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Durée 65 min 03 s
Critique R 1
2
Ñ
(1978) (1980)
est le troisième album du groupe de punk rock britannique The Clash,
édité par CBS Records et sorti le 14 décembre 1979 au Royaume-Uni puis en janvier 1980
aux États-Unis sous le label Epic Records.
Album rock de référence3, ce disque polyvalent mêle plusieurs styles4 : ska, pop, rockabilly,
jazz, soul et reggae. Les thèmes abordés et dénoncés à travers les morceaux sont le
chômage, la consommation de drogues, les conflits raciaux, la politique ainsi que les
responsabilités des adultes dans la société5. Avec ce double album, le groupe souhaite alors
marquer sa différence avec le reste du mouvement punk qu'il juge sur le déclin6.
Vendu à près de deux millions d'exemplaires dans le monde7, l'album est certifié disque de
platine aux États-Unis8 et permet aux Clash de sortir du microcosme punk9.
xommaire
[masquer]
`c 1 Genèse et enregistrement
Êc 1.1 Contexte
Êc 1.2 Déroulement
`c 2 Caractéristiques artistiques
Êc 2.1 Structure de l'album
Êc 2.2 Musicalité et engagement
§c 2.2.1 Face Une
§c 2.2.2 Face Deux
§c 2.2.3 Face Trois
§c 2.2.4 Face Quatre
Êc 2.3 Pochette et titre de l'album
`c 3 Réception
Êc 3.1 Sorties, réalisations et classements
Êc 3.2 Héritage
Êc 3.3 Critiques
`c 4 Artistes et équipe de production
`c 5 Annexes
Êc 5.1 Notes et références
§c 5.1.1 Références
§c 5.1.2 Notes
Êc 5.2 Bibliographie
Êc 5.3 Liens externes
Après un premier album jugé trop brut par CBS Records, le groupe a pour souhait de
trouver le succès à l'étranger, et notamment aux États-Unis10. Avec un budget plus
important, il décide de quitter le Royaume-Uni et d'enregistrer son second album intitulé
Ñ
avec Sandy Pearlman, connu pour avoir produit Blue Öyster Cult,
un groupe de hard rock américain des années 1970. Malgré la présence de quelques titres
phares comme
Ñ et
, le succès n'est pas au rendez-vous à la
sortie du disque, l'album étant jugé trop américanisé11.
Après ce second album et de retour en Angleterre, le groupe se sépare de son manager
Bernard Rhodes12. Cette séparation contraint la bande à changer de locaux pour
l'enregistrement de son album suivant. Les Clash quittent alors les studios de Camden
Town à Londres, et recherchent un nouvel endroit pour procéder aux enregistrements.
Déroulement [modifier]
Dix-neuf morceaux sont enregistrés pour l'édition originale de 1979, pour une durée totale
de soixante-cinq minutes. Tous les morceaux sont écrits par Mick Jones et Joe Strummer, à
l'exception de trois d'entre eux : ÿ
,
Ñ
ÿ et
.
1 3:20
ÿ! 3:18 3:10
4:03
ÿ
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2 2:08
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Ñ
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&'' 3:54 3:47 (
( 1:47 )
# 3:06
est considéré comme un manifeste social de l'Angleterre16,17. L'album en
donne en effet une description précise et cohérente. Le groupe, à travers les paroles et la
musique, veut véhiculer un message, en utilisant la fusion des genres musicaux, parfois
inédite, puisqu'il mêle rock, punk, rockabilly, funk, reggae, pop, rythm and blues et jazz11.
Même les chansons plus mineures complètent de façon utile l'album18.
La centrale Three Mile Island, deux semaines après l'incident abordé dans
"
ÿ
!
» (« Londres appelle, n'attendez pas de nous qu'on
vous conduise / La Beatlemania bidon a mordu la poussière »).
Portrait de *
, interprète original de ÿ
Dans &
&'', seul morceau dévoilant les influences jazz du groupe notamment
présentes dans le swing des instruments28, il est question d'un personnage recherché
activement par la police. Sur un rythme presque parfois plus ska et reggae que jazz29, le
message de la troisième chanson de l'album est la dénonciation de l'attitude et des méthodes
barbares des forces de l'ordre30.
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R
)
-
!
0
)
»Notes 3 (« Oh,
tout ce que je veux, il me le donne / Tout ce que je veux il le donne, mais pas gratis. C'est
haïssable »).
