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Science & Alternative NEXUS. tEDITON FRANCAISE RS ey oe) oe ISOMMATION et POLLUTION REDUITES de 50 % - BOUGIE.“FIRESTORM” : - TECHNOLOGIE UTOPIA ee eee L’Inde laisse filtrer l’info. ae l-e eS Cn C1 Le Fh i sal la surprenante connexion financiére et politique des 20 & 21éme siécle VACCINA Non-sens € wi LN Pree Lf NEXUS Edition frangaise 3 ual su 2005 ene pan Eerie CHANTEGREL 24560 FLeurae - France el Fox: 0583.03 4509 nal: magazinedrens.t¢ ‘stewed : np: wens tr DIRECTEUR DE PUBLICATION Devia Dennery InFOGRAPHIE : "Marie Dalen “TRADUCTIONS endro Renintsoe Chelscéte Guinot cconrecrions hritian Bruyot ILLUSTRATIONS DeSsiNs 2 Sonmensile secreTanist ‘Marie Dulon weRIMEUR Imprimerie RICO8ONO "95, chemin der Valetes ~ 83-490 Ley ‘COMMISSION PARITARE NOT pt gal Av 1090 ISSN 964358 DISTRIBUTION FRANCE NMP, BUREAU CENTRAL EO pln to, nae 5) Se 9000 Fax) San 81 cloroncusmagaie: 0 Box 108%, 1001 FR Amstercam, Pavebas Tek! 131 (0) 20530 91-48 Fax: o31 0) 2033091 50, ‘enall newest Stewed wwf BUREAU DE GRANDE BRETAGNE SS Queers ha, East Grstead, West Susex, 9 WW © Tees 44 (1340 322854 Fase: 24 (0) 1302 30578 ‘email nonsdukoffes.-net.com BUREAU Des Eras. PO Box 177, Nem, 946.0177 ‘Te (B15) 255 G64 - Fae: (15) 253 654 ‘ermal deartinnet Oa 22, fussl, Ga o lands “las nt (0) $405 8196 DECLARATION O& RAlSON DIETRE "mate feat prelome de samt les tecteurs sont ites prenae avs dun meses IR PAPIER RECYCIFE 2 airs A afin de ce mois de mai, les frangais se dérermineront sur le traité de Constitution de Europe. Les grands médias se sont surpassés pour épauler le parti pris en faveur du son, et es opérations de «communication» (curieusement, le terme de epropagandes semble avoir dsparu du dictionnaire) se sone muleplis pour précher un discours digne de Vatemative exposée par Bush en 2001 au sujet de sa Guerre contre le tertoxisme (eccux qui ne nous soutiennent pas sont du e&té des terrorists). Ainsi si vous rapprouver pas la Constitution, vous és Forcément ant-européen. Ce type de chancage & peine volé ne semble pas €orcher la bouche de nombrewe membres de notre incligensi. Le débac francais dans les médias audiovisuels abaisse un niveau digne des dialogues de la té réalté. Pourtant, malgeé le consensus des principaux parts des deus ailes politiques, les sondages continuent de semer la panique dans les ats majors. ‘Vous lice avec intéret, dans ette perspective, Particle de David Guyatt qui met jour tune éonnante continuité des coulisss du pouvoir. ‘Nous avons choisi dans ce numéro de porter & votre connaissance deux technologies relativement simples permettant de réduite efficacement de moitié la consommation des motcurs thermiques, principale source de pollution sur la plane. Combinées centre elles ou avec les nombreuses autres améliorations possibles du rendement de nos vehcules, comme celle de Paul Pantone (Nexus n°32), il et édifiant de raliser que nous devrions rouler propre et & moindre coiit depuis longtemps. article dénongantlecaractéreinfondé du diagnostic de «trouble dedéficit del attention» chez les jeunes aide & comprendre comment sinventent les maladies pour des profits ‘autres que celui de la santé. Idem avec le dossier consacré 4 Fanalyse des techniques ‘employées pour la fabrication des vaccins et leur danger, et & examen scientifique des fondements bien minces qui ont permis éablissement du dogme vaccinl. Dans «Horizons Nouveau, vous trouverez divers comptes rendus dont les sources érablissent séricusement la réalité d'une base ovni la frontiére indo-chinoise. Aprés PPEspagne, le Meaique Fan demnies, Inde dévoile 3 son tour un aspect passionnant de notte monde. Sujet également taité par un nouveau témoignage décrivane certains échanges du troisiéme type avec l'armée ameéricaine. Enfin, un article pertinane sur les résonnances de Schumann permet de mieux mesuret la relation subtileexiseane entre les étresvivants ct notre plantte, Je tens aussi & vous exprimer le contentement qui anime l'équipe du magazine 2 la perspective de vous crise lors du Colloque Nexus 3 Amsterdam les 13 -14 et 15 mai, qui Sannonce particuliérement riche. Bonne lecture eta la prochaine. David Dennery U -EGARD SUR LE MONDE MENACES NANOTECHNOLOGIQUESSUR L’AGRICULTURE, ALIMENTAIRE ET LE VIVANT NOMBRE CROISSANT D'ORDONNANCES DE MISE AU SECRET SUR LES DEPOTS DE BREVETS. ‘CONTAMINATION RADIOACTIVE DES ALIMENTS LUNE ANOMALIE CAUSE UN NOUVEL ECHEC LORS D'UN ESSAI DE NISSILE ANTIBALISTIQUE AMERICAIN LE SENATEUR BILL FIRST DEFINIT LA "PARANOIA POLITIQUE" COMME UNE PATHOLOGIE MENTALE LE MYSTERE DU "LAVAGE DE VOITURE” MARTIEN VIVES INQUIETUDES SUR UN PROJET DE LOI SUR UN DEPISTAGE OBLIGATOIRE DE SANTE MENTALE AUX USA DES CORPS DIARMEE SECRETS DE LOTAN LIES AU TERRORISME ce trouble chez de plus en plus de jeunes et de leur prescrite de dange normaliser leur comportement. GEOPHYSIQUE LE CHANT DE SIRENE DE LA PLANETE : Z HAARP- FREQUENCES DE SCHUMANN — Installé en Arizona, l'ingénieur-électricien Benjamin Lor sensibles pour écouter, enregistrer et analyser les si il observe que nos ancétres étaient bien plus 4 Punisson nous. TELEPHONIE MOBILE : Arguments scicntifiques justifiant l'ap précaution. PROCESUS GLOBAL D'EXTINCTION : Les nouvelles fré celle deT'cau, indentiques a celles des fours a micro-ondes (sic). NOUVELLES DE LA SCIENCE Ee 29 UNE BOUGIE REVOLUTIONNAIRE FIRESTORM Une variante simple permet un allumage plus efficace multipliant par deux le rende- ment d'un moteur. _TECHNOLOGIE UTOPIA : Une électrolyse & oscillation d'ondes qui dope a I'hydrogene les moteurs et entraine 20 4.60 % de gains de consommation. ISTOIRE ET GEOPOLITIQUE LES PRINCES DU PILLAGE : LA SURPRENANTE C ON! FINANCIERE ET POLITIQUE DES 20 & 21EME SIECLI Les puissantes familles et entreprises commerciales Porigi américaine concerées Galsalt des afsleceay=: am se bousculérent également pour tirer profit de la chu