Vous êtes sur la page 1sur 6

Membre

 Membres
  0
 558 messages

Posté(e) le 16 décembre 2013


De rien khouya, il y a un très beaux exposé de Tarik . sur son forum qui
l'explique http://www.carduelis.eu.org/mutations-et-genetique/6-les-panachures-chez-le-chardonneret-elegant-
le-chardonneret-gorge-blanche-feve-panache-et-blanc-aux-yeux-noirs

Les panachures chez le chardonneret élégant


Détails Créé le 12 février 2010 Mis à jour le 21 mars 2012 Publié le 12 février 2010 Écrit par Tarik B.
Affichages : 3287
J'ai pris comme références certains travaux publiés dans le domaine de l'aviculture, ainsi que les résultats
analogues observés et obtenus chez d'autres espèces animales , notamment chez la souris de laboratoire, le chat
et le chien.

J'espère que cela va avant tout aider certains à mieux cerner le sujet, et pourquoi pas, à obtenir des résultats
dans leur élevage et d'ailleurs je les invite volontiers à m'en faire part.

Qu'est ce qu'une panachure ?

Une panachure est une décoloration localisée ou bien un trou visible dans la pigmentation normale du plumage,
de la peau ou des parties cornées et même dans les yeux (dans un cas observé en photo sur le net). Autrement
dit, c'est une zone qui n'a pas reçu de mélanines noires ou brunes.

Un chardonneret dit "févé" ou "gorge blanche" est avant tout un "chardonneret panaché", un chardonneret ayant
un ongle , une rémige ou une minuscule tache blanche quelque part dans ses plumes est aussi un "chardonneret
panaché".

Par définition, une panachure peut donc apparaître sur les plumes, le bec, les pattes, la peau, les ongles ou les
yeux et élimine localement toute traces de mélanines noires ou brunes. Cependant, la panachure n'affecte
apparemment pas la couleur de fond (le caroténoïde jaune ou rouge), un canari à fond jaune (canari vert) va
présenter des panachures jaunes, un canari dit "bronze" va présenter des panachures rouges ou orangées car
c'est un oiseau à fond rouge.

Pour ce qui est de la couleur de fond du chardonneret, il faut avant tout savoir que ce n'est pas un oiseau à fond
blanc, mais à fond jaune. Seulement, il présente une répartition particulière du caroténoïde jaune sur le corps
qui est localisé en des régions bien précisent et rappelle ainsi le patron mosaïque du canari. Par conséquent, si
la panachure apparaît sur une rémige, qui possède naturellement du caroténoïde jaune, la panachure sera de
couleur blanche et jaune, si elle apparaît sur la nuque ou la calotte, la panachure sera de couleur blanche car ces
régions sont naturellement dépourvues de caroténoïdes.

Chardonneret élégant Carduelis carduelis parva,


en phénotype noir-brun (classique) panaché
Une plume blanche est donc une plume qui n'a reçu ni mélanines (noir ou brun), ni caroténoïdes (lipochrome
jaune ou rouge), c'est comme une feuille blanche sur laquelle on n'a pas écrit avec un stylo.

Enfin, dans beaucoup d'articles que l'on peut lire sur internet ou dans la littérature, on désigne les oiseaux
sauvages ayant des zones amélaniques dans le plumage par le terme d' "albinos partiels". En effet, dans la
nature on peut observer des moineaux, des mésanges, étourneaux, merles... avec des dépigmentations
localisées. Ces oiseaux sont par définition des panachés, et ne sont pas à confondre avec le vrai albinos dont
l'origine est une mutation génétique récessive et dont l'aspect ne présente AUCUNE mélanine visible, car
incapable de la synthétiser. A vous de voir si ce terme est adapté ou non et pourquoi.. ça c'est un autre débat...

