Global Conference Paris, 17th-19th October 2005

TOWARDS GLOBAL HARMONISATION 2005

“ACHIEVING A COMMON UNDERSTANDING OF Le Partenariat Mondial pour une Agriculture Fiable et Durable

SUSTAINABLE AGRICULTURE” Mai 2005

The can’t miss event of 2005. Why? Retailers and producers from the EurepGAP The EurepGAP Steering Commit- www.eurep.org
partnership will join with other stakeholders from around the globe to debate and tees recommend your participa-
discuss EurepGAP’s contribution to safe and sustainable agriculture. This is your tion:
opportunity to influence the future content of the EurepGAP protocol.
Fresh Produce
How can you benefit from attending? ● Ronald Bown, S.H.A.F.F.E. / ASOEX

● Josse de Baerdemaeker, VBT

● Hear from world class speakers on the topic of sustainability ● Brian Kelly, Superquinn

● Horst Lang, Globus SB Warenhaus

● Be there at the beginning of the discussions for the next version of the EurepGAP
Holding
protocol effective 1st Jan 2007 ● Hans-Juergen Matern, Metro Group

● Benito Orihuel Iranzo, ANECOOP

● Contribute to further harmonisation of standards, auditing and certification
● Chris Payne, Assured Produce

● Discover the latest developments in EurepGAP ● Eran Sorek, AGREXCO

● J. A. van Staalduinen, DPA; Yang Zhigang Autorité de Sicilly Kariuki Responsable de

The Greenery Blanca Villerello, ministre, Mexique Certification et d’Administration de la l’Association des Exportateurs de
RPC (République Populaire de Chine) Produits Frais du Kenya (FPEAK)
There will be a thought provoking mix of plenary keynote speakers
Integrated Farm Assurance
and breakout sessions on:

