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SOMMAIRE
2/ HISTOIRE DE LA COMMUNICATION
4/ LES THÉORICIENS
5/ LES ENJEUX DE LA COMMUNICATION
6/ LA PERCEPTION DE LA RÉALITÉ
2/ LES OBJECTIFS
3/ UN PROJET EDITORIAL
5/ L’ORGANISATION DU TRAVAIL
3e PARTIE : LE CONTENU
1/ STRUCTURATION DE L’ÉCRIT DANS LA PRESSE
3/ LA RÉDACTION
1/ LA CHARTE GRAPHIQUE
2/ PENSEZ LECTEUR
3/ LE CONTRAT DE LECTURE
7/ ORGANISER LE CONTENU
Nous communiquons avec nos semblables pour les informer ou pour exercer sur
eux une certaine influence. De toute manière, cette opération, qui est à la base du
phénomène social et culturel, suppose à la fois des moyens d'expression et des
organes de perception. Il est possible que chez certains animaux ce soit l'odorat
ou tel autre sens inconnu de nous qui entre en jeu dans le processus. Chez
l'homme, les modes de communication les plus aptes à être élaborés sont
indiscutablement ceux qui s'adressent à la vue et à l'ouïe. Le message audiovisuel
peut d'ailleurs présenter deux formes différentes, suivant qu'il consiste directement
en des images et des sons ou bien qu'il est médiatisé par des signes et des
symboles codifiés : on a alors affaire à un langage parlé ou écrit.
2/ HISTOIRE DE LA COMMUNICATION
L'histoire de la communication est aussi ancienne que l'histoire de l'humanité.
Depuis les origines, l'homme a eu besoin de communiquer.
Que ce soit à l'aide de signaux visuels ou de signaux sonores, l'homme a toujours
tenté de vaincre les distances et de mettre en place une transmission rapide de
l'information
Pour cela il mit au point des codes, des alphabets et des langages… tout était
bon pour véhiculer le message.
TYPES DE SIGNAUX
Signaux visuels
Gestes de la main
Signaux de fumée
Signaux lumineux...
Signaux sonores
Voix
Tam-tam
Musique
Et l’écriture, qui remonte à 5000 ans av. JC
LE 20E SIÈCLE
La première moitié du vingtième siècle va voir apparaître et s'institutionnaliser la
radiodiffusion, la télévision, le radar, le télex et le téléphone. De multiples réseaux
vont se développer.
Les moyens de télécommunications vont être utilisés pour relier les équipements
informatiques mettant à jour un nouveau réseau : le réseau informatique avec les
satellites et l’internet
S’il est vrai que les moyens de communication se sont largement développés, les
moyens de non-communication aussi :
Sur l’écran de votre GSM, vous pouvez voir qui appelle et choisir de répondre ou
pas.
Avant, on regardait la TV en famille. Maintenant, chacun possède sa propre TV et
regarde son propre programme.
La communication est aujourd’hui un phénomène de mode
Pourtant, l’étude de la communication comme processus théorique n’est pas très
ancienne : Moitié du 20ème siècle
COMMUNIQUER,
C'est, une science partagée par plusieurs disciplines qui ne répond pasà
une définition unique
Et si tout le monde s'accorde pour la définir comme un
processus, lespoints de vue divergent lorsqu'il s'agit de définir ce
processus
C’EST QUOI?
Acte au cours duquel un individu « émetteur » traduit un fait, un concept, un
sentiment en un message qu’il adresse par le canal qui lui paraît le plus
approprié, à un autre individu « récepteur », avec l’intention que ce dernier puisse
prendre connaissance du fait, du concept envoyé
IlLe
y astimulus
communication chaque fois
et la motivation : qu’un organisme vivant peut affecter un autre
organisme
Émetteur et récepteur doivent modifiant
en le modifiant, ou en son action
être stimulés à partiravant
et motivés de laque
transmission
ne puisse être
d’une information
lancé un acte de communication
SUR L'ÉMETTEUR
D'abord, il faut donc voir comment l'émetteur se comporte dans cette situation. On
s'aperçoit alors que les producteurs, créateurs et distributeurs sont inclus dans un
réseau complexe et parfois contraignant au sein d'une véritable industrie
culturelle, avec toutes les conséquences que cela comporte pour leurs possibilités
d'expression et toutes les tensions que cela peut provoquer.
