L. K.

JANOURA KEBILI MATHEMATIQUE Mr :AMMAR BOUAJILA

4ème SCIENCES SUJET DE REVISION 2018 - 2019

Suites réelles -- Suite définie par intégrale -- Lecture graphique -- Etudes de fonctions
ln et exponentielle -- Espace --Probabilités --Loi exponentielle -- Equations différentielles
l Statistiques --Nombres complexes
EXERCICE N°1
π
cos x−(− sin x)n cos x
Pour tout entier naturel n ≥ 1 .On pose : Un = ∫0 2 dx
1+sin x
π π
cos x
1°/ Calculer I = ∫02 dx. et U1 =∫02 cos x dx.
1+sin x
π
2°/ a) Montrer que Un+1 − Un = ∫0 (− sin x)n cos x . dx
2

(−1)n
b) En déduire que Un+1 − Un =
n+1
1 1 (−1)n−1
3°/ Montrer par récurrence que ∀ n ≥ 1, Un = 1 − + + ⋯ +
2 3 n
π
4°/ Montrer que ∀ n ≥ 1, |Un − ln 2| ≤ ∫0 (sin x)n . cos x dx
2

5°/ En déduire que la suite (Un ) est convergente et calculer sa limite

6°/ Soient V et W deux suites définies par , ∀ n ≥ 1 : Vn = U2n , Wn = U2n+1
a) Montrer que (Vn ) et ( Wn ) sont adjacentes
b) en déduire alors que que (Vn ) et ( Wn ) convergent vers une même limite
que l'on déterminera
EXERCICE N°2
π
Soit θ ∈ [0, ] et E(θ) l’équation : z² − (3 + i)zeiθ + 2(1 + i)e2iθ = 0
2
1°/ a) Résoudre E(θ), on note z ′ et z " les solutions telles que |z ′ | > |z " |
b) Mettre sous forme exponentielle le nombre z "
2°/ Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormé (O, u ⃗ ) .On considère les
⃗ ,v
points A , B et C d’affixes respectives Z1 = 2eiθ , Z2 = (1 + i)eiθ , Z3 = ieiθ
Dans l'annexe ci-jointe on a placé sur le cercle (C ) de centre et O de rayon 2
le point M d'affixe Z = eiθ
a) Construire les points A et C
b) Vérifier que Z2 = Z + Z3 . Placer alors le point B
c) Déterminer la nature du quadrilatère OMBC
e)Montrer que OABC est un trapèze rectangle l’aire indépendante de θ
π
3°/ dans cette question on prend θ =
6
a) Ecrire Z2 sous forme cartésienne
5π 5π
b) En déduire les valeurs exactes de cos ( ) et sin ( )
6 6

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 EXERCICE N°3

On a représenté ci-dessous ,dans un repère orthonormé les courbes représentatives (C )

et (Γ) une fonction G définie et dérivable sur ]−1, +∞[ et sa fonction dérivé g
* Au voisinage de +∞ , la courbe (Γ) admet une branche parabolique de direction
l'axe des ordonnées alors que la courbe (C) admet une branche parabolique
de direction l'axe des abscisses
* la droite ∆:x= −1 est une asymptote pour le deux courbes ( Γ) et (C )
* La courbe (Γ) admet deux tangentes horizontales l'une au point D d'abscisse α
et l'autre au point E d'abscisse 𝛃 alors que la courbe (C) admet une seule
tangente horizontale au point A d'abscisse 0
* la courbe (C) coupe l'axe des abscisses en deux points B et C d'abscisses
respectives α et 𝛃
PARTIE A

1°/ Montrer en justifiant que ( ) est celle de la fonction G

2°/ Par une lecture graphique
a) Déterminer :

b) déterminer :

c) Dresser le tableau de variation de g et vérifier que g(x) ≤ 1 pour tout x ∈ ]−1, +∞[
3°/ On donne que G(x) = ax − (x + b) ln(x + 1).pour tout x ∈ ]−1, +∞[

