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REPUBLIQUE TUNISIENNE g. j.
;
Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la
Recherche Scientifique
06041
TC .!
.e.
5
Concours Nationaux d'Entrée aux Cycles J34411;46311 e4Iiii..11
de Formation d'Ingénieurs C.irdee4li.e.eJeLs ‘,11
Session 2018 2018 1.iSi
Données
e—C sinx (f - cos r)
sin a — sin b =- 2 sin----13)
sinh(x)— sinc(x)— 2 2
2 x
e --- 1,6x10-9C e„,--- 1 xleFterl leV= 1,6 810-16 J ; 1 MeV= 106eV
" 364-
h i2 = —l
». =1,05x10-34 .bs
h=- C= 3X108MS-1
2
So et S2=-• So enn2)
a-Calculer la vibration résultante S au point M en fonction de S0 , w, m2 et g', où
m= 9 —m est le déphasage entre les deux ondes.
b-En déduire l'intensité I =S .S.en fonction de m et 4.s:.
c-Exprimer la différence de marche 5 au point M entre les deux ondes en fonction
de a, x et D. En déduire l'expression de ç.
d-Quelle est la nature des franges d'interférences observées sur l'écran et indiquer
leur direction ? Justifier votre réponse.
Déterminer les positions des franges brillantes et des franges obscures.
Exprimer l'interfrange i. Calculer i pour a -=-0,5ann, D=Im et Â.=0,51.trn .
g-Déterminer la position de la frange centrale et préciser si elle est brillante où
obscure.
On déplace la source S parallèlement à Oy d'une faible distance par rapport à D. Que
devient la figure d'interférences ? Commenter.
On remplace la source S par une fente fine parallèle à Oy, décrire la nouvelle figure
d'interférences.
On déplace maintenant la source S parallèlement à Ox jusqu'au point S' repéré par
son abscisse x' tel que ixl«d avec d =50' (figure 1).
a-Calculer la nouvelle différence de marche 5' entre les deux ondes au point M en
fonction de x, x', a, D et d. Déterminer la nouvelle position x0 de la frange
centrale.
b-Exprimer la nouvelle interfrange i'. Expliquer ce qui se passe au niveau de la
figure d'interférences.
I- Partie Préliminaire
On s'intéresse dans ce problème à une particule quantique de masse m astreinte à se
déplacer suivant l'axe &de vecteur unitaire zi-„ . A cette particule on associe une fonction
d'onde 111(x,t) qui décrit son état à l'instant t.
Lorsque la particule possède une énergie potentielle V(x), la fonction d'onde W(x,t) est
solution de l'équation de Schrtldinger :
2- Dans tout le problème on cherchera des fonctions d'ondes relatives à des états
stationnaires d'énergie E définies par:
(x, t) = ço(x) e h
Pourquoi un tel état est appelé "état stationnaire" ? Déterminer l'équation de
Schredinger indépendante du temps vérifiée par v(x).
En considérant le cas où V(x)= J';, avec Vo est une constante réelle , trouver les
solutions possibles 9(x) en comparant E à Vo .
La particule d'énergie E venant de la région I (x< 0) évolue dans un potentiel V(x) défini
par (figure 4) :
V si 0<x <a À V(x)
0 ailleurs
vo
On suppose que 0 < E < Vo et on
cherche les états stationnaires de cette
11
particule dans les trois régions
(région I: x <0 , région II :0<x<a
0 a
et région fi: x >a).
Figure 4
2mE —\i2m(V°—E)
On pose k = et q . Trouver les solutions ça(x) dans chaque
= itp(x,t)i _
Exprimer R et T en fonction des constantes d'intégration. Que représentent ces
coefficients? Pourquoi doit-on avoir R+T =-1?
La résolution du système d'équations précédent donne :
1
T=
1+ ° sinh2(qa)
4E(Vo -E)
Calculer T dans le cas d'une barrière de potentiel atomique de hauteur vo = 2,00eV
et de largeur a= 0,1nm pour les particules suivantes :
Un électron d'énergie E =1,00 eV et de masse m=9,11 10-31 Kg
Un proton d'énergie E =1,00 eV de masse m1) =2000 me.
