© Marc A. Noël, Ph. D.
1997
Environnement, la bonne mesure…
À l'heure actuelle, ou nous assistons à l'apparition de la
gestion de l' environnement dans l'entreprise, la
métrologie se positionne comme un socle sur base
duquel la majorité des décisions reposeront de manière
assez directe. Dans un premier temps, la mesure de
certains paramètres dévoile des opportunités
d'économie, ensuite elle aide à définir le niveau de
connaissance réel du procédé, elle oriente naturellement
l'axe préférentiel de la politique environnementale de
l'entreprise et par là aide à la définition de plans d'action
et de contrôle.
Cette intégration progressive de notions
environnementales dans la gestion de l'entreprise et de
notre société va augmenter de manière considérable le
besoin en mesurage et surtout en mesurages nouveaux
pour les entreprises, étant entendu que les contrôles
essentiels au procédé sont déjà maîtrisés. De plus, les
résultats et I'interprétation de ces mesures vont dépasser
le cercle technique de la production pour atteindre un
public plus large (direction, personnel, voisinage, etc.. et,
ce qui se fait déjà, les pouvoirs publics). Cette
"médiatisation" de la mesure ne peut se concevoir
sainement sans l'apprentissage à différents niveaux de
notions telles que la précision, la justesse, I'erreur de
mesure, la propagation des erreurs, la statistique, etc.
Ces notions sont essentielles à la compréhension et à
l'interprétation d'une mesure, soit à l'utilisation rationnelle
d'un résultat. Force est de constater que l'ingénieur de
procédé ou de R&D, grâce à son travail, maîtrise souvent
ces notions. Cependant, il éprouve des difficultés à
transmettre cette information au gestionnaire bien plus à
l'aise avec des évaluations en francs exacts. Bien
entendu, ce n'est pas le détail de ces considérations
mais leur philosophie qui doit être comprise par tous pour
qu'un dialogue et une collaboration effectifs puissent voir
le jour.
Certaines mesures sont imposées, ou le seront dans un
avenir proche, par les autorités régionales. Ces
obligations ne sont pas toujours bien acceptées par
l'industrie. Pour certains, la mesure physico-chimique
imposée équivaut à un gouffre financier dont l'utilité est
au plus marginale. En effet, non seulement faut-il payer
pour obtenir des résultats mais encore va-t-on être taxé
sur base de ces mêmes mesures. C’est pourquoi
l'attitude de recherche du prestataire de service agréé le
moins cher est souvent rencontrée.
Cette réflexion compréhensible est le résultat d'une
attitude de soumission de l'industrie vis-à-vis de
l'administration Elle est aussi le résultat d'un manque
d'information sur l'utilité potentielle d'une mesure fiable.
En effet, toute mesure contient une information.
L'exploitation de cette information est du ressort de son
détenteur. L'administration l'utilise comme modulateur
de taxation ou pour vérifier le respect du permis
d'exploitation. Cependant, I'utilisation administrative de
la mesure pour fixer le montant d'une taxe ou d'une
amende n'est pas exclusive et ne présage nullement
d'autres usages plus productifs. En effet, il peut être
très utile pour I'ingénieur de production de savoir que
telle ou telle modification (de matière première, de
procédé,... module les qualités et / ou quantités de
rejets ou déchets et qu' un gain ponctuel peut cacher
une perte significative en aval ou inversement améliorer
considérablement les qualités et quantités d'un rejet.
D'autre part, si aucune modification de procédé ne
survient, les variations rapportées ne pourront dépasser
l'erreur généralement admise pour le type de mesure
effectuée. Toute déviation réelle sera donc le résultat
d'un changement non désiré et probablement non
désirable. (voir encart A)
Les expériences vécues par l'industrie vis-à-vis des
services d'analyse sont assez mitigées. Une attitude de
réserve s'est souvent installée suite à une mauvaise
expérience et l'expression "Timeo laboros et data
ferentes" résume assez bien l'attitude de certains.