$ est la cinquième et dernière chanson de la première face. Promotion de
l'hédonisme34, elle met en scène un jeune hommeNotes 4 critiqué pour son incapacité à devenir
un adulte responsable. Plusieurs genres musicaux y sont fusionnés : des éléments de
musique pop35 sont mélangés à la soul et au reggae36. Comme dans plusieurs de leurs
chansons, une référence est faite à un chanteur reggae dans les paroles « ÿ
)
)
.
!
»37 (« Mais je te dis que je
peux pas vivre pour rendre service / Comme le docteur qui était né pour quelque chose »).
En effet, à l'époque, Doctor Alimantado et son titre ÿ
"
sont populaires
dans le mouvement punk par l'intermédiaire de Johnny Rotten38.
Le texte de
ÿ! rend hommage aux révolutionnaires et républicains qui
combattirent avec le « $
" » pendant la guerre civile espagnole39 . Il s'agit de la
première chanson des Clash à traiter de questions sociales sans relation avec la réalité
locale du Royaume-Uni. L'idée de l'écrire est influencée par le terrorisme en Irlande et en
Espagne40, suite aux longues conversations au sujet de l'ETA entre Strummer et sa
compagne Gaby Salter41.
Le groupe, bien que d'origine britannique, n'a pas uniquement composé en anglais. Le
morceau est également chanté en espagnolNotes 5. En effet, intercalé entre des couplets
chantés en anglais, le refrain contient les termes
ÿ! suivis par des chœurs en
espagnol répliquant « 1
0
1
-
'20 ». Celui-ci a donné
lieu à diverses interprétations puisqu'il a été directement traduit de l'anglais en une phrase
qui semble manquer de sens (« Spanish bombs je te veux un infini, je te veux oh mon
cœur »). Toutefois, comme
est également un manière de 3
en espagnol, on
pourrait traduire cette phrase par « Spanish bombs, je t'aime infiniment, je t'aime oh mon
coeur », ce qui fait plus sens. La chanson loue l'héroïsme des républicains et des anarchistes
en particulier, durant cette période39, puis finit par mentionner la localité de Grenade, où
habitait Federico García Lorca et qui est devenu la scène de certaines des luttes les plus
violentes42.
C'est après avoir lu la biographie de Montgomery Clift par Bosworth prêtée par Guy
Stevens que Joe Strummer décide de composer
"
43. La septième chanson se
base sur la vie chaotique de l'acteur44, en se focalisant sur ses problèmes d'abus d'alcool et
de médicaments. A un moment intitulé
45, le titre final fait référence au fait
qu'après un accident de voiture survenu en 1956, Clift finit le tournage de R!
en
ne laissant filmer que son profil droit46. Selon le machiniste itinérant Johnny Green, la
chanson est également un hommage à Guy Stevens, dont le style de vie correspondait à
celui de Montgomery Clift47.
Le mythe de
est ressuscité dans
ÿ, une chanson inspirée du
classique 4/4
ÿ
de Mississippi John Hurt60. Même si elle est bizarrement
créditée C. Alphanso (l'un des pseudonymes de Clive Alphonso)61, il s'agit en fait d'une
variante de la version ska intitulée
! et chantée par le groupe jamaïquain The
Rulers62. Stagger Lee est l'archétype du noir issu des bas quartiers, la personnification du
mauvais garçon rusé, dégourdi, décontracté, anarchique, amoral, potentiellement violent et
qui défie souvent l'autorité blanche63. Pourtant, dans cette chanson, les rôles sont plus ou
moins inversés. Le héros est Stagger tandis que Billy Lyons est le vilain64 : «
ÿ
-
)
!
.
)
! » (« Donc Billy dit, hey Stagger ! Je vais faire ma grosse attaque / Je vais devoir
laisser mon couteau dans ton dos »).
#
Ñ est un pamphlet expliquant le gâchis orchestré par l'industrie musicale65.
Fidèle à leurs racines punk, ce morceau est plus dynamique et possède un son plus
électrique et saturé. Les mots « #
Ñ » (« La Mort ou la Gloire ») sont chantés à
chaque début de refrain et répondent aux riffs de guitare. Le texte encourage à
persévérerNotes 6. Il pousse à ne pas succomber aux majors, qui savent uniquement reproduire
ce qui a déjà été entendu auparavant, sans aucune innovation66.
(
( dénonce la société de consommation dans laquelle s'enferme le monde à cause
des manoeuvres insidieuses de la publicité67. Le parallèle avec les dealers de drogue68 y est
pointé directement du doigt dans des paroles telles que : « (
.
