Vous êtes sur la page 1sur 12
vec le cent cinquantiéme anni. versaire de la publication de L’Origine des espéces, s‘est rouverte la grand- messe célébrant Ia lumiére faite sur l‘ori- gine de la vie, des espéces et de I'Homme. La théorie du brave Charles, aprés avoii défrayé Ia chronique, est aujourd'hui adop- tée de Facon définitive par l'ensemble de Ia communauté scientifique comme vérité établie et connait une gloire dont il n‘aurait probablement jamais révé. Méme le Vatican semble s‘en accommoder avec une déclaration récente sur laquelle nous reviendrons. Diffcile de Foire Face 6 un tel consensus, une telle unanimité. > p. 14 Jean-Francois Moreel: Et pourtant, pour quiconque capable dun minimum dhonné « Le darwinisme n'est pas __teté intellectuelle, les Foibiesses cu modele daruinien sautent une théorie scientifique » —_‘itérclement aux yeux: le syndrome du choinon manquont, toin cétre te monopole dela lignée humaine, savere étre ext lo chose la mieux partagée par le vivant. De la complexité irré- > p. 24 Cachez ces squelettes ductibleprésiaane 8 Fappostion dorganes achevés, jusquoux que je ne saurais voir ‘supposées macromutations, le projet darwinien dans son ensemble contreait les bases les plus élémentalres de la géné tigue tele que nous la comprenons ovjour i Par quel procige une théorle 6 peine soutenable scientifique tment o-vele pu occeder av statute vert inexpugnoble dans ies milieux se réciamant de a puissance de I raison? En its obstacle se revel tre de noture davantoge pS > p. 26 Cachez ces scientifiques. > p. 31 Cachez ces fossiles... > p. 34 Cachez cet ADN. chologique et plus profondément enraciné qu'on le suppose. La force explicative contenue dans la théorie de Forigine des > p. 36 Cachez ce darwinisme ‘espéces incombe davantoge 0 la nécessité que homme a de social... combler le vide relatif 0 ses origines, qu’a la pertinence du scénario dorwinien en lui-méme. Nous nous sommes sotisfaits dune théorie qui répond de maniére bancole é la question dot viens-je? pour justifier un modéle ‘motérialiste exponsionniste, gommant au passage les questions essentielies, tout en consacrant lo supériorits de a lignée humaine sur les autres espéces. Quoi de plus confortoble finglement? On peut déplorer que la seule olternative a Darwin cont il soit Fait la publicté soit le créctionnisme, en particulier dans so tendance dite « Jeune Terre » (Young Eorth creationism). Remplissant son rdle ? our le biochimiste Jean-Francois Moreel, auteur de deux ouvrages sur la question, démustifier le darwinisme présente un enjeu le : libérer ntifiques de cette idéologie pour reconquérir leur liberté de penser. A propos de Jean-Francois Morel leur en bislgle mode clube du déveloonenen! [EF Movoo es! cujout hui decir conlfque ds ebomico se recherche privé on Biolog molécuiie & géramique aol Nha puke en 2007 Danwinisme be grand mersonge ela Domwnisme cervers ine héore ed, Francois Yoxtor de Gulbort dans losques ‘mene une cs cles conneescroms sconlfiquos rs Aclgnée ch myhe cfc 14 NEXUS 64 Jean-Francois Moreel: NEXUS: Pourquoi avoir écrit le livre Le Darwinisme, envers une théorie"? Jean-Francois Moree!: ai débuté ma carrie par Iétude de Ia génétique du déve- loppement précoce des vertébrés Je me suis spécialisé dans um domaine situé a in tersection de deux branches non darwiniennes de la biologie, la génétique molécu Iaire et lembryologic. 