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Des fleuves

et
h o m m es
des

Une aventure au féminin et en solitaire de 20 000 km


à vélo, en suivant les méandres des fleuves,
pour sensibiliser à la question de l’eau
Trajet : Asie du Sud-Est - Asie centrale -
Proche-Orient - Maghreb - Espagne - France…
Rencontres, visites d’écoles, site Internet et reportages
autour de l’eau sont au programme.
Départ en septembre 2010 de Thaïlande
pour dix-huit mois. Retour en mars 2012,
pour le Forum mondial de l’eau (Marseille).

invitation eau voyage

par D elphine Torrekens, 11 rue S aint - luc 75018 Paris - torrekensd@yahoo.fr 06 25 17 68 82


Sommaire

j Préface 3

j Qui suis-je ? 4

j à la source du projet 5

j Le projet : objectifs et moyens 6

j Parcours et calendrier 8

j Et vous, alors ? 9

j Budget 10

j Médias 11

Un grand merci à Edouard Lekston (edouardlekston.zeblog.com) pour la création du logo“V’Asie à vélo” et à Philippe Gourault pour les photos qu’il m’a permis d’utiliser.

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Préface
• Le projet en quelques mots
J’invite les enfants accompagnés de leurs enseignants à me suivre pendant 20 000  km, sur les routes
d’Asie du Sud-Est et d’Asie centrale, du Proche-Orient, du Maghreb, d’Espagne et de France, en vue
d’un travail de sensibilisation autour de la question de l’eau dans le monde . Cette approche se
poursuivra tout au long des kilomètres ponctués de rencontres avec les enfants des pays traversés et
donnera lieu, à mon retour, à des expositions, conférences, diaporamas…

• Pourquoi l’eau ?
Si, pour nous, Occidentaux, la question se résume à ouvrir le robinet pour éprouver les bienfaits d’une
eau claire et limpide, ce geste n’est, hélas, pas aussi simple pour une grande partie de l’humanité.
Bien que la question de l’eau trouve un écho de plus en plus large dans les médias, concrètement les
choses évoluent très lentement puisque plus de un milliard de personnes n’ont toujours pas un
accès direct à l’eau potable, ce qui au XXIe siècle peut sembler inconcevable.
Pour que les choses puissent changer, il semble essentiel d’associer les futures générations au
devenir de notre planète et de leur faire prendre conscience des limites de notre environnement.
Aborder la question de l’eau amène à traiter de l’environnement, mais aussi de développement
durable, de géographie, d’histoire, de cultures et modes de vie.

• Une virée de 20 000 km au rythme du vélo…


Un voyage à vélo est un bon moyen pour vivre l’environnement au quotidien, le pratiquer, l’éprouver.
Ce sont d’ailleurs mes voyages qui m’ont sensibilisée aux problèmes d’accès à l’eau. Le vélo est un
moyen idéal pour découvrir un pays, dans sa dimension géographique et environnementale.
Vivre les changements du paysage – les voir et les ressentir –, à un rythme lent, convient à
l’observation des territoires et s’adapte à l’échelle humaine.
Le vélo favorisera mon immersion progressive dans un monde différent du mien. Il me permettra
de m’éloigner des voies tracées, d’improviser, de m’adapter. Voyager seule provoque d’innombrables
rencontres, le vélo les renforcera. J’envisage ce périple d’environ 20 000 km comme une aventure
exploratoire. Et prévois de partir dix-huit mois pour revenir en France à partir de la Thaïlande, en
parcourant entre 50 et 80 km par jour.

• … le long des fleuves 


Image de l’eau qui voyage ; le flux de l’eau et le rythme du vélo se combinent à merveille, tous deux
symbolisent le voyage. De la source jusqu’à la mer, l’eau entame un voyage avec les hommes  : non
seulement les fleuves incarnent ce périple, mais ils constituent un élément incontournable du
paysage qu’ils façonnent.
Lieux de vie essentiels, les rives des fleuves sont depuis toujours attractives. Ainsi les cours d’eau
nous dévoilent-ils beaucoup de l’histoire de ceux qui vivent sur leurs rivages. En les observant tels
qu’ils vivent en relation avec les mouvements du fleuve, je voudrais esquisser une chronique de la
vie des hommes dans leur quotidien.