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 a) Calculer g(x) et g'(x) en déduire que a=3 et b =2
2x+1
b) Vérifier donc que g(x) = − ln(x + 1) pour tout x ∈ ]−1, +∞[
x+1
4°/ a) Montrer que la courbe (C ) admet un point d’inflexion I d’abscisse 1
b) Ecrire une équation de la tangente (T ) à la courbe (C ) au point I
c) En remarquant que la tangente (T ) passe par le point J (9 , g(1)−2)
Placer les points I et J puis Tracer la tangente (T ) dans le même repère
5°/ a) Montrer que la restriction g1 de g sur I = [0, +∞[ réalise une bijection de I
sur un intervalle J que l’on déterminera
b) Etudier la dérivabilité de g -1 -1
1 à gauche de 1 (g 1 fonction réciproque de g1)
3−2ln2
c) Montrer que g -1 -1
1 et dérivable sur ]−∞ , 1[ puis Calculer (g 1 )′ ( )
2
d) Dresser le tableau de variation de g -1
1
−1
e) Représenter la courbe (C ' ) de g dans le même repère
5°/ Calculer, en fonction de β , l’aire du domaine plan délimité par la courbe (C )
l’axe des abscisses et les droites d’équation respectives x = 0 et x = β
PARTIE B
Soit h la fonction définie sur [0 , +∞ [ par ∶ h(x) = e−x ln(ex + 1) .
et (Ch ) sa courbe représentative
x
1°/ a) Vérifier que h(x) = +e-x ln(e−x + 1) En déduire lim h(x)
ex x→+∞
b) Montrer que h est dérivable sur[0 , +∞ [ et que h'(x) = e−x (g(ex ) − 1))
c) Dresser le tableau de variation de h
d) tracer (Ch ) dans le même repère ( on précisera la demi -tangente en 0)
n
2°/ Soit U la suite définie sur IN* par : Un = ∫1 e−x ln(ex + 1) dx
a) Montrer que la suite U est croissante
b) Montrer que pour tout x ≥ 1 : ex + 1 ≤ e2x
4
c) En déduire que pour tout n ≥ 1 0 ≤ Un ≤ −2(n + 1)e−n +
e
d) En déduire que la suite U est convergente
e) A l'aide d'une intégration par partie Montrer que pour tout sur n ∈ IN*
Un = (e + 1)e−1 ln(e + 1) − ln(e−n + 1) − h(n) puis calculer limite de Un

EXERCICE N°4

Chaque matin un élève se rend à la station pour prendre le bus.

* Lorsque le élève ne rate pas le bus il sera présent à l'école.
* Lorsque l' élève rate le bus il prend un taxi trois fois sur quatre et ainsi il sera présent
, à l'école; et il se rend chez lui une fois sur quatre et ainsi il s'absente à l'école.

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* La probabilité que le élève s'absente à l'école est égale à 0,05.
On note R l'événement:" l'élève rate le bus" et
P l'événement:" l'élève se présente à l'école"
1°/ a) Evaluer p(P) , p(P / R ) et p(P / R).
b) Montrer que p(R) = 0,2.
2°/ Un jour l'élève est présent à l'école,
quelle est la probabilité qu'il est arrivé par taxi?
3°/ l' élève se rend à la station cinq matinées de suite.
Quelle est la probabilité qu'il rate le bus pour la première fois le troisième jour?
4°/ La durée d'attente à la station, exprimée en minutes, est une variable aléatoire X
qui suit une loi exponentielle de paramètre 0,04.
a) Calculer la probabilité que l'élève attend à la station moins de dix minutes.
b) Sachant que l' élève a déjà attendu plus que dix minutes,
quelle est la probabilité qu'il attend au moins cinq minutes de plus?
EXERCICE N°5
Le tableau ci-dessous présente l’évolution du nombre hebdomadaire de visiteurs d'un
site au cours des huit premières semaines suivant sa création.
xi 1 2 3 4 5 6 7 8 xi : rang de la semaine
yi 205 252 327 349 412 423 441 472 yi : nombre de visiteurs

