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THESE
présentée par
Sciences de l’information
Président du Jury
M. LE COADIC Yves Professeur
Membres
M. DOU Henri Professeur
M. DUMAS Phillipe Professeur
Mme. HASSANALY Professeur
M. QUONIAM Luc Maître de conférence
Mme. VARGAS Lilia Professeur
Je tiens à remercier Henri Dou pour toute la confiance bien voulu m’accorder.
Je lui suis reconnaissant de ses enseignements, de son accueil et de son soutien qu’il m’a
toujours apporté dans un grand esprit d’ouverture et d’impartialité.
Je suis très reconnaissant envers Mme. Hassanaly qui, depuis toujours, m’a
vivement encourage dans la démarche intellectuelle empruntée; son suivi attentif et intéressé,
à chaque étape de la progression de mes idées, m’a permis de clarifier celles-ci grâce à notre
cohésion de pensée.
Que les membres du jury soient assurés de toute ma gratitude pour m’avoir fait l’honneur
d’évaluer mon travail, en particulier Y. Le Coadic, Mme. L.Vargas et M. P.Dumas.
Qu’il me soit permis de remercier aussi ces amis rencontrés et appréciés, toi surtout
Michel, durant mon séjour en France, qui ont constitué une famille de remplacement celle
laissée au Brésil. Comment ne pas évoquer mon père, décédé récemment, et à qui je
mes travaux, sans oublier une autre personne chère, mon qui nous a quitté
également.
Enfin, durant cette période de ma vie, pas toujours facile, malgré les aides et les
soutiens que j’ai reçus, vous m’avez tous apporté votre amour, la motivation par votre joie de
vivre, sans regrets, et l’équilibre nécessaire à la réalisation de mon travail
. toi maman,
. pour tout.
Merci encore
INTRODUCTION
BIBLIOGRAPHIE 218
ANNEXES 237
11.2.4.2. La recherche de l’information pertinente 5
11.2.4.3 . La recherche de l’information stratégique..
X2.4.4. Les freins à l’utilisation des Systèmes d’Information Industrielle..
11.2.4.5. Couverture et spécificités des Systèmes d’Information Industrielle
11.25. LES PARTENARIATS LES DISPOSITIFS TECHNIQUES
Les Réseaux Commerciaux
Le Réseau INTERNET.. .................................................................................1 22
LA METHODE................................ ...........................................................................176
PRINCIPE DE L’ANALYSE FONCTIONNELLE
Fonction “service rendu” et brevet
111.2.1.2. La démarche de Fonctionnelle. 179
III.2.2. L’OUTIL DE MEDIATION ENTRE L’OFFRE ET LA DEMANDE
D’INFORMATION .........
La production de l’information solvable
111.2.2.2. Présentation de cas 189
III.2.2.2.1. Cas 1 classement du brevet ..................................................191
III.2.2.2.2. Cas 2 Les brevets Notation X ............................................................. 0
lIl.3. DISCUSSION CONCLUSION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . îðì
V. BIBLIOGRAPHIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 218
Liste des Tableaux
iv
Tableau 29 : Etude de technique de procédé de production de la pâte à papier..
Tableau 30 Extrait de la base créée sous ................
Tableau 3 Les 3 domaines d’action du procédé “blanchiment”
Tableau 32 Mots significatifs trouvés dans le corpus, résultat de la requête avec mot
“weighing”. . . . . . . . . . . . . . . . . , . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . , . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
INTRODUCTION
INTRODUCTION
C’est depuis longtemps déjà une évidence que les volumes d’informations
vont croissant, et que, parallèlement, la masse d’informations à consulter pour
trouver une information pertinente va en augmenter.
2
Autre les deux principes évoqués ci-dessus, il faut, pour augmenter le taux
de pertinence d’une masse d’information, y introduire la dimension de service
qui va mettre en relation deux espaces de valeur.
Pour illustrer notre raisonnement, cette thèse est divisée en trois parties:
3
Dans une conjoncture économique ½±³°´»¨»ô comme la nôtre,
l’information stratégique dans la gestion de l’entreprise repose essentiellement
sur une bonne connaissance du terrain. C’est pourquoi la moiti6 presque de ce
chapitre concerne l’étude de la globalisation du marche, du développement
stratégique, de la communication, du client, des flux d’informations et des
Facteurs Critiques de Succès, qui sont les principaux paradigmes dans la
nouvelle gestion de l’innovation dans l’entreprise.
Outre, les considérations sur les différents plans où les signaux faibles se
manifestent en premier, la filière et la typologie des Systèmes d’Information
Industrielle, les sources informeltes et textuelles, nous présentons déjà, dans
cette partie de la thèse, quelques éléments de fond de notre méthodologie, tels
que Une réflexion sur la loi de totka appliquée au degré d’exactitude d’une
question posée et aussi, une proposition de formulation pour une question en
analogie à la construction d’une phrase, contenant : le sujet et le verbe.
mise en de de valeurs
Toutes ces démarches sont illustrées par des cas réels provenant de nos
expériences sur le terrain, dans des activités de prestations professionnelles
des services d’information au Brésil, mais aussi, à partir d’activités de
recherches fondamentales au Centre de Recherche de Marseille
(CRRM).
6
PARTIE
POSITIONNEMENT DU PROBLEME
VERS
Ces phénomènes sont d’une ampleur telle, que leur évolution ne peut plus
être maîtrisée dans le cadre des organisations classiques. Cela va provoquer
une crise de confiance profonde dans les outils de planification auxquels il était
volontiers attribué la capacité de maîtriser l’avenir.
8
Après la Seconde Guerre Mondiale, l’accroissement marché, fortement
par la demande, fa croissance économique et le développement rapide
de nouveaux marchés entraînent l’apparition de nouvelles variables en nombre
croissant. Les systèmes d’analyse et de prise de décisions stratégiques se font
plus complexes, ce qui exigera de la part des entreprises une plus grande
attention à de leur environnement. Désormais, fa planification devient
une méthode de travail à part entière, solidement ancrée dans plupart des
grandes entreprises
Pour faire face à ces derniers éléments, les décideurs sont d’ores et déjà
confrontés à des choix stratégiques concernant le développement de nouvelles
technologies et de nouveaux produits, la pénétration de nouveaux marchés, les
divers modes de croissance, allant même jusqu’à l’internationalisation.
ïð
système prendra en compte non seulement la connaissance des possibilités
d’expansion des activités existantes, mais aussi celle des changements en
cours La planification de l’entreprise sera désormais découpée en deux
volets
II est important de signaler que ce modèle met l’accent sur les différentes
tâches à accomplir. Précisons que, la planification stratégique requiert la
participation d’un nombre restreint de hauts dirigeants, alors que la planification
opérationnelle concerne tous les responsables des départements et services de
l’entreprise. Non seulement le niveau des connaissances à apporter aux
décideurs et leur adéquation aux besoins deviendra plus complexe, mais il
faudra introduire le concept de connaissances à deux vitesses la planification
stratégique a une orientation plus qualitative que la planification opérationnelle.
ïï
Cette pratique de planification différenciée, qui permettra une réflexion
approfondie sur les domaines véritablement stratégiques, va, à la fin des
années soixante, s’appuyer sur des outils spécifiques d’analyse. Les
du type “analyse de portefeuille d’activités”, développées en particulier les
consultants américains (Boston Consulting Arthur
proposent des démarches et des langages communs qui forment une
base de réflexion et de négociation pour les responsables impliqués dans le
processus de planification stratégique.
12
Figure 1 matrice stratégique du
ATTRAITS besoins
du financiers
faible
faible
part de relative
13
Ceci étant, il est logique de penser que le rapport entre les productions
cumulées de deux concurrents est le même que leurs parts du marché. II
donc judicieux d’apprécier par la mesure des parts du marché l’avantage
réciproque possible entre deux concurrents en termes de coûts unitaires de
production. C’est là, le principe de la représentation BCG.
Des réserves bien justifiées lui ont toutefois été objectées. L’effet
ne se fait guère sentir dans des secteurs de production à forte
composante technologique. En utilisant comme d’atout le positionnement
exprimé en termes de parts relatives du marché par rapport au concurrent le
mieux place, la représentation BCG ne met en évidence que positionnement
actuel; en utilisant comme critère d’attrait un taux de croissance
moyen, elle n’introduit aucune anticipation sur son évolution future. Elle
photographie, dans un environnement stable, une situation acquise
grâce l’effet d’une expérience
14
homogènes n’offre guère, en effet, de structures d’accueil favorables à une
réflexion inter-segments d’où peuvent émerger des innovations technologiques
ou des voies de diversification
16
D’abord, II convient de préciser que l’évolution retracée précédemment est
schématique et synthétique. En effet, cette esquisse se place dans le but précis
de souligner le rôle et l’utilisation de l’information pour la prise de décision
stratégique dans l’entreprise; pour cela, nous souhaitons évoquer F.Jakobiak,
qui, dans son ouvrage Maîtriser l’Information Critique, Chapitre 6, a écrit
Pour que ces outils soient adaptes et de bonne il est donc indispensable,
pour mieux poser le et pouvoir le d’examiner successivement
ïè
domaine des échanges économiques. Nous reviendrons sur ces raisons dans
cet exposé, la page 52, “La pensée client”.
*situation d’urgence
*situation de non-urgence.
20
Figure 2 des signaux faibtes et anticipation
Importance
A et amplitude
de des slgnaux
et d’autonomie
LIBERTE
.
Temps
Le à est
Les entreprises qui n’ont pas cette maîtrise. Pour les entreprises
qui n’ont pas composant d’incitation à l’insertion dans Je processus
de décision le temps est toujours bref par rapport aux besoins de
21
collecte et de traitement de l’information. Sur le graphique, Figure 01,
entreprises seront toujours susceptibles d’être menacées. Pour
les remplacer sur leur position stratégique il suffira que quelqu’un
d’autre maîtrise les changements de l’environnement.
ii. Les entreprises qui ont cette maîtrise. Avoir la maîtrise est
maintenant le seul archétype à suivre pour une entreprise qui veut
prendre des initiatives, innover, investir, embaucher, se montrer
compétitive et vendre C’est dans ce cadre, qu’une course
effrénée pour la domination de l’environnement concurrentiel va se
jouer Les entreprises qui n’utilisent pas le temps dont elles
pourraient disposer, seront obligées de s’adapter. C’est le cas des
entreprises qui ont perdu la course de la bonne information au bon
moment, en n’ayant pas perçu en temps les signaux faibles.
De plus en plus, l’entreprise qui gagne est celle qui surpasse les autres
par sa vitesse de réaction et sa couverture du terrain de la compétition
économique. De nos jours, ce terrain est représenté par le monde entier, dès la
création d’une société. Nous assistons donc à un double phénomène
d’accélération des événements et de dilatation de l’espace. Cette augmentation
22
de la vitesse ¼» réaction doit être nourrie par une toujours plus
précise et opérationnelle . Aux Ciments Français, par exemple, Bruno Martinet
fait en sorte que son entreprise ne prenne aucun retard par méconnaissance
d’une nouvelle technologie ou de la montée en puissance d’un concurrent. Son
métier est aussi d’établir des circuits d’information hors hiérarchie, qui
permettent à l’information de circuler et rapidement
23
3 La d’hier et de demain. l’Oréal
Demain, de
En réseau
Hier, industrielle
Tournée vers le monde
Hiérarchique
Démocratique
Bureautique
Evolutive
Autocratique
Mobile et Flexible
Etablie
Orientée vers le service
Figée
Atomisée
Orientées vers le produit
Concentrée
24
son environnement pour réaliser ses ambitions peut être schématisée par la
Figure 4.
Menace
de nouveaux
concurrents
Menace d’arrivée
25
premières, se sont structurées pour profiter de performante de
l’environnement concurrentiel
27
Analyse et évolution de l’environnement : cette phase, non
décisionnelle, est grande consommatrii d’informations
Suivi de la réalisation.
28
En rappelant que l’organisation de la démarche de la société s’oriente
délibérément vers l’information de la décision stratégique (informations qui
exhortent aux décisions importantes), l’action dépasse le seul champ de la
technologie pour la chaîne conduisant de la recherche à la production et
au marché Ainsi, en amont, elle prend en compte les données scientifiques
(recherches en laboratoire) et les données techniques contenues
essentiellement dans les brevets. En aval, elle intègre les données
économiques (capacités installées, capacités de production....), de même que
celles relatives aux marchés. La Figure 5, d’après H. Rostaing représente les
différents types d’information, axés sur la démarche “Veille Technologique”.
d’après H.Rostaing
30
Figure 6 Synoptique de la Veille Technologique
DECISION
POLITIQUE GENERALE
D’ENTREPRISE
F.C.S. SYNTHESE
précision des signaux
éléments à significatifs
surveiller
Facteurs Critiques
* F.C.S. (voir Les facteurs critiques de succès, page 65)
31
rigoureuse, conduit à l’élargissement du de la Veille, bien
au-delà du strict domaine technologique.
32
la compétitivité de l’entreprise. II est clair, qu’au sein d’une société, nous allons
dorénavant vers une gestion réellement collective de l’information, et, dans un
avenir prochain, vers une mesure du type “benchmarking”
ES DANS LA DE
TECHNOLOGIQUE
33
plus récemment, l’inflation et le chômage définitivement remis
l’entreprise sur le devant de la scène et personne aujourd’hui
n’envisage qu’elle puisse vivre fermée sur elle-même, sous peine de
disparition.
34
A la base, l’entreprise désireuse de mettre en place une structure globale
devra faire la preuve de sa capacité de solvabilité mais surtout, d’une intention
crédible. Cette caractéristique est l’apanage des entreprises pleines de
dynamisme, mécontentes des limites restrictives de leur marché interne, par
rapport à leurs capacités potentielles de gestion et de savoir-faire Nestlé
s’est développe l’exportation à cause de l’étroitesse du marché local. La fusion
du Suédois Asea et du Suisse Brown Boveri a donné naissance au premier
constructeur mondial d’équipement électrique. Aucune de ces deux sociétés n’a
bénéficié, au départ, d’un marché intérieur puissant ou d’un programme massif
de commandes publiques comme tremplin à son développement international
35
La capacité potentielle de savoir-faire se traduit par le de
développement technologique nécessaire l’internationalisation de la
production, en particulier, l’approvisionnement global des composants
fondamentaux à manufacture, par exemple, ceux de la science et de la
technologie développées dans des pays où elle s’installe. Certes, une stratégie
globale se caractérise, notamment, par un niveau élevé d’investissement à
l’étranger. Ceci n’est possible que pour les entreprises susceptibles de
surmonter la contrainte de l’adaptation technologique, étant donné les lourdes
charges induites par les R&D
Une étude portant sur dix mille notices d’alliances rassemblées dans la
base de données data a signalé un accroissement de 50% pour
la période 80-84 et de plus de 50% pour la période 85-89 Le Tableau issu
36
de cette étude, présente les 15 entreprises multinationales ayant effectué le
plus grand en nombre d’alliances au cours des années 80.