butin Nazi de tomber entre les mains des gouvernements nuité des réseaux du pouvoir qui perdure depuis le mouver les loges fondamentalists ef implique ja 2 Nexus n238 ee ‘matin 005 VACCINATION : DES RISQUES BIEN De nombreux experts qui se sont penchés sur Datalink lors d'une conférence organisée en 2 ges neurologiques causés par les vaccins contenant autres adjuvants toxiques.. VACCINS ANTITETANIQUES Une absurdité biologique. les miliewx aérobi- rendent ane le principe de leur mise HISTOIRE - BECHAMP OU PASTEUR ? Historique édifianr de la supercherie scien’ d'un livre devenu introuvable : [ACTS EXOPLANETAIRES ie LES EXTRATERRESTRES "GRANDS BLAI andis qu'il occupait un poste d’observareut de 'US Air Force, au milieu des années 1960, un groupe d’étres aliénigenes, dits «Grands tuaient des transferts de technologie avec les pene ENOMENES INEXPLIQUES ENIGME DE L'EXPLOSION DE TUNGUSKA Selon des rémoins oculaires, une centrale confins de la Sibérie, serait & Porigine de tirs de: a détruire les méréorites menacantes comme en 1908. . , PREUVES SUPPLEMENTAIRES DE CONTACTS EXTRATERRETRES AVEC LE GOUVERNE- NT INDIEN LES AGENCES INDIENNE ET CHINOISE DE L'ESPACE RESTENT DISCRETES AU SUJET -RECENTES RENCONTRES AVEC LES OVNIS SINDE POURRAIT-ETRE LA PREMIERE NATION A PARLER DES CONTACTS EXTRATERRESTRES AU MONDE ES ARCHEOLOGUES JETTENT UNE LUMIERE NOUVELLE SUR LES CIVILISATIONS. PLUS CONNUES EN AMERIQUE " NEXUS ne3e te iran S008 ea Eee REGARD SUR LE MONDE Ne NOUVELLES MENACES SUR L’AGRICULTURE, L’ALIMENTAIRE ET LE VIVANT Tue macroscopique de composant rnanotechnologique Decnitrement, le groupe ETC, organisa- tion intemationale de recherche et de préven- asée i Orawa, a annoneé la publication de" Dawn onthe farm’, premizre analyse com- plete de la fagon dont les nano technologies alecent la nouriure et agriculture. Le domaine des nanotechnologies rgarde la manipulation de la matte 3 Féchelle des syoms es moka mers ea mills microns ct pour laquelle la physique quan- ‘que permet de déeerminer le comportement des parccules| Selon Hope Shand, directeur de recherche du groupe ETC: "Au cours des deux prochai- nes décennies, les nanotechnologies aon un us grand impace sur Fagriculeue et Uagroa- imentaire que la mécanisstion ou revolution Une certains nombre de produits aimen- tins conenant des ai tan chlo ques invisileset non signals par Tetiguetage sont dj dans les rayons des supermarchés. En gui, an cri nombre de peices se fermant nano technologiques ont déja écédiséminés dens Venvizonnement et sont disponibles sur le marché. Ces substances possédent des propriésés difenes de cells, bores une cle supérieure, et les scientifiques ont découver puis pou ql sone genrlement pls staves ee mobiles sls pendent dans or. ganisme. Seules quelques études toxicologiques La plupart des multinationales du secteur palmeni » comme, Unler, Neo ngs conduisent des recherches et dev Ske) snes wang na Er’pmcess micron de mansion mation, demballage et de distibution des composants et des addi principales sociéxés d'agrobusines tel les que Spngents, BASF, Bayer et Momanta ‘formule er pss ne nano Eble Pour les rendre biologiquement plus ac ben de norear reves tase les Le rapport de VETC examine un lage venti des R&D en cours allan des semenees U Ss Setseeeenn GN Notes seen pies no enn ‘pon, aboraion de planes pbb Pree ds mane pals de nee de nano vacins pou ls poisons dlevage ou de rnano codes-barres pour l'acheminement et la gestion des flux des produits, etc. En ocrobre, sclon les cbserations. de TETG, le bureau US des beet et argues déposis 2 dabli une nouvelle casiicaion pour les brevets de nanotechnologie. “Il est fronique quune compagnie puise obtent ent de mone sr a at po rsconn original alors gue lr orgsniame regain sntaie ont pas encor ofa Inteconnaisance de produits de ce halle,” semarque Kachy Jo Wetter, chercheur de [ETC en Caroline du Nord. En 2002, LETC a demandé un report de Ia commerilsation de nouvelles subsances jsut ce que des protocoles de production et des normes soient mis en place pour prendze en compre les caractéitiques spécifiques de ox subancesejus ce quer subi soit démontre. Par conséquent, [ETC préconise que tous les produits aliments eles bolsons con. tenant des nano particule soient retirs des rayon que es owe ent ners de commetcalistion jusqu’s ce que les compa- sgnics et organismes de régulation démontrent {quis ont pris en consideration leurs caraeéi ‘igues dévoltion dans le temps. De méme, les formule de nano produiss agrcoes comme les pesticides et les ferlisans ddevraint dre empéchées de toute dissimina- tion dans environnement jusq’ ce quun ox- sganisme de normalisation soit désigné pour les eer etl sete deeming sires le feu da pieces le domaine émergeant de la biologic syachétique qui concerme Vl boration en Laboratoire de nouveaux sytémes ant progammabies pour de perfomance impossible aux organismes ‘Ges “machines vivantes” impliquent fe aquemiment Fintégration de partes Vivantes & inertes également connue sous le nom de nano Biowshologi. "Que te es noes ‘onganismes vivants, en particulier ceux congus er fonesonner de fon arom. dans ‘enrmnnement arent difte 3 maiise ‘oa conteir?” imeroge le Groupe ETC. Tiaot donne les fugues extincs (que méme les scientifiques teconnassent.géné- tenn le apport "Daim on th Farm” timenation en borate ef dination des matitressynthétiques biologiques jusqu’t ce qu aso puis proce une ane compléte de leurs implications pour la santé environnement ela soci, (Source: ETC Group news release. 