Origine des panachures

Beaucoup d'oiseaux ayant des panachures présentent en fait ce qu'on appelle "des aberrations du plumage non
héréditaires". Cela est très souvent dû à des troubles endocriniens, un déséquilibre dans les hormones qui
interviennent dans le processus très complexe de la coloration des plumes, notamment dans les réactions
biochimiques qui permettent la migration des mélanines de la peau vers les plumes, lors de la mue par exemple.
Les maladies, le stress, la mue dite "barbare" ainsi que l'alimentation, peuvent aussi favoriser l'apparition de ces
panachures.

Par conséquent, il n'est pas rare de rencontrer avec ces oiseaux des difficultés pour la reproduction, le chant, la
mue.. etc.

Ce qu'il faut retenir dans ce cas, c'est que ces aberrations ne sont pas transmissibles à la descendance, elles
peuvent apparaître spontanément lors de la mue, évoluer ou au contraire disparaître au fil du temps.

Les panachures peuvent aussi être d'origine génétique (mutation(s)), et dans ce cas elle seront transmissibles
suivant les lois de l'hérédité.

Pour distinguer une aberration du plumage non héréditaire d'une panachure d'origine génétique, une
reproduction du sujet sur plusieurs générations est nécessaire. De plus, une panachure d'origine génétique est
visible dès la naissance, contrairement aux aberrations qui surviennent très souvent lors de la mue.

Bref rappel sur la transmission de la panachure chez le canari

la panachure chez le canari domestique obéit à un mécanisme assez complexe, dicté par plusieurs gènes (réf.
Maurice POMARÈDE "La science des beaux oiseaux" et "Précis de canariculture").

En accouplant un canari mélanique et un lipochrome, on obtient des panachés à divers degrés. En accouplant
des panachés entre eux, ou avec des canaris mélaniques, on observe un comportement imprévisible dans la
transmission de celle-ci; elle peut apparaître (la panachure) dans la génération suivante et/ou sauter d'autres
générations... puis réapparaître quelques générations plutard aux mêmes endroits ou à des endroits différents.

Ce comportement reste donc imprévisible et très difficile, voir impossible à prévoir car les gènes qui y sont
responsable ne sont pas bien connus.

La panachure chez le chardonneret élégant

On rencontre divers degrés ou aspects de panachures chez cette espèce, on observe par exemple :

Le chardonneret ayant une minuscule bavette ou une ligne très fine et irrégulière sous le menton;
Le chardonneret ayant une bavette blanche plus importante qui va de la mandibule inférieure, en s'allongeant en
forme de trapèze, jusqu'à la gorge;
Le chardonneret ayant une bavette blanche encore plus importante qui va de la mandibule inférieure, s'allonge
(parfois en traversant les joues sur les côtés) jusqu'à la gorge ou la poitrine, accompagnée d'un collier blanc
autour du cou et parfois aussi avec quelques pennes ou ongles blancs;
Le chardonneret entièrement blanc aux yeux noirs (chardonneret dit lipochrome).
Comparé au canari domestique, le chardonneret élégant semble très souvent marquer la panachure, en premier
lieu, au niveau du menton.

Vous pouvez voir ci-dessous quelques différents aspects ou "phénotypes" de panachés, allant de la petite ligne
bien discrète sous le bec jusqu'à l'oiseau totalement blanc aux yeux noirs. La transmission de ces panachures
n'est totalement pas connu pour tous ces sujets, ou est en cours d'étude, ces illustrations sont là uniquement
pour voir les différents aspects et répartitions de quelques dépigmentations :

Chardonneret à petite bavette qui ne coupe pas le masque


Mâle issu de mon élevage (de père similaire)

Chardonneret à bavette blanche irrégulière

Femelle chardonneret à bavette blanche et à collier blanc

Chardonneret en phénotype blanc aux yeux noirs

Transmission de la panachure chez le chardonneret élégant

La transmission de la panachure chez le chardonneret élégant n'est pas très bien connue non plus, elle est
toujours en cours d'étude et on y émet beaucoup d'hypothèses (très enrichissantes d'ailleurs), ces hypothèses
sont plus ou moins proches de la réalité.

