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gyz~NTIOH

RBvue INTERNaTioNaLE DE) ÉTuoE5 ByzaNliNE5


PUBLIÉE SOUS LA DIHECTION DE

H. GRÉGOIRE
AVEC LA COLLABOHA TION DE

N. AnoNTZ, N. B.ANEscu, S. BI~oN, R. GoossENS, A. GRABAR,


M.-A. Gmm, E. HoNIGMANN, M. LAURENT, M. LASCARis, M. LEROY,
A. LEROY-MoLINGHEN, G. MonAvcsrK, P. ÜRGELS, G. RourLLARD.

'-'1
TOME XIV (1939)
FASCICULE 1

02002
BRUXELLES
SECRÉTARIAT DE LA REVUE;

1939
INHAtT
COMPTES !=tENDUS
LITERATURANGABE.

VORBEMERKUNG.
GEOGRAPHICA
TEIL I: PAP. BEROL. 13929
A : Herstellung des Textes vol. XIII, p. ü:r, L'histoire ecclésiastique de Jean d'Éphèse.
B : Kommentar (); \ ~ j
L'histoire ecclésiastique de Jean d'Éphèse se compose de trois
TEIL II : Dm ÜBRIGEN AnisTOPHANEs-scHOLIEN AUF PAPYRI parties. La première qui est entièrement perdue contenait le récit
des événements à partir de l'époque de Jules César jusqu'à l'année
Vorbemerkung 44~) ; la seconde, dont nous possédons des fragments ( 1), la période
1.) Mél. Nicole S.221 ff ()[)\) de 449 à 571, la troisième qui seule subsiste presque entière, celle
2.) Pap. Ox. 1371 d ()Tl de 571 à 585 (2) ; mais quelques événements de l'époque précédente
3.) Pap. Strassburg 621 m.;;, y ont trouvé également leur place.
4.) Pap. Louvre No ? {)l{tî La première édition de cette troisième partie qui était plutôt
5.) Pap. Ox. L02 ül'\l une reproduction du texte manuscrit faite sans aucune émenda-
tion, a été due à William CuHETON (3). D'après elle, le texte a été
TEIL III: SCHLUSSFOLGERUNGEN traduit en anglais (4) et en allemand (5). Des extraits ont été publiés
1.) White's Archetypus par Jessie Payne MAncououTH (ô). Une importante monographie
vol. XIV,p.:ll
2.) Ursprung der byzantinischen Scholienha ndschrif- de Jean d'Ephèse a été écrite par A. DIAKONOV (7) ; lVI. BROOKS
ten a brièvement résumé les résultats de ce livre dans l'introduction
de son édition et traduction des Vies des Saints orientaux (8).
a) \Vas sind Scholien? !>tM
b) \Vie wu rd en Scholien im Altertum über-
(1) Des extraits ont été traduîts pat A. NAu, dans R.O.C., t. II, 1897, pp.
liefert? f>!H
41-68 et 455-493.
c) Die << alexandrinische gelehrte Ausgabe >> (2) Voir Hisl. Bec/., trad. BIWOKS, pp. 190, 13 et 209, 31 avec la note.
d) Hypomnemata und Handscholien ;1;111 (3) William CunEToc-;, The thini Part of tlw Ecc/esiastical History of John,
e) Der hyzantinische Randkommentar j3fs/wp of Ephesu.s, Oxford 1853.
f) Handkommentare und Randkatenen (4) R. PAYNE S~IITH, The lhird part of Ille Eccles. History of John Bishop of
Ephesus now first lranslaled, Oxford 1860.
g) Handkatene und Randpsalter
(5) Dr. J. l\1. ScniiNFELDEn, Die Iùrclzen-Gesclzichte des Johannes von Ephe-
h) Abschliessendes zum byzantinischen Rand~ sus, aus dem Syriscllen ùberselzt, Mlinchen 18ô2.
kommentar (6) Jessie Payne MAHGOLIOUTll, E:rlracls from the ecc/esiasiical history of
3.) Textgeschichte des Aristophanes in frühbyzantinl~ John, bishop of Eplzesus, ed. wilh grammatical, hislorical and geographical notes
scher Zeit in English and German, Leiden 1909.
(7) A. )J;HHOHOBn, IoaHH'h 3.pecHifr l!! ero uepiWBHO-l!!CTop:rrqecRie
4.) Der Aristophanes-Archetypus !\0 i TPYAhi, C. liCTcp6yprh 1908.
(8) Lives of the Eastern Saints, cd. by E. W. BROOKS, dans la Patroloqic
INDICES Orientale, t. XVII, Introd., pp. III-xv.
G1G COMPTES RENDUS 617

Le même savant vient d'éditer et de traduire en latin la troisih1w comme celle (1) d'écrire Arzun, où le texte porte clairement Ozroë-
partie de l'Ilisloire ecclésiastique dans la collection des Scripforn· ne (2), ou de traduire Ur~ayë par<< Ibi.•res )) (3) et Bassos par Ihas (4).
