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Sommaire définitions Diversité du Vivant 

Condition nécessaire à la vie : eau liquide permanente ; CHON ou CNHOPS ; oxygène (pour certain
seulement et sans doute pas au début)
Hétérotrophe : Qui utilise pour se nourrir les matières organiques constituant ou ayant constitué
d'autres organismes. (Toutes les espèces vivantes sont hétérotrophes, sauf les végétaux chlorophylliens
[plantes vertes, algues], qui sont phototrophes.
Autotrophe : Organisme capable d'élaborer sa propre substance à partir des minéraux (ex. les végétaux
chlorophylliens).
Dessiccation : Élimination de l'humidité d'un corps. (Synonyme : déshydratation)
Diversité du vivant = diversité biologique : formes multiples de vie dans la nature avec leur variété et
leur variabilité (organisation, fonction, génétique)
La niche écologique : est un des concepts théoriques de l'écologie. Il traduit à la fois : la « position »
occupée par un organisme, une population ou plus généralement une espèce dans un écosystème, la
somme des conditions nécessaires à une population viable de cet organisme.
Facteurs abiotiques : ils représentent l'ensemble des facteurs physico-chimiques d'un écosystème ayant
une influence sur une biocénose donnée. C'est l'action du non-vivant sur le vivant.
Facteurs biotiques : représentent l'ensemble des interactions du vivant sur le vivant dans un écosystème.
L’endosymbiose (théorie endosymbiotique) : une forme de symbiose entre deux organismes vivants, où
l'un est contenu par l'autre. L'organisme interne est appelé un endosymbiote.
Théorie endosymbiotique : hypothèse de l'endosymbiose, est l'hypothèse selon laquelle les chloroplastes
et mitochondries des cellules eucaryotes proviennent de l’incorporation par certaines archées, des
bactéries avec lesquelles elles auraient entretenu une relation endosymbiotique.
Sélection naturelle : théorie/concept développé par Darwin (en 1859) désignant un ensemble de
phénomènes qui induisent chez les organismes vivants des différences dans le succès reproductif « lutte
pour la vie » selon les caractères portés par ces organismes. Ces mécanismes sélectionnent donc au fil
des générations certains caractères plutôt que d'autres.
 La composition génétique d’une population peut être modifiée par la sélection naturelle : sous l’effet
de la compétition avec les autres individus et de la pression exercée par les conditions du milieu.
Certains individus survivent mieux et laissent davantage de descendants. Les allèles qu’ils portent
sont davantage transmis à la génération suivante.
La spéciation est, en biologie, le processus évolutif par lequel de nouvelles espèces vivantes se forment à
partir d'ancêtres communs.

La sélection naturelle se traduit par 3 critères :


-les EV présentent une variabilité : variation des individus (au sein d’une espèce les individus sont
variables sur un certain nombre de caractères comme par exemple la longévité, taille, capacité à
courir vite)
-sélection (dans un environnement donné il y a sélection d’un certain nombre de trait/caractère
favorable, c’est-à-dire qui permettent d’engendrer plus facilement une descendance (et +
nombreuse).
-héritabilité (caractères héritables d’une génération à l’autre = même caractéristique ascendant &
descendant)
Héritabilité : probabilité pour qu'une caractéristique apparente, manifeste d'un individu soit transmise
héréditairement par les facteurs génétiques.
Classification phylogénétique : classification fondée sur un cladogramme
Cladogramme (= arbre phylogénétique) : Schéma arborescent montrant les relations de parenté entre
divers groupes d'organismes (taxons) dont l’intersection des branches (=clade), c’est-à-dire que les nœuds
sont défini par des caractères apomorphes (=caractère dérivé) et représente les ancêtres commun.
Phylogénie :analyse de l'évolution des êtres vivants qui permet de déceler d'éventuels liens de parenté ent
re eux.
Cladistique : traduction de l’histoire évolutive en arbre phylogéntique représentant les relations de parenté
entre les différents être vivants (entre taxons = groupe).
Clade (= groupe monophylétique) : regroupe l’ancêtre commun et tous ses descendants (dans un arbre
phylogénétique)
Caractère apomorphe : caractère dérivé est un caractère qui est différent de l'état ancestral.
Caractère plésiomorphe : caractère ancestral (déjà présent)
Synapomorphie (= innovation évolutive) : il y a synapomorphie lorsqu’un caractère dérivé, autrement dit
un caractère apomorphe est partagé entre plusieurs taxons.
Métazoaires (=animaux) : animaux présentant du collagène (= synapomorphie)
En résumé : les métazoaires sont pluricellulaire, hétérotrophe, diploïdes, ont des cellules reproductrices
haploïdes, et sont mobiles (à ou moins un des stades ; ex : larvaire), ont des cellules mâle, les
spermatozoïdes, et du collagène.
2 théories à l’origine des Métazoaires :
-la théorie syntitiale : une même cellule aurait subi des divisions nucléaires multiples avec
cloisonnement (membrane autour des noyaux ; ex : placenta)
-la théorie coloniale : les métazoaires seraient issus d’une association d’unicellulaire avec
partages des taches (locomotion, reproduction, respiration, etc…)
Collagène : protéine fibreuse/structurale formant une matrice extra-cellulaire (tissu interstitielle = bouche
les trous entre organes) permettant la cohésion des cellules et des organes. Désigne une innovation
commune (ou caractère apomorphe) à l’origine des animaux. (Protéine la plus abondante chez les
mammifères, elle représente ¼ de leurs protéines, soit 5% de leur masse (collagène IV est le plus
abondant parmi les 28)
Choanocytes : cellules spécialisées possédant un flagelle, une collerette et une vacuole digestive (pas de
bouche). Cette cellule est la synapomorphie des spongiaires/éponges (=Porifères). Les spongiaires étant
hétérotrophes, filtrent l’eau (comme une pompe) et capturent les particules en suspension grâce aux
choanocytes.

Texte Amibocytes :
Les amibocytes se déplacent dans la couche gélatineuse, la mésoglée de l’éponge et remplissent
différentes fonctions : elles absorbent les aliments provenant des choanocytes, les digèrent et
transportent les nutriments vers les autres cellules. Les amibocytes ont aussi un rôle dans la
formation de fibres squelettiques résistantes, à l’intérieur de la mésoglée.

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