37
Contreirement aux mouvements d’internationalisation de la
production, depuis le début de alors que les critères de choix étaient
basés sur les composants de la demande (grands marchés ou marchés à
pouvoir d’achat protégés), ce qui attire désormais l’attention des entreprises
vers la globalisation de la production sont les composants de l’offre. En effet,
dans cette nouvelle vague de globalisation, les entreprises préfèrent souvent les
pays disposant d’une technologie, d’une main-d’oeuvre qualifiée et d’une
infrastructure de production, d’exportation et d’innovation
LE DEVELOPPEMENT TECHNOLOGIQUE
38
Boeing et Douglas, parce qu’il avait tout misé sur le turbopropulseur plutôt que
sur le turboréacteur General RCA et Sylvania, leaders de l’industrie
des amplificateurs à lampes dans les années cinquante, se sont fait dépasser
par des entreprises de taille plus petite à l’époque comme Texas Instruments,
Fairchild Motorola, qui maîtrisaient une technologie beaucoup plus
performante, celle des transistors
Selon les études de M. Porter, sur les cinq forces qui commandent la
concurrence dans un secteur, pour les entreprises qui entendent réaliser leurs
ambitions (Figure 4, page 25 l’impact de l’évolution de la technologie se
produit soit à l’intérieur du secteur, soit dans des secteurs distincts
Exemple 1 En réduisant le coût des composants ainsi que leur encombrement, en accroissant
leurs performances, les de la favorisent leur diffusion
toujours plus large dans les produits grand public, créant ainsi un potentiel de
croissance très important pour l’industrie des semi-conducteurs, comme pour leurs
secteurs en aval (vidéo, hi-fi, micro-informatique, etc.)
Un avantage de coût
Une source de différenciation,
40
multiplication des lieux d’accumulation de l’information- (grands centres de
recherche’ scientifique) d’autre part, ont rendu toujours plus complexe les
procédures de repérage et de description du contenu des réserves
d’information.
Depuis le milieu des années 60, l’informatique est venue apporter des
solutions satisfaisantes à ces problèmes : les ordinateurs répondaient bien au
besoin de stockage et à la recherche rapide des références documentaires
tandis que la capacité toujours croissante des mémoires permettait de faire face
à la prolifération des documents. Ce sont les producteurs mondiaux de bulletins
signalétiques et les gestionnaires des grands centres de documentation qui ont
mis à profit ces possibilités de l’informatique, et ont fait en sorte que, dès le
début des années soixante-dix, existent, disséminés, d’importants fonds
documentaires informatisés
02
sont donc vu ouvrir l’accès à de nombreux fonds documentaires réservés
jusque-là à l’usage interne il y a, environ 15 ans, une industrie est née
Le Videotex
83
de fourniture, de transport et de consultation de données) le vidéotex permet
l’utilisateur de dialoguer avec un système informatique en ligne
Le CD-ROM
85
obtenir. II faut donc l’amener à préciser l’objet de sa demande, et l’utilisation qu’il
compte faire des informations qu’on lui fournira.
86
Industrielle, ce sont actions de communications, d’expertise et de
traduction, visant assurer meilleure entre la demande
verbalisée et les ressources les susceptibles de
87
Processus fondamental de prises de décision, la d’obtenir, de
plus en plus rapidement, des renseignements stratégiques, à partir de quantités
d’informations en constante augmentation, ne peut s’envisager sans une aide
informatisée. C’est par cette synergie que nous pourrons obtenir une infonnation
élaborée, dynamique, voire stratégique, lorsque celle-ci aura été validée par
l’avis d’experts compétents.
88
La est une notion connue depuis longtemps. Ce terme,
employé depuis 1923, a été par Pristchard dés 1969. une
publication, cette définition abrite deux notions
Y Nombre
ayant une
x
X des
n’est pas dans notre but de dresser une liste des analyses de leurs
caractéristiques ou de leurs contraintes. Plusieurs travaux existent et au niveau
appliqué nous pouvons citer la thèse de (Systèmes de surveillance systématiques
pour le management stratégique de l’entreprise : Le traitement de l’information brevet de
t’information documentaire l’information Université de Droit, et des
Sciences Faculté des Sciences et Techniques de
Tableau 10 Référence bibliographique extraite de la base de données
sur
Champ Contenu du champ
S
BLEACH PAPER PULP ENHANCE BRIGHT SODIUM SULPHITE
BOROHYDRIDE
Bleaching pulps to brightness using sodium
then borohydride
DC
MC
D2 1 D2 1 C-00911 0
PA (MORN ) INT INC
IN MEYERS P, WANG DLK, WANG DL
NP 3
NC
PN 93.12.19 9410 E
93.12.20 9410) D21 -009 10 93.12.19 (9410)
C-005 02
PR
AP 93.06.15
APL
LA E
CT 1 EP-374057 FR1401 122 SU-536271 US3264263
AN 0
AB Paper is bleached by treating with sodium
II) then sodium dnde (Ill Pref. (Ill) is a
Total oY Ill) ad ed to is 0.01-0.1
wt. of oven (OD) orres amt. of Il is
HÇOOH, citnc or is a8ded a er addn. of II).
is a deinked newspaper pulp. E ect
of (II) and (Ill) on rightness of prod. is synergistic. Treatment
brightness and reduces content of chromophores in
çï
le premier rang de fréquences, nous trouvons les mots ‘qui représentent les
actions principales dans le processus de la production de la pâte à papier,
ensuite, sur un seuil intermédiaire de fréquence, soit les matières premières les
plus utilisées (paper, wood), soit les procédés complémentaires (réduction en
pâte des matières contenant de la cellulose avec des composés, soit au sulfate,
soit au sulfite; blanchiment avec l’oxygène; traitement de déchets industriels...).
Enfin, à très faible fréquence, les mots qui représentent, soit des processus
émergents, soit des matières premières d’utilisation restreinte, ou spéciales, et
aussi des applications, tel que, le “Tobacco”.
v
FIBRE 3 V EGE TAB LE CYANURIC
PEROXIDE 3 LARCH 1 CRAFT
21 HYDROGEN 2 1 COLOUR
20 CHLORINE 2 PACK 1 CHLORO
C A R BOXYLIC
CANE
ne Pulp 212
104
Alkaline 97
Cellulose 92
Cette représentation est une loi vérifiée et donc, nous aurons toujours
cette distribution, selon ce principe, qui permettra de vérifier la pertinence du
sujet.
er des
thèmes oui un bon de avec demande
de la la formulation de la de : le
seul moyen susceptible d’assurer, au entre
l’expression du besoin et les de la recherche disponlbles dans
la base.
A (and)
A (OR)
Ce fait indique que, bien que nous ayons une action commune (le
blanchiment), cela ne veut pas dire que tous les éléments de cette action soient
communs. II est en effet évident que les matières premières, les procédés, les
équipements et les techniques relatifs à l’activité de blanchiment de la pâte à
papier n’ont rien de commun avec l’action du blanchiment dans le domaine de la
photographie. Une analyse plus détaillée des résultats présentés par le Tableau
12 confirme ce constat.
ïðð
Le Tableau 13 présente les résultats de l’étude de corrélation entre le mots du
champ TI dans le thème de production de la pâte à papier.
Tableau 13 de
ðôîèè
óðôíéð
óðôíéð
ðòíëç complexina treatina
de-inking
ê ðôéìê ions metal
ê ðôîëê liquor prodn
ë ðôìîç liquor recovery
é ðôìëè liquor sulphur
é liauor waste
ïè used
ê ðôîèë paper useful
ê ðôíîç peroxide alkaline
5 ðòíéê oeroxide comolexina
ë oeroxide
ïï ðôêðì peroxide hydroqen
ë ðôííç peroxide
ïçê 0,661
5 ðôíðë recovering used
6 0.565 xvlanase
Dans cette étude, nous trouvons le thème principal; «production de la
pâte», avec le plus haut coefficient de corrélation. Les autres thèmes porteurs
du domaine sont distribués de façon uniforme et, ce qui est important, sans
coefficient de opposé. Ceci montre bien que l’équation logique
(PULP ET D 21 C) répond à question en privilégiant le processus de
ïðï
production de la pâte à papier. Nous trouvons aussi des matières premières,
comme «papier ou le procédé de blanchiment de la pâte avec de
l’ozone, et, ainsi de suite.
102
ta recherche de l’information stratégique
104
notre sujet d’étude, par le biais des experts. Cette méthodologie obéit en fait au
principe de ne jamais arriver auprès d’un expert, sans information.
Dans tous les cas, les tableaux présentés ont été construits de la façon
suivante Les données capturées dans un fichier ont été séparées en onze
fichiers qui forment la série temporelle de notre étude, puis, ils ont été
réformatés en fichiers séquentiels, type liste (LST), par un logiciel commercial
de traitement de texte. Ces onze fichiers transférés sur le logiciel DATALIST,
logiciel développé dans l’équipe du CRRM, (voir note xv, à la page 87) ont
été comparés automatiquement. Le résultat affiché sur un format tableau a été
enregistré et exporté dans un logiciel commercial de type tableau pour l’édition
et l’impression finale.
ïðë
Le Tableau 15, présente la distribution annuelle de fréquences des mots
principaux dans le domaine de l’étude production de la pâte à papier par voie
enzymatique et donne un aperçu de la compréhension que nous avons de
notre sujet. Pour cette représentation, à l’aide du logiciel Datalist, nous avons
fait une édition par ordre de dénombrement de fichiers (listes de fréquences des
mots par années) et dans cette option nous avons choisi l’alternative
dénombrement de toute la fourchette de fréquences, c’est-à-dire, l’édition de
tous les fichiers.
106
: “Procédés utilisant des enzymes ou des pour libérer,
séparer ou purifier un composé ou une composition préexistante”.
î î
ï ï ï ï î ï
ß ï ï ï í
ì
ïðé
Dans le Tableau 16, nous trouvons des mots, ‘en général faible
fréquence, qui représentent des thèmes en voie de disparition (c’est le cas du
chlore, mot associé au procédé de blanchiment de la pâte à papier, qui,
considéré, pour cette application, comme polluant, doit, selon les experts, être
remplace, dans les 10 ans prochains. Dans ce type d’analyse, l’apparition des
thèmes émergents est considérée.
108
Ta 17 : Mots aux années 1987-90 dans domaine de la
Temporelle de FI
Cette stratégie doit être a développée au cas par cas, parce que, autre
nos connaissances (notre conception par rapport à la question), les résultats
essentiellement dépendent de deux autres paramètres qui, eux sont produits
selon des logiques propres à chaque sujet
Les brevets couvrant la même invention sont regroupes en familles de brevets. Une
famille de brevets est donc constituée par un basic (le brevet du pays qui a la première
priorité) et ses liés entre eux par la (les) priorité(s) (SOMNIER, J-L. Tout ce que
ïïð
original) Le raisonnement d’affectation du “Manuel Code” n’est pas le
même que celui utilisé par le Système de Classification Internationale des
Brevets. Certes, il faut prendre en considération, les spécificités propres à ce
producteur, pour profiter au maximum de l’exploitation de la base.
ïïï
pratiques commerciales actuelles illustrent le fait que le secteur est
encore loin d’avoir atteint sa maturité
112
Les grandes entreprises ont un comportement aussi irrationnel les
cadres supérieurs consacrant de 20 à 60 % de leur temps de travail à la
recherche d’information dans une bibliothèque Leurs heures de travail ne
seraient-elles pas mieux utilisées se demande Hervé directeur de
l’organisation documentaire du holding Total, qui gère un budget de million
de francs année 1992 (530K francs pour abonnements à des banques de
données, 310K francs à l’achat de CD-ROM, et francs à des abonnements
à des revues)
113
Dans cet esprit, ce qui compte pour l’exploitation de Yinformation
stratégique des banques de données, ce sont des actions de communication,
d’expertise et de traduction auprès des utilisateurs, afin d’assurer la meilleure
adéquation possible entre la demande verbalisée et les ressources susceptibles
de répondre à celle-ci. Cette démarche requiert une approche nouvelle
d’exploitation de l’information, proche du terrain et des différents acteurs de
l’entreprise; elle implique également une excellente maîtrise des outils pour
assurer une exploitation intelligente de ces ressources.
114
ce secteur a totalisé 91% du chiffre d’affaires réalisé sur les services en ligne en
1991
116
la sécurité montre qu’il a fallu interroger 10 banques de données pour avoir
un taux de rappel de % et vingt banques pour un taux de 90 (voir
Graphique 4)
117
Graphique 4 Taux de rappel des bases de données.
118
non pas sur une banque de données, mais par rapport à l’ensemble des bases
pouvant couvrir le domaine dont relève la question.
119
LES PARTENARIATS LES DISPOSITIFS TECHNIQUES
Pour utiliser les informations stockées dans les mémoires des centres
serveurs, l’utilisateur passe par l’intermédiaire des réseaux de
télécommunications mis à disposition par les opérateurs (tel que France
Télécom). Sur les réseaux, l’utilisateur accédera à un “point d’accès” qui lui
120
permettra de sélectionner la source et la nature de l’information qu’il recherche
et puis, de la recevoir. Ce dispositif peut être schématise selon la Figure 10:
Figure 10 Le télématique
USA EUROPE
de télécommunications
Utilisateurs
121
Les Réseaux Commerciaux
MONDIAL relie donc les utilisateurs et, dans notre cas, les ressources
informationnelles en temps réel à l’échelle du globe.
Le Réseau INTERNET
122
Fondation) aux Etats Unis en est l’initiateur; Le point commun fondamental est
le protocole de transport et de liaison
ii. si une information n’arrive pas transiter via une liaison, elle
empruntera de façon automatique une autre voie de communication
pour atteindre son but.
Les universités américaines, puis, dans les années 80, les grandes
administrations se connectèrent pour enrichir Arpanet, amenant un volume de
connexions en croissance très forte. Trop congestionné, le réseau menaçait de
s’écrouler à tout instant.
123
C’est ce moment que la NSF {National Science Fondation, agence du
gouvernement américain) décida de créer un nouveau réseau {le
entre cinq supercalculateurs et destiné au monde de la recherche.
124
vocations des réseaux accessibles sur Internet sont présentées sur le
Graphique 5.
Commercial
i. La messagerie
Depuis notre ordinateur (client), nous pouvons établir une requête, par
exemple sur la base de mots-clés. Le système cherche sur les ordinateurs
distants (serveurs) les documents répondant aux critères recherchés et nous
ïîë
propose de choisir ceux qui nous intéressent, et qui peuvent alors être
télédéchargés sur notre disque dur.
(World-Wide Web) Le dernier-né des outils de navigation sur Internet. Cet outil
permet la navigation tout à fait naturelle et rapide au sein d’un document informatique,
réparti en une multitude de modules informationnels relies entre aux par des liens
dynamiques.
Système qui permet d’indexer des fichiers de tous formats, d’interroger cas index
distance et de transferer les documents,
11.3. BREVET
L’INNOVATION
126
Pour cela, l’individu doit connaître, parfaitement. et à tout moment,
l’environnement dans lequel le domaine de son entreprise évolue. Pour arriver à
cette vigilance, cet individu doit acquérir la maîtrise précise des informations
industrielles, qui permettra à l’entreprise d’agir, de gagner, d’innover innover
pour être plus productive, pour mieux satisfaire les services rendus à ses clients
et donc, pour continuer d’exister.
