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• En termes simples, le cloud fait référence à Internet. Lorsque les organisations stockent des
données dans des centres de données virtuels ou accèdent à des programmes à l’aide d’une
connexion Internet au lieu de compter sur le disque dur de leur appareil ou sur l’infrastructure
informatique locale, cela signifie qu’elles fonctionnent dans le cloud.
Qu’est-ce que le cloud computing ?
• Pour les entreprises, le passage au cloud computing supprime certains coûts
informatiques et frais généraux : par exemple, elles n’ont plus besoin de mettre à
jour et de maintenir leurs propres serveurs, car le fournisseur de cloud qu’elles
utilisent le fera. Cela a un impact particulier sur les petites entreprises qui n’ont
peut-être pas été en mesure de se permettre leur propre infrastructure interne,
mais qui peuvent externaliser leurs besoins en infrastructure à moindre coût via le
cloud. Le cloud peut également faciliter les opérations internationales des
entreprises, car les employés et les clients peuvent accéder aux mêmes fichiers et
applications depuis n’importe quel endroit.
HISTOIRE DU CLOUD
COMPUTING
Histoire du cloud computing
• Évolutivité facile
• Stockage sur serveur
• Entretien
• Accès à distance
• Récupération de données
• Coûts maîtrisés
Pourquoi les entreprises ont-elles besoin
du cloud computing ?
Qu’il s’agisse d’un cloud privé ou public, les performances d’un service cloud
dépendent de certains facteurs qui maintiennent sa stabilité.
Les services cloud gérés répondent à toutes vos exigences cloud grâce à une main-
d’œuvre professionnelle et qualifiée qui gère les activités liées au cloud.
Des fonctionnalités telles que la reprise après sinistre, le plan de sauvegarde des
données, la disponibilité et un environnement sécurisé, évolutif et fiable sont toutes
fournies par Fournisseurs de services cloud.
AVANTAGES DU
CLOUD COMPUTING
Caractéristiques et avantages du cloud
computing
Le cloud computing existe depuis plusieurs décennies maintenant, et
l’infrastructure de cloud computing d’aujourd’hui présente un éventail de
caractéristiques qui ont apporté des avantages significatifs aux entreprises de
toutes tailles. Certaines des principales caractéristiques du cloud computing sont les
suivantes:
• Provisionnement en libre-service. Les utilisateurs finaux peuvent générer des
ressources de calcul pour presque tous les types de charges de travail à la
demande. Un utilisateur final peut provisionner des capacités informatiques, telles
que le temps serveur et le stockage réseau, éliminant ainsi le besoin traditionnel
pour les administrateurs informatiques de provisionner et de gérer les ressources
de calcul.
Caractéristiques et avantages du cloud
computing
• Élasticité. Les entreprises peuvent librement évoluer à mesure que les besoins
informatiques augmentent et réduire à nouveau à mesure que les demandes
diminuent. Cela élimine le besoin d’investissements massifs dans les
infrastructures locales, qui peuvent ou non rester actives.
Les plateformes de services cloud les plus connues sont Amazon Web Services
( AWS ), Google Cloud (anciennement Google Cloud Platform ou GCP) et Microsoft
Azure .
Quels sont les avantages et les défis liés à
l'utilisation d'un fournisseur de services cloud ?
L'utilisation d'un fournisseur de cloud présente des avantages et des défis . Les
entreprises qui envisagent d'utiliser ces services devraient réfléchir à la manière
dont ces facteurs affecteraient leurs priorités et leur profil de risque, à la fois dans le
présent et à long terme. Les FSC individuels ont leurs propres forces et faiblesses,
qui méritent d'être prises en compte.
Types de fournisseurs de services cloud
Les clients achètent une variété croissante de services auprès de fournisseurs de
services cloud, les trois catégories les plus courantes de services basés sur le cloud
sont IaaS, SaaS et PaaS.
