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Notes

Mode de prod agricole qui interdit 3 choses : usage de produits chimiques de synthèses, OGM et irrdiation.
Les raysons gamma sont utiliss pour produire des mutations sur des semences, pour qu'ils présentent des
propriétés interessantes. L'irradiation est utilisée depuis les années 50.

Certification : l'appellation bio est légalement protégée. Il respecte les obligations reprises. Il faut
respecter à un cahier de chagre (voir brochure certicis. 

La définition officielle est plus large et plus positive. C'est un système global.... La définition est large et
met en place des principes envi, biodiversité, ressources naturelles, des questions de bien etre animal et
des questions par rapport au consommateur. 

Mais pour produire bio il suffit de respecter le cahier des charges. Il y a une ≠ entre le principe général qui
fait que c'est certifié ou pas et la philosophie qu'il y a derrière le bio.
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Notes

Dès le début du 20ème siècle, il y a eu des critiques contre l'agriculture contemporraine. L'agriculture du
début du 20ème siècle. Il y a une vision réductionniste du monde telle que l'agriculture moderne la voit,
basée surtout sur la productivité

­ Critique écologique : l'agriculture de l'époque instrumentalise la nature et rejette ses bienfaits.  Elle
dénonce les abus de l'industrialisation, de la ville et de 'argiculture.

A cemoment apparait le procédé d'Haber Bosch : la fertilisation minérale remplace le fumier. On va
chercher l'azote par ce procédé industriel et plus dans le fumier. On dit alors que le fumier n'est plus
nécessaire, il peut etre remplacé par la fertilisation minérale, par le nitrate d'ammonium. C'est la vision
qui domine. Certains s'y opposent. On néglige alors le rôle de l'hummus. On a pas encore de pesticide
de synthèse. La critique de l'agriculteur n'est pas tourné vers la pollution etc.

Rmq : à l'époque il n'y a pas de pesticide de synthèse

­ Economiue ; aspect financier privilégié

­ Sociologique : rejet des pratiques traditionnelles. On voit deja une dégradation des liens sociaux et des
libertés paysannes. Ca disparait face à la technologie de l'époque.

Au départ le courant bio est plus qu'une certification ! Les intrants chimiques, OGM et irradiations
n'existaient pas à cette époque. On est plus qur la définition officielle de la dia précédente que sur le
principe légal.

Donc le bio représente plein de choses ≠. Au minimum, c'est le légal. Mais certaines personnes y ajoutent
des choses.
Lors du cours on va réduire le bio à sa plus simple expression.
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Notes

La vision du bio est très générale : éco, socio, techno,... Une autre dimension s'ajoute : la réaction contre
l'agrochimie.

On a pas encore bcp d'usages d'engrais artificiels ni d'usages de pesticides. Les pesticides arrivent vers les
années 50 en EU pour les plus avancés. 

Les bios rejettent les produits de synthèse. Courant de pensée qui dit que l'agriculture chimique se fait au
détriment de la santé et de la qualité des aliments.

Le bio nait dans les pays anglo­saxons sous la taxonomie organic farming. La fertilisation est assurée par
la MO. La protection sanitaires est assurée par des processus biologiques.

On va traduire part agriculture biologique, ce qui est bcp moins explicite. Organic farming met l'organique
au centre (fertlisation, recyclage de la MO, humification...), pcq c'est une clé du système ! 
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Notes
Il y a ≠ formes de bio. Ici ferme de 200 ha. Pas de restriction sur la taille, les équipements, le
financement des exploitations dans la def du bio.
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Notes

L'Europe représente 24% du bio mondial. C'est devancé par l'Australie et le Pacifique. 
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Notes

La part du SAU bio par continent, on regarde dans chaque continent l'ensemble du pbio par rapport a
toute la surface. L'Australie est en tête, L'europe la suit. 

Les surfaces restent très faibles. 
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Notes

L'avolution du marché en valeur financière a quasi doublé en 5 ans. Les surfaces sont faibles mais
l'évolution est énorme.
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Notes

Là aussi on a une évolution nette.
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Notes

C'est une question de région naturelle ! Toutes les régions du sud du pays sont les moins industrialisées.
La structure agricole est tout à fait ≠. On a bco d'élevage hors sol en Flandre qui ne sauraient pas se
convertir en bio.
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Notes

Les 3/4 sont en RW. Au point de vue surface, bovins, la Wallonie est bcp plus tournée vers le bio que la
Flandre. On voit que l'évolution explose !!

