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1. Définition :
La théorie des anticipations rationnelles se plaçant dans le courant néoclassique, J.F Muth, en 1961 mais
surtout Robert Lucas, en 1972, Thomas Sargent et Wallas en 1981, sont élaboré la théorie en évoluant des
anticipations adaptatives aux anticipations rationnelles, elles constituent l’un des fondements de la nouvelles
économie classique ainsi La théorie des anticipations rationnelles est une hypothèse selon laquelle les
prévisions des agents économiques grâce aux informations dont ils disposent sont souvent conformes aux
modèles théoriques expliquant leurs comportements. Bien qu’il puisse subsister une part d’incertitude et
d’erreurs dans la réalisation des comportements économiques, les prises de décision sont toujours optimales,
et elles sont basées sur l’information dont les agents disposent ainsi que sur leurs expériences passées. Cela
suppose également que les agents connaissent le modèle qui régit l’économie, et toutes variables qui le
composent.
II- En quoi repose la nouvelle théorie de l’analyse de la détermination de l’activité économique et des prix
proposé par J.M. Keynes ?
J. M. Keynes rejette, dans la Théorie Générale de l'Emploi, de l'Intérêt et de la Monnaie, cette analyse de la
détermination de l'activité économique et des prix et propose une nouvelle théorie
III- Quels sont les faiblesses de la courbe IS-LM selon les nouveaux keynésiens ?
En premier lieu, ils ne permettraient pas une analyse correcte de l’inflation, et seraient à l’origine des
effets néfastes des politiques de stabilisation adoptées couramment. En second lieu, ils négligeraient le rôle
des banques et des institutions financières dans l’origine des déséquilibres. En troisième lieu, les keynésiens
orthodoxes, en utilisant des modèles d’équilibre, supposeraient implicitement la stabilité du système
économique. De ce fait, le keynésianisme souffrirait de l’illusion du commissaire priseur.