!
».
est une ballade aux airs de chanson d'amour73. Avec une certaine ironie, elle
traite de l'égalité des sexes74 et aborde le thème de la contraception75.
est un morceau reggae qui a reçu diverses critiques. Ainsi, Joe Strummer
et Mick Jones sont jugés incapables d'écrire des chansons d'amour crédibles par le
magazine musical britannique
ë
76.
$
%
et )
# sont deux morceaux mineurs de
, rarement
joués sur scène. Le premier, parodiant les quatre cavaliers de l'Apocalypse77, n'est interprété
qu'une seule fois, le 4 août 1979 lors du festival de Ruisrock à Turku en Finlande78. Le
deuxième titre n'est également joué qu'avant la sortie de l'album. En effet, les seules fois où
Mick Jones la chante sont lors des concerts secrets de l'été 197979. Cette chanson optimiste
et autobiographique80 explique qu'il ne faut jamais renoncer.
*, le dernier morceau, dégage les influences musicales américaines des Clash81.
Au sujet du titre, Mick Jones déclare « Le morceau était comme le rythme d'un train, et il y
avait, une fois encore, ce sentiment d'être perdu »82 bien qu'aucun train ne soit mentionné
dans le morceau. Le refrain reprend les termes «
!
ë
», d'où le nom
*
+
!
ë
, lors de sa sortie en single aux États-Unis. Ajouté au dernier moment sur
, il devait être offert au départ au profit d'une promotion avec
ë
83. La pochette ayant déjà été éditée, cela devient finalement un morceau caché de
l'album.
Pour la pochette de l'albumNotes 7, Ray Lowry utilise une photographie de Paul Simonon
fracassant sa guitare basse sur la scène du Palladium, une salle de concert de New York.
Prise par Pennie Smith juste après un concert, le 21 septembre 197984, cette image est
devenue l'un des clichés les plus célèbres du rock. Pourtant, au départ, elle juge l'image trop
floue pour en faire une pochette. C'est sur l'insistance du dessinateur du NME et de Joe
Strummer, le guitariste chanteur des Clash, qu'elle est finalement choisie85. En 2006 et
2007, la basse est même exposée au Rock and Roll Hall of Fame lors de l'exposition
5
86.
Pour la calligraphie des mots du titre, l'artiste, que le groupe connait depuis l'R Tour
des Sex Pistols87, reprend la même police et les mêmes couleurs que celles du premier
album d'Elvis Presley. « » est écrit verticalement en rose alors que « » est
écrit horizontalement en vert, un lettrage dont Lowry loue « l'étrange force »88.
Tout l'esprit de l'album est symbolisé par cette image91, qui est devenue depuis le succès
mondial de l'album une des icônes des disques de punk rock92,93. La photographie est
aujourd'hui estimée à 5 000 £ après s'être vendue à 1 000 £ en 200494.
En 2001, la pochette de
est désignée neuvième meilleure pochette d'album
de tous les temps par le magazine 695. En 2007, la National Association of Recording
Merchandisers la sélectionne dans sa liste #7
899 distinguant les œuvres artistiques
du rock96.
éception [modifier]
xorties, réalisations et classements [modifier]
est réalisé en double album, mais se vend au prix d'un album standard, à la
demande du groupe11. Le label des Clash, CBS Records refuse d'abord de commercialiser
l¶album ainsi, puis accepte finalement, afin que les Clash y incluent un Maxi 45 tours
gratuit.
sort le 14 décembre 1979 au Royaume-Uni, puis un mois plus tard,
en janvier 1980, aux États-Unis.
L'album donne deux des singles les plus connus du groupe anglais,
, sorti
une semaine avant le disque, le 7 décembre 1979 et
*. Le premier single, avec
la reprise inédite R
de Willi Williams en face B, est fortement apprécié du
public et des médias99. Il se classe onzième dans les charts britanniques. Son clip vidéo,
réalisé par Don Letts présente
jouant sur la
, la rivière traversant Londres,
alors que la pluie tombe100.
* sort en single aux États-Unis en février 1980, atteint la vingt-troisième place
des charts au Billboard dans la catégorie "
et la trentième dans la catégorie !
"
101.
Vendu à près de deux millions d'exemplaires dans le monde, l'album se place à la neuvième
place des charts britanniques13, et y a été certifié disque d'or en décembre 1979. Cependant,
s'est mieux vendu à l'étranger. En effet, il s'est classé deuxième des charts
en Suède102 et quatrième en Norvège103. Aux États-Unis, l'album atteint la vingt-septième
place au ÿ !