SUR LE RÉCEPTEUR
Enfin, on peut se demander comment le récepteur à mille yeux et mille oreilles
perçoit un tel message et quelle action il peut avoir sur lui. C'est l'objet de deux
études intimement liées : l'une sur le rôle des mass-médias dans le monde
d'aujourd'hui, l'autre sur les rapports entre les techniques de diffusion et le public.
On y verra que l'action publicitaire sur les goûts et les besoins est plus efficace
que celle de la propagande sur les opinions ou croyances, et que les nouvelles
techniques peuvent élargir la part de la culture dans les loisirs. De toute manière,
on ne peut espérer modifier les attitudes du public qu'en respectant et par
conséquent en connaissant bien les valeurs fondamentales qu'il accepte. D'autre
part, on notera que les nouveaux modes de diffusion ne diminuent guère
l'importance des communications de personne à personne, et que celles-ci
prolongent et explicitent leurs effets. Enfin, les actions conjuguées de tous les
mass- média forment un tout dans notre civilisation technicienne et tendent de
concert à uniformiser les divers éléments dont se compose le public. Celui-ci
devient de plus en plus perméable à des messages communs et de plus en plus
apte à se retrouver dans une même culture.
SUR LE MESSAGE
Deuxièmement, le message ainsi diffusé, du fait qu'il s'adresse à une « masse »,
se trouve soumis à certaines orientations. Il doit satisfaire à des aspirations. Une
étude du contenu des communications de masse montre comment la société peut
s'y refléter sur le mode mythologique. Ou bien on lui propose des modèles qui
permettent l'identification et jettent un pont entre le fictif et le réel, ou bien on lui
fournit des substituts qui désamorcent ses impulsions et facilitent la projection de
certaines tendances inquiétantes sur un monde créé pour cela.
Le message
Pour l’émetteur, l’acte de communication consiste à transmettre au récepteur un
concept, une idée, une pensée, une information. Pour cela, il va devoir l’exprimer
au travers d’un message
Au sens large, le message est le contenu général des informations
Plus spécifiquement, le message est une succession de signes (code)
correspondants à des règles précises transmise par l’émetteur au récepteur via
un canal
Le canal
Le canal est :
un élément de l’interface émetteur/récepteur ;
le lieu d’échange, de contact émetteur/récepteur.
On distingue :
Le code
La forme du message varie en fonction du code servant à la transmission :
Le codage
Un code peut être composé de signes tels que :
Mais elle est plus qu’un simple échange d’informations entre un émetteur et un
récepteur.
Il ne s'agit pas là d'une liste exhaustive, tant les modèles sont nombreux et
complémentaires
Le but recherché est de cerner une évolution générale en donnant les plus connus
de ces modèles et l'apport qu'ils ont induit :
Qui ? Émetteur
Dit Quoi ? Message
Par Quels moyens ? Canal
À Qui ? Récepteur
Avec Quels effets ? Sens
Référentiels
Rétroaction (feed-back)
Ces modèles techniques sont intéressants car ils se basent sur des acteurs
différents du sujet d'étude habituel : l'ordinateur, fondamentalement logique et
non-humain.
Selon ces modèles, toute action de communication se baserait sur un processus
essentiel, ou protocole de communication :
Phase de clôture/déconnexion
L'un des ordinateurs demande la fermeture de la connexion
Ces modèles ont mis en évidence la notion de réseau de communication,
etde nœud de communication.
En effet, un message transmis peut être relayé d'un poste à l'autre. De
plus, on peut l'envoyer à un groupe d'ordinateurs. Et donc il faut savoir qui
prend la parole, et comment...