Faut-il voir là une insuffisance de savoir-faire du secteur
analytique belge? C'est peu probable. En effet, s'il est
regrettable que des analyses soient "mal faites", il est
aussi révélateur de scruter l'ensemble des facteurs
ayant mené à l'absence de satisfaction. Pour ce faire, il
suffit de vérifier si les critères de satisfaction sont
identiques aux critères d'achats de service. Ce n'est
pas toujours le cas. En l'absence d'une idée commune
et claire du service attendu et des implications de divers
détails techniques, il est peu raisonnable de s'attendre
à ce que le service corresponde à ces critères ...non
partagés. Ainsi nous voyons souvent que le manque de
communication peut être fatal à la mesure.
Il existe donc un intérêt certain dans l'obtention de
mesures fiables. Premièrement, au niveau
réglementaire puisque nul ne veut être surtaxé ou en
difficulté vis-à-vis de son permis sur base d'une analyse
erronée. Deuxièmement, le suivi d'un procédé ne sera
possible que sur base de mesures de qualité.
Troisièmement, le dimensionnement d'installation
d'épuration ou la modification du procédé ne peut
reposer que sur des mesures irréprochables.
Quatrièmement, il est logique, même dans le cadre
d'une obligation extérieure, de vouloir utiliser ses
ressources financières à bon escient. Cinquièmement,
I'obtention de mesures fiables est une condition sine
qua non de succès du processus d' approche
environnementale de la gestion de l'entreprise
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Cet intérêt nouveau suscite à son tour des questions
nouvelles sur la manière de mesurer. Sans vouloir
présenter une approche complète, il est utile de
développer, au risque de se répéter, quelques axes de
réflexion pour les gestionnaires désireux d’obtenir des
mesures de qualité. Ces mêmes axes serviront aussi à
juger de l'opportunité d'une aide extérieure dans ce
domaine encore peu développé.
1) Mesurer c'est savoir se tromper
Une mesure est toujours inexacte. L'inexactitude se
traduit par une marge d'incertitude dont le nom technique
est l'écart type. La mesure et son incertitude doivent
toujours être connues. La connaissance de l'une sans
l'autre est dénuée de sens.
L'inexactitude d'une mesure provient notamment de la
représentativité des échantillons des conditions
expérimentales, du type de méthode, etc...(voir encart B).
Un laboratoire sérieux s'inquiétera de l'utilité présumée
de la mesure. Ainsi il pourra fournir ou tendre vers un
résultat dont l'incertitude sera compatible avec cette
utilisation. Il s'inquiétera aussi de la représentativité de
l'échantillon et justifiera un échantillonnage simple ou
multiple.
2) Mesure unique, mesure inique
La mesure unique est une action inutile. Les risques
d'une défaillance ou d'une erreur sont tels qu'il est inutile
de mesurer une seule fois. En effet, la moindre faille
entre l'échantillonnage et le rapport du résultat risque
fortement de ne jamais être détectée par manque de
valeurs comparatives. De plus, au cas où la mesure
serait correcte il reste impossible de déterminer sa
fiabilité. Bien sûr, certains proposeront plusieurs analyses
sur un échantillon. Dans ce cas l'écart type reflétera la
qualité de l'analyse, ce qui peut être un bien, mais ne
donnera aucune information sur la variabilité de
l'échantillon. Ainsi on saura si le laboratoire a bien
travaillé mais on ne disposera pas de l'essentiel, à savoir
une information sur l'échantillon ou le procédé.
3) Conditions extrêmes, prix extrêmes
Les conditions difficiles de prélèvement sont
naturellement reportées sur le prix de celui-ci. De plus, il
faut reconnaître que certaines mesures vont nécessiter
un appareillage spécifique.