● Food safety: microbiological risks and residues

● Chris Anstey, Tesco Stores

● David Clarke, Assured Food Stan-

dards
● Environment ● G.J. Gerard Doornbos, LTO The
Netherlands
● Reinhard Kaeppel, McDonald‘s
● Social and Worker Welfare issues
Europe
● Animal Welfare ● Rene Maillard, VLAM; Flanderns Agri-
cultural Marketing Board
● Hans-Juergen Matern, Metro Group
Network in our exhibition area and during social events.
● Stephen Ridge Somerfield
● Jon Roe, Sainsbury’s
● Alfons L. Schmid, Royal Ahold
Why not block your diary now according to your product interest?
● Per E. Sorensen, Danske Slagterier
● Integrated Farm Assurance (Livestock/Crops/Coffee and Aquaculture): 17th/18th ● Bert A.P. Urlings, Dumeco bv
October 2005 ● Roberto Vázquez Platero, INAC -
Instituto Nacional de Carnes
● Fruit, Vegetables and Flowers: 18th/19th October 2005 ● Peter Wahlsten, Grain Council West-
ern Australia
● Johann Zueblin,
To become a sponsor or exhibitor contact:
Mrs Daniela Giesen, mailto: giesen@foodplus.org Migros-Genossenschafts-Bund
Online registration via www.avantel.de/eurepgap2005.
HARMONISATION
AVEC EUREPGAP, LE MONDE EST PLUS PETIT
La Chine, le Kenya et le Mexique sont
les derniers pays à être entrés en étroite
collaboration avec EurepGAP dans le
but de modérer leurs propres référen-
tiels existants et d’obtenir une équiva-
lence officielle.
Ces trois gros producteurs agricoles ont
réalisé un important pas en avant en
acceptant de passer des accords offi-
ciels avec EurepGAP pour que leurs
référentiels nationaux pour de bonnes
pratiques agricoles soient reconnus sur
le marché international.
L’équivalence n’est accordée qu’après
un examen mutuel rigoureux par des
membres d’EurepGAP et une évaluati-
on indépendante comprenant un audit
témoin réalisé dans le pays.
«Une fois qu’un programme a été
référencé EurepGAP, les acheteurs
savent exactement à quoi ils peuvent
s’attendre. C’est un élément essentiel
pour eux», déclare Nigel Garbutt.
Ceci ne peut être réalisé que grâce à
une comparaison transparente des
référentiels, puis par un engagement à
respecter ces derniers à travers des
obligations contractuelles convenues
entre les propriétaires de ces référen-
tiels et EurepGAP.
«L’harmonisation reste une priorité pour
EurepGAP,» déclare Nigel Garbutt, pré-
sident d’EurepGAP.
«Nous avons parcouru beaucoup de
chemin en peu de temps.»
«Actuellement, 32 détaillants soutien-
nent activement EurepGAP. On peut
aisément imaginer le chaos qui règne-
rait maintenant si tout un chacun avait
adopté ses propres référentiels et con-
ditions de certification, qui seraient tous
très différents!»
La collaboration des détaillants avec
leurs producteurs joue un rôle impor-
tant dans l’histoire de la réussite d’Eu-
repGAP puisqu’elle offre une certificati-
on rentable et un accès libre aux
agriculteurs partout dans le monde.
Comme le montre notre article aux
pages 4 et 5, ceci inclut les petits
exploitants, quelle que soit leur locali-
sation.
EurepGAP a agréé plus de 80 organis-
mes de certification pour les référentiels
internationaux et ceux-ci sont en cours
d’application dans plus de 60 pays
dans le monde.
«Toutefois, rien n’est encore joué, et
nous avons besoin que chacun agisse
en tant que membre d’une équipe si
nous voulons mener le processus à
bonne fin. Chacun a un rôle à jouer
pour contribuer au développement de
l’équivalence, qui réduira les coûts et
améliorera la crédibilité chez nos diver-
ses parties prenantes», souligne-t-il.
«EurepGAP continuera à œuvrer pour
rassembler les programmes et les
détaillants nationaux afin d’instaurer un
débat sur les moyens permettant
d’améliorer la simplicité et l’efficacité
de la certification agricole.» Ceci con-
stituera un thème majeur lors de la
conférence EurepGAP 2005, qui se
tiendra à Paris.
Pour plus de détails, voir en dernière
page.