Syri elu Corpus Scripiorwn Chrislianorum Orienlalium (1). L'édi · Certes, tous les problèmes qui se posent au traducteur de cet his-
tion est basée sur le cod. B (2), l'unique manuscrit presque com torien ne sont pas encore résolus.
plet (3), et le cod. Y ( 4) qui ne contient qu'un fragment (5). Cù d M. Bnooi<S n'a pas dissimulé certaines difficultés auxquelles se
là, il dait possible de compléter l'ülition par des passages dl' 1:1 heurte l'interprétation du texte, ni l'incertitude concernant la
Chronique de Michel le Syrien; cependant, ce dernier a fortement forme exacte de quelques noms propres, écrits sans voyelles dans
abrégé le texte original. le texte syriaque. Pour caractériser ces leçons comme incertaines,
Désormais, cette nouvelle édition et traduction seront à la lms,· il les a fait imprimer en majuscules (5). Dans les remarques sui-
de toutes les recherches historiques et théologiques sur l' époqw· vantes, nous nous efforcerons d'expliquer une partie de ces noms
de Justin II, de Tibère II ct de Maurice. Une comparaison de !;1 et d'autres difficultés du texte.
première édition ct des traductions existant jusqu'à présent avcr H. E., pars III, lib. I, chap. 5, p. 3,30 trad. BnooKs: Johannes
la nouvelle publication suffit pour reconnaître que l'ouvrage dll videlicet qui a Sirmin pago Syriae. Ce village, l'actuel Sermin, s'ap-
savant anglais repn'·sente un grand progrès. Certes, on pourrai! pelle 1:0 L:ég;uov xTijfta dans la Chronograplzie de Théophane (6);
lui reprocher qu'il ne connaît pas toujours les recherches Iéccntes Jean III Scholastikos était originaire lx 1:ov Er;e~f-ltot; (var. Etgt-
sur l'histoire et sur les institutions du VI 8 siècle; mais tenant comp· fllOt;) . XWf-l'i} oè av-rr; l'l' ?:fj Kvvr;ytxfj xetpùr; 'tijt; 'Avnoxéwv
te du fait que, depuis de longues années, il souffre d'une grave xweaç (7).
maladie des yeux, on admirera plutôt l'énergie et l'activité de C1' I, 39, p. 34, 8 (toujours de la Versio): De monasterio quod
savant infatigable auquel les études byzantines doivent tant de vocatur___Ii!!J2i§..Jn regione Bithyniae. Monasterium igitur hoc Rupis
précieux travaux. D'ailleurs, dans certains cas, la sagaeiü· <h• a NoiSe aedijicatum est... Ce monastère, en syriaque celui des Qatharà,
l'anteur a pu combler certaitJes de ces lacunes; p. ex., il a retrouvé (n) ce qui signifie également « rocher ll, est en réalité fJ 1:wv Kaeaewv
l'émendation Qwn(')TWR D-BYT' (au Jieu de RBYT') D-MLKWT' p,ov~, c.-à-d. le couvent des Novatiens ( 8), fondé par Narses, comme
n-HwnMzn' = curalorem domus regiae Hormizdae, faite avant l'avait déjà bien remarqué ScHôNFELDEH (u). Un autre monastère
lui par M. Ernest STEI"' (7), ou celle de Jean fils de Timostra· de ce nom qu'on a cherché près d'Amida (10) est mentionné dans
tos (B), trouvé par le même savant (9). Il s'entend qu'il n'a
pas répété certaines erreurs incompréhensibles de ScnôNFELntm (1) SCHôNFELDER, p. 245, 2.
(2) BROOKS, Textus, p. 313 ; verslo, p. 238, 1.
(3) SCHôNFELDER, p. 147, 8 et 242, 4, Jean MAsPERo, Histoire des patriarches
(1) CSCO, Scripiores Syri, Series tertia, tomus III: Iohannis Ephcslnl d'Alexandrie, Paris 1923, p. 23ü, n. 1. Th. HEI\\\!ANN dans Ztschr. f, neutestam.
Hisioriae ecclesiasticac pars tcrtia, tex tus, Parisiis 1935 ; versio, Lovanii 1!l:lil. Wissensch., t. XXVII, 1928, p. 297.
(2) l\Ius. Brit. 920 = Add. 14640, écrit vers la fin du vn• siècle. (4) ScHôNFELDER, p. 147, 7.
(3) Toutefois, à peu près la dixième partie du texte manque dans ce manu (5) Praefatio, p. xv: Qua nomina uncialibus scripsi, vocalia incerta sunt.
scrit. (6) Theophan., Chron., p. 178, 12, éd, DE BooR.