En Flandre on passe de 72 à 343. En Wallonie on passe de 37 à 1150. Au niveau surface, on a plus de
décuplé alors qu'on a fait quasi x100 en Wallonie. AU niveau bovins aussi on augmente plus en Wallonie. 

Les tendances Wallonie­Flandre sont ≠.
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Notes

En Flandre, la plupart des exploitations bio sont horticoles spécialisées, bovins spécialisées. En RW, on
retrouve surtout des bovins spécialisés (Condroz et Ardennes prédominent).
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Notes

Au niveau du cheptel, ce sont surtout les vollaile et les ovins caprins qui sont concernés par le bio. Les
porcs sont quasi tous hors sol qui ne correspondent pas aux normes du bio :'( 
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Notes

Deux principes de base :
­  gestion de la fertilité basé sur la MO. On ne peut pas utiliser d'engrais chimique, on a besoin de la MO,
surtout pour l'azote. On passe par ≠ pratiques.
­ Gestion des ennemis de la culture : il y a aussi interdiction d'utiliser des pesticides chimiques. On se
base sur du mécanique, manuel ou autre processus biologiques.

On a un émetteur de phéromone. Ca va provoquer la confusion sexuel. Le spapillons males le percoivent
comme des émission d'une femelle et sont attirés. Les papillons s'épuiseront sans se reproduire.

Il y a aussi les rotations longues importantes pour la gestion de la fertilité et des adventices.

On a aussi des techniques qui réduisent le travail du sol pour réduire la conso d'énergie et l'impact négati
de ces pratiques sur la structure du sol et l'activité biologique. Le labou fonctionne très bien pour le
désherbage. Il faut des bonnes techniques de désherbage pour supprimer le labour. En bio, on ne peut
pas utiliser d'herbicides chimiques donc supprimer le labour est compliqué. On a généralement pas de
réduction notable du travail du sol en bio, ce qui le distingue de l'agriculture de conservation.

La permaculture : ne jamais laisser un sol nu.
Les cultures associées 
Agroforesterie : culture associée à plus grand échelle avec ≠ espèces d'arbres. on a aussi le sylvopastoral.
La biodynamie.
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Notes

Basée sur la décomposition de la MO. On fait du compostage, des broussailles, des déchets orga. AU
maximum on peut considérer 2 UGB/ha de SAU TOTALE (culture et pature), soit 170 kg N/ha. Si on
dépasse l faut exporter du fumier. 

Certains engrais minéraux d'origine naturelle autorisés

Maximum 2 UBG/ha de SAU totale, soit 170 kg/ha

Culture de couverture : c'est pas obligatoire en bio mais ca se fait de plus en plus. Quand les terres ne
sont plus cultivées, après récolte, on occupe les sols avec une culture qui n'est pas destinée à la récolte.
Elle va fixer l'azote mais aussi apporter de la MO au sol. On détruit le couvert. La destruction avant
enfouissement est obligatoire. Avant on labourait directement les couverts donc la MOF était enfouie. Le
problème avec ça est qu'on met de la MO dans des horizons pauvres en O2 donc des composés toxiques
se formeront pas fermentation.. La décomposition se fera lentement et mal. En bio on doit d'abord
détruire le couvert (par exemple mtn avant l'hiver) puis on travaille le sol et on labour éventuellement. 

On peut utiliser des engrais minéraux mais ils doivent être d'origine naturelle (liste dans certicis). 

Le problème principal au niveau de la fertilité minérale est l'azote. En début de saison, l'azote venant des
microorganisme est peu disponible. Il faut attendre que les terres se réchauffent pour que cette
minéralisation soit suffisante. En agriculture bio, les plantes souffrent d'un manque d'azote en printemps
typiquement.  

On a des pratique qui favorisent la dispo de l'azote en début de saison : via des légumineuses. Pois
haricots et fèves sont des cultures de printemps. Elles fixent l'azote donc sont bcp moins dépendantes de
l'azote du sol. Quand elles sont jeunes et que la symbiose est faible, elles aiment quand meme bien un
peu d'azote mais elles n'en auront pas au bio. On peut aussi composter du fumier. Plutot que de laisser le
fumier en bord de champ, on le composte, on l'aère pour accélerer la minéralisation. Ce fumier va aussi
libérer de l'azote plus tot en début de saison.