Néanmoins, il semble que la panachure génétique (la panachure génétique = qui se révèle transmissible) soit
comme chez le canari domestique, sous le contrôle de plusieurs gènes, (Réf. Massimo Natale) qui en s'associant
ou se dissociant ont un effet différent sur l'aspect final de la dépigmentation, et donc à hérédité aussi
imprévisible. Ça pourrait bien expliquer pourquoi les chardonnerets panachés issus d'élevage sont rares, on ne
rencontre généralement que des oiseaux à divers degrés de dépigmentations ou à bavettes blanches dont
l'origine et le génotype sont inconnus (on ne sait pas si c'est transmissible ou pas et à quel degrés ça l'est).

Les panachés génétiques aux dépigmentations importantes et typiquement symétriques sont donc très souvent
issus d'élevage, ils sont généralement obtenus en accouplant des panachés entre eux ou bien en pratiquant des
croisements judicieux.

Pour résumer donc, nous allons vous simplifier toute cette histoire, nous allons schématiser la chose, et allons
vous expliquer pas à pas tous les points essentiels à partir du début. Pour cela nous allons reprendre quelques
hypothèses émises et faire quelques suppositions, c'est simplement pour faciliter la compréhension ! ce n'est pas
du tout cuit, hein !?.

Supposons (je dis bien supposons...) que la panachure apparaît dans le plumage parce qu'il y a un facteur de
base ou bien un facteur majeur qui permet sa formation, et que nous appelleront "facteur panaché". Nous
désignerons ce facteur tout bêtement par la lettre "p".

Ce facteur serait le résultat de la mutation du "facteur coloration uniforme" qui conditionne la pigmentation
uniforme et sans trous du plumage. Nous allons tout bêtement aussi, désigner ce facteur par la lettre "p+" (le
signe + veut dire que c'est un gène à l'état sauvage = Non muté). Nous allons aussi supposer que ces deux
facteurs se situent physiquement sur un autosome et non sur un chromosome sexuel, c'est à dire qu'ils ne sont
pas liés au sexe.

Le "facteur panaché" ( p ) et le "facteur coloration uniforme" ( p+ ) sont donc allèles (autrement dit, deux
formes différentes d'un même gène).

Et comme on sait bien qu'un gène libre (ou autosomale) est toujours présent en double exemplaire (l'un hérité
par le père, l'autre par la mère), on ne peut rencontrer chez le chardonneret qu'une seule de ces trois
combinaisons de lettres (3 génotypes possibles) :

(p+ p+) , cette combinaison de lettres représente le génotype du chardonneret uniformément coloré (non
panaché) = chardonneret classique;
(p+ p) , cette combinaison de lettres représente le génotype du chardonneret panaché hétérozygote;
(p p) , cette combinaison de lettres représente le génotype du chardonneret panaché homozygote.
Jusqu'ici, ce n'est pas trop compliqué (enfin j'espère..).

Seulement aussi, quelque chose m'échappe.. Tu nous parle ici de combinaisons de lettres qui représentent le
génotype du "panaché homozygote" et "panaché hétérozygote"... Mais réellement, quels aspects (ou
phénotypes) va t on avoir avec les génotypes 2 et 3 ?? des chardonnerets à petite bavette blanche ? des
chardonnerets à grande bavette blanche ? des blancs ?? autrement dit, quelle apparence (ou phénotype) va
correspondre avec ces combinaisons de lettres ???

Justement, ceci est le cœur du débat ...

Bon avant de commencer, la première combinaison de lettres (p+ p+), nous allons l'ignorer car cet oiseau n'a
tout simplement pas de facteur panaché, ni apparent ni caché, c'est un classique tout à fait ordinaire et
uniformément coloré.

En ce qui concerne les deux dernières combinaisons de lettres (p+ p) et (p p), nous ne pourront connaître
l'aspect qui va en découler que si on connaît d'abord lequel de ces deux facteurs est dominant et lequel est
dominé (récessif). Et pour cela, il faudra reproduire les oiseaux et analyser les résultats.

