recovery Advisor.

Remarque : Le numéro du fichier de données fourni dans la description est identique


au numéro FILE_NO affiché pendant l'exécution du script lab_18_01_02.sql à
l'étape 2.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 151

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Exercice 18-1 : Effectuer des recherches sur une erreur critique
(suite)
a) Dans la page View and Manage Failures, vérifiez que le problème "Datafile …"
est sélectionné et cliquez sur Advise.
b) La page Recovery Advice recommande un script RMAN. Ce script va effectuer
une restauration physique au niveau bloc. Cliquez sur Continue.
c) La page Review indique les défaillances qui vont être résolues. Cliquez sur
Submit Recovery Job.
d) Il se peut que la page Processing s'affiche brièvement, suivie de la page Job
Activity. Le statut du travail est Running. Après un certain délai, actualisez la
page. Recommencez l'opération jusqu'à ce qu'elle indique No Jobs Found.
11) Ouvrez une fenêtre de terminal et connectez-vous à SQL*Plus en tant qu'utilisateur
js avec le mot de passe oracle_4U. Sélectionnez les enregistrements de la table

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jscopy et vérifiez l'absence d'erreur de corruption de bloc.
Remarque : N'oubliez pas d'appeler oraenv pour définir la base de données orcl
comme environnement si vous ne l'avez pas déjà fait dans la fenêtre de terminal.
SQL> select * from jscopy;

EMPLOYEE_ID FIRST_NAME LAST_NAME


----------- -------------------- -------------------------
EMAIL PHONE_NUMBER HIRE_DATE
JOB_ID SALARY
------------------------- -------------------- --------- -----
----- ----------
COMMISSION_PCT MANAGER_ID DEPARTMENT_ID
-------------- ---------- -------------
100 Steven King
SKING 515.123.4567 17-JUN-87
AD_PRES 24001
90

101 Neena Kochhar


NKOCHHAR 515.123.4568 21-SEP-89 AD_VP
17001
100 90
...
12) Lorsque vous avez terminé, exécutez le script lab_18_01_12.sh à partir du
répertoire $HOME/labs pour supprimer les objets créés dans cet exercice.
$ cd $HOME/labs
$ ./lab_18_01_12.sh

Oracle Database 11g : Administration Workshop I A - 152

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Annexe B
Commandes de base
de Linux et vi
___________________

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Commandes vi

Visual Interpreter/Editor (vi) est l'éditeur de texte le plus couramment utilisé pour l'environnement
UNIX. Bien que presque tout le monde se plaigne de sa syntaxe de commande peu maniable, il reste
le seul éditeur quasi systématiquement inclus avec chaque version du système d'exploitation UNIX et
Linux. Voici une liste non exhaustive des commandes vi disponibles.

L'éditeur vi offre deux modes : le mode ligne de commande (tout ce qui est tapé est considéré comme
une commande d'édition) et le mode de saisie (tout ce qui est tapé est considéré comme faisant partie
du fichier édité). Pour activer le mode de saisie, tapez a, A, i, I, o, O, c, C, s, S, r ou R. Pour revenir au
mode ligne de commande, utilisez la touche <Echap>. Pour accéder à l'éditeur vi à partir de
SQL*Plus, entrez la commande suivante :

SQL>define _editor=vi

Pour éditer un fichier à partir de l'invite SQL*Plus, tapez edit <filename> (appuyez sur Entrée). A
partir de l'invite de commande Linux, tapez vi <filename> (appuyez sur Entrée).

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Pour DEPLACER le curseur :

h - vers la gauche j - vers le bas k - vers le haut l - vers la droite

w - un mot en avant b - un mot en arrière e - fin du mot en cours

W, B ou E - identique à la version minuscule, mais ignore la ponctuation

0 (zéro) - début de la ligne en cours $ - fin de la ligne en cours

G - dernière ligne du fichier H - première ligne de l'écran

L - dernière ligne de l'écran M - ligne médiane de l'écran

/<string> - recherche avant de l'occurrence suivante de la chaîne <string>

?<string> - recherche arrière de l'occurrence suivante de la chaîne <string>


n - répéter la recherche précédente N - répéter la recherche précédente dans
la direction opposée
<ctrl> f - page suivante <ctrl> b - page précédente

Pour ANNULER des modifications :

u - annuler la modification la plus récente U - annuler la suppression de texte la plus récente


:e! - rééditer le fichier en cours sans enregistrer les modifications apportées depuis la dernière modification

Pour ENTRER du nouveau texte :

a - ajouter du texte après la position actuelle du curseur

A - ajouter du texte à la fin d'une ligne (saute jusqu'à la fin de la ligne et commence l'ajout)

c - changer d'objet C - passer de la position actuelle du curseur à


la fin de la ligne

i - insérer du texte avant la position actuelle du curseur I - insérer du texte au début d'une ligne
o - insérer une ligne vide SOUS la position actuelle du curseur
O - insérer une ligne vide AU-DESSUS de la position actuelle du curseur

Oracle Database 11g : Administration Workshop I B - 2


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r - remplacer le caractère à la position actuelle du curseur R - remplacer tous les caractères jusqu'à ce que
l'utilisateur appuie sur <Echap>
s - remplacer le caractère sous le curseur par du texte
:s/A/B/opt remplace la chaîne A par la chaîne B. %s/A/B/opt effectue un remplacement global.
Les options sont les suivantes : g (change toutes les occurrences c (confirmation avant chaque
de la ligne en cours) changement)

p (affiche les lignes modifiées) S - remplace la ligne entière


jusqu'à la fin

. <point> - répète la dernière n. <entier><point> répète n fois la


dernière
modification modification

Pour quitter le mode de saisie, appuyez sur <Echap>.

Pour SUPPRIMER du texte existant :

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x - supprimer le caractère situé immédiatement sous l'emplacement actuel du curseur
dd - supprimer la ligne entière où se trouve le curseur
dnd (où n est un entier) supprime n lignes à partir de la position actuelle du curseur.
dw - supprimer le mot en cours D - supprimer jusqu'à la fin de la ligne en cours
J - supprimer le retour chariot à la fin de la ligne en cours pour joindre la ligne et la suivante
<entier> J - joindre les <entier> lignes qui suivent

COPIER, COUPER et COLLER : vi utilise une mémoire tampon unique, dans laquelle est stocké le dernier
texte modifié ou supprimé. Ce texte peut être manipulé à l'aide des commandes suivantes :

Y - extraire une copie de la ligne en cours y <entier> - extraire une copie des <entier> lignes
suivantes

yw - extraire une copie du mot en cours yb - extraire une copie du mot précédent

p - placer le contenu de la mémoire tampon P - placer le contenu de la mémoire


après le curseur tampon avant le curseur

Reportez-vous également aux commandes s et S sous la section de saisie.

Pour ENREGISTRER les modifications dans un fichier du système d'exploitation :

zz - mettre fin au mode d'édition :w nom de fichier - enregistrer les modifications dans
le fichier indiqué

:wq - écrire toutes les modifications et quitter


le mode d'édition

Pour QUITTER sans enregistrer les modifications :

ZZ - mettre fin au mode d'édition :q! - fermer le fichier sans enregistrer les modifications

Oracle Database 11g : Administration Workshop I B - 3


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Commandes Linux de base

Cette annexe a pour seul objectif de servir de référence rapide pendant le cours. Pour plus
d'informations sur ces commandes, reportez-vous aux pages du manuel (man pages), à la
documentation Linux ou aux autres ouvrages de référence sur les commandes Linux.
Fichiers et Commandes Linux Description/Commentaires
répertoires
Accéder au man <command> Rechercher la commande <command>
manuel des dans le manuel.
commandes man –k <string> Afficher toutes les entrées du manuel
contenant la chaîne <string>.
man man Afficher la page du manuel concernant
man

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Informations info <command> Afficher les informations sur la
sur une commande. La commande info info
commande affiche un tutoriel sur le système de
documentation info.
Envoyer sur la cat <file> Concaténer et afficher (envoyer le
sortie standard fichier nommé vers l'écran du
terminal).
Répertorier les cat /etc/password
utilisateurs
Changer de cd <directory> Passer du répertoire en cours au
répertoire répertoire indiqué.
La commande cd sans paramètre
accède au répertoire $HOME.
Copier un cp <source_file> Copier un fichier source vers un fichier
fichier <destination_file> de destination.
Afficher un less <file> Afficher un fichier page par page. Il
fichier s'agit d'une version GNU de more ou
pg.
Afficher un more <file> Afficher un fichier page par page.
fichier Version BSD.
Afficher le ls <directory> Options : -l listing long, -R récursif, -a
contenu d'un afficher les fichiers cachés, -t tri par
répertoire heure, -r tri inversé. Le répertoire par
défaut est le répertoire en cours.
Créer un mkdir <directory> Créer un répertoire, par défaut dans le
répertoire répertoire en cours, le chemin complet
peut être indiqué.
Déplacer ou mv <old_file> <new_file> Changer le nom d'un fichier ou le
renommer un déplacer vers un autre répertoire.
fichier

Oracle Database 11g : Administration Workshop I B - 4


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Liste des ps Afficher la liste des processus.
processus ps -ef Afficher tous les processus du système
avec un listing complet. De
nombreuses options existent (voir la
page man correspondante).
Afficher le pwd Afficher le répertoire en cours sur
répertoire en stdout.
cours
Supprimer ou rm <file> La suppression d'un fichier sous Linux
effacer un est définitive. Les options –r récursif et
fichier –f forcer (y compris les sous-
répertoires) sont très dangereuses. La
commande rm est souvent définie
comme alias de rm –i, qui demande
une confirmation ("Are you sure ?").

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Créer un fichier touch <file> Créer un fichier.
vide
Nom de hostname Renvoyer le nom de l'ordinateur.
l'ordinateur
Adresse IP de host <machine_name> Interroger le serveur DNS (Domain
l'ordinateur Name Server) et renvoyer l'adresse IP
du nom de l'ordinateur.
Shell distant rsh <host> <command> Exécuter la commande <command>
sur l'hôte <host>. Rsh n'est pas sûr.
Utilisez plutôt ssh.
Shell distant ssh <host> Shell sécurisé, avec fonctionnalités
pour remplacer rsh, rcp, ftp et telnet.
Shell distant telnet <host> Démarrer une session de terminal sur
l'hôte <host>. Telnet n'est pas sûr.
Utilisez plutôt ssh.
Rechercher un grep <option> <pattern> <file> Rechercher une expression régulière
modèle dans un correspondant au modèle <pattern>
fichier dans le fichier <file> ou un flux, et
afficher la ligne contenant le modèle.
L'option –i (non-distinction
majuscules/minuscules) est
couramment utilisée.
L'entrée de la commande grep peut
provenir d'un fichier ou de stdin via
un caractère |, par exemple :
netstat –a| grep ESTABLISHED
Exécuter un . <script_file> Dans le shell bash, la commande "."
script force l'exécution du script dans le shell.
Le comportement normal consiste à
exécuter le script dans un shell enfant.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I B - 5


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Interpréteur awk Langage de macro permettant de
reformater ou interpréter la sortie.
Pour chaque ligne d'entrée, diverses
actions peuvent être effectuées.
Egalement appelé nawk (new awk).
Trier un fichier sort Trier les données provenant de stdin
ou du fichier indiqué comme
argument. De nombreuses options
permettent de trier selon une colonne,
un champ, etc. (voir la page man
correspondante).
Editeur de ligne sed Sed est un éditeur de ligne de
de commande commande, avec de nombreuses

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commandes et options, idéal pour
l'édition à partir d'un script shell.
Visual Editor vi <file> Editeur basé sur le terminal,
disponible sur chaque système Unix.
Linux offre vim, un éditeur vi
amélioré qui est un surensemble de
vi.
Editeur Gnu emacs <file> Editeur GPL avec des fonctionnalités
personnalisables étendues disponible
dans la plupart des distributions
UNIX et Linux.
Editeur WSIWIG gedit <file> Editeur plein écran, nécessitant X.
Disponible sous Gnome.
WSIWIG kate <file> Editeur plein écran, nécessitant X.
Disponible sous KDE.
Sortie de terminal stdout stdout (sortie standard) n'est pas une
commande mais un concept. La
plupart des commandes Linux
écrivent sur stdout par défaut, sauf
en cas de redirection.
Entrée de stdin stdin (entrée standard) n'est pas une
terminal (clavier) commande mais un concept. La
plupart des commandes Linux lisent à
partir de stdin par défaut, sauf en cas
de redirection.
Alias alias <command> <alias> Lorsqu'un utilisateur tape
<command>, exécuter <alias>. "rm"
et "rm –i" sont des alias courants. Ces
alias sont définis dans le fichier
.bashrc.
Afficher les set Afficher toutes les variables
variables de shell actuellement définies dans le shell.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I B - 6


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Afficher les printenv ou env Afficher toutes les variables
variables d'environnement. Une variable
d'environnement d'environnement a été "exportée" de
façon à être héritée par les processus
enfant.
Masque de umask –S u=rwx,g=rx,o=rx Définir les permissions par défaut
création de pour tous les fichiers créés par ce
fichier shell ou ses enfants. L'option –S
utilise la notation symbolique. La
notation numérique est obsolète.
Horloge xclock Client X qui affiche une horloge à
l'écran. Souvent utilisé pour tester le
système X windows.
Contrôle xhost Afficher le contrôle d'accès
d'accès X xhost +<Xclient> actuellement en place.

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Ajouter un Xclient autorisé à accéder
à l'affichage local. Si aucun
<Xclient> n'est indiqué, tous sont
autorisés.

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Administration Commandes Linux Description/Commentaires
système
Substituer un su - username Remplacer l'utilisateur qui effectue le
utilisateur travail. Cette commande peut être
employée par tout utilisateur pour
modifier l'ID utilisateur de la session
en cours. Les utilisateurs standard
doivent fournir un mot de passe, pas
les utilisateurs "root". Le paramètre
"-" est facultatif. Il régit les scripts de
connexion des nouveaux utilisateurs.
Privilèges root sudo L'utilisateur root peut définir les
limités utilisateurs autorisés à exécuter

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certaines commandes à sa place. Il
peut aussi indiquer s'ils ont besoin
d'un mot de passe. Cette commande
est utile pour permettre à des
utilisateurs particuliers d'exécuter
certaines commandes root telles que
le montage et le démontage de
volumes amovibles (comme les CD-
ROM).
Système de / Répertoire racine de l'arborescence
fichiers racine des répertoires système.
Répertoire /home Il s'agit généralement du répertoire
d'origine dans lequel sont placés tous les
répertoires d'origine des utilisateurs.
Par exemple : /home/oracle.
Répertoire Tmp /tmp Zone de stockage temporaire. Ne
stockez pas dans ce répertoire des
données que vous voulez conserver.
SA utilise souvent une tâche
programmée (Cron Job) pour
supprimer le contenu de cette zone
périodiquement.
Répertoire /boot Petite partition contenant les images
d'amorçage de noyau et les instructions de
chargement d'amorçage.
Répertoire des /var/log Emplacement de la plupart des
journaux fichiers journaux du système.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I B - 8


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Echantillons de /etc/inittab Les fichiers de configuration sont
fichiers de localisés par application. Tout fichier
configuration de configuration modifié après
l'installation doit être inclus dans la
sauvegarde.
Fichiers de mots /etc/passwd Le fichier /etc/passwd contient
de passe /etc/shadow
des informations utilisateur et doit
pouvoir être lu par d'autres. Même
avec des mots de passe cryptés, cela
peut constituer un problème de
sécurité. Le fichier /etc/shadow
contient les mots de passe cryptés et
n'est lisible que par l'utilisateur root.
Fichier de /etc/group Le fichier /etc/groups définit les
groupes groupes d'un serveur et les utilisateurs

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membres du groupe. Le groupe
principal d'un utilisateur est défini
dans le fichier /etc/passwd.
Fichier de /etc/X11/XF86Config Fichier qui définit les paramètres du
configuration X serveur X pour la carte vidéo, l'écran,
la souris et le clavier. Généralement
configuré à l'aide d'un outil fourni par
l'éditeur du système d'exploitation.
Planifier crontab -e Utilisez cette commande pour éditer
l'exécution le fichier crontab, afin de créer la
périodique d'une spécification devant être utilisée par
commande le démon cron.
Planifier /etc/anacrontab Editez le fichier afin de configurer
l'exécution d'un l'exécution d'un script selon une
script selon une fréquence particulière (voir man
fréquence anacrontab pour plus
particulière d'informations).
Planifier at <options> <TIME> Exécuter le travail indiqué par
l'exécution <options> à l'heure <TIME>.
unique d'une
commande
Planifier une batch <options> <TIME> Exécuter une commande lorsque la
commande charge moyenne tombe en deçà de
0,8, éventuellement après l'heure
<TIME>.
Monter un mount <opt> <dev> Monter un système de fichiers sur le
système de <mount_point> périphérique <per> au point de
fichiers montage <mount_point> avec les
options définies par <opt>.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I B - 9


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Démonter un umount <dev> Démonter le système de fichiers ou le
système de umount <mount_point> périphérique.
fichiers
Nombre 65535
maximum d'ID
utilisateur
Récupérer le mot {lilo} Procédure permettant de récupérer le
de passe root control-x mot de passe root s'il est perdu. Un
linux S
passwd root accès physique à l'ordinateur et à la
console système est nécessaire.
Commencez par redémarrer
l'ordinateur, puis pendant l'amorçage
{grub}
LILO, maintenez enfoncées les
c touches [Ctrl] + [x] afin d'obtenir une
kernel vmlinuz-2.4.9-13 single invite et ordonnez à LILO d'amorcer

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ro root=/dev/hda8 linux avec runlevel S.
initrd /initrd-2.4.9-13.img
boot La deuxième procédure utilise le
passwd root
programme d'installation GRUB.

Créer un nouvel useradd L'option –D seule affiche les valeurs


utilisateur par défaut.
–D avec d'autres options modifie les
options par défaut. En l'absence de
l'option –D, un groupe principal est
défini (par exemple –g).
Supprimer un userdel Supprimer un utilisateur et
utilisateur éventuellement tous les fichiers
appartenant à l'utilisateur.
Modifier un usermod Modifier les informations
compte utilisateur /etc/password.
Créer un nouveau groupadd –g définit l'ID de groupe (par défaut,
groupe il s'agit de la première valeur
disponible au-delà de 500).
Supprimer un groupdel Supprimer un groupe du système. Il
groupe n'est pas possible de supprimer un
groupe principal d'un utilisateur. Les
fichiers appartenant au groupe
supprimé doivent être changés
manuellement avec chown.
Modifier les init <runlevel> La commande init entraîne
niveaux l'évaluation des scripts rcN.d, pour le
d'exécution changement de niveau d'exécution.
init 6 force un redémarrage.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I B - 10


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Synchroniser les sync Forcer le cache de tampons et le
disques cache de page à écrire tous les
tampons "dirty" sur le disque. Utilisé
juste avant un redémarrage afin
d'éviter la corruption des disques.
Arrêter le shutdown <mode> <delay> Effectuer un arrêt flexible du système,
système Linux arrêter les processus, exécuter tous les
scripts d'arrêt et synchroniser les
disques. Les modes sont –r
(redémarrage) et –h (interruption). Le
délai est un paramètre obligatoire
(valeur en secondes ou "now"). Une
option permet également d'afficher un
message d'avertissement d'arrêt.
Journaux dmesg Afficher les messages d'amorçage. Ce

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d'erreurs journal est utilisé de façon circulaire
et des erreurs système peuvent écraser
les informations d'amorçage après un
certain temps.
Configuration IP /etc/sysconfig/network- Ce répertoire contient les scripts
réseau scripts/ exécutés dans le cadre de la séquence
d'amorçage par rc.sysinit.
Adresses IP des /etc/hosts Liste d'hôtes dont l'ordinateur a
hôtes connaissance. Doit inclure au
minimum le nom de l'ordinateur local
et l'IP de bouclage.
Commutateur de /etc/nsswitch.conf
service de noms
Paramètres sysctl -a | grep net Afficher tous les paramètres réseau
réseau définis pour le noyau.
Démon de routed
routage
Configuration des ifconfig -a Afficher tous les périphériques réseau
cartes réseau actuellement configurés.
Adresse IP modprobe ip_alias
secondaire ifconfig eth0:1 IP
Invite de /etc/issue Message que l'utilisateur voit lorsqu'il
connexion exécute l'invite de commande.
Liaison au /sbin/ypbind Rechercher un serveur NIS pour la
service YP/NIS résolution de noms et d'autres
services et s'y connecter.

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Informations sur modinfo <options> <module> Afficher des informations sur les
le module modules du noyau : –l affiche la
licence, –p les paramètres et –d la
description.
Répertorier les lsmod Afficher les modules actuellement
modules chargés.
Charger le insmod Charger un module chargeable.
module
Décharger un rmmod Décharger un module chargeable.
module
Installer un rpm -ivh package Installer (–i), en mode verbose (–v),
logiciel avec marques de progression dans la
hiérarchie (–h).
Désinstaller des rpm -e package Supprimer le package (–e). La
logiciels désinstallation n'a pas lieu s'il existe

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des dépendances.
Répertorier les rpm -qa Interroger (–q), tout (–a), répertorier
logiciels installés tous les packages installés.
Vérifier les rpm -V package Comparer les fichiers installés aux
logiciels installés informations de la base de données
rpm.
Répertorier tous rpm -ql package Répertorier tous les fichiers faisant
les fichiers partie d'un package.
Propriétaire du rpm -qf file Répertorier le package avec le nom de
package fichier complet.
Modèle uname -m Afficher le niveau de la CPU (par
d'ordinateur exemple i686).
Niveau du uname -r Afficher la version du noyau.
système
d'exploitation
Niveau runlevel Afficher le niveau d'exécution
d'exécution précédent et actuel.
Paramètres de sysctl -a Afficher les valeurs de tous les
noyau paramètres de noyau pouvant être
définis.
Nombre sysctl fs.file-max Affiche le nombre maximum de
maximum de descripteurs de fichier par processus.
descripteurs de
fichier
Valeurs des /etc/sysctl.conf Paramètres de noyau. Peuvent être
paramètres de réinitialisés au démarrage via leur
noyau définition dans ce fichier.
Modifier les echo <value> > </proc/<file> Ecrire la nouvelle valeur d'un
paramètres de paramètre de noyau dans le système
noyau de fichiers /proc.
echo 2147483648 Définir la taille maximale d'un
>/proc/sys/kernel/shmmax segment de mémoire partagée.

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Mémoire sysctl kernel.shmmax Afficher le paramètre shmmax.
partagée
Modifier les sysctl –w <parameter>=<value> Modifier un paramètre de noyau.
paramètres de L'option –p lit le paramètre à partir
noyau d'un fichier et le définit. Le fichier par
défaut est /etc/sysctl.conf.
Définir des ulimit <option> <value> Définir des limites sur un shell et les
limites de processus démarrés par le shell. Les
processus utilisateurs peuvent rendre les limites
plus restrictives. En général, seul
l'utilisateur root peut faire cela.
Certaines options nécessitent le
privilège root. Options : –u définit le
nombre de processus, –n le nombre
de pointeurs de fichier. Il existe de

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nombreux autres paramètres (voir
man bash).
Afficher les ulimit Sans options, ulimit affiche les limites
limites des actuelles.
processus
Communication ipcs <option> Options : –m utilisation actuelle de la
interprocessus mémoire partagée, –s utilisation de
(mémoire sémaphores, –a affiche tout.
partagée et
sémaphores)
Supprimer un ipcrm shm <shmid> Libérer le segment de mémoire
segment de partagée identifié par <shmid>.
mémoire partagée Cette opération est très dangereuse.
Vous pouvez endommager une base
de données qui utilise le segment
libéré.

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Performances Commandes Linux Description/Commentaires
du système
Contrôle des top Afficher les statistiques en temps réel
performances du système d'exploitation et des
processus.
Activité du sar–<options> <interval> Options : –q file d'attente CPU, –u
système <count> utilisation de la CPU, –d activité des
périphériques, –n activité des
périphériques réseau, etc. (voir page
man). L'intervalle est exprimé en
secondes.
Statistiques de vmstat <interval> <count> L'intervalle est exprimé en secondes.
la mémoire

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virtuelle
Statistiques de cat /proc/meminfo Afficher l'utilisation instantanée de la
la mémoire mémoire virtuelle.
virtuelle
Statistiques du cat /proc/slabinfo Statistiques d'allocation slab du
cache de noyau noyau : objets de cache fréquemment
alloués, tels que inode, dentries et
tampons d'E/S asynchrones.
Statistiques iostat <option> <interval> Options : –d activité des
relatives aux <count> périphériques, –c activité de la CPU,
E/S –x statistiques étendues d'activité des
disques. L'intervalle est exprimé en
secondes.
Statistiques mpstat –P <cpu> <count> Renvoie les statistiques CPU d'un
multiprocesseur <interval> processeur particulier ou de toutes les
CPU d'un système SMP.
RAM physique 64 Go (valeur théorique) Mémoire RAM physique maximale
pour le noyau (Red Hat Enterprise
Linux AS 21 ne prend en charge que
16 Go).
Dispositif de swapon -s Affiche les périphériques
swap actuellement en cours d'utilisation
pour le swap. Le périphérique de
swap est désigné de manière arbitraire
lors de l'installation. Il peut être
changé ou un périphérique peut être
ajouté. Plusieurs périphériques de
swap peuvent être créés. La taille de
swap doit être au minimum égale à la
mémoire physique.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I B - 14


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Afficher la free Afficher l'utilisation actuelle de la
taille de swap mémoire et de l'espace de swap.
Activer le swap swapon -a Activer le swap.
Blocs de disque df -k Valeur en Ko. Utilisez –m pour les
libres valeurs en Mo.
Répertorier les cat /proc/devices Répertorier les périphériques
périphériques connus du système par numéro de
version majeure et mineure.
Informations cat /proc/scsi/scsi0/sda/model Afficher les informations sur les
sur les disques disques SCSI.
cat /proc/ide/ide0/hda/model
Afficher les informations sur les
disques IDE.

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Afficher les netstat <options> Imprimer un large éventail de
statistiques statistiques réseau (voir man
réseau netstat).
Visualiseur xosview Affichage X des statistiques
graphique des récentes du système d'exploitation.
statistiques
système

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Informations Commandes Linux Description/Commentaires
diverses sur le
système
NFS exporté /etc/exports Fichier de base de données non pris en
charge sur NFS.
Répertoires montés /var/lib/nfs/xtab
sur client NFS
Taille maximale du 2 To avec blocs de 4 Ko Avec ext3 et ext2, autres variables.
système de fichiers (sur noyau 32 bits)
Taille maximale des 2 Go {blocs de La base de données Oracle peut créer des
fichiers 512 octets}  fichiers jusqu'à 64 Go avec une taille de
bloc de base de données de 16 Ko.
La taille des fichiers

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ne peut pas dépasser Le noyau 32 bits limite les périphériques
celle du système de 2 To {blocs de 4 Ko} de fichiers et de blocs à 2 To.
fichiers.
Taille de bloc du dumpe2fs <device> Transfère les propriétés du système de
système de fichiers fichiers vers stdout.
Table du système de /etc/fstab Monte ces systèmes de fichiers au
fichiers démarrage.
Types de système de ext3
fichiers du journal
reiserfs
Libellé de disque fdisk -l fdisk n'est pas disponible sur toutes les
distributions.
Etendre le système resize2fs L'extension d'un système de fichiers
de fichiers resize_reiserfs s'applique uniquement à certains types de
système de fichiers.
Sauvegarder tar cvf /dev/rst0 / Créer une sauvegarde de la racine/du
système de fichiers.
Restaurer tar xvf /dev/rst0 Restaurer la racine/le système de fichiers.
Préparer les /sbin/lilo Doit être exécuté après toute modification
volumes d'amorçage de /etc/lilo.conf afin de propager les
modifications vers le programme de
chargement d'amorçage.
Script de démarrage /etc/rc.d/rc
Noyau /boot/vmlinuz
Bits noyau getconf WORD_BIT Appeler POSIX afin d'obtenir des
informations sur le noyau. Il existe de
nombreuses autres variables en plus de
WORD_BIT.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I B - 16


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Amorçage {lilo} Utiliser la fonctionnalité LILO.
utilisateur unique control-x
linux S

{grub}
c Utiliser le programme d'installation
kernel vmlinuz-2.4.9- GRUB.
13 single ro root=/dev/hda8
initrd /initrd-2.4.9-
13.img
boot
Gestion des fuseaux /etc/sysconfig/clock
horaires
Répertoire SW /var/lib/rpm Répertoire dans lequel est conservée la
base de données rpm.
Périphériques /dev Ce répertoire contient tous les fichiers de
périphérique.