Commenter.
E(V -E)
Montrer que dans ce cas on a : T To e-2e avec 7=
16
Vo-
Tracer l'allure de 1(E) et discuter les cas limites E= 0 et E =Vo Calculer la
valeur moyenne de T0 définie par:
1V- Radioactivité a
L'exemple le plus célèbre de l'effet tunnel est celui de l'émission des particules a (ite)
de masse ma = 6,64 x10' kg par des noyaux lourds radioactifs dont l'interprétation a été
proposée par le physicien russe Georges Gamow. Ces particules sont émises avec une
énergie 4 E 9 MeV .
A l'intérieur du noyau de rayon ro la particule a est soumise à l'interaction nucléaire forte
de courte portée modélisée par un puits de potentiel de profondeur V, > 0 (figure 5).
Sachant que la fonction d'onde de la particule hors du puits est nulle, montrer que la
solution de l'équation de Schrtidinger indépendante du temps paur 0< r c,o est:
ço(r)= Dsin(kr) , où D est une constante à exprimer. Exprimer k en fonction de
E et Vo .
7r
Montrer que km 22-, où n est un entier positif. En déduire l'expression de
ro
l'énergie E„ correspondante. Commenter.
17- 2s" cas : La particule a possède maintenant une énergie E> 0,
Justifier qu'elle a la possibilité de franchir la barrière de potentiel située entre A et B
(Figure 5).
Pour l'uranium'o:U de rayon ro =3,50x10-157n, l'énergie E des particules émises
est de 4,00MeV. Calculer en MeV la hauteur V de la barrière.
e- Déterminer le rayon /i correspondant au point B.
18- Etant donné que la barrière de potentiel n'a
pas la forme simple que celle étudiée dans la
section III, on peut, pour ro < r < r, ,
approcher la fonction V (r) par une
succession de barrières rectangulaires de
hauteur V (r) et de largeur dr suffisamment
épaisses pour que l'approximation de la
question 15-c soit valable (figure 6).
Figure 6
( fin de tepteuve
1
2/raz rae
I = 24[1+ v (e)cos(--)i, V(.0=sin c(—) . V(e) est le facteur visibilité.
2rax
Pour L -+0 anal --> 24[1+ cos(--)] on retrouve l'intensité d'une fente très fine. 1
el.D
V(e)=0 si . . , I
„ irae, =Itir
sink—t=ll—>— t_
Act Ad ____—,
-Ltd MW — ,_ —
—> e k avec k e Ikr 4.4*1-4ist,S! -4,ez),
a 1
)-t--Q4 lises .
Û le.
2,1 1
La longueur de cohérence spatiak est = e0 =— A.N. : A, = 0.S mm F
Cl—
v(e =4)=0 -> I =24 Ainsi on obtient un éclairement uniforme de l'écran. Brouillage des 1
franges d'interférences.
fil- Influence de la largeur spectrale d'une raie : Cohérence temporelle
2z5v dv ireY Av 2g8v
a- i=Tee 24 [1+ COSE.—B— = 210U+sine( ) cos (
vi c Av c c O )]
2
22r Ir5 Av ff 8 Av
I = 24[1+V (ft) cos( Sv °B-->V091=sinc( —) et 131=
c c c
z Av
e8 2% 8 v° 0,5
h- Si Av-+0 V05")=sine( )—>1, on obtient : / = 24[1+ cos ( )] , onretrouve
c 0
l'expression de l'inte:nsité pour tme raie monochromatique
12 VOL) -
V(/3 )=0 -> ft' =ng , n elkr
02 _ _ _
— r—
0:6
0 _ _. ... , -
I.
.0111.111,
1
.° illiallr
Fr
1
AN : Pour la lumière blanche Av =3,75 1014 Hz et L, = 8 =S-=-0,8,zenz . Pour le laser
Av
3108
Lt= c =-- 3m .Plus Av augmente plus la longueur de cohérence temporelle 14 diminue.
Av 108
La longueur de cohérence la plus grande est c'est celle qui correspond aux raies les plus
monochromatiques tel que les lasers.
