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COMPREHENSION ECRITE 2. Repérage et hiérarchisation des idées Repérer les implicites DOCUMENT N° 4 C’EST COMME CA Désormais astreint 4 davan- tage fréquenter les festivals de BD que les festivals de ‘cinéma, je n’ai pas pu, comme prévu, me rendre & Cannes. Ah, dire que les effluves de jasmin, le soir, aux abords de I'hétel Martinez, avant de partir en décapo- table pour une fastueuse réception dans une villa sur les hauteurs de la ville, dire que cela ne m'a pas manqué, ce serait mentir. Heureusement, je n’ai pas pour autant été privé de féte puisque Fluide glacial célébrait ses 30 ans et toutes ses dents, et pour I'étourdissante nouba, ot tout le gratin du dessin était convié, cette « teuf » res- tera mémorable. Sensible aux parfums les plus subtils, j'ai aussi été combié en allant me promener a Bagatelle, sublime jardin de rouest parisien. Au détour dune allée de la roseraie en pleine explosion printaniére, une affolante fragrance fit frissonner ma narine. Me penchant sur le rosier d’ol éma- nait le parfum, je découvris le nom de la belle. « Cannes Festival », indiquait la plaque émaillée piquée dans humus. Cette errance florale m’a- vait ramené en imagination sur la Croisette. Et quelle émotion en lisant la date de naissance : 1956 ! Quel(le) quinquagénaire n’envierait pas cette fraicheur pleine de promesse. Ni lifting, ni collagéne, juste un coup d’arrosoir régulier, une coupe annuelle griffée Nicolas le Jardinier, et hop, c'est la renaissance, « Mignonne », langai- je 4 ma compagne qui s’attardait a admirer des iris somptueux, « allons voir plus loin, » A deux as, ne voyez pas malice dans le rapprochement, épanouissait la rose « Catherine Deneuve ». AU parterre d’a c6té - surprise ! -, la « Louis de Funés » ma souri de ses réjouissants pétales. En descendant les marches du belvédere doll le regard embrasse tout ce féerique jardin, jal entendu l'appel du paon : « Léon, Léon ! » A Cannes, il faut jouer des coudes ou recourir & un périscope pour espérer admirer les somptueuses robes arborées par des actrices parées comme des princesses. A Bagatelle, en ai pris plein les yeux sans bousculade. Le paon, qui est un galli- rnaoé de la famille des dindes - comme certaines comédiennes ~ aime a se pavaner. N’en déplaise aux misogynes, c’est le male qui déploie en éven- tail les plumes de sa queue tachetée docelles imerveilleuses. Avec mon visiophone, j'ai filmé tout ga, et 'ai envoyé aussi sec, via le Net, a mes amis coincés au Festival. La réponse n’a pas tardé, par SMS : « Albert, TIRO. » WaetvEEEZ La chronique d’Albert Algoud, publiée dans A Nous Paris, évoque la promenade de auteur en compagnie d’une femme dans la roseraie du jardin de Bagatelle. Lisez cette chronique et dites si le journaliste établit une relation entre cette pro- menade et le Festival de Cannes ou l’anniversaire de la revue Fluide glacial. Retrouvez le passage du texte qui l’explicite. 6B © 2 Repérage et hirarchisation des idées COMPREHENSION ECRITE Repérez tous les points communs entre les deux endroits et/ou événements. Relevez les éléments du texte qui opposent ces deux événements. La chronique @’Albert Algoud contient un passage qui renvoie le lecteur a sa connaissance de la littérature francaise. Retrouvez-le. Repérer et hiérarchiser les idées DOCUMENT N° 2 [le début du livre] 1 ‘Tout étre humain est le résultat d'un pére et d’une mére. On peut ne pas les reconnaitre, ne pas les aimer, on peut douter d'eux. Mais ils sont 18, avec leur visage, leurs attitudes, leurs maniéres et leurs manies, leurs illusions, leurs espoirs, la forme de leurs mains et de leurs