4) Milieu hétérogène la mesure gène
Les mesures orientées sur la détermination d'une phase
au sein d'une autre sans possibilité d'homogénéisation
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sont difficiles. La marge d'erreur de ces mesures est
typiquement élevée. Parmi celles-ci citons la mesure de
poussières dans un flux gazeux (cheminée) et la
détermination de la population bactérienne d'une eau
ou d'un solide. Autre exemple typique : le sol est le
milieu le plus hétérogène qui soit contenant une fraction
solide (minérale et organique) de granulométrie
variable, une fraction liquide et une fraction gazeuse
entre lesquelles règnent équilibres, échanges et
transformations complexes.
5) Mesure pressée, mesure ratée
Une mesure faite dans l'urgence est rarement fiable.
Une des doléances principales des laboratoires
d'analyse est de devoir travailler dans l'urgence. Les
opérations de prélèvement d'échantillon et d'analyse au
laboratoire demandent souvent une attention
incompatible avec des pressions de temps
extraordinaires. Cela est d'autant plus regrettable que,
dans bien des cas, il aurait été possible de planifier les
mesures.
Obtenir des résultats
La mesure utile est le résultat d'un ensemble de
considérations initiales et d'un contrôle rigoureux de
l'échantillonnage, de l'analyse, de l'appareil de mesure,
etc....
En amont, elle suppose une série de questions que l'on
peut résumer par :
Pourquoi, quoi, quand, comment, ou et avec qui
mesurer ?
L’expérience montre que l'investissement d'une
réflexion approfondie permet d'éviter certains déboires
dont les coûts sont fort variables et quelques fois
difficilement estimables. Il se peut qu'il faille recourir à
une nouvelle mesure ou, quand les mesures erronées
ont servi à dimensionner un système de traitement, le
coût supplémentaire d'adaptation du système peut-être
considérable; la mesure déficiente peut aussi avoir des
effets complexes sur la gestion d'un procédé. (voir
aussi encart A)
Outre les précautions initiales, le contrôle de la qualité
de la mesure est essentiel. Ce dernier peut s'opérer
sous la forme d'un contrôle des opérations de prélève-
ment, d'une lecture attentive du rapport d'analyse ou
encore, ce que se fait très rarement, d'une visite au
laboratoire. Dans le cas d'appareils de mesure, il s'agira
de vérifier la fiabilité du matériel via un étalon ou des
procédures d'assurance qualité.
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Une visite lors des prélèvement et échantillonnage,
opérations critiques dans bien des cas, est pratiquée
fréquemment. Cependant un contrôle efficace de ces
opérations nécessite une connaissance approfondie des
techniques utilisées, connaissance qui n'est pas toujours
disponible au sein de l'entreprise. Il en est de même pour
les contrôles au laboratoire. Ces moyens de contrôle ne
sont donc pas aisément utilisables pour le non-
spécialiste. Reste le rapport d'analyse. Les rapports
d'analyse sont souvent pauvres en détails et ne
permettent que peu de contrôle si l'on n'y prend garde. Il
est cependant possible de forger le rapport d'analyse en
un véritable système de contrôle. Pour ce faire, I'outil le
plus utile est le cahier de charge ou le bon de commande
d'achat de service ou de matériel. Si ce dernier a été
rédigé avec attention, il spécifie une série de critères
d'acceptation du travail fourni ou de spécifications
techniques qui seront aisément comparés avec le service
ou matériel acheté (voir encart C). Les autres
vérifications sont généralement plus subtiles, mais
restent du domaine du bon sens, de la réflexion, de la
compréhension du procédé et de la méthode de mesure.
Agrément, accréditation, certificats et autres...
Face à ces mises en garde un peu sévères vis-à-vis de la
qualité du service ou matériel de mesure, il existe des
systèmes dont le but est de promouvoir un travail de
qualité.
L'agrément, fédéral ou régional, est un système
embryonnaire de qualité à l'intention des seuls services
publics. Le système est assez ancien et ne place pas
tous les participants dans des conditions identiques.