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CPU cat /proc/cpuinfo Affiche les informations statiques sur la
CPU.
Disque entier /dev/sda Nom du périphérique.
CDROM /dev/cdrom Généralement monté sur /mnt/cdrom.
Type de fichier CD- iso9660
ROM
Lecteur de /dev/fd0 Généralement monté sur
disquettes /mnt/floppy.
Informations /proc Le système de fichiers /proc est un
système système de fichiers basé sur la mémoire,
qui permet l'accès aux paramètres et
statistiques de noyau.
Compiler et lier un make –f <file> <command> Utiliser le fichier make <file> pour
exécutable déterminer quelles parties d'un grand
programme doivent être recompilées, et
exécuter les commandes requises pour
compiler, lier et préparer l'exécutable en
vue de son utilisation.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I B - 17


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LVM Linux (UnitedLinux) Description/Commentaires
LVM Logical Volume Manager Ce package n'est pas fourni par Red Hat
Enterprise Linux AS 2.1 et ne peut pas être
ajouté sans affecter le noyau. La prise en
charge du noyau est fournie dans United
Linux.
Concepts LVM logical extents Un volume logique est constitué d'extents
(ensembles de blocs contigus) logiques.
logical volume Ensemble d'extents logiques provenant d'un
groupe de volumes et présenté au système
d'exploitation en tant que volume de disque.
Ces extents peuvent être répartis sur
plusieurs disques.
volume group Ensemble de partitions de disque physique

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créées par fdisk ou un équivalent,
initialisées avec pvcreate, puis
regroupées en un volume physique avec
vgcreate.
Afficher un vgdisplay -v
groupe de
volumes
Modifier un pvchange
volume
physique
Préparer un pvcreate
disque physique
Afficher un pvdisplay
volume
physique
Supprimer un vgreduce
disque d'un
groupe de
volumes
Déplacer des pvmove
volumes
logiques vers un
autre volume
physique
Créer un groupe vgcreate
de volumes
Supprimer un vgremove
groupe de
volumes
Disponibilité des vgchange
groupes de
volumes

Oracle Database 11g : Administration Workshop I B - 18


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Restaurer un vgcfgrestore
groupe de
volumes
Exporter un vgexport
groupe de
volumes
Importer un vgimport
groupe de
volumes
Afficher un vgscan
groupe de
volumes
Modifier les lvchange
caractéristiques
d'un volume

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logique
Afficher un lvdisplay
volume logique
Créer un volume lvcreate
logique
Etendre un lvextend
volume logique
Réduire un lvreduce
volume logique
Supprimer un lvremove
volume logique
Créer des lvcreate -i 3 -I 64
volumes répartis

Oracle Database 11g : Administration Workshop I B - 19


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Oracle Database 11g : Administration Workshop I B - 20


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____________________
Annexe C
Syntaxe des instructions SQL
____________________

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Instructions SQL
Cet extrait du manuel Oracle Database SQL Quick Reference présente la syntaxe des instructions
SQL Oracle. Ce sont les instructions SQL qui permettent aux programmes et aux utilisateurs
d'accéder aux données d'une base Oracle.

Le tableau 1 illustre chaque instruction SQL et la syntaxe associée. Le tableau 2 illustre la


syntaxe des sous-clauses du tableau 1.

Reportez-vous également au manuel Oracle Database SQL Reference pour des informations
détaillées sur les instructions SQL Oracle.

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Tableau 1 : Syntaxe des instructions SQL

Instruction SQL Syntaxe


ALTER CLUSTER ALTER CLUSTER [ schema. ]cluster
{ physical_attributes_clause
| SIZE size_clause
| allocate_extent_clause
| deallocate_unused_clause
| { CACHE | NOCACHE }
}
[ physical_attributes_clause
| SIZE size_clause
| allocate_extent_clause
| deallocate_unused_clause
| { CACHE | NOCACHE }
]...
[ parallel_clause ] ;

ALTER DATABASE ALTER DATABASE [ database ]


{ startup_clauses
| recovery_clauses
| database_file_clauses
| logfile_clauses
| controlfile_clauses
| standby_database_clauses
| default_settings_clauses
| redo_thread_clauses
| security_clause
} ;

ALTER DIMENSION ALTER DIMENSION [ schema. ]dimension


{ ADD
{ level_clause
| hierarchy_clause
| attribute_clause
| extended_attribute_clause
}

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 2


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Instruction SQL Syntaxe
[ ADD
{ level_clause
| hierarchy_clause
| attribute_clause
| extended_attribute_clause
}
]...
| DROP
{ LEVEL level
[ RESTRICT | CASCADE ]
| HIERARCHY hierarchy
| ATTRIBUTE attribute
[ LEVEL level [ COLUMN column
[, COLUMN column ]... ]

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}
[ DROP
{ LEVEL level
[ RESTRICT | CASCADE ]
| HIERARCHY hierarchy
| ATTRIBUTE attribute
[ LEVEL level [ COLUMN column
[, COLUMN column ]... ]
}
]...
| COMPILE
} ;

ALTER DISKGROUP ALTER DISKGROUP


{ disk_clauses | diskgroup_clauses }
[ { disk_clauses | diskgroup_clauses } ]... ;

ALTER FUNCTION ALTER FUNCTION [ schema. ]function


COMPILE [ DEBUG ]
[ compiler_parameters_clause
[ compiler_parameters_clause ] ... ]
[ REUSE SETTINGS ] ;

ALTER INDEX ALTER INDEX [ schema. ]index


{ { deallocate_unused_clause
| allocate_extent_clause
| shrink_clause
| parallel_clause
| physical_attributes_clause
| logging_clause
}
[ deallocate_unused_clause
| allocate_extent_clause
| shrink_clause
| parallel_clause
| physical_attributes_clause
| logging_clause
]...
| rebuild_clause

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 3


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Instruction SQL Syntaxe
| PARAMETERS ('ODCI_parameters')
| { ENABLE | DISABLE }
| UNUSABLE
| RENAME TO new_name
| COALESCE
| { MONITORING | NOMONITORING } USAGE
| UPDATE BLOCK REFERENCES
| alter_index_partitioning
} ;

ALTER INDEXTYPE ALTER INDEXTYPE [ schema. ]indextype


{ { ADD | DROP }
[ schema. ]operator (parameter_types)
[, { ADD | DROP }

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[ schema. ]operator (parameter_types)
]...
[ using_type_clause ]
| COMPILE
} ;

ALTER JAVA ALTER JAVA


{ SOURCE | CLASS } [ schema. ]object_name
[ RESOLVER
( ( match_string [, ] { schema_name | - } )
[ ( match_string [, ] { schema_name | - } )
]...
)
]
{ { COMPILE | RESOLVE }
| invoker_rights_clause
} ;

ALTER MATERIALIZED VIEW ALTER MATERIALIZED VIEW


[ schema. ](materialized_view)
[ physical_attributes_clause
| table_compression
| LOB_storage_clause
[, LOB_storage_clause ]...
| modify_LOB_storage_clause
[, modify_LOB_storage_clause ]...
| alter_table_partitioning
| parallel_clause
| logging_clause
| allocate_extent_clause
| shrink_clause
| { CACHE | NOCACHE }
]
[ alter_iot_clauses ]
[ USING INDEX physical_attributes_clause ]
[ MODIFY scoped_table_ref_constraint
| alter_mv_refresh
]
[ { ENABLE | DISABLE } QUERY REWRITE

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 4


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Instruction SQL Syntaxe
| COMPILE
| CONSIDER FRESH
] ;

ALTER MATERIALIZED VIEW ALTER MATERIALIZED VIEW LOG [ FORCE ]


LOG ON [ schema. ] table
[ physical_attributes_clause
| alter_table_partitioning
| parallel_clause
| logging_clause
| allocate_extent_clause
| shrink_clause
| { CACHE | NOCACHE }
]

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[ ADD
{ { OBJECT ID
| PRIMARY KEY
| ROWID
| SEQUENCE
}
[ (column [, column ]...) ]
| (column [, column ]... )
}
[, { { OBJECT ID
| PRIMARY KEY
| ROWID
| SEQUENCE
}
[ (column [, column ]...) ]
| (column [, column ]...)
}
]...
[ new_values_clause ]
] ;

ALTER OPERATOR ALTER OPERATOR [ schema. ] operator


{ add_binding_clause
| drop_binding_clause
| COMPILE
} ;

ALTER OUTLINE ALTER OUTLINE


[ PUBLIC | PRIVATE ] outline
{ REBUILD
| RENAME TO new_outline_name
| CHANGE CATEGORY TO new_category_name
| { ENABLE | DISABLE }
}
[ REBUILD
| RENAME TO new_outline_name
| CHANGE CATEGORY TO new_category_name
| { ENABLE | DISABLE }
]... ;

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 5


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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Instruction SQL Syntaxe

ALTER PACKAGE ALTER PACKAGE [ schema. ]package


COMPILE [ DEBUG ]
[ PACKAGE | SPECIFICATION | BODY ]
[ compiler_parameters_clause
[ compiler_parameters_clause ] ... ]
[ REUSE SETTINGS ] ;

ALTER PROCEDURE ALTER PROCEDURE [ schema. ]procedure


COMPILE [ DEBUG ]
[ compiler_parameters_clause
[ compiler_parameters_clause ] ... ]
[ REUSE SETTINGS ] ;

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ALTER PROFILE ALTER PROFILE profile LIMIT
{ resource_parameters | password_parameters }
[ resource_parameters | password_parameters
]... ;

ALTER RESOURCE COST ALTER RESOURCE COST


{ CPU_PER_SESSION
| CONNECT_TIME
| LOGICAL_READS_PER_SESSION
| PRIVATE_SGA
}
integer
[ { CPU_PER_SESSION
| CONNECT_TIME
| LOGICAL_READS_PER_SESSION
| PRIVATE_SGA
}
integer
] ... ;

ALTER ROLE ALTER ROLE role


{ NOT IDENTIFIED
| IDENTIFIED
{ BY password
| USING [ schema. ]package
| EXTERNALLY
| GLOBALLY
}
} ;

ALTER ROLLBACK SEGMENT ALTER ROLLBACK SEGMENT rollback_segment


{ ONLINE
| OFFLINE
| storage_clause
| SHRINK [ TO integer [ K | M ] ]
};

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 6


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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Instruction SQL Syntaxe
ALTER SEQUENCE ALTER SEQUENCE [ schema. ]sequence
{ INCREMENT BY integer
| { MAXVALUE integer | NOMAXVALUE }
| { MINVALUE integer | NOMINVALUE }
| { CYCLE | NOCYCLE }
| { CACHE integer | NOCACHE }
| { ORDER | NOORDER }
}
[ INCREMENT BY integer
| { MAXVALUE integer | NOMAXVALUE }
| { MINVALUE integer | NOMINVALUE }
| { CYCLE | NOCYCLE }
| { CACHE integer | NOCACHE }
| { ORDER | NOORDER }

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]... ;

ALTER SESSION ALTER SESSION


{ ADVISE { COMMIT | ROLLBACK | NOTHING }
| CLOSE DATABASE LINK dblink
| { ENABLE | DISABLE } COMMIT IN PROCEDURE
| { ENABLE | DISABLE } GUARD
| { ENABLE | DISABLE | FORCE } PARALLEL
{ DML | DDL | QUERY } [ PARALLEL integer ]
| { ENABLE RESUMABLE
[ TIMEOUT integer ] [ NAME string ]
| DISABLE RESUMABLE
}
| alter_session_set_clause
} ;

ALTER SYSTEM ALTER SYSTEM


{ archive_log_clause
| checkpoint_clause
| check_datafiles_clause
| DUMP ACTIVE SESSION HISTORY [ MINUTES integer ]
| distributed_recov_clauses
| restricted_session_clauses
| FLUSH { SHARED_POOL | BUFFER_CACHE }
| end_session_clauses
| SWITCH LOGFILE
| { SUSPEND | RESUME }
| quiesce_clauses
| shutdown_dispatcher_clause
| REGISTER
| SET alter_system_set_clause
[ alter_system_set_clause ]...
| RESET alter_system_reset_clause
[ alter_system_reset_clause ]...
} ;

ALTER TABLE ALTER TABLE [ schema. ]table


[ alter_table_properties
| column_clauses

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 7


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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Instruction SQL Syntaxe
| constraint_clauses
| alter_table_partitioning
| alter_external_table_clauses
| move_table_clause
]
[ enable_disable_clause
| { ENABLE | DISABLE }
{ TABLE LOCK | ALL TRIGGERS }
[ enable_disable_clause
| { ENABLE | DISABLE }
{ TABLE LOCK | ALL TRIGGERS }
]...
] ;

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ALTER TABLESPACE ALTER TABLESPACE tablespace
{ DEFAULT
[ table_compression ] storage_clause
| MINIMUM EXTENT integer [ K | M ]
| RESIZE size_clause
| COALESCE
| RENAME TO new_tablespace_name
| { BEGIN | END } BACKUP
| datafile_tempfile_clauses
| tablespace_logging_clauses
| tablespace_group_clause
| tablespace_state_clauses
| autoextend_clause
| flashback_mode_clause
| tablespace_retention_clause
} ;

ALTER TRIGGER ALTER TRIGGER [ schema. ]trigger


{ ENABLE
| DISABLE
| RENAME TO new_name
| COMPILE [ DEBUG ]
[ compiler_parameters_clause
[ compiler_parameters_clause ] ... ]
[ REUSE SETTINGS ]
} ;

ALTER TYPE ALTER TYPE [ schema. ]type


{ compile_type_clause
| replace_type_clause
| { alter_method_spec
| alter_attribute_definition
| alter_collection_clauses
| [ NOT ] { INSTANTIABLE | FINAL }
}
[ dependent_handling_clause ]
} ;

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 8


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Instruction SQL Syntaxe
ALTER USER ALTER USER
{ user
{ IDENTIFIED
{ BY password [ REPLACE old_password ]
| EXTERNALLY
| GLOBALLY AS 'external_name'
}
| DEFAULT TABLESPACE tablespace
| TEMPORARY TABLESPACE
{ tablespace | tablespace_group_name }
| QUOTA { integer [ K | M ]
| UNLIMITED
} ON tablespace
[ QUOTA { integer [ K | M ]

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| UNLIMITED
} ON tablespace
]...
| PROFILE profile
| DEFAULT ROLE { role [, role ]...
| ALL [ EXCEPT
role [, role ]... ]
| NONE
}
| PASSWORD EXPIRE
| ACCOUNT { LOCK | UNLOCK }
}
[ { IDENTIFIED
{ BY password [ REPLACE old_password ]
| EXTERNALLY
| GLOBALLY AS 'external_name'
}
| DEFAULT TABLESPACE tablespace
| TEMPORARY TABLESPACE
{ tablespace | tablespace_group_name }
| QUOTA { integer [ K | M ]
| UNLIMITED
} ON tablespace
[ QUOTA { integer [ K | M ]
| UNLIMITED
} ON tablespace
]...
| PROFILE profile
| DEFAULT ROLE { role [, role ]...
| ALL [ EXCEPT
role [, role ]... ]
| NONE
}
| PASSWORD EXPIRE
| ACCOUNT { LOCK | UNLOCK }
}
]...
| user [, user ]... proxy_clause ;

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 9


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Instruction SQL Syntaxe
ALTER VIEW ALTER VIEW [ schema. ]view
{ ADD out_of_line_constraint
| MODIFY CONSTRAINT constraint
{ RELY | NORELY }
| DROP { CONSTRAINT constraint
| PRIMARY KEY
| UNIQUE (column [, column ]...)
}
| COMPILE
} ;

ANALYZE ANALYZE
{ TABLE [ schema. ]table
[ PARTITION (partition)

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| SUBPARTITION (subpartition)
]
| INDEX [ schema. ]index
[ PARTITION (partition)
| SUBPARTITION (subpartition)
]
| CLUSTER [ schema. ]cluster
}
{ validation_clauses
| LIST CHAINED ROWS [ into_clause ]
| DELETE [ SYSTEM ] STATISTICS
| compute_statistics_clause
| estimate_statistics_clause
} ;

ASSOCIATE STATISTICS ASSOCIATE STATISTICS WITH


{ column_association | function_association } ;

AUDIT AUDIT
{ sql_statement_clause | schema_object_clause }
[ BY { SESSION | ACCESS } ]
[ WHENEVER [ NOT ] SUCCESSFUL ] ;

CALL CALL
{ routine_clause
| object_access_expression
}
[ INTO :host_variable
[ [ INDICATOR ] :indicator_variable ] ] ;

COMMENT COMMENT ON
{ TABLE [ schema. ]
{ table | view }
| COLUMN [ schema. ]
{ table. | view. | materialized_view. } column
| OPERATOR [ schema. ] operator
| INDEXTYPE [ schema. ] indextype

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 10


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Instruction SQL Syntaxe
| MATERIALIZED VIEW materialized_view
}
IS 'text' ;

COMMIT COMMIT [ WORK ]


[ COMMENT 'text'
| FORCE 'text' [, integer ]
] ;

CREATE CLUSTER CREATE CLUSTER [ schema. ]cluster


(column datatype [ SORT ]
[, column datatype [ SORT ] ]...
)

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[ { physical_attributes_clause
| SIZE size_clause
| TABLESPACE tablespace
| { INDEX
| [ SINGLE TABLE ]
HASHKEYS integer [ HASH IS expr ]
}
}
[ physical_attributes_clause
| SIZE size_clause
| TABLESPACE tablespace
| { INDEX
| [ SINGLE TABLE ]
HASHKEYS integer [ HASH IS expr ]
}
]...
]
[ parallel_clause ]
[ NOROWDEPENDENCIES | ROWDEPENDENCIES ]
[ CACHE | NOCACHE ] ;

CREATE CONTEXT CREATE [ OR REPLACE ] CONTEXT namespace


USING [ schema. ] package
[ INITIALIZED { EXTERNALLY | GLOBALLY }
| ACCESSED GLOBALLY
] ;

CREATE CONTROLFILE CREATE CONTROLFILE


[ REUSE ]
[ SET ]
DATABASE database
[ logfile_clause ]
{ RESETLOGS | NORESETLOGS }
[ DATAFILE file_specification
[, file_specification ]... ]
[ { MAXLOGFILES integer
| MAXLOGMEMBERS integer
| MAXLOGHISTORY integer

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 11


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Instruction SQL Syntaxe
| MAXDATAFILES integer
| MAXINSTANCES integer
| { ARCHIVELOG | NOARCHIVELOG }
| FORCE LOGGING
}
[ MAXLOGFILES integer
| MAXLOGMEMBERS integer
| MAXLOGHISTORY integer
| MAXDATAFILES integer
| MAXINSTANCES integer
| { ARCHIVELOG | NOARCHIVELOG }
| FORCE LOGGING
]...
]

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[ character_set_clause ] ;

CREATE DATABASE CREATE DATABASE [ database ]


{ USER SYS IDENTIFIED BY password
| USER SYSTEM IDENTIFIED BY password
| CONTROLFILE REUSE
| MAXDATAFILES integer
| MAXINSTANCES integer
| CHARACTER SET charset
| NATIONAL CHARACTER SET charset
| SET DEFAULT
{ BIGFILE | SMALLFILE } TABLESPACE
| database_logging_clauses
| tablespace_clauses
| set_time_zone_clause
}... ;

CREATE DATABASE LINK CREATE [ SHARED ] [ PUBLIC ] DATABASE LINK dblink


[ CONNECT TO
{ CURRENT_USER
| user IDENTIFIED BY password
[ dblink_authentication ]
}
| dblink_authentication
]
[ USING 'connect_string' ] ;

CREATE DIMENSION CREATE DIMENSION [ schema. ]dimension


level_clause
[ level_clause ]...
{ hierarchy_clause
| attribute_clause
| extended_attribute_clause
}
[ hierarchy_clause
| attribute_clause
| extended_attribute_clause
]... ;

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 12


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Instruction SQL Syntaxe
CREATE DIRECTORY CREATE [ OR REPLACE ] DIRECTORY directory
AS 'path_name' ;

CREATE DISKGROUP CREATE DISKGROUP diskgroup_name


[ { HIGH | NORMAL | EXTERNAL } REDUNDANCY ]
[ FAILGROUP failgroup_name ]
DISK qualified_disk_clause
[, qualified_disk_clause ]...
[ [ FAILGROUP failgroup_name ]
DISK qualified_disk_clause
[, qualified_disk_clause ]...
]... ;

CREATE FUNCTION CREATE [ OR REPLACE ] FUNCTION [ schema. ]function

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[ (argument [ IN | OUT | IN OUT ]
[ NOCOPY ] datatype
[, argument [ IN | OUT | IN OUT ]
[ NOCOPY ] datatype
]...
)
]
RETURN datatype
[ { invoker_rights_clause
| DETERMINISTIC
| parallel_enable_clause
}
[ invoker_rights_clause
| DETERMINISTIC
| parallel_enable_clause
]...
]
{ { AGGREGATE | PIPELINED }
USING [ schema. ]implementation_type
| [ PIPELINED ]
{ IS | AS }
{ pl/sql_function_body | call_spec }
} ;

CREATE INDEX CREATE [ UNIQUE | BITMAP ] INDEX [ schema. ]index


ON { cluster_index_clause
| table_index_clause
| bitmap_join_index_clause
} ;

CREATE INDEXTYPE CREATE [ OR REPLACE ] INDEXTYPE


[ schema. ]indextype FOR
[ schema. ]operator (paramater_type
[, paramater_type ]...)
[, [ schema. ]operator (paramater_type
[, paramater_type ]...)
]...
using_type_clause ;

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 13


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Instruction SQL Syntaxe
CREATE JAVA CREATE [ OR REPLACE ]
[ AND { RESOLVE | COMPILE } ]
[ NOFORCE ]
JAVA { { SOURCE | RESOURCE }
NAMED [ schema. ]primary_name
| CLASS [ SCHEMA schema ]
}
[ invoker_rights_clause ]
[ RESOLVER
((match_string [,] { schema_name | - })
[ (match_string [,] { schema_name | - }) ]...
)
]
{ USING { BFILE (directory_object_name ,

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server_file_name)
| { CLOB | BLOB | BFILE }
subquery
| 'key_for_BLOB'
}
| AS source_text
} ;

CREATE LIBRARY CREATE [ OR REPLACE ] LIBRARY [ schema. ]libname


{ IS | AS } 'filename' [ AGENT 'agent_dblink' ] ;

CREATE MATERIALIZED VIEW CREATE MATERIALIZED VIEW


[ schema. ]materialized_view
[ OF [ schema. ]object_type ]
[ (scoped_table_ref_constraint) ]
{ ON PREBUILT TABLE
[ { WITH | WITHOUT } REDUCED PRECISION ]
| physical_properties materialized_view_props
}
[ USING INDEX
[ physical_attributes_clause
| TABLESPACE tablespace
]
[ physical_attributes_clause
| TABLESPACE tablespace
]...
| USING NO INDEX
]
[ create_mv_refresh ]
[ FOR UPDATE ]
[ { DISABLE | ENABLE }
QUERY REWRITE
]
AS subquery ;

CREATE MATERIALIZED VIEW CREATE MATERIALIZED VIEW LOG


LOG ON [ schema. ]table
[ physical_attributes_clause
| TABLESPACE tablespace

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Instruction SQL Syntaxe
| logging_clause
| { CACHE | NOCACHE }
[ physical_attributes_clause
| TABLESPACE tablespace
| logging_clause
| { CACHE | NOCACHE }
]...
]
[ parallel_clause ]
[ table_partitioning_clauses ]
[ WITH { OBJECT ID
| PRIMARY KEY
| ROWID
| SEQUENCE

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| (column [, column ]...)
}
[, { OBJECT ID
| PRIMARY KEY
| ROWID
| SEQUENCE
| (column [, column ]...)
}
]...
[ new_values_clause ]
] ;

CREATE OPERATOR CREATE [ OR REPLACE ] OPERATOR


[ schema. ] operator binding_clause ;

CREATE OUTLINE CREATE [ OR REPLACE ]


[ PUBLIC | PRIVATE ] OUTLINE [ outline ]
[ FROM [ PUBLIC | PRIVATE ] source_outline ]
[ FOR CATEGORY category ]
[ ON statement ] ;

CREATE PACKAGE CREATE [ OR REPLACE ] PACKAGE [ schema. ]package


[ invoker_rights_clause ]
{ IS | AS } pl/sql_package_spec ;

CREATE PACKAGE BODY CREATE [ OR REPLACE ] PACKAGE BODY


[ schema. ]package
{ IS | AS } pl/sql_package_body ;

CREATE PFILE CREATE PFILE [= 'pfile_name' ]


FROM SPFILE [= 'spfile_name'] ;

CREATE PROCEDURE CREATE [ OR REPLACE ] PROCEDURE [ schema. ]procedure


[ (argument [ IN | OUT | IN OUT ]
[ NOCOPY ]
datatype
[, argument [ IN | OUT | IN OUT ]
[ NOCOPY ]

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Instruction SQL Syntaxe
datatype
]...
)
]
[ invoker_rights_clause ]
{ IS | AS }
{ pl/sql_subprogram_body | call_spec } ;

CREATE PROFILE CREATE PROFILE profile


LIMIT { resource_parameters
| password_parameters
}
[ resource_parameters
| password_parameters

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]... ;

CREATE ROLE CREATE ROLE role


[ NOT IDENTIFIED
| IDENTIFIED { BY password
| USING [ schema. ] package
| EXTERNALLY
| GLOBALLY
}
] ;

CREATE ROLEBACK SEGMENT CREATE [ PUBLIC ] ROLLBACK SEGMENT rollback_segment


[ { TABLESPACE tablespace | storage_clause }
[ TABLESPACE tablespace | storage_clause ]...
];

CREATE SCHEMA CREATE SCHEMA AUTHORIZATION schema


{ create_table_statement
| create_view_statement
| grant_statement
}
[ create_table_statement
| create_view_statement
| grant_statement
]... ;

CREATE SEQUENCE CREATE SEQUENCE [ schema. ]sequence


[ { INCREMENT BY | START WITH } integer
| { MAXVALUE integer | NOMAXVALUE }
| { MINVALUE integer | NOMINVALUE }
| { CYCLE | NOCYCLE }
| { CACHE integer | NOCACHE }
| { ORDER | NOORDER }
]
[ { INCREMENT BY | START WITH } integer
| { MAXVALUE integer | NOMAXVALUE }
| { MINVALUE integer | NOMINVALUE }
| { CYCLE | NOCYCLE }

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 16


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Instruction SQL Syntaxe
| { CACHE integer | NOCACHE }
| { ORDER | NOORDER }
]... ;

CREATE SPFILE CREATE SPFILE [= 'spfile_name' ]


FROM PFILE [= 'pfile_name' ] ;

CREATE SYNONYM CREATE [ OR REPLACE ] [ PUBLIC ] SYNONYM


[ schema. ]synonym
FOR [ schema. ]object [ @ dblink ] ;

CREATE TABLE { relational_table | object_table | XMLType_table }

Oracle University and OMNIDATA. use only


CREATE TABLESPACE CREATE
[ BIGFILE | SMALLFILE ]
{ permanent_tablespace_clause
| temporary_tablespace_clause
| undo_tablespace_clause
} ;

CREATE TRIGGER CREATE [ OR REPLACE ] TRIGGER [ schema. ]trigger


{ BEFORE | AFTER | INSTEAD OF }
{ dml_event_clause
| { ddl_event [ OR ddl_event ]...
| database_event [ OR database_event ]...
}
ON { [ schema. ]SCHEMA
| DATABASE
}
}
[ WHEN (condition) ]
{ pl/sql_block | call_procedure_statement } ;

CREATE TYPE { create_incomplete_type


| create_object_type
| create_varray_type
| create_nested_table_type
}

CREATE TYPE BODY CREATE [ OR REPLACE ] TYPE BODY [ schema. ]type_name


{ IS | AS }
{ subprogram_declaration
| map_order_func_declaration
}
[; { subprogram_declaration
| map_order_func_declaration
}
]...
END ;

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 17


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Instruction SQL Syntaxe
CREATE USER CREATE USER user
IDENTIFIED { BY password
| EXTERNALLY
| GLOBALLY AS 'external_name'
}
[ DEFAULT TABLESPACE tablespace
| TEMPORARY TABLESPACE
{ tablespace | tablespace_group_name }
| QUOTA { integer [ K | M ]
| UNLIMITED
}
ON tablespace
[ QUOTA { integer [ K | M ]
| UNLIMITED

Oracle University and OMNIDATA. use only


}
ON tablespace
]...
| PROFILE profile
| PASSWORD EXPIRE
| ACCOUNT { LOCK | UNLOCK }
[ DEFAULT TABLESPACE tablespace
| TEMPORARY TABLESPACE
{ tablespace | tablespace_group_name }
| QUOTA { integer [ K | M ]
| UNLIMITED
}
ON tablespace
[ QUOTA { integer [ K | M ]
| UNLIMITED
}
ON tablespace
]...
| PROFILE profile
| PASSWORD EXPIRE
| ACCOUNT { LOCK | UNLOCK }
]...
] ;

CREATE VIEW CREATE [ OR REPLACE ] [ [ NO ] FORCE ] VIEW


[ schema. ]view
[ (alias [ inline_constraint
[ inline_constraint ]... ]
| out_of_line_constraint
[, alias [ inline_constraint
[ inline_constraint ]... ]
| out_of_line_constraint
]...
)
| object_view_clause
| XMLType_view_clause
]
AS subquery [ subquery_restriction_clause ] ;

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 18


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Instruction SQL Syntaxe
DELETE DELETE [ hint ]
[ FROM ]
{ dml_table_expression_clause
| ONLY (dml_table_expression_clause)
}
[ t_alias ]
[ where_clause ]
[ returning_clause ] ;

DISASSOCIATE STATISTICS DISASSOCIATE STATISTICS FROM


{ COLUMNS [ schema. ]table.column
[, [ schema. ]table.column ]...
| FUNCTIONS [ schema. ]function
[, [ schema. ]function ]...