doigts de pied, la couleur de leurs yeux et de leurs cheveux, leur facon de parler, leurs pensées, 5 | probablement I'age de leur mort, tout cela est passé en nous. ‘Jai longtemps révé que ma mére était noire. Je m’étais inventé une histoire, un passé, Pour fuir la réalité & mon retour d'Afrique, dans ce pays, dans cette ville o je ne connaissais Personne, ot étais devenu étranger. Puis j'ai découvert, lorsque mon pére, a l'age de la retraite, est revenu vivre avec nous en France, que c’étalt lul l’Africain. Cela a été difficile & 10 | admettre. Il m’a fallu retourner en arriére, recommencer, essayer de comprendre. En souvenir de cela, j'ai écrit ce petit livre. [les derniéres pages] Crest & l'Afrique que je veux revenir sans cesse, a ma mémoire d’enfant. A la source de mes sentiments et de mes déterminations. Le monde change, c'est vrai, et celui qui est debout la- 15 | bas au milieu de la plaine d’herbes hautes, dans le souifle chaud qui apporte les odeurs de la | savane, le bruit aigu de la forét, sentant sur ses lévres I"humidité du ciel et des nuages, celuila est si loin de moi qu’aucune histoire, aucun voyage ne me permettra de le rejoindre. Pourtant, parfois, je marche dans les rues d’une ville, au hasard, et tout d'un coup, en pas- sant devant une porte au bas d'un immeuble en construction, je respire 'odeur froide du 20 | ciment qui vient d’étre coulé, et je suis dans la case de passage d’Abakaliki*, j'entre dans le cube ombreux de ma chambre et je vois derriére la porte le grand lézard bleu que notre chatte a étranglé et qu’elle m’a apporté en signe de bienvenue. Ou bien, au moment oit je m'y attends le moins, je suis envahi par le parfum de la terre mouillée de notre jardin & Ogoja", quand la ‘mousson roule sur le toit de la maison et fait zébrer les ruisseaux couleur de sang sur la terre 25 | craquelée. entends méme, par-dessus la vibration des autos embouteillées dans une avenue, Ja musique douce et froissante de la riviere d’Aiya. Jentends les voix des enfants qui crient, ils m’appellent, ils sont devant la haie, a entrée | | du jardin, ils ont apporté leurs cailloux et leurs vertébres de mouton, pour jouer, pour m'em- mener a la chasse aux couleuvres. L’aprés-midi, aprés la lecon de calcul avec ma mere, je vais =! Chapitre 2 « 6B COMPREHENSION ECRITE 30 35 40 45 50 55 60 65 70 cy 80 m'installer sur le ciment de la varangue, devant le four du ciel blanc pour faire des dieux d'ar gile et les cuire au soleil. Je me souviens de chacun d’eux, de leurs noms, de leurs bras levés. de leurs masques. Alasi, le dieu du tonnerre, Ngu, Eke-lfite la déesse mére, Agwu le malicieux Mais Ils sont plus nombreux encore, chaque jour jinvente un nom nouveau, ils sont mes chis. mes esprits qui me protégent et vont intercéder pour moi auprés de Dieu. Je vais regarder la figvre monter dans le ciel du crépuscule, les éclairs courir en silence entre les écailles grises des nuages auréolés de feu. Quand la nuit sera noire, j’écouterai les pas, du tonnerre, de proche en proche, onde qui fait vaciller mon hamac et souffle sur la flamme de ma lampe. J’écouterai la voix de ma mére qui compte les secondes qui nous séparent de lim pact de la foudre et qui calcule la distance a raison de trois cent trente-trois métres par seconde. Enfin le vent de la pluie, trés froid, qui avance dans toute sa puissance sur la cime des arbres, j‘entends chaque branche gémir et craquer, |’air se remplit de la poussiére que souléve Yeau en frappant la terre. Tout cela est si loin, si proche. Une simple parol fine comme un miroir sépare le monde d’au= Jourd’hui et le monde a’hier. Je ne parle pas de nostalgie. Cette peine