Il est difficile d'observer le phénomène d'interférence avec la lumière blanche alors que c'est facile
avec le laser. 1
.1.D` c
Il faut que C< ro =— et Av <— . 1
a Ô
2
Problème 2 (65 pts)
I- Partie préliminaire
p(x)=IT(x, 012 est la &usité de probabilité de présence de la particule. La probabilité de trouver la 1
:
particule dans l'espace tout entier est égale à 1 donc : f ILY(x,t)I2dx =1. liPïx,01 est Li .
1
a-On a p(x)=IT(x,or = le(x)I2 est indépendant du temps donc l'état est stationnaire. La fonction 1
h2 d2e(x) 1
9 vérifie l'équation : + V(x) e(x)= Em(x)
2m dx2
em(x)
b- Si V(x). Vo l'équation devient : h2 (E Vo ) m(x)= 0
dx2 + 2m ,a
Si E >Vo la solution de cette équation est de la forme ço(x)= Aiœ +Be-iire où A et B i
...._
Si E <Vo la solution est de la forme m(x)= A' eh' + B ' &h' , où A' et B ' deux constantes 1
2nt(V -E)
complexes et q = I ° - .
h2
n- Particule Libre
„2
Laparticule est libre donc Tr(x)= O, son énergie totale est égale son énergie cinétique E = Ec = r 1
2m
-, ' 2ME
e(x)=44elx +Be- avec A et B deux constantes cg:mimes et K= h. 2 , on a
1
E
-1-r -i(-E 4-kx) -1(-Et+kx)
tI' (x,t). = m(x) e h donc : `1(x,t)=Ae h +Be * ->
. .. .
1
E et k
-4(a-h) B e-e«ter) Donc co = TI
W(x,t)= A e+ = 2mE
it ,
Sr Li icilutioà-d6Piquation de tY(x,t) ést une somme de deux ondèl-planes, fé premier Mrme correspond à
une 0.P21! qui se propage dans le sens des x croissant Le deuxième terme correspond à une 0.P.P.H « 1
2a- h 1
hk2.:E= p2 h2k2
a)(k)=- Cette
— --> p =lik = h- -= -. relation est appelée relation de De 1
2m 2m 2m .1. À
h 1
Broglie : En MO à chaque particule d'impulsion p on associe une onde de longueur d'onde 2 = -.
P
p(x)=(,rp7e • c'Qs-h) + ,rre,e4. • cfce+k)x(rpTilii - ir(œ°44 + 17/2 e-te= • exit)) I.
--> p(x)= fi+ p2 +21pily2 cos(2kx+ 4 -02)
..
Prnin= Pi - F P2 -21PIP2 1
Pi. = PrE P2 ± 2VPIP2
La densité de probabilité varie de façon sinusoïdale il y a
des zones où elle est maximale p = pr. et des zones où
elle est minimale p = p.i., le phénomène d'interférences
entre l'onde qui se propage dans le sens des x croissants et .
celle qui se propage dans le sens inverse.
3
8- La probabilité totale est *1 car f p(x)cbc= I (pi -1-/2 -F2Vp1p2 cos (2kx + 4 -02 )) (A. diverge,
ce qui n'est pas acceptable physiquement, la particule libre ne peut pas être présentée par une onde plane.
Il faut décrire la particule par Ull paquet d'ondes (superposition d'ondes planes de pulsations différentes).
1 m
111(x,0)=
ke+-
2 dk= ak Aïr lie
2
Nr272r ik to—r 27r
ak sinc2 (- ak x ) _ 1
p(x)•=- i o
2z 2
2nz 1
p(x)=0-4-x = — . net
' ak
In% Air
Po= Plu1=- 2ff 0 047
1
0.016
ak 2W6k 0 2rziAlc 4riAk x
-9-
b- 1+11F(x, Or dr ne diverge pas on vérifie bien qu il est égal à I .En effet :
1
*c. Ak 2 akx Mx
.1. -7-2 r sine (-2 )dx=-- smc (u) - avec u=-Ï-.
e Donc l paquet d'onde peut
1
représenter l'état d'une particule libre puisqu'il est nonnalisable.