1°/ a) Représenter le nuage de points Mi(xi, yi) dans d’un repère orthogonal,
en prenant pour unités 1 cm pour une semaine sur l’axe des abscisses
et 1 cm pour 50 visiteurs sur l’axe des ordonnées.
b) Déterminer les coordonnées du point moyen G de ce nuage de points, et le
placer dans le repère précédent (on arrondira l’ordonnée du point G à l’unité près).
2°/ a) Déterminer l’équation de la droite de régression de y en x par la méthode des
moindres carrés. Les coefficients a et b seront arrondis à 10-2 prés.
b) Tracer la droite D dans le repère précédent.
c) En utilisant l’ajustement affine précédent, estimer le nombre de visiteurs
lors de la 10ème semaine suivant la création du site.
3°/ On pose z =ln(x).
a) Recopier puis compléter le tableau suivant :
xi 1 2 3 4 5 6 7 8
zi=lnxi 0 0,693
yi 205 252 327 349 412 423 441 472
b) Calculer le coefficient de corrélation  de la série statistique (Z, Y)
c) On admet que l’équation de la droite  d’ajustement affine de y en z,
obtenue par la méthode des moindres carrés, est : y = (133.69)z +(184.29).
En utilisant ce résultat, procéder à une nouvelle estimation du nombre de visiteurs
lors de la 10eme semaine.

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d) A l’aide de ce nouvel ajustement, déterminer le rang de la semaine au cours de laquelle le
nombre prévisible de visiteurs dépassera 600.
4°/ Le temps T ( exprimer en heure) d’une visite d’un visiteur de ce site suit la loi
. exponentielle de paramètre 0.2
a) Calculer la probabilité qu’un visiteur dépasse 1 heure.
b) Sachant qu’un visiteur de ce site a dépassé une heure,
quelle est la probabilité de ne pas dépasser 3 heures ?
c) 10 personnes sont en visite indépendante de ce site. Calculer la probabilité
qu’au moins deux d’entre elles, dépassent une heure de navigation

EXERCICE N°6

U0 = 0
On considère la suite U définie par : {
Un+1 = √1 + ( un )2
1°/ Montrer que la suite U est croissante.
2°/ Montrer que pour tout nIN*, n −1  Un  n .
En déduire la limite de la suite U.
3°/ Pour nIN*, on pose Vn = Un+1 – Un
1 1
a) Montrer que pour tout nIN*,  Vn  .
2U n +1 2U n
b) En déduire la limite de la suit V.
n
1 1 1 1 1
4°/ Soit Sn =  = + + +.......+ où nIN*
k =1 U k
U1 U2 U3 Un

a) Montrer que pour tout nIN*, Sn  n . En déduire la limite de S.

1 1 1 Un
b) Montrer que pour tout nIN* , + Sn  U n  1 + Sn . En déduire la limite de ( )
2 2 2 Sn

EXERCICE N°7
n
1 1 1
 k²
1
I. On considère la suite (Un) définie sur IN* par : Un = =1+ + 2+.......+
k =1
22 3 n2

1°/ Déterminer les quatre premiers termes de la suite (Un).

2°/ Démontrer que la suite (Un) est croissante sur IN*.
1 1 1
3°/a) Montrer que pour tout entier k≥ 2,  − .
k² k − 1 k
b) Montrer que la suite (Un) est majorée par 2. Justifier que la suite (Un) converge.
1 1
II. Soient les suites (Vn) et (Wn) définies sur IN* par Vn = Un + et Wn = Un +
n +1 n
1
1°/ a) Montrer que pour tout entier n ≥ 1, Vn +1 − Vn =
( n + 1) ²(n + 2)
b) En déduire le sens de variations de la suite (Vn).
2°/ Montrer que les suites (Vn) et (Wn) sont adjacentes

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 EXERCICE N°8

L’espace  étant rapporté à un repère orthonormé direct (O , i , j, k) ,

on considère les points : A ( 6,0,0) ; B( 0,6,0) ; C( 0,0,6) et D( -2,-2,-2)
1°/ Déterminer AB  AC .
En déduire qu’une équation cartésienne du plan P=(ABC) est : x+y+z-6=0.
2°/ a) Calculer l’aire du triangle ABC.
b) Calculer le volume du tétraèdre ABCD.
3°/ a) Vérifier que la droite (OD) est perpendiculaire au plan P.
b) Déterminer les coordonnées du point H intersection de la droite (OD) et P.
c) Montrer que (OD) est l’axe du cercle circonscrit au triangle ABC.
4°/ Soit Q le plan médiateur du segment CD
a) Montrer qu’une équation cartésienne de Q est : x+y+4z-6=0
b) Montrer que (OD) coupe Q en un point  dont on déterminera ses coordonnées.
5°/ Soit S l’ensemble des M(x,y,z) de l’espace tels que : x2+y2+z2 -2x -2y-2z -24=0.
a) Montrer que S est une sphère dont on précisera le centre et le rayon.
b) Vérifier que S est la sphère circonscrite au tétraèdre ABCD.
c) Quelle est alors l’intersection de S et P ?
EXERCICE N°9

L'espace E étant rapporté à un repère orthonormé direct ( O,i, j,k ) .