8
 LANCEMENT D’UNE NOUVELLE
QUESTIONS TECHNIQUES
BASE DE DONNÉES
INTÉGRITÉ ET TRANSPARENCE POUR DÉFENDRE
L’ARGUMENT «CERTIFIÉ EUREPGAP»
Depuis janvier 2005, EurepGAP exploite
une nouvelle base de données.
«Cette étape était nécessaire pour améli-
orer l’intégrité et la transparence d’Eu-
repGAP et défendre la prétention de nos
producteurs à être certifiés EurepGAP »,
déclare le secrétaire général, Kristian
Moeller.
«Nous nous sommes associés avec un
des meilleurs et des plus gros fournis-
seurs de services télécoms internationaux
du monde, T-Systems International, filia-
le de German Telekom, qui applique la
toute dernière technologie, les règles de
protection de données les plus rigoureu-
ses et une garantie opérationnelle 24
heures sur 24, 7 jours sur 7.»
La fonction existante permettant de véri-
fier en ligne la validité d’un certificat en
tapant le numéro d’immatriculation
EurepGAP
(www.regnumbersearch.eurep.org)
restera disponible au public.
Les nouvelles fonctions sont les
suivantes:
Les producteurs et groupes de produc-
teurs ont accès à leurs propres données
et peuvent à tout moment accorder ou
supprimer l’accès en lecture à certains
clients.
Les producteurs peuvent procéder à leur
propre auto-évaluation à l’aide d’une
liste de contrôle en ligne dans leur lan-
gue et archiver celles-ci.
Les organismes de certification peuvent
utiliser cette évaluation comme base
pour leur rapport de contrôle en ligne
obligatoire.
Le système de base de données générera
un numéro de certificat unique et établit
un historique des certificats, des possibi-
lités d’utilisation des produits et des dates
de validité.
Les structures disposant d’un référentiel
peuvent utiliser ce système pour leurs
listes de contrôle, et chaque contrôle
peut être présenté comme contrôle
EurepGAP pour attester de l’équivalence
de chaque formule.
Outre les fonctions de contrôle, les pro-
ducteurs inscrits dans la base de
données disposent d’un certain nombre
de services facultatifs supplémentaires
auxquels ils peuvent avoir recours:
Inscrire et tenir à jour un passeport de
2 3
champ pour chaque champ et chaque
récolte.
Établir un numéro de référence unique
pour chaque champ, l’«Identification
Unique des Adresses», l’UAID (pour plus
d’informations, consulter www.uaid.org).
Participer à un système de traçabilité
expérimental dans la chaîne alimentaire
en créant, pour les fournisseurs, des
numéros de lots récoltés et les enregistrer
dans la base de données.
Les négociants peuvent enregistrer des
comptes d’accès dans le système afin de
vérifier les données des fournisseurs et
d’éviter l’envoi de certificats papier.
… ET CE QU’EN
PENSENT NOS
MEMBRES
Juergen Matern, Metro:
«Nous apportons notre soutien à l’ex-
périmentation du système d’UAID et de
traçabilité, qui nous donne la certitude
que les efforts des producteurs pour
obtenir le certificat EurepGAP ne sont
pas utilisés abusivement par d’autres
participants de la chaîne, où se perdrait
la traçabilité.»
Johann Zueblin, Migros:
«Nous fondons de grands espoirs dans
la base de données d’EurepGAP, puis-
que nous espérons qu’elle réduira les
coûts de participation des fournisseurs.
Faute de quoi, chaque détaillant mettra
en place son propre système de traça-
bilité.»
Richard Yudin, Fyffes:
«Je considère l’utilisation des Systèmes
d’Information Géographique comme
une étape importante pour améliorer
l’authenticité de la certification, et per-
mettre à des certificateurs de réaliser
des audits aléatoires comme la régle-
mentation l’autorise.»
CHANGER POUR CHOIX DE LA DATE DE LA PREMIÈRE INSPECTION
QUELQUE CHOSE
DE MIEUX
Une directive sur la façon de déter-
miner le moment où doit être réa-
intégralement vérifiée avant qu’un
certificat puisse être délivré.
Seules des données de récolte de la
campagne en cours de certification
lisée la première inspection sur l’ex- Puisqu’il existe certains points de sont acceptables, et si certains points
ploitation a été publiée dans notre contrôle qui concernent des questi- ne peuvent pas être vérifiés le jour
Le fait que la législation applicable partie «directives et pièces et docu- ons qui ne sont vérifiables qu’à des de l’inspection, ceux-ci doivent faire