23 novembre Nexus nese ‘margulh 2008 NOMBRE CROISSANT D’ORDONNANCES DE MISE AU SECRET SUR LES DEPOTS DE BREVETS : Le nombre des requétes de “mise au secret” de brevets sous le cou- vere de la foi ameticaine Drention Seeregy Act de 1951 a Iegérement ‘augmenté pour ateindre un t0- tal de 4885 cas. La plupare ont et€ deposces ces derniéres années dont 124 nouvelles requéwes sup- Ulrvention Secrey Act est une des deux lois par lesquelles le gouver- -nemenc impose un droit de restric= tion de divulgation d'information _privées pour des raisons de sécurité nationale (autre loi est Atomic Enegy Ae) 1a constiuaionnalicé de cette pratique n'a jamais écé vraiment démonerée. ‘Alors que le pluparc des inventions _gardées secrétes sone produites par des entreprises sous contrat ou sous faancement gouvernemental ce mest pas le cas de toutes. Les snes de mise au secret imposés aux individus ou aux entreprises rivées qui développent leutsidees ‘sans le parrainage du gouverne- ‘ment sont lebelisées “John Doc” Lance derniére, on 2 compte 61 nouveaux “John Doc" , contre 51 fee Un tableau des derniéres staris- tigques sur les inventions secréees publié sous la loi sur la libereé de Vinformation US est disponi- Ble sur ke site + heap://wwchas. ogy/spg /othergov/invention/stats. fiml ‘sue na 93, 26 Oxtobre 2004, ‘htap://wwctis.org ) 70 % DES MEDIAS DU MONDE jourd’hui, le fac le plus alarmane concernant le pay- I cel cla concenceion dela gpogied = le ditection des moyens entre les mains de quelques Dass son livre «Rich Media , Poor Democracy» (Riches iss, Purte Demourati’, Robert Me Chesney, de [Un Seas de [llinois, présente statistiques et analyses sur la Geeecnircion des médias aux USA er dant le monde dont IS implications pour le fonerionnement de le démoeratie set inguiérantes “A555 1999, sclon McChesney, seules hut grands groupes Bestden plus de 70% des médias dela planet non seule- ‘Sexe la TV, mais aussi journatrr, magasines, radio, systémes sSclltes,cdble,édition de livres, production et distribution Seematographique et théitrale, opérateurs Internet, alli- lictaite et parcs& théme. Ces huit entreprises sont Fores ct deja capable de sadresser des centaines de milions $e zens sur chaque continent, et 3 chaque instant. Gut geants sont : AOL, Time Warner, Disney, FexiNews Ee, Viecom, Seagram, General Eleceric, Sony et Bertel- ‘Les tois premiers de la liste possédent & eux seul plus de Soe dee eorale. Ex, 3 Vesceprion de Beebmann cess ‘sees dominent aussi le marché médiatique US. Usecl degré de concentration ne saute pas aux yeux des non- Ss, ca es filales locales et méme internationales opérent sous des noms divers. CNV, par exemple, appartient en fait AOL Time Warner, comme HBO, Court TV, Warner Bro- hers et Cinemax fl, les magazines Time and Fortune, pour Gen citer que quelques uns parmi des centaines dauctes. HUIT SOCIETES DETIENNENT PLUS DE Disney posséde les chaines de télévsions et de radio ABC, cc kes chains stdine ESPN, Liftime, AGE, Hor ce E? Entertainment parma les centaines dautses chaines et stations cx d'autres entreprises de médias dans le monde Fax News Lid possede 22 chaines TV US, plus de 130 quo- tidiens dans le monde, 25 magazines, la britannique Sky 7V, Je satelice Avian Stare le Latin Sky Broadcasting, parmi des centaines autres, Dans le monde moderne le: médias one devenus a princi le source de connaissance. Et comme le dit adage : «Qui Uisgs es medias dhrge le monde, a (Source: Per Jerry Mander, magazine Common Group Ground, Décembre 2604. Aue Jobn Cavanagh, Jerry Mander est co-édi- seur de Védition frachement sortie er développée de Alternatives 10 Economic Globalization: «A better World i Pouiblen, publié chee Berrett- Koehler) CONTAMINATION RADOIACTIVE DE: ALIMENTS — tl eae Se Dex projets, éablis au plus haut niveau, soneen passe d'étre adopts :'un émane de la Coramision da Codex ali- sentir, Pautre de ln Commission Internationale de Protection Radiologique (CIPR) et devront permettre, d'ici 2 0u deux ans maximum, fa commercalisation dalimemts contaminés par des polluanes radicactls. La norme ne sex plus lbsence de pollution mais une contamination décrétée acceptable par les aueortés. Le premier de ces sexes, examiné par Ia Commission du Codex, légalisera imporcation ct exportation des denrées alimentaires contaminées. L'auto- sation sera délivrée sans limitation de temps et sens avoir 3 invoquer la survenue d'un accident, sous la scule réserve que le aux de ollants soit infércur a certains seuls: de 1 Bg/kg (becquerel par kg) pour les produits ls plas radiotoxiques comme le plutonium & d'origine inconnue a verrouilé automatiquement le missile intet- cepteur dans son silo de la base essai de Kwajalein, aux iles Marshall, selon Richard Lehner, un porte parole du MDA. Le test avaic déja &é reporté 4 fois pour différentes raisons, dont le mauvais temps. Léchec a coticé 85 millions de dollars ex entraine un important contre temps pour le bouclier de défense anti missiles destiné & détrure les missiles balistiques de longue portée. George W. Bush s'est engagé & ce qulune parti du projet soit opérationnelle pour la fin de l'année 2004 et on sattend & | cequil déclare cet objectif atcint malgré ce loupé. D'aprés des fonctionnaires du Pentagone, la Missile Defense Agency peut | pected & UMMM are prion courocinis de gure sur 8 | fecrads Mais Cétat ily a2 ans et depuis, des experts ont mis en doute les ‘apacités du systéme Face aux récents échecs et aux fiéquents reports dls essais prévus. "Ne pas avoir réussi une seule interception de vol pendant 2 ans représente un sérieux contretemps dans le programme” a annoncé Philip Coyle, chef du conudle de Tarmement au Pentagone sous le mandar de Reagan, 3 Fagence de presse Reuters. Ce systéme de défense cocnsttue une version plus modeste du projer de boucler anti missile «Sear Warsy énoncé par Reagan en 1983. ( Source nerational Relations and Secriy Newwork, ISN Security Watch, 15, Dicere 2004. bap lwinetach/newslow dean =10372) Base US de Ile de Kwaralein Un Sénateur américain projets d'instituer en pathologie mentale toute «Paranoia politique» ! Lors de la 109% assemblée duu Congres 4 Washington en janvier, le Sénateur Bill First, premier médecin en service du au Sénat depuis 1928, projere de déposer un projet de loi