1 1 1
On donne les points A(0,0, ) ; B(1,1,-1) et C( , 1 , - ).
2 2 2
1°/ a) Vérifier que les points A, B et C ne sont pas alignés.
b) Calculer les coordonnées de AB  AC .
c) En déduire l’aire du triangle ABC.
d) Montrer qu’une équation cartésienne du plan P = (ABC) est : 2x+y+2z-1= 0
2°/ Soit  la droite dont une représentation paramétrique
x = 1 + 

est : y =  où   IR
z = 1 − 

Montrer que P et  sont sécants et déterminer leur point d’intersection.
3°/ Soit S= M( x,y,z ) E telque x 2 + y 2 + z2 − 4x + 6y − 3 = 0 
Montrer que S est une sphère dont on déterminera le centre Q et le rayon R.
4°/ Soit Pm le plan dont une équation cartésienne est : 2x + y + 2 z - m = 0 . (m IR )
a) Montrer qu’il existe deux valeurs de m pour lesquelles le plan Pme st tangent à la
sphère S.
b) Déterminer les coordonnées des points d’intersection de S et  .

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 EXERCICE N°10
PARTIE A
Soit la fonction g, définie sur R, par : g(x) = ex(x − 1) + x2.
1°/ a) Montrer que la dérivée de la fonction g sur IR est : g'(x)= x(ex + 2)
b) dresser le tableau de variation de g sur R.
2°/ Montrer que l'équation g(x) = 0 admet une solution α et une seule sur [0, +∞[.
et Montrer que α est dans l'intervalle I =  ;1 .
1
2 
PARTIE B
ex
Soit la fonction f définie sur [0, +∞[ par : f ( x) = .
ex + x
1°/ Montrer que f(x) = x équivaut à g(x) = 0 sur [0, +∞[,
et que, par suite, l'équation f(x) = x admet α pour solution unique sur I.
2°/ a) Calculer la dérivée de f et en déduire le sens de variation de f sur [0, +∞[.
b) Dresser le tableau de variation de f.
c) Construire la courbe représentative (C) de f sur [0, +∞[ dans un repère
orthonormé (unité 2 cm).
On indiquera en particulier les tangentes à (C) aux points d'abscisse 0 et 1.
n PARTIE C
1°/ Montrer que, pour tout x appartenant à I, f(x) appartient à I.
 1
u1 =
2°/ Soit la suite (u n ) nN* définie par  2 pour tout n > 1.
u n = f (u n −1 )

a) Montrer que, pour tout n  N*, u n  I .

1
b) Montrer que, pour tout x  I, f ' ( x)  .
2
c) En appliquant le théorème de l'inégalité des accroissements finis,
1
démontrer que : pour tout n  1, u n −   u n −1 −  .
2
n
1
d) En déduire, par un raisonnement par récurrence, que : pour tout n  N*, u n −    
2
e) En déduire que (un) converge vers α.
f) À priori, combien suffit-il de calculer de termes de la suite pour obtenir une valeur
approchée de α à 10 - 7 près ?
3°/ En utilisant la décroissance de f, montrez que α est compris entre deux termes
consécutifs quelconques de la suite. En déduire un encadrement de α d'amplitude 10 -7.

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 EXERCICE N°11

Le plan est muni d’un repère orthonormé ( O ; i , j ) d’unité 1 cm.

x
−
Soit f la fonction définie par f ( x) = e 2 . cos x représentée ci-dessous.
y

0 x
-4 -2 0 2 4 6 8

-2

-4

x
− 1
1 °/ Montrer que pour tout réel x, on a f ( x) = −e 2 .( cos x + sin x) .
2
2°/a) Résoudre dans IR l’équation f(x)=0.
   , on a. f(x) ≥ 0
b) Montrer que sur  − 2 , 2 

c) Montrer que pour tout réel x, 4f ( x) + 4f ( x) = −5 f ( x) .