On arrive pas a avoir autant de N dispo qu'avec l'azote minéral. 

Paturage de la couverture : lorsqu'on fat une culture de printemps, on place une couverture pour répondre
aux exigences de la législation. Mais on attend d'avoir des bons couverts bien développés pour maximiser
leurfs effets. Classiquement, on détruit le couvert à la fin de l'hiver puis on laisse les processus bio
incorporer au sol. Rien de tel qu'un bovin pour cela. On met le bétail en pature, il mange la culture avant
sa destruction. C'est un aliment "gratuit". Les excréments du bétail sont plus incorporables au sol que la
couverture. On accélère les processus de minéralisation et d'humification.
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Notes

On roule le long du tas de fumier. Ca va pulvériser le fumier, le projetter vers l'arrière. Derrière la barre
on voit du caoutchou qui empeche le fumier de voler. Le tas sera déplacé vers l'arrière de quelques
mètres pour l'aérer. Il faut doser l'aération pour accélerer le processus de compostage On rend le
composte plus friable, léger, et donc plus facile à incorporer au sol et en meme temps on accélère la
vitesse de décomposition. 3 mois VS 3 ans pour un fumier non travaillé.
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Notes

On avait eu une année sans gelée donc les couverts n'ont pas du tout été détruits.

­ glyphosate pour l'agriculture conventionnel. Le couvert est très développé. 

­ broyage : fauchage de la moutarde.

Quand on détruit un couvert selon les principes bio, on recherche cela. On incorpore pas le couvert au sol,
on le détruit et on laisse la MO sur le sol. Les microorg du sol et les lombrics vont faire le travail,
incorporer... On peut utiliser le rouleau PACA. 

Aillette

Ca écrase la végétation au sol et détruit et soumet les plantes à l'action des microorganismes. Ca doit se
faire avant l'hiver pour que la végétation ait le temps de périr et que les microorg aient le temps
d'incorporer la MO au sol. Après on peut travailler le sol. 
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Notes

On favorise le dvt de la culture principale. La sélection variétale est importante. On privilégie des plantes
dont la croissance végétative est rigoureuse et qui empecheront le dvt des adventices. 

On veut avoir une culture couvrante dès le début de la saison si on ne met pas de pesticide. Avec
pesticide on s'en fout de la compétitivité par rapport aux adventices. Sans pesticides pas. 

Planter à haute densité et faire des semis tarifs. Si on sème tôt, on a une germination, des adventices. La
culture principale est souvent exigente (en T°) donc il est fort probable qu'en début de saison, elle se
développe moins bien que les adventices. Donc on sème plus tard quand les conditions seront plus
favorables pour la culture principale.

Contraitre d'agriculture conventionnelle ou on sème le plus tot possible.

On altenre culture d'hiver et de printemps, mono et dico. 

Dia ≠

Plusieurs rotations.

Il y a des périodes ou on peut lutter sur les adventices mécaniquement par exemple. Avec ce système on
a des moments d'intervention ≠ d'une année à l'autre.

D'avril a octobre, on ne sait pas faire grand chose contre les adventices si ce n'est un herbicide qu'on fait
en juin. D'années en année le problème se renforce. 

Exemple : pdt/blé/couverture­féverolle/colza/épeautre/couverture­haricot. 

C'est quand meme un casse tête l'agriculeur bio doit faire attention à ce qu'il fait.
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Notes

La dia a changé 

­ Désherbage avant semis

labour : inconvénient avant le semis : il consomme bcp d'énergie, il tasse le sol, il perturbe les
horizons et la structure du sol. Mais il incorpore de la MO au sol et fait une lutte contre les
avantages.
Faux semis : on prépare une terre comme si on allait semer mais on ne sème pas. Les adventices
germent. Puis 2 semaines après on travaille le sol, on les fauche. Mais ça retarde le semis d'au
moins 2 semis. Il faut le faire pas trop tot ce faux semis car il faut des bonnes coditions pour les
adventices
Solarisation : on fait chauffer le sol en posant une bache qui augmente la T° sous la bache et ca fait
murir les graines. Perturbation microorganises

­ Désherbage en cours de végétation
Ces techniques sont utilisées de plus en plus en agriculture conventionnelle aussi.