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Qui suis-je ?
• Mes quatre points cardinaux
à l’est, il y a des voyages qui me nourrissent  ; à l’ouest, il y a ma vie parisienne : famille, ami(e)s,
travail, sport ; au sud, il y a mon engagement dans l’associatif ; enfin, au nord, une immense envie
de raccrocher tous ces bouts dans un voyage éco-sensible centré sur l’eau, à la fois constructif et
ludique.

• Une quadra voyageuse au long cours


Depuis plus de dix ans, je voyage souvent seule, sac au dos : Sri Lanka, Vietnam, Birmanie (pour des
durées d’un mois), Thaïlande et, en 2006-2007 en Inde et au Népal (pendant six mois). Chaque
voyage me donne à voir un peu plus du monde qui m’entoure. Cette fois, l’eau sera mon fil direc-
teur et conducteur. Voyager, c’est savoir ce que l’on quitte, mais pas ce que l’on cherche (Verlaine).

• Une soif de curiosité et de partage


Après des études d’histoire-géographie, j‘ai d’abord travaillé comme attachée de communica-
tion dans le secteur culturel, et, depuis plus d’une dizaine d’années, j’œuvre en tant que ­secrétaire
de rédaction. Ma situation personnelle m’incite à ouvrir de nouveaux horizons (tant profes-
sionnellement qu’individuellement) autour de notions qui me sont chères : la rencontre, le par-
tage, la solidarité, les autres, la nature, le sport, la diversité…

• Sportive dans l’âme et dans les mollets


à force de courir le long du canal de l’Ourcq, l’idée m’est venue d’élargir mes trajets et horizons,
à travers le monde. La course étant difficile à gérer sur de longues distances, j’ai opté pour le vélo.
Ce n’est pas trop compliqué mécaniquement parlant, c’est écologique ; en bref, le moyen de loco-
motion idéal pour se glisser partout. Mes sports de prédilection : course à pied, randonnée pé-
destre, natation, vélo, escalade, danse africaine, yoga m’ont permis de gagner en endurance. Partir
à vélo fait appel à des qualités de ténacité et de persévérance plus qu’à la performance.

• Regarder et raconter le monde autrement


Urbaine depuis une vingtaine d’années et satisfaite de l’être, j’ai aujourd’hui envie d’une rupture qui
m’amènerait à vivre dans un autre environnement. Hors aussi de mes repères habituels. Sans
être ascète, je tente de repousser plus loin mes limites. Il n’y a pas une façon de voyager, je fais
seulement valoir un point de vue, mon point de vue. C’est un angle que j’aimerais restituer dans
un récit de voyage.

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à la source du projet
• Vie et eau sont indissociables : l’eau, un patrimoine commun mal partagé
Parce que l’eau fait partie de notre patrimoine commun (notre “Planète Bleue” est recouverte à
72 % d’eau, mais seulement 2,5 % est constituée d’eau douce), sa maîtrise en fait un enjeu
crucial du XXIe siècle. Depuis vingt millions d’années, le volume d’eau sur Terre est à peu près le
même, mais on assiste aujourd’hui à une raréfaction de cette précieuse denrée, par ailleurs mal
répartie. Ainsi, l’accès à l’eau potable est loin d’être évident pour 1 milliard d’hommes et 2,4
milliards sont privés de réseaux d’assainissement. D’où une mortalité excessive : 4 millions
de personnes meurent tous les ans de maladies transmises par l’eau (1re cause de mortalité
dans le monde). Vie et eau sont donc indissociables.

• Pour une approche humaine : fleuves et hommes


Symboles de fertilité et de fécondité, les fleuves attirent les hommes qui se sont regroupés autour
d’eux pour y bâtir des civilisations brillantes (Mésopotamie, égypte…). Fruits de nombreux aména–
gements, les fleuves sont à la confluence de l’histoire et de la géographie. Ils témoignent de la
façon dont les hommes se sont appropriés cet élément essentiel à la vie et comment ils vivent avec.
Voyager au fil d’un fleuve, c’est aussi abolir les frontières entre les pays. Deux tiers des fleu-
ves et nappes souterraines sont partagés entre plusieurs états. L’eau peut alors être synonyme
de partage, comme en témoigne le nombre croissant de traités conclus. Dans d’autres cas, elle
est aussi à l’origine de conflits.