dérélictueuse ne m’a jamais causé aucun plaisir. Je parle de substance, de sensations, de la part la plus logique de ma vie. Quelque chose m’a été donné, quelque chose m’a été repris. Ce qui est définitivement absent de mon enfance : avoir eu un pére, avoir grandi auprés de lui dans la douceur du foyer familial. Je sais que cela m'a manqué, sans regret, sans illusion extraordinaire. Quand un homme regarde jour aprés jour changer la lumiére sur le visage de la femme qu'il aime, qu'il guette chaque éclat furtif dans le regard de son enfant. Tout cela qu’aucun portrait, aucune photo ne pourra jamais saisir. Mais je me souviens de tout ce que j'ai recu quand je suis arrivé pour la premiere fois en Afrique : une liberté si intense que cela me brilait, m'enivrait, que j'en jouissais jusqu’a la douleur. Je ne veux pas parler d’exotisme : les enfants sont absolument étrangers a ce vice. Non parce quills voient a travers les étres et les choses, mais justement parce qu'ils ne voient qu’eux: un arbre, un creux de terre, une colonne de fourmis charpentiéres, une bande de gos- ses turbulents & la recherche d'un jeu, un vieillard aux yeux troubles tendant une main déchar- née, une rue dans un village africain un jour de marché, c’étaient toutes les rues de tous les villages, tous les vieillards, tous les enfants, tous les arbres et toutes les fourmis. Ce trésor est toujours vivant au fond de moi, I ne peut pas étre extirpé. Beaucoup plus que de simples sou venirs, il est fait de certitudes. Si je n’avais pas eu cette connaissance charnelle de l'Afrique, si je n'avais pas regu cet héri- tage de ma vie avant ma naissance, que serais-je devenu ? ‘Aujourd’hui j'existe, je voyage, j'ai mon tour fondé une famille, je me suis enraciné dans d'autres lieux. Pourtant, 4 chaque instant, comme une subsistance éthéreuse qui circule entre les parois de réel, je suis transpercé par le temps d’autrefois, & Ogoja. Par bouffées cela me sub- merge et m’étourdit, Non pas seulement cette mémoire d’enfant, extraordinairement précise pour toutes les sensations, les odeurs, les goats, impression de relief ou de vide, le sentiment de la durée. C'est en l’écrivant que je le comprends, maintenant. Cette mémoire n'est pas seulement la mienne. Elle est aussi la mémoire du temps qui a précédé ma naissance, lorsque mon pere et ma mére marchaient ensemble sur les routes du haut pays, dans les royaumes de l'ouest du Cameroun, La mémoire des espérances et des angoisses de mon pére, sa solitude, sa détresse a Ogoja. La mémoire des instants de bonheur, lorsque mon pére et ma mére sont unis par Yamour quills croient éternel. Alors ils allaient dans la liberté des chemins, et les noms de lieux sont entrés en moi comme des noms de famille, Bali, Nkom, Bamenda, Banso, Nkongsamba, Revi, Kwaja. Et les noms de pays, Mbembé, Kaka, Nsungli, Bum, Fungom. Les hauts plateaux ot) avance lentement le troupeau de bétes 4 cornes de lune a accrocher les nuages, entre Lassim et Ngonzin. Peut-étre qu’en fin de compte mon réve ancien ne me trompait pas. Si mon pére était devenu I’Africain, par la force de sa destinée, moi, je puis penser 4 ma mére africaine, celle qui ma embrassé et nourri a l'instant od jal été concu, & linstant od je suis né. Décembre 2003 ~ janvier 2004 JIM.G, Le Cléato, L’Africain, Mercure de France, Folio, 2004. “Abakaliki et Ogoja se trouvent au Nigéria, il s‘agit des lleux oi avait séjourné Le Clézio, environ a l'age de huit ans. 70 + 2 Repérage et hiérarchisetion des idées COMPREHENSION ECRITE Le document 2 présente une forte coloration autobiographique. Lisez-le et choi- sissez parmi les themes cités celui qui constitue le sujet principal de cet extrait. a. C1Les mémoires d’enfance b. QLimage du pere c. OLa réflexion autour de la question identité 1. Quelle partie de extrait vous a permis de définir le sujet principal ? Indiquez les lignes correspondantes. 