127
visant à assurer la meilleure adéquation possible entre la demande verbalisée et
les ressources les plus susceptibles de répondre à l’utilisateur.
128
pour améliorer l’interface utilisateur-intermediaire sera essentiellement
développée sur l’information brevet.
Le brevet, titre juridique qui confère à son détenteur un droit exclusif sur
une invention, doit être publié pour que le public soit avisé de l’existence de ce
monopole, et de son
Sur les trente dernières années, voir Tableau 18, page 131, les demandes
nationales- de brevets ont tout d’abord stagné jusqu’en 1978. A partir de
ïîç
1978, nous assistons à une progression régulière, plus particulièrement
...
entraînée par les demandes à l’occasion de la mise en place
de nouvelles procédures internationales de
Entre la période 85-90, sous l’effet d’une reprise des dépôts aux Etats-Unis
et en Europe, la position relative du Japon se stabilise et s’érode ensuite,
puisqu’elle baisse légèrement, à moins de 30%.
ïíð
Tableau 18 Brevets nationaux demandés (y compris EPC et PCT)
Pays 1965 1970 1975 ïçèð 1990
Etats-Unis 94629 101014 1610741 1645581
Japon 81923 130829 159821 193779 305645 357208 376371
Allemagne 66470 66132 60095 66765 75681 89256 94801
France 477931 722661 789191
Royaume-Uni 55507 53400 59643 67409 84506
Italie 29308 24151
126991
131
reflète bien la richesse de l’information technique par la littérature de
brevets.
132
c’est-à-dire, qu’un brevet contient généralement toutes; les informations et
explications, permettant de comprendre l’invention sans avoirs recours des
références.
Les brevets sont identifies par le pays dépôt, qui s’exprime par un code
deux lettres, et par un numéro, généralement sept chiffres, ce qui
représente évidemment un avantage considérable pour l’exploitation
informatique.
Les textes des brevets sont faciles à obtenir auprès des offices de brevets,
au moins en ce qui concerne les brevets des pays qui sont les principaux
Au Brésil, l’Institut national de la propriété industrielle
en plus de la collection complète des brevets brésiliens, celles des brevets de
133
nombreux pays (Autriche, Canada, Espagne, Etats-Unis, France, Allemagne..
La collection des des brevets (textes et dessins) américains est
disponible sous la forme de CD-ROM, depuis 1969, et aussi, sous cette même
forme, celle de européen”” depuis 1978
134
L’éventail va, d’une banque limitée aux brevets américains délivrés
depuis 1975, (mais qui contient le texte complet de ces brevets) à une banque
INPADOC comprenant les brevets de tous les pays depuis 1970, (mais ne
contenant que le titre et les codes CIB pour toute information technique), en
passant par des situations intermédiaires, tel la banque (voir WPIL, page
qui couvre la plupart des pays depuis 1970 et contient un résumé en
anglais.
Bases de (graphiques)
PM ou PM
135
Les bases comme et classées bases de brevets
génériques, ont de plus l’avantage de donner immédiatement une vue
d’ensemble sur la famille (voir note xxxii, page 110) de brevets déposés
dans différents pays pour couvrir une même invention.
136
Les banques de données spécialisées dans un secteur technique et qui
englobent les documents de types articles, communications de congrès,
brevets, (comme Tulsa, pour le pétrole, Weldasearch pour le soudage) sont un
peu moins efficaces sur le plan de la seule recherche de brevets, mais cela est
compensé par leur couverture plus étendue en information pertinente.
Bien entendu, comme nous l’avons déjà signalé, la plus performante base
de données au monde ne peut donner que ce qu’elle a Tout particulièrement,
et il est bien de le préciser à nouveau, que les recherches dans la littérature de
brevets nécessitent à la fois une grande compréhension des mécanismes des
systèmes de brevets, et un bon savoir-faire dans l’utilisation des banques de
données disponibles.
137
P A R TI E
LA METHODE : LE FOND ET LA CONCEPTION
ïïïòïò
138
Cette approche peut être résumée dans le schéma’ ci-dessous, proposé
par H. Crosnier
Décrire
du des
document besoins documentaires
(communication)
ïíç
Chaque classification permet de définir des “indices”, qui sont un
agencement de signes reliés par une syntaxe précise En ce qui concerne
l’indexation par classification du document dans un cadre pré-défini, la
classification essaie de représenter le point de vue sous lequel est abordé
le défini par sa description littérale. Le point de vue est donné par
la catégorie hiérarchique dans laquelle a été choisi l’indice de classification.
140
BESOIN EXPRIME PAR UN ACCORD INTERNATIONAL
Modèle s’agit d’un petit brevet délivré sans examen pour une durée de 8
ans, mais il peut être un rapport de recherche pendant toute sa de vie. II ne peut
protéger que des articles, dispositifs, outils presentant un pratique.
141
i. la diffusion sélective de l’information à tous les utilisateurs qui la
en matière de brevets
142
commercialement dans un pays, doit être établi, dans la langue de ce pays. Le
fait d’avoir un système de classification disponible dans toutes ces langues,
nous permet d’exploiter le contenu synthétique de tout le fond documentaire des
brevets existants (environ 20 millions de documents de brevets), sans que
la langue, dans laquelle le brevet a été établi, soit un obstacle à l’exploitation.
143
propriété industrielle qui, à leur tour, offrent la possibilité’d’analyser l’évolution
des techniques dans divers secteurs.
une base appelée validité, qui dispose de la liste des codes et de leur
période d’existence.
144
Ces bases permettent la recherche en mode “texte” et en mode
“hiérarchique”. Dans ces deux modes et, à l’exception de la base qui offre le
guide, nous pouvons accéder à l’information soit par la façon hyper-texte soit en
interrogeant avec la logique de boole.
Les données capturées, nous pouvons les transférer sur des fichiers en
formats ASCII. Cette opération est faite par unité d’occurrence de réponse et
donc, avec très peu d’ergonomie. La taille des éditions n’est pas limitée et sur
un seul fichier, nous pouvons disposer de toute la CIB ou d’une section
complète.
145
Seule la base “validité” sur CD-ROM ne permet pas des éditions
transférabies sur fichier. Sur cette base, en saisissant le code, nous n’accédons
qu’aux données affichées sur l’écran. Ces données, exprimées par les éditions
de la CIB dans lesquelles le code est valable, associent chaque code saisi à la
période’ de son existence. Bien que nous ne puissions pas extraire cette
réponse, son contenu peut devenir important.
Une requête sur cette base peut tout de suite indiquer si une technique à
subi des modifications, au cours de son existence ou si un code (ou l’ensemble
de codes) qui forment une élaboration sont valables, par exemple, dans les 3
dernières éditions (soit, depuis 15 ans Cela voudrait donc dire que la
technologie ou le métier, que couvre cette élaboration, est stationnaire, ou
même, est une technologie de base. Une entreprise possédant ces technologies
de base devra donc adopter une stratégie de surveillance, pour détecter
rapidement les innovations incrémentales
146
un changement motivé par une modification de l’état de la technique
énoncée dans le système, tels que obsolescence, fusions des
techniques, arrivée de nouvelles techniques sur le marché.
147
chercher les nouvelles branches technologiques, les technologies
voisines, les remplacements de produits, à partir de l’analyse des
renvois de la dans le domaine papier
148
Nos expériences pratiques sur le terrain (contacts avec les experts du
domaine, consultations des bases de brevets et d’articles dans le domaine
“papier”) ont montré que ce type de représentation constitue un bon outil d’aide
pour acquérir la micro-culture des matières techniques concernées dans le
fonds documentaire sur les brevets.
154
L’avènement, sur le marché, à partir des années 89, de processus de
production de la pâte à papier par voie enzymatique (ancrer dans le système
CIB par l’énoncé d’une nouvelle sous-classe C 12 S), est une innovation
importante, qui permet d’établir les nouveaux Facteurs Critiques de Succès,
pour l’industrie papetière, soit
Ce type de constat démontre d’abord que le système CIB remplit son rôle,
à savoir constituer un instrument permettant de ranger méthodiquement les
documents de brevets (une hiérarchie de rangement des matières techniques
proche de celle de leurs applications sur le terrain). Ensuite et surtout, le
système CIB reflète l’évolution- technique d’un secteur économique avec un
minimum de décalage une révision prescrite du système, tous les cinq ans.
Ceci associé aux pressions de poids économique représentées par l’étendue de
la protection à l’exploitation commerciale de chaque titre, font de ce système, un
outil important d’observation et d’analyse
ïëë
×××òï LA CONCEPTION GENERALE DU SYSTEME CIB
Pour réaliser l’extension de cette question il faut partir de la notion d’invention perçue
par le système une invention, sur une matière technique quelconque, peut avoir comme
objet, soit un processus (fabrication de la papier par voie chimique, par exemple), soit un
produit une application (boîtes, enveloppes ou sacs en papier étiquetage sur papier) soit des
appareils (lessiveurs). En plus, il faut ajouter, faisant aussi objet d’invention, la façon selon
lesquelles ces choses peuvent être utilisées ou appliquées
En fait, toute invention, quelle qu’elle soit, est une idée nouvelle (une action,
autrement dit une fonction) qui a été accomplie pour remplir un besoin ou pour exercer une
action sur quelque chose (résoudre un problème). De compréhension nous pouvons
affirmer que la couverture d’une invention dans le systéme CIB se réalise essentiellement par
une FONCTION Sensu,). Ce qui varie c’est l’arrangement physique de l’invention dans
le système, conditionné au degré d’affinité que garde la fonction accomplir et la matière
technique sur laquelle la fonction se manifeste.
158
l’industrie, qu’il est naturel de les classer d’après ces branches. Dans ce cas,
qui est l’origine de l’invention et donc du brevet, va être selon le
dit “classement sur la rubrique de domaine”.
En dépit de ces efforts, il n’a pas encore éte trouvé une solution
satisfaisante et complètement achevée, qui propose soit le classement, soit la
recherche du document de brevet de façon plus ou moins uniformisée. La seule
application connue, basée sur un système expert, est une solution partielle,
développée et utilisée par l’office Européen de Brevets.
160
pertinent. Dans les titres de ces entrées, il choisit les termes alors qu’il juge les
plus porteurs pour la formulation de son équation de recherche de brevets.
Selon notre expérience personnelle, chaque fois que nous avons réussi à
faire des recherches pertinentes de documents de brevets, celles-ci ont résulté
de la formulation de nos équations de recherche, constituées par des mots ou
des codes sortis de l’index officiel des mots du système CIB, minutieusement
choisis par utilisation de la méthode de l’analyse
161
traiter les informations techniques d’un domaine, que, par ‘des thèmes cherchés
souvent individuellement.
Ces deux thèmes n’ont en commun que le domaine sur lequel les actions
se manifestent. Or, le système CIB ne classe que les actions, pas le domaine;
Autrement dit, les seuls éléments classés par le système CIB sont des
formulations, des procédés, des appareils distincts (soit une action exercée sur
quelque chose ou un besoin rempli). En clair, le classement est fait, au niveau
du processus et non au niveau du produit.
162
et, c’est sur cette action, si elle est jugée nouvelle, que se porte le titre de
propriété de l’invention. Et pourtant, dans le plan de classement du système
utilisé, cette action est rangée selon deux principes différents.
163
En d’autres termes, il y a donc eu, à la fin de 1989, à peu près 18 millions
de documents de brevets publiés portant les symboles de la CIB. Sur les
1.000.000 de documents de brevets publiés chaque année, plus de 900.000
portent le symbole de la CIB; pour moins de 60.000 d’entre eux, le classement
est poussé seulement jusqu’au niveau de sous-classe. Le Graphique 6,
présente la distribution, par langue de publication, de la collection des 18
millions de documents de brevets, disponibles fin 1989.
164
En dépit de ces empêchements concrets, nous avons trouvé des articles
proposant à la réorganisation du système CIB (par exemple, une
proposition de l’office soviétique de la propriété industrielle, [référence pour
la révision de la édition). Des experts, ont proposé que le plan de
classement du système, soit organisé en où les entrées seraient
réparties entre les trois matrices (facettes) distinctes, suivantes
165
Chaque matrice aurait donc, son plan de classement indépendant (une
structure particulière, la mieux adaptée, et une méthode de classement
spécifique hiérarchique ou par facette). Par exemple, pour la recherche de
documents sur un produit dépendant d’une facette ciblée, nous pourrions
n’utiliser que le plan de classement de la cible. Par contre, ce même produit
pourrait être exprimé sous la forme d’une entrée globale, constituée de la suite
ordonnée des entrées individuelles.
Symbole Titre
A NECESSITES COURANTES DE LA VIE
B TECHNIQUES INDUSTRIELLES DIVERSES;
TRANSPORTS
c CHIMIE;
METALLURGIE
D TEXTILES;
PAPIER
E CONSTRUCTIONS FIXES
F MECANIQUE;
ECLAIRAGE;
CHAUFFAGE;
ARMEMENT;
G PHYSIQUE
H ELECTRICITE
A l’intérieur des sections, nous trouvons des titres indicatifs qui définissent
des sous-sections et auxquels n’est affecté aucun symbole de classement. C’est
166
le cas, par exemple, de la sous-section trouvée dans la
Section A.
167
symbole d’un groupe est formé du symbole de la sous-classe, suivi de deux
nombres séparés par une barre oblique.
îï ½ óððçïðð
Post-traitement de la de
cellulose, p.ex. de la de
bois ou des linters de coton.
168
La Structure Hiérarchique de la CIB
Symboles Titres
D21 B MATIERES PREMIERES FIBREUSES OU LEUR
TRAITEMENT MECANIQUE.
D21 C PRODUCTION DE LA CELLULOSE PAR ELIMINATION DES
SUBSTANCES NON CELLULOSIQUES DES MATIERES
CONTENANT DE LA CELLULOSE; REGENERATION DES
LIQUEURS NOIRES; APPAREILS A CET EFFET.
D TRAITEMENT DES MATIERES AVANT LEUR PASSAGE
DANS LA MACHINE A PAPIER.
321 F MACHINES A FABRIQUER DU PAPIER; PROCEDES DE
PRODUCTION DU PAPIER SUR CES MACHINES.
D21 G CALANDRES; ACCESSOIRES POUR MACHINES A
FABRIQUER LE PAPIER (bobineuses ou rebobineuses pour
produits finis, moyens pour ajuster les plis ou extensions en
largeur B 65 H).
H COMPOSITIONS DE PATE; LEUR PREPARATION NON
COUVERTE PAR LES SOUS-CLASSES D 21 C, D 21 D;
IMPREGNATION OU COUCHAGE DU PAPIER;
TRAITEMENT DU PAPIER FINI NON COUVERT PAR LA
CLASSE B 31 OU LA SOUS-CLASSE D 21 G; PAPIER NON
PREVU AILLEURS
D21 J CELLODERME; FABRICATION D’ARTICLES A PARTIR DE
SUSPENSIONS DE FIBRES CELLULOSIQUES OU A
PARTIR DE PAPIER MACHE (fabrication d’objets par des
procédés sec B 27 N).