(4) Vatic. Syr. CXLV, fol. 101V-106v. (7) Euagr., Il. E., IV, 38, p. 189, 33, éd, BmEz-PARMENTIER,
(5) Lib. VI, ch. 5-7 = p. 287, 12-296, 27 de l'éd, de BROOKS. (8) Vers 391, une réunion des évêques novatiens eut lieu èv 'Ayydecp (ou
(6) Textus, p. 332, 15 = versio, p. 252, 20 avec la note 8 : << Jta correxi <<. J:ayyâ(!cp) . xwetoY (var. Sfl"Jl:6etov) 6è TOVTO BtOvvtar; OV'H, dnà noUov
(7) E. STEIN, Studien zur Gescllicllie des byzantiniscllen Reiclles, StuttJ:larL 'EJ..eyovn6).ewç lnl rfj; OaJ.daar;c; xd;u;vov (Socrate, II. E., V, 21, 11.
1919, p. 101 sq., n. 7. Sozomen., H. E., VII, 17; 18, 8, et d'autres), l'actuel EngLire à l'Ouest de
(8) Versio, p. 218, 20 (Tv~r· stn\'). Yalova.
(9) STEIN, Studien, p.52 sq., n.10. BnooKs, p.218, n.7, aurait dû citer 'Iwd.t·· (9) ScHôNFELDER, p. 36, note.
YrJÇ TtflOCJT(!(n:ov, mentionné par Ioann. Epiph., 5, dans FHG, IV, p. (10) PAYNE S:.viiTH, Thesaurus Syriacus, coL 3778. AHimNs et KRüGER, Die
éd. MüLLER = Hist. Graec. Min., I, p. 380, 32, éd. DINDORF, et Euagrios, V, sog. Kirchengeschichte des Zacharias Rllelor, Leipzig 1899, p. 343, Anm. zu p.
10, p. 207, 12, éd. BIDEZ-PARMENTIER. 115, 24.
BYZANT!ON. XIV.-- ·lU.
618 BYZANTION
COMPTES RENDUS tî19
l'Appendice à l'Histoire ecclésiastique de Pseudo-Zacharias le lU~<' nÂm:sia vertit (Schünf.) )). PAYNE-Sl\HTH (p. 7ü) avait écrit le nom
teur (1). Un troisième était situé, comme il semble, sur l'Ol)'lll!H' ,, Dephatia >), et Scn6KFEI.DEH (p. 85 sq.) l'avait traduit par<< das
bithynien (2). Un autre «couvent de Narses )) a existé à Const:llll breite n. En réalité, Jean d'I;:phèse parle des thermes bien connues
nople (3). de llvOta, situées à Dag Hamann non loin de Yalova (voir
II, 42, p. 80, 6 ( = tex tus, p. 109) eum (Paulum) ad notre -ëompte rendu du livre de M. Arif :::VIüfid lVL-\NSEL, ci-après,
pum Aphrodisiadis misit cui scripsit: << Huic episcopatwn pp. 625-627). Le nom du couvent situé près de ces thermes, mal
eumque denuo crea, et in Antiochia urbe quae sub tua potestatc transcrit « Cardynium '? n par Sur6KFELDEH (p. 85), est écrit QR-
institue >>. Ici le mot << epi $COpwn >> ('rvsQr') doit être une crr<·ur DWNY'N, c -à-d. KsqOoYvtav(wv). C'est un nom des Marcionites,
de Jean d'Ephèse qui nous dit ailleurs (4) que Paul lui-même d:1i l dérivé de celui de l'hérétique Cerdon, maître de Marcion ; un
l'évêque d'Aphrodisias, métropole de Carie. D'après ce pass:q;<' chapitre du Panarion de S. Épiphane est écrit %a-cà Kseowvtavwv (1).
parallèle, la lettre fut envoyée << ei qui in urbe erat >> ( 5) ; il 1
Dans les lignes suivantes, Jean raconte que vingt ans plus tard,
donc du consulaire de la Carie, sous la juridiction duquel étai<'ll! les moines cappadociens ont abandonné l'orthodoxie, c.-à-d. le
les villes d'Aphrodisias et d'Antioche. monophysisme (p. 82, 31) : et, ut ila dicamus, perturbati et confusi
II, 46, p. 82, 11 sq. coenobio magna et spatioso quod in sunt quod navis eorum in porta portus (Ât,uÉ:va) fracta erat; et or-
padocia est quod vocaiur coenobium GwrmvswN. Nous croyons que thodoxiam totam prorsus aversati sunt. Nous croyons que les mots
ce nom doit être lu _Fofl~L_af!~'}J (-wv'?) ( 6 ). Une comparaison de n' ,, porta porlus l> sont une allusion au nom de II·vÂat qui était un
chapitre (II, 46) avec I, 39, auquel Jean d'Éphèse y renvoie, montre port très connu non loin de Pythia. Car d'après les mots précédents,
que le << cubicularius quidam fidelis J> qui a acheté pour les moillc:l l'empereur Justin, l'impératrice et le sénat, cum praeterirent thermas
de Cappadoce le couvent appelé QnDWNY'N près des thermes <h' adituri, ingressi sunt et in monaslerio deversati ; donc, ce monastère
PTY' (7), est identique à Narses qui, d'après I, 39, a acheté << pnmliu doit être cherché tout près du port de Pylai, l' Èp:nôeLov llvÂwv de
haud pau ca>> pour la -1!2J!Ù IfiJ_'1!1\q8~aeô2~'1! qu'il a bâti << cum la Vie de S. Théodore le Sycéote (2).