• L’eau dans tous ses états


Les visages de l’eau sont multiples et comportent plusieurs facettes. Ainsi s’écoule-t-elle, parfois
lente et paresseuse, d’autres fois tumultueuse et rageuse, bienfaisante et purificatrice, parfois cruelle
et rebelle. Elle sinue, creuse ses sillons, ses tours et détours qui la mèneront jusqu’à la mer. Suivre un
cours d’eau, c’est porter un regard sur les différents états de l’eau et sur ses diverses significa-
tions : du symbolique à l’économique. Il s’agit ici d’interroger notre rapport à l’eau.

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Le projet, objectifs et moyens

• Un blog interactif
Pour rendre compte de mes rencontres et observations, témoigner de mes expé-
riences et les restituer, je souhaite mettre en place un blog avant mon départ. L’ob-
jectif est de favoriser la communication avec les écoliers, qui pourront me suivre
par cet intermédiaire, et de promouvoir l’interactivité. Faire en sorte que ce site
serve d’interface aux échanges instaurés entre les enfants des différentes écoles,
mais aussi entre les enfants et moi-même pendant la durée du voyage. Ils auront
ainsi la possibilité de suivre mes pérégrinations, pourront rentrer en contact avec
moi, me poser des questions et réagir.
Une partie du site sera consacrée à des thèmes relatifs à l’eau et aux fleuves et com-
portera des informations précises et pratiques concernant les pays traversés (fiche
technique). Les élèves pourront se l’approprier pour rechercher des renseignements
dans le cadre d’apprentissages.
Toute personne intéressée pourra, bien entendu, suivre mon itinéraire, via ce site où
je tiendrai le plus souvent possible un carnet de bord narrant mes aventures cyclo-
pédiques. Une newsletter mensuelle accompagnée de mes récits et photos sera
envoyée à tous les partenaires (institutionnels ou individuels).

• Mise en place d’un dispositif pédagogique


Il s’agit de rencontrer les élèves d’une classe de cycle 2 ou 3 avant mon départ (deux
rendez-vous) pour déterminer ensemble vers quels types d’activités ils souhaitent
s’orienter plus tard. Ces actions et ateliers pédagogiques visent à faire prendre
conscience de leur environnement au quotidien, de sa fragilité, pour progressive-
ment ouvrir leur regard sur le monde, en passant par l’échelle locale, nationale
puis européenne et enfin mondiale. Ils consistent à jeter des passerelles entre le
monde réel, des témoignages et l’imaginaire pour nous rendre acteurs de notre en-
vironnement. Aider à prendre conscience que chaque acte, aussi minime soit-il,
peut contribuer à préserver les ressources de la planète.
Différentes options existent : mettre en place un journal-école, organiser des ren-
contres avec des associations travaillant dans le domaine de l’eau. Etablir un ques-
tionnaire sur leur propre rapport à l’eau et les questions qu’ils aimeraient poser à
des enfants vivant ailleurs. Organiser des “présentations” de dessins sur un thème
relatif au fleuve (raconte-moi ton environnement), ce qui permettrait de dépasser
les problèmes liés à la langue. En bref, mettre en place tout un dispositif pédago-
gique autour de l’eau (chasse “eau” trésor ou jeu de “l’oieau”…) afin d’enrichir leurs

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Le projet (suite)

connaissances dans ce domaine, en lien avec les apprentissages disciplinaires que sont la géo-
graphie, l’histoire, les sciences de la vie et de la terre, ou encore la citoyenneté…
N’étant pas une spécialiste de l’eau, mon approche vise davantage à rendre compte de la vie
des gens, pour mieux connaître le monde dans lequel nous vivons. Mon ambition sera d’être
l’émissaire des écoliers : en parcourant le monde, je porterai un regard curieux sur la nature
et les cultures qui m’entourent.

