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Le Cardinal Pell, bras droit du Pape, reconnu

coupable d’abus sexuels sur mineurs


0 20 décembre 2018 9 h 42 min par Chercheurs de Vérités

Depuis combien de temps les activistes sensibilisent-ils les gens sur la maltraitance rituelle des enfants au
Vatican et dans ses Églises catholiques du monde entier ? Combien de fois des fonctionnaires de ce domaine
ont-ils été accusés ? Combien de fois ont-ils été condamnés ? Combien d’autres personnes de haut rang du
Vatican devront être révélées pour que ce genre d’activité cesse ? Ce n’est pas qu’au Vatican, c’est un
problème qui se répercute vers le bas.

Par exemple, voici l’histoire d’une affaire récente qui a rouvert en Floride, au sujet du milliardaire Jeffrey
Epstein, et de son ami, le Prince Andrew de la Famille Royale. Hillary Clinton a été impliquée dans des
crimes contre les enfants, et a également été interpellée pour son lien (et celui de Bill) avec Epstein, qui
consiste à “s’engager dans des relations sexuelles avec des mineurs”. Pour en savoir plus à ce sujet, cliquez
ici.

Le cardinal George Pell


En ce qui concerne le Vatican, l’exemple le plus récent est celui du cardinal George Pell. Pell vient d’être
condamné pour cinq chefs d’accusation d’abus sexuel sur mineur. Il est maintenant le plus haut dignitaire
jamais reconnu coupable, en tant que conseiller du Pape Benoît XVI, ainsi que du Pape François. C’est l’un
des plus hauts responsables du Vatican.

Après que M. Pell ait été déclaré coupable, le juge a ordonné à tous les médias australiens de s’abstenir d’en
parler dans les médias. Il s’agit d’un autre exemple classique de censure des médias, car ils voulaient faire
prendre conscience de la reconnaissance de culpabilité de Pell.

Apparemment, les tribunaux australiens imposent ce genre d’ordonnance pour “soustraire” les défendeurs à
une publicité négative, qui pourrait nuire aux futurs jurés dans d’autres procès. C’est peut-être vrai, mais
cela semble étrange étant donné la couverture médiatique étendue qui a précédé le procès, alors pourquoi ne
pas jeter un coup d’œil sur les résultats ?
Malgré les efforts de la Cour, Internet est tout simplement trop fort, et cette histoire s’est répandue dans le
monde entier. Internet est l’une des raisons pour lesquelles les choses changent si rapidement, et de plus en
plus de gens prennent conscience de choses dont ils n’avaient pas connaissance par le passé.

Conformité des médias grand public


Les médias d’autres pays que l’Australie se sont également conformés à l’ordre de dissimuler ce secret, soi-
disant parce qu’ils craignaient que leurs rédacteurs ne soient passibles de poursuites pénales pour outrage à
la cour. Cela n’a rien d’étonnant : les médias grand public mondiaux appartiennent au même petit groupe de
personnes qui semblent paniquer devant la popularité des médias indépendants et alternatifs.

Le New York Times en est un parfait exemple. Ils n’ont fait aucune mention de la condamnation de Pell, et
c’était un média qui a beaucoup couvert les allégations contre lui. Peut-être que les médias grand public ne
voulaient partager les résultats que s’il était trouvé “non coupable” ? L’article le plus récent du Times à ce
sujet, rapporté par le Washington Post et daté de mercredi, disait que le Vatican avait destitué Pell et un autre
cardinal d’un ensemble de conseillers choisis par le pape François, et que Pell avait été “impliqué” dans une
affaire de maltraitance sexuelle. Mais il n’a pas fait état de l’issue de cette affaire.

Ce n’est que la pointe de l’iceberg


Lorsqu’il est question de ce genre de crimes, ce dont Pell a été reconnu coupable n’est très probablement
que la pointe de l’iceberg. Nous parlons d’un homme qui a fait partie d’un conglomérat d’élites représentant
publiquement le Vatican. Il n’est pas exagéré de supposer que tous les plus hauts responsables, y compris le
Pape, participent à ce type d’activité. Si c’est le cas, comment cela va-t-il s’arrêter quand ceux qui sont
chargés de gérer le problème seront eux-mêmes impliqués ? C’est exactement comme ça que ce genre de
chose fonctionne.

En fait, en 2015, un avocat du nom d’Ulrich Weber a découvert que pendant les trente ans de règne d’un
chœur de garçons dirigé par le frère aîné de Benoît XVI, environ 600 garçons “très crédibles” ont subi des
violences sexuelles et physiques, ou les deux, pendant les trente ans de son règne. Le rapport identifie 500
cas d’abus physiques et 67 cas d’abus sexuels commis par un total de 49 personnes en position de pouvoir
dans l’église. (source)

Il y a quelques mois à peine, Carlo Maria Vigano, ancien nonce apostolique aux États-Unis et Secrétaire
général du Gouverneur de la Cité du Vatican, a impliqué de multiples responsables religieux, dont le pape
François, dans des abus sexuels. Pour en savoir plus à ce sujet, cliquez ici.