chartularius in palatio esset >>. Théophane et Théodose de :Méliti:tw III, 14, p. 103, 14 satellites ( ?). D'après la note 5, le mot LWPR'
désignent le fondateur Narses comme xov{Jtuov).âewr;. Il semhh· semble identique à LYPWH' que Eduard SACHAU (3) a expliqué
donc que le couvent des Cathares (Novatiens) n'était en rùllit'" par un terme grec mal entendu tel que }.acpvqaywyovner;.
qu'une reconstruction de celui de << QRDWNY'N, thermis propin" III, 24, p. 111, 25: domum ... quae ... latere occidenlali et septen-
quum quae in suburbio transmarino meridiano urbis regiae sunt qww trionali ur bis in Astydeutero ( ?) est ... PAYNE-SMITH (4) avait omis
vocantur thermae PTv'. J> A ce dernier mot, M. BnooKs ajoute lu ce mot, ScHONFELDER ( 5) avait écrit << Astod:.:.uterum '? l>, ce qu'il
note 4: <<V el DrTY'. Pathya = latus vel latitudo, et fortasM<\ a expliqué dans une note par LI ev-r:eeov (aa-r:v). Mais 'srnwrmvN
est en réalité 'Er; -rà Llev-reeov (0).
(1) Ps.-Zachar. Rhet., vu, 5 ; t. II, p. 34, éd. BRooKs, t. II, p. 23 trmL
BRooKs (« rupis >>). (1) Epiphan., Haer. 41, dans Œuures, éd. Karl HoLL, t. II, Leipzig 1922,
(2) Cf. Theodor. Stud., Epist. 3, dans MIGNE, P. G., t. IC, col. 916°. l\1kh, p. 90, 8.
Psell., Epist. 77, éd. SATHAs, Mw. Bt{J}.. , t. V, p. 311. (2) Vie de S. Théodore le Sycéote, éd. Théophile IoANNOU dans Mv'f}f.lÛa
(3) Cf. JANIN dans Échos d'Orient, juillet-septembre 1937 (40• année), n" till, aytoÂoytua, p. 479, chap. 131. Plus loin, on y parle des~ Avw IIM.at qui sont
p. 288 sqq., qui a confondu ces deux couvents. déjà mentionnées p. 478, chap. 129: ànà llvÂûjV TWJJ ~Avwl3sv, ev Taiç
(4) H. E., I, 14, p. 9, 13, trad. BROOKS. "Avw IIvÂatç. A Pylai, le saint s'embarqua pour la ville impériale: p. 480,
(5) Versio, p. 9, 19 = textus, p. 14, 16 sq. chap. 132.
(6) Cf. Psellos, Epist. 131, éd. SATHAS, loc. cil., v, p. 376: ràv oè <18flVO:'t!Ji (3) Ed. SACHAU, Sitz.-Ber. Akad. Berlin, 1892, p. 323.
néaraTOV Togotaaov otà aov iyvwuwç. Il est dommage que, au lieu Je (4) PAYNE SMITH, The third part of the E. H. of John bish. of Epiles., p. 204.
ce calembour, Psellos n'ait pas indiqué la position de ce couvent. (5) ScHONFELDER, p. 118.
(7) II, 46, p. 82, 17-19. (6) Cf. Acta Sanct., Nov. III, p. 793E et 815D : rfiç slç rà T(!hov f.lovfiç
620 BYZANTION COMPTES RENDUS 621

III, 27, p. 115, 3: BnooKs traduit: ad Analolium rtr Steph. Byz. )) ; mais cet article n'existe pas. D'autre part, le site
torem ( aexwv) et av8vnaexov, praesidis ( vnaexoç) vide lice/ vias de la ville de Tvea de Lydie (Steph. Byz.) qui manque dans la liste
agen lem. Il fallait traduire : .... praefecti [mieux : praefeclorwn J des villes lydiennes de Büu:H;-.;E~:, est inconnu. Enfin, l'aphabet
(praelorio) videlicet vices agentem; voir STEIN, Studien, p. 87 ad syriaque est assez riche pour transcrire le nom de Tyrra ou Teira
Just., Nov., 134, c. 1 ; pour le pluriel praefeclorum, bien qu'il IH' plus exactement que par D'nyn' ; le plus vraisemblable est
s'af,>isse que d'un seul préfet du prétoire (mais praefeeturae ne serai! que cette graphie doit ètre lue Dürairii, correspondant à un* Ll a(!Sl-
pas faux), voir ce que M. STEIN dit dans le Rhein. 1\!fus., LXX 1V ea inconnu, forme analogue à plusieurs toponymes lydiens, comme
(1925), p. 373 avec la n. 2. 'Aye6stga r} 'A,U6stga, 'An6:r:stga, 8vâutea. Tafjstea.