5/ LES ENJEUX DE LA COMMUNICATION
Il existe 5 types d’enjeux qui ont été repris par différents auteurs dont
(MUCCHIELLI et LIPIANSKY)
Que voyez-
vous
Cherchez la vieille
femme Cherchez la
jeune femme
Cet exercice permet de constater que, sur un fait objectif, nous ne voyons pas tous la
même chose.
On peut donc en déduire qu’il peut être difficile de communiquer avec une personne qui ne
voit pas, en toute bonne foi, la même chose que nous.
Conclusion :
On améliore la communication en apprenant à:
- observer,
- à tenir compte d’autrui (acceptation de l’autre),
- en adoptant une attitude de contrôle à l’égard de ses perceptions, de ses
interprétations.
La réalité passe à travers de nombreux filtres et nous ne sommes
jamais objectifs
Nous n'avons que des représentations de la réalité
Qu'est-ce qui fait que l'on ne voit pas les objets d'une façon
objective? Pas de la même façon que d'autres ?
Déjà à tous les niveaux, tant auditifs que visuels, nous n'avons
qu'une connaissance partielle de la réalité (nous ne voyons que
certaines longueurs d'onde, nous n'entendons que certains sons...).
La raison de notre non-objectivité vient du fait que nous avons une
"appréhension fantasmatique de cette réalité"
Unidirectionnelle
Non interactive
Pas de présence
Pas d’écoute
Pas d’empathie
Non réactive
Réfléchie
2/ LES OBJECTIFS
Phatique : Se dit de la fonction du langage lorsque celui-ci ne sert pas à
communiquer un message, mais à maintenir le contact entre le locuteur et le
destinataire. (Par exemple allô, ouais, eh bien.)
3/ UN PROJET EDITORIAL
Quel que soit le type d’écrit que vous aurez à rédiger, les principes de base sont
toujours les mêmes.
Il existe dans ce domaine un exemple parfait : le journal.
Tout au long de cet apprentissage nous allons utiliser les techniques de la presse
écrite et principalement celles des magazines.
Ce qui nous permettra à chaque stade de vérifier que la technique étudiée est
totalement utilisable dans la rédaction de documents professionnels – rapport,
thèse, synthèse, communication médicale ou article scientifique…
son contenu
son positionnement
le nom de l’organisation
son origine
4/ Un contenu équilibré
C’est-à-dire alterner les articles de fond (textes longs) et les contenus courts
(brèves, chiffres clés, actus…) pour offrir différents niveaux de lecture.
Cet équilibre doit également être présent dans le message, en prenant soin
d’apporter la même importance aux différents sujets traités.
Varier les contenus, ne pas se limiter à un style (article, témoignage, focus, etc.),
mais se servir de l’un pour illustrer l’autre et rendre l’ensemble plus dynamique.
Doit-on adopter :
Un langage technique ?
Un style ludique ou pédagogique ?
Très direct, imagé ?
En conclusion
5/ L’ORGANISATION DU TRAVAIL
LES RUBRIQUES
L’intérêt des rubriques réside dans le fait que chacune d’elles présente une
hiérarchisation de l’information et fait appel à différents genres journalistiques.
Une page de presse consacrée à la politique peut comprendre en tête une
enquête ou une interview, au centre des comptes rendus, sur les côtés des
brèves, etc.
Très vite est apparue la nécessité de classer les informations selon leur domaine
et pas seulement selon leur importance
1- aider le lecteur à trouver les sujets qui l’intéresse,
2- constituer des archives.
La brève
C’est une petite information de quelques lignes, qui renseigne sur l’actualité et
dont les premiers mots sont habituellement rédigés en gras ou en italique pour
mettre en évidence le sujet abordé.
Le reportage
C’est un récit plus long qui raconte un événement que le journaliste a lui-même
vécu, ou qui décrit une situation sur laquelle le journaliste a lui-même enquêté.
L’enquête :
C’est un article ou une série d’articles qui cherchent à donner un maximum
d’informations sur un sujet.
Le portrait
C’est un article qui fait découvrir une personnalité.
L’interview
Le journaliste a interrogé oralement un invité et a retranscrit ses réponses.