170
³7½¿²·¯«» et la deuxième, °¿® ª±·» ½¸·³·¯«»ò Les ensembles techniques
sont regroupés par la cohérence gardée entre eux pour préciser l’arrangement
de l’étendue de la matière technique.
T
ððïïðî .
..
...
.
.
Ces points remplacent les titres de groupes immédiatement supérieurs
dans la hiérarchie et évitent de les répéter. Les sous-groupes dont les titres
commencent par une lettre majuscule, se suffisent à eux-mêmes, mais ce qu’ils
décrivent n’a de sens que dans un contexte précis.
172
production de la pâte papier mais, utilisant des procédés différents, l’un
par voie mécanique et l’autre par voie chimique, (il n’y a donc, aucune ambiguïté
sur te point de vue du rangement méthodique des documents de brevets relatifs
à ces deux objets techniques).
173
A l’introduction de la sous-classe D 21 C PRODUCTION DE LA
CELLULOSE PAR ELIMINATION DES SUBSTANCES NON CELLULOSIQUES
DES MATIERES CONTENANT DE LA CELLULOSE; REGENERATION DES
LIQUEURS NOIRES; APPAREILS A CET EFFET nous trouvons la note
suivante
L’application de la
174
Ensuite, en s’attachant la sous-classe,
prendre, pour ranger le concept de l’invention du brevet, est de choisir comme
endroit, la sous-classe sur la rubrique de fonction.
176
deux éléments d’informations à cerner pour la notice bibliographique d’un
brevet l’information d’invention et les informations additionnelles
La loi japonaise sur les brevets est l’une des rares lois qui comporte une
définition pour l’invention. Cette loi précise, que l’invention, est une création
hautement perfectionnée d’idées techniques, grâce auxquelles nous
259
utilisons une loi de la nature
En plus de toujours définir l’invention comme une idée, les législations sur
la propriété industrielle précisent que, pour être brevetable, une invention
doit être nouvelle, impliquer une activité inventive et être susceptible
d’application industrielle!
Prenons un exemple
En les pays situés dans l’hémisphère sud, adoptent, pour leurs produits de
consommation interne, des spécifications techniques similaires à celles des pays
dont ils subissent l’influence.
178
possible de zéro), représente des économies significatives dans la
consommation de l’énergie nécessaire à la fabrication de la tuile.
La démarche de Fonctionnelle
Dans ce cas réel, le phénomène inventif qui permet de fabriquer des tuiles
en terre cuite, dans un pays au climat chaud, avec une technique
particulière, résulte de l’application intentionnelle d’une démarche spécifique de
conception, organisée et créatrice, visant la satisfaction du besoin de
l’utilisateur
Cette démarche nous invite plus particulièrement, face aux problèmes qui
nous sont posées, à rester continuellement dans un état d’esprit susceptible de
raisonner par rapport au dans lesquels la question se
place. La réponse sera représentée par le “service rendu” en conformité avec
180
La démarche de l’analyse fonctionnelle, envisagée selon une méthodologie
susceptible de s’appliquer indistinctement, précise, par norme, tous ces
181
La démarche de classement du brevet, évoquée auparavant, peut se
modéliser selon le principe schématisé Figure 13 Développement d’un produit
axé fonction
182
Par exemple, un document de brevet classer, décrit
SYSTEME D’INDEXATION
ASSOCIE A LA B
2 9 C . RE L AT I F AU X
PARTICULIERS
environnement 023: produit
Objets tubulaires (B 29 L 24:00 a
Tuyaux
B 29 C
B29
TRAVAIL DES MATIERES FAÇONNAGE OU ASSEMBLAGE
PLASTIQUES; TRAVAIL DES DES MATIERES PLASTIQUES;
SUBSTANCES A L’ETAT PLASTIQUE FAÇONNAGE DES SUBSTANCES A L’ETAT
EN GENERAL PLASTIQ UE EN GENERAL;
DES PRODUITS FAÇONNES,
SYSTEME D’INDEXATION ASSOCIE p. ex. REPARATION
AUX SOUS-CLASSES B 29 B. C OU
RELATIF AUX MATIERES A MOULER
Assem
Appareils cet effet (4,
83:00
contenant dans la par avec ou sans
chaîne uniquement du
avec ou sans soufre, azote, . . avec des vibrations ultrasonores
oxygène ou carbone
184
Par exemple, un autre brevet classer, décrit
185
environnement
demandeur
c
PROCEDES DE M ESURE, D E R EC H E RC H E O U APPAREILLAGE POUR
D’ANALYSE FAISANT INTERVENIR DES ENZYMES OU DES CENZYMOLOGIE OU LA
MICRO-ORGANISMES; COMPOSITIONS OU PAPIERS MICROBIOLOGIE
REACTIFS A CET EFFET; PROCEDES POUR PREPARER 1100
CES COMPOSITIONS; PROCEDES DE COMMANDE Appareillage pour
SENSIBLES AUX CONDITIONS DU MILIEU DANS LES ou la
PROCEDES MICROBIOLOGIQUES OU ENZYMOLOGIQUES microbiologie
ïíï 001126
Inoculateur ou
Procédés de mesure, de recherche ou d’analyse faisant
intervenir des enz ymes o u des micro-organismes; 001128
Compositions cet effet; Procédés pour ces au
compositions
001102
faisant intervenir des micro-organismes viables
Tout échange, quel que soit son objet, nécessite que puissent être mis en
correspondance deux espaces de valeurs. D’abord, celui de la valeur
d’échange, souvent associée au coût du service rendu, qui doit assurer la
viabilité économique de l’offre et la possibilité d’une demande solvable.
186
Ensuite, celui de la valeur d’usage, souvent associée la qualité du
service rendu, qui doit ancrer l’intérêt de la demande sur un ensemble d’effets
utiles et de conditions adéquates d’utilisation,. Le moment même de l’échange
est celui où s’opère, une traduction réciproque entre ces deux ordres de
valeur
Nous avons déjà précisé que, pour assurer une prestation d’information à
l’échelon professionnel, il faut d’abord poser la bonne question, définie par une
relation de service à forte composante d’interaction entre l’offre et la demande
(espace de la valeur d’échange).
Présentation de cas
ïèç
valeurs valeur d’échange et valeur d’usage, (voir chapitre page 147; et,
chapitre page 186).
ï ç ð
pays. Ce brevet sera donc classé par de Propriété Industrielle de chacun
des pays conœmés.
ïçî
Tableau 23: Codes accordés la famille de US 755242 par
Analysant les résultats, nous constatons que tous les pays ont classe
l’invention selon le principe axé sur la rubrique application (C 12 N
ou exception des Philippines qui l’ont classe
selon le principe axé sur la rubrique fonction (D 21 C-003100 Réduction en
des matières contenant de la cellulose
Les pays qui ont accordé les code C 12 N ont pousse la classification de
manière cohérente, dans la hiérarchie, jusqu’au niveau du “groupe principal”
(C 12 et, ils ne sont distingués qu’au niveau du
groupe”. Trois offices ont arrêté la classification à la hiérarchie de “groupe
principal”, six ont poussé jusqu’au celle de “sous-groupe” (4 ont choisi C 12 N
Oxvdoreductases et les 2 restant, ont poussé la classification dans
des hiérarchies plus basses de ce groupe).
ïçí
Leurs milieux de culture Les Philippines ont poussé leur
classification, dans un groupe hiérarchique plus bas : C 12 N-001/02
des de leurs milieux de culture Cinq
autres pays ont choisi C 12 4 Fonai Leurs milieux de culture Le
Portugal à accordé C 12 N-001120 *Bactéries Leurs milieux de culture et
les Etats-Unis, pays qui posséde la “priorité”, ont C 12
de mutation ou aénie ADN ou ARN concernant le
aénétiaue. vecteurs. ex. Dlasmides. ou leur isolement. leur
ou leur Utilisation d’hôtes ceux-ci 13,
La logique fonctionnelle admet tous ces choix, aux vues des spécificités ou
de l’exposé des intérêts liés à chaque réalité. A notre avis, cette information
essentielle, incorporée la flexibilité que le système offre, en fait la richesse. II
est donc important de trouver les moyens de les exploiter, car ces différentes
interprétations permettent de cerner l’information dans toutes ces différentes
acceptations.
ïçì
Tableau 24 Notice bibliographique de la famille de brevets US 755243.
Treating kraft or mechanical pulp or El affluent ligninolytic enzyme or mixt.,
chrysosporium
D21
PA (REPK ) REPLIGEN CORP; (REPL-) REPLIGEN CORP
FARRELL R
87.01.29 (8705) E 87.0126 (8709)
87.01.19 (8717) AU88614124 87.02.10 (8717) (8727)
231275-A 87.08.12 (8732) E US4687745-A 87.08.18 (8735)
(8737) US469241 3-A 87.09.08 (8738) 87.10.13 (8746)
(8748) 87.03.13 (8802)
88.03.03 (8815) 89.02.07 (8908) 87.10.01 (8911)
92.09.02 (9236) E DE3686647-G (9242)
D21
PR 86.03.28 86US-845657 8507.15 85.07.15
86.03.28 86US-845654 86.03.28 86US-845656
AP 86.07.11 86.07.11 86.03.28
86US-845656 86.03.28 86US-845654 86.03.28 86US-845657 86.07.11
503994 86.07.15 86.07.11
QS *AU l BR l DK *FI l JP AT BE CF CG CH CM DE FR GA GB IT LU ML MR NL
SE SN TD TG LI
Kraft is bleached; strength and brightness of
mechanical increased or El effluent is decolourised by treatment with lignin-
degrading enzymes (TM) or Ligninalytic Mixture (TM). enzymes (used
individually or as a mixt.) are by fermenting chrysosporium, esp.
new mutant SC26 (NRRL 15978). They are claimed as new is
Culture of the new mutant and isolation of the enzymes are described in
Ligninoiytic mixture is culture medium which has been by
It or more of enzymes and be into individual
enzymes (designated 1 6) by liq. chromatography. The enzymes
are pref. used in a form of degradative proteases. These
enzymes residual lignin without damaging components; are
immediately active, and are non-corrosive and non-polluting. (29pp
ïçë
Tableau 25 Codes CIB accordés la famille de US 755243 par
Les conclusions sont toujours les mêmes que celles qui concernent la
famille de brevets US 755242, mais nous remarquons, le code accordé, en
classe principale, par l’Australie : C 02 Cette utilisation est
parfaitement envisageable et correctement associée, si nous ne raisonnons pas
par produit (voir Le thème fabrication de papier page 156) mais en
substituant un raisonnement “fonction (éléments environnants) un
procédé, utilisant des enzymes ou des micro-organismes, qui exerce une action
pour purifier ou séparer, soit une composition fibreuse (D 21 C), soit une
ïçê
composition liquide (C 02 F). Comme information additionnelle, nous pourrions
même en déduire, que, dans ce domaine, l’expression d’un besoin en Australie
est le traitement des eaux usées. L’information est ainsi, a priori intéressante, et
pourrait mériter un questionnement ultérieur. Cela a été mentionné comme étant
l’un des avantages de flexibilité offert par le système de classification de la
Les titres des codes D 21 C se trouvent au Tableau 20, la page 149. Les titres des
codes C 12 N et C 12 P se trouvent dans l’annexes 3.
ïçé
Tableau 26 Notice bibliographique de la famille de JP
Treatment of by wetting with soln. followed by
to ozone, increases to
PA HITACHI KK
IN M,ODAWARA Y
PN 82.02.10 (8207) 557029293-A (8213) {JP)
82.04.13 (8217) 84.02.18 (8411) (JP} 84.05.29 (8424)
85.10.23 (8543) DE3172721 85.11.28 (8549)
PR 80.07.31
80.07.31 81.07.30 81 US-288487 81.07.31
DE GB SE DE GB SE
Lignocellulose are pretreated before or enzymatic
decomposn. by wetting the cellulose with an aq. of an or
earth metal cpd., then to ozone by contact. The substrate is
straw, or waste paper. It is sprayed with metal salt to
water content to 1080, esp. and to 0.01-l d.s.b. of metal
The metal salt is NaHC03, or esp. The is then
treated at O-100 with gas m. of ozone. Appts. is
described in the cellulose is sprayed with treatment and mixed and
moved by a stirring to a moving bed reactor it contacts the ozone
on a gas stream passing up through it. The process breaks down lignin, making the
cellulose, more accessible to hydroytic enzymes in the prodn. of glucose, for use
in fermentation to has requirements of ozone and than
when either of these treatments are used and needs as the
cellulose is dampened, not immersed in treatment soln..
Par ailleurs, le Tableau 27 présente les codes CIB et leurs titres (extraits
de la édition), accordés par pays au brevet japonais. Comme nous l’avons
constaté précédemment, selon le principe de classement du système CIB
utilisé, le code défini par chaque pays est envisageable et justifiable. Cet
exemple est très caractéristique d’un système qui offre les possibilités d’un
classement distinct, propre aux éléments environnants.
ïçè
Tableau 27 : Codes CIB accordés la famille de JP
l’obtention de
ïçç
Cas 2 Les brevets Notation X
Le Tableau 28, présente la liste des codes notés X, distribués par année
de priorité. Le code G 03 X PHOTOGRAPHIE: CINEMATOGRAPHIE;
TECHNIQUES ANALOGUES UTILISANT D’AUTRES ONDES QUE DES
ONDES OPTIQUES: ELECTROGRAPHIE: HOLOGRAPHIE représente
environ 75% des occurrences par rapport à toutes les autres.
200
La représentation graphique de ces résultats, nous indique que le
problème, dû à une lacune du système CIB, à été à partir des années
date de la mise en application de la édition.
Cette cohérence relative à l’affectation des codes CIB, par les différents
de Propriété Industrielle est, dans ce cas, logique, car, l’absence
d’entrée appropriée, dans le système de classification, couvrant le sujet
revendiqué, se situe au niveau de la sous-classe : (G 03 X).
201
Le cas échéant, s’il existe la fois des sous-classes de fonction et des
sous-classes d’application, la préférence est donnée à la sous-classe de
fonction. Les classificateurs doivent avoir présent à l’esprit, l’existence possible
d’une sous-classe de fonction appropriée dans une autre partie de la
classification, en dehors du ou des domaines dans lesquels ils classent. En cas
de doute, il est recommandé de consulter l’index des mots-clés et de demander
conseil à des collègues ayant l’expérience de domaines techniques différents.
Bien que ces statistiques datent de 1977, une étude, réalisée en 1984,
dans les mêmes conditions, par des brevets de Moscou, confirme les
résultats obtenus par l’Organisation Mondiale de la Propriété Industrielle
erreurs de classement;
202
Ces raisons ont toutes trait la subjectivité, et par conséquent, une
solution à 100% de cohérence, au niveau hiérarchique de sous-groupe, n’est
pas envisageable. Le système, par contre, s’améliore grâce à l’échange
d’expériences entre les offices de brevets, et surtout la poursuite des
améliorations apportées, au fur et à mesure par les révisions quinquennales.