Film : on a présenté la herse étrille, la houe rotative et la bineuse. Les deux premiers sont en plein,
passent sur la ligne et l'interligne. On a toujours peur pcq ca soulève pas mal de terre donc il faut passer
sur une culture assez résistante. Mais les cultures sont plus résistances que ce qu'on ne croit. Si la culture
a quelques jours d'avance sur les adventices, c'est suffisant pour qu'on puisse passer avec ces engins et
détruire les adventices sans détruire les cultures. Même si l'interligne est très petit, on peut utiliser ces
outils. Ces deux outils ne peuvent s'utiliser que dur des jeunes adventices, sinon trop résistantes.
L'alternative est la bineuse qui travaille uniquement sur l'interligne. Elle peut travailler sur des adventices
plus développées. Mais il faut des cultures à grands écartements (céréales, lin, betterave, maïs). Ils disent
que ca ne peut pas remplacer les herbicides chimiques. Pierre pense que oui. Mais on peut remplacer le
désherbage chimique par le mécanique mais avec d'autres choses en plus.

Herse étrille
Houe rotative
Bineuse

Deuxième vidéo : la bineuse a des capeurs pour ne pas abimer les plantes.
Désherbage manuel
Buttage, débuttage : il y a des disques rouges qui ne font que protéger le plant de maïs. Des
disques creusent des sillons de part et d'autres du mais donc ca enlève les adventices. Puis on refait
une butte au pied du mais pour éliminer les adventices qui seraient dvlp entre temps
Coupe

Désherbage thermique : on provoque un choc thermique à 80°C pendant quelques secondes ==>
éclatement des cellules. On a une plaque avec des bruleurs a gaz qui augmentent la T°. Ca se fait avant le
semis. C'est en plein.

Niveau bilan CO2? Il faut 60 kg de gaz a l'ha alors que le labour demande 12­15l de fuel par hectare donc
niveau CO2 c'est pas top.

Photo dia : paillage, film plastique. Espèces de chou et bettes sur la meme parcelle
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Notes

Outil léger qui travaille sur de surfaces
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Notes

Houe rotative ­ 6m de large
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Notes

Bineuse sans capteur/caméra. On a une caméra. 
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Notes

plaques protectrices de part et d'autres du rang de la culture. 
pour améliorer de la patdroit on a une mini truc bazar a l'arrière
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Notes
On fait et défait la butte plusieurs fois comme herbicide biologique. C'est un cout de main d'oeuvre, de
travail, de carburant.

Le désherbage bio est plus cher que le traditionnel c'est sur ! 
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Notes

Coupe. 
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Notes

Ils se couchent sur le ventre et désherbent manuellement. ­­>Création d'emplois
Buttage­débuttage.

 
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Notes

Ce sont des produits d'origine naturelle. 
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Notes

Rotation des cultures.
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Notes

Si on veut abondance des insectes, il faut favoriser leur dvt ­­> haies, insectes, couloirs.. On veut un
pathosystème mieux controler. La biodiversité controle mieux tout ca et évite des dérèglements.
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Notes

BT : produit des toxines qui détruisent la paroi épithélioale de l'intestion de l'insecte. Le premier OGM etait
sur le cotonier, il produiait la protoxine de BT. C'est peu dommageable pour nous car c'est une protoxine
qui est produite et qui sera transformée en toxine par l'intestin de l'insecte et ca ne se fait pas chez les
mammifères. 

L'insecticide bio est un élange de sources de toxines produites par les BT. Dans l'OGM, il n'y a qu'une pro
toxine. Une résistance monogénique est bcp moins durable et efficace qu'une résistance polygénique. 

Toxique pour les abeille et pour les ammifère

Ces molécules sont naturelles mais certaines sont toxiques pour nous aussi. C'est un principe un peu
controversé ! C'est naturel mais pas tjs bon pour la santé.
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Notes

La roténone est toxique pour les mammifères et pour les poissons. On tue les poissons en Asie avec ca et
pouf tous les poissons sont morts et reviennent. On a autorisé ca en agriculture bio.

Il y a aussi des insecticides chimiques autorisés. 
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Notes

ELICITEUR (stimulareur de défense naturelle)

produit des phytoalexines

On a des fongicides biologiques. 