qui définireic la “paranoia politique” comme lun crouble mental. II met en avant Favantage d'ouvrir la voie 3 un remboursemene dassurance maladie pour tout traitement peychiatrique regu par ceux qui soufrent d'llasions paranoiaqucs concernant ls fades electorates, la per~ sécution politique ec I surveillance da FBI, érit Hermione Slckin, correspondante médical au Swi Report ‘Rick Smith, porce-parole du Sénateur Fist, indigue que fa mesure a une bonne chance de passer - "cest une chose qui peut vraiment aider une partic dela population qui soufle d'une imporcance détresse” Si vous étes encote convaincus que le Peésident Bush a gagné les dections parce que les Républicains ont wouvé un moyen de pirarer ks ‘machines de vote électronique, vous avez manifestement un probleme” a décaré Smith. “Usagi d'un bon moyen dale {eger la soufivance en fusane suivee une thérapie ec en prescrivanc des médicaments, et nous espérons que ce 109éme Congets le soutiendra” (Source: Le Swift Report, Janvier 2005, bispsteiftreport blogs com/newsSbealth) NEXUS ne38 - ‘malian 2005, ma Le mystére du savage de de voiture» MARTIEN Qpporianity, le robor de la NASA sur Mats semble étre passé dans quelque Ghose ressemblant 3 un lavomatic qui a laissé ses pannewus solutes beaucoup (propres que ceux de Spirit, son jumeau. Cela expliqueraie une série de (pis inarrendues de sa production de courane électrique Tos sondes-robors ont attersis sur Mars en janvier 2004, avec des cellales seheires capubles de fournir plus de 900waeev/hcure par jour. Le rendement & Spirit a chuté 4 environ 400 wats/heure, en partic & cause de la poussiere ‘eeartienne ayant recouvert ses penneaux solaires Au début fe rendement de PQpportunity a également diminué & environ 500 watts/heure, mais au lang 6 desniers mois ila progressivement regagné en puissance. Becemment, ses piles solaires one produit plus de 900 warts/heure. Jia Erickson, direcreur de !équipe des seeps au sein du fet Propubion Labo- sezary de la NASA 3 Pasadena (Californie), 2 indiqué au « News Stents qu'un process jusgue [i non-compris avait i plusieurs reprises enlevé la poussiére des panncaux solaires. ‘Quel que soicce processus, ila lew pendane que ! Opportunity est garé durant EE awit martienne. Au moins 4 4 occasions au cours des 6 mois, Ie rendement puissance de la weep» a augmenté jusqu’a 5 % grice & ce nettoyage fortuit. (Gource : New Scientist, issues 2479180, 25 Décembre 2004_1 Janvier 2005) Vives quiétudes sur un projet de loi de dépistage obligatoire de santé mentale aux USA eee: sc sont propagées sur les ondes. DA (Home School Legal Defense Asoiasion) en a ob pulses es signes depuis un certain temps. Son actuel ext de privenir route renuative du gowernement Pasunper le droit des parents prende es déciions médicales icernent leuts enfants, dont le choix des examens medi- ils sublssene et celui de ceux qui les conduisent, rureusement, les rapports des médias sont souvent im= ‘Ancun test de santé mental nest encore imposé dans sce t la vigilance ext de mise. Le Labor, Health and :Appropriaions Bil recoit des subventions ee ee een es oe CCertans critiques Sinquiétent de Purlisation de sila mise en application d'une cettaine forme, en ea eel ‘obligatoire pour ensemble fes | étudiants du systéme scolaire, Cette inquiéeude est provo- _gué essentsllement par les recommandations de la Nowelle ( ion de Liberté sur la Santé Mental, organisation non tale crége parle Président Bush en 2002 dont la fever le gaspillage ee ing du syste de soins fe canna ee rao "Les neurostimulants vels que la Ritaline et les am- phétamines ont des impacts extrémement nocifs sur YFenceéphale, réduisant le fx sanguin, perturbant le mé- tabolisme du glucose et provoquant peut-fere méme un réttécissement ou une attophie défnitve.""* Le spectre de ces ffers négacifs sur la croissance et le développement parait encore plus inquigtant quand les enfants de moins de six ans sevoientparfois preserire des stimulants, malgré les mises en garde spécifiques signa- lant que leur usage n'est pas inoffensi chez des enfants aussi jeunes. Cercains enfants austaliens Agés A peine 15. 18 mois se sont déji vus prescrire des psychostimu- Tans, et fors de la Conférence su la jeunesse de Etat du Queensland qui sest tenue 3 Mackay en 2003, une mére 2 rapporté que son médecin lui avait suggéré que son bébé de neuf mois éraicatteine du "THADA' et devait étre mis sous médicaments (Diew merci, elle refs) Presque plus inquictant que les effets potenticls& long terme des neurostimulants : état de “zombie” rela- tivement courant quis provoquent chez les enfants Fait choguant, deux des plus grands défenseurs de la biopsychiatrie aux Frats-Unis, L- Eugene Arnold et Peter 5, Jensen, ont reconnu cert caractéestique dans le cha- pitre du Comprehensive Textbook of Prychiatry consacré au THADA: “La mine sombre x défaice occasionnée par les amphéta- mines est inoffensif en clle-méme mais inquiete certains parents... Son équivalene comportemental, allant de la réduction de Taffet et de la spontancité 4 un deat de ‘zombie’, peut engager une diminution de la dose, et nécessie parfois de changer de médicament."