Ces questions, renforcent les idées du départ d’abord, parce que, dans
notre méthode, nous ne recherchons pas obligatoirement la consistance du
système CIB, mais la cohérence du raisonnement par “finalité”, développé,
partir d’un répertoire de fonctions fondé sur des éléments existants. Dans ce
raisonnement, nous utilisons le système CIB, au niveau hiérarchique de la
classe, comme outil d’aide à la formulation de la question.
203
Fonctionnelle est, en effet, une méthode (ou plutôt un ensemble
de méthodes et de dispositions propres à la mise en oeuvre de ces méthodes)
dont l’objectif consiste à remettre en question des produits ou des procédés
existants (ou à en créer de nouveaux) afin qu’ils répondent mieux et notamment
de manière plus économique aux besoins et aux exigences des clients ou
utilisateurs.
204
Le repérage de la micro-culture (évolution et Etat de l’art) d’un
sujet technique quelconque
Dès que chaque sujet technique est pris comme un objet technique
à-dire, une idée qui rempli «² besoin ou exerce une action sur quelque chose),
cet objet, et son évolution technique, sont précisément décrits par le système
205
Tableau 29 Etude de l’évolution technique de de production de
206
(l’ensemble des sous-classes du système CIB). En plus de’créer deux nouveaux
champs contenant des mots significatifs du titre de chaque classe et chaque
sous-classe et un troisième pour les renvois trouvés fréquemment dans le titre
de la sous-classe, nous avons créé deux autres champs dans lesquels nous
signalons le rôle concerné par la fonction que la sous-classe décrit.
207
Tableau 30 Extrait de la base créée sous INFOBANK
Champ Description du champ
AGRICULTURE
A01
AGRICULTURE FORESTRY ANIMAL HUSBANDRY HUNTING
FISHING
AGRICULTURE FORESTRY ANIMAL HUSBANDRY HUNTING
FISHING
0
0
SOIL WORKING IN AGRICULTURE OR FORESTRY PARTS. DETAILS, OF
ACCESSORIES OF AGRICULTURAL MACHINES OR IMPLEMENTS.
GENERAL
OIL WORKING AGRICULTURE FORESTRY PARTS DETAILS ACCESSORIES
AGRICULTURAL MACHINES IMPLEMENTS
making or covering furrows or for sowing, planting or A 01 C
working for engineering put-poses E ðïô E 02, E 21
Tisouss AGRICULTURE
A01
AGRICULTURE FORESTRY ANIMAL HUSBANDRY HUNTING TRAPPING
FISHING
Moclesc AGRICULTURE FORESTRY; ANIMAL HUSBANDRY HUNTING TRAPPING
FISHING
Besoin
0
PLANTING ; FERTILISING
Mocless PLANTING SOWING FERTILISING
Renvois with general working of A 01 B parts, details or
accessories of agricultural machines or implements, in general A 01 B to A
01 B
208
objectif
Une idée ou une action qui se traduit par un brevet est née d’un besoin
révélé par un marché et formalisée dans un environnement.
210
Tableau 31 Les 3 domaines d’action du
Liste des Formes Liste des entre les Formes
Groupe Formes dans Fréq. Paires dans le Fréq. Correlat.
Blanchiment le Groupe Groupe
pâte à papier D21 C 69 3 0,647
c 12s 13 4 0,391
C 7 0 , 0 9 3
D21 H 0,367
3 4 0,155
textile 67 3 0,125
D 06 L 37 0,200
c 07 c 11 0,167
A01 N 4 Cl1 0,480
Photographie. G 03 C 22 3 0,292
C 09 K 4
En n’analysant que le premier groupe formé, (blanchiment de la pâte à
papier), nous obtiendrons, schématiquement, la représentation suivante
U
C 12 R
C
D21 H
211
“weighing”, concernant la sous-classe G 01 pour les 100 premiers
brevets trouvés dans la base nous a permis de partager le résultat de
cette requête en trois thèmes, selon le Tableau 32.
SECTION G PHYSIQUE
G 01 METROLOGIE (comptage GO6 M); ESSAIS
G 01 G PESEE (tri par pesée 07 C
212
L’analyse du résultat et la des signaux faibles.
213
CONCLUSION GENERALE
IV. CONCLUSION GENERALE
Les responsables ont conscience des problèmes, mais force nous est
donnée de constater que les besoins sont rarement parfaitement clairs,
nettement définis et bien exprimés par les responsables et d’une façon
plus générale par les différents collaborateurs de l’entreprise. (Difficulté de
la formulation des problèmes, méconnaissance des sources d’information).
214
Développer un outil pour faire face à ce paradoxe est devenu le leitmotiv
de notre recherche. Ce qui nous a demandé le plus d’effort et d’attention dans
cette thèse était de systématiser méthodiquement les arguments susceptibles
de mettre, dans le même niveau d’échange, tous les acteurs concernés dans
l’action de médiation entre l’offre et la demande d’information courtiers
intermédiaires, spécialistes du sujet, utilisateurs finaux.
215
Pour la méthodologie présentée et illustrée par des’ ce qui
compte est le raisonnement qui peut être à partir des programmes de
formation.
C’est dans ce cadre que nous pensons agir au Brésil, où nous serons
engagés dans une Université publique.
L’autre axe envisageable est celui d’une l’étude pour appliquer le même
raisonnement à d’autres systèmes de classification comme ceux de la base
Chemical System, ou de la base INSPEC dans le domaine de la
physique.
Nous précisons également que nou avons procédé à des essais de cette
méthodologie sur des bases spécialisées par sujet, comme dans le
216
domaine “papier”. Les requêtes º±®³«´7»- avec le mot ont donné de
bons résultats.
Pour les bases dites “généralistes”, nous pensons qu’il est judicieux
d’exploiter le champ “résumé”. C’est dans ce champ que les idées principales du
sujet, concernant chaque notice bibliographique, doivent se
217
BIBLIOGRAPHIE
V. BIBLIOGRAPHIE
STRATEGOR. Stratégie, structure, décision, identité politique générale d’entreprise. Op. cit.
STRATEGOR. Stratégie, structure, décision, identité politique générale d’entreprise. Op. cit.
îïç
STRATEGOR. structure, décision, identité politique générale d’entreprise. Op.
cit.
La Tribune de page1
îîï
Rapport du Commissariat Générai du Plan. Intelligence économique et strategie des
entreprises. Op. cit.
LEVET, J-L, et TOURRET J-C La Révolution des pouvoirs. Economique, 1992, Paris.
HAGEL, F. Les brevets source d’information irremplaçable. Revue des ingénieurs des
Ecoles Nationales de Mines, Septembre 1990, 328, pp. 22-24
a4
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Exemple développé par Ader, E., consultant chez Arthur D. Little, à l’occasion d’une
conférence au Centre HEC-ISA le 2 mai 1985.
Le Monde Informatique. Autoroutes de l’information Pour aller où, quand et à quel prix.
597, 8 juillet 1994. pp
Le Monde Informatique. Autoroutes de l’information Pour aller où, quand et à quel prix.
Op. cit.
Europe and the global information society to the Europe Council. 24-25
june, 48 p.
Le Monde Informatique. Autoroutes de l’information Pour aller où, quand et à quel prix.
Op. cit.
Le Monde Informatique. Autoroutes de l’information Pour aller où, quand et à quel prix.
Op. cit.
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îíð
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LEPEE, W. EPOS, a linguistic tool for full text search. World Patent Information, vol. 11,
4, 1989.
ð
Face une question posée, l’action de médiation entre l’offre et la demande
d’information, afin d’apporter aux usagers de banques de données brevets un
facilité aux informations techniques, qui assure la pertinence des occurrences de la
réponse, doit systématiser méthodiquement les arguments susceptibles de mettre, au
même niveau d’échange tous les acteurs concernés.
2 3 7
A.L’EXPLOITATION RATIONNELLE DU CD-ROM DU
SYSTEME CIB :
une base avec les trois dernières éditions de la CIB (3, où nous
trouvons toutes les élaborations’ et aussi Officiel des mots
une base avec les tables de concordance entre les différentes éditions
comparées une à une (1 et 2 2 et 3 3 et 4 et enfin 4 et 5)
une base appelée validité, qui dispose de la liste des codes et de leur période
d’existence.
238
codes. II y a également la possibilité d’utiliser les commandes de troncature et aussi
celles d’adjacente. L’aide d’un dictionnaire des mots, et d’une liste des codes est en
outre disponible.
Le résultat de chaque requête se présente à l’écran sur une fenêtre avec les
données suivantes
En validant les résultats de la requête, nous nous déplaçons dans la base pour
chaque occurrence de réponse. Positionnés sur chaque réponse, nous pouvons alors
accéder au texte dans l’une des langues disponibles, ainsi qu’à l’édition que nous
voulons, parmi les trois présentes sur la base
Les données capturées, nous pouvons les transférer en format ASCII. Cette
opération est faite par unité d’occurrence de réponse et donc, avec très peu
d’ergonomie. La taille des éditions n’est pas limitée et sur un seul fichier, nous
pouvons disposer de toute la CIB ou d’une section complète.
Une question s’agissant, par exemple, d’un procédé, d’un produit ou d’un
appareil quelconque, pour la production de la pâte à papier, doit signaler comme
fonction principale “La production de la pâte à papier”, identifiée dans le système
CIB par le code
240
A. 1. 1. 1 Les défauts du CD-ROM
Pour cette construction, nous avons réalisé une extraction de l’ensemble des
notices bibliographiques, en mode texte (présentation de notice bibliographique
contenant les notes et les renvois), soit un total de 616 opérations d’au moins 8
touches, sous le CD-ROM. Ce fait démontre que le CD-ROM de la CIB manque
d’ergonomie.
Après cette opération, en utilisant les macros commandes de WORD6 sur DOS,
nous avons construit le format de présentation du libellé des champs et, par
l’utilisation le format de présentation du contenu des champs. En
2 4 1
plus, et encore utilisant INFOTRANS4, nous avons créé les nouveaux champs
suivants:
champ contenant les mots clés existants dans le titre décrit par la
Classe
champ contenant les mots clés existants dans le titre décrit par la
Sous-classe;
Chaque titre de sous-classe décrit la fonction principale de l’objet technique qui doit toujours
soit remplir un besoin ou soit exercer une action sur quelque chose. Un produit ou appareil décrit par le
titre d’une sous-classe remplit toujours un besoin. Par contre, un procédé exerce toujours une action
sur quelque chose.
242
Tableau 2 Extrait de la base CIB créée sous INFOBANK
Champ Description du champ
AGRICULTURE
A01
Tlclass AGRICULTURE FORESTRY ANIMAL HUSBANDRY HUNTING
FISHING
AGRICULTURE FORESTRY ANIMAL HUSBANDRY HUNTING
FISHING
0
0
Tlsousc SOIL WORKING IN AGRICULTURE OR FORESTRY ; PARTS. DFTAILS. OF
ACCESSORIES OF AGRICULTURAL MACHINES OR IMPLEMFNTS.
GENERAL
OIL WORKING AGRICULTURE FORESTRY PARTS DETAILS
AGRICULTURAL MACHINES IMPLEMENTS
making or covering furrows or for sowing, planting or A 01 C
working for engineering E OI, E 02, E 21
AGRICULTURE
A01
Tlclass AGRICULTURE FORESTRY ANIMAL HUSBANDRY HUNTING
FISHING
AGRICULTURE FORESTRY ANIMAL HUSBANDRY HUNTING
FISHING
0
Tlsousc PLANTING SOWING FERTILISING
PLANTING SOWING FERTILISING
with general working of A 01 B parts, details or accessorie!
of agricultural machines or implements, in general A 01 B to A 01 B
Ces éléments environnants sont précisés dans le système CIB par les groupes
principaux, les sous-groupes, notes et renvois.
243
de sous-groupes et principalement dans ceux des notes et des renvois, les éléments
environnants qui représentent le plus adéquatement le contexte de la question.
Cette étape est pleinement satisfaite par le CD-ROM du système CIB. Pour
ceci, il faut utiliser la base des en “mode hiérarchique”, cerner, d’abord
la bonne Section, la Classe, la Sous-classe et, ensuite, descendre dans le groupe
principal concerné. Dans ce groupe il faut basculer la base des données en “mode
texte” et capturer les données dans un fichier.
Pour une analyse propre des données capturées il vaut mieux les reformater
avant l’édition et l’impression finale, par moyen des commandes macros disponibles
dans des logiciels comme WORD6 pour DOS. 3 est un extrait du résultat
de cette tâche.
ou cires
l Blanchiment
Note: Les inventions relatives des procédés utilisant des enzymes ou des
organismes afin de (i) libérer, séparer ou purifier un composé ou une composition
ou de (ii) traiter des textiles ou nettoyer des surfaces solides de
matériaux sont en outre classées dans la sous-classe C 12 S.
244
CERNER ENFIN LES ARGUMENTS PERIPHERIQUES DE LA QUESTION POSEE.
Pour ceci, il est prévu réaliser des recherches dans l’index des mots du système
CIB de manière à ramasser tous les thèmes techniques qui sont probablement en
rapport avec l’objet technique de la question.
La recherche dans la base des données est faite à partir des mots du titre de la
sous-classe concernée par la question posée et en “mode texte”. L’aide de
dictionnaire des mots disponible dans la base est indispensable.
Une recherche bien ciblée sur le thème de la question posée permet souvent de
trouver, dans une seule occurrence de réponse, un résultat qui rassemble tous les
éléments en corrélation avec le sujet de la question tel que le sujet papier présenté
par le tableau 4.
245
En franchissant les trois étapes présentées précédemment, nous
possédons les éléments techniques nécessaires pour entamer un dialogue et
aussi pour réagir immédiatement et sciemment aux réponses proposées par les
sources d’informations formelles ou informelles consultées.
A .2 . G E NE R A L I S AT I O N D E L A DEMARCHE PAR
CONSTRUCTION D’UNE PHRASE
247
B.METHODOLOGIE DE L ’ANALYSE DE S RESULT ATS
DE LA QUESTION POSEE
Une recherche dans une base de données pour être réussite devra
présenter tous les éléments principaux de la question (les verbes qui
représentent l’action principale, les produits ou les procédés qui représentent le
sujet de l’action principal), dans les fréquences d’occurrence les plus hautes.
iii. Faire, au cas échéant, une édition et capture des cent premiers champs
du titre et du code CIB à 4 caractères des références du corpus
bibliographique constitué
248
iv. Traiter ces notices, en élevant les mots vides, à l’aide des logiciels du
traitement de texte type WORD ou du traitement des données type
INFOTRANS
Constituer fichier liste des paires des mots, des codes et des mots
avec les codes, à l’aide des logiciels type DATAVIEW, développé par
l’équipe du Centre des Recherches rétrospectives de Marseille
(CRRM)
Nous disons que les éléments de réponse à une question posée sont
pertinents ou bien ajustés si les paires (les plus représentatives des éléments
de la question) placées dans les plus hautes fréquences se trouvent également
parmi les coefficients de corrélation plafonnés.