2, Recherchez dans la partie sélectionnée des termes et/ou des passages clés qui confirment votre choix. 1, A quel autre passage de extrait renvoie le dernier paragraphe (1. 81 4 83) ? 2. Que signifie pour Le Clézio le terme de « mére africaine » (1. 82) ? 1. Parmi les souvenirs évoqués dans le document 2, on retrouve des souvenirs : a, Ode moments b. Ode lieux c. Ode personnes 4. objets e, Od’activités 2. Citez les souvenirs de sentiments évoqués dans l’extrait. 3. Classez ces souvenirs de sensations selon les catégories proposées dans la grille, a. le bruit d’une pluie de mousson sur le toit b. la mousson qui fait zébrer les ruisseaux couleur de sang sur la terre craquelée ¢. la sensation de Phumidité du ciel et des nuages sur les lévres d.le parfum de la terre mouillée ele soutile chaud qui apporte les odeurs dela savane sensations Souvenirs évoqués f, le bruit aigu de la forét olfactives g- la musique douce et froissante visuelles de la rividre d’Aija tactiles et visuelles hyle vent de la pluie, trés froid, qui avance tactiles et olfactives dans toute sa puissance sur la cime des arbres | gustatives et tactiles i. limpression de relief et de vide auditives Chapitre 2° 741 COMPREHENSION ECRITE 4, Comment pourrait-on classer tous les souvenirs présents dans l’extrait ? 5. Retrouvez dans le texte la phrase ott Le Clézio résume l’importance de ces so’ venirs. 3. Analyse d’un texte en vue d’une reformulation DOCUMENT N° 3, © D.R. Depuis les déconvertes de notre ancé- tre éloigné, les substances naturelles utilisées dans la production des colles se sont diversi- fiées, en particulier 4 partir des ages des métaux, grace a une meilleure maitrise des arts du feu. On utilise alors les résines de conifére (Europe) et de pistachier (pourtour méditerra- néen), Au Néolithique, la cire d’abeilles recou- vre V'intérieur des céramiques pour les rendre imperméables aux liquides ; puis elle est utili- sée, mélangée au bitume, & la poix et a de la résine de pistachier, pour calfater les bateaux phéniciens et assyriens et, dés la plus Haute ‘Antiquité, pour réaliser des sceaux qui fer- maient symboliquement les plis et portaient la marque du poingon indiquant V'identité de l'ex- péditeur, Quant au bitume, dont la plus ancienne utilisa- tion connue remonte a plus de 35 000 ans, au Paléolithique moyen en Syrie, il a été large- ment exploité dans le monde méditerranéen. Crest Ini qui, depuis 3 350 ans, maintient en place les barrettes de lapis-lazuli et autres pierres précieuses sur le masque de Toutan- CNRS>Presse>Thema>Physiquement vétre/4" trimestre 2004>Matiares et objets La colle dans tous ses états Historique des matiéres adhésives | homme de Néandertal avait déja inventé la colle ! Il fabriquait des adhésifs & base de brai de boulean’, matérian qui a continué & étre exploité jusqu’ nos jours ! C'est ce que révéle I'analyse physico-chimique de résidus d’agrégats conservés sur des sites archéologiques. L’analyse des résultats de chromatographie et de spectrométrie de masse effectuée par Martine Regert (Laboratoire du Centre de recherche et de restanration des mnsées de France) et les travaux de Michel Barquins (Laboratoire de physique et mécanique des milieux hétérogénes) permettent de retracer la vie des adhésifs an cours des siécles. khamon. Les résines de coniféres et la gomme arabique ont servi 4 maintenir les pigments colorés des sarcophages, pigments qui