Dans certains cas, I'agrément tarifie aussi les opérations
effectuées pour le compte des services publics. La
plupart des laboratoires commerciaux disposent d'un
agrément. Les mesures à l'émission effectuées selon les
modalités d'un permis d'exploitation doivent
généralement être exécutées par un laboratoire agréé. Il
est fort probable que le système actuel disparaisse au
profit d'un agrément lié à l'accréditation.
L'accréditation est un système européen visant à assurer
une gestion de la qualité du service d'analyse. Le
système est régi par une série de normes (EN45000) et
chaque pays membre dispose d'un bureau national
(BELTEST chez nous) responsable de l'accréditation des
laboratoires. L'accréditation est un système sérieux de
contrôle extérieur de la gestion des opérations d'analyse.
L'accréditation porte tant sur la gestion générale du
laboratoire que sur la méthodologie employée pour
chaque mesure. En outre, il existe une accréditation
séparée pour l' échantillonnage et pour l'analyse. À
terme, seules les mesures effectuées par un laboratoire
accrédité seront opposables à des tiers.
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De surcroît, un agrément spécifique est délivré pour
chaque type d'analyse ou de prélèvement effectué. Il
faut donc s'assurer que le laboratoire accrédité l'est
aussi pour la mesure ou le prélèvement désiré. De plus
en plus de laboratoires disposent de l'accréditation à
l'heure actuelle.
D'autres systèmes existent dont les objectifs sont
similaires à l'accréditation, tel par exemple le "Good
Laboratory Practice" américain utilisé depuis plusieurs
années en Europe. Il s'agit généralement de
"standards" sectoriels. Par exemple, le GLP est
fortement utilisé par les firmes pharmaceutiques.
Les garanties offertes par ces labels, surtout GLP et
EN45000, sont bonnes. Bien qu'elles ne garantissent
pas la justesse d'une mesure, elles assurent qu'une
certaine procédure sera suivie lors du prélèvement et
de l’analyse des échantillons. Ces procédures
comportent notamment des attitudes systématiques
pour aider à débusquer les erreurs potentielles, des
attitudes spécifiques à chaque méthode pour
augmenter la fiabilité du résultat, des attitudes de
gestion permettant le traçage temporel et spatial de
l'échantillon durant son séjour au laboratoire.
Cependant, la plupart des mesures faisant l'objet d'une
accréditation sont principalement, pour des raisons
économiques, des mesures de routine. Ces mesures
sont elles-mêmes souvent définies par des normes dont
le but était, » in illo tempore », aussi de garantir une
certaine qualité... Finalement, il faut garder à l'esprit
que nul n'est à l’abri d'une erreur...Autrement dit,
I’accréditation est une garantie de moyen et non de
résultat.
La mesure interne
Faut-il nécessairement faire faire des mesures par des
organismes externes ? Non. En fait, la décision du
recours à un service extérieur dépendra d'une série de
facteurs dont les plus importants sont l'obligation légale
et le nombre de mesures à effectuer. Les mesures
réglementaires doivent êtres exécutés par un
laboratoire indépendant agréé. Les autres mesures
sont, bien entendu, à la discrétion de l’utilisateur.
L'opportunité de s'auto-mesurer doit s'évaluer en tenant
compte de la quantité des mesures à effectuer de
manière récurrente. Ce volume de mesurage ou
d'analyses permettra par simple étude de coûts de
trouver la solution la plus avantageuse. Il n'y a pas de
règle générale pour délimiter le "break-even point" car
les besoins et possibilités de chaque entreprise sont
très divers.
De l'aide
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La région wallonne dispose d'un programme d'aide à la
consultance pour PME qui peut être exploité (DW juin
1996). Certains consultants et bureaux d'études
spécialisés dans l'environnement disposent aussi de
compétences en métrologie. Certaines associations
professionnelles régionales, belges et européennes
disposent aussi d'informations précieuses dans ce
domaine.