4n. 4zh
Ax = xi - x_i -> Az- Ak =42r -> 4- Ap=4erh ->&c .=- 40 --> On ne peut pas mesurer 1
simultanément avec autant de précision que l'on veut la position et la vitesse de la particule. Ceci est
compatible avec l'inégalité de Heisenberg :4x.44 1
_.
hk2 da) hk co hic vg tt
On: c0=--->v :,---,=— et V= -=—=—. pr--truc=mvg =mv --->vg =v où v
=—.--..—. 1
2m g e m P k 2m 2
est la vitesse de la particule en mécanique
_ classique. Donc le paquet d'onde qui se propage à la vitesse
vs représente bien la particule libre. 1
DI- Effet tunnel
La résolution des équations de-Schrédingerdansies trois régions donne .
- Région I : ei (x),=.4ex +Bie-'*. avec 4 et B1 deux constantes complexes. 1
- Région II : ÇOIT (X) = 4ex +.8„6,-qx avec Ail et BE deux constantes complexes. 1
- Région III: e,,,(x). Axe' avec Aff est une constante complexe. 1
La fonction d'onde ainsi que sa dérivée première par rapport à x sont continues en x = 0 et x--ta equi
donne un système de 4 équations à 5 inconnues (les constates d'intégrations).
A1 +Br =Afi +Bli
ik (4 - B1)= q(telli - Bil ) illtio',,- »1/ 4 . -: r %a4.4aasid
• " —2--.
I 44414ii
Aile + B ffe-qa = Axe' alij.t.,... _
q(Affee -Bffee)=ikAggeez 1
2 hic 1
En utilisant la définition : j, •=lqi,I — =Ri —, j,, =I\11,12--z-=-141
hi 2 hÏc
2 hic
— et
m m m m
iiv /2 iii 1A 12 hic-
-). R=18 1- et T=Pirgr
it =1±/si — m =inni — m gr Rif 1
R représente la probabilité de réflexion de la particule sur la barrière et T la probabilité de transmission de
la particule à travers la barrière de potentiel ou probabilité pour que la particule franchit la barrière. 1
4
On doit avoir R +7' =1 , puisque la particule est soit réfléchie soit transmise : la somme des probabilités
= 1.
' 14- Pour l'électron on obtient T =0.78 qui représente une probabilité de passage de - 80 % . Donc
l'électron est délocalisé dans l'atome et peut franchir la barrière de potentiel atomique. Dans les mêmes 1
conditions, un proton aune probabilité T =10-19 . Cette probabilité est très faible à cause de l'effet de
- 1
masse. Autrement dit, un proton ou un noyau occupent un site bien déterminé (figé) dans un atome ou
une molécule.
a- (ve -E)> 0 et (Vo -2E)2 0
Donc sinh2 (qa)›.1
V' 4E (Vo - E)
-->V02 4E1(V3 E) -> ° .1
• -4
( o - E)
4EV
ainsi T - ( Vol sirth2 (qa)) 1
e2qa 4E(Vo -E
)
qa »1-> sinh2 (qa) = — »1
4
soit T=16 E(V2 7E)8-44a r-To e-2"
VO-
E (Vo - E) dTo va 1
V _
},02 -> dE =0 -> E =°-
b- 7(E) =16 n
2
15- ->Tos. =4. To(E= 0)=0 -->2o(E=V)=0 CPs» •/..
-
‘.
Pour E ._0 on a To rt0 donc T = 0 : la particule ne franchit v• ..
pas la barrière puisqu'elle est immobile. Pour E =Vo on 1
c.. , . iii
obtient To = O, ;nais l'approximation de la barrière épaisse
n'est plus valable en revenant à l'expression initiale de T on .4Q...te/ 1
trouve r ->1 et c'est normal la particule passe avec une
-probabilité proche de 1:- - . ' -
% 1 rr. 6 E 32(E) dE _83
(T01= -J -- - --=2,7
Tro Vo ° Vo
c- leo ) --.1n(T,0 )=1->ln(T)=111(T0 )-2qa =1-2qa, puisque. qa»1->ln(T)=-2qa 1
1V-- Ritoadivité a
a- La solutionde l'équation d2e2(r) 4..?fiE+
w_k y0 )9(r — : eo =Adkr +Bekr
1
k. 2m(E +Vo) .