aux produits phytosanitaires soit sou- ments annexés» de la rubrique docu- moments bien précis de l’année l’objet d’une suite et être menés à
mise à des changements rapides a ments dans la section réservée aux (habituellement au moment de la terme avant qu’un certificat puisse
incité EurepGAP à modifier son proto- fruits et légumes sur notre site Web: récolte), ceci signifie que le choix de être délivré.
cole de façon opportune et à établir www.eurep.org la date de la première inspection est Les points de la section 9 et 10 (si
Vous y trouverez les mises à jour lors- important pour éviter un non-confor- applicable) et certains du chapitre 8
des notes de recommandations.
que de nouvelles questions sont mité, ou le renouvellement les visites (c’est-à-dire intervalle de récolte et
L’objectif des changements introduits traitées. avec les coûts que cela implique. résultats des tests de résidus) sont
par la Commission Technique et de Ceci explique en fait ce qu’il faut En résumé, ce que dit le guide, c’est particulièrement délicats à démont-
Normalisation de l’organisme est d’ai- prendre en considération lors de la que cette inspection doit avoir lieu le rer avant récolte.
der les producteurs à prendre davan- première amorce de la procédure plus près possible de la récolte, et La directive concerne également les
tage conscience des limites maximales d’inspection de certification Eurep- que doivent alors pouvoir être con- inspections suivantes et l’ajout de
GAP. sultés des registres couvrant une nouvelles cultures à la portée du
de résidus (LMR) en application sur les
Le point principal est que la liste de période d’au moins 3 mois avant certificat.
marchés où seront vendus leurs pro- contrôle EurepGAP doit être l’inspection.
duits.
Le comité se compose d’agronomes et
de techniciens des secteurs de la distri- EXPRIMEZ-VOUS SUR LA PROCHAINE VERSION DU
bution et de la production du monde PROTOCOLE D’EUREPGAP
entier.
Procédure de révision pour les fruits et légumes, version 2007
«Les changements ont été introduits de
façon que les producteurs dévelop-
pent une forte prise de conscience des
LMR en application dans les pays où le
produit sera, ou est susceptible d’être
vendu», a déclaré Hugo Hays, direc-
teur technique d’EurepGAP.
«Il est important que les producteurs
puissent prouver que leur produit
répond aux conditions des pays de
destination, en particulier si les régi-
mes sont plus stricts que ceux du pays
de production.
«EurepGAP a toujours souligné l’im-
portance du triage des résidus, qui
fournit une assurance supplémentaire
lorsque la destination exacte du pro-
duit n’est pas connue», a-t-il poursuivi.
«Afin de laisser aux producteurs le
temps de se familiariser avec ces nou-
velles conditions, les procédures modi-
fiées deviendront obligatoires dans le
programme de certification à partir du
1er mai 2005.
«Nous avons également établi une
liste exhaustive de contacts auprès
desquels les producteurs peuvent se
procurer les informations les plus
récentes au sujet des LMR et nous
espérons que cela les aidera à relever
les défis posés par les exigences légis-
latives», a ajouté M. Hays.
 David Shapley s’en-
tretient avec Nigel
Garbutt qui, lors d’un
récent voyage au
Kenya, a rendu visite
à de petits exploitants
dans les régions du
Mont Kenya et de
Sagana.
Steve Homer (Homegrown) et Nigel Garbutt regardent de petits exploitants récolter
des haricots verts
Quel était le motif de votre visite
au Kenya?
EurepGAP s’intéresse à la façon dont les
petits exploitants font face aux exigences,
ainsi qu’aux défis que doit relever ce grou-
pe spécifique de producteurs, afin de leur
offrir nos conseils et notre aide.
Une critique est exprimée: bien que l’utilité
d’EurepGAP soit reconnue, les producteurs
des pays en voie de développement peu-
vent trouver que les référentiels sont diffici-
les à respecter.
Quelle a été votre expérience?
Et bien, j’ai été très encouragé par les
référentiels élevés en vigueur chez les petits