Bacillus subtilis est un stimulateur de défense naturelle. Il est présent dans le sol et stimule la
production de phytoalexines chez la plante ou de peroxydases. La plante possède les genes pour
produire ces substances fongicicdes et Bacillus subtilis agit sur ca.
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Notes

microorganismes dans le sol. Ils agissent via la compétition, l'antibiose. 
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Notes

Il y a des fongicides chimiques. Difficulté à trouver des produits bio.

Le sulfate de cuivre et la bouillie bordelaise sont utilisées depuis des siècles. C'est très efficace contre le
mildiou. C'est toxique pour le sol. On a vu des toxicités sur des moutons dans des vignobles.

Max 6 kg/ha an

On autorise malgré tout parce que le mildiou c'est pas facile. 
Slide 41 ­ Amanote

Notes

Surfaces réglementées
­ Max 2 UGB/ha de SAU
­ surface des batiments
­ parcours accessibles le plus lgtemps possible

Les surfaces sont rélgementées, les batiments aussi et les parcours doivent etre accessibles le plus
longtemps possible.

Pour le bien etre animal, pas de caudectomie. Ce comportement là est lié au fait que la surface par animal
est insuffisante. Donc on leur donne plus de surface et ils se mangent moins la queue. 

Ca explique pourquoi il y a peu d'élevage de porcs bio.
Slide 42 ­ Amanote

Notes

­ Privilégie l'adaptabilité donc la diversité

Variétés en mélange, variéts­population
Peu ou pas d'hybrides F1, réduction des variétés monoclonales

­ Faibles intrants

Les mutagènes chimiques sont interdit. Ca suscite des controverses : pourquoi interdire les OGM? Ca fait
débat, c'est pas vrm toxique un OGM. Ca dépend aussi du gene introduit, s'il est toxique ou pas.
On utilise des espèces et variétés sélectionnées pour l'agriculture bio. Les variétés bio privilégient
l'adaptabilité et donc la diversité.

A l'origine, on avait bcp de populations diverses de maïs. Face aux ≠ aléas climatiques, il y aura tjs des
maïs plus adaptés que d'autres. On privilégie cela.

Hybrides F1. Les plantes autogames telles que le blé et l'orge, ségrégation des caractères jusque la
création d'une lignée fixée pour en faire une variété. 

Chez les variétés bio on privilégie le mélange, on ne fait pas de sélection F1 et tout.

Faibles intrants : les variétés bios sont séléctionnées pour des syst a faibles intrants donc elles y sont
mieux adaptées que les variétés traditionnelles.
Slide 43 ­ Amanote

Notes

Il existe bcp de méta­analyses qui reprennent plein d'études ensemble sur l'agriculture bio ­­> elles
dégagent des tendances. Bcp de résultats contradictoires points de vue nutritionnel. 

La variabilité des conditions de culture est énorme. Les coditions pédo, climat, les variétés utilisées... tout
facteur agronomique influençant la production influence la nutrition. Donc dégager des tendances n'est
pas évident du tout.

Il y a généralement plus d'anti­oxydants en bio, on a moins de métaux lours et de nitrites et nitrates. Ce
sont des tendances nutri qui sont générales, c'est pas toujours le cas. Pour le reste, c'est pas évident
(vitamines, potatium, etc). 

Il y a bcp de controverse là­dessus. Il y a tjs des ens qui vont sortir une étude pour dire c'est mieux pour
ca, ou pour ci. Mais ici on prend des méta analyses. Si on ne voit pas de tendances sur des 1000iers
d'études, faut peut etre arreter.
Slide 44 ­ Amanote

Notes

Au niveau santé c'est plus net.

­ Résidu de pesticides. Grand échantillon (81.000). Des résidus de pesticides sont detectables dans 45%
des produits conventionnels contre 15% en produits bio. Donc le bio semble avoir un impact important.
Les 15% pourraient être des fraudes, mais on pense plutôt aux trainées : les pulvérisations atteignent les
champs voisins. 
Histoire : trainée sur 50 m à Michamp, un agriculteur avait détruit un champ avec un pesticide total et il
avait atteint une partie du champ voisin car il y avait bcp de vent ce jour­là. On peut aussi parler de
résidus dans le sol. Quand on passe en bio, il y a 2 ans de transition. On peut vendre les produits en bio 2
ans après avoir mis la parcelle en bio. Il est possible qu'il y ait des pesticides très rémanents toujours
présents dans le sol après la transition. 