899 dans la catégorie "
! en 1980 et finit certifié disque de
platine en février 19968.
En 2000, l'album est remasterisé, comme l'ensemble des albums du groupe aux États-Unis
par le label Epic Records.
Norvège
Suède Swedish Autriche Austrian
2 17 Norwegian Albums 17
Albums Chart102 Albums Chart104
Chart103
Angleterre UK Norvège
Suède Swedish
9 Norwegian Albums 4 45
Albums Chart13 Albums Chart102
Chart103
États-Unis U.S.
ÿ ! Pop 27 Suisse Swiss 72
Albums105 Albums Chart106
Angleterre UK
26
Albums Chart
En 1979, après s'être endormi dans le train le menant au studio, Johnny Green se réveille en
sursaut à la station où il doit descendre. Dans la précipitation, il oublie les bandes derrière
lui107. Celles-ci sont considérées perdues jusqu'à ce que Mick Jones en retrouve un
exemplaire en mars 2004.
1 %
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Ñ 3:54 12 4 1:56 17 4:09
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6 (
( 1:57
Légende
présent sur l'album
présent sur l'album
Úéritage [modifier]
Ñ , une chanson du groupe Garbage sortie en 1996, est construite autour du rythme
de batterie de
*109. D'ailleurs, Joe Strummer et Mick Jones sont crédités pour ce
titre. En 2007, quand la chanson est remastérisée pour R!
Ñ!
, le best of du
groupe américain, les noms de Paul Simonon et Topper Headon sont ajoutés110.
Critiques [modifier]
À l'image du
1
qui le décrit comme l'un des meilleurs albums de tous les
temps111, la plupart des critiques reconnaissent unanimement la qualité de
.
Pat Blashill, journaliste musical de
, déclare ainsi qu' « il célèbre la romance
de la rébellion du rock'n'roll, dans une période épique. »112. Dès sa sortie, le magazine lui
attribue la note maximale de cinq étoiles sur cinq113. En novembre 1989, le magazine
musical lui décerne le titre de meilleur album des années 1980 (« ;99
ÿ
R !
»). En 2003,
le classe huitième des 500 plus grands albums de tous
les temps7, tandis que la chanson du même nom est désignée en 2004 quinzième meilleure
chanson de tous les temps114.
!-
!
!0 »)1 et qualifie
l'album d'« un des meilleurs albums de rock'n'roll qui n'ait jamais été enregistré » («
<
!
»)1.
Par ailleurs, le magazine musical "
ë
nomme le morceau éponyme
meilleur titre de l'album et en 2004, le site web classe l'album deuxième dans sa
liste des 100 meilleurs albums des années 1970 (
;99
!
=9)115.
Si la critique actuelle est généralement élogieuse, celle de l'époque de l'album l'est tout
autant. En 1979-1980, voir un groupe punk réaliser un véritable album rock perturbe.
Néanmoins, en France, Bruno Blum affirme dans le numéro de janvier 1980 de ÿ :
« Que ce soit clair pourtant : cet album est leur meilleur. »116. De même, s'il ajoute un bémol
sur l'originalité, Lester Bangs explique, lors d'une interview radio donnée à 3RRR en 1980,
qu'il aime le principe du retour aux sources de l'album117.
En 1979,
*
*
, par l'intermédiaire de son journaliste Robert Christgau qui
donne une évaluation de A+118, le met en tête des albums de l'année119. Le journaliste décrit
comme « chaud, furieux, pensif, sûr, mélodique, et profondément hard
rock ». Il l'annonce d'ailleurs meilleur
"
R ! depuis
ë
des
Rolling Stones120.
Annexes [modifier]
Notes et références [modifier]
éférences [modifier]
1.c U a, b et c r Stephen Thomas Erlewine, « The Clash - London Calling [archive] »,
sur
R 0. Consulté le 29/01/2009
2.c U r Pat Blashill, « The Clash - London Calling [archive] » sur
, 22. Mis en ligne le
22/09/2004, consulté le 29/01/2009
3.c U r Jeremy Simmonds,
#
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4.c U r Clinton Heylin, ÿ! B
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4
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"
Ñ
, Au Diable Vauvert, 2007 (ISBN
284626130X et 9782846261302), p. 537, « Cet album, qui offrait une pléthore de styles, avait plus en
commun avec les 101ers qu'avec quoi que ce soit que Rhodes aurait pu tolérer. »
5.c U a, b et c r Tom Sinclair, « The Best Album of All Time [archive] » sur
, 24.