Point de rassemblement où les produits des petits exploitants sont calibrés et exploitants du Kenya. Il existe environ
étiquetés avant transfert vers Nairobi 50.000 petits exploitants, certains ne culti-
vant pas plus de 0,5 hectare, avec une
moyenne d’environ 3 hectares de cultures
de légumineuses pour l’exportation.
Les petits exploitants ont tendance à prêter
beaucoup d’attention à leurs cultures et la
qualité des produits était très élevée. Les
exportateurs ont fait un travail très profes-
sionnel en organisant les producteurs en
groupes prêts pour la certification et il n’y a
certainement pas d’urgence à répondre
aux exigences au sein d’EurepGAP.
Ceci a nécessité le développement de
systèmes de gestion de la qualité et une for-
mation considérable. Plusieurs partenaires
du développement comme le DFID et l’U-
SAID ont joué un rôle important en donnant
forme à certaines de ces activités.
Je dirais qu’il n’a pas été nécessaire de
consacrer aux équipements de grosses
dépenses en capital pour répondre aux
référentiels afin de rendre possible une pro-
Petites exploitations agricoles attenantes typiques dans la région du Mont Kenya
duction à petite échelle responsable. Déjà,
4 5
L’APPROCHE PRATIQUE EST UNE LEÇON
À LA PORTÉE DE TOUS
3 ou 4 exportateurs possèdent des grou- récemment déclaré le Ministre de l’agri- Les agronomes exportateurs prennent
pes qui sont certifiés, avec beaucoup culture, Kipruto Arap Kirwa. maintenant les devants pour définir et
d’autres en perspective, si bien qu’Eurep- interpréter EurepGAP dans le contexte des
GAP est réalisable dans ce contexte. petits exploitants.
Quelles seront les prochaines En particulier, cela apportera une plus
étapes après votre visite? grande force aux évaluations des risques
Quels sont les principaux défis?
L’organisation des producteurs dans des EurepGAP va œuvrer en étroite collabora- et plus de cohérence.
groupes viables est une tâche considéra-
ble.
tion avec l’association des exportateurs, la
FPEAK.
Il existe un projet de référencement du pro-
tocole KenyaGAP avec EurepGAP durant
Les petits exploitants ont besoin d’un sou-
tien important pour interpréter les exigen-
Lors de ma visite, le groupe de travail tech-
nique national a été inauguré et ceci a été
l’été 2005.
Le Kenya est un grand modèle pour d’au-
ces d’EurepGAP. Dans ce contexte, une un grand moment pour moi car cela a tres pays et c’est une excellente façon de
permis de réunir de nombreux exporta- travailler ... c’est ce que nous entendons
bonne analyse des risques a constitué une
teurs avec des spécialistes gouvernemen- par «EurepGAP – Le Partenariat Mondial
activité essentielle. pour une Agriculture Fiable et Durable.»
Les coûts de certification ont également taux et non gouvernementaux.
été relevés et s’avèrent élevés.
Ceci est en grande partie fonction de la
taille du groupe de producteurs et il existe PAYS OÙ DES CERTIFICATS EUREPGAP
assurément une opportunité de réduire ONT ÉTÉ DÉLIVRÉS
des coûts, à mesure que le système mûrit.
Des analyses ont été envoyées à des labo- Afrique du Sud Inde
ratoires européens et ceci est bien sûr
Albanie Irlande
onéreux.
Bien qu’EurepGAP ait pour objet des Allemagne Israël
référentiels élevés, cela n’exclut pas la sou- Antilles Néerlandaises Italie
plesse dans le chemin pour y parvenir. Argentine Jamaïque
C’est pourquoi la formation à une qualité Australie Jordanie
élevée est essentielle et il est important
qu’elle soit menée à bien par de véritables Autriche Kenya
formateurs. Belgique Malte
Belize Maroc
Brésil Mexique
À qui appartient-il de remplir
Bulgarie Namibie
ce rôle : aux gouvernements
nationaux ou aux producteurs Canada Nouvelle-Zélande
eux-mêmes, réunis en organisa- Chili Pays-Bas
tion? Chine Pérou
Chacun a un rôle à jouer.
Chypre Pologne
On s’attend à une augmentation de 34 %
des revenus de l’horticulture au Kenya Colombie Porto Rico
cette année, mais on peut comprendre Costa Rica Portugal
que la vision initiale du gouvernement Cuba République Dominicaine
kenyan ait été que les exigences de l’UE Egypte Royaume-Uni
allaient constituer un obstacle pour leurs
Equateur Sénégal
produits.
Il s’aperçoit maintenant qu’EurepGAP, par- Espagne Souaziland