Cette condition, en respect à des lois statistiques, telle que celles qui
régissent les comportements des courbes de distribution de données originaires
des corpus bibliographiques, assure aux thèmes porteurs du domaine,
constitués par des paires trouvées à moyenne, faible et très faible fréquence,
Ce type de mesure et d’édition des coefficients des paires est réalisé automatiquement
l’aide du logiciel DATAVIEW qui dispose d’une vaste bibliothèque des coefficients de mesure.
des coefficients de corrélation significatifs (au-dessus de et toujours
250
ANNEXE 1
Cette annexe a
été citée dans la
page 147 et dans la
note 77, page 204
a) L’ensemble de commandes macros développées sous logiciel WORD6 sur
DOS pour construire le fichier d’une sous-classe de la CIB en format tableau. Le
fichier d’origine, extrait de la base de données sous format CD-ROM, qui a subi
ce traitement se trouve après.
«set
origine>
«IF trouvé»
«SET
origine>
non(marquedefin)»
«IF trouvé»
FI
«IF
origine>
252
«COMMENT efface quatre marques de paragraphes e remplace para une»
«COMMENT rendre les chaînes avec vingt-quatre blancs dans les codes
continues»
«COMMENT rendre les chaînes avec vingt-et-un blancs dans les codes
continues»
21
«COMMENT rendre les chaînes avec dix-huis blancs dans les codes continues»
«COMMENT rendre les chaînes avec quinze blancs dans les codes continues»
«COMMENT rendre les chaînes avec douze blancs dans les codes continues»
253
«COMMENT rendre les chaînes avec neuf blancs dans les codes continues»
«COMMENT rendre les chaînes avec sept blancs dans les codes continues»
«COMMENT rendre les chaînes avec quatre blancs dans les codes continues»
.....
254
«COMMENT effacer des blancs dans la hiérarchie»
21 21
origine>
non(marquedefin)»
«IF trouvé»
<origine>
<droite
Note:$
255
«COMMENT mettre les codes au format normalisé CIB: à
21
21
FRE D 21 C
Note
Les inventions relatives à des procédés utilisant des enzymes ou des
micro-organismes afin de (i) libérer, séparer ou purifier un composé ou une
composition préexistants ou de (ii) traiter des textiles ou nettoyer des
surfaces solides de matériaux sont en outre classées dans la sous-classe
c 12 s.
256
. avec des composés générateurs d’oxygène
. Méthodes physiques pour faciliter l’imprégnation
Lessiveurs
Lessiveurs rotatifs
Revêtements
Dispositifs d’approvisionnement
Dispositifs d’évacuation
Dispositifs de chauffage
Dispositifs de régulation ou de commande
Moyens pour faire circuler la lessive
Dispositifs de sécurité
257
Elimination des graisses, résines, poix ou cires
Blanchiment
avec des halogènes ou des composés contenant des halogènes
(D 21 C a priorité)
avec ou des chlorites
avec de l’oxygène ou ses modifications allotropiques
(D 21 C a priorité)
avec de l’ozone
avec des per-composés
Elimination de l’eau (élimination de l’eau en général F 26 B)
258
c) Construction de fichiers sous format liste
Pour la construction des fichiers listes, nous avons utilisé les mêmes
commandes macros présentées précédemment pour traiter les trois dernières
éditions de la de chaque sous-classe à analyser.
Ces fichiers listes ont été comparés par le logiciel Dataliste, développé au
CRRM.
ANNEXE 2
L’article scientifique
Cette annexe a
été citée dans la
page 153
ESTRATÉGIA DE DA
PARA A TOMADA DE
RaimundoNonatoMacedodosSantos(*) 1.
José Gregolin
Lilia Vargas (***) Toda empresa, como outros
Luc Quoniam mos, obrigados a mobilizar
têm de enfrentar
cstranhas seu “status quo” ou
prctendem se desenvolver,
rcm-se mais produtivas, melhorarem a
qualidade dos serviços prestados a
nantes ou necessidade de
de conhecimentos, por
2. Apresentaçào da e é encaminhada àquelas
estudo de soas que dirigem ou trabalham na
sa E m pessoas podem
3. mobilizar os conhecimentos que
4. Referências pelas seguintes vias:
499
A banco de dados, de softwares de tratamentos ¼» texto
(Word macros), de planilhas eletrônicas, de tratamentos de arquivos
e do conhecimento da estrutura do sistema CIP
maticamentc(7):
d d
502
patente é-que mostra a particular do sistema CIP de
ver o técnico dentro do dos estados da técnica que em entre
si. Identificada a existência da a base de dados CIP, que é em
texto, permite se deslocar entre os estados da técnica, construindo com este artificio a
borescência do processo.
503
‘AN
XRAM
Mannanase enzyme and corresp. DNA are produced in recombinant or fungi;
used for hydrolysis of esp. in bleaching lignocellulose pulps
DC Dl6
PA (VALW VALTION TEKNILLINEN TUTKIMUSKESKUS
IN BUCHERT J, RANUA SALOHEIMO A, SIIKA-AH0 L
NP 1
NC 41
PN 93.12.09 (9350)
LA E
DS ‘AT ‘AU ‘BB l BG l BR ‘CA ‘CH l CZ ‘DE ‘DK ‘ES ‘FI ‘GB ‘JP ‘KP l KR l LK ‘LU
*MG *MN ‘MW ‘NL ‘NO l NZ *PL ‘PT l RO ‘RU *SD ‘SE ‘SK ‘US AT BE CH DE
DK ES FR GB GR LU MC NL PT SE
CT
9205.22 93.03.17 193
AP
AB
DNA encoding a Trichoderma enzyme having mannanase (MN) activity is new,
which when transferred into a or fungus strain that strain to produce
MN. new are (a) a vector contg. (1), (b) a recombinant or fungus strain
contg. (c) a process for producing a MN or enzyme mixt. by (i) treating a T. reesei
culture medium with bentonite, (ii) subjecting the medium to first exchange
then to exchange at pH 7-7.5, (iii) collecüng the eluates and purifying by
interaction chromatography, and (iv) opt. subjecting prod. to additional
rificn., and (d) an enzyme prepn. contg. 1 MN produced by with
MN activity and an isoeiectric point (pl) of 3.8, 4.1, 4.5, 5.4 or 6.5, as
mined by isoelectric focusing.
Pref. hybridises to the of (in specification), and the
pref. Saccharomyces cerevisiae or Trichoderma species. In hydrolysis, the
nans of cellulose are hydrolysed by MN and pref. of at least The MN
treatment (pref. with xylanase) is before bleaching (chlorine-free or
ide) of sulphite
The MN is used for the hydrolysation of mannopolymers esp. in
with the bleaching of lignocellulose pulps. The MN prepn. is more
in hydrolysis than MN from and the brightness produced by
chlorine-free bleaching processes is increased using the new MN.
MC
MANNANASE ENZYME CORRESPOND DNA PRODUCE RECOMBINATION
FUNGUS HYDROLYSIS MANN0 POLYMER BLEACH LIGNOCELLULOSE
base e a(s) patente(s) equivalente(s)( 13). Uma patente equivalente corresponde a patente
estendida a pais que a patente do pais que detém a prioridade.
504
que na realidadc é uma Assim, as de de patente da
que produtor da base WPIL, sejam elas seja a
patente de base, a o index da informaçao de sua aditado PR
da Este uma informaçao de multiprioridades para uma
patente o que existe de
AN
(VALW ) VALTION TEKNILLINEN TUTKIMUSKESKUS
VALW
PN wo
DS ‘AT ‘AU l BB l BG ‘BR *CA *CH l CZ ‘DE ‘DK *ES ‘FI *GB l HU ‘JP ‘KP l KR l LK ‘LU
‘MG *MN ‘MW l NL ‘NO ‘NZ ‘PL *PT ‘RU ‘SD ‘SE ‘SK ‘UA *US AT BE CH DE
DK ES FR GB GR LU MC NL PT SE
PR7 92
DC
MC
MANNANASE ENZYME CORRESPOND DNA PRODUCE RECOMBINATION
FUNGUS HYDROLYSIS MANN0 POLYMER BLEACH LIGNOCELLULOSE PULP
506
0 acesso em linha. sobre as patentes de prioridade brasilcira ou
mo dc pntcntcs cstcndidus dc
nais, como WPIL.
3.
No de
Icvar em cm dc
ros ou que para
507
ìò
ëðè
ANNEXE 3
Cette annexe a
été citée note 75,
page 196
FRE C 12 N
C 12 N MICRO-ORGANISMES OU ENZYMES; COMPOSITIONS LES CONTENANT
(biocides, produits repoussant ou attirant les animaux nuisibles, ou régulateurs de croissance
des végétaux, contenant des micro-organismes, des virus, des champignons microscopiques,
des enzymes, des produits de fermentation ou des substances obtenues par ou extraites de
micro-organismes ou de substances animales A 01 N compositions pour l’alimentation A
21, A 23; préparations usage médical A 61 K; aspects chimiques des bandages, des
pansements, des garnitures absorbantes ou des articles chirurgicaux, ou utilisation de materiaux
pour leur réalisation A 61 L; engrais C 05); CULTURE OU CONSERVATION DE
ORGANISMES (conservation de parties vivantes des corps humains ou animaux A 01 N
TECHNIQUES DE MUTATION OU DE GENETIQUE; MILIEUX DE CULTURE (milieux pour
essais microbiologiques C 12 Q)
Notes
(1) II est important de tenir compte de la note (1) qui suit le titre de classe C 12.
(2) II est important de tenir compte des notes (2) (3) qui suivent le titre de la classe C 12, qui
définit l’expression “micro-organismes”.
262
1136 . Adaptation ou de cellules
Stimulation chimique de la croissance ou de l’activité par addition de composes
chimiques qui ne sont pas des facteurs essentiels de croissance; Stimulation de la croissance
par élimination d’un compose chimique (C 12 N a priorite)
Procédés pour former ou isoler des spores
Cellules non différenciées humaines, animales ou végétales, p. ex. lignées cellulaires;
Tissus; Leur culture ou conservation; Milieux de culture cet effet (reproduction de plantes par
des techniques de culture de tissus A 01 H
Propagation de cellules individuelles ou de cellules en suspension; Leur conservation;
Milieux de culture 8 cet effet
Cellules ou tissus végétaux
Cellules ou tissus animaux
Cellules ou tissus humains
Cellules modifiées par l’introduction de matériel génétique étranger, p. ex. cellules
transformées par des virus
Cellules fusionnées, p. ex. hybridomes
Cellules végétales
Cellules animales
Cellules murines, p. ex. cellules de souris
un des partenaires de la fusion étant un lymphocyte B
Cellules humaines
un des partenaires de la fusion étant un lymphocyte B
Cellules résultant d’une fusion inter-espèces
un des partenaires de la fusion étant une cellule humaine
Virus, p. ex. bactériophages; Compositions les contenant; Leur préparation ou
purification (préparations usage médical contenant des virus A 61 K préparation de
compositions usage médical contenant des antigènes ou des anticorps viraux, ex. de
vaccins viraux, A 61 K
Virus, ex. bactériophages, modifiés par l’introduction de matériel étranger
(vecteurs C 12 N
Isolement ou purification
Inactivation ou atténuation; Production de parties Alémentaires de virus
par traitement chimique
par passages successifs de virus
Enzymes, ex. ligases (6.); Proenzymes; Compositions les contenant (préparations
pour le nettoyage des dents contenant des enzymes A 61 K préparations usage médical
contenant des enzymes A 61 K compositions détergentes contenant des enzymes C 11
D); Procédés pour préparer, activer, inhiber, séparer ou purifier des enzymes (préparation du
malt C 12 C
Note
Dans le groupe:
--- les proenzymes sont classes avec les enzymes correspondants;
___ le classement ci-dessous pour les enzymes suit en principe celui de la
et classification des enzymes” de la Commission internationale pour les enzymes. Lorsque c’est
le cas, cette désignation figure entre parenthéses dans les groupes ci-dessous.
Oxydoreductases ex.
agissant sur des groupes CHOH comme donneurs, ex. oxydase de glucose,
lactique (1.1)
agissant sur des composes contenant de l’azote comme donneurs (1.4, 1.5, 1.7)
agissant sur le peroxyde d’hydrogéne comme accepteur (1.11)
Transférases (2.) (ribonucléases C 12 N
transferant des groupes contenant du phosphore, ex. kinases (2.7)
. Hydrolases (3.)
agissant sur les liaisons esters (3.1)
Hydrolases agissant sur les esters d’acides carboxyliques
Scission des triglycérides, ex. au moyen de lipase
Ribonucléases
agissant sur les composes glycosyliques (3.2)
agissant sur les liaisons 4, p. ex. hyaluronidase, invertase,
amylase
_-amylase d’origine microbienne, p. ex. amylase
d’origine fongique
d’origine végétale
Glucoamylase
agissant sur les liaisons 4 de l’acide N-acétylmuramique avec I’acétylamino-2
déoxy-2-D-glucose, p. ex. lysozyme
agissant sur les liaisons p. ex.
agissant sur les liaisons p. ex. _-galactosidase
agissant sur les liaisons 4, p. ex.
agissant sur les liaisons 6, p. ex. iso-amylase, pullulanase
Dextranase
agissant sur les liaisons peptidiques, p. ex. thromboplastine, aminopeptidase de la
leucine (3.4)
Protéinases
provenant de
les bactéries étant du genre Bacillus
Bacillus subtilis ou Bacillus licheniformis
provenant de fongi
de levure
piégées l’intérieur du support, p. ex. dans un gel, dans une fibre creuse
11106 au support au moyen d’un agent de pontage
. . le support un polymére
. . le support étant un hydrate de carbone
Cellulose ou ses
Enzymes, ou cellules microbiennes, immobilisées sur ou dans un support minéral
Enzymes, ou cellules microbiennes, immobilisées sur ou dans une cellule biologique
Systémes multi-enzymatiques
Traitement de micro-organismes ou d’enzymes par énergie électrique ou ondulatoire, p.
ex. par par des ondes sonores
Techniques de mutation ou génie génétique; ADN ou ARN concernant le génie
génétique, vecteurs, p. ex. plasmides, ou leur isolement, leur préparation ou leur purification;
Utilisation d’hôtes pour ceux-ci (mutants ou micro-organismes modifies par génie génétique en
soi C 12 N C 12 N C 12 N nouveautés végétales en soi A H; reproduction de
plantes par des techniques de culture de tissus A 01 H nouvelles races d’animaux en soi A
01 K utilisation de préparations médicinales contenant du matériel génétique qui est
introduit dans des cellules du corps vivant pour traiter des maladies thérapie
génique A 61 K
Note
Le présent groupe couvre les procédés dans lesquels il y a une modification
du stock génétique qui n’interviendrait pas normalement dans la nature sans
l’intervention de l’homme, ce qui produit un changement dans la structure
des génes lequel est transmis aux générations suivantes.
Note
Les anticorps monoclonaux
--- dont la seule caractéristique réside dans le choix des partenaires de fusion pour préparer
I’hybridome cet effet sont classés uniquement dans le groupe C 12 N
--- dont la seule caractéristique réside dans la spécificité des anticorps obtenus sont classes
uniquement dans le groupe C 12 P s’ils sont produits par des procédés de fermentation
ou des procédés utilisant des enzymes;
--- ou leurs dérivés sont classes dans le groupe C 07 K s’ils ne sont pas produits par des
procédés de fermentation ou des procédés utilisant des enzymes.
