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Relación de incidencias: Paxil, Parar, Cayalá

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Presencia X X X - - - - - - - - - - - - - - - -

Fuentes Indígenas y crónicas coloniales:

Paxil: PP (f. 32v [1]; f. 33r [3]); AC (5 [1]); TT (f. 7r [1]; f. 7v [1]); Ximénez, 1929, pp. 34, 35; Ordoñez de Aguiar, 1987, pp. 237, 239.

Pan Cayalá: PP (f. 32v [1]; f. 33r [1]); TT (f. 7r [1]; f. 7v [1]); Ximénez, 1929, pp. 34, 35; Ordoñez de Aguiar, 1987, pp. 237, 239.

Pan Parar: TT (f. 7r [1]).

Interpretaciones modernas:

Scherzer 1857 pp. 79-80.

“Le MS. Cakchiquel dit Paxil seulement. Il existe une montagne de ce nom aux confins occidentaux du Guatémala et de l’Etat de Chiapas, et le
fleuve de Chiapas, appelé plus loin Tabasco, en arrose en partie le pied. Pan-Paxil, pan Cayala, parait signifier Entre les Eaux partagées et
amères ou fétides, nom qui convient au pays arrosé par les bouches du Tabasco et l’Uzumacinta. Si l’on n’était en Amérique, on croirait, en lisant
ces descriptions, voir là un souvenir de la fable de Prométhéo instruisant Hercule au jardin des Hespérides (Brasseur de Bourbourg, 1861, p.
LXXXIII).

“Le trait saillant, toutefois, dans ces divers récits, c'est la jalousie que la présence des Nahuas exita parmi les chefs des nations où ils
s'implantèrent. On saisit, dès le berceau, les incidents de la lutte qui devait tôt ou tard s'engager entre les deux races et qui, après plusieurs siècles
de péripéties de toute sorte, devait finir par le triomphe des idées et des institutions apportées par les étrangers. L'heureuse situation de Paxil
paraît avoir été la cause de la première collision ” (Brasseur de Bourbourg, 1861, p. LXXXV).

“Dans le Livre Sacré, ainsi que nous l’avons déjà remarqué, la lutte se dessine à la suite de l’ouragan et de l’inondation  : comme nous le disions
également, elle se personnifie du côte colhua dans un prince puissant du nom de Vukub-Cakix, chef apparemment d’une nation limitrophe de
Pan-Paxil et pour cela même plus immédiatement a laissé de ce prince et de ses deux fils, répond assez à celui que la tradition mexicaine a tracé
des Quinames, et si l’on n’était en Amérique, à voir leur orgueil qui défie les dieux, on croirait y retrouver l’origine des Titans, escaladant le ciel
pour détrôner Jupiter” (Brasseur de Bourbourg, 1861, p. CXXVI).

“Entre la division, entre la fétidite des eaux. Si cela peut indiquer une région, il n’y en a pas a laquelle ceci s’applique aussi bien que la région
arrosée par les affluents de l’Uzumacinta et du Tabasco, entre la mer et les montagnes : ces deux fleuves se partagent en une multitude de
branches et d’embouchures, et les eaux y sont en beaucoup d’endroits fétides et amères, sens du mot cayal, de cay ou gay, fiel pourriture,
amertume, etc. Dans le Codex Chimalpopoca, ce lieu est nommé Tonacatepetl, Montagne de notre subsistance” (Brasseur de Bourbourg, 1861,
195).

“Split Place, Bitter Water Place: This is pan paxil, pank’ayala’ [cayala], in which pan is ‘at’ or ‘in’; today pan paxil is known as paxal in
Mam….Paxil is nominalized paxi-, ‘break into pieces’, in Quiche.…, while paxal is nominalized pax-, ‘split’, in Mam….K’ayala’ combines
Mam k’ayal, ‘bitterness’…., which would be k’ayil in Quiche…., with a’, which is ‘water’ in both languages. The place in question is a high
mountain just south of the Pan American Highway and near the Guatemalan border with Mexico, with a cave and a large spring on its north side.
Today the people of the surrounding region, who speak Mam, reckon it as the origin place of corn…. Teosinte, a wild grain that crossbreeds with
corn, is abundant in the area” (Tedlock, 1996, p. 288).

“Paxil means “broken, split, or cleft.” Father Coto wrote that it refers in particular to the breaking in two of an ear of maize. Paxil is described as
an “excellent mountain” filled with the maize that would eventually be used to form the flesh of humanity (p. 194; lines 4886-4889). This was a
widespread belief in ancient Mesoamerica, particularly among the Maya (Freidel, Schele, and Parker 1993, 138-139). According to the Central
Mexican Codex Chimalpopoca, it was Quetzalcoatl himself who brought the first maize out of the mountain Tonacatepetl (the mountain of our
flesh or our sustenance) from which he created the first men (León-Portilla 1980, 122 n. 42). The Pipil of Guatemala relate that maize was
discovered when the mountain in which it was hidden was split open by the youngest of the rain dwarfs (Schultze-Jena 1935, 31-33).
Contemporary Mam still identify one of their local mountains as Paxil, saying that it is ‘where a flea brought the first grains of maize through a
narrow crevice to give their ancestors corn’ (Wagley 1941, 20; Oakes 1951, 244; Watanabe 1992, 67)” (Christenson, 2007, p. 181).

“K'ayala' means “bitter or stagnant water.” This is perhaps related to the notion of the primordial waters of creation which the highland Maya
often associate with seawater or brackish ponds, out of which the first mountains emerged. Among modern Quichés, k'ayala' is the water mixed
with lime that women use to add to ground maize dough” (Christenson, 2007c, p.181).

“Panparar, panpaxil, panc’aela’. Aquí estamos con pura tradición quiche. Panpaxil y Panc’ayala se mencionan en el Popol Vuh….como el lugar
de la creación del hombre de maíz. Son lugares de Ciwan Tulán, según nuestro documento, y sus nombres sugieren un lugar de aguas y de ríos:
panparar, ‘lugar de la caída’; panpaxil ‘lugar de división (¿de ríos?)’; panc’ayala, ‘lugar de agua amarga’….Parece que no son lugares de los
altos de Quiché sino probablemente de la Costa del Golfo” (Carmack y Monloch, 1983, p. 212).

“…los creo de maíz, blanco y amarillo en las riberas del Río Usumacinta” (Barrera Vázquez, 1945, p. 181).

Según Reynaud (1993) Paxil: “casas sobre pirámides” (p. 5); Cayalá: “agua (o morada) de los peces” (p. 137).

“Paxil existe como punto geográfico y su etimología en mam equivale a ‘agua que corre debajo’. Se trata de un cerro enclavado en el municipio
de La Libertad, Departamento de Huehuetenango, en la serranía de Cuilco, sistema vecino al macizo montañoso de los Altos Cuchumatanes”
(Navarrete, 2002, p. 20).

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