Oracle University and OMNIDATA. use only


| PACKAGES [ schema. ]package
[, [ schema. ]package ]...
| TYPES [ schema. ]type
[, [ schema. ]type ]...
| INDEXES [ schema. ]index
[, [ schema. ]index ]...
| INDEXTYPES [ schema. ]indextype
[, [ schema. ]indextype ]...
}
[ FORCE ] ;

DROP CLUSTER DROP CLUSTER [ schema. ]cluster


[ INCLUDING TABLES [ CASCADE CONSTRAINTS ] ] ;

DROP CONTEXT DROP CONTEXT namespace ;

DROP DATABASE DROP DATABASE ;

DROP DATABASE LINK DROP [ PUBLIC ] DATABASE LINK dblink ;

DROP DIMENSION DROP DIMENSION [ schema. ]dimension ;

DROP DIRECTORY DROP DIRECTORY directory_name ;

DROP DISKGROUP DROP DISKGROUP diskgroup_name


[ { INCLUDING | EXCLUDING }
CONTENTS
] ;

DROP FUNCTION DROP FUNCTION [ schema. ]function_name ;

DROP INDEX DROP INDEX [ schema. ]index [ FORCE ] ;

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 19


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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Instruction SQL Syntaxe
DROP INDEXTYPE DROP INDEXTYPE [ schema. ]indextype [ FORCE ] ;

DROP JAVA DROP JAVA


{ SOURCE | CLASS | RESOURCE }
[ schema. ]object_name ;

DROP LIBRARY DROP LIBRARY library_name ;

DROP MATERIALIZED VIEW DROP MATERIALIZED VIEW


[ schema. ]materialized_view
[ PRESERVE TABLE ] ;

Oracle University and OMNIDATA. use only


DROP MATERIALIZED VIEW LOG DROP MATERIALIZED VIEW LOG
ON [ schema. ]table ;

DROP OPERATOR DROP OPERATOR [ schema. ]operator [ FORCE ] ;

DROP OUTLINE DROP OUTLINE outline ;

DROP PACKAGE DROP PACKAGE [ BODY ] [ schema. ]package ;

DROP PROCEDURE DROP PROCEDURE [ schema. ]procedure ;

DROP PROFILE DROP PROFILE profile [ CASCADE ] ;

DROP ROLE DROP ROLE role ;

DROP ROLLBACK SEGMENT DROP ROLLBACK SEGMENT rollback_segment ;

DROP SEQUENCE DROP SEQUENCE [ schema. ]sequence_name ;

DROP SYNONYM DROP [ PUBLIC ] SYNONYM [ schema. ]synonym


[ FORCE ] ;

DROP TABLE DROP TABLE [ schema. ]table


[ CASCADE CONSTRAINTS ]
[ PURGE ] ;

DROP TABLESPACE DROP TABLESPACE tablespace


[ INCLUDING CONTENTS [ AND DATAFILES ]
[ CASCADE CONSTRAINTS ]
] ;

DROP TRIGGER DROP TRIGGER [ schema. ]trigger ;

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 20


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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Instruction SQL Syntaxe
DROP TYPE DROP TYPE [ schema. ]type_name
[ FORCE | VALIDATE ] ;

DROP TYPE BODY DROP TYPE BODY [ schema. ]type_name ;

DROP USER DROP USER user [ CASCADE ] ;

DROP VIEW DROP VIEW [ schema. ] view


[ CASCADE CONSTRAINTS ] ;

EXPLAIN PLAN EXPLAIN PLAN

Oracle University and OMNIDATA. use only


[ SET STATEMENT_ID = 'text' ]
[ INTO [ schema. ]table [ @ dblink ] ]
FOR statement ;

FLASHBACK DATABASE FLASHBACK [ STANDBY ] DATABASE [ database ]


{ TO { SCN | TIMESTAMP } expr
| TO BEFORE { SCN | TIMESTAMP } expr
};

FLASHBACK TABLE FLASHBACK TABLE


[ schema. ]table
[, [ schema. ]table ]...
TO { { SCN | TIMESTAMP } expr
[ { ENABLE | DISABLE } TRIGGERS ]
| BEFORE DROP [ RENAME TO table ]
} ;

GRANT GRANT { grant_system_privileges


| grant_object_privileges
} ;

INSERT INSERT [ hint ]


{ single_table_insert | multi_table_insert } ;

LOCK TABLE LOCK TABLE


[ schema. ] { table | view }
[ { PARTITION (partition)
| SUBPARTITION (subpartition)
}
| @ dblink
]
[, [ schema. ] { table | view }
[ { PARTITION (partition)
| SUBPARTITION (subpartition)
}
| @ dblink
]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 21


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Instruction SQL Syntaxe
]...
IN lockmode MODE
[ NOWAIT ] ;

MERGE MERGE [ hint ]


INTO [ schema. ]table [ t_alias ]
USING [ schema. ] { table | view | subquery }
[ t_alias ]
ON ( condition )
[ merge_update_clause ]
[ merge_insert_clause ] ;

NOAUDIT NOAUDIT
{ sql_statement_clause

Oracle University and OMNIDATA. use only


[, sql_statement_clause ]...
| schema_object_clause
[, schema_object_clause ]...
}
[ WHENEVER [ NOT ] SUCCESSFUL ] ;

PURGE PURGE
{ { TABLE table
| INDEX index
}
| { RECYCLEBIN | DBA_RECYCLEBIN }
| TABLESPACE tablespace
[ USER user ]
} ;

RENAME RENAME old_name


TO new_name ;

REVOKE REVOKE { revoke_system_privileges


| revoke_object_privileges
} ;

ROLLBACK ROLLBACK [ WORK ]


[ TO [ SAVEPOINT ] savepoint
| FORCE 'text'
] ;

SAVEPOINT SAVEPOINT savepoint ;

SELECT subquery [ for_update_clause ] ;

SET CONSTRAINT[S] SET { CONSTRAINT | CONSTRAINTS }


{ constraint [, constraint ]...
| ALL
}
{ IMMEDIATE | DEFERRED } ;

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 22


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Instruction SQL Syntaxe
SET ROLE SET ROLE
{ role [ IDENTIFIED BY password ]
[, role [ IDENTIFIED BY password ] ]...
| ALL [ EXCEPT role [, role ]... ]
| NONE
} ;

SET TRANSACTION SET TRANSACTION


{ { READ { ONLY | WRITE }
| ISOLATION LEVEL
{ SERIALIZABLE | READ COMMITTED }
| USE ROLLBACK SEGMENT rollback_segment
}
[ NAME 'text' ]

Oracle University and OMNIDATA. use only


| NAME 'text'
} ;

TRUNCATE TRUNCATE
{ TABLE [ schema. ]table
[ { PRESERVE | PURGE } MATERIALIZED VIEW LOG ]
| CLUSTER [ schema. ]cluster
}
[ { DROP | REUSE } STORAGE ] ;

UPDATE UPDATE [ hint ]


{ dml_table_expression_clause
| ONLY (dml_table_expression_clause)
}
[ t_alias ]
update_set_clause
[ where_clause ]
[ returning_clause ] ;

Tableau 2 : Syntaxe des sous-clauses

Sous-clause Syntaxe
activate_standby_db_clause ACTIVATE
[ PHYSICAL | LOGICAL ]
STANDBY DATABASE
[ SKIP [ STANDBY LOGFILE ] ]

add_binding_clause ADD BINDING


(parameter_type
[, parameter_type ]...)
RETURN (return_type)
[ implementation_clause ]
using_function_clause

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 23


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Sous-clause Syntaxe
add_column_clause ADD
( column datatype
[ DEFAULT expr ]
[ { inline_constraint
[ inline_constraint ]...
| inline_ref_constraint
}
]
[, column datatype
[ DEFAULT expr ]
[ { inline_constraint
[ inline_constraint ]...
| inline_ref_constraint
}

Oracle University and OMNIDATA. use only


]
]...
)
[ column_properties ]

add_disk_clause ADD
[ FAILGROUP failgroup_name ]
DISK qualified_disk_clause
[, qualified_disk_clause ]...
[ [ FAILGROUP failgroup_name ]
DISK qualified_disk_clause
[, qualified_disk_clause ]...
]...

add_hash_index_partition ADD PARTITION


[ partition_name ]
[ TABLESPACE tablespace_name ]
[ parallel_clause ]

add_hash_partition_clause ADD PARTITION [ partition ]


partitioning_storage_clause
[ update_index_clauses ]
[ parallel_clause ]

add_hash_subpartition ADD subpartition_spec


[ update_index_clauses ]
[ parallel_clause ]

add_list_partition_clause ADD PARTITION [ partition ]


list_values_clause
[ table_partition_description ]
[ update_index_clauses ]

add_list_subpartition ADD subpartition_spec


[ update_index_clauses ]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 24


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Sous-clause Syntaxe
add_logfile_clauses ADD [ STANDBY ] LOGFILE
{ [ INSTANCE 'instance_name' | THREAD integer
]
[ GROUP integer ] redo_log_file_spec
[, [ GROUP integer ] redo_log_file_spec
]...
| MEMBER 'filename' [ REUSE ]
[, 'filename' [ REUSE ] ]...
TO logfile_descriptor
[, logfile_descriptor ]...
}

add_overflow_clause ADD OVERFLOW [ segment_attributes_clause ]


[ (PARTITION [ segment_attributes_clause ]

Oracle University and OMNIDATA. use only


[, PARTITION [ segment_attributes_clause ]
]...
)
]

add_range_partition_clause ADD PARTITION [ partition ]


range_values_clause
[ table_partition_description ]
[ update_index_clauses ]

add_table_partition { add_range_partition_clause
| add_hash_partition_clause
| add_list_partition_clause
}

alias_file_name +diskgroup_name [ (template_name) ] /alias_name

allocate_extent_clause ALLOCATE EXTENT


[ ( { SIZE size_clause
| DATAFILE 'filename'
| INSTANCE integer
}
[ SIZE size_clause
| DATAFILE 'filename'
| INSTANCE integer
]...
)
]

alter_attribute_definition { { ADD | MODIFY } ATTRIBUTE


{ attribute [ datatype ]
| ( attribute datatype
[, attribute datatype ]...
)
}
| DROP ATTRIBUTE

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 25


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Sous-clause Syntaxe
{ attribute
| ( attribute [, attribute ]... )
}
}

alter_collection_clauses MODIFY { LIMIT integer


| ELEMENT TYPE datatype
}

alter_datafile_clause DATAFILE
{ 'filename' | filenumber }
[, 'filename' | filenumber ]...
}
{ ONLINE

Oracle University and OMNIDATA. use only


| OFFLINE [ FOR DROP ]
| RESIZE size_clause
| autoextend_clause
| END BACKUP
}

alter_external_table_clauses { add_column_clause
| modify_column_clauses
| drop_column_clause
| parallel_clause
| external_data_properties
| REJECT LIMIT { integer | UNLIMITED }
| PROJECT COLUMN { ALL | REFERENCED }
}
[ add_column_clause
| modify_column_clauses
| drop_column_clause
| parallel_clause
| external_data_properties
| REJECT LIMIT { integer | UNLIMITED }
| PROJECT COLUMN { ALL | REFERENCED }
]...

alter_index_partitioning { modify_index_default_attrs
| add_hash_index_partition
| modify_index_partition
| rename_index_partition
| drop_index_partition
| split_index_partition
| coalesce_index_partition
| modify_index_subpartition
}

alter_iot_clauses { index_org_table_clause
| alter_overflow_clause
| alter_mapping_table_clauses
| COALESCE
}

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 26


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Sous-clause Syntaxe
alter_mapping_table_clauses MAPPING TABLE
{ UPDATE BLOCK REFERENCES
| allocate_extent_clause
| deallocate_unused_clause
}

alter_method_spec { ADD | DROP }


{ map_order_function_spec
| subprogram_spec
}
[ { ADD | DROP }
{ map_order_function_spec
| subprogram_spec
}

Oracle University and OMNIDATA. use only


]...

alter_mv_refresh REFRESH
{ { FAST | COMPLETE | FORCE }
| ON { DEMAND | COMMIT }
| { START WITH | NEXT } date
| WITH PRIMARY KEY
| USING
{ DEFAULT MASTER ROLLBACK SEGMENT
| MASTER ROLLBACK SEGMENT
rollback_segment
}
| USING { ENFORCED | TRUSTED } CONSTRAINTS
}

alter_overflow_clause { OVERFLOW
{ allocate_extent_clause
| deallocate_unused_clause
}
[ allocate_extent_clause
| deallocate_unused_clause
]...
| add_overflow_clause
}

alter_session_set_clause SET parameter_name = parameter_value


[ parameter_name = parameter_value ]...

alter_system_reset_clause parameter_name
[ SCOPE = { MEMORY | SPFILE | BOTH } ]
SID = 'sid'

alter_system_set_clause parameter_name =
parameter_value [, parameter_value ]...
[ COMMENT 'text' ]
[ DEFERRED ]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 27


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Sous-clause Syntaxe
[ SCOPE = { MEMORY | SPFILE | BOTH } ]
[ SID = { 'sid' | * } ]

alter_table_partitioning { modify_table_default_attrs
| set_subpartition_template
| modify_table_partition
| modify_table_subpartition
| move_table_partition
| move_table_subpartition
| add_table_partition
| coalesce_table_partition
| drop_table_partition
| drop_table_subpartition
| rename_partition_subpart

Oracle University and OMNIDATA. use only


| truncate_partition_subpart
| split_table_partition
| split_table_subpartition
| merge_table_partitions
| merge_table_subpartitions
| exchange_partition_subpart
}

alter_table_properties { { physical_attributes_clause
| logging_clause
| table_compression
| supplemental_table_logging
| allocate_extent_clause
| deallocate_unused_clause
| shrink_clause
| { CACHE | NOCACHE }
| upgrade_table_clause
| records_per_block_clause
| parallel_clause
| row_movement_clause
}
[ physical_attributes_clause
| logging_clause
| table_compression
| supplemental_table_logging
| allocate_extent_clause
| deallocate_unused_clause
| shrink_clause
| { CACHE | NOCACHE }
| upgrade_table_clause
| records_per_block_clause
| parallel_clause
| row_movement_clause
]...
| RENAME TO new_table_name
}
[ alter_iot_clauses ]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 28


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Sous-clause Syntaxe
alter_tempfile_clause TEMPFILE
{ 'filename' [, 'filename' ]...
| filenumber [, filenumber ]...
}
{ RESIZE size_clause
| autoextend_clause
| DROP [ INCLUDING DATAFILES ]
| ONLINE
| OFFLINE
}

alter_varray_col_properties MODIFY VARRAY varray_item


( modify_LOB_parameters )

Oracle University and OMNIDATA. use only


analytic_clause [ query_partition_clause ]
[ order_by_clause [ windowing_clause ] ]

archive_log_clause ARCHIVE LOG


[ INSTANCE 'instance_name' | THREAD integer
]
{ { SEQUENCE integer
| CHANGE integer
| CURRENT [ NOSWITCH ]
| GROUP integer
| LOGFILE 'filename'
[ USING BACKUP CONTROLFILE ]
| NEXT
| ALL
| START
}
[ TO 'location' ]
| STOP
}

array_DML_clause [ WITH | WITHOUT ]


ARRAY DML
[ ([ schema. ]type
[, [ schema. ]varray_type ])
[, ([ schema. ]type
[, [ schema. ]varray_type ])...
]

attribute_clause ATTRIBUTE level DETERMINES


{ dependent_column
| ( dependent_column
[, dependent_column ]... )
}

auditing_by_clause BY { proxy [, proxy ]...


| user [, user ]...
}

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 29


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Sous-clause Syntaxe
auditing_on_clause ON { [ schema. ]object
| DIRECTORY directory_name
| DEFAULT
}

autoextend_clause AUTOEXTEND
{ OFF
| ON [ NEXT size_clause ]
[ maxsize_clause ]
}

binding_clause BINDING
(parameter_type [, parameter_type ]...)

Oracle University and OMNIDATA. use only


RETURN return_type
[ implementation_clause ]
using_function_clause
[, (parameter_type [, parameter_type ]...)
RETURN return_type
[ implementation_clause ]
using_function_clause
]...

bitmap_join_index_clause [ schema.]table
( [ [ schema. ]table. | t_alias. ]column
[ ASC | DESC ]
[, [ [ schema. ]table. | t_alias. ]column
[ ASC | DESC ]
]...
)
FROM [ schema. ]table [ t_alias ]
[, [ schema. ]table [ t_alias ]
]...
WHERE condition
[ local_partitioned_index ]
index_attributes

build_clause BUILD { IMMEDIATE | DEFERRED }

C_declaration C [ NAME name ]


LIBRARY lib_name
[ AGENT IN (argument[, argument ]...) ]
[ WITH CONTEXT ]
[ PARAMETERS (parameter[, parameter ]...) ]

call_spec LANGUAGE { Java_declaration | C_declaration }

cancel_clause CANCEL [ IMMEDIATE ] [ WAIT | NOWAIT ]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 30


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Sous-clause Syntaxe
cell_assignment measure_column [ { { condition
| expr
| single_column_for_loop
}
[, { condition
| expr
| single_column_for_loop
}
]...
| multi_column_for_loop
}
]

Remarque : Les crochets extérieurs font partie

Oracle University and OMNIDATA. use only


de la syntaxe.
Dans cet exemple, les crochets indiquent
que la syntaxe n'est pas une option.

cell_reference_options [ { IGNORE | KEEP } NAV ]


[ UNIQUE { DIMENSION | SINGLE REFERENCE } ]

character_set_clause CHARACTER SET character_set

check_datafiles_clause CHECK DATAFILES [ GLOBAL | LOCAL ]

check_diskgroup_clauses CHECK
{ ALL
| DISK
disk_name
[, disk_name ]...
| DISKS IN FAILGROUP
failgroup_name
[, failgroup_name ]...
| FILE
filename
[, filename ]...
}
[ CHECK
{ ALL
| DISK
disk_name
[, disk_name ]...
| DISKS IN FAILGROUP
failgroup_name
[, failgroup_name ]...
| FILE
filename
[, filename ]...
}
]...
[ REPAIR | NOREPAIR ]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 31


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Sous-clause Syntaxe
checkpoint_clause CHECKPOINT [ GLOBAL | LOCAL ]

cluster_index_clause CLUSTER [ schema. ] cluster index_attributes

coalesce_index_partition COALESCE PARTITION


[ parallel_clause ]

coalesce_table_partition COALESCE PARTITION


[ update_index_clauses ]
[ parallel_clause ]

column_association COLUMNS [ schema. ]table.column


[, [ schema. ]table.column ]...

Oracle University and OMNIDATA. use only


using_statistics_type

column_clauses { { add_column_clause
| modify_column_clause
| drop_column_clause
}
[ add_column_clause
| modify_column_clause
| drop_column_clause
]...
| rename_column_clause
| modify_collection_retrieval
[ modify_collection_retrieval ]...
| modify_LOB_storage_clause
| alter_varray_col_properties
}

column_properties { object_type_col_properties
| nested_table_col_properties
| { varray_col_properties | LOB_storage_clause }
[ (LOB_partition_storage
[, LOB_partition_storage ]...
)
]
| XMLType_column_properties
}
[ { object_type_col_properties
| nested_table_col_properties
| { varray_col_properties |
LOB_storage_clause }
[ (LOB_partition_storage
[, LOB_partition_storage ]...
)
]
| XMLType_column_properties
}
]...

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 32


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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Sous-clause Syntaxe
commit_switchover_clause { PREPARE | COMMIT } TO SWITCHOVER
[ TO { { PHYSICAL | LOGICAL } PRIMARY
| PHYSICAL STANDBY
[ { WITH | WITHOUT } SESSION SHUTDOWN
{ WAIT | NOWAIT }
]
| LOGICAL STANDBY
}
| CANCEL
]

compile_type_clause COMPILE
[ DEBUG ]
[ SPECIFICATION | BODY ]

Oracle University and OMNIDATA. use only


[ compiler_parameters_clause
[ compiler_parameters_clause ] ... ]
[ REUSE SETTINGS ]

compiler_parameters_clause parameter_name = parameter_value

composite_partitioning PARTITION BY RANGE ( column_list )


[ subpartition_by_list | subpartition_by_hash
]
( PARTITION [ partition ]
range_values_clause
table_partition_description
[, PARTITION [ partition ]
range_values_clause
table_partition_description ] ...
)

compute_statistics_clause COMPUTE [ SYSTEM ] STATISTICS [ for_clause ]

conditional_insert_clause [ ALL | FIRST ]


WHEN condition
THEN insert_into_clause
[ values_clause ]
[ error_logging_clause ]
[ insert_into_clause
[ values_clause ]
[ error_logging_clause ]
]...
[ WHEN condition
THEN insert_into_clause
[ values_clause ]
[ error_logging_clause ]
[ insert_into_clause
[ values_clause ]
[ error_logging_clause ]
]...
]...
[ ELSE insert_into_clause

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 33


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Sous-clause Syntaxe
[ values_clause ]
[ error_logging_clause ]
[ insert_into_clause
[ values_clause ]
[ error_logging_clause ]
]...
]

constraint { inline_constraint
| out_of_line_constraint
| inline_ref_constraint
| out_of_line_ref_constraint
}

Oracle University and OMNIDATA. use only


constraint_clauses { ADD { out_of_line_constraint
[ out_of_line_constraint ]...
| out_of_line_REF_constraint
}
| MODIFY { CONSTRAINT constraint
| PRIMARY KEY
| UNIQUE (column [, column ]...)
}
constraint_state
| RENAME CONSTRAINT old_name TO new_name
| drop_constraint_clause
}

constraint_state [ [ [ NOT ] DEFERRABLE ]


[ INITIALLY { IMMEDIATE | DEFERRED } ]
| [ INITIALLY { IMMEDIATE | DEFERRED } ]
[ [ NOT ] DEFERRABLE ]
]
[ RELY | NORELY ]
[ using_index_clause ]
[ ENABLE | DISABLE ]
[ VALIDATE | NOVALIDATE ]
[ exceptions_clause ]

constructor_declaration [ FINAL ]
[ INSTANTIABLE ]
CONSTRUCTOR FUNCTION datatype
[ [ SELF IN OUT datatype, ]
parameter datatype
[, parameter datatype ]...
]
RETURN SELF AS RESULT
{ IS | AS } { pl/sql_block | call_spec }

constructor_spec [ FINAL ]
[ INSTANTIABLE ]
CONSTRUCTOR FUNCTION datatype
[ ([ SELF IN OUT datatype, ]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 34


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Sous-clause Syntaxe
parameter datatype
[, parameter datatype ]...
)
]
RETURN SELF AS RESULT
[ { IS | AS } call_spec ]

context_clause [ WITH INDEX CONTEXT,


SCAN CONTEXT implementation_type
[ COMPUTE ANCILLARY DATA ]
]
[ WITH COLUMN CONTEXT ]

Oracle University and OMNIDATA. use only


controlfile_clauses { CREATE [ LOGICAL | PHYSICAL ]
STANDBY CONTROLFILE AS
'filename' [ REUSE ]
| BACKUP CONTROLFILE TO
{ 'filename' [ REUSE ]
| trace_file_clause
}
}

create_datafile_clause CREATE DATAFILE


{ 'filename' | filenumber }
[, 'filename' | filenumber ]...
}
[ AS { file_specification
[, file_specification ]...
| NEW
}
]

create_incomplete_type CREATE [ OR REPLACE ]


TYPE [ schema. ]type_name ;

create_mv_refresh { REFRESH
{ { FAST | COMPLETE | FORCE }
| ON { DEMAND | COMMIT }
| { START WITH | NEXT } date
| WITH { PRIMARY KEY | ROWID }
| USING
{ DEFAULT [ MASTER | LOCAL ]
ROLLBACK SEGMENT
| [ MASTER | LOCAL ]
ROLLBACK SEGMENT rollback_segment
}
[ DEFAULT [ MASTER | LOCAL ]
ROLLBACK SEGMENT
| [ MASTER | LOCAL ]
ROLLBACK SEGMENT rollback_segment
]...