Note
Les anticorps monoclonaux
--- dont la seule caractéristique dans le choix des partenaires de fusion pour préparer
I’hybridome cet effet sont classes uniquement dans le groupe C 12 N
dont la seule caractéristique réside dans la spécificité des anticorps obtenus sont classés
uniquement dans le groupe C 12 P s’ils sont produits par des procédés de fermentation
ou des utilisant des enzymes;
--- ou leurs dérivés sont classes dans le groupe C 07 K s’ils ne sont pas produits par des
procédés de fermentation ou des procédés utilisant des enzymes.
Bacteries
Fongi
Cellules végétales
Cellules animales
. . Cellules humaines
15108 Cellules d’une fusion
15109 Technologie recombinant
Procédés pour l’isolement, la preparation ou la purification ou
(préparation chimique ou C 07 H 21100; preparation de polynucléotides non
structuraux partir de micro-organismes ou l’aide d’enzymes C 12 P
Fragments ou Leurs formes modifiées (ADN ou ARN non utilisés en
technologie de recombinaison C 07 H
Génes codant pour des protéines animales
Immunoglobulines
Sérum albumines humaines
Inhibiteurs de protéases, p. ex. antithrombine, antitrypsine, hirudine
H orm ones
Insulines
Hormones de croissance
Interférons; Lymphokines; Cytokines
Interférons
fi-interférons
_-interférons
Interleukines
Interleukine-1
Interleukine-2
Facteurs stimulant de colonies
Facteurs de nécroses de tumeurs
Gènes codant pour des protéines végétales, p. ex. thaumatine
Génes codant pour des protéines protozoaires, p. ex. Plasmodium, Trypanosoma,
Eiméria
Génes codant pour des protéines microbiennes, ex. entérotoxines
Protéines de de
Gènes codant pour des protéines virales
de virus ADN
Parvoviridae, ex. virus de l’aleucémie féline, parvovirus humain
Hepadnaviridae
Papovaviridae, p. ex. virus du papillome, virus du polyome, SV 40
Herpétoviridae, p. ex. virus de simplex, herpesvirus virus
Epstein-Barr, cytomégalovirus, virus de la pseudorage
Poxviridae, p. ex. virus de la vaccine, virus de la variole
Protéines de virus ARN, p. ex. flavivirus
Picomaviridae, p. ex. rhinovirus, virus coxsackie, échovirus, entérovirus
Virus de la fiévre aphteuse
Virus de la poliomyélite
Orthomyxoviridae, p. ex. virus de I’influenza
Paramyxoviridae, p. ex. virus de la rougeole, virus des oreillons, virus de la
maladie de Newcastle, virus de la maladie de Carré, virus de la peste bovine, virus respiratoires
syncytiaux
Réoviridae, p. ex. rotavirus, virus de la langue bleue du mouton, virus de la
fièvre tiques du Colorado
Rhabdoviridae, p. ex. virus de la rage, virus de la stomatite vésiculaire
Rétroviridae, ex. virus de la leucémie bovine, virus de la leucémie féline,
HIV
Lentiviridae, p. ex. virus du déficit immunitaire, virus virus de
l’anémie infectieuse équine
Coronaviridae, ex. virus de la bronchite infeetieuse, virus de la
transmissible
. . . . . Virus de I’hépatite
Génes codant pour des enzymes ou des proenzymes
Note
Dans le présent groupe:
-- les génes codant pour des proenzymes sont classes avec les gènes correspondants codant
pour des enzymes;
le classement prévu ci-dessous pour les enzymes suit en principe celui de la “Nomenclature
et classification des enzymes” de la Commission internationale pour les enzymes. Lorsque c’est
le cas, cette désignation figure entre parenthéses dans les groupes ci-dessous.
Oxydoreductases (1)
Transférases (2)
Hydrolases (3)
agissant sur les composes glycosyliques p. ex. amylase, galactosidase,
lysozyme
agissant sur les liaisons peptidiques (3.4)
Activateurs du plasminogéne, p. ex. urokinase, ATP
Chymosine
Lyases (4)
Isomérases (5)
Séquences codant pour des protéines de fusion
Note
Dans le groupe, l’expression suivante a la signification ci-dessous
indiquée:
--- “fusion” signifie la fusion de deux protéines différentes.
Note
Dans le présent groupe, l’expression suivante a la signification ci-dessous
indiquée: -- “linkers non fonctionnels” signifie des séquences qui
sont utilisées pour lier des séquences et qui n’ont pas de fonction
connue de gène de structure ou de fonction de régulation.
Notes
(1) Le présent groupe couvre l’utilisation de E. comme hôte.
(2) Les vecteurs navettes se répliquant également dans E. sont classés selon l’autre
ò ò ò ò Systémes d’expression utilisant des séquences de
trp
Systémes d’expression utilisant des séquences regulatrices dérivées de
lac
Systémes d’expression utilisant des séquences régulatrices du phage
Vecteurs ou systémes d’expression spécialement adaptés aux hôtes procaryotes
autres que E. p. ex. Lactobacillus, Micromonospora
Note
Le présent groupe couvre l’utilisation de comme hôtes.
pour
pour Actinomyces; pour Streptomyces
pour Corynebacterium; pour Brevibacterium
pour Pseudomonas
Vecteurs ou systèmes d’expression spécialement adaptés aux hôtes eucaryotes
Note
Le présent groupe couvre l’utilisation d’eucaryotes comme hôtes.
pour fongi
. . . . pour levures
pour cellules végétales
Vecteurs viraux, p. ex. virus de la mosaïque du chou-fleur
Plasmides Ti
pour cellules animales
Vecteurs viraux, ex. virus de la vaccine
Introduction de matériel génétique étranger utilisant des procédés non prévus
ailleurs, p. ex. co-transformation
utilisant la micro-encapsulation, p. ex. utilisant des liposomiques
utilisant la micro-injection
Introduction stable étranger dans le chromosome
C 12 P PROCEDES DE FERMENTATION OU PROCEDES UTILISANT DES ENZYMES
POUR LA SYNTHESE D’UN COMPOSE CHIMIQUE DONNE OU D’UNE COMPOSITION
DONNEE, OU POUR LA SEPARATION D’ISOMERES OPTIQUES A PARTIR D’UN MELANGE
RACEMIQUE (procédés de fermentation pour obtenir des compositions alimentaires A 21, A 23;
composes en soi, voir les classes de composés appropriees, p. ex. C 01, C 07; brassage de la
bière C 12 C; production du vinaigre C 12 J; de production d’enzymes en soi C 12 N
ADN ou ARN concernant le génie vecteurs, p. ex. plasmides, ou leur isolement,
leur preparation ou leur purification C 12 N
Notes
(1) La présente sous-classe couvre toutes les modifications chimiques qu’elles soient
importantes ou non.
(2) Le groupe C 12 P couvre les procédés de production de composes organiques
insuffisamment identifies pour être classes dans les groupes C 12 P C 12 P Les
composes identifiés uniquement par leur formule empirique ne sont pas considérés comme
suffisamment identifies.
(3) II est important de tenir compte des notes (1) (3) qui suivent le titre de la classe C 12.
(4) Si une réaction particulière est comme présentant un intérêt, elle est également
classée dans la classe prévue pour le compose chimique, p. ex. C 07, C 08.
(5) Dans la présente sous-classe:
--- les sels de métaux ou d’ammonium d’un compose sont classes comme les composes.
--- les compositions sont classées dans les groupes prévus pour les composes.
ò ò ò Acide gulonique
Esters des acides carboxyliques
Graisses; Huiles; Cires du type ester; Acides gras supérieurs, c. d. ayant une chaîne
droite d’au moins sept atomes de carbone liée un groupe carboxyle; Huiles ou graisses
oxydées
contenant la structure quinoïde
Préparation de composés organiques contenant un métal ou un atome autre que H, N,
C, 0, S ou un halogéne
11 ÖÑð Préparation de composés organiques contenant du soufre
Préparation de composes organiques contenant de l’azote
ò Amides, ex.
îéð
17118 . contenant plusieurs condensés entre eux ou avec un
carbocyclique commun, p. ex. rifamycine
19100 de composés contenant des radicaux saccharide (acides C
12 P
Note
Il est important de tenir compte de la note (3) qui suit le titre de la
sous-classe C 07 H, qui définit l’expression “radical saccharide”.
avec deux radicaux saccharide liés uniquement par un oxygéne des atomes de
carbone adjacents du cycle cyclohexyle, p. ex. ambutyrosine, ribostamycine
contenant au moins trois radicaux saccharide, p. ex. néomycine, lividomycine
Notes
(1) Dans les groupes C 12 P C 12 P les expressions suivantes ont la signification
ci-dessous indiquée:
___ “action”, “formation”, “hydroxylation”, “déshydroxylation” et “déshydrogenation” indiquent
l’action d’un micro-organisme ou d’une enzyme plutôt qu’une autre réaction chimique.
(2) II est important de tenir compte de la note qui suit le titre de la sous-classe C 07 J, qui
explique ce qui est couvert par l’expression
Déshydrogénation; Déshydroxylation
Formation d’un cycle aryle partir d’un cycle A
Hydroxylation
en position 11
en position
Action sur le cycle D
Hydroxylation en position 16
Action en position 17
Hydroxylation en position 17
contenant des
Préparation de composés comportant un systéme cyclique thia-5 aza-1 bicyclo
octane, p. ex. cephalosporine
par desacylation du substituant en position 7
par acylation du substituant en position 7
Céphalosporine C; Ses dérivés
disubstitués en position 7
Préparation de composés comportant un système cyclique thia-4 aza-1 bicyclo
heptane, p. ex. pénicilline
en présence d’acide phénylacetique, de phénylacétamide ou de leurs dérivés
par acylation du substituant en position 6
37106 . par désacylation du substituant en position 6
Procédés faisant intervenir des micro-organismes de différents genres
dans le procédé
41100 Procédés utilisant des enzymes ou des micro-organismes pour la séparation d’isoméres
optiques partir d’un mélange racémique
ANNEXE 4
Cette annexe a
été citée dans les
notes 70, 72 et 76,
respectivement
pages
a) brevet US
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US 755242185
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(INPADOC)
PN AU [AU8661 87.02.10
TI NOVEL ENZYMES FOR DEGRADATION OF LIGNIN
IN FARRELL KIRK THOMAS; TIEN MING
PA REPLIGEN CORP; US AGRICULTURE
AP 86.07.11 61385/86-A
PR 86.07.11 WO 85.07.15 US 755242/85-A
US 845655/86-A
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(INPADOC)
PN AU 602869-82 90.11
TI NOVEL ENZYMES FOR DEGRADATION OF LIGNIN
IN FARRELL KIRK THOMAS; TIEN MING
PA REPLIGEN CORP
AP 86.07.11 61385186-A
PR 86.07.11 WO 8507.15 US 755242/85-A
US 845655186-A
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(INPADOC)
PN BR 8606809-A 87.10.13
TI RLDM TM E 6 SUBSTANCIALMENTE ISENTAS DE PROTEASES E
CULTURA MUTANTE BIOLOGICAMENTE
IN FARRELL [US]; KIRK THOMAS [US]; TIEN MING [US]
PA REPLIGEN CORP [US]; US OF REPRESENTADO POR [US]
AP 86.07.11 8606809186-A
PR 85.07.15 US 755242185-A 86.03.28 US 845655/86-A
WO
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(INPADOC)
PN CA (CA12681321 90.04.24
TI ENZYMES WHICH CATALYZE THE DEGRADATION AND MODIFICATION OF
LIGNIN
LA -ENG
IN FARRELL KIRK THOMAS K; TIEN MING
PA REPLIGEN CORP; US AGRICULTURE
AP 86.07.15 513786/86-A
PR 85.07.15 US 755242185-A US 845655186-A
8456551
ND -AR
(INPADOC)
PN DE 92.07.02
ENZYME FUER DEN ABBAU VON LIGNIN.
IN FARRELL [US]; KIRK THOMAS [US]; TIEN MING [US]
PA REPLIGEN CORP [US]; US AGRICULTURE [US]
AP 86.07.11
PR 86.07.11 WO 85.07.15 US 755242185-A
US 845655186-A
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PR 86.07.11 WO 8507.15 US 755242/85-A
US 845655/86-A
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PR 86.07.11 WO 85.07.15 US 755242185-A
US 845655/86-A
ND IN IV PA AS AR
(INPADOC)
PN KR 90.10.17
TI NOVEL ENZYMES FOR DEGRATATION OF LIGNIN
IN FARRELL [US]; THOMAS KIRK [US]; MING TIEN [US]
PA REPLIGEN CORP [US]; US AGRICULTURE [US]
AP 87.03.14 8770219/87-A
PR 85.07.15 US 755242/85-A 86.03.28 US 845655/86-A
WO
IC
(INPADOC)
PN NO 8710606 87.03.13
NYE ENZYMER FOR NEDBRYTNING AV LIGNIN.
IN FARRELL KIRK THOMAS; TIEN MING
PA REPLIGEN CORP [US]; US AGRICULTURE [US]
AP 87.03.13 871060/87-A
PR 85.07.15 US 755242/85-A 86.03.28 US 845655/86-A
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(INPADOC)
PN NO 87.03.13
TI NYE ENZYMER FOR NEDBRYTNING AV LIGNIN.