fois appelé «Les 200 Conditions de l’UE», Etats-Unis Suède
les aidera à accéder aux marchés Ethiopie Suisse
européens et arabes.
France Tanzanie (République Unie de)
Il tient aussi à ce que les Bonnes Pratiques
Agricoles soient également appliquées au Gambie Thaïlande
marché intérieur. Ghana Turquie
«Les touristes venus d’Europe, des USA et Grèce Uruguay
de nombreux autres pays sont conscients
Guatemala Venezuela
de l’importance de l’hygiène, et nous vou-
drions que les produits destinés au marché Honduras Zambie
intérieur adhèrent à ces conditions parce Hongrie Zimbabwe
qu’il est facile de les mettre en pratique», a
 LA BAVIÈRE ENREGISTRE DES PROGRÈS
Le Landeskuratorium für pflanzliche
Erzeugung in Bayern E.V. (LKP) est l’orga-
nisme de coordination des groupements
de producteurs de produits végétaux
bavarois et ses activités sont centrées sur
l’assurance qualité et le conseil.
Rédigé par Josef Bauer
Landeskuratorium für pflanzliche
Erzeugung in Bayern E.V.
Tal 35
80331 München
josef.bauer@lkp.bayern.de
Une expérience positive avec l’introduc-
tion du référentiel EurepGAP en Bavière.
Depuis le printemps 2004, des conseil-
lers du Landeskuratorium für pflanzliche
Erzeugung in Bayern E.V. (LKP) (le
Comité d’État pour l’horticulture en
Bavière) ont apporté leur assistance à
environ 800 exploitations agricoles et
horticoles dans le processus de certifica-
tion EurepGAP.
Étaient tout particulièrement concernées,
les cultures maraîchères de plein champ,
de même que les oignons, asperges,
pommes de terre et concombres.
Les conseils ont été centralisés dans un
manuel mis au point par LKP, expliquant
toutes les procédures et la documentati-
on nécessaires.
Dans le cadre de séminaires générale-
ment programmés sur une demi-
journée, ce manuel a également été uti-
lisé pour la formation, bien que les
conseillers aient également rendu visite à
production horticole, mais plutôt d’isoler
un petit nombre de points faibles et de
veiller à la mise en œuvre d’une documen-
tation suffisante sur la gestion de la qualité.
Encore une fois, il était souvent possible
d’avoir recours aux systèmes existants,
qui pouvaient être complétés par les exi-
gences particulières d’EurepGAP.
Les principaux domaines dans lesquels
EurepGAP a apporté un plus étaient les
normes de sécurité alimentaire et le
stockage des produits et des pesticides
qui ont rapport avec la sécurité et l’hygiène
au travail.
Aider à identifier les points faibles dans
les exploitations approchées avant la
certification était souvent chose facile
pour les plus grandes exploitations, puis-
que l’espace disponible dans leurs
locaux leur laissait plus de place pour
opérer des changements.
La question de la taille a posé plus de
problèmes à des participants plus petits,
si bien que les conseillers et les chefs
d’exploitation ont souvent dû passer plus
de temps pour trouver des solutions con-
formes à EurepGAP.
La plupart des exploitations ont eu
recours au programme de surveillance
offert par LKP pour effectuer le contrôle
des résidus de pesticide sur les produits,
qui avait été couronné de succès pen-
dant de nombreuses années dans le
cadre de la «Production Intégrée Con-
trôlée».
Aussi était-il possible, avec quelques
changements, de s’adapter encore une
fois rapidement aux exigences d’Eurep-
GAP, en assurant ainsi une information
indépendante et fiable constante pour
les négociants et consommateurs sur la
qualité des produits des producteurs
contrôlés.
Au bout du compte, les conclusions
tirées pour 2004 sont extrêmement posi-
tives en ce qui concerne le processus de
consultation et les résultats du contrôle.
Avec EurepGAP, les exploitations bavaroises
répondent aux demandes des marchés
09.08.2005-10.08.2005
● Combinable Crops (IFA) and Fruit
and Vegetables Joint Train-the-Trainer
Workshop in Auckland – New
Zealand in Fruit and Vegetables,
Integrated Farm Assurance
11.08.2005
● CB Workshop for Fruit and
Vegetables, Auckland – New
Zealand in Fruit and Vegetables
19.09.2005-20.09.2005
● CB Workshop for Fruit and
Vegetables, Milano – Italy in Fruit
and Vegetables