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 35


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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Sous-clause Syntaxe
| USING
{ ENFORCED | TRUSTED }
CONSTRAINTS
}
[ { FAST | COMPLETE | FORCE }
| ON { DEMAND | COMMIT }
| { START WITH | NEXT } date
| WITH { PRIMARY KEY | ROWID }
| USING
{ DEFAULT [ MASTER | LOCAL ]
ROLLBACK SEGMENT
| [ MASTER | LOCAL ]
ROLLBACK SEGMENT rollback_segment
}

Oracle University and OMNIDATA. use only


[ DEFAULT [ MASTER | LOCAL ]
ROLLBACK SEGMENT
| [ MASTER | LOCAL ]
ROLLBACK SEGMENT
rollback_segment
]...
| USING
{ ENFORCED | TRUSTED }
CONSTRAINTS
]...
| NEVER REFRESH
}

create_nested_table_type CREATE [ OR REPLACE ]


TYPE [ schema. ]type_name
[ OID 'object_identifier' ]
{ IS | AS } TABLE OF datatype ;

create_object_type CREATE [ OR REPLACE ]


TYPE [ schema. ]type_name
[ OID 'object_identifier' ]
[ invoker_rights_clause ]
{ { IS | AS } OBJECT
| UNDER [schema.]supertype
}
[ sqlj_object_type ]
[ ( attribute datatype
[ sqlj_object_type_attr ]
[, attribute datatype
[ sqlj_object_type_attr ]...
[, element_spec
[, element_spec ]...
]
)
]
[ [ NOT ] FINAL ]
[ [ NOT ] INSTANTIABLE ] ;

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 36


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Sous-clause Syntaxe
create_varray_type CREATE [ OR REPLACE ]
TYPE [ schema. ]type_name
[ OID 'object_identifier' ]
{ IS | AS } { VARRAY | VARYING ARRAY }
(limit) OF datatype ;

database_file_clauses { RENAME FILE


'filename' [, 'filename' ]...
TO 'filename'
| create_datafile_clause
| alter_datafile_clause
| alter_tempfile_clause
}

Oracle University and OMNIDATA. use only


database_logging_clauses { LOGFILE
[ GROUP integer ] file_specification
[, [ GROUP integer ] file_specification
]...
| MAXLOGFILES integer
| MAXLOGMEMBERS integer
| MAXLOGHISTORY integer
| { ARCHIVELOG | NOARCHIVELOG }
| FORCE LOGGING
}

datafile_tempfile_clauses { ADD { DATAFILE | TEMPFILE }


[ file_specification
[, file_specification ]...
]
| RENAME DATAFILE 'filename' [, 'filename' ]...
TO
'filename' [, 'filename' ]...
| { DATAFILE | TEMPFILE } { ONLINE | OFFLINE }
}

datafile_tempfile_spec [ 'filename' ]
[ SIZE size_clause ]
[ REUSE ]
[ autoextend_clause ]

dblink database[.domain [.domain ]... ]


[ @ connect_descriptor ]

dblink_authentication AUTHENTICATED BY user


IDENTIFIED BY password

deallocate_unused_clause DEALLOCATE UNUSED


[ KEEP size_clause ]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 37


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Sous-clause Syntaxe
default_cost_clause DEFAULT COST (cpu_cost, io_cost, network_cost)

default_selectivity_clause DEFAULT SELECTIVITY default_selectivity

default_tablespace DEFAULT TABLESPACE tablespace


[ DATAFILE datafile_tempfile_spec ]
extent_management_clause

default_settings_clauses { SET DEFAULT


{ BIGFILE | SMALLFILE } TABLESPACE
| DEFAULT TABLESPACE tablespace
| DEFAULT TEMPORARY TABLESPACE

Oracle University and OMNIDATA. use only


{ tablespace | tablespace_group_name }
| RENAME GLOBAL_NAME TO
database.domain [.domain ]...
| { ENABLE BLOCK CHANGE TRACKING
[ USING FILE 'filename' [ REUSE ] ]
| DISABLE BLOCK CHANGE TRACKING
}
| flashback_mode_clause
| set_time_zone_clause
}

default_temp_tablespace [ BIGFILE | SMALLFILE ]


DEFAULT TEMPORARY TABLESPACE tablespace
[ TEMPFILE file_specification
[, file_specification ]...
]
extent_management_clause

dependent_handling_clause { INVALIDATE
| CASCADE [ { [ NOT ] INCLUDING TABLE DATA
| CONVERT TO SUBSTITUTABLE
}
]
[ [FORCE ] exceptions_clause ]
}

dimension_join_clause JOIN KEY


{ child_key_column
| (child_key_column [, child_key_column ]...)
}
REFERENCES parent_level
[ JOIN KEY
{ child_key_column
| (child_key_column [, child_key_column
]...)
}
REFERENCES parent_level
]...

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 38


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Sous-clause Syntaxe
disk_clauses { diskgroup_name
{ add_disk_clause
| drop_disk_clauses
| resize_disk_clauses
}
| { diskgroup_name | ALL }
undrop_disk_clause
}

diskgroup_alias_clauses { ADD ALIAS


alias_name FOR filename
[, alias_name FOR filename ]...
| DROP ALIAS
alias_name

Oracle University and OMNIDATA. use only


[, alias_name ]...
| RENAME ALIAS
old_alias_name TO new_alias_name
[, old_alias_name TO new_alias_name ]...
}

diskgroup_availability { MOUNT
| DISMOUNT [ FORCE | NOFORCE ]
}

diskgroup_clauses { diskgroup_name
{ rebalance_diskgroup_clause
| check_diskgroup_clauses
| diskgroup_template_clauses
| diskgroup_directory_clauses
| diskgroup_alias_clauses
| drop_diskgroup_file_clause
}
| { diskgroup_name | ALL }
diskgroup_availability
}

diskgroup_directory_clauses { ADD DIRECTORY


filename
[, filename ]...
| DROP DIRECTORY
filename [ FORCE | NOFORCE ]
[, filename [ FORCE | NOFORCE ] ]...
| RENAME DIRECTORY
old_dir_name TO new_dir_name
[, old_dir_name TO new_dir_name ]...
}

diskgroup_file_spec [ ' { fully_qualified_file_name


| numeric_file_name
| incorporate_file_name
| alias_file_name
}

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 39


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Sous-clause Syntaxe
'
]
[ SIZE size_clause ]
[ REUSE ]
[ autoextend_clause ]

diskgroup_template_clauses { { ADD | ALTER } TEMPLATE


qualified_template_clause
[, qualified_template_clause ]...
| DROP TEMPLATE
template_name
[, template_name ]...
}

Oracle University and OMNIDATA. use only


distributed_recov_clauses { ENABLE | DISABLE } DISTRIBUTED RECOVERY

dml_event_clause { DELETE | INSERT | UPDATE


[ OF column [, column]... ]
}
[ OR { DELETE | INSERT | UPDATE
[ OF column [, column]... ]
}
]...
ON { [ schema. ]table
| [ NESTED TABLE nested_table_column OF ]
[ schema. ] view
}
[ referencing_clause ]
[ FOR EACH ROW ]

dml_table_expression_clause { [ schema. ]
{ table
[ { PARTITION (partition)
| SUBPARTITION (subpartition)
}
| @ dblink
]
| { view | materialized view } [ @ dblink ]
}
| ( subquery [ subquery_restriction_clause ] )
| table_collection_expression
}

domain_index_clause INDEXTYPE IS indextype


[ parallel_clause ]
[ PARAMETERS ('ODCI_parameters') ]

drop_binding_clause DROP BINDING


(parameter_type
[, parameter_type ]...)
[ FORCE ]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 40


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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Sous-clause Syntaxe
drop_column_clause { SET UNUSED { COLUMN column
| (column [, column ]...)
}
[ { CASCADE CONSTRAINTS | INVALIDATE }
[ CASCADE CONSTRAINTS | INVALIDATE ]...
]
| DROP { COLUMN column
| (column [, column ]...)
}
[ { CASCADE CONSTRAINTS | INVALIDATE }
[ CASCADE CONSTRAINTS | INVALIDATE ]...
]
[ CHECKPOINT integer ]
| DROP { UNUSED COLUMNS

Oracle University and OMNIDATA. use only


| COLUMNS CONTINUE
}
[ CHECKPOINT integer ]
}

drop_constraint_clause DROP
{ { PRIMARY KEY
| UNIQUE (column [, column ]...)
}
[ CASCADE ]
[ { KEEP | DROP } INDEX ]
| CONSTRAINT constraint
[ CASCADE ]
}

drop_disk_clauses DROP
{ DISK
disk_name [ FORCE | NOFORCE ]
[, disk_name [ FORCE | NOFORCE ] ]...
| DISKS IN FAILGROUP
failgroup_name [ FORCE | NOFORCE ]
[, failgroup_name [ FORCE | NOFORCE ] ]...
}

drop_diskgroup_file_clause DROP FILE


filename
[, filename ]...

drop_index_partition DROP PARTITION partition_name

drop_logfile_clauses DROP [ STANDBY ] LOGFILE


{ logfile_descriptor
[, logfile_descriptor ]...
| MEMBER 'filename'
[, 'filename' ]...
}

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 41


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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Sous-clause Syntaxe
drop_table_partition DROP PARTITION partition
[ update_index_clauses [ parallel_clause ] ]

drop_table_subpartition DROP SUBPARTITION subpartition


[ update_index_clauses [ parallel_clause ] ]

element_spec [ inheritance_clauses ]
{ subprogram_spec
| constructor_spec
| map_order_function_spec
}
[ subprogram_clause
| constructor_spec
| map_order_function_spec

Oracle University and OMNIDATA. use only


]...
[, pragma_clause ]

else_clause ELSE else_expr

enable_disable_clause { ENABLE | DISABLE }


[ VALIDATE | NOVALIDATE ]
{ UNIQUE (column [, column ]...)
| PRIMARY KEY
| CONSTRAINT constraint
}
[ using_index_clause ]
[ exceptions_clause ]
[ CASCADE ]
[ { KEEP | DROP } INDEX ]

end_session_clauses { DISCONNECT SESSION 'integer1, integer2'


[ POST_TRANSACTION ]
| KILL SESSION 'integer1, integer2'
}
[ IMMEDIATE ]

estimate_statistics_clause ESTIMATE [ SYSTEM ] STATISTICS [ for_clause ]


[ SAMPLE integer { ROWS | PERCENT } ]

exceptions_clause EXCEPTIONS INTO [ schema. ]table

exchange_partition_subpart EXCHANGE { PARTITION partition


| SUBPARTITION subpartition
}
WITH TABLE table
[ { INCLUDING | EXCLUDING } INDEXES ]
[ { WITH | WITHOUT } VALIDATION ]
[ exceptions_clause ]
[ update_index_clauses [ parallel_clause ] ]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 42


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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Sous-clause Syntaxe
expr { simple_expression
| compound_expression
| case_expression
| cursor_expression
| datetime_expression
| function_expression
| interval_expression
| object_access_expression
| scalar_subquery_expression
| model_expression
| type_constructor_expression
| variable_expression
}

Oracle University and OMNIDATA. use only


expression_list { expr [, expr ]...
| (expr [, expr ]...)
}

extended_attribute_clause ATTRIBUTE attribute


LEVEL level
DETERMINES { dependent_column
| (dependent_column
[, dependent_column ]...
)
[ LEVEL level
DETERMINES { dependent_column
| (dependent_column
[, dependent_column ]...
)
]...

extent_management_clause EXTENT MANAGEMENT


{ DICTIONARY
| LOCAL
[ AUTOALLOCATE
| UNIFORM
[ SIZE size_clause ]
]
}

external_data_properties DEFAULT DIRECTORY directory


[ ACCESS PARAMETERS
{ (opaque_format_spec)
| USING CLOB subquery
}
]
LOCATION
([ directory: ] 'location_specifier'
[, [ directory: ] 'location_specifier'
]...
)

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 43


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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Sous-clause Syntaxe
external_table_clause ([ TYPE access_driver_type ]
external_data_properties
)
[ REJECT LIMIT { integer | UNLIMITED } ]

file_specification { datafile_tempfile_spec
| diskgroup_file_spec
| redo_log_file_spec
}

finish_clause [ DISCONNECT [ FROM SESSION ] ]


[ parallel_clause ]
FINISH
[ SKIP [ STANDBY LOGFILE ] ]

Oracle University and OMNIDATA. use only


[ WAIT | NOWAIT ]

flashback_mode_clause FLASHBACK { ON | OFF }

flashback_query_clause [ VERSIONS BETWEEN


{ SCN | TIMESTAMP }
{ expr | MINVALUE } AND
{ expr | MAXVALUE }
]
AS OF { SCN | TIMESTAMP } expr

for_clause FOR
{ TABLE
| ALL [ INDEXED ] COLUMNS [ SIZE integer ]
| COLUMNS [ SIZE integer ]
{ column | attribute } [ SIZE integer ]
[ { column | attribute }
[ SIZE integer ]
]...
| ALL [ LOCAL ] INDEXES
}
[ FOR
{ TABLE
| ALL [ INDEXED ] COLUMNS
[ SIZE integer ]
| COLUMNS [ SIZE integer ]
{ column | attribute } [ SIZE integer ]
[ { column | attribute }
[ SIZE integer ]
]...
| ALL [ LOCAL ] INDEXES
}
]...

for_update_clause FOR UPDATE


[ OF [ [ schema. ]
{ table | view } . ]column
[, [ [ schema. ]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 44


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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Sous-clause Syntaxe
{ table | view } . ]column
]...
]
[ NOWAIT | WAIT integer ]

full_database_recovery [ STANDBY ] DATABASE


[ { UNTIL { CANCEL
| TIME date
| CHANGE integer
}
| USING BACKUP CONTROLFILE
}
[ UNTIL { CANCEL

Oracle University and OMNIDATA. use only


| TIME date
| CHANGE integer
}
| USING BACKUP CONTROLFILE
]...
]

fully_qualified_file_name +diskgroup_name/db_name/file_type/
file_type_tag.filenumber.incarnation_number

function_association { FUNCTIONS
[ schema. ]function [, [ schema. ]function
]...
| PACKAGES
[ schema. ]package [, [ schema. ]package
]...
| TYPES
[ schema. ]type [, [ schema. ]type ]...
| INDEXES
[ schema. ]index [, [ schema. ]index ]...
| INDEXTYPES
[ schema. ]indextype [, [ schema.
]indextype ]...
}
{ using_statistics_type
| { default_cost_clause
[, default_selectivity_clause ]
| default_selectivity_clause
[, default_cost_clause ]
}
}

function_declaration FUNCTION name


(parameter datatype [, parameter datatype
]...)
RETURN datatype
{ IS | AS } { pl/sql_block | call_spec }

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 45


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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Sous-clause Syntaxe
function_spec FUNCTION name
(parameter datatype [, parameter datatype
]...)
return_clause

general_recovery RECOVER
[ AUTOMATIC ]
[ FROM 'location' ]
{ { full_database_recovery
| partial_database_recovery
| LOGFILE 'filename'
}
[ { TEST
| ALLOW integer CORRUPTION

Oracle University and OMNIDATA. use only


| parallel_clause
}
[ TEST
| ALLOW integer CORRUPTION
| parallel_clause
]...
]
| CONTINUE [ DEFAULT ]
| CANCEL
}

global_partitioned_index GLOBAL PARTITION BY


{ RANGE
(column_list)
(index_partitioning_clause)
| HASH
(column_list)
{ individual_hash_partitions
| hash_partitions_by_quantity
}
}

grant_object_privileges { object_privilege | ALL [ PRIVILEGES ] }


[ (column [, column ]...) ]
[, { object_privilege | ALL [ PRIVILEGES ] }
[ (column [, column ]...) ]
]...
on_object_clause
TO grantee_clause
[ WITH HIERARCHY OPTION ]
[ WITH GRANT OPTION ]

grant_system_privileges { system_privilege
| role
| ALL PRIVILEGES
}
[, { system_privilege

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 46


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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Sous-clause Syntaxe
| role
| ALL PRIVILEGES
}
]...
TO grantee_clause
[ IDENTIFIED BY password ]
[ WITH ADMIN OPTION ]

grantee_clause { user | role | PUBLIC }


[, { user | role | PUBLIC } ]...

group_by_clause GROUP BY
{ expr
| rollup_cube_clause

Oracle University and OMNIDATA. use only


| grouping_sets_clause
}
[, { expr
| rollup_cube_clause
| grouping_sets_clause
}
]...
[ HAVING condition ]

grouping_expression_list expression_list [, expression_list ]...

grouping_sets_clause GROUPING SETS


({ rollup_cube_clause | grouping_expression_list
})

hash_partitioning PARTITION BY HASH


(column [, column ] ...)
{ individual_hash_partitions
| hash_partitions_by_quantity
}

hash_partitions_by_quantity PARTITIONS hash_partition_quantity


[ STORE IN
(tablespace [, tablespace ]...) ]
[ OVERFLOW STORE IN
(tablespace [, tablespace ]...) ]

hierarchical_query_clause [ START WITH condition ]


CONNECT BY [ NOCYCLE ] condition

hierarchy_clause HIERARCHY hierarchy


(child_level CHILD OF parent_level
[ CHILD OF parent_level ]...
[ dimension_join_clause ]
)

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 47


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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Sous-clause Syntaxe
implementation_clause { ANCILLARY TO
primary_operator (parameter_type
[, parameter_type ]...)
[, primary_operator ( parameter_type
[, parameter_type
]...)
]...
| context_clause
}

incomplete_file_name +diskgroup_name [ (template_name) ]

index_attributes [ { physical_attributes_clause

Oracle University and OMNIDATA. use only


| logging_clause
| ONLINE
| COMPUTE STATISTICS
| TABLESPACE { tablespace | DEFAULT }
| key_compression
| { SORT | NOSORT }
| REVERSE
| parallel_clause
}
[ physical_attributes_clause
| logging_clause
| ONLINE
| COMPUTE STATISTICS
| TABLESPACE { tablespace | DEFAULT }
| key_compression
| { SORT | NOSORT }
| REVERSE
| parallel_clause
]...
]

index_expr { column | column_expression }

index_org_overflow_clause [ INCLUDING column_name ]


OVERFLOW
[ segment_attributes_clause ]

index_org_table_clause [ { mapping_table_clause
| PCTTHRESHOLD integer
| key_compression
}
[ mapping_table_clause
| PCTTHRESHOLD integer
| key_compression
]...
]
[ index_org_overflow_clause ]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 48


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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Sous-clause Syntaxe
index_partition_description PARTITION
[ partition
[ { segment_attributes_clause
| key_compression
}
[ segment_attributes_clause
| key_compression
]...
]
]

index_partitioning_clause PARTITION [ partition ]


VALUES LESS THAN (value[, value... ])
[ segment_attributes_clause ]

Oracle University and OMNIDATA. use only


index_properties [ { { global_partitioned_index
| local_partitioned_index
}
| index_attributes
}
[ { { global_partitioned_index
| local_partitioned_index
}
| index_attributes
}
]...
| domain_index_clause
]

index_subpartition_clause { STORE IN (tablespace[, tablespace ]...)


| (SUBPARTITION
[ subpartition [ TABLESPACE tablespace ] ]
[, SUBPARTITION
[ subpartition [ TABLESPACE tablespace
] ]
]...
)
}

individual_hash_partitions (PARTITION
[ partition partitioning_storage_clause ]
[, PARTITION
[ partition partitioning_storage_clause
]
]...
)

inheritance_clauses [ NOT ] { OVERRIDING | FINAL | INSTANTIABLE }


[ [ NOT ] { OVERRIDING | FINAL | INSTANTIABLE
} ]...

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 49


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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Sous-clause Syntaxe
inline_constraint [ CONSTRAINT constraint_name ]
{ [ NOT ] NULL
| UNIQUE
| PRIMARY KEY
| references_clause
| CHECK (condition)
}
[ constraint_state ]

inline_ref_constraint { SCOPE IS [ schema. ] scope_table


| WITH ROWID
| [ CONSTRAINT constraint_name ]
references_clause
[ constraint_state ]

Oracle University and OMNIDATA. use only


}

inner_cross_join_clause table_reference
{ [ INNER ] JOIN table_reference
{ ON condition
| USING ( column [, column ]...)
}
| { CROSS
| NATURAL [ INNER ]
}
JOIN table_reference
}

insert_into_clause INTO dml_table_expression_clause [ t_alias ]


[ (column [, column ]...) ]

integer [ + | - ] digit [ digit ]...

interval_day_to_second INTERVAL
'{ integer | integer time_expr | time_expr }'
{ { DAY | HOUR | MINUTE }
[ (leading_precision) ]
| SECOND
[ (leading_precision
[, fractional_seconds_precision ]
)
]
}
[ TO { DAY | HOUR | MINUTE | SECOND
[ (fractional_seconds_precision) ]
}
]

interval_year_to_month INTERVAL 'integer [- integer ]'


{ YEAR | MONTH } [ (precision) ]
[ TO { YEAR | MONTH } ]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 50


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Sous-clause Syntaxe
into_clause INTO [ schema. ] table

invoker_rights_clause AUTHID { CURRENT_USER | DEFINER }

Java_declaration JAVA NAME 'string'

join_clause { inner_cross_join_clause | outer_join_clause }

key_compression { COMPRESS [ integer ]


| NOCOMPRESS
}

Oracle University and OMNIDATA. use only


level_clause LEVEL level IS
{ level_table.level_column
| (level_table.level_column
[, level_table.level_column ]...
)
}

list_partitioning PARTITION BY LIST (column)


( PARTITION [ partition ]
list_values_clause
table_partition_description
[, PARTITION [ partition ]
list_values_clause
table_partition_description
]...
)

list_values_clause VALUES ({ value | NULL


[, { value | NULL }...)
| DEFAULT
)

LOB_parameters { TABLESPACE tablespace


| { ENABLE | DISABLE } STORAGE IN ROW
| storage_clause
| CHUNK integer
| PCTVERSION integer
| RETENTION
| FREEPOOLS integer
| { CACHE
| { NOCACHE | CACHE READS } [ logging_clause ]
}
}
[ TABLESPACE tablespace
| { ENABLE | DISABLE } STORAGE IN ROW
| storage_clause

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 51


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Sous-clause Syntaxe
| CHUNK integer
| PCTVERSION integer
| RETENTION
| FREEPOOLS integer
| { CACHE
| { NOCACHE | CACHE READS } [ logging_clause
]
}
]...

LOB_partition_storage PARTITION partition


{ LOB_storage_clause | varray_col_properties }
[ LOB_storage_clause | varray_col_properties
]...

Oracle University and OMNIDATA. use only


[ (SUBPARTITION subpartition
{ LOB_storage_clause | varray_col_properties
}
[ LOB_storage_clause
| varray_col_properties
]...
)
]

LOB_storage_clause LOB
{ (LOB_item [, LOB_item ]...)
STORE AS (LOB_parameters)
| (LOB_item)
STORE AS
{ LOB_segname (LOB_parameters)
| LOB_segname
| (LOB_parameters)
}
}

local_partitioned_index LOCAL
[ on_range_partitioned_table
| on_list_partitioned_table
| on_hash_partitioned_table
| on_comp_partitioned_table
]

logfile_clause LOGFILE
[ GROUP integer ] file_specification
[, [ GROUP integer ] file_specification ]...

logfile_clauses { { ARCHIVELOG [ MANUAL ]


| NOARCHIVELOG
}
| [ NO ] FORCE LOGGING
| RENAME FILE 'filename'
[, 'filename' ]...
TO 'filename'

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 52


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Sous-clause Syntaxe
| CLEAR
[ UNARCHIVED ]
LOGFILE logfile_descriptor
[, logfile_descriptor ]...
[ UNRECOVERABLE DATAFILE ]
| add_logfile_clauses
| drop_logfile_clauses
| supplemental_db_logging
}

logfile_descriptor { GROUP integer


| ('filename' [, 'filename' ]...)
| 'filename'
}

Oracle University and OMNIDATA. use only


logging_clause { LOGGING | NOLOGGING }

main_model [ MAIN main_model_name ]


model_column_clauses
[ cell_reference_options ]
model_rules_clause

managed_standby_recovery RECOVER MANAGED STANDBY DATABASE


[ recover_clause | cancel_clause |
finish_clause ]

map_order_func_declaration { MAP | ORDER } MEMBER function_declaration

map_order_function_spec { MAP | ORDER } MEMBER function_spec

mapping_table_clauses { MAPPING TABLE | NOMAPPING }

materialized_view_props [ column_properties ]
[ table_partitioning_clauses ]
[ CACHE | NOCACHE ]
[ parallel_clause ]
[ build_clause ]

maximize_standby_db_clause SET STANDBY DATABASE TO MAXIMIZE


{ PROTECTION | AVAILABILITY | PERFORMANCE }

maxsize_clause MAXSIZE { UNLIMITED | size_clause }

merge_insert_clause WHEN NOT MATCHED THEN


INSERT [ (column [, column ]...) ]
VALUES ({ expr [, expr ]... | DEFAULT })
[ where_clause ]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 53


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Sous-clause Syntaxe
merge_table_partitions MERGE PARTITIONS partition_1, partition_2
[ INTO partition_spec ]
[ update_index_clauses ]
[ parallel_clause ]

merge_table_subpartitions MERGE SUBPARTITIONS subpart_1, subpart_2


[ INTO subpartition_spec ]
[ update_index_clauses ]
[ parallel_clause ]

merge_update_clause WHEN MATCHED THEN


UPDATE SET column = { expr | DEFAULT }
[, column = { expr | DEFAULT } ]...

Oracle University and OMNIDATA. use only


[ where_clause ]
[ DELETE where_clause ]

model_clause MODEL
[ cell_reference_options ]
[ return_rows_clause ]
[ reference_model ]
[ reference_model ]...
main_model

model_column expr [ [ AS ] c_alias ]

model_column_clauses [ query_partition_clause [ c_alias ] ]


DIMENSION BY (model_column
[, model_column ]...)
MEASURES (model_column
[, model_column ]...)

model_rules_clause RULES
[ UPSERT | UPDATE ]
[ { AUTOMATIC | SEQUENTIAL } ORDER ]
[ ITERATE (number) [ UNTIL (condition) ] ]
([ UPDATE | UPSERT ]
cell_assignment [ order_by_clause ] = expr
[ [ UPDATE | UPSERT ]
cell_assignment [ order_by_clause ] = expr
]...
)

modify_col_properties ( column [ datatype ]


[ DEFAULT expr ]
[ inline_constraint
[ inline_constraint ]... ]
[ LOB_storage_clause ]
[, column [ datatype ]
[ DEFAULT expr ]
[ inline_constraint

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 54


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Sous-clause Syntaxe
[ inline_constraint ]... ]
[ LOB_storage_clause ]
]
)

modify_col_substitutable COLUMN column


[ NOT ] SUBSTITUTABLE AT ALL LEVELS
[ FORCE ]

modify_collection_retrieval MODIFY NESTED TABLE collection_item


RETURN AS { LOCATOR | VALUE }

Oracle University and OMNIDATA. use only


modify_column_clauses MODIFY { modify_col_properties
| modify_col_substitutable
}

modify_hash_partition MODIFY PARTITION partition


{ partition_attributes
| alter_mapping_table_clause
| [ REBUILD ] UNUSABLE LOCAL INDEXES
}

modify_hash_subpartition { { allocate_extent_clause
| deallocate_unused_clause
| shrink_clause
| { LOB LOB_item
| VARRAY varray
}
modify_LOB_parameters
[ { LOB LOB_item
| VARRAY varray
}
modify_LOB_parameters
]...
}
| [ REBUILD ] UNUSABLE LOCAL INDEXES
}

modify_index_default_attrs MODIFY DEFAULT ATTRIBUTES


[ FOR PARTITION partition ]
{ physical_attributes_clause
| TABLESPACE { tablespace | DEFAULT }
| logging_clause
}
[ physical_attributes_clause
| TABLESPACE { tablespace | DEFAULT }
| logging_clause
]...