. h2 Condition aux litnites : e(r =0) = 0—> A+ B = 0 . C,e qui donne :
2
ro
16- fp(x) = DSill(kX).La normalisation de 9 : fige(r)1 dr =1 -> Pr -5- =1 -> D = Il 1
0 2 ro
1
h- La condition tp(r = ro) = 0 -> sin(k ro ) = 0 donc k„ =ri ,n E Na
ro
2k2
En = ---Vo = h2 n2le: Vo. L'énergie de la particule est quantifiée 1
2m 2m ro
a-La particule a peut franchir la barrière par effet tunnel. 1
h- K =2(Z -2)e2 =4,62x10-36C2 -> V = K -74,25MeV 1
17- 4rce0ro
e- ri est donné par la relation V (Ji) = E -> ri = K -6,50x10-14m 1
4zeoE
a- Entre r et r +dr , le potentiel peut être approximé par une barrière rectangulaire d'épaisseur dr et de
18- hauteur V(r) . La probabilité pour que la particule traverse cette barrière correspond à la probabilité 2
T(r) d'être arrivée en r multipliée par la probabilité de franchir la barrière rectangulaire d'épaisseur
5
dr qui est - 6-2q* •
-> T(r + dr) = T(r)e 2"" --> ln (T(r+dr))= ln (T(r))-2qdr .
_12ma (V(r)) :-E
b- ln(T(r + dr))-In(T(r)).-2qdr --•> dinT - 2q on ag
dr h'
1 ilm ( K E j die1 21 - 2ni ( K Ej En intéira:ot sur toute la barrière :
g re it -OE 47rsor - --> dr --i ----' 4zeor - -
2
r
7,= _2 fil2m ( K
hi,. ''`ittreor
-
_ Ejdr =-27
h
17-
tair K
rtt I( tre„E r
1)dr
e-Onari =
K
4trenE
2
--> kr =--127-
njin F dr = --
2 frg
• (rt •
m • r -.-2 H ->
t
1
1
bar, - 2 ,fmaroK. Kf1 _ b . __ _> a _ 2 2maroK et b _ Kfir
na
h geo 460h ft If ' —
h tœo 480h
1 r
a- On a E=- m,„v2 ->v= - . A.N : =1,38 x107m.s-1 -107 m.s-4 1
2 ma
2ro
b-Entre deux rebonds la particule parcourtlà disiiiiiiié-Iro donè Ç - = r- o a -- :5X 10 s dOne
v E ; 0,5
19- 1 r: 1 1 E _ 025
n=-
tni a 2 x1021
ro •Fj 0,5
c- Dans une seconde la particule effectue n rebonds Sur la barrière d'énergie potentielle à chaque
- -febéliad &lei '''''''''''''''''''''''' dé liniir •du-iiii-yàii; Done ------------ 'nié Xe-Con-dé lila iirnelkébabilité- .
nT, d'où la probabilité par unité de temps d'émettre une particule a est fl=nT 1
a- Lettombre de désintégration par seconde pour un noyau est fl=n•T. Donc le nombre de noyaux
......Nfotnimiç»dej3PkeLdt pendant une durée dt ce qui donne :N(t-Fdt)-1A t)-=•-13'N_(t)dt
dN
. -->
dt
e;' 13-= nxT it.---2g1021- 5(2 x10-39 = 4 x1:0-18:i4-. Gee-raté& te-dé-Met
. ----hitiricTut la Valait- - I---
. expérimentale ce qui valide le modèle de Gamow.
b- L'intégration de l'équation précédente : donne N(t)=-.144,e- . ( ) NO:0 __>
20- 2
-fit No - 1
Noe .2 =--479t12 =1n2->ti2 = 1n2
p
2
c . ( ti. j (ln ) • _ • b
- ln - =ln —n = ln(ln2)- ln (T) -Inari
‘___)-a
2 +. —,- ......
.•• • . • - -1 -- ' /3 - - • •- • • • 4E- "
0,5
La loi de demi-vie obtenue précédemment indique qu'elle est proportionnelle à E-. ce qui est prouvé
expérimentalement.
r..
4:319-1-1..-U4 4k-imbu-el