!” Lécat de "zombie" a &€ décrit par le Dr. Peter Breggin fn ces termes : "Ce comportement docile induit par les médicaments est provoqué en émoussant ou en assujet- tissant Vactivine cérébrale supéricure de enfant par des substances chimiques. Cecte partie du cerveau de enfant requeérant créativitg liberté, jeu, active énergique, dis- Gipline eahérene ct activités pédagopiques stimulants, risque le sous-développement." Compre tenu des taux de prevalence de ce "souble” qui montent en fléche. il est és possible que notte société soit rapidement confrontée une génération dcnfants dont la crativité, le raisonnement et Vespet serone amoindris par des médicaments sans justification médi- cal veritable. Nexus ne38 ‘makjuin 2005 _ ae GEOPOLITIQUE Un probléme de santé publique en Australie En classant les psychostimulants parmi les médicaments de ‘Annexe 8, le gouvernement ausiralien avait de toule éviden- 2 intention den restreindre 'accés. Pourtant, fa prolitéation {es ordonnances destinées & tralter le "THADA" a rendu ces psychosiimulanis facilement disponibles pour une utilisation ‘occasionnelle dans les cours d'école de toute Australie. usage ilicite des médicaments conte le THADA est devenu un probléme majeur au Queensland, cone le fart remarquer la Crime and Misconduct Commission : “Latus de médiea- ‘ments vendus sur ordonnance contre le THADA consitue un ‘probléme potente! pour a société, le systéme de sant, ‘que et les organismes chargés de fare respecte la fol." En Nowele-Galles du Sud, "On a exprimé des inguiétudes, 4 plusieurs reprises, quant au fait que des écoliers puissent vendre, échanger ou partager leurs médicaments"3* LOrgane Intemational de controle des stypéfiants (OICS) des Nations unies a mis en garde contre usage ludique et ceasionel abuserossant du métiybtondet dans fe ‘monde entier Lutlisaton luolque des psychestimulants a ‘également été associée & dauires formes de toxicomanie et {ait souvent office de ‘premier pas" facile dans le monde de Tautomédicaton. ‘Blizabeth Wurizel, dans le New York Times du f* avril 2000, 6crit que fa Ritaline avait fait office de drogue dintroduction ‘pour de nombreuses personnes avec qui ele avait dlalogué ‘dans des réunions des Narcotiues Anonymes, ob des me ‘ont admis avoir escamoté de la Ritaline prescnite leurs en- fants et en avoir broyé les cachets pour les ‘snifer presque sans discontinuer. La Drug Enforcement Administration (DEA) des Etats-Unis 2 directement abordé ce probléme, excosant qu"un certain nombre d'études récentes de cas de toxicomanie et de len- dances comporlementales observées parmi les adolescents et provenant de diverses sources indqualont que usage de méthylohénidete pouvaltétre un facteur de risque abus alcool ou dautres drogues"” Feit révéleteur, voldl ce quia rapport la presse amercaine : "Une recente étude mende ‘par des chercheurs de (Université de Californie 4 Berkeley ‘tude ayant suv’ 800 enfants pendant 26 années, a révilé ‘qe ta Ritalne était au fond une ‘crogue dintroduction’ & autos rogues, on arteute dla czedne Le chrcheur "Nadine Lambert, comme a rapport le Wal! Street dour, en ‘a conclu que la Rialine rend le cerveau plus vuinérable au ‘pouvar taxicomanogéne de la cocaine et multpfiat par deux ferisque d'abus." 11 est reconnu, méme par les fervent défenseurs du mo- déle médical du “THADA’, quil existe dautres formes de ‘taitement* alsponbles, lelles que la consultation psycholo- sigue familiae, les soins atteratfs st Péducation parentae. ‘Aucune de ces modaités ne risque de metre en péri le bien- ite physique des enfats. Au wu, en particulier dune récente ‘métacanalyse ayant démontré que les enfants ne retiraient aun aranage on mater dedvcaoy/apronssage din itatement& base de psychestimuants* (Lest competement insensé de rsquer de comprometre non seulement le bien- ‘te des enfants raltés mais fa santé de lensemble de leurs camarades en continuan! de permet la dstibuton a fort et 4 tavers de ces dangereux medicaments. Nexus nese jee demanie ipouere on soir Fane fil un jour? Manque de fiabilité du diagnostic La "Rabilite” d'un di rable dans quelle mesure il ese digne de confiance, indépendamment de celui qui Vénonce ec du lieu oi il est émis. Par exemple, un bras ‘assé se diagnostique par une radio ceil existe de fortes ‘chances quen se rendant chez 100 médecins orthopédis- tesavecla méme radio, le méme diagnostic sit retrouvé, Savérant ici ts fable, ’ar contrast, le diagnostic du "THADA" est trés peu. Il mexiste pas de crittre object pour l'éeablir, pas de symptéme physique, pas de signe neurologiques et pas anomalie sanguine... Aucun examen physique ne peut permertre de veificr qu'un enfant en est bien atteint."* Lihyporhése selon laquelle 100 cliniciens ne seraient pro- bablement pas tous d'accord pour confirmer le diagnos- tic de "THADA" cher un enfant est étayée par les carts flagrants enue les taux de prévalence intemationaux La prévalence du THADA en Europe ese généralement cestimée entre 3 96 et 6 % ou moins, tandis quelle est au moins 2.3 fois supérieure en Australie et aux Etats Unis.” Aussi choquant que cela puisse paratre, cette constatation signfie qulen emmenant_ pour examen 12 enfants atteints du "THADA" de Sydney & Paris, un seul vertait son diagnostic “confirmé”. En gen tenant alors ces chiffes, ce "trouble" est soit fortement surdia gnostiqué aux Frats-Unis, en Australie ct au Canada, soit fortement sousdiagnostique en Europe (et dans la plupare des aueres pays duu monde). Dans un cas comme dans Pause ce ses pas un diagnostic sur lequel on peut compter; il manque de fabileé. ‘Méme & Fintéricur d'un pays, les larges écarts entre les taux de prévalence excluent route fail. Par exemple, une analyse de Pusage des stimulants contre le THADA aux Erats-Unis a révélé que les "les jeunes du Sud avaient environ 71 % (ec ceux du Midwest 51 9) de chances de plus de prendre ces médicaments que ceux dtu Nord-Est ou de POuest”* Les profanes simaginent généralement que Videntifica- tion dun trouble découle d'un procédé scientifique ou object. Ciese habieuellement vrai en médecine, mais rarement en psychiatrie. American Pychiatrie Asocia- tion (APA) public la "bible mondiale” des diagnostics poychiatriques : le Manuel diagnostigue et statistique des ‘roubles mentaus, qui en est actuellement 3 sa quatritme édition (DSM-IV) 4 laquelle se réferrent également les psychiatrs francais. En examinant d'un peu plus prés les critéres de diagnostic et en comprenant comment ‘matin 2005 procide le DSM, ce manque de fiabilité Sexplique en partie. Un observateur des débats de 1987 au sein de APA au sujet duu DSIM fr a remarque suivante : "Le