• à la rencontre de la diversité humaine


En septembre 2010, je quitterai la France juchée sur mon vélo, pendant un mois, en visitant
les écoles intéressées par mon projet, avant de me “propulser” en Thaïlande, où je commence-
rai mon lent retour vers la France. Mon périple donnera lieu à d’autres rencontres avec les en-
fants des pays traversés. Les professeurs des écoles et leurs élèves seront mes alliés dans
cette approche de terrain. Il s’agit autant de créer des liens entre écoliers français vivant sur
des territoires divers que de susciter des échanges entre écoliers vivant dans des pays diffé-
rents. Et par là même de confronter des modes de vie témoignant de la diversité des cultures
dans le monde. Promouvoir ces échanges interculturels contribue à améliorer la connais-
sance les uns des autres et à créer des ponts entre les hommes, tous citoyens du monde.

• Présentation d’expositions, de diaporamas


à mon retour, une visite dans les écoles participantes aura lieu pour un compte-rendu détaillé
et pour une présentation du travail réalisé ensemble.
En fonction des informations collectées, je retracerai mon voyage à travers des conférences,
des expositions (semaine du développement durable, Journée de l’eau, festival). J’envisage de
tirer parti des photographies et notes compilées (témoignages, entretiens…) lors du voyage
pour réaliser des diaporamas, des projections et, peut-être, un reportage audiovisuel.

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Parcours
et calendrier
• Départ prévu en septembre 2010
à la fin de cette année scolaire 2009-2010 (mai-juin), il serait intéressant de rencontrer
quelques-unes des classes souhaitant suivre mon travail pour une prise de contact
essentielle pour déterminer les orientations de notre travail en commun. Ensuite, à
la prochaine rentrée 2010-2011, j’entamerai mon parcours à la rencontre des enfants
qui me suivront à travers le monde. Ma préparation a commencé il y a deux ans, en
adoptant la “Velib’ attitude” pour me rendre sur mon lieu de travail et me préparer
physiquement au départ. Désormais, j’effectue tous mes déplacements parisiens
à vélo. Outre les lectures, festivals, diaporamas, films, débats, rencontres avec des
cyclotouristes, j’ai parcouru une partie de la Loire à vélo, effectué des week-ends
un peu partout en France (Cantal, Ile-de-France, Bourgogne…). à l’été 2010, je
réaliserai un tour de France, en longeant le plus souvent possible les fleuves, dans
l’objectif de mieux connaître l’espace français et de me mettre en situation.

• Un itinéraire au fil de l’eau


En septembre, je visiterai les écoles partenaires disséminées sur l’ensemble du ter-
ritoire français. Je partirai ensuite en octobre pour la Thaïlande, où débutera mon
aventure cyclopédique. De là je remonterai le Mékong (axe névralgique de mon
périple de l’eau) en traversant le Cambodge, le Laos puis la Chine (par le Yunan).
La traversée de la Chine vers l’ouest à travers le Tibet, source des grands fleuves
himalayens (Indus, Brahmapoutre, Mékong) m’amèrera ensuite à emprunter une
portion de la route de la Soie (Kirghizstan - Ouzbékistan - Turkménistan - Iran). Di-
rection la Turquie (Tigre - Euphrate, et ses grands projets de barrages en Anatolie),
suivie de la Syrie, laquelle entretient des relations délicates avec sa voisine turque
au sujet du partage des eaux de l’Euphrate. Je me dirigerai alors vers le Maghreb
(Maroc, Algérie, Tunisie), où les pluies n’arrosent qu’une mince bande côtière. La
traversée de l’Espagne (qui souffre de problèmes de désertification) me rappro-
chera de la fin de mon parcours et du prochain Forum mondial de l’eau qui doit
se tenir en mars 2012 en France, à Marseille. Date à laquelle mon “eau-dyssée”
pourrait se tarir.
Ces itinéraires sont des trames susceptibles d’être remaniées au cours du voyage
pour des raisons pratiques, géographiques, d’obtention de visa, de sécurité…

légende

Trajet à vélo

Trajet en train

Trajet en bateau

Top départ
Et vous, alors ?
• Un partenariat de réseau
­­ partenariat n’a de sens que s’il s’organise autour d’une adhésion à des principes et des va-
Le
leurs communes. Ma recherche de partenaires vise à :
- obtenir des informations auprès d’institutions et d’associations compétentes dans
le domaine de l’eau, aux niveaux local, régional, national, européen, international…
- échanger des compétences ;
- me mettre en relation avec un réseau élargi de partenaires ;
- obtenir un soutien logistique spécifique (Internet, communication…) ;
- créer des synergies (écoles/associations…) ;
- essayer du matériel technique.