III, 32, p. 121, 15 praeses insularum ( ?), transcription syriaqu,• III, 40, p. li)O, 4 pagum qui vocatur f:laurin. Nous préférons la
des lettres grecques « vnaexoç (ita saepe a p. Syros pro linaexuc:! leçon :çlewarin ( Evâg~::ta, Avseta, Evaewç).
-rwv vr]awv (Ms.Nvsws) }). Le point d'interrogation est superflu; ('tl IV, 10, p. 142, 23 desertum solitariorum ultra beatum Mii.r
effet, il s'agit du gouverneur (ijys,uwv) de l'ènaexta Nr}auw (!). Menam qzzod vocalur RMNYN (textus, p. 190, 24). Michel le Sy-
III, 34, p. 124, 10 in aerario ('?)et V, 22, p. 207, 18 aerarium ( rien (1) écrit RwMNYN (2) ce qu'on doit probablement lire Roma-
Le grec on,uoawv signifie d'habitude un bain public, un OrJp6uwF ni( o)n. Nous nous demandons si ce nom pourrait se rapporter à Dër
Âov-re6v (2) ; quant à aroa{ (p. 207, 19 : porticus), il désigne en Baramüs, en copte na-.pwneoc. c.-à-d. '' le couvent des Romains)),
Orient des <<(rues de) bazars,, (3). situé dans le Wadîn-Natrün, l'ancienne Scété (3).
III, 36, p. 125, 34, et souvent : in pago... cu7 nomen D'nvH'
Il est impossible d'établir d'une façon absolument sûre le nom dn
village situé sur la montagne de Tralleis ( Trôlïs) en Asie, c.-à-d. sm· (1) Michelle Syrien, Chron., éd. CHABOT, t. IV, p. 379. col. III.
la Messogis, où Jean d'Éphèse (ou <<d'Asie,,) a bati son grand (2) Malgré la leçon « Rhamnis » dans la traduction de CHABOT, ibid., t. II,
couvent. L'opinion de J. P. N. LAND, suivie par H. GELZEH ('1) qun p. 361, col. II, ligne 1 ; de plus, ce n'est guère une • ville épiscopale d'Égypte~
(ibid., t. I, Table générale, p. 63*), mais vraisemblablement un monastère.
D'nYR' soit Tyrra ou Torrebia, aujourd'hui Tire, se heurte ù
(3) De même, Jean MASPERO (Histoire des patriarches d'Alexandrie, dans
beaucoup de difficultés. D'abord, Tire n'est pas situé sur la mon Bib'. de 1'École des hautes études, fasc. 237, Paris 1923, p. 236, n. 4) eherehe le
tagne, mais à son pied du côté du Nord, donc opposé à celui dtt • désert des Solitaires • dans la région de Scété, sans parler du nom de RMNYN.
Tralleis. Puis, la forme exacte du nom ancien de Tire n'est pml Sur le monastère des Romains voir Hugh G. Evelyn ·wHITE, The Monasleries of
sûrement établie ; car la leçon Tûea qu'on a cru trouver dans lt•s the Wtldi'n Natrûn, Part II: The Histor!J of the Monasteries of Nitria and of
Scetis, New York 1932, p. 98-104. Ailleurs (p. 320, n. 2), M. WHITE renvoie à
inscriptions, semble être inexacte (5). BüncHNEH (6) cite'' Ttea (Teîm)
une note qui se trouve dans un manuscrit syriaque du Vatican (AssEMANI,
Bibliolhecae apostolicae Vaticanae catalog11s t. III, Romae 1759 [réimpr. Paris
Tov (Je6q;eovoç (ou (Jeoq;6eov) 'A{ieattiov. SyÏwx. eccl. Consl., p. 22, 52, ~<L 1926] p. 241-246, N° CXLII), d'après laquelle Théodore, abbé du monastère
DELEHAYE: Ûç Û:i LlêVTS(!OV. de Scété, a acheté le 30 thammouz 887 (576 apr. J.-C.) ce manuscrit pour son
(1) Cf. Hiéroklès, Synekd., p. 685, 7, avec notre commentaire. monastère. M. ·wHrTE se demande si cet abbé Théodore n'est pas le même
(2) ·w. ENSSLIN dans Byz.-neugrieclz. Jalzrbb., t. V, p. 342 sq. personnage que Théodore, '' whom Longinus and two other bishops wished to
(3) Cf. p. ex. W. K. PRENTICE, Publ. Americ. Arclzaeol. Exped. lo Syriil set up as patriarch in opposition to Peter IV in 567 A. D. >>. Cette hypothèse
1899-1900, Part III, New York et Londres 1908, p. 134, n° 119 (inscription nous semble très vraisemblable. Mais pour discuter cette identité, nous devons
Refâdeh). d'abord corriger dans cette phrase de ·wmTE trois erreurs : 1° Longinos et les
(4) J. P. N. LAND, Johannes, Bisclwf von Ephesos, Leiden 1856, p. (il) deux autres évêques n'ont pas seulement • voulu nommer Théodore patriar-
H. GELZER, Pergamon unler Byzanlinern und Osmanen, Berlin 1903, p. che », mais ils ont accompli leur intention ; 2o Pierre IV a été sacré après
« Dârirâ ist wohl richtig von LAND mit Tyrra (Torrebia, heute Tire) iclenllthdt'lÏ Théodore (ef. IV, 11, p. 144, 30; 12, p. 146,15. 19. 21; 13, p. 148, 2. 5; 14, p.