Mis en ligne le 24/09/2004, consulté le 15/01/2009
6.c U r Pascal Dupont, « The Clash [archive] » sur
, octobre 2004. Mis en ligne le
25/10/2004, consulté le 30/01/2009. « « Or, il était clair que le mouvement punk ne menait nulle
part. Dans les kiosques, on vendait des cartes postales montrant des crêtes rouges sur King's Road,
comme une tribu en voie d'extinction. On ne voulait pas finir en carte postale. » »
7.c U a et b r 8) London Calling [archive],
C99
!
sur
0, novembre 2003. Mis en ligne le 01/11/2003, consulté le 15/01/2009
8.c U a et b r Gold and Platinium [archive] sur
)
R
R
, 1996.
Consulté le 15/01/2009. «
5
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R)Ñ
4
#
5
98.;:.;??D »
9.c U r Allan Jones, « #
Ñ », dans , mars 2003 [ texte intégral [archive] (page consultée le
17/01/2009) ] :
« I don't see Joe much after this, watch from a distance as
turns The Clash into a
major rock band, the world theirs if they want it. »
« Enfin, le package comprend un excellent DVD, incluant un irrésistible documentaire réalisé par
Don Letts sur la genèse de l'album où l'on voit le producteur cinglé Guy Stevens balancer des chaises
sur le groupe en pleine séance d'enregistrement. »
16.c U Dominique Bodin, Luc Robène et Stéphane Héas, « Le hooliganisme entre genèse et modernité »,
dans * E
E
0
, Presses de Sciences Po, no 85, janvier 2005, p. 72 (ISSN 0294-
1759) (ISBN 2724630025) [ [pdf]texte intégral [archive] (page consultée le 18/01/2009) ] :
« Le slogan punk « No future » des années 1976-1978 et les textes engagés des groupes phares de
cette période comme le « London calling » des Clash (1979) rendent mieux compte que tout discours
de l¶état d¶esprit dans lequel la jeunesse, en particulier celle des classes modestes, aborde les
« années de fer ». »
17.c U r Raoul Hernandez, « The Magnificent Seven - Why Sandinista! Is Better Than London
Calling [archive] » sur
R
, mai 2000. Mis en ligne le 19/05/2000, consulté le
18/01/2009. « London Calling was not only a defiant manifesto for and about the common man, the
common man actually caught wind of it and responded. »
18.c U r Dave Thompson, R
5
ÿ
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, Miller Freeman
Books, 2000 (ISBN 9780879306076 et 0879306076), p. 272, « ÿ
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»
19.c U r Adam Sweeting, « &
», dans
Ñ, 24 décembre 2002 [ texte
intégral [archive] (page consultée le 18/11/2008) ] :
« London Calling, was a tour de force of styles, from rockabilly to hard rock, dub and ska,
alchemised by plenty of finger-jabbing attitude »
« The songs draw on a wider variety of influences - rockabilly, R&B, honky-tonk, reggae »
!
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22.c U r THE CLASH "London Calling" [archive] sur
8;. Consulté le 21/11/2008. « « London
Calling » est l¶un des single phare du groupe »
23.c U r Marcus Gray,
5
Ñ
, Hal Leonard Corp, 2004 (ISBN
9780634082405 et 063408240X), p. 308, «
-
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"
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24.c U r Sasha Frere-Jones, « 1979 - The year punk died, and was reborn [archive] », "
ë sur
1
, novembre 2004. Mis en ligne le 01/11/2004, consulté le 21/11/2008. « Joe
Strummer simultaneously watches the riots and sloughs off his role as de-facto punk president »
25.c U r Jean Chalvidant, Hervé Mouvet,
!