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 55


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Sous-clause Syntaxe
modify_index_partition MODIFY PARTITION partition
{ { deallocate_unused_clause
| allocate_extent_clause
| physical_attributes_clause
| logging_clause
| key_compression
}
[ deallocate_unused_clause
| allocate_extent_clause
| physical_attributes_clause
| logging_clause
| key_compression
]...
| PARAMETERS ('ODCI_parameters')

Oracle University and OMNIDATA. use only


| COALESCE
| UPDATE BLOCK REFERENCES
| UNUSABLE
}

modify_index_subpartition MODIFY SUBPARTITION subpartition


{ UNUSABLE
| allocate_extent_clause
| deallocate_unused_clause
}

modify_list_partition MODIFY PARTITION partition


{ partition_attributes
| {ADD | DROP} VALUES
(partition_value[, partition_value ]...)
| [ REBUILD ] UNUSABLE LOCAL INDEXES
}

modify_list_subpartition { allocate_extent_clause
| deallocate_unused_clause
| shrink_clause
| { LOB LOB_item | VARRAY varray }
modify_LOB_parameters
[ { LOB LOB_item | VARRAY varray }
modify_LOB_parameters
] ...
| [ REBUILD ] UNUSABLE LOCAL INDEXES
| { ADD | DROP } VALUES (value[, value ]...)
}

modify_LOB_parameters { storage_clause
| PCTVERSION integer
| RETENTION
| FREEPOOLS integer
| REBUILD FREEPOOLS
| { CACHE
| { NOCACHE | CACHE READS } [ logging_clause ]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 56


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Sous-clause Syntaxe
}
| allocate_extent_clause
| deallocate_unused_clause
| shrink_clause

}
[ storage_clause
| PCTVERSION integer
| RETENTION
| FREEPOOLS integer
| REBUILD FREEPOOLS
| { CACHE
| { NOCACHE | CACHE READS } [ logging_clause
]

Oracle University and OMNIDATA. use only


}
| allocate_extent_clause
| deallocate_unused_clause
| shrink_clause
]...

modify_LOB_storage_clause MODIFY LOB (LOB_item)


(modify_LOB_parameters)

modify_range_partition MODIFY PARTITION partition


{ partition_attributes
| { add_hash_subpartition
| add_list_subpartition
}
| COALESCE SUBPARTITION
[ update_index_clauses ]
[ parallel_clause ]
| alter_mapping_table_clause
| [ REBUILD ] UNUSABLE LOCAL INDEXES
}

modify_table_default_attrs MODIFY DEFAULT ATTRIBUTES


[ FOR PARTITION partition ]
[ segment_attributes_clause ]
[ table_compression ]
[ PCTTHRESHOLD integer ]
[ key_compression ]
[ alter_overflow_clause ]
[ { LOB (LOB_item)
| VARRAY varray
}
(LOB_parameters)
[ { LOB (LOB_item)
| VARRAY varray
}
(LOB_parameters)
]...
]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 57


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Sous-clause Syntaxe
modify_table_partition { modify_range_partition
| modify_hash_partition
| modify_list_partition
}

modify_table_subpartition MODIFY SUBPARTITION subpartition


{ modify_hash_subpartition
| modify_list_subpartition
}

move_table_clause MOVE [ ONLINE ]


[ segment_attributes_clause ]
[ table_compression ]
[ index_org_table_clause ]

Oracle University and OMNIDATA. use only


[ { LOB_storage_clause
| varray_col_properties
}
[ { LOB_storage_clause
| varray_col_properties
}
]...
]
[ parallel_clause ]

move_table_partition MOVE PARTITION partition


[ MAPPING TABLE ]
[ table_partition_description ]
[ update_index_clauses ]
[ parallel_clause ]

move_table_subpartition MOVE SUBPARTITION


subpartition_spec
[ update_index_clauses ]
[ parallel_clause ]

multi_column_for_loop FOR (dimension_column


[, dimension_column ]...)
IN ( { (literal [, literal ]...)
[ (literal [, literal ]...)... ]
| subquery
}
)

multi_table_insert { ALL insert_into_clause


[ values_clause ]
[ insert_into_clause
[ values_clause ]
]...
| conditional_insert_clause
}
subquery

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 58


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Sous-clause Syntaxe
multiset_except nested_table1
MULTISET EXCEPT [ ALL | DISTINCT ]
nested_table2

multiset_intersect nested_table1
MULTISET INTERSECT [ ALL | DISTINCT ]
nested_table2

multiset_union nested_table1
MULTISET UNION [ ALL | DISTINCT ]
nested_table2

nested_table_col_properties NESTED TABLE

Oracle University and OMNIDATA. use only


{ nested_item | COLUMN_VALUE }
[ substitutable_column_clause ]
STORE AS storage_table
[ ( { (object_properties)
| [ physical_properties ]
| [ column_properties ]
}
[ (object_properties)
| [ physical_properties ]
| [ column_properties ]
]...
)
]
[ RETURN AS { LOCATOR | VALUE } ]

new_values_clause { INCLUDING | EXCLUDING } NEW VALUES

number [ + | - ]
{ digit [ digit ]... [ . ] [ digit [ digit ]...
]
| . digit [ digit ]...
}
[ e [ + | - ] digit [ digit ]... ]
[ f | d ]

numeric_file_name +diskgroup_name.filenumber.incarnation_number

object_properties { { column | attribute }


[ DEFAULT expr ]
[ inline_constraint [ inline_constraint ]...
| inline_ref_constraint
]
| { out_of_line_constraint
| out_of_line_ref_constraint
| supplemental_logging_props
}
}

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 59


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Sous-clause Syntaxe
object_table CREATE [ GLOBAL TEMPORARY ] TABLE
[ schema. ]table OF
[ schema. ]object_type
[ object_table_substitution ]
[ (object_properties) ]
[ ON COMMIT { DELETE | PRESERVE } ROWS ]
[ OID_clause ]
[ OID_index_clause ]
[ physical_properties ]
[ table_properties ] ;

object_table_substitution [ NOT ] SUBSTITUTABLE AT ALL LEVELS

Oracle University and OMNIDATA. use only


object_type_col_properties COLUMN column substitutable_column_clause

object_view_clause OF [ schema. ]type_name


{ WITH OBJECT IDENTIFIER
{ DEFAULT | ( attribute
[, attribute ]... )
}
| UNDER [ schema. ]superview
}
({ out_of_line_constraint
| attribute inline_constraint
[ inline_constraint ]...
}
[, { out_of_line_constraint
| attribute inline_constraint
[ inline_constraint ]...
}
]...
)

OID_clause OBJECT IDENTIFIER IS


{ SYSTEM GENERATED | PRIMARY KEY }

OID_index_clause OIDINDEX [ index ]


({ physical_attributes_clause
| TABLESPACE tablespace
}
[ physical_attributes_clause
| TABLESPACE tablespace
]...
)

on_comp_partitioned_table [ STORE IN ( tablespace [, tablespace ]... ) ]


( PARTITION
[ partition
[ { segment_attribute_clause
| key_compression

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 60


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Sous-clause Syntaxe
}
[ segment_attribute_clause
| key_compression
]...
]
[ index_subpartition_clause ]
]
[, PARTITION
[ partition
[ { segment_attribute_clause
| key_compression
}
[ segment_attribute_clause
| key_compression

Oracle University and OMNIDATA. use only


]...
]
[ index_subpartition_clause ]
]...
]
)

on_hash_partitioned_table { STORE IN (tablespace[, tablespace ]...)


| (PARTITION
[ partition [ TABLESPACE tablespace ] ]
[, PARTITION
[ partition [ TABLESPACE tablespace ] ]
]...
)
}

on_list_partitioned_table ( PARTITION
[ partition
[ { segment_attributes_clause
| key_compression
}
[ segment_attributes_clause
| key_compression
]...
]
]
[, PARTITION
[ partition
[ { segment_attributes_clause
| key_compression
}
[ segment_attributes_clause
| key_compression
]...
]
]
]...
)

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 61


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Sous-clause Syntaxe
on_object_clause { schema.object
| { DIRECTORY directory_name
| JAVA { SOURCE | RESOURCE } [ schema. ]object
}
}

on_range_partitioned_table ( PARTITION
[ partition
[ { segment_attributes_clause
| key_compression
}
[ segment_attributes_clause
| key_compression
]...

Oracle University and OMNIDATA. use only


]
]
[, PARTITION
[ partition
[ { segment_attributes_clause
| key_compression
}
[ segment_attributes_clause
| key_compression
]...
]
]
]...
)

order_by_clause ORDER [ SIBLINGS ] BY


{ expr | position | c_alias }
[ ASC | DESC ]
[ NULLS FIRST | NULLS LAST ]
[, { expr | position | c_alias }
[ ASC | DESC ]
[ NULLS FIRST | NULLS LAST ]
]...

out_of_line_constraint [ CONSTRAINT constraint_name ]


{ UNIQUE (column [, column ]...)
| PRIMARY KEY (column [, column ]...)
| FOREIGN KEY (column [, column ]...)
references_clause
| CHECK (condition)
}
[ constraint_state ]

out_of_line_ref_constraint { SCOPE FOR


({ ref_col | ref_attr })
IS [ schema. ]scope_table
| REF
({ ref_col | ref_attr })
WITH ROWID

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 62


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Sous-clause Syntaxe
| [ CONSTRAINT constraint_name ]
FOREIGN KEY
({ ref_col | ref_attr })
references_clause
[ constraint_state ]
}

outer_join_clause table_reference
[ query_partition_clause ]
{ outer_join_type JOIN
| NATURAL [ outer_join_type ] JOIN
}
table_reference [ query_partition_clause ]
[ ON condition

Oracle University and OMNIDATA. use only


| USING ( column [, column ]...)
]

outer_join_type { FULL | LEFT | RIGHT }


[ OUTER ]

parallel_clause { NOPARALLEL | PARALLEL [ integer ] }

parallel_enable_clause PARALLEL_ENABLE
[ (PARTITION argument BY
{ ANY
| { HASH | RANGE } (column [, column ]...)
}
)
[ streaming_clause ]
]

partial_database_recovery { TABLESPACE tablespace [, tablespace ]...


| DATAFILE { 'filename' | filenumber }
[, 'filename' | filenumber ]...
}
| STANDBY
{ TABLESPACE tablespace [, tablespace ]...
| DATAFILE { 'filename' | filenumber }
[, 'filename' | filenumber ]...
}
}
UNTIL [ CONSISTENT WITH ] CONTROLFILE
}

partition_attributes [ { physical_attributes_clause
| logging_clause
| allocate_extent_clause
| deallocate_unused_clause
| shrink_clause
}

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 63


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Sous-clause Syntaxe
[ physical_attributes_clause
| logging_clause
| allocate_extent_clause
| deallocate_unused_clause
| shrink_clause
]...
]
[ OVERFLOW
{ physical_attributes_clause
| logging_clause
| allocate_extent_clause
| deallocate_unused_clause
}
[ physical_attributes_clause

Oracle University and OMNIDATA. use only


| logging_clause
| allocate_extent_clause
| deallocate_unused_clause
]...
]
[ table_compression ]
[ { LOB LOB_item | VARRAY varray }
modify_LOB_parameters
[ { LOB LOB_item | VARRAY varray }
modify_LOB_parameters
]...
]

partition_extended_name [ schema.] { table | view }


[ PARTITION (partition)
| SUBPARTITION (subpartition)
]

partition_level_subpartition { SUBPARTITIONS hash_subpartition_quantity


[ STORE IN (tablespace [, tablespace ]...) ]
| (subpartition_spec[, subpartition_spec ]...)
}

partition_spec PARTITION [ partition ]


[ table_partition_description ]

partitioning_storage_clause [ { TABLESPACE tablespace


| OVERFLOW [ TABLESPACE tablespace ]
| LOB (LOB_item) STORE AS
{ LOB_segname [ (TABLESPACE tablespace) ]
| (TABLESPACE tablespace)
}
| VARRAY varray_item STORE AS LOB LOB_segname
}
[ { TABLESPACE tablespace
| OVERFLOW [ TABLESPACE tablespace ]
| LOB (LOB_item) STORE AS
{ LOB_segname [ (TABLESPACE tablespace)
]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 64


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Sous-clause Syntaxe
| (TABLESPACE tablespace)
}
| VARRAY varray_item STORE AS LOB
LOB_segname
}
]...
]

password_parameters { { FAILED_LOGIN_ATTEMPTS
| PASSWORD_LIFE_TIME
| PASSWORD_REUSE_TIME
| PASSWORD_REUSE_MAX
| PASSWORD_LOCK_TIME
| PASSWORD_GRACE_TIME
}

Oracle University and OMNIDATA. use only


{ expr | UNLIMITED | DEFAULT }
| PASSWORD_VERIFY_FUNCTION
{ function | NULL | DEFAULT }
}

permanent_tablespace_clause { MINIMUM EXTENT integer [ K | M ]


| BLOCKSIZE integer [ K ]
| logging_clause
| FORCE LOGGING
| DEFAULT [ table_compression ]
storage_clause
| { ONLINE | OFFLINE }
| extent_management_clause
| segment_management_clause
| flashback_mode_clause
[ MINIMUM EXTENT integer [ K | M ]
| BLOCKSIZE integer [ K ]
| logging_clause
| FORCE LOGGING
| DEFAULT [ table_compression ]
storage_clause
| { ONLINE | OFFLINE }
| extent_management_clause
| segment_management_clause
| flashback_mode_clause
]...
}

physical_attributes_clause [ { PCTFREE integer


| PCTUSED integer
| INITRANS integer
| storage_clause
}
[ PCTFREE integer
| PCTUSED integer
| INITRANS integer
| storage_clause
]...
]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 65


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Sous-clause Syntaxe
physical_properties { segment_attributes_clause
[ table_compression ]
| ORGANIZATION
{ HEAP
[ segment_attributes_clause ]
[ table_compression ]
| INDEX
[ segment_attributes_clause ]
index_org_table_clause
| EXTERNAL
external_table_clause
}
| CLUSTER cluster (column [, column ]...)
}

Oracle University and OMNIDATA. use only


pragma_clause PRAGMA RESTRICT_REFERENCES
({ method_name | DEFAULT } ,
{ RNDS | WNDS | RNPS | WNPS | TRUST }
[, { RNDS | WNDS | RNPS | WNPS | TRUST } ]...
)

procedure_declaration PROCEDURE name (parameter datatype


[, parameter datatype ]...)
{ IS | AS } { pl/sql_block | call_spec }

procedure_spec PROCEDURE name


(parameter datatype [, parameter datatype ]...)
[ { IS | AS } call_spec ]

proxy_authentication { AUTHENTICATION REQUIRED


| AUTHENTICATED USING
{ PASSWORD
| DISTINGUISHED NAME
| CERTIFICATE [ TYPE 'type' ]
[ VERSION 'version' ]
}
}

proxy_clause { GRANT | REVOKE }


CONNECT THROUGH proxy
[ WITH { ROLE { role_name
[, role_name ]...
| ALL EXCEPT role_name
[, role_name ]...
}
| NO ROLES
}
]
[ proxy_authentication ]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 66


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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Sous-clause Syntaxe
qualified_disk_clause search_string
[ NAME disk_name ]
[ SIZE size_clause ]
[ FORCE | NOFORCE ]

qualified_template_clause template_name
ATTRIBUTES
([ MIRROR | UNPROTECTED ]
[ FINE | COARSE ]
)

query_partition_clause PARTITION BY
{ value_expr[, value_expr ]...

Oracle University and OMNIDATA. use only


| ( value_expr[, value_expr ]... )

query_table_expression { query_name
| [ schema. ]
{ table [ { PARTITION (partition)
| SUBPARTITION (subpartition)
}
[ sample_clause ]
| [ sample_clause ]
| @ dblink
]
| { view | materialized view } [ @ dblink ]
}
| ( subquery [ subquery_restriction_clause ] )
| table_collection_expression
}

quiesce_clauses QUIESCE RESTRICTED | UNQUIESCE

range_partitioning PARTITION BY RANGE (column[, column ]...)


( PARTITION [ partition ]
range_values_clause
table_partition_description
[, PARTITION [ partition ]
range_values_clause
table_partition_description
]...
)

range_values_clause VALUES LESS THAN


({ value | MAXVALUE }
[, { value | MAXVALUE } ]...
)

rebalance_diskgroup_clause REBALANCE [ POWER integer ]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 67


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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Sous-clause Syntaxe
rebuild_clause REBUILD
[ { PARTITION partition
| SUBPARTITION subpartition
}
| { REVERSE | NOREVERSE }
]
[ parallel_clause
| TABLESPACE tablespace
| PARAMETERS ('ODCI_parameters')
| ONLINE
| COMPUTE STATISTICS
| physical_attributes_clause
| key_compression
| logging_clause

Oracle University and OMNIDATA. use only


]
[ parallel_clause
| TABLESPACE tablespace
| PARAMETERS ('ODCI_parameters')
| ONLINE
| COMPUTE STATISTICS
| physical_attributes_clause
| key_compression
| logging_clause
]...

records_per_block_clause { MINIMIZE | NOMINIMIZE } RECORDS_PER_BLOCK

recover_clause { { DISCONNECT [ FROM SESSION ]


| { TIMEOUT integer | NOTIMEOUT }
}
| { NODELAY | DEFAULT DELAY | DELAY integer }
| NEXT integer
| { EXPIRE integer | NO EXPIRE }
| parallel_clause
| USING CURRENT LOGFILE
| UNTIL CHANGE integer
| THROUGH { [ THREAD integer ] SEQUENCE integer
| ALL ARCHIVELOG
| { ALL | LAST | NEXT } SWITCHOVER
}
}
[ { DISCONNECT [ FROM SESSION ]
| { TIMEOUT integer | NOTIMEOUT }
}
| { NODELAY | DEFAULT DELAY | DELAY integer }
| NEXT integer
| { EXPIRE integer | NO EXPIRE }
| parallel_clause
| USING CURRENT LOGFILE
| UNTIL CHANGE integer
| THROUGH { [ THREAD integer ] SEQUENCE
integer
| ALL ARCHIVELOG

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 68


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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Sous-clause Syntaxe
| { ALL | LAST | NEXT } SWITCHOVER
}
] ...

recovery_clauses { general_recovery
| managed_standby_recovery
| BEGIN BACKUP
| END BACKUP
}

redo_log_file_spec [ 'filename'
| ('filename' [, 'filename' ]...)
]

Oracle University and OMNIDATA. use only


[ SIZE size_clause ]
[ REUSE ]

redo_thread_clauses { ENABLE | DISABLE }


{ INSTANCE 'instance_name'
| [ PUBLIC ] THREAD integer
}

reference_model REFERENCE reference_spreadsheet_name


ON (subquery)
spreadsheet_column_clauses
[ cell_reference_options ]

references_clause REFERENCES [ schema. ] { object_table | view }


[ (column [, column ]...) ]
[ON DELETE { CASCADE | SET NULL } ]
[ constraint_state ]

referencing_clause REFERENCING
{ OLD [ AS ] old
| NEW [ AS ] new
| PARENT [ AS ] parent }
[ OLD [ AS ] old
| NEW [ AS ] new
| PARENT [ AS ] parent ]...

register_logfile_clause REGISTER
[ OR REPLACE ]
[ PHYSICAL | LOGICAL ]
LOGFILE
[ file_specification
[, file_specification ]...
]
FOR logminer_session_name

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 69


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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Sous-clause Syntaxe
relational_properties { column datatype [ SORT ]
[ DEFAULT expr ]
[ inline_constraint
[ inline_constraint ]...
| inline_ref_constraint
]
| { out_of_line_constraint
| out_of_line_ref_constraint
| supplemental_logging_props
}
}
[, { column datatype [ SORT ]
[ DEFAULT expr ]
[ inline_constraint

Oracle University and OMNIDATA. use only


[ inline_constraint ]...
| inline_ref_constraint
]
| { out_of_line_constraint
| out_of_line_ref_constraint
| supplemental_logging_props
}
]...

relational_table CREATE [ GLOBAL TEMPORARY ] TABLE [ schema.


]table
[ (relational_properties) ]
[ ON COMMIT { DELETE | PRESERVE } ROWS ]
[ physical_properties ]
[ table_properties ] ;

rename_column_clause RENAME COLUMN old_name TO new_name

rename_index_partition RENAME { PARTITION partition


| SUBPARTITION subpartition }
TO new_name

rename_partition_subpart RENAME { PARTITION | SUBPARTITION }


current_name TO new_name

replace_type_clause REPLACE [ invoker_rights_clause ] AS OBJECT


(attribute datatype [, attribute datatype
]...
[, element_spec [, element_spec ]... ])

resize_disk_clauses RESIZE
{ ALL [ SIZE size_clause ]
| DISK
disk_name [ SIZE size_clause ]
[, disk_name [ SIZE size_clause ] ]...
| DISKS IN FAILGROUP

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 70


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COMPUTER IS STRICTLY PROHIBITED
Sous-clause Syntaxe
failgroup_name [ SIZE size_clause ]
[, failgroup_name [ SIZE size_clause ] ]...
}

resource_parameters { { SESSIONS_PER_USER
| CPU_PER_SESSION
| CPU_PER_CALL
| CONNECT_TIME
| IDLE_TIME
| LOGICAL_READS_PER_SESSION
| LOGICAL_READS_PER_CALL
| COMPOSITE_LIMIT
}
{ integer | UNLIMITED | DEFAULT }

Oracle University and OMNIDATA. use only


| PRIVATE_SGA
{ integer [ K | M ] | UNLIMITED | DEFAULT }
}

restricted_session_clauses { ENABLE | DISABLE } RESTRICTED SESSION

return_clause { RETURN datatype [ { IS | AS } call_spec ]


| sqlj_object_type_sig
}

return_rows_clause RETURN { UPDATED | ALL } ROWS

returning_clause RETURNING expr [, expr ]...


INTO data_item [, data_item ]...

revoke_object_privileges { object_privilege | ALL [ PRIVILEGES ] }


[, { object_privilege | ALL [ PRIVILEGES ] }
]...
on_object_clause
FROM grantee_clause
[ CASCADE CONSTRAINTS | FORCE ]

revoke_system_privileges { system_privilege
| role
| ALL PRIVILEGES
}
[, { system_privilege
| role
| ALL PRIVILEGES
}
]...
FROM grantee_clause

rollup_cube_clause { ROLLUP | CUBE } (grouping_expression_list)

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 71


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Sous-clause Syntaxe
routine_clause [ schema. ] [ type. | package. ]
{ function | procedure | method }
[ @dblink_name ]
( [ argument [, argument ]... ] )

row_movement_clause { ENABLE | DISABLE } ROW MOVEMENT

sample_clause SAMPLE [ BLOCK ]


(sample_percent)
[ SEED (seed_value) ]

schema_object_clause { object_option [, object_option ]... | ALL }


auditing_on_clause

Oracle University and OMNIDATA. use only


scoped_table_ref_constraint { SCOPE FOR
({ ref_column | ref_attribute })
IS [ schema. ] { scope_table_name | c_alias }
}
[, SCOPE FOR
({ ref_column | ref_attribute })
IS [ schema. ] { scope_table_name | c_alias
}
]...

searched_case_expression WHEN condition THEN return_expr


[ WHEN condition THEN return_expr ]...

security_clause GUARD { ALL | STANDBY | NONE }

segment_attributes_clause { physical_attributes_clause
| TABLESPACE tablespace
| logging_clause
}
[ physical_attributes_clause
| TABLESPACE tablespace
| logging_clause
]...

segment_management_clause SEGMENT SPACE MANAGEMENT { MANUAL | AUTO }

select_list { *
| { query_name.*
| [ schema. ]
{ table | view | materialized view } .*
| expr [ [ AS ] c_alias ]
}
[, { query_name.*
| [ schema. ]
{ table | view | materialized view } .*

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 72


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Sous-clause Syntaxe
| expr [ [ AS ] c_alias ]
}
]...
}

set_subpartition_template SET SUBPARTITION TEMPLATE


{ (SUBPARTITION subpartition
[ list_values_clause ]
[ partitioning_storage_clause ]
[, SUBPARTITION subpartition
[ list_values_clause ]
[ partitioning_storage_clause ]...
]
)

Oracle University and OMNIDATA. use only


| hash_subpartition_quantity
}

set_time_zone_clause SET TIME_ZONE =


'{ { + | - } hh : mi | time_zone_region }'

shrink_clause SHRINK SPACE [ COMPACT ] [ CASCADE ]

shutdown_dispatcher_clause SHUTDOWN [ IMMEDIATE ] dispatcher_name

simple_case_expression expr WHEN comparison_expr


THEN return_expr
[ WHEN comparison_expr
THEN return_expr ]...

single_column_for_loop FOR dimension_column


{ IN ( { literal
[, literal ]...
| subquery
}
)
| [ LIKE pattern ]
FROM literal TO literal
{ INCREMENT | DECREMENT } literal
}

single_table_insert insert_into_clause
{ values_clause [ returning_clause ]
| subquery
}

size_clause integer [ K | M | G | T ]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 73


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Sous-clause Syntaxe
split_index_partition SPLIT PARTITION partition_name_old
AT (value [, value ]...)
[ INTO (index_partition_description,
index_partition_description
)
]
[ parallel_clause ]

split_table_partition SPLIT PARTITION current_partition


{ AT | VALUES } (value [, value ]...)
[ INTO (partition_spec, partition_spec) ]
[ update_index_clauses ]
[ parallel_clause ]

Oracle University and OMNIDATA. use only


split_table_subpartition SPLIT SUBPARTITION subpartition
VALUES ({ value | NULL }
[, value | NULL ]...)
[ INTO (subpartition_spec,
subpartition_spec
)
]
[ update_index_clauses ]
[ parallel_clause ]

sql_statement_clause { { statement_option | ALL }


[, { statement_option | ALL } ]...
| { system_privilege | ALL PRIVILEGES }
[, { system_privilege | ALL PRIVILEGES } ]...
}
[ auditing_by_clause ]

sqlj_object_type EXTERNAL NAME java_ext_name LANGUAGE JAVA


USING (SQLData | CustomDatum | OraData)

sqlj_object_type_attr EXTERNAL NAME 'field_name'

sqlj_object_type_sig RETURN { datatype | SELF AS RESULT }


EXTERNAL { VARIABLE NAME
'java_static_field_name'
| NAME 'java_method_sig'
}

standby_database_clauses ( activate_standby_db_clause
| maximize_standby_db_clause
| register_logfile_clause
| commit_switchover_clause
| start_standby_clause
| stop_standby_clause
)
[ parallel_clause ]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 74


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Sous-clause Syntaxe
start_standby_clause START LOGICAL STANDBY APPLY
[ IMMEDIATE ]
[ NODELAY ]
[ NEW PRIMARY dblink
| INITIAL [ scn_value ]
| { SKIP FAILED TRANSACTION | FINISH }
]

startup_clauses { MOUNT [ { STANDBY | CLONE } DATABASE ]


| OPEN { [ READ WRITE ]
[ RESETLOGS | NORESETLOGS ]
[ UPGRADE | DOWNGRADE ]
| READ ONLY
}

Oracle University and OMNIDATA. use only


}

stop_standby_clause { STOP | ABORT }


LOGICAL STANDBY APPLY

storage_clause STORAGE
({ INITIAL integer [ K | M ]
| NEXT integer [ K | M ]
| MINEXTENTS integer
| MAXEXTENTS { integer | UNLIMITED }
| PCTINCREASE integer
| FREELISTS integer
| FREELIST GROUPS integer
| OPTIMAL [ integer [ K | M ]
| NULL
]
| BUFFER_POOL { KEEP | RECYCLE | DEFAULT }
}
[ INITIAL integer [ K | M ]
| NEXT integer [ K | M ]
| MINEXTENTS integer
| MAXEXTENTS { integer | UNLIMITED }
| PCTINCREASE integer
| FREELISTS integer
| FREELIST GROUPS integer
| OPTIMAL [ integer [ K | M ]
| NULL
]
| BUFFER_POOL { KEEP | RECYCLE | DEFAULT }
]...
)

streaming_clause { ORDER | CLUSTER } BY (column [, column ]...)

subpartition_by_hash SUBPARTITION BY HASH (column [, column ]...)