12s vite, j'ai été confronté la pesanteur du dogme darwinien et est devenu une évidence, comme un devoir:il flat que je témoigne. Noublions pas que le darwinisme porte dans ses zines, sje puis dire, les relents des heures es plus sombres du XX° scl. Dans votre livre, vous commencez par un peu d'histoire qui en étonnera plus Origine des espéces, le livee fondateur de Charles Darwin, a rencantré peu de succes 4 sa publication... Effectivement. Méme si Darwin apporte un modele rendant compte de la possibi Iité de l'évolution, Yextraordinaire réaction que provoque la publication de [Origine des espéces en 1859 n'est que légendaire. Louvrage est peu lu et il ne sen vend gue ‘9500 exemplaires en dix ans. Les scientifiques -et la presse ~ durant les premires années n'y voient que Lamarck, Méme le Muséum d'histoire naturelle de Paris n'a pas jgé bon de le faire acheter par sa bibliothéque centrale. Si nous considérons aujourd'hul Darwin comme un grand novateur, ce n'est pas le cas de ses contemporains. En effet, LOrigine des espdces ne présente pas de grandes nouveauutés dans les domaines qui préeccupent lo milieu des sciences biologiques de T'époque. ce livre ne donne aucune preuve expérimentale dela sélection naturelle et la théorie de '6volution n’apparatt pas comme récllement riowvelle D’oi viendra son suecés? De la pulssante science allemande, aprés la parution en 1860 de la traduction de “Or gine des espces Elle est lue par Ersnt Haeckel, un médecin, biologiste et philesophe, immédiatement convaincu, Il commence 4 exposer ses convictions darwinienes en 1863 et publie en 1866 sa Generelle Morphologie. -Méme si Haeckel donne une version parfois personnelle du darwinisme, il en devient un véritable héraut. rs vite, l transpose cette hypathése dans le domaine philoso: phique et politique, ce qui est probablement esentiel ensuite dans le développement et la réussite de la théorie de 'évolution, Aujourd’hui, Haeckel est un peu tombé dans Moubli, ul, pourtant son succés 4 'époque est aussi considérable que durable et ses ouvra- ges sont traduits dans toutes les langues. Sur le plan scientifique, alors quil falsfie ses résultats et commet une fraude qu'il reconmaitya plus tard, le succes est aussi complet que sur le plan populaire. Tous les biologistes de Iépoque lisent Haeckel, mais ignorent souvent Darwin, Pourquoi? Imitant Darwin dans son argumentation, Haeckel s'appule pour accepter, sur le fait que cette théorie est la seule a étre cohérente. Pour expliquer Tapparition des premiers étres vivants, il reprend l'idée de Buffon ~ de venue classique de nos jours ~ de la génération spontanée de micro-organismes permise par les conditions physico- chimiques particuliéres qui ont régné selon lui dans les« ges primitfs», Si, dans UOrigine des espces, Darwin ne s'attarde ‘pas sur une histoire de la ve, sil ne prend aucun appui sur la physico-chimie, Haeckel se situe quant & lui dans la tradition Jamarckienne et démontre 'évolution en Ini donnant des ar- sguments historiques, embryologiques et physico-chimiques. «Le darwinisme n’est pas une théorie scientifique » Quelques notions utiles... ‘Codon: Io cade éntque content sobanke-quoro codons dens, qui son ds ples de nucdorces de ARN. Phen vritéscltrents de la mime expice Phylum: se des mes eves pa bs descendants dune me aspice Phylogenése/phylogénie: sre dvoluve dos expéces, Par coposion, on ampli le mot «onegenése qu dint e cvelospement ds Vind de fcondofen jag’ Page ole “Fexinomie/teaxonomie: 0 d'un mot glec qu sgle « cassemen 2, «mise en odie» a tainomie oy tonomieet b cience gui c pout ‘bet de decir es organismes vies et do ls egrouperen ens appetées fama ov tens dons le But de sii les nome es coset ‘eric inrospécique:viion des cvoctcs au sin des dirt vrs cine mde cep. RENEXUS 15 DOSSIER Les ouvrages de Haeckel répandent Par exemple? la théorie Aucune critique n'est formulée A l’époque sa théorie, dont sa thse de la récapitulation, oi dar winienne de |'évolution cotée de ns jours chez les darwiniens, bien que parr sélection dénoncée pat les embryologisteset les spécialistespqfurelle dans toute l'Europe. explique, entre autres, la présence de « branchies » chez les embryons des mammiféres, est encore trés, de la biologie du développement: Ans, il reconstitue sur plus de trois cents pages VPhistoire de la création en fournissant de nom- breux tableaux et arbres phylogénétiques de plus en plus détails. Certes, par les compléments qu'il lui donne, Haeckel modi fle la théorie darwinienne, En ramenant évolution dans le champ de la physiologie, il on souligne aspect déterminis: teet lul retire un peu de la nature probabiliste que lui offre la sélection naturelle darwinienne. Toutefois il porte des arguments qui manguent & LOrigine des espéces et permet aux naturalistes du continent de succomber dés 1866 3 la thorie de la sélection naturelle Si Haeckel dépasce parfois un peu la pensée darwinlenne, ce sont néanmoins ses ouvrages qui répandent la théorie darwinienne de l'évolution par sélection naturelle dans toute Europe, contre la théorie de lévolution? Si, et cest d'une approche statistique que vient la plus redoutable des critiques précoces de la théorie darwinierme. En 1867, Vingénieur Fleeming, Jenkin publie dans la North British Review une critique pamphiétaire de UOrigine des espices qui ne passe pas inapergue. Darwin lu-méme yfaitréférence des 'édition de 1869 de son ouvrage en la présentant comme un «aril comps tent et remarquable». Jenkin y acimet la possbilité et méme la réalité de la sélection, mais en suivant les hypotheses darwiniennes sur la variation et en raisonnant quantitati- vement, i refute quelle puisse modifier le espéces et que la taxinomie puisse sinterpréter de fagon généalogique. Clest-adire? Jenkin étudie les chances pour qu'une variation apparue ‘chez um individu puisse se fixer dans la population et ceci {quel que soit le degré d’avantages qu'elle apporte. Il montre qu'une variation a toutes les chances de se perdre dans la masse des individus qui & chaque génération ne se repro- duisent pas, Ce phénoméne ost aujourd'hui bien documen- t€ et connu sous le nom de dérive génétique. La fable de la loi biogénétique ou la thése de la récapitulation de Haeckel Dirseahie selection, at bate « bi géntique », Emst “oschel oppore un orgumont cn ever oe a ingore do |valuion en explouart {ue ls embryos, brs de lu dvelppemert, psten! pales denies chases rarsoires ‘dels soto’ Syluron do lous oncties. For exemple, Fembyon humsin xéser- te, ou déby, ces poricularéstesser Boni & coles des poisons, pus & ales des reptes, oven finlemen Soocqut les paricuariés propes 6 Thonma Greeuserent qui eceqnire pas calls di singe, s fon b mete fe enka pase) ‘Cest la raison pour loquele fem biyon hunain pone des « bar chies > el une queues, ete utes. En sun, pour Hooclel 28 lronboud onis, + Foncoe ise recopitle ba pyagense » For accuyer cate nagrhiqne +i», Hosea wake de faux Clsns don bu eo ese tle ertnyen hms open Cerferds tx 50 foide, Yc co Tai dla eile: « Apes eve % de cote faifcaon, je demas me | @ sentrhoneu Mo consoines ‘UN FPG: capondoatlosvenies dons cos ¢ cavtresdiomer mancrtcme "tf ; 16 NESUS 6 IIDIBISS mmol aut by bare: des accusés, exe de nombreux obsonrows diones de conlanee et des blogisias de grande rjpuc- fon qui, dors leurs mailers lives do bclogie, us theses ov encore leurs rewes publnt des flit ‘cations cemblables aux mists, des iformo- fens deucuses, cin! que ces schimas plus ‘4 moins fs, sow vemis & four » les «contaves damis* ot les ‘utes ont i pce. ‘Quon ours benchies 8 queve *de eebryenhumain,désolspourlesévolr Jionmigesdeloutpollel detoule deal, cee