G
7
D9, Fernand Lanore, 2001 (ISBN 9782851572196 et 2851572199), p. 172, « Le Vince qui ressortira des
électochocs de l'asile, bientôt suivi de beaucoup d'autres, s'est pris quelques années dans la tronche et
est définitivement brisé. »
26.c U r Adam Sweeting, « #
Ñ », dans , no 89, Octobre 2004, p. 65 :
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4
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A
29.c U r Daniel Garrett, « Energy, Honesty, Intelligence, Tradition and Possibility : The Clash,
London Calling [archive] » sur
, Février 2008. Mis en ligne le 01/02/2008,
consulté le 05/01/2009. « The police search for a local character, and there are threats of barbaric
violence, in ³Jimmy Jazz,´ a song detailed with a vibrant jazz horn amid a laid-back rhythm closer to
ska or reggae than jazz, and a nearly slurred vocal performance, sounding casual and almost
distracted. »
30.c U r Myron Joel Aronoff,
$
R, Transaction Publishers, 1986 (ISBN
9780887386343 et 0887386342), p. 150, « F
F
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31.c U r Ben Ratliff, « ÿ
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5
ÿ
Ñ
/ », dans
1
, 3 juin
2008 [ texte intégral [archive] (page consultée le 29/01/2009) ] :
« Here is a partial list of songs since the late 1950s that have used the Bo Diddley beat, or a variation
of it. (...) The Clash, %
»
ÿ
4
!
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A
33.c U r Jeff Terich, «
», dans
!
'
, 8 septembre 2005 :
« One of the immediate highlights amid the first half of the record is "Hateful," a catchy, punk
inflected bit of power pop with a bouncy rhythm and lyrics about a drug dealer »
« "Rudie Can't Fail" (the "She's Leaving Home" of our generation) celebrates an initiation into
bohemian lowlife with affection and panache (...) »
35.c U r Mark Sutherland, « The Clash - London Calling - 25th Anniversary Edition [archive] »,
sur ÿÿ
, Septembre 2004. Mis en ligne le 06/09/2004, consulté le 18/11/2008. « Pick
from straight-up punk like "Death Or Glory", sweet pop like "Lost In The Supermarket" or dub like
the Paul Simenon-penned "Guns of Brixton". »
36.c U r James M. Curtis,
5
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-
;?C:4;?@:, Popular
Press, 1987 (ISBN 9780879723699 et 0879723696), p. 313, « -
F
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2003. Consulté le 16/01/2009. « they name-dropped and referenced their reggae heroes in their lyrics
-- Prince Far I in "Clash City Rockers," Dr. Alimantado in "Rudy Can't Fail," (...) »
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%
sur & 0
. Consulté le 16/01/2009. « Un de ses amis - Donovan Lett - lui a
fait écouter mon disque "Born For a Purpose", ce disque lui a tellement plu qu'il le jouait partout :
interviews, radios, télés... Le morceau est devenu célèbre comme ça, du coup les punks l'ont aussi
adopté ! »
39.c U a et b r Robert Dimery,
Ñ
R !, Harper Collins Publishers, 1999 (ISBN
9780004724850 et 0004724852), p. 143, « 000F
ÿ!F
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0 »
40.c U a, b et c Sweeting, Adam. #
Ñ dans Uncut. Octobre 2004. p. 67
41.c U r Don J Whistance, « LONDON CALLING [archive] » sur
0 0 . Consulté le
18/01/2009. « 'Spanish Bombs' was written as a result of travelling home from Wessex Studios late
one evening, Strummer and Gaby Salter were talking about the Basque separatists in Spain who were
engaged in a bombing campaign against various holiday resorts on the Costa Del Sol. »
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de ma vie, même si je n'ai pas grandi en banlieue. »
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! », dans
1
,
1er novembre 2004 [ texte intégral [archive] (page consultée le 24/01/2009) ] :
« The song fades away in a vamp that sounds like disco, so light you might get the impression the
band had forgotten eveything they'd just sung about : institutional racism, political brainwashing, and
the creeping compromise of working life. »
52.c U r Antonino D¶Ambrosio, «
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5
"
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« The same song also advocates an alternative, a common Strummer theme, the need for working-
class rebellion »
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février 2003 :
« La conscience sociale et politique des gars se déploie, ils invoquent les mannes de la guerre
d¶Espagne et le fantôme de Garcia Lorca (Spanish Bombs), alimentent l¶envie de révolte contre l¶état
des choses imposé par l¶ordre thatchérien (Clampdown), filent l¶allégorie sur la société consumériste
(Lost in the Supermarket) ou chroniquent les faits divers policiers (Guns of Brixton) »
57.c U r « /#/
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, janvier 1980 [ texte intégral [archive] (page consultée le
29/01/2009) ] :
« Reggae figures more prominently than ever, in Paul Simonon's songwriting debut on "Guns Of
Brixton" (a dark-brooding picture of urban terror, sung by Paul), »
59.c U r «
R
" », dans ÿ
"
, août 2003 [ texte intégral [archive] (page consultée le
29/01/2009) ] :
« I played bass on the recording, but because of the song¶s bass line, I felt more comfortable playing
guitar and singing the whole song live. »
60.c U r Greil Marcus, Guillaume Godard,
, Editions Allia Books,
2000 (ISBN 9782844850294 et 2844850294), p. 120, «
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"
, octobre 2004. Mis en ligne le 26/10/2004, consulté le 25/11/2008. « The tune was another
obscure rude boy single favored by skinheads, so no one much noticed when the Clash renamed it