Top 10 des fournisseurs de services cloud
au monde en 2022
Top 10 des fournisseurs de services cloud
au monde en 2022
Zones de
CLASSEMENT Fournisseur de services cloud Régions disponibilité
2 Microsoft Azure 60
3 Google Cloud Platform (GCP) 34 103
1 Amazon Web Services (AWS) 26 84
4 Alibaba Cloud 27 84
7 Tencent Cloud 21 65
5 Oracle Cloud 38 46
8 OVHcloud 13 33
6 IBM Cloud (Kyndryl) 11 29
9 DigitalOcean 8 14
10 Linode (Akamai) 11 11
Quel fournisseur de services cloud détient
la plus grande part de marché ?
• Amazon Web Services (AWS), Microsoft Azure et Google Cloud Platform (GCP)
sont les fournisseurs de services cloud avec la plus grande part de marché,
capturant collectivement plus de 65% des dépenses en services d’infrastructure
cloud. Vous trouverez ci-dessous un tableau récapitulatif des 10 principaux
fournisseurs de services cloud par part de marché, mettant en évidence la part de
marché de 34 % d’AWS, la part de marché de 22 % de Microsoft Azure et la part de
marché de 9,5 % de Google Cloud.
Quel fournisseur de services cloud détient
la plus grande part de marché ?
classement Fournisseur de services cloud Part de marché
1 Amazon Web Services (AWS) 34%
2 Microsoft Azure 22%
3 Google Cloud Platform (GCP) 9.5%
4 Alibaba Cloud 6%
5 Oracle Cloud 2%
6 IBM Cloud (Kyndryl) 2%
7 Tencent Cloud 2%
8 OVHcloud <1%
9 DigitalOcean <1%
10 Linode (Akamai) <1%
Quel fournisseur de services cloud est le
moins cher?
• Pour répondre aux questions : Quel est le fournisseur de cloud le moins cher ? et
Combien coûtent les services de cloud computing ?, Dgtl Infra a examiné
unecomparaison récente de Linode, qui a étudié le coût par mois d’un
déploiement CPU dédié / optimisé 2vCPU, 4 Go de RAM, 80 Go SSD. Vous
trouverez ci-dessous un résumé des coûts mensuels de ce déploiement auprès des
quatre plus grands fournisseurs de services de cloud public, à savoir Amazon Web
Services (AWS), Microsoft Azure, Google Cloud Platform (GCP) et Alibaba Cloud :
Quel fournisseur de services cloud est le
moins cher?
• Ces entreprises sont généralement au moins 20% à 35% moins chères dans tous
les domaines - et souvent 50% + moins chères - par rapport à AWS, Microsoft
Azure, Google Cloud et Alibaba Cloud.
DIFFÉRENCE ENTRE
CLOUD PRIVÉ,
PUBLIC ET HYBRIDE
Introduction
• La sagesse conventionnelle veut que les clouds privés
soient préférables pour les charges de travail qui ont des
besoins élevés en matière de conformité ou de sécurité.
Les clouds publics, quant à eux, sont idéaux pour
presque tout le reste. Et le cloud hybride est censé
fournir un juste milieu en permettant aux entreprises
d’utiliser des services de cloud public sur une
infrastructure privée.
Introduction
• Cependant, cette logique ne s’applique plus aussi
proprement. Les stratégies et plates-formes
architecturales de cloud public, privé et hybride se sont
développées ces dernières années, et les cas d’utilisation
de chaque modèle ne sont plus aussi clairement définis
qu’auparavant. Pour décider si le cloud public, le cloud
privé ou le cloud hybride, ou une combinaison de plusieurs
modèles, convient le mieux à une charge de travail
donnée, tenez compte des facteurs et nuances suivants.
le cloud public ?
le cloud public ?
Un fournisseur de cloud public met le stockage, les machines virtuelles et d’autres
services à la disposition de tous ceux qui le souhaitent. Bien que les charges de
travail soient isolées au niveau logiciel, elles s’exécutent sur une infrastructure
partagée,
le cloud public ?