Ce partenariat s’oriente autour de plusieurs axes :


- des écoles associées par leurs enseignants et leurs élèves ;
- des institutions œuvrant dans le domaine de l’éducation, l’eau, l’environnement, le
développement durable : Inspection académique, Unesco, Pavillon de l’eau, Agences de l’eau,
collectivités locales (région, département…) ;
- des associations sur le thème de l’eau, de l’environne­ment, d’éducation à l’environ-
nement, de solidarité internationale… ;
- des entreprises.

• Les retombées positives pour vous


En retour, mon travail consiste à rendre compte de vos actions, à valoriser votre image, et
à vous apporter d’autres informations recueillies sur place.
Je m’engage aussi à assurer votre promotion sur le site, dans la newsletter, par la diffusion
de votre logo et de votre marque, ou encore par le renvoi sur votre propre site.
Je peux rendre compte et diffuser votre soutien lors d’inter­ventions médiatiques, sur mon
site, lors d’expositions…
Pour les partenaires techniques, l’essai de produits in situ apportera des renseignements
utiles sur leur résistance et praticité.
Participer à un débat de société essentiel pour notre environnement et qui nous concerne tous.

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Budget
dépenses
MATéRIEL PRIX
Vélo 1 500 €
équipements vélo 700 €
Vêtements 500 €
Camping 700 €
Vaccins / Pharmacie 600 € (300 + 300)
Assurances 1 000 €
Sous-total 5 000 €
COMMUNICATION
Matériel électronique (audiovisuel) 2 000 €
transport
Visa (13 pays) 1 000 €
Billets (avion, train, bateaux…) 1 400 €
Sous-total 2 400 €
vie quotidienne 550 jours (18 mois)
Forfait 12 € par jour 6 600 €
TOTAL 16 000 €

recettes
APPORT PERSONNEL EUROS
Financier 8 500 €
Matériel 3 000 €
PARTENAIRES (à financer)
Financier 1 000 €
Technique 1 500 €
Parrainage privé 2 000 €

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Médias
• La communication autour du projet
Une communication est prévue autour du voyage avant mon départ, pendant le voyage et à
mon retour. Une newsletter mensuelle sera accessible sur le site internet pendant mon péri-
ple. Elle sera envoyée par mail aux différents partenaires. Le blog apportera en outre des infos
pratiques sur les différents pays traversés, retracera la ­­chronique de mon ­­voyage (textes, témoi­
­gnages, photos, vidéos), créera des liens avec mes partenaires.

• La médiatisation du projet
Obtenir des interventions dans la presse écrite et dans des magazines spécialisés (consacrés
au vélo, au voyage et à l’environnement, dans des émissions de radio (Allo la Planète, Kriss
Crumble, Et pourtant elle ­­tourne…).

• L’information via des reportages dans la presse


zD omestiquer les fleuves (construction de barrages, des ouvrages de plus en plus démesurés),
une préoccupation que l’on retrouve autant à l’Ouest qu’à l’Est.
z Qu’est-ce qu’une civilisation hydraulique ? (l’exemple du Cambodge, du Laos, ou du Bangladesh)
Est-elle menacée aujourd’hui ?
z Les vocations actuelles des fleuves évoluent-elles ? Des métiers en mutation ?
z Les aménagements des fleuves (ponts, digues, barrages…)
z Vivre à proximité d’un fleuve aujourd’hui  : quelle(s) signification(s) ? Comment les habitants
établis près des rives vivent ensemble et quels modes de vie particuliers s’y rattachent ?
z Y a-t-il danger pour les populations vivant à proximité de fleuves pollués ?
z Le partage d’une ressource vitale (Euphrate, Nil)
z Des fleuves mythiques : Indus, Gange. Les multiples significations des fleuves
z Le Tibet, à la source des grands fleuves
z La réalité d’un fleuve diffère-t-elle selon les pays traversés ?
zV alorisation de la fonction récréative des fleuves dans les projets d’aménagement urbain
(Lyon, Nantes, Paris, Rouen).

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