[ SUBPARTITIONS quantity
[ STORE IN (tablespace [, tablespace
]...) ]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 75


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Sous-clause Syntaxe
| subpartition_template
]

subpartition_by_list SUBPARTITION BY LIST (column)


[ subpartition_template ]

subpartition_spec SUBPARTITION [ subpartition ]


[ list_values_clause ]
[ partitioning_storage_clause ]

subpartition_template SUBPARTITION TEMPLATE


(SUBPARTITION subpartition

Oracle University and OMNIDATA. use only


[ list_values_clause ]
[ partitioning_storage_clause ]
[, SUBPARTITION subpartition
[ list_values_clause ]
[ partitioning_storage_clause ]
]
)
| hash_subpartition_quantity

subprogram_declaration { MEMBER | STATIC }


{ procedure_declaration
| function_declaration
| constructor_declaration
}

subprogram_spec { MEMBER | STATIC }


{ procedure_spec | function_spec }

subquery [ subquery_factoring_clause ]
SELECT
[ hint ]
[ { { DISTINCT | UNIQUE }
| ALL
}
]
select_list
FROM table_reference
[, table_reference ]...
[ where_clause ]
[ hierarchical_query_clause ]
[ group_by_clause ]
[ HAVING condition ]
[ model_clause ]
[ { UNION [ ALL ]
| INTERSECT
| MINUS
}
(subquery)

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 76


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Sous-clause Syntaxe
]
[ order_by_clause ]

subquery_factoring_clause WITH query_name AS (subquery)


[, query_name AS (subquery) ]...

subquery_restriction_clause WITH { READ ONLY


| CHECK OPTION [ CONSTRAINT constraint ]
}

substitutable_column_clause [ ELEMENT ] IS OF [ TYPE ] ([ ONLY ] type)


| [ NOT ] SUBSTITUTABLE AT ALL LEVELS

Oracle University and OMNIDATA. use only


supplemental_db_logging { ADD | DROP } SUPPLEMENTAL LOG
{ DATA | supplemental_id_key_clause }

supplemental_id_key_clause DATA
({ ALL
| PRIMARY KEY
| UNIQUE
| FOREIGN KEY
}
[, { ALL
| PRIMARY KEY
| UNIQUE
| FOREIGN KEY
}
]...
)
COLUMNS

supplemental_log_grp_clause GROUP log_group


(column [ NO LOG ]
[, column [ NO LOG ] ]...)
[ ALWAYS ]

supplemental_logging_props { supplemental_log_grp_clause
| supplemental_id_key_clause
}

supplemental_table_logging { ADD SUPPLEMENTAL LOG


{ supplemental_log_grp_clause
| supplemental_id_key_clause
}
[, SUPPLEMENTAL LOG
{ supplemental_log_grp_clause
| supplemental_id_key_clause
}

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 77


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Sous-clause Syntaxe
]...
| DROP SUPPLEMENTAL LOG
{ supplemental_id_key_clause
| GROUP log_group
}
[, SUPPLEMENTAL LOG
{ supplemental_id_key_clause
| GROUP log_group
}
]...
}

table_collection_expression TABLE (collection_expression) [ (+) ]

Oracle University and OMNIDATA. use only


table_compression { COMPRESS | NOCOMPRESS }

table_index_clause [ schema. ]table [ t_alias ]


(index_expr [ ASC | DESC ]
[, index_expr [ ASC | DESC ] ]...)
[ index_properties ]

table_partition_description [ segment_attributes_clause ]
[ table_compression | key_compression ]
[ OVERFLOW [ segment_attributes_clause ] ]
[ { LOB_storage_clause
| varray_col_properties
}
[ LOB_storage_clause
| varray_col_properties
]...
]
[ partition_level_subpartition ]

table_partitioning_clauses { range_partitioning
| hash_partitioning
| list_partitioning
| composite_partitioning
}

table_properties [ column_properties ]
[ table_partitioning_clauses ]
[ CACHE | NOCACHE ]
[ parallel_clause ]
[ ROWDEPENDENCIES | NOROWDEPENDENCIES ]
[ enable_disable_clause ]
[ enable_disable_clause ]...
[ row_movement_clause ]
[ AS subquery ]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 78


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Sous-clause Syntaxe
table_reference { ONLY
(query_table_expression)
[ flashback_query_clause ]
[ t_alias ]
| query_table_expression
[ flashback_query_clause ]
[ t_alias ]
| (join_clause)
| join_clause
}

tablespace_clauses { EXTENT MANAGEMENT LOCAL


| DATAFILE file_specification
[, file_specification ]...

Oracle University and OMNIDATA. use only


| SYSAUX DATAFILE file_specification
[, file_specification ]...
| default_tablespace
| default_temp_tablespace
| undo_tablespace
}

tablespace_group_clause TABLESPACE GROUP { tablespace_group_name | '' }

tablespace_logging_clauses { logging_clause
| [ NO ] FORCE LOGGING
}

tablespace_retention_clause RETENTION { GUARANTEE | NOGUARANTEE }

tablespace_state_clauses { ONLINE
| OFFLINE [ NORMAL | TEMPORARY | IMMEDIATE ]
}
| READ { ONLY | WRITE }
| { PERMANENT | TEMPORARY }

temporary_tablespace_clause TEMPORARY TABLESPACE tablespace


[ TEMPFILE file_specification
[, file_specification ]...
]
[ tablespace_group_clause ]
[ extent_management_clause ]

text [ N | n ]
{ 'c [ c ]...'
| { Q | q }
'quote_delimiter c [ c ]... quote_delimiter'
}

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 79


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Sous-clause Syntaxe
trace_file_clause TRACE
[ AS 'filename' [ REUSE ] ]
[ RESETLOGS | NORESETLOGS ]

truncate_partition_subpart TRUNCATE { PARTITION partition


| SUBPARTITION subpartition
}
[ { DROP | REUSE } STORAGE ]
[ update_index_clauses [ parallel_clause ] ]

undo_tablespace [ BIGFILE | SMALLFILE ]


UNDO TABLESPACE tablespace
[ TABLESPACE file_specification

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[, file_specification ]...
]

undo_tablespace_clause UNDO TABLESPACE tablespace


[ DATAFILE file_specification
[, file_specification ]...
]
[ extent_management_clause ]
[ tablespace_retention_clause ]

undrop_disk_clause UNDROP DISKS

update_all_indexes_clause UPDATE INDEXES


[ (index ( { update_index_partition
| update_index_subpartition
}
)
)
[, (index ( { update_index_partition
| update_index_subparition
}
)
)
]...

update_global_index_clause { UPDATE | INVALIDATE } GLOBAL INDEXES

update_index_clauses { update_global_index_clause
| update_all_indexes_clause
}

update_index_partition PARTITION [ partition ]


[ index_partition_description
[ index_subpartition_clause ]
]
[, PARTITION [ partition ]
[ index_partition_description

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 80


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Sous-clause Syntaxe
[ index_subpartition_clause ]
]
]...

update_index_subpartition SUBPARTITION [ subpartition ]


[ TABLESPACE tablespace ]
[, SUBPARTITION [ subpartition ]
[ TABLESPACE tablespace ]
]...

update_set_clause SET
{ { (column [, column ]...) = (subquery)
| column = { expr | (subquery) | DEFAULT }

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}
[, { (column [, column]...) = (subquery)
| column = { expr | (subquery) | DEFAULT
}
}
]...
| VALUE (t_alias) = { expr | (subquery) }
}

upgrade_table_clause UPGRADE [ [NOT ] INCLUDING DATA ]


[ column_properties ]

using_function_clause USING [ schema. ] [ package. | type.


]function_name

using_index_clause USING INDEX


{ [ schema. ]index
| (create_index_statement)
| index_properties
}

using_statistics_type USING { [ schema. ] statistics_type | NULL }

using_type_clause USING [ schema. ]implementation_type


[ array_DML_clause ]

validation_clauses { VALIDATE REF UPDATE


[ SET DANGLING TO NULL ]
| VALIDATE STRUCTURE
[ CASCADE ]
[ into_clause ]
{ OFFLINE| ONLINE }
}

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 81


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Sous-clause Syntaxe
values_clause VALUES ({ expr | DEFAULT }
[, { expr | DEFAULT } ]...
)

varray_col_properties VARRAY varray_item


{ [ substitutable_column_clause ]
STORE AS LOB
{ [ LOB_segname ] (LOB_parameters)
| LOB_segname
}
| substitutable_column_clause
}

where_clause WHERE condition

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windowing_clause { ROWS | RANGE }
{ BETWEEN
{ UNBOUNDED PRECEDING
| CURRENT ROW
| value_expr { PRECEDING | FOLLOWING }
}
AND
{ UNBOUNDED FOLLOWING
| CURRENT ROW
| value_expr { PRECEDING | FOLLOWING }
}
| { UNBOUNDED PRECEDING
| CURRENT ROW
| value_expr PRECEDING
}
}

XML_attributes_clause XMLATTRIBUTES
(value_expr [ AS c_alias ]
[, value_expr [ AS c_alias ]...
)

XMLSchema_spec [ XMLSCHEMA XMLSchema_URL ]


ELEMENT { element | XMLSchema_URL # element }

XMLType_column_properties XMLTYPE [ COLUMN ] column


[ XMLType_storage ]
[ XMLSchema_spec ]

XMLType_storage STORE AS
{ OBJECT RELATIONAL
| CLOB [ { LOB_segname [ (LOB_parameters) ]
| LOB_parameters
}
]

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 82


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Sous-clause Syntaxe
XMLType_table CREATE TABLE [ GLOBAL TEMPORARY ] TABLE
[ schema. ]table OF XMLTYPE
[ (oject_properties) ]
[ XMLTYPE XMLType_storage ]
[ XMLSchema_spec ]
[ ON COMMIT { DELETE | PRESERVE } ROWS ]
[ OID_clause ]
[ OID_index_clause ]
[ physical_properties ]
[ table_properties ] ;

XMLType_view_clause OF XMLTYPE
[ XMLSchema_spec ]
WITH OBJECT IDENTIFIER

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{ DEFAULT | ( expr [, expr ]...) }

Oracle Database 11g : Administration Workshop I C - 83


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___________________

Annexe D
Processus Oracle
en arrière-plan
___________________

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Processus Oracle en arrière-plan

Cette annexe ne dresse pas une liste exhaustive de tous les processus en arrière-plan. Elle est
simplement destinée à vous fournir quelques informations de référence. Pour plus de détails,
reportez-vous au manuel Oracle Database Reference.
Processus génériques
Indispen-
sable au
Nom du fonction- Démarré
Acronyme processus Description nement par défaut
ARCn Archiver Process Ecrit les fichiers de journalisation qui sont pleins Non Non
dans les emplacements d'archivage. Les valeurs
possibles de n sont 0 à 9 et a à t.
CJQ0 Job Queue Génère dynamiquement des processus esclaves Non Oui

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Coordinator Process (Jnnn) pour exécuter les travaux en file d'attente.
CKPT Checkpoint Process Ecrit les informations de point de reprise dans les Oui Oui
fichiers de contrôle et les en-têtes des fichiers de
données.
DBRM Database Resource Définit les plans d'allocation de ressources et Non Oui
Manager Process effectue d'autres tâches de gestion des ressources.
DBWn Database Writer Ecrit les tampons "dirty" du cache de tampons Oui Oui
Process (buffer cache) dans les fichiers de données. Les
valeurs possibles de n sont 0 à 9 et a à z.
DIA0 Diagnostic Process Détecte les blocages et résout les "verrous Oui Oui
mortels" (deadlocks). Déclenche le processus
DIAG pour effectuer des tâches de diagnostic.
DIAG Diagnostic Capture Effectue des dumps de diagnostic et exécute des Oui Oui
Process commandes oradebug globales.
Dnnn Dispatcher Process Dans une configuration à serveur partagé, les Non Oui
processus répartiteurs placent les demandes de
connexion en file d'attente.
EMNC EMON Coordinator Coordonne l'activité de gestion et de notification Non Non
Process des événements dans la base de données,
notamment les fonctions Streams Event
Notifications, Continuous Query Notifications et
Fast Application Notifications (FAN).
FBDA Flashback Data Archive des lignes d'historique dans des archives Non Oui
Archiver Process de données Flashback pour les tables surveillées
et gère ces archives.
FMON File Mapping Génère dynamiquement FMPUTL, un processus Non Non
Monitor Process extérieur à Oracle Database qui communique avec
les bibliothèques de mappings fournies par les
fabricants de structures de stockage. Assure la
gestion des informations de mapping.
Jnnn Job Queue Slave Traite les travaux de la file d'attente. Généré Non Oui
Process dynamiquement par le processus coordinateur
CJQ0.
LGWR Log Writer Process Ecrit le tampon de journalisation (redo log buffer) Oui Oui
dans les fichiers de journalisation (redo logs).
MMAN Memory Manager Sert de gestionnaire de mémoire SGA et Non
Process coordonne le dimensionnement des composants
de la mémoire.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I D - 2


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Indispen-
sable au
Nom du fonction- Démarré
Acronyme processus Description nement par défaut
MMNL Manageability Effectue des tâches fréquentes et peu Non Oui
Monitor Lite Process consommatrices facilitant la gestion, notamment
la capture des historiques de session et le calcul
des mesures.
MMON Manageability Collecte les statistiques destinées au référentiel Non Oui
Monitor Process AWR (Automatic Workload Repository).
PMON Process Monitor Assure la récupération des ressources de Oui Oui
processus défaillantes. Dans une architecture à
serveur partagé, PMON surveille et redémarre les
processus répartiteur ou serveur défaillants.
Pnnn Parallel Query Slave Démarré et arrêté en fonction des besoins pour Non Non
Process participer à des opérations d'interrogation en

Oracle University and OMNIDATA. use only


parallèle.
PSP0 Process Spawner Démarre et arrête des processus Oracle. Réduit la Non Oui
Process charge du processus de rééquilibrage RBAL en
démarrant/arrêtant des processus esclaves de
rééquilibrage ASM.
RCBG Result Cache Prend en charge les caches de résultats des Non Non
Background Process interrogations SQL et des fonctions PLO/SQL.
RECO Recoverer Process Résout les défaillances impliquant des Non Oui
transactions distribuées.
RVWR Recovery Writer Ecrit les données Flashback dans des journaux Non Non
Process Flashback Database dans la zone de récupération
rapide.
SMCO Space Management Coordonne l'exécution de diverses tâches liées à la Non Oui
Coordinator Process gestion de l'espace, notamment l'allocation
d'espace proactive et la récupération d'espace.
SMON System Monitor Assure la récupération après un échec d'instance Oui Oui
Process et surveille les segments et les extents (ensembles
de blocs contigus) temporaires.
Snnn Shared Server Dans une configuration à serveur partagé, le Non Oui
Process serveur partagé consulte une file d'attente de
demandes de connexion (alimentée par des
processus répartiteurs) et traite ces demandes.
VKTM Virtual Keeper of Fournit une horloge (mise à jour chaque seconde) Oui Oui
Time Process et un compteur temps de référence (mis à jour
tous les 20 millièmes de seconde et disponible
uniquement en mode de priorité élevée).
Wnnn Space Management Processus générés dynamiquement par le Non Oui
Slave Process processus coordinateur SMCO pour exécuter des
tâches de gestion de l'espace.

Processus Advanced Queuing (AQ)


Indispen-
sable au
fonction- Démarré
Acronyme Nom du processus Description nement par défaut
Qnnn AQ Server Class Traitent les messages de la file d'attente AQ Non Oui
Process Streams. Générés dynamiquement par le
processus coordinateur QMNC.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I D - 3


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Indispen-
sable au
fonction- Démarré
Acronyme Nom du processus Description nement par défaut
QMNC AQ Coordinator Surveille les files d'attente de messages. Génère Non Oui
Process dynamiquement les processus Qnnn.

Processus ASM (Automatic Storage Management)


Indispen-
sable au Démarré
fonction- par
Acronyme Nom du processus Description nement défaut
ARBn ASM Rebalance Rééquilibre les extents (ensembles de blocs Non Non
Process contigus) de données entre les systèmes de
fichiers ASM. Les valeurs possibles de n sont 0
à 9 et A.

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ASMB ASM Background Communique avec l'instance ASM. Non Non
Process
DSKM Slave Diskmon Joue le rôle de conduit entre les instances Non Non
Process SGBDR et ASM et le démon Disk Monitor
maître afin de communiquer au stockage SAGE
des informations sur l'isolement des E/S, les
plans de gestion des ressources d'E/S et le cache
des validations (commits) de transactions. En
l'absence de stockage SAGE, le processus Disk
Monitor esclave s'arrête automatiquement après
le démarrage de l'instance.
GMON ASM Disk Group Gère les membres des groupes de disques ASM Non Non
Monitor Process
MARK Mark AU for Marque les unités d'allocation ASM comme Non Non
Resynchronization étant obsolètes à la suite d'une opération
Coordinator Process d'écriture infructueuse sur un disque hors ligne
(offline).
RBAL ASM Rebalance Coordonne l'activité de rééquilibrage entre les Non Non
Master Process groupes de disques dans une instance ASM.
Effectue des opérations d'ouverture globales sur
les disques ASM.
DRnn ASM Disk Resynchronise le contenu d'un disque hors ligne Non Non
Resynchronization (offline). Quand une commande SQL de mise
Slave Process en ligne est exécutée sur un disque ou des
disques hors ligne, ASM génère
dynamiquement des processus DRnn. En
fonction de la charge, plusieurs processus
esclaves peuvent être générés.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I D - 4


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Processus Data Guard
Indispen-
sable au Démarré
fonction- par
Acronyme Nom du processus Description nement défaut
DMON Data Guard Broker Lancé au démarrage de Data Guard Broker. Non Non
Monitor Process DMON est le composant côté serveur qui
interagit avec la base de données locale et les
processus DMON des autres bases de données
pour exécuter la fonction demandée. Il est
également chargé de surveiller l'état de la
configuration du broker et de garantir que
chaque base de données possède une description
cohérente de la configuration.
FSFP Data Guard Broker Processus d'observation intégré au composant Non Non
Fast-Start Failover côté client DGMGROL. Il surveille

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Pinger Process l'environnement Data Guard Broker et initialise
le changement de base de données lorsqu'il
détecte un problème sur la base principale.
INSV Data Guard Broker Assure la communication Data Guard Broker Non Non
Instance Slave Process entre les instances d'une base de données RAC.

LSP0 Logical Standby Affecte les transactions à différents processus Non Non
Coordinator Process d'application Data Guard et coordonne ces
derniers pour garantir le respect des
dépendances entre transactions.
LSP1 Logical Standby Construit le dictionnaire de données de la base Non Non
Dictionary Build de secours logique.
Process
LSP2 Logical Standby Set Gère les informations de protection de la base de Non Non
Guard Process secours logique.

MRP0 Managed Standby Fournit une prise en charge transparente des Non Non
Recovery Process transactions globales XA dans les
environnements RAC.
NSVn Data Guard Broker Assure les communications réseau du broker Non Non
NetSlave Process entre les bases de données d'une configuration
Data Guard. Les valeurs possibles de n sont 0 à
9.
RSM0 Data Guard Broker Utilisé par le processus DMON pour gérer et Non Non
Worker Process surveiller la base de données.

Processus RMAN (Recovery Manager)


Indispen-
sable au Démarré
fonction- par
Acronyme Nom du processus Description nement défaut
CTWR Change Tracking Ecrit dans le journal de suivi des modifications Non Non
Writer Process de RMAN une représentation bitmap de
l'ensemble de la base de données. Ce bitmap est
associé à un numéro SCN (System Change
Number) correspondant à la dernière
sauvegarde.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I D - 5


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Processus RAC (Real Application Clusters)
Indispen-
sable au
fonction- Démarré
Acronyme Nom du processus Description nement par défaut
ACMS Atomic Control File to Contribue à garantir que dans un environnement Non Non
Memory Server Oracle RAC, une mise à jour en mémoire SGA
Process distribuée est soit validée (commit) globalement
en cas de succès, soit abandonnée globalement en
cas d'échec.
GTXn Global Transaction Fournit une prise en charge transparente des Non Non
Process transactions globales XA dans les environnements
Oracle RAC. La base de données règle
automatiquement le nombre de processus GTXn
en fonction de la charge représentée par les
transactions globales XA. Les valeurs possibles de

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n sont 0 à 9 et a à j.
LCK0 Instance Enqueue Gère les demandes globales en file d'attente et la Non Non
Background Process diffusion inter-instance. Traite toutes les
demandes concernant des ressources autres que
des blocs de données.
LMD0 Global Enqueue Gère les demandes du service gestionnaire de Non Non
Service Daemon 0 mise en file d'attente pour les files d'attente GCS
Process (Global Cache Service) afin de contrôler l'accès
aux files d'attente et aux ressources globales. Le
processus LMD0 traite également la détection des
"verrous mortels" (deadlocks) et les demandes en
file d'attente distantes (c'est-à-dire en provenance
d'une autre instance).
LMON Global Enqueue Surveille l'ensemble du cluster pour gérer les Non Non
Service Monitor mises en file d'attente globales et les ressources.
Process Gère les échecs d'instance et de processus et la
récupération associée pour les services GCS
(Global Cache Service) et GES (Global Enqueue
Service). Le processus LMON traite notamment la
récupération concernant les ressources globales.
Les services fournis par LMON sont également
appelés services CGS (Cluster Group Services).
LMSn Global Cache Service Traite les messages GCS (Global Cache Service). Non Non
Process Le nombre de processus LMS varie en fonction du
trafic de messages entre les noeuds du cluster.
PING Interconnect Latency Evalue le délai de communication pour chaque Non Non
Measurement Process paire d'instances. A intervalles réguliers de
quelques secondes, le processus PING d'une
instance INSTANCE_NUMBER envoie deux
messages à chaque instance cible
TARGET_INSTANCE. L'un de ces messages
contient 500 octets, et l'autre, 8 Ko. Chaque
message est reçu par le processus PING de
l'instance cible qui en accuse immédiatement
réception. La durée de l'échange est mesurée et
capturée.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I D - 6


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Indispen-
sable au
fonction- Démarré
Acronyme Nom du processus Description nement par défaut
RMSn Oracle RAC Effectue des tâches facilitant la gestion d'Oracle Non Non
Management Process RAC, notamment la création de ressources pour
RAC lorsque de nouvelles instances sont ajoutées
aux clusters.
RSMN Remote Slave Monitor Gère la création de processus esclaves en arrière- Non Non
Process plan et la communication sur les instances
distantes.

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I D - 7


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_________________

Annexe E
Acronymes et termes
_________________

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I E - 1


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Terme Définition
ADDM Automatic Database Diagnostic Monitor. Moniteur ADDM.
ASM Automatic Storage Management.
ASM Automatic Summary Management.
ASMM Automatic Shared Memory Management. Gestion automatique de la
mémoire partagée.
ASSM Automatic Segment Space Management. Gestion automatique de
l'espace dans les segments.
ATO Automatic Tuning Optimizer. Optimiseur ATO.
AWR Automatic Workload Repository. Référentiel AWR.
Base de données Base de données utilisée lors de la création d'une base dupliquée ou lors
auxiliaire de la récupération d'un tablespace jusqu'à un point dans le temps.

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Base de données cible Base de données à laquelle vous tentez de vous connecter.
Bibliothèque de gestion Media Management Library. Bibliothèque utilisée par RMAN lors de
des médias l'écriture ou de la lecture sur bande.
Bloc de données Plus petite unité de stockage physique dans la base de données. Les
blocs de données contiennent des lignes de données, des informations
d'index, etc.
BMR Block Media Recovery. Restauration physique de bloc.
Cache "library" Partie de la zone de mémoire partagée contenant les représentations
totalement analysées ou compilées des blocs PL/SQL et des instructions
SQL.
Cache de tampons Zone de la mémoire dans laquelle sont placés des blocs de données
extraits de la base.
Cache de tampons de Zone de la mémoire SGA utilisée pour mettre en mémoire cache les
conservation données du cache de tampons pour des périodes plus longues.
Cache de tampons de Recycle buffer cache. Région de la mémoire SGA contenant des
recyclage données qui sont rapidement retirées du cache de tampons (buffer
cache).
Cache du dictionnaire de Partie de la zone de mémoire partagée contenant les définitions des
données objets du dictionnaire en mémoire.
Canal Lien ou connexion à une base de données cible.
Canal de communication Zone de mémoire utilisée par un processus pour transmettre des
informations à un autre processus.
Catalogue de restauration Base de données distincte qui conserve des données historiques
concernant les activités de sauvegarde.
CFS Cluster File Storage.
CLI Command Line Interface. Interface de ligne de commande.
Cluster Groupement d'une ou de plusieurs tables qui partagent les mêmes blocs
de données.
CMAN Oracle Connection Manager. Fait office de pare-feu (firewall) et de
serveur proxy pour le trafic réseau.

Copie d'image Copie identique bit à bit d'un fichier de base de données.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I E - 2


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Terme Définition
Corbeille Table du dictionnaire de données qui gère les relations entre les noms
originaux des objets supprimés et les noms générés par le système.
Corruption de bloc Altération d'un bloc de données. Un bloc de données endommagé est un
bloc qui n'est pas dans un format Oracle reconnu ou dont le contenu n'est
pas cohérent en interne.
CRS Cluster Ready Services.
DBA DataBase Administrator. Administrateur de base de données.
DBA Data Block Address. Adresse de bloc de données, utilisée pour identifier
de manière unique un bloc de données dans la base.
DBCA Database Configuration Assistant.
DBVERIFY Utilitaire en mode ligne de commande externe qui effectue une
vérification d'intégrité de la structure de données physique sur une base

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hors ligne.
Données d'annulation Copie des données originales qui est stockée chaque fois qu'une
transaction LMD modifie des données. Les données d'annulation (undo)
sont utilisées pour annuler (rollback) une transaction et pour offrir des
vues cohérentes de données qui changent.
Elément de masque de Littéral de type caractère qui décrit le format des données date-heure ou
format des données numériques stockées dans une chaîne de caractères.
Elément de sauvegarde Fichier individuel faisant partie d'un jeu de sauvegarde.
EM Enterprise Manager.
emctl Enterprise Manager Control. Utilitaire permettant de démarrer, d'arrêter
et de vérifier le statut de Database Control, de l'agent Oracle et des
serveurs Oracle Management Server.
Enterprise Manager Interface graphique utilisée pour gérer la base de données.
Database Control
Environnement local Ensemble d'informations sur les préférences linguistiques et culturelles
d'une région particulière.
Etat de tendance de Analyse de la croissance des segments de données.
croissance
Evénement Wait Statistiques qui sont incrémentées par un processus ou par un thread
serveur afin d'indiquer que le processus a dû attendre la fin d'un
événement pour poursuivre le traitement.
Exécution en parallèle Allocation de plusieurs canaux pour les opérations RMAN de
sauvegarde et de récupération.
EXTPROC Bibliothèques de code externes.
FGA Fine-Grained Auditing. Audit détaillé.
FGAC Fine-Grained Access Control. Contrôle d'accès de niveau fin.
Fichier de contrôle Fichier contenant des informations sur la structure physique de la base
de données, notamment l'emplacement de tous les fichiers de données et
fichiers de journalisation (fichiers redo log).
Fichier de données Fichier contenant les données de la base.
Fichier de suivi des Fichier utilisé pour stocker l'emplacement physique des changements
modifications apportés à la base de données depuis la dernière sauvegarde.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I E - 3


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Terme Définition
Flashback Database Nouvelle méthode de récupération qui utilise les données d'annulation
(undo) plutôt que les données de journalisation (redo) pour la
récupération de la base.
Flashback Drop Fonctionnalité qui permet d'annuler les effets d'une instruction DROP
TABLE sans avoir à recourir à la récupération traditionnelle jusqu'à un
point dans le temps.
Flashback Table Commande qui permet de récupérer une table et tous ses objets
dépendants à partir de la corbeille.
Flashback Transaction Outil de diagnostic qui permet d'afficher les modifications apportées à la
Query base de données au niveau transaction.
Flashback Versions Syntaxe d'interrogation qui fournit un historique des modifications
Query apportées à une ligne, ainsi que l'identificateur correspondant de la

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transaction à l'origine de la modification.
Fonction de conseil Undo Fonctionnalité d'Enterprise Manager qui suggère des valeurs pour les
Advisor paramètres, ainsi que la quantité d'espace supplémentaire nécessaire
pour prendre en charge le flashback pour une période donnée.
Gestion automatique de la ASMM - Automatic Segment Space Management. Fonctionnalité de la
mémoire partagée base de données Oracle qui automatise la gestion des principales
structures mémoire partagées utilisées par une instance de base de
données Oracle.
Gestion automatique de la Fonctionnalité de la base de données Oracle qui simplifie et améliore le
mémoire PGA mode d'allocation de la mémoire PGA.
Gestion automatique du ASM - Automatic Storage Management. Mécanisme qui fournit une
stockage intégration verticale du système de fichiers et du gestionnaire de
volumes, construit spécialement pour les fichiers de base de données
Oracle.
Incarnation Version distincte d'une base de données physique. L'incarnation de la
base de données change lorsque vous ouvrez cette dernière avec l'option
RESETLOGS, mais vous pouvez récupérer des sauvegardes à partir
d'une incarnation antérieure, tant que les informations de journalisation
nécessaires sont disponibles.
init.ora ou Fichier de paramètres d'initialisation, qui contrôle la configuration et
init<sid>.ora l'exécution de l'instance de base de données. Egalement appelé "fichier
de paramètres".