worden •>; ibid., note 3, p. 34: « Der Form Tarra entspr.cht das syrische llùrlriL ' 148, 22.149, 2); 3° l'ordination de Théodore a eu lieu en juillet (ou fin juin) 575
(5) J. KEIL et A. v. PREMEllSTEIN, Berichl über eine drille Reise in L!!illtn, (voir sur la date A. JüucHER dans Festgabe für Karl Müller, Tübingen 1922,
Wien 1914, p. 86 sq. p. 21 ; BROOKS, dans Byz. Zeitschr., t. XXX, 1930, p. 473, n. 5; CHABOT dans
(6) BüRCUNER, dans la Real-Enzykl., XIII, col. 2152, 24. CSCO, Scr. Syri, Ser. II, t. XXXVII, Versio, Lovanii 1933, p. 3101 n. 3). ll
622 BYZANTION COMPTES RENDUS 623
IV, 10, p. 143, 1 el, ut fertur, synodicon eiimn alter ad alterum ut Serge originaire su -roîi 'Pa{Jowç, c.-à-d. du Tür 'Abdïn, nommé
patriarchae Antiochiae el Alexandriae fecerunt. Il aurait été utile par Jean d'Épiphanie (1). Les voyelles du nom de son père, SPNY,
de signaler ici par une note que nous possédons encore ces deux sont douteuses. Malheureusement, nous ne savons pas d'où le
synodiea. Ils ont été éditi:s et traduits par J.-B. CHABOT (1). Lexique de Suidas (2) a puist\ le bref article EtcpvêVç,ovofla uvewv.
IV, 41, p. 167, 29 Sergius 'NPY1\vn (note 6 : requiri videlur VI, 6, p. 221, 25 Adiirmahan contra Apameam urbem cum magno
<< Henophrys >>), hoc est superciliis coniunclis, et Georgius Sn•JBY- exercitu misit, qui et ipse _f!lstra__ ç:,J.:pugnavit, et pagos magno.~ et
NWS. Pour le premier surnom, M. Henri GnÉcomE propose plut<lt frequentes diruit et incendit, et abiit et Apameam advenit. Il semble
av,ucpV7:oç, pour le second l:a(!aX1)110Ç. que KaQ._-c:Qt! (textus, p. 292, 15 QS~Rs) est ici un nom propre; car
IV, 52, p. 179, 7 (epis lu la ad regem N obadum) domine frater nos ter Michel le Syrien (3 ) mentionne parmi les villes que ce général a pris
'WRPYWL.' B ROOKS annote: forfasse ex << Eurypylus >> corrup- Qasrïn, le Qaf?rïn des Arabes (4), situé entre Bët Balas (Barbalissos)
tum (LAND, p. 188), sed hoc nomen homericum !zac aetate vix usurpa- et la région de Gabbül.
batur. D'après ScHONFELDEn (p. 184), Evevnv?.oç serait un« pracht- VI, 9, p. 228, 6 in campo qui ad orientem urbis (scil. Melitenae)
voller Taufname des I:t?.ucb >>. Mais une inscription copte de Den- paulo ab ea distabat. Il est préférable d'écrire Campo avec une
dur (2), datée d'une 7e indiction qui semble correspondre ou à 544 majuscule; voir sur ce nom de lieu notre Ostgrenze des byz. Reiches,
ou plus vraisemblablement à 559, nomme le successeur de Silko, p. 21, n. 13.
etpn&.None, nom qu'on a voulu corriger en Ergamène(Hpr&.neNe). ibid., p. 228, 36 ad montes allos Qarl}e. Ailleurs, nous avons essayé
Nous supposons que le syriaque ~-~~;o/ est une mauvaise graphie de fixer l'emplacement de ces montagnes (5). Nous les cherchons
de ~;o/ qui correspondrait bien à la forme copte. maintenant en Tarôn ($erafeddin Daglan) près de l'Euphrate
VI, 5, p. 218, 21 Sergius filius .SPNY semble être identique à (Aracani), en face du Taurus (K•ark•ë leain, -rà Xa.ex~e._0'/)_§fLrj_____
d'Agathange § 809, p. 421 sq. éd. GAL. TER-MKRTC'IAN et ST.