ENCART A
EFFET DOMINO DE L'ERREUR
Imaginons un procédé optimisé notamment par la valeur
de l'acidité (pH) d'une étape de la production et une
mesure de cette acidité dont l'erreur est une unité de pH.
Quelles peuvent être les conséquences de cette erreur :
premièrement, I'efficacité du procédé sera réduite, d'où
un (sur)coût de production. Deuxièmement un gaspillage
de matières premières et d'énergie. Dans cet exemple
forcé, la consommation en acide ou en base risque tout
simplement d'être décuplée.( Ce gaspillage restera -d'un
facteur deux avec une erreur de 0.3 unité de pH, ce qui
est très réaliste), et s’il faut chauffer le milieu, la
surconsommation en énergie sera proportionnelle à la
surconsommation en produit(s). Troisièmement, le
volume déchets et rejets sera augmenté, soit des
surcoûts en taxes. Des effets plus pervers peuvent aussi
s'accumuler. Par exemple vu que les volumes ou
quantités de certains produits augmentent, il sera
question de budgétiser des aménagements au niveau du
stockage, du procédé ou encore du traitement des
rejets…
ENCART B
ETAPES CLEFS ET SOURCES D'ERREURS
Mesurer revient à isoler un échantillon d'une population
spatiale et temporelle pour Ie soumettre à un essai dans
le but de déterminer l'état de la population entière.
Puisque l'échantillon doit être représentatif de la
population entière, le choix de la méthode
d'échantillonnage est très important.
Une fois isolé (mais pas nécessairement confiné)
I'échantillon doit peut-être être protégé ou traité de
manière à ne pas en changer la caractéristique d'intérêt.
L'échantillon devra probablement aussi subir un
traitement en vue de la mesure (mise en solution,
élimination d'interférences, etc...). Ces étapes sont
reprises sous le terme "conditionnement". Le
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conditionnement se fait généralement en deux étapes.
Une première étape sur site, pour stabiliser et préserver
l'échantillon. Une deuxième étape au laboratoire pour
permettre la mesure.
Au laboratoire, I'échantillon traité sera soumis à une
mesure. A l'heure actuelle, la majorité des mesures
sont automatisés. De manière générale, plus
l'automatisme est grand, meilleure est la reproductibilité
mais, plus il est difficile d'appréhender l’erreur.
L’obtention de mesures de qualité résultera donc d'une
attention particulière à plusieurs facteurs, notamment
par l'utilisation de plans de contrôle de qualité à toutes
les étapes clef de la mesure.
ENCART C
LE CAHIER DES CHARGES
Que doit contenir un cahier des charges ? exemple :
pour un service d'analyse, le cahier des charges
détaillera les points suivants de manière à pouvoir
disposer d'une liste de contrôle des travaux. Il
comportera aussi des informations nécessaires au
laboratoire pour pouvoir définir au mieux les modalités
de son intervention. À l’instar d'un contrat, il sera établi
de manière à définir avec précision les responsabilités
des parties. Un laboratoire sérieux appréciera l'intérêt
porté à son travail ainsi qu'un appel d'offre clair. Dans
bien des cas, le laboratoire désirera une visite des lieux
et un entretien, ce qui est souhaitable. Cette visite
permettra aussi un contact qui ajoutera une dimension
humaine aux considérations techniques de l'appel
d'offre.
Clause de confidentialité réciproque
Conditions de prélèvement
Conditions de travail
Description succincte du procédé
Description du but de la mesure
Délais de Notification / Commande
Délais de prise des échantillons
Délais de remise des offres
Echéancier des paiements
Garde des échantillons
Mesures à effectuer
Modalités d'acceptation du travail fourni
Nombre d'échantillons
Normes et méthodologie à respecter
Personne à contacter
Présentation de l'offre
Présentation des résultats
Qualifications
Responsabilité de la mesure