Les principaux avantages du cloud public sont les suivants :
• Facilité d’utilisation. Comme il n’y a pas d’infrastructure physique à configurer et à
gérer, il est simple et rapide de commencer à utiliser les services de cloud public.
• Évolutivité illimitée. Les clouds publics donnent accès à une capacité
d’infrastructure pratiquement illimitée. Quel que soit le nombre d’applications que
vous devez exécuter ou la quantité de données que vous souhaitez stocker, le cloud
public peut les gérer.
• Frais d’exploitation prévisibles. La plupart des services de cloud public sont facturés
sur une base de paiement à l’utilisation, ce qui signifie que les entreprises peuvent
utiliser un modèle de dépenses d’exploitation fixes. Ils n’ont pas besoin de faire des
investissements en capital pour acheter une infrastructure d’hébergement.
le cloud privé ?
le cloud privé ?
Un cloud privé, en comparaison, offre des services basés sur le cloud uniquement à
certains utilisateurs - généralement, ceux d’une certaine organisation.
Traditionnellement, les clouds privés s’exécutent sur une infrastructure appartenant
à cette organisation, bien que des services tels qu’Amazon Virtual Private Cloud
permettent désormais aux clients de créer des clouds privés à l’aide de centres de
données et de services de cloud public. C’est un exemple de la façon dont la ligne
séparant les différentes architectures cloud s’est estompée.
le cloud privé ?
L’utilisation de clouds privés plutôt que de clouds publics présente les principaux avantages :
• Contrôle. Étant donné que les utilisateurs de cloud privé possèdent généralement à la fois leur
infrastructure d’hébergement et le logiciel utilisé pour exécuter des services de cloud privé, ils ont
une visibilité totale sur leur cloud et un contrôle sur la façon dont il est configuré.
• Sécurité. Les clouds privés sont plus sécurisés à certains égards, car ils n’obligent pas les
entreprises à partager leur infrastructure avec d’autres utilisateurs. En outre, les clouds privés
peuvent être isolés d’Internet si vous le souhaitez pour réduire le risque d’attaques réseau.
Certains services de cloud public peuvent également être cachés derrière des pare-feu cloud, mais
en fin de compte, il est impossible de déconnecter complètement les clouds publics d’Internet.
• Coût. Le coût total de possession d’un cloud privé peut être inférieur, en particulier si les
entreprises maintiennent le cloud privé en activité pendant de nombreuses années, ce qui permet
un retour sur investissement élevé sur leur investissement dans l’infrastructure d’hébergement de
cloud privé.
le cloud hybride ?
le cloud hybride ?
Le cloud hybride est une architecture cloud qui combine des ressources de cloud public
et privé.
Il existe plusieurs façons de créer un cloud hybride :
• Exécution de services de cloud public sur une infrastructure privée via une plateforme
telle qu’AWS Outposts ou Azure Stack ;
• Exécuter une plate-forme telle que Kubernete sau-dessus de l’infrastructure de cloud
public pour obtenir plus de contrôle et de flexibilité que les entreprises n’auraient lors
de l’utilisation directe de l’infrastructure ou des services de cloud public ; ou
• Exécuter certaines charges de travail dans un cloud privé ou sur site tandis que
d’autres s’exécutent dans un cloud public, avec des outils d’intégration ou de gestion
centralisée pour les administrer.
le cloud privé ?
Parmi ces modèles de cloud hybride, le premier est le plus courant et c’est
généralement ce que les praticiens ont à l’esprit lorsqu’ils parlent de cloud hybride
aujourd’hui. Cependant, étant donné les multiples façons dont les ressources
publiques et privées peuvent être combinées pour créer un cloud hybride, ainsi que
les différentes approches historiques de la création d’offres de cloud hybride, il
existe une certaine ambiguïté et un débat sur ce que signifie le cloud hybride ou sur
la manière de créer un cloud hybride.
le cloud privé ?