/2
3°/ Soit l’intégrale I=

− / 2
f ( x )dx .

1
On considère la fonction F telle que, pour tout réel x, F( x) = −  4f ( x) + 4f ( x)  .
5
a) Sachant que f vérifie (1), montrer que F est une primitive de f.
 
4        4        4 4 − 
b) Etablir que I = −  f  −f  − −  f  −f  −  puis que I=  e +e 4 
5  2   2  5  2   2  5  

c) Interpréter graphiquement ce résultat.

EXERCICE N°12
e− x
On considère l’équation différentielle : ( E) : y '+ 2y = 2 .
1 + 2ex
1°/ Vérifier que la fonction f définie sur IR par f : x e−2 x ln(1 + 2ex ) est solution de (E).
2°/ Montrer que la fonction  est solution de (E) si, et seulement si,  – f est solution .
/ de l’équation différentielle (E’) : y’ + 2y = 0.
3°/ Résoudre (E’) et en déduire les solutions de (E).

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 EXERCICE N°13

PARTIE A : Une équation différentielle

On considère l’équation différentielle : (E) .

On donne une fonction  dérivable sur IR et la fonction f définie sur IR par

1°/ Montrer que f est dérivable sur IR et pour tout réel x,
Exprimer en fonction de f ’(x).
2°/ Déterminer f de sorte que  soit solution de (E) sur IR et vérifie
PARTIE B : Étude d’une fonction
Soit la fonction f définie sur IR par : .
On désigne par C sa courbe représentative dans le plan muni d’un repère orthonormé.
1°/ Dresser le tableau de variations de f .
2°/ Tracer C.

3°/ Pour  réel non nul, on pose I( ) =
 0
f ( x )dx .

a) Donner le signe et une interprétation graphique de I( ) en fonction de  .

b) Exprimer I( ) en fonction de  .
c) Déterminer la limite de I( ) lorsque  tend vers + .
PARTIE C : Étude d’une suite
1 x
On définit sur IN* la suite (un) par : un =
 0
f ( x )en dx , ( On ne cherchera pas à calculer un.)

1°/ a) Donner, pour tout n de IN*, le signe de un.

b) Donner le sens de variation de la suite (un).
c) La suite (un) est-elle convergente ?
1
2°/ a) Montrer que pour tout n de IN*, I1  un  en I1
où I1 =I(1) est l’intégrale de la partie B obtenue pour  égal à 1.
b) En déduire la limite de la suite (un). Donner sa valeur exacte

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 EXERCICE N°14

Une enquête a montré que :

❖ Avant de passer l’épreuve théorique du permis de conduire (c’est-à-dire le
code), 75 % des candidats ont travaillé très sérieusement cette épreuve,
❖ Lorsqu’un candidat a travaillé très sérieusement, il obtient le code dans 80 % des
cas.
❖ Lorsqu’un candidat n’a pas beaucoup travaillé, il n’obtient pas le code dans
70 % des cas. On interroge au hasard un candidat qui vient de passer
l’épreuve théorique.
On note : T l’événement « le candidat a travaillé très sérieusement »
S l’événement « le candidat a réussi le code ».
Les probabilités seront données sous forme décimale, arrondies au millième.

1°/ Traduire les données à l’aide d’un arbre pondéré.

2°/ Calculer la probabilité de l’événement
« le candidat a travaillé très sérieusement et il a obtenu son code»
3°/ Montrer que la probabilité p(R) qu'un candidat réussisse à l'épreuve théorique
est égale à 0,675.
4°/ Le candidat interrogé vient d'échouer.
Quelle est la probabilité qu’il ait travaillé très sérieusement ?

5°/ A la sortie de l’épreuve, on interroge au hasard et de façon

indépendante 3 candidats (on suppose que ce choix peut être assimilé à un
tirage successif avec remise). Calculer la probabilité p3 d’interroger au
moins une personne ayant échoué à l’épreuve.
6°/ On interroge désormais au hasard et de façon indépendante n candidats.
Quelle est la probabilité pn d’interroger au moins une personne ayant échoué à
l’épreuve ?

A partir de combien de candidats on a-t-pn “ 0, 999 ?

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EXERCICE N°2

EXERCICE N°5

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