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assurance: seguridad
caleçon: calzoncillos
ceinture: cintura
Chaleur: calor
chaque: cada
chemin: camino
conformément: conforme
contrariée: contraria
culotte: calzoncillo
d´hors: afuera
Dans: en
Dos: espalda
dressé: puesto,
erguido
elasticité: elasticidad
emparé: apoderado
En rendant: devolviendo
fibre: fibra
MOTs / PALABRAS
Forces: fuerzas
fou: loco
incroyable:
increíble
interieur: interior
joie: alegría
lumière : luz
Maître: dueño
merde: mierda
Mieux: mejor
obscurité: obscuridad
ordures: basuras
pire: peor
poco: poco
MOTS / PALABRAS
Semaine-semaines: semana, semanas
semble: parece
son: su
Sueur: sudor
tissu: tela,
tejido
ton: tu
Trempé: mojado
trou: roto
Vendredi: viernes
Vieux: Viejo
voilà: he aquí
VERBES / VERBOS
faire: hacer
VERBes / VERBOS
mourir: morir
Partir: irse
Racontre: encuentro
vivre: vivir
DIALOGUE
➢ PILAR
Deux vieux caleçon ils sont recontre dans la rue un vendredi par
l'après-midi tandis qu'ils bavardaient de l'arrivé dans ses vies .
➢ ANDRES
SALUT, Qu'est-ce tu va bien ? –
➢ PILAR
je pouvais partir mieux –. Bien que j'essaie de ne pas me plaindre, par
que si non …
➢ ANDRES
quelque chose te passe. Raconte-le-moi.
➢ PILAR
je suis fatigué de mon maître, tu peines il me tire à se promener. Le
plus émouvant qui m'a passé a été de m'égarer dans le tambour de la
machine à laver.
➢ ANDRES
au moins ils te lavent. Je des cela fait déjà semaines que la chose
unique humide que j'essaie est la sueur du dos de mon maître.
➢ PILAR
Buf …… Avec la chaleur qu'il fait tu es probablement trempé.
➢ ANDRES
plus qu'une rôtie .
➢ PILAR
Vois-tu comme tu n'es pas l'unique qui le passe mal ?
➢ ANDRES
c'est que - - … je Veux sortir de ce Caleçon qui m'asphyxie, observer
le chemin où je passe. Avec la mode du Caleçon tombé il semble
incroyable que cela les monte jusqu'à la ceinture.
➢ PILAR
Ne les passe-t-il pas tombés ? –. Je ne suis pas étonné que tu sois
fou pour voir le monde..
➢ ANDRES
c'est certain, je ne sais pas déjà que faire pour tirer la gomme.
➢ PILAR
As-tu essayé à étirer au maximum en mettant l'élasticité en ton tissu
à profit ?
➢ ANDRES
je n'e sait pas. imagine que les coutures me sautent … j'ai Déjà un
trou et s'il avait une autre assurance qui me lance au seau des
ordures.- "Mieux mourir dans les ordures que vivre sans voir le
monde" - .- il est bien. Je le tenterai.
➢ PILAR
Le silence s'est emparé des deux pièces masculines comme prélude à
la délivrance. Le premier Caleçon a pris des forces, les a accumulées
dans chaque fibre en tissu disponible et, avec une impulsion
profonde, dreseé sur lui même en ressortant quelques centimètres
du Caleçon . La lumière l'a baigné avec sa liberté.
➢ ANDRES
Je suis dehors! - -. Je l'ai obtenu!
➢ PILAR
Bien!
➢ ANDRES
Mais peu il a duré la joie. Conformément son maître s'est senti
inconfortable par l'hardiesse de la pièce a étiré de cela dans la
direction contrariée à laquelle il s'était échappé en la rendant à
l'intérieur de son Caleçon L'obscurité l'a reçu au retour avec une
embrassade collante.
➢ ANDRES
la merde - -.maintenant je suis pire.
➢ PILAR
Qu'est-ce qui t'a passé ?
➢ ANDRES
mon maître m'a mis de nouveau pour à l'intérieur. Et voilà qu'il devine
où je suis resté attrapé.
➢ PILAR
Une merde!
➢ ANDRES
Donc cela …
FIN
DIALOGO / ESPAÑOL
ANDRES: -hola …¿Qué tal te va? -preguntó uno de los calzoncillos de los amigos
alzando la voz sobre el barullo del bar-.
PILAR: -Podía irme mejor, Aunque procuro no quejarme, por que si no…
ANDRES: -Al menos a ti te lavan. Yo hace semanas que lo único húmedo que
pruebo es el sudor de la espalda de mi dueño.
ANDRES: -Es que …. Quiero salir de este pantalón que me asfixia, observar el
camino por donde paso. Con la moda de los pantalones caídos parece increíble que este
se los suba hasta la cintura.
ANDRES: -No me atrevo. Imagina que me saltan las costuras… Ya tengo un agujero
y si tuviera otro seguro que me lanza al cubo de la basura.
”Mejor morir en la basura que vivir sin ver el mundo” -sentenció el primer calzoncillo--
Está bien. Lo intentaré.
DIALOGO / ESPAÑOL
PILAR: -¡Bien!
ANDRES: Pero poco le duró la alegría. Conforme su dueño se sintió incómodo por
el atrevimiento de la prenda estiró de esta en dirección contraria a la que se había
escapado devolviéndola al interior de sus pantalones. La oscuridad le recibió de vuelta
con un abrazo pegajoso.
ANDRES: -Mi dueño me ha metido otra vez para dentro. Y adivina donde me he
quedado atrapado.
PILAR: -¡Mierda!
PAR:
PILAR GARCIA CORREA
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