Quelle que soit l’approche adoptée par les entreprises, les principaux objectifs d’un
cloud hybride sont d’obtenir simultanément les avantages suivants:
• Contrôle. Les clouds hybrides visent à donner aux organisations plus de contrôle
sur les environnements cloud que dans un cloud public traditionnel.
• Simplicité. En utilisant les ressources de cloud public là où elles sont les plus utiles,
les clouds hybrides peuvent fournir une expérience de configuration et
d’administration plus simple qu’un cloud privé ou des charges de travail sur site.
• Sécurité : les clouds hybrides peuvent atténuer certains défis de sécurité du cloud
en offrant un meilleur contrôle sur l’emplacement d’hébergement des charges de
travail, la façon dont elles sont sécurisées et les données disponibles à des fins de
surveillance de la sécurité.
Principales différences entre le cloud
public, privé et hybride
En général, les clouds publics, privés et hybrides sont tous capables de fournir un
accès aux mêmes types de services cloud. Par exemple, vous pouvez exécuter des
instances de machine virtuelle hébergées, des services de stockage d’objets et des
fonctions sans serveur en tant que service sur n’importe quel type de cloud.
Principales différences entre le cloud
public, privé et hybride
Les différences cruciales entre les modèles cloud résident dans les éléments
suivants :
• À qui appartient l’infrastructure hôte ? Dans un modèle de cloud public, un
fournisseur de cloud public possède et gère l’infrastructure sous-jacente. Les
entreprises gèrent leur propre infrastructure dans la plupart des clouds privés et
hybrides.
• Qui configure les services cloud ? Dans les clouds publics, les fournisseurs
configurent des services cloud, tels que ceux qui rendent les instances de machine
virtuelle ou le stockage d’objets disponibles à la demande. C’est également le cas
pour les clouds hybrides, mais pas toujours. Sur un cloud privé, les utilisateurs
doivent configurer leurs propres services cloud, bien qu’ils puissent utiliser des
plates-formes telles qu’OpenStack et Kubernetes pour les aider.
Six facteurs à prendre en compte lors du
choix du cloud public, privé ou hybride
Bien que les différences puissent sembler relativement mineures, elles évoquent
plusieurs considérations importantes qui déterminent si une charge de travail est un
bon candidat pour le cloud public, privé ou hybride.
Six facteurs à prendre en compte lors du
choix du cloud public, privé ou hybride
1. Modèle de dépenses
Les services de cloud public sont généralement facturés selon un modèle de
paiement à l’utilisation. Ils ne nécessitent donc aucun investissement initial majeur
ni aucune dépense en capital. Mais une organisation doit surveiller attentivement
les dépenses dans le cloud pour éviter d’accumuler de gros frais mensuels.
Sans les services d’un fournisseur de cloud public, par exemple, il serait beaucoup plus
difficile de tenter des initiatives d’apprentissage automatique. Il est peut-être possible de
mettre en œuvre ces services cloud, mais cela nécessiterait plus d’efforts de
configuration et de maintenance continue que dans un cloud public, où les services sont
préconfigurés et disponibles à la demande.
Six facteurs à prendre en compte lors du
choix du cloud public, privé ou hybride
3. Conformité et sécurité
Au début de l’adoption du cloud, de nombreuses organisations pensaient que seuls les clouds privés
pouvaient répondre à des exigences strictes en matière de conformité et de sécurité, car ils offrent
un meilleur contrôle sur les services et l’infrastructure cloud qui les héberge. Dans la plupart des
cas, ce n’est plus vrai. Les clouds publics offrent désormais des méthodes sophistiquées pour isoler
les charges de travail dans des régions géographiques spécifiques et gérer les données sensibles.