fuible de- 16 defor intlleceuel ait choquant. Les diagnostics éraient éablis par vote majortaire avec le degré de té- flexion dont on ferait preuve pour choisie un restaurant. ‘Tuas envie de manger italien, jai envie de manger chi- nois, alors allons 2 la eafétéria. Ensuite, il suffic d'entrer information dans Vordinateu.” Un paychiatre américain de premier plan, ancien chef du Centre déeude de la schizophrénie du National Institute of Mental Health, forrmule les choses ainsi "Le DSM-IV est ce sur quoi Sappuie la psychiatric pour se faire accepter par la médecine en général. Les initiés savent que Cest un document bien plus politique que scientifique. Les propos du Dr. Lawrence Diller au sujet du proces- sus de sélection des eritéres du DSM-IV, illustrent le caractére politique flagrant de ce dernier : "Le principal groupe d’étude avait déterming que seus cing des neufs symptomes seraient requis pour éablir un diagnostic du sous-type hyperactifinartentif du THADA [ees A-dire, tune version ‘combinée’ du trouble]. Mais, le comicé de supervision du DSM-IV. rejeta, contre toute attcnte, cette décision ec fit passer le nombre de symprdmes re ‘quis six! Ils pensaient probablement que cing cxtires ne suffsaient pas et rsquaient ’entrainer un diagnostic de-ype TDA chez un nombre trop important d’enfants, ‘mais le caractére arbitrate de leur choix n'a que peu de rapport avec la seience."®! Dans la société occidentale, qui déifi souvenc les méde- ins, les gens risquent détre_extzémement choqués de découvrir que ce diagnostic a éxécréé de toute pitee par tun groupe simplemenc réuni autour d'une table, et non par une équipe scientifique se basant sur des résultas brenus en laboratite. Le résultat du processus fondant llaboration du DSM détermine un diagnostic pour le moins catégorique celui du TDATHADA, totalement arbitraire et basé exclusivement sur le comportement, Les critees de dia gnostic soulévent des questions évidentes quant 4 la validicé (examines dans la parti suivante), mais la seule description des "symptémes” est deja. complétement subjective et donc par essence non fable, Afin de di sgnostiquer le THADA cher un enfant, il faut que celui ci présente soit six des neufs symptomes d"inartention” soit sx des neulssymptémes &"hyperactvicé-impulsi «€°, Ces symptomes "doivent persister depuis au moins 6 mois a tos degré gui et inadupté et incompatible avec sn stade normal de développement", Cependant, il n'y & pas de recommandation objective pour évaluer le degré inadaptation requis ; il est laissé & Fappréciation de sympromes" du THADA est qualifié parla conjonetion de temps: “souvent”. Que signifie “souvent remuant" ‘ou "souvent en proie & des difficultés pour organiser des tches et des activités" ? I existe pas de recommanda- tions objetives. Pour un évaluateur donné, un enfane ‘ui est remuane tous les jours pourrait paratze normal ; mais pour un autre évaluateur (peur-érte sans enfant), ‘un enfant remuant beaucoup une ou deux occasions pourrait ére considéré comme "souvent" remusant, Les problémes de fiabilieé ne Sareéene pas I “Le mot ‘souvent’ mis & part le reste de la définition regorge de termes ambigus et vagues. Quelles fautes peuvent due qualifiges de ‘autes d'naention’ ? Que ‘veut dire & qui Pon pace ‘directement ? Que signtie de Ja ‘iffculté a sorganiser ? Qui décide quelles sont les activités qui nécesstent ‘un effort mental soutenu’ ? Que veut die facilement distraic ? Quand un pete mouve- ment estil qualfié de ‘bougeorte’ ou de ‘contorsion’ ? Qui détermine les cas ott Fon est ‘censé rester assis? A partir de quand coutit,grimper ou parler devieneil ‘excess’ 2° Cenains des défenseurs américains du modéle médical du THADA les plus uadisionnels, pensane quill ¢agic un trouble médical valde, ont méme reconnu le man- que de fabilté du diagnostic. En 1998, les National Anstitutes of Health américains ont organisé un Colloque de Consensus sur le Diagnostic et le Traitement dur THADA er ont entendu le cémoignage d'un certain nombre d'"expers" lesquels ont presque tous sourent le modee médical. Ala fin du Colloque, le président du comité, le Dr. David Kupfer, a reconnu quill r'existaic "actuellemenc aucun test de diagnostic validé”,% et un autre membre du comicé a succinetement observé que "ce diagnostic était un véritable foutoin" Manque de validité du diagnostic La “validite’ d'un diagnostic désigne la mesure dans laquelle il décrit quelque chose qui est bien rél ct sus- ceptible d'etre prouvé. "Malgré les millions de dollars consacrés 3 la recherche au cours des vingt dernigres années, dont une bonne partie subventionnée par des compegnies pharmaceutiques nourrisant de nombreuses attentes, personne ma encore &é capable didentifier certe ‘maladie’ appelée THADA."™ Chose incroyable, beaucoup de professionnels haute- ment respectés dans divers domaines reconnaissent pu- bliquement que rien ne prouve Vexistence du THADA. Voyea pluto. + Le Docteur en psychologic Diane McGuinnest: "Des recherches méthodologiquement rigourcuses indiquent que le THADA et Vhyperactivité en tant que ‘syndro: ‘mes niexistent tout simplement pas." * Le neurologue Fred A. Baughman, MD : "Il rfexiste pas de surdiagnosti de sousdiagnostic, de traitement dapté ou de traitement excessif du THADA. Tout cela nfest qulune vaste famisterie qui dure depuis 35 années." * Le Professeur agrégé Robere Reid, Docteur és science de Universicé du Nebraska : "Les causes du THADA sont tout simplement inconnues." Nexus ne38 ‘akjun 2005 Le GEOPOLITIQUE U + LAnsralian National Asociation of Practising Pry- chiatrits (NAP) : "Le THADA nest ni un trouble générique héréditare ni une maladie organique” et "les preuves scientifiques suscepuibles de soutenir Vexistence du THADA en tant que trouble ne sont pas étayées".” * Le psychiatre Denis Donovan, MD : "Le TDA est un. diagnostic bidon. Les parents et les enseignants courent comme des dératés pour identifier une pathologie... No tre pathologisation actuelle du. comportement aboutit 4 gonfler considérablement les rangs des malades, des pereurbés, des déséquilibrés et des handicapés."