­ Antibio : pareil, moins de résidus en bio.

­ Les mycotoxines sont plus fréquentes dans le bio. Les fusarioses donnent des toxines mauvaises pour la
consommation. On ne devrait pas les consommer mais parfois on est amenés à consommer des farines de
blés qui contiennent des toxines amenées par les fusarioses. Il y a des contre­effets possibles avec le bio. 

­ Pathogènes. Exemple du cas dramatique qui s'est produit en 2011. Grave contamination dans une
fabrique de production de produits bio en Allemagne. Une entreprise faisait germer du soja et les vendait.
Il y a eu une contamination par E. Coli qui a donné une épidémie mortelle. Il s'agissait d'un employé qui
était éleveur et qui n'avait pas pris toutes les précautions et a contaminé des produits de l'entreprise.
C'est pas pcq on vit bio qu'on a aucun problème. Il faut veiller aux conitions sanitaires et à la qualité des
produits. 

==> Effet positif point de vue santé du bio mais attention aux contre­effets!
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Notes

Niveau envi, moins de conso d'énergie, surtout du au fait qu'ils n'utilisent pas d'azote minéral de
synthèse. Si on réduit le travail du sol, on réduit les carburants. Mais en bio c'est pas tjs évident
de réduire le travail du sol car le fermier doit lutter contre les adventices sans herbicides. Donc c'est vrm
un challenge en bio. 

On peut avoir une plus forte fixation de C car fertilisant ora et pcq on réduit le travail du sol. Ce n'est pas
systématique, on peut la rechercher mais ce n'est pas tjs le cas.

Réduction des GES. C'est plus évident. Il y a moins d'énergie consommée et les bovins aussi. Ils ont plus
de fibres en bio donc on a une fermentation propionique plutôt qu'acétique (à vérifier). 

On s'attend à une moindre pollution. Au niveau de la biodiversité, l'impact négatif de l'agriculture est
moins marqué. 
Slide 46 ­ Amanote

Notes

Concernant l'erosion et la fertilité du sol, les effets peuvent etre controversés. Si bilan favorable, on
diminue l'erosion. Si on augmente le travail du sol, on pourrait augmenter le ruisselement et l'erosion et
ca peut diminuer les lombrics!!

­­> ca dépend ici des pratiques
Slide 47 ­ Amanote

Notes

Du fait du travail manuel en désherbage, il produit plus d'emplois. 

Le bio donne une meilleure image à l'agriculture. Du point de vue envi, du point de vue santé en tout cas.
Concernant le tissu social, ca dépend si on va vers les circuits courts et tout ca. Ca dépend de la façon
dont on emménage le bio.

Le bio est d'abord vu sous l'angle de la certification. Quand on achète un produit bio, on a cette
certification de pas d'OGM, de pesticides, etc. Au niveau social, il n'y a aucune garantie, au niveau
nutritionnel non plus. Ca dépend de ce qu'on prend comme bio. 
Slide 48 ­ Amanote

Notes

Au niveau rendement, les résultats sont très variables. En général on considère 80% du rdt conventionnel
mais avec des variabilités bcp plus fortes!!

Il y a 2 ans on a eu bcp de pluies pdt la saison des céréales donc on a eu bcp de maladies de l'épis et bcp
de pertes!!

Ca relativise les performances d'avant. Il faudrait réfléchir à l'impact par rendement plutôt qu'à l'impact
par ha, alors on revoir nos chiffres à la baisse ! 

Valeur ajoutée et marge bénéficiaire pour l'agriculteur supérieures

Valeur ajoutée et marge bénéficiaire pour l'agriculteur supérieures

La valeur ajouée et la margé bénéficiaire sont supérieures, les agriculteurs bio s'en sortent mieux que les
conventionnels. La voie de la micro­agriculture bio, d'un point de vue marge bénéficiaire, est une voie très
risquée. Par contre, pour une entreprise moyenne, le bio s'en sort mieux (en grande ou petite culture). 

Au niveau de l'élevage, la croissance est identique mais le cout est plus élevé mais de nouveau valeur
ajoutée!

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