17.10.2005-19.10.2005
● Global EurepGAP Conference, 17-
19 October 2005, Paris in Fruit and
Vegetables, Flower and
Ornamentals, Integrated Farm
Assurance, Integrated Aquaculture
Assurance, (Green) Coffee
20.10.2005-21.10.2005
● TTS Workshop for Fruit and
Vegetables, Paris in Fruit and
Vegetables
14.11.2005-15.11.2005
● CB Workshop for Fruit and
Vegetables, Cologne, Germany in
Fruit and Vegetables
13.12.2005-14.12.2005
● CB Workshop for Fruit and
Vegetables, Cologne, Germany in
Fruit and Vegetables
Please see regular updates and detai-
led information/registration forms on
www.eurep.org under “Upcoming
Events”!
New: EurepGAP Database
LE PREMIER PRODUCTEUR DE BAIES DES
USA RECONNAÎT LA VALEUR DU
SYSTEME EUREPGAP
Driscoll’s, fournisseur et distributeur de
fraises, framboises, mûres et myrtilles
fraîches dont le siège se situe à Watson-
ville, en Californie, est totalement
engagé dans l’effort mondial de sécurité
alimentaire.
«En 2003, Driscoll’s a commencé ses
efforts pour obtenir 100 % de certificati- philanthropique des communautés dans
on EurepGAP pour tous nos producteurs
lesquelles nous vivons et travaillons.
indépendants dans toutes les régions de EurepGAP est un protocole de bonnes
production du monde», déclare Keith
pratiques agricoles reconnu et accepté
Refsnider, directeur de la sécurité alimen- au niveau international qui n’aborde pas
taire de Driscoll’s Strawberry Associates,
seulement la question de plus en plus
Inc. Notre adoption du protocole Eurep- importante de la sécurité alimentaire
GAP représente l’étape la plus récente mondiale, mais qui confirme et docu-
dans l’évolution continue de notre Pro- mente également notre engagement
gramme Mondial de Sécurité Alimentai- envers l’environnement, le bien-être des
re, programme leader de la filière. travailleurs et de notre communauté. La
L’engagement de Driscoll’s dans la sécu- philosophie d’EurepGAP, en accord avec
rité alimentaire soutient la mission de la politique de coopération de Driscoll’s,
notre entreprise de satisfaire continuelle- convient parfaitement à notre entreprise.
ment les consommateurs de baies en fai- En octobre 2004, Driscoll’s a accueilli
sant coïncider les intérêts de nos clients des professionnels de la sécurité alimen-
et ceux de nos producteurs de baies. Cet taire venus du monde entier au tout pre-
engagement s’étend jusqu’à la préserva- mier Séminaire EurepGAP de Formation
tion de l’environnement, à la garantie des Formateurs organisé aux Etats-Unis.
d’un lieu de travail correct et équitable Cinq employés de Driscoll’s ont participé
pour nos employés et ceux de nos pro- à cette formation, nous apportant ainsi
ducteurs indépendants, et au soutien les connaissances nécessaires pour sou-
BIENVENUE À NOS NOUVEAUX MEMBRES
Unternehmen
Agrova Food Group
American Council for Food Safety
CAFI Camara Argentina de Fruticultores Integrados
COTECNA GENEVA
Danish Agricultural Advisory Service
Dombegyhazi EURO TESZ Kft.
DQS GmbH
EDEKA
Erzeugergroßmarkt Langfoerden-Oldenburg eG
Farm Frites International
Foodlink Management Services
Geomar International Inc.
Hungarian Fruit & Vegetables Interprof. Org.
tenir pleinement nos producteurs indé-
pendants dans leurs efforts vers 100 %
de certification et de conformité EurepGAP.
Actuellement, Driscoll’s possède des fer-
mes d’élevage certifiées EurepGAP en
Amérique du Nord, en Amérique du Sud
et en Europe. La conformité et la certifi-
cation EurepGAP font partie intégrante
de notre Programme Mondial de Sécu-
rité Alimentaire.
De concert avec des analyses obliga-
toires de résidus de pesticides réalisées
par des laboratoires indépendants pour
compte de tiers, des analyses microbien-
nes de l’eau d’irrigation, des contrôles
de conformité légaux, et la certification
américaine des bonnes pratiques agrico-
les, EurepGAP aide à faire en sorte que
Driscoll’s maintienne sa position de four-
nisseur et distributeur n° 1 des Finest Ber-
ries in the World® devant toutes les régi-
ons de production du monde entier.
Land
Danemark
Etats-Unis
Argentine
Suisse
Danemark
Hongrie
Allemagne
Allemagne
Allemagne
Pays-Bas
Australie
Canada
Hongrie