fait begierps que la Bcbgie enone quec éaitpuee ofatulaon, (Cale rem pache pos Le Ptiorcusse, dans son én grand formet 2004, de donner les seuls éléments. bior ‘graphigues suanis paur Hose! + Pastlan [834 = ina 199, 200 Ibgise et embyolegse olemard. ‘donna des travaux mojous en en byolagia cemparée. Diferseur de Darwin, I propoio une le binges tue fondomentale (1866): “Tonto _gerése récopine fa phylogontsa” > Ov, cast bien de edition 2000 dont 1 s'ogi, ot pas cele de 1904 Aucune théorie de |'éyolution ne supporte l'idée Est-ce la seule limitation & la mutation des_d’une distribution discontinue des étres vivants... Or, rméme espéce rront aucun effet biologique. Soil n’existe pas aula mutation ne provoqueaucun changement q’@tre mi-plante mi- animal, pas méme ture gullies siminie et cea sane madites. individu mireptile tion de synthése et activité significative de la mi-mammifare... spices? On constate que la plupart des modifications de T'ADN rencontrées au sein des organismes d'une de sens du codon qu'elle touche, sait qu'elle pro- voque le remplacement d'un acide arniné par un protéine, soit qu'elle affecte une partie non co- dante du génome sans en altérer les proprités biologiques. I est évident que si les mutations entrainant de grands changements sont tres rarement observées, clest aussi paree quielles sont souvent létales ou tellement désavantageuses que les individus qui en sont porteurs niont que peu ou pas de descen- dance. Lan des chapitres de votre livre porte le titre: «La macro-éve- lution n’est plus une théorie scientifique ».. A Yorigine, 'idée ¢’évolution est censée correspondre a un mode- le explicatif permettant de poser le probléme de la biodiversité en termes accessibles 3 la démarche empirique des sciences. Trésrapl- dement, les darwiniens en ont fait un trulsine, ce qui ne constitue pas une explication. Pour pouvoir élabo- rer une théorie réellement scientifique capable de représenter un modele scientifique quel qu'il soit, encore faut-il posséder un probléme dont les données soientclairement établies. Or, dans le cas présent, nous en sommes loin. En effet, selon les critaves retemus, la biodiversité se chiffre en quelques dizaines de millers & plusieurs millions d'especes. Vous voulez dire que l'on parle de lévolution des es- paces, mais qu’on ne peut définir avec précision cette notion d’« espéce »? Oui, tout fait: il est actuellement impossible de quantifier précisément la biodiversté ‘Quel est ou quels sont les critéres retenus pour distin- _guer une espéce? I existe un critére biologique simple de definition de Yes- -péce, est linterfécondité de ses membres. est sur ce prt ‘ipe que Von peut affirmer que tous les étres humains ap- partiennenta la méme espéce. De 'équateur aux ples, nous sommes tous susceptibles avoir une descendance féconde avec n'importe lequel de nos semblables du sexe oppose: Ainsi, Fespéce humaine est définie par ensemble des individus interféconds, quelle que soit la nature de leurs dif frences: morphologiques, ethniques, calturelles, géographiques, habitat, ete. Hélas, cette défintion n'est pas re tenue par les darwiniens Quels sont les autres critéres? Pour certains naturalises, le crite interfécondité devient secondaire, car ils prvilégient la notion de isolement _géographique », Par exemple, le lynx pardelle de la péninsule ibgrique ot le lynx boréal de Scandinavie sont parfai tement intorféconds. Is se croisent brés bien en captivitéet mul ne contestela écon- dité de leurs « hybrides », Mais ils sont toujours présentés comme des espaces distinctes sous prétexte quis ne peu- vent se rencontrer, car les Iymx qui occupaient la zone gtographique intermédiaire