La libre-opinion
Il s’agit du point de vue d’une personne qui n’appartient pas à l’équipe de
rédaction du journal.
Le compte-rendu
Est un article qui résume les réunions ou les manifestations publiques.
L’éditorial
Est un commentaire sur l’actualité de la Une du journal.
La chronique
Est une rubrique que l’on retrouve régulièrement et qui est faite par un même
journaliste de la rédaction.
La critique
Est le jugement personnel d’un journaliste sur un livre, une émission, un
spectacle, etc.
Le billet
Est une vision polémique ou humoristique d’un journaliste sur un fait d’actualité
2/ LA COMMUNICATION ÉCRITE PROFESSIONNELLE
21 – LA SYNTHÈSE
22 – LA LETTRE
Le message débute par une introduction et comporte plusieurs
paragraphes
La lettre se termine par une conclusion
La formule de politesse est adaptée à l’interlocuteur (client,
fournisseur, supérieur hiérarchique, etc.).
La lettre comporte :
des références (nos références – N/Réf. – sont celles de l’émetteur,
vos références –V/Réf. – sont celles du destinataire que l’on reprend
d’un courrier précédent) ;
un objet
une date
un titre de civilité (Monsieur, Madame, Monsieur le Directeur,
Madame X, Messieurs, etc.)
une signature avec la fonction du signataire.
EXEMPLE DE LETTRE
23 – LA NOTE
- H we . Mr N<xos eJ q alfiés
- H• B....... dev personnes q i
- H• D... . ont in on ré de leur
- H• E...... abse- ce
- H we G Mme F
O verture ce la
séance asec mp re
de I’ordre du our Aprés un rapide tour de -able, il es- 10 h lorsque Monsieur ?,
présidenz rappelle I’ordre du jour, â s.avoir :
En condusion, Mon sieur D.. *ai- ie point sur les déci sJons pri see
ñ la majori-é du groupe,ñ savoir
CBtu x de la
séance '.heu e
de f -)
L’ordre du jour élznt épuise, la séanoe est levée â " 1 h :3 La
procha ine réunion du groupe est fixée au 20 janvier
Date ce rédaa c•-
Le 14 décem bre 2L. c corr see rendu et
H. ..
Secré:z ire de séance
25 – LE RAPPORT
reportage…) ?
31/ LE SUJET
Avant d’écrire, il faut savoir de quoi on veut parler.
Choisir un sujet d’article n’est pas simple.
Attention à ne pas choisir un sujet trop général (la politique européenne, la culture
africaine, l’économie américaine…) sujets trop importants pour être abordés en un
seul article.
De même pour le sport.
Par contre, parler du dernier match de foot qui opposait l’équipe de France à celle
du Brésil est plus précis et peut être abordé en un seul article.
Il ne faut pas non plus être trop précis et ne parler que de la blessure au pied du
gardien de l’équipe de France au cours du match.
Bien sûr, le journaliste ne doit pas se contenter d’attendre que les informations
arrivent sur son bureau mais doit aller chercher l’information par lui-même.
Ensuite, il doit vérifier cette information auprès d’autres sources.
34/ LE PLAN
Il faut réaliser un plan du contenu de l’article. Le plan pourra l’aider dans les
recherches, et évitera d’oublier des informations essentielles en permettant de
structurer son travail. Pour y arriver, il doit déjà avoir fait quelques recherches sur
le sujet.
Le modèle de Lasswell
Le modèle de Lasswell, que nous avons vu parmi les théoriciens, est toujours
utilisé.