Il y a seulement quelque temps, on a reproduit quelques chardonnerets panachés à bavette blanche, dits "gorges
blanches" avec des chardonnerets ordinaires, on a obtenu dès la première génération des chardonnerets
ordinaires et des panachés à bavette blanche (des gorges blanches). Ensuite, le croisement de deux
chardonnerets panachés à bavette blanche (gorges blanches) aurait donné des chardonnerets ordinaires, des
chardonnerets à bavettes blanches et quelques blancs aux yeux noirs.

On a donc conclu que la panachure chez le chardonneret élégant était une mutation dominante et autosomale
(car le sexe des géniteurs n'a pas eu d'incidence sur les résultats).

Par conséquent, et en réponse à la question posée un peu plus haut, nous dirons que l'aspect du "panaché
hétérozygote" qui correspondrait à la combinaison des lettres p+ p, sera celui à "bavette blanche" (gorge
blanche). Et le chardonneret ayant la combinaison (p p) aura un aspect "blanc aux yeux noirs".

Suivant cette théorie, nous obtiendront logiquement lors de nos croisements les résultats suivants :

Gorge blanche (p p+) X Classique (p+ p+), ou inversement :

La moitié des jeunes (50%) seront des classiques uniformément colorés (p+ p+).
L'autre moitié (50%) sera des jeunes gorges blanches (p p+).
Gorge blanche (p p+) X Gorge blanche (p+ p) :

Nous auront un quart (25%) de classiques uniformément colorés (p+ p+).


La moitié des jeunes (50%) seront des gorges blanches (p p+).
Le dernier quart (25%) sera des jeunes blancs aux yeux noirs (p p).
Gorge blanche (p+ p) X Blanc aux yeux noirs (p p) :

Nous auront la moitié de jeunes (50%) blancs aux yeux noirs (p p).
L'autre moitié (50%) sera des jeunes gorges blanches (p p+).
Blanc aux yeux noirs (p p) X Blanc aux yeux noirs (p p) :

Tous les jeunes (100%) seront blancs aux yeux noirs (p p).
Blanc aux yeux noirs (p p) X Classique (p+ p+) :

Tous les jeunes (100%) seront des gorges blanches (p p+).


Critique

Selon l'hypothèse de la mutation panaché à bavette blanche dominante et autosomale, le facteur panaché se
transmettrait à la descendance suivant les lois mendeliennes de l'hérédité, or dans la réalité, on constate parfois
l'obtention de résultats différents, variables et assez imprévisibles qui ne correspondent pas toujours avec les
résultats énoncés plus haut. En voici quelques exemples :

Des personnes ont obtenu des oiseaux totalement blancs, oui, mais seulement après plusieurs croisements entre
oiseaux panachés à bavette blanche sur plusieurs générations;
D'autres n'ont par contre obtenu que des oiseaux à bavettes blanches dont la taille et la forme étaient très
variables;
On a aussi obtenu, en croisant chardonneret à bavette blanche X chardonneret à bavette blanche, non pas des
blancs comme cité plus haut, mais uniquement des chardonnerets classiques et des chardonnerets à bavettes
blanches, certains à petites taches sur la tête ou à collier blanc et à ongles blancs, mais jamais de blancs;
On a également affirmé l'impossibilité d'obtenir des blancs aux yeux noirs avec des oiseaux ayant une bavette
étroite ou minuscule qui ne traverse pas le masque rouge;
En accouplant chardonneret à bavette blanche de taille moyenne (variable) X chardonneret ordinaire, d'autres
n'ont rien obtenu de spécial, uniquement des oiseaux classiques (résultat non confirmé sur un grand nombre
d'oiseaux);
On a obtenu également des blancs aux yeux noirs à la première génération en accouplant des chardonnerets à
large bavette blanche avec des ongles normalement mélanisés ou noirs ;
...
Explications donnée...