ont disparu. OF, les différences entre ces deux esp- cessontde ordre de la varabilité intra-spécfique et non de évolu tion dune espéce vers une autre, De plus, ce crittre d’ isolement ‘géographique » nous réserve sou: vent des surprises, comme des cas diinterfécondité biologique entre des taxa dordre supérieur a Fespece ouau genre, Un exemple? Silafécondité des tigrons, Phybride entree lion et le tigre, abservée récemment en captivité se trouvait confirmée par un second 200, il nous faudrat alors considé rer certaines des figures de fauvesreprésentées sur les fres ques mésopotamiennes et assyriennes comme autre chose que des visions dartiste. Ces lions tigrés a faible crinire ont peut étre bien existé. Quoi qu'il en soit, il faut admettre que V'interfécondité du lion et du tigre nous améne a une Vision de la variabilité naturelle aussi étendue que celle de la variabilité arificelle pour les espaces domestiques. Et, plus généralement, au-del de lanation despéce,ilest sur tout impossible d'identifier ce qui reléve dela miero-évolu tion par rapport ce qui reléve dela macro-évolution, Quelle est la différence entre ces deux notions? {La micro-évolution comprend l'ensemble des mécanismes aboutissant 3 'apparition de niowvelles variétés ou races au sein d'une espéce donnée ou de l'ensemble des individus physiologiquement interféconds. La macro-évolution comprend ensemble des mécanis- ‘mes hypothétiques aboutissant & apparition de nouvelles ginexus 47 ie ntl Il n’existe aucun intermédiaire connu entre espices vaies,esti-dircbiologiques.ax- les différentes deli dela bariére reproductive et des dit- structures férens plans organisation. elle conduit ermiques des diverses classes, lus entre lution que se situent les fameux « cha &cgilles eb aux divers familles, ordres, etc Crest done au niveau de la macro-évo- Pas rons manquants »? Oui, et cest Tun des problémes majeurs Plumes qu‘entre du darwinisme, gui préat de nombreux écailles et pi intermesdires i longdeschsines ohit- gy entre poils ves et done des chevauchements possibles cimémetrésprobablesentrelesciférents et plumes, taxa, A exception dela théorie des équi- libres ponctués de Niles Eldredge et Ste- phen Jay Gould, aucune théorie de I'6vo- lution ne supporte idée d'une distribution discontinue des tres vivants surtout sion considére l'ensemble des espéces ayant vécu sur terre. Or, tous les taxa supérieurs au gen- resont parfaitement discontinus:il existe pas d'étre mi-plante mi-aninval, pas méme individu mi-reptile mi-mammifére cu ne serait-ce que mi-grenouille m-salamandre ou ri-chien mi-chat. Les darwiniens nous présentent pourtant des arbres de l’évolution >. Certes, mais leurs troncs et leurs branches sont Aésespérément ficifs! En effet, i n’existe pas a'étre vivant, ni de taxon quel qu'il soit, qui coccupe une pesition intermédiaire entre les taxa, De ce fait, le tronc et les branches existent pas, Les beaux arbres de tous les rmanuels se donnent du mal pour épaissir leur tronc en intégrant — plus ou moins proportionnellement —le nombre d’esp’- ces estimé a chaque époque géologique. Malheureusement, cela ne suffit pas & combler le vide bien récl qui correspond & cet arbre, De plus, lorsque les premiers représentants dune classe apparaissent, quelle que soit cette clase, is ne sont cen aucune facon intermédiaires: les premiers poissons sont des poissons a part entire, idem pour les premiers amphi biens, les premiers reptiles, ct. La théorie de lévolution explique toutefois que les oiseaux sont d’anciens reptil Contrairement une assertion souvent professée, les scien- tifiquesne croientabsolunient pas que les plumes doiseau

Vous aimerez peut-être aussi