Qui Who
Quoi What
Où Where
Quand When
Pourquoi Why
La pyramide inversée
Du + important au – important
Du particulier au général
Du concret à l’abstrait
Le lecteur connaît d'entrée de jeu le sujet
35/ UTILISEZ UN VOCABULAIRE SIMPLE
Les phrases
Courtes : 12 à 15 mots
Mémorisables
Simples
Actives
Au présent
Le titre
Court : 4 à 10 mots
Visible - central + gros caractère
Informatif /compréhensible
Attirant
Autonome : l’essentiel de l’information
Le titre les intertitres, les chapeaux, les accroches ne s’écrivent qu’à
la fin
Le titre = la vitrine du magasin
Le chapeau = la bande-annonce
L’accroche = la clé d’entrée
Les chapeaux :
Un seul paragraphe court et informatif
Mis en évidence : gras/couleur
Une brève/la bande annonce/un résumé
Début de la pyramide inversée
De plus en plus brefs
Le contenu
Découpé en paragraphes espacés
Une seule idée par paragraphe
1/ LA CHARTE GRAPHIQUE
Une charte graphique, c’est le recueil des 10 commandements de votre identité
visuelle. C’est un document qui vous servira de point de repère visuel, un
ensemble de règles qui vont définir comment et dans quelles conditions vous allez
utiliser vos éléments visuels et in fine, l’outil qui vous fera exister par association
dans l’esprit des gens.
LE LOGO
Votre logo est la clef de voûte de votre identité graphique !
Vous avez certainement déjà vu des présentations ou des documents où un logo
est étiré, déformé, minuscule, limite méconnaissable ou illisible… c’est pour éviter
ça que la charte graphique va définir les conditions de son utilisation: ses
proportions, sa taille minimum et son positionnement par rapport aux autres
éléments (texte, titres, marges, etc.).
LES COULEURS
Le choix des couleurs doit être limité pour permettre une meilleure mémorisation
et une distinction rapide. Si vous devez imprimer votre logo sur une surface
colorée (voiture, farde plastique, etc.), ce qui est permis et ce qui ne l’est pas sera
impérativement stipulé dans la charte graphique… certaines couleurs ne sont pas
souhaitables avec votre logo. L’utilisation de vos signes graphiques sera
également spécifiée pour le noir et blanc (photocopies par exemple).
2/ PENSEZ LECTEUR
• respecter les règles de lisibilité
• tenir compte du temps de lecture
• des textes clairs et intéressants
• des contenus concrets, utiles, exploitables
• « accrocher » le lecteur
la forme compte autant que le fond
• Pour qui ?
• Connaître les lecteurs et leur profil
• Identifier des « lecteurs types » pour leur fournir les contenus les
plus pertinents.
• Hiérarchiser l’information et rendez la accessible de plusieurs façons
3/ LE CONTRAT DE LECTURE
• efficacité : des énoncés centrés sur les faits et les résultats
• lisibilité : des messages qui vont à l’essentiel, scandés en phrases
courtes
• accessibilité : un discours clair, expert et compréhensible
• convivialité : des réponses personnalisées
2ème niveau
Dans une page, nous choisissons selon :
• Le chapeau
• L’encadré/hors texte
• L’intertitre/accroche
• La légende
3ème niveau
Nous lisons en fonction :
• de l’intérêt et de l’accessibilité du contenu, selon nos critères,
• de l’attaque et de la capacité du rédacteur à intéresser son lecteur
• Une titraille
• Une mini-interview
• Un encadré
• Une photo
• Un graphique et
• une mise en page valorisante
Les visuels
Des photos informatives et légendées
De bonne qualité
Pensez aux graphiques
L’infographie
Une présentation vivante et pédagogique
Une écriture courte et dense
7/ ORGANISER LE CONTENU
2 – S’exprimer « positivement » !
Évitons d’écrire…En conséquence, je ne peux que
Écrivons plutôt… En conséquence, je vous conseille ou vous
conseiller je vous suggère
Où mettre la majuscule ?
• Au début d’une phrase, d’un vers ou d’une citation ;
• Aux noms propres (personnes, lieux, œuvres, peuples, etc.) ;
• À certains termes de politesse (Monsieur, Madame, Mademoiselle) ;
• Titres ou qualités de certaines personnes (Monsieur le Maire) ;
• À certains termes historiques ou géographiques (la Cinquième
République) ;
Le point-virgule
• Le point-virgule marque une pause de moyenne durée.
Où mettre la virgule ?
• Entre des mots de même nature ou de même fonction ;
• Après un complément circonstanciel en tête de phrase ;
• Avant et après une proposition incise ;
• etc.