! * Le médecin William B. Carey, MD, du Children’s Hospital of Philadelphia : "Ce que Yon décrit le plus souvent aujourd’hui comme le THADA aux Etats-Unis semble éce un ensemble de variations comportemen les normals. Cette divergence met en doute la validité du concept." * Le Doctcur et_psychologue John Breeding : "Le dia- gnostic du THADA est, en lui-méme, fauduleux."® + Tunku Varadarajan, rédacteur adjoint du Wall Stree Journal: “On raconte autant de balivernes sur le THA- DA que surle TDA."#* + Lauceur Beverly Fakman : "Ces médicaments rendent les enfants plus docile, pas nécessairement meilleurs, Le THADA est un phénoméne social pas une ‘maladie mentale’. Puisque le diagnostic du THADA ext fraud leux, peu imporee qu'un médicament ‘marche’ ou pas. (On force des enfants & prendre un produic plus fort que lh cocaine pour une maladie dont Vexistence nest pas prouvée."® * Le Docteur et psychologue Richard DeGrandpre, citant une étude parue dans la revue médicale amé- ricaine Pediatr, montrant que 80 % des enfants catalogues comme hyperactifs& la maison ou 4 Vécole affichaient un comportement exemplaire et aucun signe hyperactivité dans le cabinet du médecin : "Cette découverte concorde avec les nombreuses études et les dizaines darticles de journaux faisant état d'une force différence dévaluation entre parents, enseignants et cliniciens quant aux enfants inclus dans la catégorie des hhyperactift. Cela ne peut que soulever des questions sur existence du THADA en tant que concept médical reel, puisque le diagnostic se base exclusivement sur ces symptoms + Le psychiatre Peter R. Breggin, MD : "ILest important «que le Comité de ’éducation comprenne que le diagnos- ticdu TDA/THADA a été élaboré dans le but spécifique de justifier Pusage de médicaments pour maitrser le ‘comportement des enfants en clase."*” + Laméricaine Hillary Rodham Clinton, sénateu tains de ces jeunes présentent des problémes ni érant rien autre que des symptémes de lenfance ou de V'adoles- + Le psychiatre Sidney Walker III, MD : "La commue rnauré médicale a élevé le Trouble du déficit de Fatcen- tion et le Trouble d’hyperactvité avec déficie de Pateen- tion au rang de diagnostics et la plupart des gens croient Nexus nese =} auil Sagic de vértables maladies. Ce vest pas le eas et les médecins qui cataloguent des enfants comme ateints de TDA ou de THADA n'ont pas le moindre indice per- smettanr de définirce dont ils souffrent vraiment."® + Lélucateur et chercheur Brenton Prosser, Docteur es sciences : "La définition dominante de cet état lassi rile un probléme physiologique devant ére rai avec des amphétamines, bien quaucun élément biologique ri étaye ces affirmations." + Le Colloque de Consensus organisée en 1998. par les US National Institutes of Health a conclu : "Nous ne disposons aucun test indépendant valide pour le ‘THADA et rien ne prouve que le THADA est di un dysfonctionnement du cerveau." Reste 2 savoir pourquoi les praticiens aussi bien que le public désignene le "THADA" comme un trouble rmonttable, alors quil est largement prouvé que ce rest pps le cas. Ce phénoméne a été expliqué par le Dr. John Jureidini, chef du Département de médecine psycholo- ‘gique au Women and Children Hospital d' Adelaide, en ‘Australie-Méridionale, en réponse 2 une question d'une ‘commission parlementaire "Tl existe une documentation monumentale qui con- sidére comme acquis le fait que le THADA ese une pathologie neurobiologique et, parant de 1a, éeudie les différentes formes de traitement. Une fois que l'on a des milliers Particles publiés sur un sujet, comment quelqu'un pourraicil songer a se lever et ® proclamer ‘ca nfexiste pas ? Je tens & souligner que je sais perti- rnemment quil y des enfants trés amoindris & cause de problémes dimpulsivié, dattention et activité. Je ne dis pas que ces enfants ne soulfent pas ou ne méritent pas notre attention, Je dis simplement que, en tant que trouble, le THADA existe pas."** En faisane La distinction entre maladies litcérales et maladies méraphoriques, le psychiatre américain Tho- mas Sease observe : "Lidée que, disons, le SIDA et le ‘THADA... sont des genres de maladies radicalement di férents ~ ou, plus précisément, que la demiére nes pas du tout une maladie ~ est si poliiquement incorrecte makjuin 2005, aquiele est balayée d'un geste de la main.” Les partisans du modéle biomédical du THADA se plaiseat 2 affirmer que nous sommes sur le poine de découvrir une étiologie ; autrement dit, sur le point de découvrir que le "THADA" existe bien. Mais il y a plus de 20 ans quils dent ecla! Le fait est quc, termes scientifiques, le concept dune “maladie” appelée TTHADA mvest pas valde. Absence de consentement éclairé I nfexiste pas de Droit de F Homme plus fondamen- tal que le Droie 4 Fintégrté physique. La plupart des apparels judicaires possédent fa velléité commune de protéger les personnes innocentes contte tout ce qui peut arriver 4 leur corps sans leur consentement. Selon un article paru dans le DePiul Journal of Health Care Law : "Le veritable consentement consise 3 faire un choix éclaré, et cela suppose la possibilicé d'évaluer en toute connaissance de cause les options disponibles et les risques attenant 3 chacune dente elles." La question du consentement des jeunes en maitre de soins de sancé fut objet d'un important rapport publié en 1996 pat Ia Commission de Réforme du Droit du Queensland. Des représentants de diverse organisa- tions ont également reconnu quil Sagisaie d'une ques- tion majeute dans toure ! Australie “Le Président de la Commission de lenfance et de Pado- lescence a informé cette Commission que les questions de confidentialité et de consentement en mariére de soins de santé