Instance Ensemble des processus et de la mémoire partagée utilisés pour accéder


à la base de données Oracle.
IPC Inter-Process Communication.
isqlplusctl Utilitaire de contrôle pour démarrer et arrêter les processus d'écoute
iSQL*Plus.
ISV Independent Software Vendor. Fournisseur indépendant de logiciels.
JDBC Java DataBase Connectivity.

Jeu de caractères encodé Jeu de caractères qui associe des codes numériques aux caractères qu'un
ordinateur ou un terminal peut afficher et recevoir.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I E - 4


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Terme Définition
Jeu de sauvegarde Copie d'un ou de plusieurs fichiers de données ou fichiers de
journalisation archivés. Un jeu de sauvegarde diffère d'une copie
d'image en ce sens que les blocs vides ne sont pas stockés.
jnnn Processus de gestion de la file d'attente des travaux. Il exécute les
travaux planifiés.
LCSSCAN Language and Character Set File Scanner. Outil d'analyse de langue et
de jeu de caractères d'un fichier.
LDD Langage de définition de données. Classe d'instructions SQL qui
permettent de définir et de manipuler les objets de base de données.
LEGATO® NetWorker, Logiciel inclus dans Oracle Database 10g et permettant à l'utilitaire
Single-Server Version Recovery Manager d'écrire sur des lecteurs de bande.
LMD Langage de manipulation de données. Classe d'instructions SQL qui

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permettent d'interroger et de manipuler les objets de base de données.
LSSV LEGATO® NetWorker, Single-Server Version.
Mémoire allouée par Session memory. Partie de la mémoire PGA allouée pour le stockage des
session variables de session, ainsi que d'autres informations liées à la session.
Mémoire PGA Program Global Area. Zone de mémoire privée d'un processus.
Mémoire tampon avec Région de la mémoire SGA qui met en mémoire cache les blocs de
une taille de bloc de nK données dont la taille est différente de la taille de bloc de base de
données par défaut. Elle est utilisée pour la prise en charge des
tablespaces transportables.
Mémoire tampon Zone de mémoire dans laquelle sont stockées les données Flashback
flashback Database.
Memory Advisor Fonctionnalité d'Enterprise Manager qui vous aide à régler la taille des
structures mémoire.
Memory Manager Processus de base de données en arrière-plan qui sert d'interface Broker
(MMAN) pour la mémoire SGA et coordonne le dimensionnement des composants
de mémoire.
Mesure de performances Mesure d'une caractéristique de la base de données ou d'une instance.
MML Media Management Library. Bibliothèque de gestion des médias.
MMON Management Monitor. Ce processus génère une alerte chaque fois
qu'une mesure de performances dépasse le seuil défini. Il capture des
statistiques pour les objets SQL modifiés récemment.
Moniteur ADDM Automatic Database Diagnostic Monitor. Utilitaire qui effectue une
analyse descendante, identifie les problèmes et les causes possibles, puis
émet des recommandations pour la résolution des problèmes.
NLS National Language Support. Support NLS.
NLS Runtime Library Suite complète de fonctions indépendantes de la langue qui permettent le
traitement approprié du texte et des caractères, ainsi que les
manipulations de convention de langue.
NLS_LANG Variable d'environnement utilisée pour indiquer la langue, le territoire et
le jeu de caractères utilisés par une base de données.
NLSRTL National Language Support RunTime Library.
NMP NaMed Pipe. Canal nommé.
OC4J Oracle Application Server Containers for J2EE.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I E - 5


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Terme Définition
OMF Oracle Managed Files.
Optimiseur ATO Automatic Tuning Optimizer. Fonctionnalité qui effectue diverses
analyses relatives aux performances des instructions SQL dans la base
de données.
Oracle Locale Builder Fonctionnalité qui fournit une interface graphique par l'intermédiaire de
laquelle vous pouvez facilement afficher, modifier et définir des données
propres à l'environnement local.
Oracle Managed Files Fonctionnalité de la base de données Oracle qui gère la création,
l'appellation et la suppression de fichiers de base de données Oracle dans
des zones dédiées du disque.
Oracle Net Interface qui permet les connexions réseau entre la base de données
Oracle Database 10g et les applications client ou les applications du

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niveau intermédiaire.
ORACLE_BASE Variable d'environnement utilisée pour pointer vers la base de la
structure OFA (Optimal Flexible Architecture).
ORACLE_HOME Variable d'environnement utilisée pour identifier un répertoire contenant
le logiciel Oracle.
ORACLE_SID Variable d'environnement utilisée pour indiquer le nom par défaut d'une
instance de base de données.
OUI Oracle Universal Installer.
Outil d'analyse de jeu de Utilitaire qui évalue la faisabilité de la migration d'une base de données
caractères de la base de Oracle vers un nouveau jeu de caractères.
données
Outil d'analyse de langue Language and Character Set File Scanner. Utilitaire basé sur les
et de jeu de caractères statistiques, permettant de déterminer la langue et le jeu de caractères
d'un fichier d'un fichier texte.
Package Ensemble de procédures et de définitions de fonctions liées entre elles
sur un plan logique. Ces procédures et fonctions sont implémentées dans
le corps du package.
PGA Program Global Area. Mémoire PGA.
PGA Advisor Fonctionnalité d'Enterprise Manager qui fournit des statistiques
détaillées pour les zones de travail, ainsi que des recommandations sur
l'utilisation optimale de la mémoire PGA (Program Global Area), en
fonction des caractéristiques de la charge globale.
Planificateur Nouvelle fonctionnalité de la base de données permettant aux
administrateurs et aux développeurs d'applications de contrôler quand et
où les différentes tâches vont être exécutées dans l'environnement de
base de données.
Pool de sessions actives Nombre de sessions actives autorisées pour un groupe de
consommateurs de ressources ou un sous-plan.
Prise en charge de la Fonctionnalité qui garantit l'adaptation automatique des utilitaires et des
globalisation messages d'erreur, de l'ordre de tri, de l'alphabet, du calendrier, des
dates, des heures, des devises, des valeurs numériques en fonction de la
langue native des utilisateurs.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I E - 6


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Terme Définition
Privilège Droit d'exécuter un type particulier d'instruction SQL. Il existe deux
formes élémentaires de privilège : les privilèges objet et les privilèges
système.
Processus d'écoute Listener. Passerelle vers l'instance Oracle pour toutes les connexions
utilisateur non locales.
Recovery Manager Utilitaire Oracle employé pour la sauvegarde et la restauration des
fichiers de base de données.
Redo Log File Sizing Fonctionnalité d'Enterprise Manager qui fournit des conseils relatifs au
Advisor dimensionnement des fichiers de journalisation.
Référentiel AWR Automatic Workload Repository. Infrastructure qui collecte, traite et
gère les statistiques relatives aux performances pour la détection des
problèmes et le réglage automatique (self-tuning).

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Référentiel de charge AWR - Workload Repository.
globale
Référentiel RMAN Structure de stockage contenant les métadonnées sur les opérations de
sauvegarde et de récupération d'une base de données.
Reprise après un Moyen de suspendre, puis de reprendre ultérieurement l'exécution
problème d'allocation d'opérations volumineuses sur la base de données en cas de problème
d'espace d'allocation d'espace.
Resource Manager Fonctionnalité de la base Oracle qui offre au serveur de base de données
davantage de contrôle sur les décisions de gestion des ressources, ce qui
permet d'éviter les problèmes résultant d'une gestion inefficace du
système d'exploitation.
Restauration physique de Méthode de récupération qui réduit d'un fichier de données à un bloc la
bloc plus petite unité de restauration physique pouvant être récupérée.
RMAN Recovery Manager.
SAA SQL Access Advisor. Outil qui détermine les chemins d'accès optimaux
aux données (par exemple, l'utilisation d'index et de vues matérialisées).
SCN System Change Number. Numéro SCN.
Segment Advisor Fonction de conseil qui surveille les problèmes d'espace des objets et
analyse les tendances de croissance.
Segment Resource Fonctionnalité qui permet d'évaluer la quantité de ressources nécessitée
Estimator par la création d'un nouveau segment.
Serveur partagé Oracle Configuration du serveur de base de données qui permet à de nombreux
processus utilisateur de partager un petit nombre de processus serveur,
en limitant le nombre de ces processus et en optimisant l'utilisation des
ressources système disponibles.
Sessions serveur Processus (UNIX) ou threads (Windows NT/2000) serveur appelés par
un utilitaire client pour la connexion à la base de données cible.
Seuil Valeur limite à laquelle sont comparées les mesures de performances.
SGA System Global Area. Zone de mémoire partagée par l'ensemble des
processus serveur et des processus en arrière-plan.
SGA Advisor Fonction de conseil qui fournit des recommandations relatives à la
configuration de la mémoire SGA.
Shrink Advisor Voir Segment Advisor.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I E - 7


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Terme Définition
SID System Identifier. Le SID identifie une instance de manière unique sur
un serveur spécifique. Il s'agit par défaut du nom de la base de données.
SQL Structured Query Language. Langage SQL.
STA SQL Tuning Advisor. Outil qui fournit des conseils pour le réglage
(tuning) des instructions SQL.
Statistiques destinées à Statistiques qui décrivent la base de données et les objets qu'elle
l'optimiseur contient, utilisées par l'optimiseur d'interrogation pour choisir le meilleur
plan d'exécution pour chaque instruction SQL.
Statistiques système Statistiques qui décrivent à l'optimiseur d'instructions les caractéristiques
matérielles du système, telles que les performances et l'utilisation des
E/S et de la CPU.
Statspack Ensemble de scripts SQL, PL/SQL et SQL*Plus permettant la collecte,

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l'automatisation, le stockage et l'affichage de données de performances.
Cette fonctionnalité a été remplacée par le référentiel AWR (Automatic
Workload Repository).
Suivi des modifications Fonctionnalité qui utilise le processus en arrière-plan CTWR (Change
de blocs Tracking Writer) afin d'enregistrer dans un fichier distinct l'emplacement
physique de toutes les modifications de la base de données.
Support NLS National Language Support. Paramètres et fichiers qui déterminent le
comportement du client et du serveur de base de données pour
l'environnement local.
Surveillance proactive Fonctionnalité d'Oracle Database 10g qui gère l'utilisation de l'espace
des tablespaces disque par les tablespaces.
Table organisée en index Structure de base de données qui présente l'apparence d'une table, mais
dont les données sont stockées dans une structure B*Tree.
Tablespace Groupement logique de fichiers de données.
Tampon de journalisation Redo log buffer. Région de mémoire dans laquelle les informations de
journalisation sont stockées avant leur écriture sur le disque.
Tri linguistique Fonctionnalité qui génère une séquence de tri correspondant à la
séquence alphabétique des caractères et non à leur valeur numérique
dans le système d'encodage des caractères.
UGA User Global Area. Partie de la zone de mémoire partagée ou de la zone
de mémoire LARGE POOL, contenant les informations relatives aux
sessions Oracle Shared Server.
UTC Universal Time Coordinates. Temps universel utilisé dans la trace
d'audit uniforme.
Variantes locales Définition de territoire dépendante de la langue.
VPD Virtual Private Database.
Zone de mémoire Java Région de la mémoire SGA qui est utilisée pour les données et le code
Java propres aux sessions dans la JVM (Java Virtual Machine).
Zone de mémoire Zone de mémoire facultative utilisée pour la mise en mémoire tampon
LARGE POOL des demandes d'E/S volumineuses.
Zone de mémoire Zone de mémoire dans laquelle sont stockées diverses structures pouvant
partagée être partagées par les utilisateurs.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I E - 8


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Terme Définition
Zone de mémoire SQL Zone de la mémoire PGA (Program Global Area) contenant des données
privée telles que des informations d'attachement et des structures mémoire
d'exécution.
Zone de mémoire Zone facultative de la mémoire SGA, utilisée par Oracle Streams.
Streams
Zone de récupération Emplacement de stockage unifié pour l'ensemble des fichiers et activités
rapide liés à la récupération dans une base de données Oracle.
Zone de travail Allocation privée dans la mémoire PGA, utilisée pour les tris, les
jointures de hachage (hash joins) et les autres opérations utilisant des
quantités importantes de mémoire.

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I E - 9


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Oracle Restart

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Objectifs

A la fin de ce chapitre, vous pourrez utiliser Oracle Restart pour


gérer des composants.

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I F - 2


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Oracle Restart
Oracle Restart implémente une solution de haute disponibilité
pour les bases de données Oracle autonomes.
• Oracle Restart peut surveiller et redémarrer les composants
suivants :
– Instances de base de données
– Processus d'écoute Oracle Net
– Services de base de données
– Instances ASM (Automatic Storage Management)
– Groupes de disques ASM
– Oracle Notification Services (ONS/eONS)

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• Oracle Restart exécute des vérifications périodiques pour
surveiller l'état des composants.
• Oracle Restart s'exécute à l'extérieur du répertoire d'origine
Oracle Home d'Oracle Grid Infrastructure, lui-même installé
en dehors des répertoires d'origine d'Oracle Database.

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Oracle Restart
Oracle Restart est conçu pour améliorer la disponibilité de votre base de données Oracle.
Cette solution de haute disponibilité est réservée aux environnements mono-instances (non
clusterisés). Pour les environnements Oracle Real Application Cluster (RAC), la
fonctionnalité de redémarrage automatique des composants est fournie par le clusterware.
Oracle Restart peut surveiller le fonctionnement des composants suivants et les redémarrer
automatiquement :
• Instances de base de données
• Processus d'écoute Oracle Net
• Services de base de données
• Instances ASM (Automatic Storage Management)
• Groupes de disques ASM
• Oracle Notification Services (ONS/eONS) pour l'envoi d'événements FAN (Fast
Application Notification) aux clients intégrés en cas d'incident. Le service eONS est
utilisé par Oracle Enterprise Manager pour recevoir la notification des changements de
statut des composants gérés par Oracle Restart.
Le redémarrage d'un groupe de disques ASM implique son montage. La possibilité de
redémarrer ONS s'applique uniquement aux installations Oracle Data Guard, pour la gestion
automatique des incidents de connexion entre base principale et base de secours via la
fonction FAN.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I F - 3


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Oracle Restart (suite)
Oracle Restart tient compte des dépendances entre composants pour démarrer ceux-ci dans l'ordre
adéquat. Si un composant doit être arrêté, il veille à arrêter les composants dépendants au préalable.
Oracle Restart s'exécute à l'extérieur du répertoire d'origine Oracle Home d'Oracle Grid
Infrastructure, lui-même installé en dehors des répertoires d'origine Oracle Database.

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I F - 4


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Démarrage des processus Oracle Restart
• Oracle Restart est démarré par le démon d'initialisation du
système d'exploitation.
Démon d'initialisation
du système Script wrapper Démons et processus
d'exploitation Oracle Restart Oracle Restart
init ohasd.bin
init.ohasd oraagent.bin
orarootagent.bin
diskmon.bin
cssdagent
ocssd.bin

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• L'installation d'Oracle Restart modifie le fichier
/etc/inittab pour garantir un démarrage systématique
chaque fois que l'ordinateur démarre.
# cat /etc/inittab
..
h1:35:respawn:/etc/init.d/init.ohasd run >/dev/null 2>&1 </dev/null

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Démarrage des processus Oracle Restart


Pendant l'installation d'Oracle Restart, des entrées sont insérées dans le fichier
/etc/inittab du système d'exploitation pour lancer un script wrapper. Ce script
configure les variables d'environnement, puis démarre les démons et les processus d'Oracle
Restart.
Quand une commande est utilisée pour arrêter Oracle Restart, les démons s'arrêtent, mais le
processus du script wrapper continue de s'exécuter.
Le fichier /etc/inittab d'UNIX présente le format suivant :
id : niveaux d'exécution : action : processus et
paramètres
Le script wrapper étant lancé avec l'action respawn, il est redémarré automatiquement s'il est
interrompu. L'action respawn provoque également le redémarrage des démons par le
processus d'initialisation en cas d'échec.
Après cette opération, certains des démons Oracle Restart s'exécutent pour le compte de
l'utilisateur root avec une priorité en temps réel, tandis que d'autres s'exécutent pour le
compte du propriétaire d'Oracle Grid Infrastructure avec des priorités correspondant au mode
utilisateur. Sur une plate-forme Windows, des services du système d'exploitation sont utilisés
à la place des scripts wrapper d'initialisation et les démons sont des fichiers binaires
exécutables.
Remarque : Il n'est pas possible d'exécuter directement le script wrapper.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I F - 5


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Contrôler Oracle Restart

L'utilitaire CRSCTL permet de contrôler l'état d'Oracle Restart.


• Pour afficher la configuration d'Oracle Restart :
$ crsctl config has

• Pour activer ou désactiver le redémarrage automatique


d'Oracle Restart :

$ crsctl [ enable | disable ] has

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• Pour démarrer ou arrêter Oracle Restart :
$ crsctl [ start | stop ] has

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Contrôler Oracle Restart


L'utilitaire CRSCTL permet de contrôler l'état d'Oracle Restart. Utilisez-le de la manière
suivante pour déterminer si la fonction de démarrage automatique est activée ou désactivée :
$ crsctl config has
CRS-4622: Oracle High Availability Services autostart is
enabled.
Pendant l'installation d'Oracle Grid Infrastructure, une entrée est insérée dans le fichier
/etc/inittab du système d'exploitation pour lancer un script wrapper :
h1:35:respawn:/etc/init.d/init.ohasd run >/dev/null 2>&1
</dev/null
Ce script est chargé de configurer les variables d'environnement, puis de démarrer le démon
ohas (Oracle High Availability Services) et d'autres processus associés. Il est exécuté sous le
compte utilisateur root.
Quand l'utilitaire CRSCTL est employé pour désactiver le redémarrage automatique d'Oracle
Grid Infrastructure, l'entrée ajoutée au fichier /etc/inittab n'est pas supprimée. Les
fichiers de contrôle associés au démon ohas (fichiers SCLS_SCR) permettent de contrôler
l'état de ce dernier et de déterminer si le démarrage automatique est activé ou désactivé. Sous
Linux, l'emplacement des fichiers de contrôle est défini comme suit :
/etc/oracle/scls_scr/$HOST/<Oracle Restart owner> and
/etc/oracle/scls_scr/$HOST/root

Oracle Database 11g : Administration Workshop I F - 6


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Contrôler Oracle Restart (suite)
Si l'utilitaire CRSCTL est employé pour arrêter Oracle Restart, tous les composants gérés par ce
dernier sont également arrêtés.
$ crsctl stop has
CRS-4549: Stopping resources.
CRS-2673: Attempting to stop 'ora.diskmon' on 'host01'
CRS-2673: Attempting to stop 'ora.DATA.dg' on 'host01'
CRS-2673: Attempting to stop 'ora.LISTENER.lsnr' on 'host01'
CRS-2677: Stop of 'ora.DATA.dg' on 'host01' succeeded
CRS-2673: Attempting to stop 'ora.asm' on 'host01'
CRS-2675: Stop of 'ora.diskmon' on 'host01' succeeded
CRS-2677: Stop of 'ora.LISTENER.lsnr' on 'host01' succeeded
CRS-2677: Stop of 'ora.asm' on 'host01' succeeded
CRS-2673: Attempting to stop 'ora.cssd' on 'host01'
CRS-2677: Stop of 'ora.cssd' on 'host01' succeeded
CRS-2673: Attempting to stop 'ora.diskmon' on 'host01'

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CRS-2677: Stop of 'ora.diskmon' on 'host01' succeeded
CRS-4133: Oracle High Availability Services has been stopped.
Dans l'exemple ci-dessus, aucun logiciel Oracle Database n'est installé. Si des bases de données
Oracle avaient été enregistrées dans Oracle Restart ou à l'aide d'ASM (Automatic Storage
Management), elles seraient arrêtées également.
Lorsque vous lancez Oracle Restart à l'aide de l'utilitaire CRSCTL, les composants démarrés
n'apparaissent pas tous dans la sortie standard.
$ crsctl start has
CRS-4123: Oracle High Availability Services has been started.
Remarque : Il n'est pas possible d'exécuter directement le script wrapper pour lancer les processus
d'Oracle Grid Infrastructure.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I F - 7


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Choisir l'utilitaire SRVCTL approprié
• Appelez l'utilitaire SRVCTL (Server Control) à partir du
répertoire d'origine d'Oracle Grid Infrastructure pour gérer
des instances et des groupes de disques ASM, des
processus d'écoute et des services ONS (Oracle
Notification Services).

$ export ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/grid
$ $ORACLE_HOME/bin/srvctl commande composant options

• Appelez l'utilitaire SRVCTL à partir du répertoire d'origine


d'Oracle Database pour gérer la base de données ou une

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instance de base de données.
$ export
ORACLE_HOME=/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1
$ $ORACLE_HOME/bin/srvctl commande composant options

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Choisir l'utilitaire SRVCTL approprié


Oracle Restart inclut l'utilitaire SRVCTL (Server Control) qui permet de démarrer, d'arrêter et
de gérer ses composants. Une fois que vous avez installé le logiciel Oracle Database en plus
du logiciel Oracle Grid Infrastructure, vous disposez d'une copie de SRVCTL dans chacun
des répertoires d'origine ORACLE_HOME. Vous devez donc déterminer l'emplacement à partir
duquel exécuter SRVCTL. Lorsque vous gérez l'instance et les groupes de disques ASM, les
processus d'écoute Oracle Net et ONS (Oracle Notification Services), exécutez SRVCTL à
partir du répertoire d'origine ORACLE_HOME d'Oracle Grid Infrastructure. Lorsque vous
gérez les instances de base de données Oracle, lancez-le à partir du répertoire d'origine
ORACLE_HOME d'Oracle Database. Pour savoir quelle copie de l'utilitaire est actuellement
associée à la commande srvctl, recourez à la commande which :
$ which srvctl
/u01/app/oracle/product/11.2.0/grid/bin/srvctl
Remarque : Pour le processus d'écoute Oracle Net, il est supposé qu'Oracle Grid
Infrastructure a été installé avant Oracle Database. Si vous ajoutez Oracle Restart à une
installation antérieure d'Oracle Database, le processus d'écoute Oracle Net peut s'exécuter à
partir du répertoire d'origine d'Oracle Database. Dans ce cas, c'est à partir de ce répertoire que
vous devez exécuter SRVCTL pour gérer le processus d'écoute Oracle Net.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I F - 8


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Configuration Oracle Restart

La configuration Oracle Restart est mise à jour


automatiquement par les utilitaires Oracle.
Impact des opérations de création sur la Ajout automatique à la
configuration Oracle Restart configuration ?
Créer une base de données avec OUI ou DBCA OUI
Créer une base de données avec une instruction SQL NON
Créer une instance ASM avec OUI, DBCA ou OUI
ASMCA
Créer un groupe de disques (méthode de votre choix) OUI

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Ajouter un processus d'écoute avec NETCA OUI
Créer un service de base de données avec SRVCTL OUI
Créer un service de base de données en modifiant le NON
paramètre d'initialisation SERVICE_NAMES
Créer un service de base de données avec NON
DBMS_SERVICE.CREATE SERVICE

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Configuration Oracle Restart


Oracle Restart tient à jour une liste de tous les composants qu'il gère, ainsi que les
informations de configuration associées. L'ensemble de ces informations constitue la
"configuration Oracle Restart". Quand Oracle Restart est installé, de nombreuses opérations
qui créent des composants Oracle à l'aide d'utilitaires Oracle ajoutent automatiquement ces
composants à la configuration. Si un composant est créé manuellement (sans l'aide d'un
utilitaire Oracle), il est possible de l'ajouter à la configuration Oracle Restart à l'aide de
commandes SRVCTL. Le tableau de la diapositive ci-dessus indique les opérations de
création qui ajoutent automatiquement le composant à la configuration Oracle Restart et
celles qui ne le font pas.
Remarque : Le même principe s'applique aux opérations de suppression.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I F - 9


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Utiliser SRVCTL

• L'utilitaire SRVCTL permet de démarrer, d'arrêter et de


gérer les composants de la configuration Oracle Restart à
l'aide de la syntaxe suivante :

$ srvctl commande composant options

• Les commandes et composants suivants sont pris en


charge :
Commandes add config disable enable getenv modify

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remove setenv start status stop unsetenv
Composants asm db dg filesystem home lsnr serv ons
eons

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Utiliser SRVCTL
Quand Oracle Restart est activé, Oracle recommande vivement d'utiliser SRVCTL pour
démarrer, arrêter et gérer tous les composants de la configuration Oracle Restart, pour les
raisons suivantes :
• Toutes les dépendances entre composants sont préservées, ce qui permet à Oracle Restart
de démarrer ou d'arrêter les composants dépendants en premier.
• Les composants sont démarrés en fonction de leur configuration Oracle Restart.
• Les variables d'environnement stockées dans la configuration Oracle Restart pour les
composants sont définies.
Il est également possible de démarrer les composants Oracle Restart à l'aide d'autres utilitaires
tels que LSNRCTL (Listener Control) ou SQL*Plus, mais les avantages exposés ci-dessus ne
sont pas garantis. Pour Oracle Restart, l'utilitaire SRVCTL prend en charge 12 commandes et
9 composants. Les options possibles varient en fonction de la combinaison
commande/composant. La syntaxe à utiliser est la suivante :
srvctl commande composant options
où :
• commande est un verbe, par exemple start, stop ou remove
• composant est l'objet auquel SRVCTL applique la commande, par exemple une base
de données (db)
• options précise l'utilisation de la commande en ajoutant des paramètres

Oracle Database 11g : Administration Workshop I F - 10


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Obtenir de l'aide sur l'utilitaire SRVCTL

L'utilitaire SRVCTL fournit une aide en ligne pour ses


commandes, ses composants et ses options.
• Pour obtenir de l'aide sur l'utilisation de SRVCTL en
général :
$ srvctl -h

• Pour obtenir de l'aide sur une commande particulière :


$ srvctl commande -h

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• Pour obtenir de l'aide sur une commande et un composant
particuliers :
$ srvctl commande composant -h

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Obtenir de l'aide sur l'utilitaire SRVCTL


L'utilitaire SRVCTL fournit une aide en ligne pour ses commandes, ses composants et ses
options. Pour afficher l'aide en ligne, utilisez l'option -h (help). Si cette option est indiquée
seule, SRVCTL affiche une description générale de toutes les commandes et des options les
plus couramment utilisées pour chaque combinaison commande/composant. Ce n'est pas une
liste complète de toutes les options prises en charge. Pour obtenir des informations plus
précises et complètes, utilisez l'option -h pour une commande particulière ou pour une
combinaison commande/composant spécifique.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I F - 11


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Démarrer des composants à l'aide de SRVCTL
Oracle recommande d'utiliser SRVCTL pour démarrer tous les
composants.
• Les exemples suivants démarrent des composants
individuels :
$ srvctl start database –d PROD –o mount
$ srvctl start listener –l crmlistener
$ srvctl start service –d PROD –s "service1,service2"
$ srvctl start diskgroup –g "DATA,FRA"
$ srvctl start asm
$ srvctl start eons -v
$ srvctl start ons

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• L'exemple suivant démarre tous les composants Oracle
Restart d'un répertoire d'origine Oracle Home spécifique :
$ srvctl start home –o oracle_home –s state_file

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Démarrer des composants à l'aide de SRVCTL


L'utilitaire SRVCTL permet de démarrer des composants individuels avec tous les
composants dépendants nécessaires. Par exemple, la commande srvctl start
database –d PROD peut également démarrer le processus d'écoute, l'instance ASM et
plusieurs groupes de disques si ces composants ont été définis dans la configuration Oracle
Restart et qu'ils sont répertoriés en tant que composants dépendants pour la base de données
PROD.
SRVCTL permet également de démarrer tous les composants associés à un répertoire
d'origine Oracle Home spécifique qui ont été configurés pour Oracle Restart :
srvctl start home –o
/u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1 –s
/usr/local/bin/group_state_file
Le fichier group_state_file contient les informations concernant l'état actuel des
composants du répertoire d'origine Oracle Home. Il est créé par la commande srvctl
status home. Vous l'indiquez à l'aide de l'option -s et devez préciser son chemin
complet. Ce fichier peut être créé dans n'importe quel répertoire.
Remarque : La diapositive ci-dessus présente seulement les options les plus courantes, et non
une liste complète. Pour obtenir la liste complète des options disponibles pour chaque
commande, affichez l'aide en ligne à l'aide de l'option -h.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I F - 12


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Arrêter des composants à l'aide de SRVCTL
Oracle recommande d'utiliser SRVCTL pour arrêter tous les
composants.
• Les exemples suivants arrêtent des composants
individuels :
$ srvctl stop database –d PROD –o transactional
$ srvctl stop listener –l crmlistener -f
$ srvctl stop service –d PROD –s "service1,service2"
$ srvctl stop diskgroup –g "DATA,FRA" -f
$ srvctl stop asm –o immediate -f
$ srvctl stop eons -v
$ srvctl stop ons

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• L'exemple suivant arrête tous les composants Oracle
Restart d'un répertoire d'origine spécifique :
$ srvctl stop home –o oracle_home –s state_file -f

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Arrêter des composants à l'aide de SRVCTL


L'utilitaire SRVCTL permet d'arrêter des composants individuels ainsi que tous les
composants dépendants qui doivent être arrêtés. Par exemple, la commande srvctl stop
diskgroup –g "DATA -f" force le démontage du groupe de disques, même si des fichiers
y sont ouverts. Elle arrête également toutes les instances de base de données qui dépendent du
groupe de disques DATA.
La commande SRVCTL suivante arrête tous les composants associés au répertoire d'origine
Oracle Home indiqué qui ont été configurés pour Oracle Restart :
srvctl stop home –o /u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1
–s /usr/local/bin/group_state_file -f
Cette méthode est très pratique lorsqu'il est nécessaire d'arrêter tous les composants, par
exemple pour appliquer un patch aux fichiers binaires du logiciel.
Remarque : La diapositive ci-dessus présente seulement les options les plus courantes, et non
une liste complète. Pour obtenir la liste complète des options disponibles pour chaque
commande, affichez l'aide en ligne à l'aide de l'option -h.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I F - 13


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Afficher le statut des composants

• Vous pouvez utiliser la commande status pour afficher le


statut d'exécution d'un composant géré par Oracle Restart.
• Pour afficher le statut d'une base de données :
$ srvctl status database -d orcl
Database is running.