KANAJIANc', Tiflis 1909; V. LANGLOIS, Collection des hist. armén.,
était donc patriarche depuis un an, quand l' • archimandrite » (rësdairi'i) Théo-
dore a acheté ledit manuscrit pour le monastère de Scété. Mais Jean d'Éphèse
t. I = FHG, t. V, 2, p. 173, ch. CXIV; Zénobe de Glak et Jean
nous raconte qu'il n'a pas résidé à Alexandrie (H. E., IV, 11, p. 143, 24: urbem Mamikonien, ibid., p. 350, 369, 373 = Zénobe, éd. Venise 1832,
non intrauimus) et qu'il est resté fidèle à ses anciennes habitudes (ibid., IV, 18, p. 36; Jean Mam., p. 28, 38). Dans les Vies des Saints Orien-
p. 148, 7: ad normam habitus [ax1Jpa] sui prioris mansit). Comme, dès le taux (6), Jean d'Éphèse parle de << Qarl_lë intérieurs>>.
commencement, il avait vivement protesté contre sa nomination, on pourrait
VI, 24, p. 247, 25; de même pp. 248, 2; 255, 30; 260, 18: DW1a-
bien admettre la possibilité qu'il aurait continué à se présenter comme simple
archimandrite du couvent de Scété ou, d'après notre hypothèse, de RwMNYN,
bius. BROOKS aurait dû écrire Dunabis (1), forme gothique du nom
Quant à ce dernier, il ne peut pas s'agir du «monastère des Syriens>> (Dt'!' du Danube (8 ), usitée couramment à cette basse époque.
es-Süriànï), puisque la fondation de celui-ci ne remonte pas plus haut qu'au
milieu du Ix• siècle (WHITE, loc. cit., p. 309-321). Sur des évêques qui conti-
nuaient à exercer leurs fonctions d'archimandrites voir ANRICH, Hagios Ni- (1) Ioann. Epiphan., 3, dans Hist. Graec. Min., t. I, p. 378, 26, éd. DINDORF.
kolaos, t. II, Leipzig 1917, p. 248, n. 6. (2) Suidas, Lexicon, éd. Ada ADLER, pars IV, p. 370, 14.
(1) Documenta ad origines monophysitarum illustrandas interpretatus est (8) Michel le Syrien, t. II, p. 312 = IV, p. 349.
I.-B. CHABOT, CSCO, Scr. Syri, Ser. II, t. XXXVII, Lovanii 1933, textu~ (4) 'Amr ibn Kultüm, Mu'allaqa, 7. Balàcjurï, Futül}, p. 151. Yi'iqüt, Mu'gam,
p. 298-308 = versio, p. 208-215 (lettre de_Théodore:à Paul); textus, p. 308-334 IV, p. 16.
= versio, p. 215-233 (réponse de Paul). (5) E. HoNIGMANN, Die Ostgrenze des byzantinischen Reiclœ3, Bruxelles 1935,
(2) Inscription de Dendur, publiée par Eugène REviLLOUT, Mémoire sur p. 22, n. 3.
Blemmyes, à propos d'une inscription copte trouvée à Dendur, dans Mt!molf~%1 (6) Lives of the Eastern Saints, éd. BROOI<s, dans la Patrol. Orient., t. XVII,
présentés à l' Acad. des inscr. et belles-lettres, 1• série, t. VIII, 2• part., Hi74, p. 229.
p. 371-445 (surtout pp. 878-382). Cf. CABROL, Dictionn., t. III col. 2881 sq. lt t\, (7) LJ ovva{3tç OU LJ avov {3tç, en syriaque DWNBYS.
Wallis BuDGE, The Egyptia.n Sûddn, ils history a.nd monuments, t. II, London, (8) K. MüLLENHOFF, Donau, Dunavb, Dunaj, dans Deuische Altertumskunde1
1907, p. 297. t. II, pp. 362-371 (Anhang 13). J. MARQUART, Osteurop. und ostasiat. Streif-
BYZANTION COMPTES RENDUS 625

VI, 26, p. 250, 21 sq. iuxta fluvium qui vocaiur de Beilh wsv Enfin, il est regrettable que, dans les traductions de BROOKS
castra posuerunt. Il s'agit du fleuve de Bebase ou -rà Bt{Jaç, l'actuel et d'autres savants, on cherche en vain à savoir si des adjectifs
Tell Bes (1). comme i llustrious, glori ou s, etc .. sont les équivalents de::. termes
VI, ::>0, p. 2:i5, 1:) magnum sprdlwrium; sur l'origine du proto- techniques de illuslris (l).J.ovargwç), gloriosus (èvoo~ô-raroç) etc.,
spathariat voir STEIN, Siudien, p. 116, n. 10. ou simplement des épithètes honorifiques sans caractère tech-
VI, 32, p. 255, 5 sq. lire: quendam cui nomen Callistratus (2) nique (1).
praefeclum praelorio [au lieu de Callisterus( ?) praefeclwn praetoriiJ, E. HoNIGMANN.
voir STEIN, Studi•n, p. 115, n 10
VI, 46, p. 259, 28. Dans les dernières pages, suppléées d'après la
Chronique de Michel le Syrien, nous lisons entre autres choses le Bithyniaca
récit de l'expédition des Avares contre Byzance. A juste titre, CHA-
BOT et BRooKs ont traduit 'DilWPLY\VS par Hadr[ian]opol(eos), en I.
rejetant une des étranges hypothèses de feu J. MARKWART (3) qui,
dans sa traduction allemande de ce passage, avait écrit : << Adr6poli6s A l'époque byzantine, le port de Pylai et les bains vmsms de
(LI égxovç nÔÂswç ?) >>.Cette explication de ce nom était d'autant plus Pythia ont joué un rôle important. Ils méritent bien une mono-
impossible que Jean d'~~phèse a bien connu la forteresse de Der- graphie géographique et historique.
kos (4). M. H. Grégoire avait vu juste, Byzantion X III (1938), p. 278. La station balnéaire nommée jadis IlvOta Oég,ua existe maintenant
VI, 46, p. 260, 23 et 25 Anchialum versus urbem se verlerunt et ad encore sous le nom de Dag Hamam1 ou Coury-les-Bains, à 10 km.
