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1- Préliminaire
Propriété
Or,
Donc finalement :
Mais Sup (A) et Inf (B) sont deux réels fixes ; leur différence est
encore un réel fixe.
Pour cela, nous allons d’abord montrer que k ne peut être strictement
positif.
Il existerait donc un réel k strictement positif tel que Sup (A) – Inf (B)
= k ; ceci est en contradiction
avec le résultat démontré ci-dessus :
y–x≥–k
Conclusion
Propriétés
Soit :
Démonstration
Si c est un des éléments de la suite ( x i ), cette modification n’a
aucune influence sur S.
Donc S’ = S.
Exemple
On a :
On a donc :
m ≤ f(x) ≤ M
Exemple
Remarque :
Pour simplifier, nous avons, dans notre cas, utilisé la même partition
de [a , b] pour définir g et h.
v ≥ u ou v – u ≥ 0.
Si de plus :
On a :
Par ailleurs, une seconde erreur à éviter : omettre l’unité d’aire prise
dans un repère orthogonal .
On prend l’exemple du calcul de l’aire géométrique correspondante à :
Conseil :
Autres propriétés
On pourra facilement démontrer les théorèmes suivants :
Définition
Propriétés
Exercices
1)
On désigne par E(x) le plus grand des entiers relatifs inférieur ou égal
au réel x.
2)
3)
4)
5)
6)
Définition
Les expressions « f est la dérivée de F » et « F est une primitive de f »
sont synonymes.
Exemples :
En effet, G’ = F’ + 0 = F’ = f.
F’ = G’ = f ; soit G’ = F’
Conclusion
Si F est une primitive d’une fonction numérique définie sur I, toute
fonction primitive de f
est définie par F + k où k représente une fonction numérique
constante.
Conséquence immédiate
Exemple :
k = G(a) – F(a).
Exemple :
Relation entre intégrale et primitive
Exemple d’application :
Ce qui donne :
Par application de la formule d’intégration par parties :
ou
Finalement :
On obtient finalement :
Remarques importantes
Exemple
Calculons donc l.
Exercices
a-
b-
L’unité de mesure des longueurs sur les deux axes de ce repère est
notée u.l
a ≤ x ≤ b , g(x) ≤ y ≤ f(x).
Conclusion
Exemple :
On doit trouver :
L’unité de surface est donc l’aire d’un carré ayant pour mesure
géométrique de son côté égale
à celle définie par le repère.
Une droite (D) parallèle à l’axe des abscisses coupe (L) en deux points
m et n.
[m , n].
Remarque :
Applications
Solutions
1)
2)
On sait que :
Finalement, on a :
Remarque
Dans cette formule si l’on fait a = b, on retrouve l’aire du cercle (le
cercle est une ellipse particulière
dont les mesures géométriques de ses axes sont égales).
L’unité de volume est donc le volume d’un cube ayant pour mesure
géométrique de son côté égale à
celle définie par le repère.
A tout réel z, appelé cote du plan (P), est associé, par une application
S, l’aire S(z) intérieure à (C).
Soit, sur l’axe (Oz) des cotes, la subdivision définie comme suit :
Applications
1)
On donne une courbe plane (D) et une droite d non parallèle au plan
de (D).
Deux plans parallèles au plan (xOy) coupent (U) suivant deux courbes
homologues par une translation.
2)
Volume de la sphère
Exercices
1)
2)
3)
4)
5)
6)
7)
8)
9)
10)
11)
12)
13)
14)
15)
16)
17)
18)
19)
20)
21)
22)
Volume d’un solide engendré par une surface plane tournant autour
d’un axe
Conclusion
Exercice
23)
Nous allons, dans ce qui suit, aborder ces éléments du point de vue
mathématique.
Cas particuliers :
Exercice
Exercice
avec k > 0
Exercices
I-
II-
III-
Exercice
Cas particuliers :
Exercice
On a donc :
Application :
On a donc :
Exercices
a-
Comment procède-t-il ?
b-
c-
Elle est limitée par une demi couronne circulaire définie par deux
disques concentriques de rayons r et R.
(r < R)
(ce centre est donc celui commun aux deux disques ayant délimité la
plaque)
On a donc :
Dans un repère orthonormal plan, ces relations deviennent :
Exercice
1ère Application
Donc :
2ème Application
Pour tout élément de la tige, de longueur Δr, compris entre les points
d’abscisses r0 et r0 + ∆r,
la masse est :
3ème Application
4ème Application
Donc :
Finalement :
Exercices
I-
II-
III-
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