IN FARRELL KIRK THOMAS; TIEN MING
PA REPLIGEN CORP [US]; US AGRICULTURE [US]
AP 87.03.13 871060/87-A
PR 85.07.15 US 755242185-A 86.03.28 US 845655/86-A
WO
(INPADOC)
PN NZ 230982-A 92.08.26
LIGNIN DEGRADING ENZYMES AND THEIR MICROBIOLOGICAL PRODUCTION
IN FARRELL L; KIRK THOMAS KENT; MING TIEN
PA REPLIGEN CORP; US GOVERNMENT
AP 86.07.02 230982/86-A
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NOVEL ENZYMES WHICH CATALYZE THE DEGRADATION AND MODIFICATION
OF LIGNIN
IN FARRELL L [US]; KIRK THOMAS K [US]; TIEN MING [US]
PA REPLIGEN CORP [US]; US AGRICULTURE [US]
AP 86.03.28 845655/86-A
PR 85.07.15 US
0011645
(INPADOC)
PN WO 13000 87.01.29
TI NOVEL ENZYMES FOR DEGRADATION OF LIGNIN
LA -ENG
IN FARRELL [US]; KIRK THOMAS [US]; TIEN MING [US] ,
PA REPLIGEN CORP [US]; US [US]
AP 86.07.11
PR 85.07.15 US 755242/85-A US 845655/86-A
8456551
IC
DS *AU *FI *JP ‘KR *NO AT BE CF CG CH CM DE FR GA GB IT LU ML MR
NL SE SN TD TG
CXR
WXR 87-037262 (C)
(INPADOC)
PN ZA 8605254-A 87.03.25
TI NOVEL ENZYMES WHICH CATALYZE THE DEGRADATION AND MODIFICATION
OF LIGNIN
IN FARRELL FARRELL; KIRK THOMAS K; THOMAS K KIRK;
TIEN MING TIEN
PA REPLIGEN CORP
AP 86.07.15 5254/86-A
PR 85.07.15 US 755242/85-A
IC C-000/00;
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LEGAL STATUS INFORMATION l **
PN AT 76660
DT -AT-R
021068
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ACT 92.0527 DESIGNATED CONTRACTING STATES MENTIONED IN
A PATENT SPECIFICATION IN EINER PATENTSCHRIFT ANGEFUEHRTE BENANNTE
VERTRAGSSTAATEN AT BE CH DE FR GB IT LI LU NL SE
ACT 92.05.27 [+] PATENT SPECIFICATION PATENTSCHRIFT
ACT 92.0527 EP/REF-R IN REGISTERED AS: IN AT EINGETRAGEN
ALS: (AT 76660 92.06.15)
ACT 92.07.02 CORRESPONDS TO: ENTSPRICHT (DE 3685487
92.07.02)
ACT 92.10.09 [+] FR: TRANSLATION FILED FR: TRADUCTION A ETE
REMISE
ACT 93.05.19 NO OPPOSITION FILED KEIN EINSPRUCH EINGELEGT
ACT 94.03.31 CH: PATENT CEASED CH:
UP -9414
PN US 4687741
DT -US-P
ACT 86.03.28 APPLICATION DATA (PATENT) {US 845655186
8456551 86.03.28)
ACT 87.08.18 US/A PATENT
ACT 88.04.05 CERTIFICATE OF CORRECTION
UP -8942
-LS
PN WO 8700550
DT WO-P
ACT 86.07.11 APPLICATION DATA
86.07.11)
ACT 87.01.29 WOIAK-Al [+] DESIGNATED STATES CITED IN A PUBLISHED
APPLICATION SEARCH REPORT AU BR DK FI JP KR NO
ACT 87.01.29 [+] DESIGNATED COUNTRIES FOR REGIONAL PATENTS
CITED IN A PUBLISHED APPLICATION WITH SEARCH REPORT AT BE CF CG CH CM
DE FR GA GB IT LU ML MR NL SE SN TD TG
ACT 87.01.29 [+] PUBLICATION OF THE INTERNATIONAL APPLICATION
WITH THE INTERNATIONAL SEARCH REPORT
UP 8942
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PN AU 89.10.19
PROCESS FOR THE USE OF LIGNINOLYTIC ENZYMES
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PA REPLIGEN CORP
AP 86.07.11 61412/86-A
PR 86.07.11 WO 8507.15 US 755243/85-A
85.07.15 US 755244/85-A 85.07.15 US 755245/85-A
86.03.28 US 845654/86-A 86.03.28 US 845656/86-A
US 845657186-A
D21 C-01
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(INPADOC)
PN BR 8606775-A 87.10.13
PROCESSO DE TRATAMENTO E PARA ALVEJAR POLPA KRAFT
IN FARRELL [US]
PA REPLIGEN CORP [US]
AP 86.07.11 8606775186-A
PR 85.07.15 US 755243/85-A 85.07.15 US 755244185-A
7552441 85.07.15 US 755245/85-A 86.03.28 US 845654/86-A
8456541 86.03.28 US 845656/86-A 86.03.28 US 845657/86-A
WO
(INPADOC)
PN CA 89.02.07
USE OF LIGNINOLYTIC ENZYMES
LA -ENG
IN FARRELL
PA REPLIGEN CORP
AP 86.07.15 513787/86-A
PR US 755243/85-A 85.07.15 US 755244185-A
7552441 85.07.15 US 755245/85-A 86.03.28 US 845654186-A
8456541 86.03.28 US 845656/86-A 86.03.28 US 845657186-A
8456571
IC
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80’01’26 3a Nd
PN DK 87.03.13
FREMGANGSMAADE TIL ANVENDELSE AF RLDMTM 1-6 OG ANDRE
LIGNINOLYTISKE ENZYMER
IN FARRELL
PA REPLIGEN CORP [US]
AP 87.03.13 1296/87-A
PR 85.07.15 US 755243185-A 85.07.15 US 755244/85-A
7552441 85.07.15 US 755245/85-A 86.07.11 WO
0;
-10- (INPADOC)
PN EP [EP-2312751 87.08.12
USE OF RLDM?TM l-6 AND OTHER LIGNINOLYTIC ENZYMES
LA -E
IN FARRELL
PA REPLIGEN CORP [US]
AP 86.07.11 86904676/86-A
PR 85.07.15 US 755243185-A 85.07.15 US 755244185-A
7552441 85.07.15 US 755245/85-A 86.03.28 US 845654186-A
86.03.28 US 845656/86-A 86.03.28 US 845657/86-A
WO
IC C-009/00;
DS *AT *BE *CH *DE *FR *GB l Ll *LU l NL *SE
-1 (INPADOC)
PN EP [EP-2312751 92.09.02
TI USE OF LIGNINOLYTIC ENZYMES IN PAPER PULP PRODUCTION
LA -E
IN FARRELL [US]
PA REPLIGEN CORP [US]
AP 86.07.11 86904676/86-A
PR 86.07.11 WO US)-W 85.07.15 US 755243/85-A
85.07.15 US 755244/85-A 85.07.15 US 755245185-A
86.03.28 US 845654/86-A 86.03.28 US 845656186-A
86.03.28 US 845657/86-A
IC C-009/00;
DS *AT *BE *CH *DE *FR *GB l lT *LU *SE
(INPADOC)
682
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82’60’98
Vd
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3 a 1 3 I l
Nd
PA REPLIGEN CORP [US]
ßÐ èéïðèçñèéóß
PR 8507.15 US 755243/85-A 85.07.15 US 755244/85-A
7552441 85.07.15 US 755245/85-A 86.03.28 US 845654/86-A
8456541 US 845656/86-A 86.03.28 US 845657/86-A
WO
D21 C-009/00; Cl
(INPADOC)
PN FI 87473-C 93.01.11
ANVAENDNING AV OCH ANDRA LIGNINOLYTISKA ENZYMER
IN FARRELL [US]
PA REPLIGEN CORP [US]
AP 87.03.12 871089/87-A
PR 85.07.15 US 755243/85-A 85.07.15 US 755244/85-A
7552441 85.07.15 US 755245/85-A 86.03.28 US 845654/86-A [SSUS-
8456541 86.03.28 US 845656/86-A 86.03.28 US 845657/86-A [SSUS-
WO
IC
(INPADOC)
PN GR 861829-A [GR-8618291 87.08.26
USE OF (T LDM)TM l-6 AND OTHER LIGNINOLYTIC ENZYMES
IN FARRELL
PA REPLIGEN CORP
AP 86.07.14 861829/86-A
PR 85.07.15 US 755243/85-A 85.07.15 US 755244185-A
7552441 85.07.15 US 755245/85-A 86.03.28 US 845654/86-A
845654) 86.03.28 US 845656/86-A 86.03.28 US 845657/86-A [SSUS-
8456571
ND ICAR
(INPADOC)
PN IN 167741-A 90.12.15
TI -A PROCESS FOR PREPARING IMPROVED WOOD PULP
IN FARRELL
PA REPLIGEN CORP
AP 86.07.11
PR 8507.15 US 755243/85-A 85.07.15 US 755244185-A
7552441 85.07.15 US 755245/85-A 86.03.28 US 845654186-A
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ANVENDELSE AV RLDM-TM-l-6 OG ANDRE LIGNINOLYTISKE
IN FARRELL
PA REPLIGEN CORP [US]
AP 87.03.13 871061187-A
PR 8507.15 US 755243185-A 85.07.15 US 755244/85-A
7552441 85.07.15 US 755245185-A 86.03.28 US 845654/86-A
US 845656186-A 86.03.28 US 845657/86-A
WO
IC
(INPADOC)
PN NZ 216726-A [NZ-2167261 90.08.28
TI USE OF LIGNIN-DEGRADING ENZYMES FROM PHANEROCHAETE
CHRYSOSPORIUM FOR TREATMENT OF WOOD PULP AND El EFFLUENT
IN FARRELL
PA REPLIGEN CORP
AP 86.07.02 216726186-A
PR 85.07.15 US 755243185-A 85.07.15 US 755244185-A
85.07.15 US 755245/85-A 86.03.28 US 845654/86-A
86.03.28 US 845656186-A 86.03.28 US 845657/86-A [SSUS-
8456571
IC C-009/00; 0; C-OI
ND -AR
(INPADOC)
PN PH 22750-A 88.11.28
USE OF RLDMTM l-6 AND OTHER LIGNINOLYTIC ENZYMES
IN FARRELL
PA REPLIGEN CORP
AP 86.07.11 34008186-A
PR 86.03.28 US 845656186-A 86.03.28 US 845657186-A
86.03.28 US 845654186-A 85.07.15 US 755244185-A
7552441 85.07.15 US 755245185-A 85.07.15 US 755243185-A
IC D-003/00; 0; C-003/00;
ND -AR
(INPADOC)
PN PH 24238-A 90.05.04
TI USE OF RLDMTM l-6 AND OTHER LIGNINOLYTIC ENZYMES
NI
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V-98108628
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PA REPLIGEN CORP [US]
AP 86.07.14 82980186-A
PR 8507.15 US 755243185-A 85.07.15 US 755244/85-A
7552441 85.07.15 US 755245/85-A 86.03.28 US 845654/86-A
8456541 86.03.28 US 845656186-A 86.03.28 US 845657186-A
8456571
(INPADOC)
PN US 4687745-A 87.08.18
USE OF RLDM(TRADEMARK) l-6 AND OTHER LIGNINOLYTIC ENZYMES IN THE
TREATMENT OF MECHANICAL PULPS
IN FARRELL L [US]
PA REPLIGEN CORP [US]
AP 86.03.28 845656/86-A
PR 85.07.15 US
IC
(INPADOC)
PN US 4690895-A 87.09.01
TI USE OF RLDM(TRADEMARK) ´óê AND OTHER LIGNINOLYTIC ENZYMES IN THE
BLEACHING OF KRAFT PULP
IN FARRELL L [US]
PA REPLIGEN CORP [US]
AP 86.03.28 845654/86-A
PR 85.07.15 US
(INPADOC)
PN US 4692413-A
TI USE OF RLDM(TRADEMARK) l-6 AND OTHER LIGNINOLYTIC ENZYMES FOR
THE DECOLORIZATION OF El EFFLUENT
IN FARRELL L [US]
PA REPLIGEN CORP [US]
AP 86.03.28 845657/86-A
PR 85.07.15 US
(INPADOC)
PN WO 87.01.29
TI USE OF RLDMTM l-6 AND OTHER LIGNINOLYTIC ENZYMES
68 108 Nd
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(3)
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Vd
NI
ACT 92.09.15 CORRESPONDS TO EP-PATENT ENTSPRICHT
PATENT (EP 231275 [EP-2312751 92.09.02)
ACT 93.04.15 PUBLI CATI ON OF TRANSLATION OF EUROPEEN
PATENT UEBERSETZUNG DER EUROPAEISCHEN
PATENTSCHRIFT AUSGEGEBEN
UP -9316
-LS
PN DE 3686647
DT -DE-P
ACT 92.10.08 CORRESPONDS TO ENTSPRICHT (EP 231275
2312751 92.10.08)
ACT 93.02.11 DE/8373 TRANSLATION OF PATENT DOCUMENT OF
PATENT WAS RECEIVED AND HAS BEEN PUBLISHED UEBERSETZUNG DER
PATENTSCHRIFT DES EUROPAEISCHEN PATENTES IST EINGEGANGEN UND
WORDEN
ACT 93.09.30 DE/8364 [+] NO OPPOSITION TERM OF OPPOSITION
EINSPRUCHSFRIST ABGELAUFEN DASS EINSPRUCH ERHOBEN WURDE
UP 9339
PN DK 1296187
DT DK-A
ACT 87.03.13 [+] PUBLISHED APPLICATION
ACT 87.03.13 DATA OF DOMESTIC APPLICATION (DK 1296187
0012961 87.03.13)
ACT 92.03.30 APPLICATION SHELVED DUE TO NON-PAYMENT
UP -9214
PN EP 231275 [EP-2312751
DT EP-P
ACT 86.07.11 EP/AE-A EP-APPLICATION EUROPAEISCHE ANMELDUNG {EP
86.07.11)
ACT 87.08.12 EP/AK-Al [+] DESIGNATED CONTRACTING STATES IN AN
APPLICATION SEARCH REPORT IN EINER ANMELDUNG BENANNTE
VERTRAGSSTAATEN AT BE CH DE FR GB IT LI LU NL SE
ACT 87.08.12 [+] PUBLICATION OF APPLICATION WITH SEARCH REPORT
VEROEFFENTLICHUNG DER ANMELDUNG MIT RECHERCHENBERICHT
d-sn
Sn Nd
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-9
8
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68 108
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DL
ACT APPLICATION DATA (PATENT) {US
8456571 86.03.28)
ACT 87.09.08 US/A PATENT
ACT 88.02.16 CERTIFICATE OF CORRECTION
UP -8942
-LS
PN WO 8700564
DT WO-P
ACT 86.07.11 APPLICATION DATA
86.07.11)
ACT 87.01.29 [+] DESIGNATED STATES CITED IN A PUBLISHED
APPLICATION WITH SEARCH REPORT AU BR DK FI JP KR NO
ACT 87.01.29 DESIGNATED COUNTRIES FOR REGIONAL PATENTS
CITED IN A PUBLISHED APPLICATION WITH SEARCH REPORT AT BE CF CG CH CM
DE FR GA GB IT LU ML MR NL SE SN TD TG
ACT 87.01.29 [+] PUBLICATION OF THE INTERNATIONAL APPLICATION
WITH THE INTERNATIONAL SEARCH REPORT
UP 8942
dr
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01’10’28 d3 Nd
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3801~1133 Il
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DS *DE *GB *SE
CXR 18)
WXR 82-12089E (C)
(INPADOC)
PN EP 85.10.23
METHOD FOR PRETREATMENT OF CELLULOSE MATERIALS
-E
IN ISHIBASHI TADASHI; ISHIDA MASAHIKO ODAWARA YOJI
PA HITACHI LTD [JP]
AP 81.07.31 81106038181-A
PR 80.07.31 JP 104285/80-A
ND -AR
JXR C; Vol. 6, No. 98, Pg. 86 See JAPIO for
(INPADOC)
PN JP 59007439-84 84.02.18
IN ISHIBASHI HITOSHI; ISHIDA MASAHIKO; OTAHARA YOJI
PA HITACHI LTD
AP 80.07.31 104285180-A
PR 80.07.31 JP 104285180-A
IC
ND
(INPADOC)
PN US 4451567-A 84.05.29
METHOD FOR PRETREATMENT OF CELLULOSIC MATERIALS
IN ISHIBASHI TADASHI [JP]; ISHIDA MASAHIKO [JP]; ODAWARA YOJI [JP]
PA HITACHI LTD [JP]
dn
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NOIlISOddO ON 80’01’98
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