des entreprises pour apporter un soutien internationaux, le succès de la certification Training Instituto Genesis Brésil
Jerusalem Botanical Gardens Israël
supplémentaire pendant la courbe d’ap- confirmant le soutien qui lui est apporté. The objective of this training is to pre-
Kappa Iberoamericana Alicante Espagne
prentissage. sent and explain the structure of the KIRVAS S.A. Grèce
Un aspect essentiel qui est bientôt new EurepGAP Database Korteweg b.v. - Swifterbant Pays-Bas
apparu évident était que plusieurs des (http://database.eurep.org) and how LABORATOIRES ACI France
craintes relatives à l’obtention du référen- to manage it for CBs, farmer group Lacon-Privatinstitut für Qualitätssicher. und Zertifizierung Autriche
tiel EurepGAP n’étaient pas fondées. managers and other Associate Mem- Lamb Weston/Meijer V.O.F. Pays-Bas
En effet, nombre de producteurs avaient LRF Consult Suède
bers. mais Mitteldt. Agentur f. Informationsservice Allemagne
déjà l’habitude de se conformer à un
If you are interested in training in cer- Mexico Calidad Selecta A.C. Mexique
grand nombre de règlements légaux
concernant les normes de travail et les tain regions, please check “Upcoming New Zealand Vegetable Growers Federation (VegFed) Nouvelle-Zélande
Events/News” on www.eurep.org for Pfälzische Früh-, Speise- u. Veredlungskartoffel-Erzeugergemeinschaft Allemagne
normes sociales, l’hygiène alimentaire et Pfalzmarkt für Obst u. Gemüse eG Allemagne
la bonne pratique professionnelle dans further details or contact the Eurep- Progis Software Allemagne
le domaine de la manipulation des GAP Secretariat for additional course Reichhardt GmbH Steuerungstechnik Allemagne
Exemple d’un entrepôt pour pesticides. inquiries
engrais et du contrôle associé des orga- T.E.PERAKAKIS AND CO (OSCAR ART) Allemagne
Des exemples négatifs de ce type ont
nismes nuisibles. (Ms. Daniela Giesen; Tegut.... Allemagne
été réorganisés pour être conformes ValNantais France
En conséquence, la tâche principale des giesen@foodplus.org)!
aux exigences de la consultation
conseillers et des chefs d’exploitation ne Si vous souhaitez en savoir plus sur les avantages que présente l’adhésion à EurepGAP, veuillez contacter notre
EurepGAP, rarement observées lors des
consistait pas à changer les structures Coordinatrice des Adhérents, Mme Nuray Uestuen: uestuen@foodplus.org.
visites sur site.
opérationnelles ou les techniques de
6 7