Alors, où sont les forces de l’ordre dans tout ça ? Le fait est que les organismes d’application de la loi font
ce qu’on leur dit, et ne détiennent pas de véritable pouvoir dans le monde.

Comment cela est-il possible ?


Ceux qui se livrent à de telles activités ont souvent subi le même sort. Dans bien des cas, c’est quelque chose
dans lequel les agresseurs eux-mêmes sont nés, et c’est pourquoi ce groupe au sommet de la pyramide est si
uni, comme une famille. Pour beaucoup d’entre eux, leurs actions ne sont ni immorales ni erronées. Pour
eux, quand ils étaient enfants, c’est devenu normal. Ceux qui remettent en question leurs actions doivent
craindre de se manifester parce qu’ils ne comprennent pas bien le problème, qu’ils ne comprennent pas sa
gravité, et qu’ils risquent d’être victimes de persécutions et de jugements excessifs.

Existe aussi la problématique du satanisme pratiqué au Vatican, une institution qui se consacre à “Dieu”
uniquement en apparence. Le satanisme et l’abus rituel perpétrés sur des enfants vont de pair. Ce qui est
exposé en public est rarement le pire ; cela va bien au-delà de la pédophilie et des abus sexuels, il est plus
question de torture et de meurtre. La magie cérémonielle, la sorcellerie et bien d’autres choses encore sont
toutes pratiquées et sont une source de pouvoir et d’énergie chez certaines personnes très puissantes.
Malachi Martin, prêtre catholique irlandais et écrivain au sujet de l’Église catholique, a été ordonné prêtre
jésuite et est devenu professeur de paléographie à l’Institut biblique pontifical du Vatican. Il a fait part de ces
idées dans son livre The Keys of This Blood :

“Le plus effrayant pour [le Pape] Jean Paul [II], c’est qu’il s’était heurté à la présence inamovible d’une
force maléfique dans son propre Vatican et dans certaines chancelleries épiscopales. C’est ce que les
hommes d’Eglise bien informés appelaient la ‘superforce’. Des rumeurs, toujours difficiles à vérifier, lient
son installation au début du règne du pape Paul VI en 1963. En effet, Paul avait fait allusion sombrement à
“la fumée de Satan qui est entrée dans le Sanctuaire”… Une référence oblique à une cérémonie
d’intronisation par les satanistes du Vatican. Par ailleurs, l’incidence de la pédophilie satanique – rites et
pratiques – était déjà documentée chez certains évêques et prêtres dans des endroits aussi distants que Turin,
en Italie, et en Caroline du Sud, aux États-Unis. Les actes cultuels de la pédophilie satanique sont considérés
par les professionnels comme l’aboutissement des rites de l’Archange déchu.”

A plusieurs reprises, il a parlé du satanisme comme étant la pratique prédominante au Vatican. Il n’était pas
la seule personne en interne à parler de cette pratique au Vatican.

Ce qu’il faut retenir


Les abus pédosexuels sont exposés dans tous les domaines, de la politique à la finance, en passant par la
famille royale jusqu’au Vatican. Nous sommes faits pour idolâtrer et vénérer les papes, les présidents, les
politiciens et les célébrités qui se livrent secrètement à de telles activités, mais avec des événements aussi
révolutionnaires que la condamnation du cardinal George Pell, il semble que les gens s’éveillent à ce qui se
passe vraiment.

C’est une étape importante dans l’éveil de notre conscience. Ça s’appelle briser l’illusion.

[Note Chercheurs de Vérités : Cette inculpation est sans précédent. George Pell était publiquement connu
pour son rôle au Vatican, mais il était également en secret contrôleur de la plupart des chefs d’Etat. En
effet, lorsqu’un chef d’Etat entre en fonction, un émissaire du Vatican lui rend visite, pour lui proposer
(comme dans le film Le Parrain) une offre qu’il ne peut pas refuser (jusqu’à 1 milliard de dollars). Et s’il la
refuse, comme c’est le cas dans Le Parrain, vous connaissez la suite…
La mise hors d’état de nuire du Cardinal Pell est donc un pas de plus vers un nouveau système financier
quantique, basé sur la loi GESARA. Ceux qui demandent des preuves qu’un changement majeur est en cours
commencent en disposent à présent.]

Par Arjun Walia, Collective-Evolution

Traduit par Chercheurs de Vérités

http://www.chercheursdeverites.com/le-cardinal-pell-bras-droit-du-pape-reconnu-coupable-dabus-sexuels-sur-
mineurs/

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