"Wrong 'Em Boyo" and credited it to one C. Alphanso. »
62.c U r Dave Thompson,
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Backbeat Books, 2002 (ISBN 9780879306557 et 0879306556), p. 385, « /
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septembre 2004 [ texte intégral [archive] (page consultée le 17/11/2008) ] :
« Avec Koka Kola (...), ils écrivent avec vingt-cinq ans d¶avance la chanson préférée de Patrick Le
Lay. Celle dont il a fait récemment le pitch lorsqu¶il a déclaré : "Dans une perspective business,
soyons réalistes : à la base, le métier de TF1, c¶est d¶aider Coca-Cola à vendre son produit." »
0 »
70.c U r Chris Knowles,
, PageFree Publishing, 2003 (ISBN 9781589611382 et
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71.c U r Tom Carson, «
», dans
, no 314, 22 janvier 1997 :
« If "Rudie Can't Fail" (the "She's Leaving Home" of our generation) celebrates an initiation into
bohemian lowlife with affection and panache, "The Card Cheat" picks up on what might be the same
character twenty years later, shot down in a last grab for "more time away from the darkest door." »
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74.c U r Tom Carson, «
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», dans
,
no 314, 03 avril 1980 [ texte intégral [archive] (page consultée le 16/01/2009) ] :
« It can be as intimate and hilarious as the moment when Joe Strummer deflates any hint of
portentousness in the sexual-equality polemics of "Lover's Rock" by squawking "I'm so nervous!" to
close the tune. »
»
76.c U r Pat Gilbert, "
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, Da Capo Press, 2005 (ISBN
9780306814341 et 030681434X), p. 260
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, 11 avril 2000 [ texte
intégral [archive] (page consultée le 04/02/2009) ] :
« Lyrically, they attacked consumerism ("Lost in the Supermarket," "Koka Kola") and drug dealers
("Hateful") while waxing philosophical about the apocalypse ("London Calling" and "Four
Horsemen"). »
78.c U r Turku Finland - Ruisrock Festival [archive] sur ÿ
0. Consulté le
05/11/2008. « The main highlight is the only ever live outing for Four Horseman, which Joe
introduces with ³Ok the 4 horsemen of the apocalypse are quite tired and need a little drink..´ The
song has a different ending than the recorded version. »
79.c U r Chris Salewicz, « Part 3: Red Hand of Fate [1979 [archive]] » sur "ë
, mai 2007. Mis
en ligne le 23 May 2007, consulté le 05/11/2008. « On July 5 and 6 they played a pair of ³secret´
gigs in London, at the small Notre Dame hall off Leicester Square, trying out new songs. These
included ³London Calling´ and ³Rudie Can¶t Fail,´ as well as the only live performances ever of
³Hateful´ and ³I¶m Not Down.´ »
80.c U r John Piccarella, «
ë
», dans *
*
, 4 février 1980 [ texte
intégral [archive] (page consultée le 04/02/2009) ] :
« But the most autobiographical song, reminiscent of Give µEm Enough Rope¶s "Stay Free," is "I¶m
Not Down," upon whose street-tough declaration of having been there the self-mythologizing "Four
Horsemen" is built. »
« "The track was like a train rhythm," says Jones, who wrote most of it, " and it was, once again, that
feeling of being lost. So there it was." »
83.c U r David Y. Hudson, Inteview de Joe Strummer, Mick Jones et Kurt Loder, « MTV
Rockumentary Part 2 [archive] » sur ! 0 , 1991. Consulté le 29/01/2009. « The real
story on "Train In Vain" is that originally we needed a song to give to the NME for a flexi disk that
NME was going to do. And then it was decided that it didn't work out or decided the flexi disk didn't
work out so we had this spare track we had done as a giveaway. So we put it on London Calling but
their wasn't time because the sleeves were already done. »
84.c U Ñ
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serving as the band's ³official war artist´ on that American tour, to persuade her that it would work
as a cover. »
86.c U r Revolution Rock [archive] sur
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« Among the highlights are Joe Strummer¶s Fender Telecaster, Mick Jones¶ Gibson Les Paul Jr.,
Paul Simonon¶s smashed bass guitar from the cover of ³ London Calling,´ and handwritten lyrics for
London Calling, ³Know Your Rights´ and ³Clampdown. »
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early rock and roll. »
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l'héritage rock des années 1950 et conquièrent l'Amérique ; la pochette pastiche d'ailleurs le premier
album d'Elvis. »
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because it captures the ultimate rock 'n' roll moment - total loss of control." »
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picture in an open edition is Penny Smith¶s cover for the album London Calling by the Clash. Two
years ago the picture was selling for more than £1,000; today it would set you back nearly £5,000. »
95.c U r Mickey O'Connor, « London's Q magazine picked these; what are yours? [archive] »,
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*
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« At the end of each session, they ran off cassette copies, which Mick in particular would take away
to study. It was one of the final cassette copies that Johnny Green had left on the tube. »
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ligne le 09/12/2004, consulté le 15/01/2009. « ;C0
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115.cU r Classement des
;99
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=9 par
[archive] :
est deuxième.