On a expliqué le phénomène d'irrégularité de la transmission des panachures de plusieurs façons, on a d'abord


dit (en Italie) qu'il existait en fait deux mutations; la mutation bavette blanche (ou gorge blanche) à
transmission dominante autosomale, et à coté, il y a une autre mutation panaché qui serait à transmission
récessive autosomale...Cela n'explique pas pourquoi faut il passer parfois par une sélection lors des
accouplements de chardonnerets à bavette blanche afin d'arriver au phénotype blanc !?
On a ensuite commencé à parler de chardonnerets à bavette blanche "simple facteur" et "double facteur", on
disait qu'à la base, le chardonnerets à bavette blanche était un "simple facteur" et qu'il fallait croiser deux
chardonnerets "simple facteur" pour obtenir quelques sujets "double facteur" qui auraient toujours un
phénotype bavette blanche et qui, accouplés entre eux, donneront le phénotype blanc aux yeux noirs. Or, cela
n'a pas de sens et n'est pas du tout logique, un simple facteur pour un gène dominant serait un hétérozygote
(donc à bavette blanche), le double facteur serait homozygote, et logiquement en suivant les résultats donnés
plus haut, ce dernier (chardonneret à bavette blanche double facteur) aurait déjà un phénotype blanc aux yeux
noirs et non à bavette blanche.

L'explication la plus plausible en fait, serait l'existence d'autres gènes indépendants qui influent et modifient
l'action du "facteur panaché" ou facteur (p). Ce dernier serait donc influencé par son environnement génétique.

Ces gènes qui modifient l'action du facteur panaché (P), sont ce qu'on appelle des "gènes additifs" ou
"polygènes", leur présence en une certaine quantité et leur association avec le facteur (p) modifient et
augmentent l'étendue des panachures.

Supposons (encore) qu'il existe un seul gène additif (il peut y avoir plusieurs) qui affecterait l'étendue des
panachures que le facteur (p) a provoqué. Nous appellerons ce gène "facteur additif" et nous allons le désigner
tout bêtement (aussi) par la lettre (g) (par rapport à la gorge). Ce facteur (g) serait le résultat de la mutation du
"facteur non additif" (g+) dont il est allèle, et qui n'augmente pas l'étendue des panachures.

Par conséquent, les possibilités d'associer et combiner les facteurs (p) et (p+) avec les facteurs (g) et (g+) sont
importantes et les aspects des jeunes issus seront variables selon la combinaison de lettres que l'on a obtenu,
donc suivant la présence ou non du "facteur additif" (g) à coté du "facteur panaché" (p).

Par exemple, on va supposer que l'oiseau qui aurait la combinaison des lettres (p p+, g+ g+) va avoir une petite
bavette blanche,de taille et forme variables. Nous admettrons alors ici le fait que le "facteur panaché" (p) soit
co-dominant avec le "facteur coloration normale" (p+).

On va aussi supposer qu'un autre sujet qui aurait la combinaison des lettres (p p+, g g+) va avoir une bavette
blanche de taille plus importante en forme de trapèze.

Un troisième individu, qui aurait la combinaison des lettres (p p, g+g), va avoir un autre aspect que le précédent
avec des panachures encore plus marquées. Il aura des ongles blancs par exemple et quelques pennes blanches.

Enfin, un sujet ayant la combinaison des lettres (p p, g g) aura un phénotype blanc aux yeux noirs. La présence
en double du facteur (g) renforcerait l'action du facteur panaché (p) et réussirait à réaliser un blocage totale du
dépôt des mélanines sur le plumage.

l'existence de plusieurs gènes intervenant dans le phénomène de l'apparition de dépigmentations partielles ou


totales, expliquerait les variations constatées lors de la reproduction d'oiseaux panachés. Plus de facteurs
additifs il y a, et plus de combinaisons de facteurs pourront se réaliser, mais aussi, plus les combinaisons
"gagnantes" sont difficile à réaliser.

Le chardonneret blanc aux yeux noirs est le résultat final ou l'aboutissement de la sélection des gènes concernés
(Réf. MASSIMO NATALE).

Vous aimerez peut-être aussi