En outre, la plupart des cadres de conformité modernes, y compris le RGPD de l’Union européenne
et le California Consumer Privacy Act, ont été écrits en pensant au cloud. Il est tout à fait possible de
rester conforme à ces règles tout en exécutant des charges de travail dans le cloud. Cela dit, lorsque
vous évaluez le cloud public par rapport au cloud privé, comprenez que les clouds privés offrent
toujours un contrôle plus précis sur la façon dont les charges de travail cloud sont configurées et
hébergées.
Six facteurs à prendre en compte lors du
choix du cloud public, privé ou hybride
4. Rendement
Étant donné que les clouds publics dépendent de l’Internet public pour fournir des
services, leur lien de performance le plus faible est la limitation de la bande
passante et de la connectivité Internet. Les charges de travail qui nécessitent des
transferts de données importants peuvent être plus lentes lorsqu’elles s’exécutent
dans un cloud public. Vous pouvez vous attendre à des performances et une fiabilité
élevées des clouds privés et hybrides dans lesquels les ressources informatiques
sont hébergées et consommées sur le même site local.
Six facteurs à prendre en compte lors du
choix du cloud public, privé ou hybride
4. Rendement
Ce n’est pas le cas, cependant, dans les clouds hybrides où les services de cloud
public doivent s’intégrer à une infrastructure hébergée en privé. Ils peuvent compter
sur les réseaux locaux, qui sont généralement plus rapides que les connexions
Internet publiques. Quel que soit le chemin que vous choisissez, vous devez préparer
votre réseau pour un environnement cloud.
Six facteurs à prendre en compte lors du
choix du cloud public, privé ou hybride
5. Facilité de gestion
Les utilisateurs doivent consacrer des efforts importants à la configuration et à la
gestion des charges de travail, qu’elles s’exécutent dans des clouds publics ou privés.
Un cloud public, cependant, implique moins d’efforts de gestion, car le fournisseur
de services fournit non seulement les ressources informatiques, mais gère
également le matériel pour vous, tel qu’un modèle d’infrastructure en tant que
service.
Avec un cloud privé ou hybride qui repose sur une infrastructure dans votre propre
centre de données, la charge de maintenance de ce matériel vous incombe.
Six facteurs à prendre en compte lors du
choix du cloud public, privé ou hybride
6. Contrôle et verrouillage
Les clouds publics, privés et hybrides présentent tous des risques de verrouillage de
différentes manières. Dans un cloud public, il peut être difficile de migrer d’une
plateforme cloud à une autre, telle qu’AWS vers Azure, car les outils et les configurations
des charges de travail sont différents.
Auparavant, SaaS, PaaS et IaaS étaient les trois principaux modèles de cloud
computing, et essentiellement tous les services cloud entrent dans l’une de ces
catégories. Cependant, ces dernières années, un quatrième modèle a émergé.
Iaas / Paas / Saas
Fonction-as-a-Service (FaaS) : le FaaS, également connu sous le nom d’informatique sans serveur,
décompose les applications cloud en composants encore plus petits qui ne s’exécutent que lorsqu’ils sont
nécessaires. Imaginez s’il était possible de louer une maison un petit à petit : par exemple, le locataire ne
paie que pour la salle à manger à l’heure du dîner, la chambre à coucher pendant qu’il dort, le salon
pendant qu’il regarde la télévision, et quand il n’utilise pas ces pièces, il n’a pas à payer de loyer sur eux.
Les applications FaaS ou sans serveur fonctionnent toujours sur les serveurs, comme tous ces modèles de
cloud computing. Mais ils sont appelés « serverless » parce qu’ils ne fonctionnent pas sur des machines
dédiées, et parce que les entreprises qui construisent les applications n’ont pas à gérer de serveurs.
De plus, les fonctions sans serveur augmentent ou se dupliquent à mesure que de plus en plus de
personnes utilisent l’application – imaginez si la salle à manger du locataire pouvait s’agrandir à la
demande lorsque plus de gens viennent dîner.