116.cU Bruno Blum, « London Calling », dans ÿ, no 138, janvier 1980 :
« Ils n¶existent que pour et grâce à leur public, et aujourd¶hui, avec ce "London Calling", on va leur
reprocher de ne plus être punks, de faire trop de musique et pas assez de décibels. Que ce soit clair
pourtant : cet album est leur meilleur. »
117.cU r Sue Mathews, Lester Bangs, « Lester Bangs Interview [archive] », Radio 3RRR, 13/05/1980.
Consulté le 19/12/2008. « Even The Clash for that matter, I mean the stuff on the µLondon Calling¶
album it¶s like they¶re trying to go back to their roots and they¶re really like trying to. And that¶s
good, it¶s good that they¶re listening to all these old blues singers this and that and the other thing
and absorbing all this stuff. But it¶s really, they¶re not creating anything really radically new. I think
the first album was much more radical, and I speaking purely in music sense then µLondon
Calling¶. »
118.cU r The Robert Christgau¶s Lists 1970-2002 [archive] sur , avril 2008. Mis en ligne
le 10/04/2008, consulté le 23/12/2008. « 1979
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119.cU r 1980 [archive], C9
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sur
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18/10/2005, consulté le 23/12/2008. « The Clash's London Calling was named best album »
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!
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melodic, and hard-rocking, this is the best double-LP since Exile on Main Street. And it's selling for
about $7.50. »
121.cU r 1979 NME Albums [archive]. Consulté le 05/11/2008. « 8. London Calling - The Clash »
122.cU r Best album of all time revealed [archive] sur ë0, juin 2006. Mis en ligne le
02/06/2006, consulté le 05/11/2008. « 12. µLondon Calling' - The Clash »
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+
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16/01/2009
Notes [modifier]
1.c U r Paroles : « ë
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2.c U r Paroles du dernier refrain, où le texte est répété trois fois : «
!
»
3.c U r Paroles Hateful [archive] sur
$
. Consulté le 29/01/2009
4.c U «
» fait référence à l'expression «
ÿ ».
5.c U r paroles du morceau Spanish Bombs [archive]. Consulté le 05/11/2008
6.c U r paroles du morceau Death or Glory [archive] sur ë
00. Consulté le 07/01/2009
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. [archive]
8.c U Pochette du premier album d'Elvis Presley
ÿibliographie [modifier]
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[Documentaire]. New York, NY : Sony Music Entertainment; Dorismo ; Uptown
Films. ISBN 0-7389-0082-6. OCLC 49798077.
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, 2e édition, Richmond :
Reynolds & Hearn. ISBN 1-903111-70-6. OCLC 63129186.
`c r Site officiel de
`c r Une critique de l'album par R 0
`c r Black Market Clash
[Enrouler]
v·d·m
The Clash
Joe xtrummer ëick Jones Paul ximonon Topper Úeadon
Nick Sheppard Keith Levene Pete Howard Terry Chimes Vince White Bernie Rhodes
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Albums studio
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Compilations
ÿ
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%
5
et lives
R
Voir aussi : Big Audio Dynamite The Mescaleros The 101'ers London SS Mick Gallagher
`c Portail du rock
`c Portail du punk
`c Portail de Londres
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