!hermas versus quae ibi sant. Ici aussi, nous aurions écrit Thermas au Sud-Ouest de Yalova; elle a été modernisée sur l'ordre de Kamâl
avec une majuscule; car c'etait une localité indépendante située à Atatürk. M. Arif Müfid lVV.:--;csEL, aidé par plusieurs autres savants
18 km. (12 mill. pass.) d'Anchialos qui, d'ailleurs, est souvent men- européens et turcs (le prof. ScHEDE, DR. ScHNEIDER, R. P. V.
tionnée dans les sources anciennes et médiévales (5). LAURENT, Dr. C. Boscn, Dr. Süheyl ÜNVEn), a entrepris la tâche
d'écrire l'histoire de ces bains d'après les auteurs anciens, byzan-
züge, p. 483, n. 8. Max. FoRsTER, Der Name der Donau, dans Zeitschrift fiir tins et turcs, et de faire connaître les résultats des recherches ar-
slavische Philologie, t. I, 1924, p. 1-24. chéologiques qu'on y a faites récemment (2).
(1) Voir notre Ostgrenze des byz. Reiches, p. 24, n. 4 ; p. 25, n. 9 et 10; p. 37, Le petit livre est écrit en langue turque (pp. 1-44) ; mais une
n. 4.
traduction allemande (pp. 45-80) le rend accessible au grand nom-
(2) Textus, p. 336: Qalistr[at]os.
(3) J. MARQUART, Osteuroptiische u. ostasiat. Strei/züge, p. 482. bre des historiens et archéologues qui ignorent cette langue (3).
(4) DRQws: Patrol. Orient., t. XVII, p. 35, 4; t. XVIII, p. 528, 12. Cf.
A. A. STAl'.IOULES, L1éexot · xév•eov Twv Movoq;vatTwv, dans 0eq.xtxd,
t. v (1934), p. 218-221. (1) Voir les remarques de Th. NoLDEKE dans Abhandl. d. Berlin. Akad. 1887,
(5) Tab. Peut. et Geogr. Rav., p. 187, 15: Aquis calidis. Jordan., Gel., c. p.14 sq. ; ce serait une tâche très utile d'examiner quels mots syriaques corres-
20, § 108. Marcellin. cornes, dans Chron. 1vlin., vol. II, éd. Mo~rMSEN dans pondent à ces termes grecs dans les traductions littéraires des Actes conciliaires
Jvlonum. Germ. Hist., Auct. Ani., t. XI, Berolini 1894, p. 82, 28 (en 447): et de textes semblables; on trouve quelques observations à ce sujet dans G.
Attila rex asque ad Thermopolin infestas advenit. Procope, De aed., III, 7, 20, HoFFMANN, Abhandl. d. kgl. Gesellsch. d. Wiss. zu Goitingen, phil.-hist. KI., N. F.
p. 102, 6. éd. HAURY: :n:?)yat Osep,wv cpvaet vbdn:ov àva{JÀvaTdvovcn. Bd. XV, no 1, Berlin 1917, p. 166, ad 15, 39; p. 168 ad 23, 21; p.171 ad 37,7.
Theophyl. Simok., I, 4, 5, p. 47, 7, éd. DE BooR: TOV TWV Osep,wv vbaTCJJV (2) Yalova ve civarz - Yalova und Umgebung, von Arif Müfid MANSEL,
olxov. Theoph. cont.,VI, 5, p. 400, 4, éd. Bonn: p,éxet 0sep,on6Àsrur;. Annll Istanbul 1936 (Istanbul Müzeleri NP~riyatz XIII).
Comnène, Alexias, X, 2, t. II, p. 62, 4, éd. RErFFERSCHEID: Tà xaÀovp,sva (3) Malgré quelques inconvénients et bien des fautes d'impression, cette
f?JeewL al-Idrisi, Géographie, trad. P. A. JAUBERT, t. II, p. 388; 397: Mighâlt traduction est bien lisible. Mais parfois, elle n'est pas assez exacte pour être
Termeh. Villehardouin, chap. 104, p. 271, éd. W.A.rLLY: la Ferme, ect.; aujour· tout à fait compréhensible ; par ex., p. 53, n. 44 et p. 56, n. 60 du texte alle-
d'hui Buriaz-Bani. mand, on trouve des citations incomplètes où les nollls des auteurs lllanquent,

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