• Pour afficher le statut du processus d'écoute :


$ srvctl status lsnr

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Listener LISTENER is enabled
Listener LISTENER is running on node(s): host01

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Afficher le statut des composants


Vous pouvez utiliser SRVCTL pour afficher le statut ("running" ou "not running") d'un
composant géré par Oracle Restart. Pour certains composants, des informations
supplémentaires sont fournies.
La syntaxe à utiliser est la suivante :
srvctl status objet [options]
objet peut avoir les valeurs suivantes :
• asm : Instance ASM
• db : Instance de base de données
• dg : Groupe de disques ASM
• filesystem : Système de fichiers Oracle ASM
• home : Répertoire d'origine du logiciel ou du clusterware Oracle
• lsnr : Processus d'écoute Oracle Net
• ons, eons : Services ONS (Oracle Notification Services)
• serv : Service de base de données
Vous trouverez la liste des options possibles pour chacun des objets ci-dessus dans le manuel
Oracle Database Administrators Guide.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I F - 14


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Afficher la configuration Oracle Restart
d'un composant
• La commande config permet d'afficher la configuration Oracle
Restart d'un composant.
• Pour afficher la configuration Oracle Restart d'une base de
données :
$ srvctl config database –d orcl
Database unique name: orcl
Database name: orcl
Oracle home: /u01/app/oracle/product/11.2.0/dbhome_1
Oracle user: oracle
Spfile: +DATA/orcl/spfileorcl.ora
Domain: example.com

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Start options: open
Stop options: immediate
Database role:
Management policy: automatic
Disk Groups: DATA,FRA
Services: east,sales

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Afficher la configuration Oracle Restart d'un composant


Vous pouvez afficher la configuration Oracle Restart d'un composant à l'aide de la commande
config de l'utilitaire SRVCTL. La commande config prend en charge les composants
database, service, asm, listener, ons et eons.
Pour modifier la configuration Oracle Restart d'un composant, utilisez la commande modify
de l'utilitaire SRVCTL. La syntaxe suivante modifie la base de données orcl pour qu'elle
utilise un fichier de paramètres serveur (SPFILE) situé dans un répertoire différent du
répertoire standard :
srvctl modify database –d orcl –p
/usr/local/oracle/spfileorcl.ora

Oracle Database 11g : Administration Workshop I F - 15


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Ajouter manuellement des composants
à la configuration Oracle Restart
Vous pouvez ajouter des composants à la configuration Oracle
Restart de façon manuelle, à l'aide de la commande add.
• Pour définir un nouveau processus d'écoute qui n'a pas été
créé par NETCA :
$ srvctl add listener –l MYLISTENER –p TCP:1525 –o
/u01/app/oracle/product/11.2.0/grid

• Pour indiquer un emplacement différent de celui par défaut

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pour les fichiers réseau du nouveau processus d'écoute :
$ srvctl setenv listener –l MYLISTENER –t
TNS_ADMIN=/usr/local/oracle

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Ajouter manuellement des composants à la configuration Oracle Restart


La commande add de l'utilitaire SRVCTL permet d'ajouter manuellement des composants à
la configuration Oracle Restart. Elle est inutile pour les composants créés à l'aide d'un
utilitaire Oracle (NETCA, DBCA, ASMCA, OUI), car ces derniers sont ajoutés
automatiquement à la configuration Oracle Restart.
Le premier exemple de la diapositive ci-dessus ajoute manuellement le processus d'écoute
MYLISTENER à la configuration Oracle Restart. Ce processus d'écoute utilisera les fichiers
binaires du logiciel installé dans le répertoire d'origine d'Oracle Grid Infrastructure, mais il
dépendra d'un emplacement non standard pour les fichiers réseau. Le second exemple ci-
dessus suppose que le fichier réseau listener.ora a été créé dans le répertoire
/usr/local/oracle. Il utilise la commande setenv de l'utilitaire SRVCTL pour
définir les variables d'environnement dont certains composants risquent d'avoir besoin. La
variable d'environnement TNS_ADMIN pointe vers l'emplacement (non standard) du fichier
listener.ora et concerne uniquement le processus d'écoute MYLISTENER. Cette
commande setenv n'a aucune incidence sur les autres processus d'écoute utilisant des
répertoires différents pour leurs fichiers réseau.
L'utilitaire SRVCTL comprend une commande remove qui permet de supprimer
manuellement un composant de la configuration Oracle Restart. Pour supprimer le processus
d'écoute créé précédemment, utilisez la syntaxe suivante :
srvctl remove listener –l mylistener –f
La variable d'environnement associée au processus d'écoute est également supprimée.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I F - 16


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Quiz

Vous exécutez l'utilitaire SRVCTL à partir du répertoire


d'origine d'Oracle Grid Infrastructure pour gérer les éléments
suivants :
1. Processus d'écoute
2. Instances ASM
3. Instances de base de données
4. Groupes de disques ASM

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Réponses : 1, 2 et 4

Oracle Database 11g : Administration Workshop I F - 17


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Synthèse

Ce chapitre vous a permis d'apprendre à utiliser Oracle Restart


pour gérer des composants.

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I F - 18


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Suite de la formation
et autres lectures conseillées

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Que faire maintenant ?

"Pour rester compétitif dans le domaine informatique, n'ayez de


cesse d'apprendre. Soyez toujours à la pointe de la technologie
et de l'innovation. Le succès appartient à ceux qui savent
évoluer."
John Hall, vice-président directeur, Oracle University

Cette annexe présente quelques ressources qui vous aideront


à poursuivre votre formation.

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I G - 2


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Ressources de formation

Voici quelques sources supplémentaires de connaissances


sur Oracle Database 11g :
• Site Web d'Oracle University
• Oracle University Knowledge Center
• Site OTN (Oracle Technology Network) :
– Oracle by Example
– Oracle Magazine
– Page relative au produit Oracle Database

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• Support technique : site My Oracle Support
• Page relative au produit Oracle Database

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I G - 3


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Oracle University

Adressez-vous à Oracle pour apprendre à utiliser


les produits Oracle. En effet, personne ne connaît
mieux la technologie Oracle qu'Oracle University.
• Services internationaux de formation
• Stagiaires en formation entièrement satisfaits
• Apprentissage selon les méthodes qui
conviennent à vos besoins :
– Cours en salle dispensés par un formateur
– Cours en ligne en direct

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– Auto-apprentissage en ligne
• Certification

http:// www.oracle.com/education

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Oracle University
Oracle University est le plus grand organisme de formation au monde et compte des centres
aux quatre coins du globe. Son objectif est la satisfaction totale des stagiaires.
Les certifications Oracle sont des références tangibles reconnues par l'ensemble du secteur.
Elles permettent aux professionnels de l'informatique et à leurs employeurs d'acquérir une
valeur ajoutée appréciable. Il existe un grand nombre de cursus de certification, pour les DBA
notamment :
• Oracle Certified Associate (OCA)
• Oracle Certified Professional (OCP)
• Oracle Certified Master (OCM)
• Certifications spécialisées telles que "Oracle 10g: Managing Oracle on Linux Certified
Expert"

Oracle Database 11g : Administration Workshop I G - 4


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Poursuivre la formation

• Cours sur Oracle Database :


– Oracle Database 10g : Administration Workshop II
– Oracle Database 11g : Tuning
– Oracle Database 11g : Sécurité
• Cours spécialisés :
– Séminaire de présentation de RAC et de l'infrastructure de
gestion de grid 11g
– Oracle Database 11g : RAC pour Administrateurs

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Poursuivre la formation
Le cours Oracle Database 10g : Administration Workshop II vous permettra de compléter
votre formation d'administrateur de base de données. Il aborde les stratégies avancées de
récupération de base de données, le contrôle et le réglage (tuning) des performances, ainsi que
les concepts de données distribuées. Oracle recommande de suivre ce cours avant d'aborder
les cours spécialisés. Il existe d'autres cours destinés aux administrateurs de base de données
Oracle, par exemple :
• Oracle Database 11g : Tuning
• Oracle Database 11g : Sécurité
Par ailleurs, deux cours spécialisés peuvent vous intéresser : Séminaire de présentation de
RAC et de l'infrastructure de gestion de grid 11g et Oracle Database 11g : RAC pour
Administrateurs.
Consultez le site Web d'Oracle University pour obtenir la liste à jour de tous les cours. Pour
rechercher les cours de spécialisation adaptés à vos besoins, visitez la page Learning Paths
d'Oracle University.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I G - 5


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Domaines spécialisés en matière de base de données
Grids d'entreprise modernes
• Real Application Clusters
• Management Packs
• Base de données en mémoire
TimesTen
Gestion du cycle de vie
des informations (ILM)
• Partitions
• Compression avancée
Data warehouses
• Equipements d'informations
(Information Appliances) Oracle
• OLAP, Data Mining,
Warehouse Builder
Gouvernance, risques et conformité

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• Options de sécurité
• Archive historique
(option Total Recall)
Gestion des modifications
• Test des applications dans un
environnement réel
(RAT - Real Application Testing)

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Oracle Database 11g : Administration Workshop I G - 6


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Oracle Real Application Clusters

• Consolider différentes
charges globales dans un
seul grid
• Virtualiser la plate-forme
d'informations Bases de données
• Infrastructure physique
souple (comprenant des
serveurs dédiés)

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Stockage

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Avantages d'un environnement RAC


Oracle Real Application Clusters (RAC) permet une utilisation intensive d'un cluster de
serveurs modulaires standard à bas coût (serveurs lame, par exemple). Un environnement
RAC assure la gestion automatique de la charge globale des services. Les services
correspondent à des groupes ou à des classes d'applications qui comprennent des composants
métier correspondant aux charges applicatives globales. Dans un environnement RAC, ils
permettent des opérations de base de données en continu et la prise en charge de plusieurs
services sur diverses instances. Vous pouvez ainsi les exécuter sur une ou plusieurs instances,
et utiliser d'autres instances pour la sauvegarde. Lorsqu'une instance principale est en échec,
Oracle déplace les services de celle-ci vers une autre instance opérationnelle. Par ailleurs,
Oracle répartit automatiquement la charge des connexions entre les instances qui hébergent un
service.
L'environnement RAC exploite la capacité de plusieurs ordinateurs à bas coût afin d'obtenir
l'équivalent d'un seul ordinateur puissant capable de gérer la base de données. Il fournit la
seule alternative viable aux systèmes SMP (multitraitement symétrique) à grande échelle pour
tous les types d'application. Fondé sur une architecture de disques partagés, cet
environnement peut évoluer à la demande (expansion ou réduction) sans qu'il soit nécessaire
de répartir artificiellement les données entre les serveurs du cluster. En outre, il permet
d'ajouter et de supprimer des serveurs dans un cluster en une seule opération. Vous pouvez
ainsi facilement ajouter un serveur à la base de données ou en enlever un.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I G - 7


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Oracle Data Guard
Transport synchrone
ou asynchrone des Bases de données de secours, par exemple :
informations de
journalisation Pour la création
Base d'états : base de
principale secours logique avec
vues matérialisées
supplémentaires

Pour l'assurance qualité


Oracle Net

et les tests : base de


secours
physique/instantanée
avec mise en file
d'attente des
modifications

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Observateur : Pour les interrogations
Lancer la fonction hors site : base de
Fast-Start Failover secours physique
Base de Copies de la base
production de données

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Oracle Data Guard


Oracle Data Guard est une infrastructure logicielle de gestion, de contrôle et d'automatisation
qui utilise une base de données de production et une ou plusieurs bases de secours pour
prévenir les pannes, les erreurs et la corruption des données qui, sans cela, risqueraient de
détruire la base. Cette infrastructure protège les données critiques en fournissant des fonctions
qui automatisent la création, la gestion et le contrôle des bases de données et des autres
composants d'une configuration Data Guard. La tenue à jour d'une copie de la base Oracle de
production (ou base de secours) est automatisée. Cette base de secours peut être utilisée si la
base de production doit être mise hors ligne pour des opérations de maintenance régulière ou
si elle est endommagée.
Dans une configuration Data Guard, la base de données de production est appelée base
principale. Une base de secours est une copie synchronisée de la base principale. A partir
d'une copie de sauvegarde de la base principale, vous pouvez créer jusqu'à neuf bases de
secours. Les bases de secours et la base principale constituent une configuration Data Guard.
Chaque base de secours est associée à une seule base principale.
Remarque : Vous pouvez utiliser la destination de fichier de journalisation en cascade pour
inclure plus de neuf bases de secours dans votre configuration.
Il est fortement recommandé de configurer des fichiers de journalisation (fichiers redo log) de
secours sur toutes les bases de secours d'une configuration Data Guard, y compris sur la base
principale, pour permettre l'échange de rôles.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I G - 8


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Présentation d'Oracle Streams

Base de
données source Base de données cible

Propager

Capturer Appliquer1

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Fichiers de Appliquer2
Passerelle
journalisation transparente

Base de données
non Oracle

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Présentation d'Oracle Streams


Un flux (stream) représente un flot d'informations au sein d'une base de données ou entre deux
bases. Oracle Streams est un ensemble de processus et de structures de base de données qui
permettent de partager des données et des messages dans un flux. L'unité d'information placée
dans un flux est appelée "événement" :
• Modifications LDD (langage de définition de données) ou LMD (langage de
manipulation de données) formatées en tant qu'enregistrements logiques de modification
(LCR - Logical Change Record)
• Evénements créés par l'utilisateur
Les événements sont stockés temporairement dans les files d'attente avant d'être propagés.
L'environnement Streams est souvent comparé à une réplication dans laquelle toutes les bases
de données peuvent être mises à jour sans tenir compte des plates-formes ni des versions
utilisées. Caractéristiques :
• Tous les sites sont actifs et peuvent être mis à jour.
• Détection automatique des conflits et possibilité de résolution.
• Prise en charge des transformations de données.
• Différentes configurations possibles : multimaître, en étoile (hub and spoke), etc.
• Prise en charge de plusieurs plates-formes, versions et schémas de base de données.
• Haute disponibilité des applications (les conflits de mise à jour pouvant être évités ou
gérés).

Oracle Database 11g : Administration Workshop I G - 9


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Oracle Streams : Concepts élémentaires
Oracle Streams permet de partager des données et des événements via un flux de données, au sein
d'une base ou entre deux bases.
Il utilise des files d'attente pour stocker temporairement les événements en vue de leur propagation
ou de leur exploitation. Il peut servir à propager des événements d'une file d'attente à une autre, ces
files pouvant se trouver dans la même base de données ou dans des bases distinctes. Vous pouvez
placer deux types d'événement dans une file d'attente utilisée par Oracle Streams : des événements
capturés (enregistrements logiques de modifications ou LCR) et des événements envoyés par
l'utilisateur (messages ou LCR).
• Les modifications apportées à la base de données peuvent être capturées à partir des fichiers de
journalisation (redo logs). Vous pouvez ensuite les formater en LCR. Les LCR peuvent
représenter des modifications LMD (langage de manipulation de données) ou LDD (langage
de définition de données). La base de données dans laquelle les modifications sont générées
dans le fichier de journalisation est appelée "base source".
• Vous pouvez également mettre des événements utilisateur en file d'attente de manière explicite

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à l'aide d'une application utilisateur. Ces événements peuvent être des LCR ou des messages
créés par l'utilisateur. Un message représente la plus petite unité d'information insérée dans
une file d'attente et extraite de celle-ci. Il se compose de données et d'informations concernant
l'interprétation et l'utilisation de ces données.
Vous pouvez diviser Oracle Streams en un ensemble réduit de tâches. En configurant ces tâches,
vous pouvez contrôler les informations placées dans un flux, la manière dont le flux transite d'un
noeud à un autre, le traitement des événements contenus dans le flux quand ils passent dans chaque
noeud et la façon dont le flux se termine.
Chaque tâche peut être personnalisée pour répondre à des exigences et à des besoins spécifiques.
Il en résulte une nouvelle fonctionnalité plus riche et plus souple que les solutions classiques de
capture et de gestion des événements, qui permet par ailleurs de partager des événements avec
d'autres bases de données et applications. Oracle Streams fournit les fonctions nécessaires pour
créer et exploiter des environnements et des applications distribués, des data warehouses et des
solutions à haute disponibilité.
Les trois opérations élémentaires effectuées par Oracle Streams sont les suivantes :
• Capturer : Il s'agit de capturer automatiquement les événements LMD ou LDD à partir du
fichier de journalisation. Les événements créés par l'utilisateur ne sont pas capturés
automatiquement, mais placés dans une file d'attente via une opération explicite.
• Stocker temporairement : Il s'agit de stocker les événements et de les propager entre les
bases de données. La propagation peut être effectuée explicitement si nécessaire.
• Appliquer : Il s'agit d'appliquer des événements LMD ou LDD à une base de destination ou
de les transmettre à une application.
Vous pouvez effectuer ces tâches dans une seule base de données ou les combiner avec des tâches
d'autres bases de données pour former un environnement distribué.
Flux entre plusieurs bases de données
Les événements sont propagés entre les zones intermédiaires de chaque base. Les processus de
capture et d'exploitation peuvent être actifs dans n'importe quelle base. Par exemple, vous pouvez
configurer une réplication de données bidirectionnelle avec un processus de capture, un travail de
propagation et un processus d'application sur chaque site. De même, vous pouvez avoir un système
à une seule source avec des tâches de capture et de propagation configurées sur un site, et des
tâches d'application sur différentes bases. Enfin, le nombre de bases de données est arbitraire.
Certains environnements très complexes ont besoin de centaines de bases de données partageant
des informations via Oracle Streams.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I G - 10


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Oracle Technology Network

Oracle Technology Network est une ressource gratuite


contenant des informations sur les principaux produits Oracle,
notamment Oracle Database, Oracle Application Server, Oracle
Collaboration Suite et les outils de développement. Vous
pouvez accéder aux éléments suivants :
• Centres technologiques
• Forums de discussion
• Logiciels à télécharger
• Documentation en ligne

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• Oracle by Example
• Exemples de code
... et bien d'autres services
http://www.oracle.com/technology

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Oracle Technology Network


Oracle Technology Network (OTN) héberge les informations les plus récentes sur les
technologies et produits Oracle. Il fournit également des forums de discussion, des livres
blancs, des bulletins de sécurité, ainsi que d'autres informations essentielles pour les
professionnels Oracle.
Il permet de télécharger les logiciels Oracle et propose des astuces, des conseils et des
techniques pour en tirer le meilleur parti. Rappelons que vous pouvez télécharger les logiciels
gratuitement. Ils sont fournis avec une licence de développement qui vous permet d'utiliser
des versions complètes des produits pour le développement et le test de vos applications.

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Sécurité

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http://www.oracle.com/technology/deploy/security/index.html

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Sécurité
Pour plus d'informations sur tous les aspects liés à la sécurité de la base de données, consultez
le site "Security Technology Center", qui est mis à jour régulièrement.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I G - 12


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Oracle by Example

• Qu'est-ce qu'un module OBE (Oracle by Example) ?


– Un ensemble d'instructions pratiques, pas à pas
• Où les modules OBE sont-ils disponibles ?
– http://www.oracle.com//technology/obe
• A quoi avez-vous accès ?
— Des centaines de didacticiels OBE sur la plupart des domaines
couverts par les produits Oracle

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Copyright © 2009, Oracle. Tous droits réservés.

Oracle by Example
La section Oracle by Example (OBE) fournit des instructions pratiques, pas à pas, qui
expliquent comment utiliser un grand nombre des nouvelles fonctionnalités des produits
Oracle. Les modules OBE permettent aux utilisateurs de se familiariser plus rapidement avec
une nouvelle fonctionnalité et de mieux comprendre son mode d'implémentation dans leur
environnement. A ce jour, il existe des tutoriels OBE pour Oracle Database, Fusion
Middleware, Oracle Application Server, Oracle Enterprise Manager Grid Control, Oracle
Collaboration Suite, JDeveloper et Business Intelligence. Ils sont accessibles à l'adresse
http://www.oracle.com/technology/obe.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I G - 13


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Oracle Magazine

• Abonnement gratuit
• Archives d'Oracle Magazine disponibles à l'adresse
http://www.oracle.com/technology/oramag/index.html

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Oracle Magazine
Oracle Magazine fait partie des ressources auxquelles vous avez accès à partir du site OTN
(Oracle Technology Network). L'abonnement à la version papier est également gratuit.

Oracle Database 11g : Administration Workshop I G - 14


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Communauté Oracle Applications

Oracle Technology Network constitue une ressource précieuse


pour toutes les personnes qui utilisent ou implémentent les
produits Oracle Applications. Vous pouvez accéder aux
éléments suivants :
• Forums de discussion
• Groupes d'utilisateurs
• Dialogue en ligne
• Documentation

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• Formation
• Informations sur les mises à niveau
– et bien d'autres services...

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Site de support technique My Oracle Support

L'accès au site My Oracle Support est inclus dans le forfait


annuel de maintenance et de support. Outre les informations
techniques les plus récentes, My Oracle Support propose les
ressources suivantes :
• Demandes d'assistance (SR - Service Requests)
• Matrices de certification
• Forums techniques supervisés par des experts Oracle
• Patches logiciels

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• Rapports de bugs

http://metalink.oracle.com

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Site de support technique My Oracle Support


Le site My Oracle Support constitue une passerelle vers les ressources de support technique
Oracle. Vous y trouverez des réponses aux problèmes les plus courants auxquels sont
confrontés les administrateurs et développeurs Oracle, ainsi que des ressources pour résoudre
nombre de ces problèmes.
A l'instar d'Oracle Technology Network, My Oracle Support comprend les informations les
plus récentes sur les problèmes rencontrés par les professionnels Oracle.

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Page relative au produit Oracle Database

La page relative au produit Oracle Database sur OTN contient


des liens vers les ressources suivantes :
• Domaines spécialisés liés aux bases de données
• Livres blancs
• Fiches d'options
• Technologies connexes
• Discussions
• Autres ressources

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Page relative au produit Oracle Database


Sur le site OTN, la page relative au produit Oracle Database contient des liens vers les
ressources suivantes :
• Domaines spécialisés liés aux bases de données : Liens vers d'autres domaines liés aux
bases de données, notamment les architectures de grid (grille informatique) et de clusters,
la haute disponibilité, les performances et la facilité de gestion.
• Livres blancs : Informations détaillées qui permettent d'en apprendre davantage sur la
famille de produits Oracle Database 11g.
• Fiches d'options : Informations détaillées sur les diverses options d'Oracle
Database 11g.
• Technologies connexes : Liens vers des technologies connexes telles qu'Oracle
Application Express et Oracle SQL Developer.
• Discussions : Liens vers des discussions en cours relatives à Oracle Database 11g.
• Autres ressources : Liens vers des documents, des forums et d'autres ressources utiles.
Tous les documents proposés sont mis à jour en temps utile et de nouveaux documents
peuvent apparaître à tout moment. Consultez régulièrement ces liens pour profiter des
informations les plus récentes.

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Remerciements

Nous espérons qu'Oracle University a répondu à vos attentes.


Faites-nous part de vos commentaires sur les améliorations
possibles à apporter à nos services, afin que nous puissions
mieux répondre à vos besoins :
• Evaluations de fin de cours
• Service Oracle University de satisfaction client
• Services de formation Oracle
Nous espérons vous revoir très bientôt.

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Remerciements
Oracle University est là pour vous aider à adopter les technologies Oracle. Notre objectif est
de travailler en partenariat avec vous, afin de vous fournir des informations pertinentes,
adaptées en temps et en heure à vos besoins.
Prenez un instant pour compléter l'évaluation de fin de cours et nous faire part des
améliorations à apporter à nos services. Pour les Etats-Unis, vous pouvez envoyer un email au
service de satisfaction client, à l'adresse suivante :
customersat_us@oracle.com
Si vous avez des questions sur les formations Oracle, que vous avez besoin d'aide pour trouver
un cours ou que vous souhaitez organiser une formation sur site dans vos locaux, contactez les
services de formation Oracle (Oracle Education Services). Pour les Etats-Unis, composez le
800.529.0165. Pour obtenir les coordonnées des contacts hors Etats-Unis, visitez le site Web
suivant :
http://www.oracle.com/education/index.html?contact.html
Nous renouvelons nos remerciements et espérons vous revoir dans un autre cours.

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