ornent aussi les papyrus. Pour les manuscrits sur par- chemin, puis sur papier, du Moyen Age et du début de la Renaissance, les pigments sont liés entre eux a l'aide de blanc et de jaune d'ceuf et de miel. Le latex (et sa forme coagulée, le caoutchonc), & la base de nombreuses colles modernes, était déja utilisé, ily a 3 000 ans par les Olméques', pour imperméabiliser les toiles tissées. Deux découvertes marquent un tournant : I’Ecossais Charles Macintosh trouve en 1823 le solvant idéal du caoutchouc, le naphta’ ; T'Américain Charles Goodyear découvre en 1840 la vulcanisation par le soufre. Enfin, la seconde moitié du xnx siécle voit l'extraction de nouvelles matiéres naturelles et la synthase de produits innovants. Aujonrd’hui, les colles naturelles plus ou moins transformées sont toujours utilisées, notam- ment dans les pays nordiques. Ailleurs, elles sont combinées ou remplacées par des adhésifs 72 + 3. Analyse dun texte en vue d'une reformulation —o— COMPREHENSION ECRITE synthétiques. Par le jeu des mélanges et des additifs des milliers de formulations naissent chaque jour. La colle a encore un bel avenir devant elle eee oe eat de boulean a été utilisé en Europe pendant tout le ‘Néoiithique. 3, Sorte d’huile de houille qui a permis l'extension majeure de l'industrie du caoutchoue. 4, En Finlande, la technique de fabrication du brai de boulean se transmet de génération en génération lors de fétes traditionnelles. | 2, Peuple d’ Amérique centrale. | hiipu/wuw2.cors f:/presse/thema/319.him | En regardant l’image globale du document 3, dites s'il s’agit plutét : a. Od’une chronique historique parue dans une revue scientifique b. un article paru sur le site d’un magazine scientifique c. Od@’un compte rendu paru sur un webzine En regardant le titre et le chapeau de cet article, dites s'il est plutét destiné : a. Glau grand public b. Qaux physiciens c. Qaux amateurs de vulgarisation scientifique Lisez le titre et le sous-titre du document. Pouvez-vous prédire le théme traité ? Repérez chaque partie visible du texte et dites quelle est sa fonction dans orga- nisation d’ensemble. 1, Associez les périodes de Histoire aux dates correspondantes. Périodes : les ages des métaux, la Renaissance, le Paléolithique, le Moyen Age. dates périodes de~80 000 8-50 000 Uhomme de Néandertal de—50 000 = 11000 de-11 0003-3000 de~5 5008-3000 Te Néolithique de- 30008447 PAntiquité du v* au xv* siecle de la seconde moitié du xv la fin du xvr siécle Chapitre 2° 73 COMPREHENSION ECRITE 2. La plus Haute Antiquité désigne : a, Oe début de l’Antiquité b. Ole milieu c. Oa fin de cette période 3. Le Paléolithique moyen désigne : a. Ge début b. Ole milieu c. Ola fin de la période activité80 Relevez dans le document les termes en relation avec la « colle » ou sa fabricati activité 8i | Résumez chacun des quatre paragraphes de ce texte. Paragraphe 1: Paragraphe Paragraphe 3 : Paragraphe DOCUMENT N° 4 Le Monde 2006 SPECIAL SALON DU LIVRE 2006 Vendredi 17 mars 2006 AFRIQUE | SUBSAHARIENNE Une nouvelle génération de romanciers africains Dépasser la négritude « Littérature de 'anomie et de la déviance, _lieux et non-lieux des turbulences dont le pas- de la subversion, de la destruction et de la sage a l'univers littéraire s‘effectue par des rup- décomposition... expression des complexes, tures, des dissociations, des collisions, des des traumatismes, des refoulements... image explosions... I'écriture est une décharge élec- d'une contre-société, d’une contre-culture... _trique » ily acing ans, le professeur congolais ae 74 *3- Analyse dun texte en vue d'une reformulation

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