cher. les jeunes fuisaient partie des préoc- ccupations majeures soulevées par des représentants de plus de trente organisations en lien avec la junesse et Ta santé lors du Sommet National sur la Sancé des Jeunes organisé par l'Avuonalian Medical Association Canberra en juillet 2001." Un consentement sans informations nlest pas tun consentement, et les parents auxquelsilest édicté que leur enfant soulfre de "THADA" ne sont pratiquement jamais informés du ca- retire non valide ou peu fable du diagnostic un point de-vue scientifique. En général, on ne les informe pas de Fabsence de détection de cause organique ou physiologique, ni que personne na pour Pinstant réussi 3 démoncter Yexistence du “THADA’, Par ailleurs, les parents ignorent souvent les dangers des neurostimulants. Le Droit International (6n particulier la Convention des Nations Unies sur les Droits de Fenfand, les Droits de I'Homme et les Droits nationaux, quils aient pour souree la coutume ou fa doctrine, exigent que I'individu puissent exercer un droit au consentement éclair€ sur toute atteinte & son incégité physique. Les enfants n'ont presque jamais Voccasion de donner leur accord pour un traitement & base de neurostimu- Jants, pas plus quils ne sont informés du débae qui fait rage au sein de la communauté médicale au sujet de NEXUS ne3e ce diagnostic. Gee violation patente d'un Droit de Homme fondamental ne serait pas tolérée si elle était ‘commise ouvertement, mais sous apparence de "soins ‘médicaux utiles", elle deviene plus insaisssable ee difi- cile & combacrre. Pourquoi le diagnostic du THADA est-il si courant dans certains pays ? augmentation du nombre d'enfants australiens dia- gnostiqués atceints du THADA au cours des 25 dernié- res années est tout simplement astronomique. Au vu du manque avéré d'une étologie ou d'un marqueur organi- quelbiologique connu, la question demeure : Pourquc ce diagnostic estil si courant ? Pour quatte principaux "groupes" le diagnostic du THADA a été une aubaine économique, pratique ou affective 1 - Les compagnies pharmaccutiques. ‘Le marché des stimulants spécifiquement conus pour tracer le THADA dépasse chaque année 600 millions de dollars pour les seuls Etats-Unis ! Avec de tel pro- fits la cl. il rest pas surprenane que les grandes com- pagnies pharmaceutiques se soient déclaréesfavorables aux diagnostics psychiatriques en général e & cel du THADA en particulier Novartis Pharmaceuticals, qui détenat le brevet original du méehylphénidae (Rialine), le médicament contre le ‘THADA le plus popuaire aux Exats-Unis, a fait én: mément de publicté aussi bien dans des revues profes- sionnelles qu’auprés des médias populaires, publianc dans ces demniers des messages publiciaires destinés & convaincre les parents que leur enfant aurait cout intérée& prendre des sti- rmulants. Novartis fait également partie des généreux donateurs du Childbem and Adule with Artention Deficlt Ditarder (CHADD), le groupe national de soutien des parents con- frontés au THADA, Plus troublante encore est peut-tue linguig- tude exprimée par un ncurologue et profes- seur émérite de psychologic de PUniversité du Michigan "Je suis convainen que Vindustre pharmaceutique dépense <énormes sommes dargent pour augmenter ses ventes et ses béndfices en influencant les médecins ct le public, par des moyens déformant parfos la vérité et s€tane souvent dans Fincérét ni de kx science ni du public. 2- Les scientifiques. Si idée du THADA comme trouble biomédical séduit les médecins, c'est d'abord parce quilsdésirent xe uti- les leurs patiencs. ensemble de leur formation et leur fagon de voir les choses sont imprégnées du "modéle | ia _ GEOPOLITIQUE NO U ‘médical” : un patiene vient les voir avec un sympréme, ils le diagnostiquent et le tratent. Si le THADA nvexiste pas, et si ces comportements font partie de la gamme expérience normale de Fenfance ou sont le reflet ’un miliew perturbé, le médecin est désarmé. En outre, ‘comme nous le vetrons dans un moment, les stimulants 4quils peuvent prescrite produisent bel er bien effec soubaité par les parents et les enseignants, les médecins paraissent done daucant plus utiles & leurs patients (ou ‘du moins aux parents de leurs patients). En méme temps, il serait naif d'gnorer la recherche du profit dans cette partie de Téquation. Le psychia- tre américain Peter Breggin a noté que "Les groupes intéréc du domaine de la biologie insistent depuis des années pour Semparer du marché des médicaments pour enfants et pour offir leurs services profesionnes”.* “Tunku Varadarajan du Wall Steet Journal a écri : "Pour ere remboursés par les caisses dassurance maladie, les psychiatres doivent trouver un moyen daffubler le pa- tient d'une pathologie reconnuc, ce qui explique quils reconnaissent de plus en plus de pathologies. Atendez la sortie du prochain DSI, et vous découvsirez quau moins 50 nouvelles pathologies aurone écéajoutées & la liste existante."* 3+ Les parents. La force de soutien la plus vive au développement du diagnostic du THADA (et de Pusage de stimulants) est reptésentée par les parents. Sans "marché", le phéno- imine du THADA se serait éreint cout seul. Les groupes entraide de parents, tes que le CHADD, démentent avec véhémenee Vidée que le THADA est autre chose quun trouble "réel’, et beaucoup de parents affirment que le diagnostic eles stimulants prescrits se sont avérés miraculeux pour leur enfant et leur famille. Le caractéxe séduisane de ce diagnostic aux yeux des parents est facile A comprendre pour alimporte quel clinicien ayant déja travallé avec des famillesconfioncées& des problémes de ‘comportement d'un enfant. Dans la société occidentale, il est suggéré que si vorte enfant se comporte mal, c'est patce que Yous étes un rmauvais parent (ne dit-on pas "mal élevé” 2). Si voute ‘enfant manifeste constamment des problémes dans ses relations avec autrui ou "Sattte des ennuis® 2 Pécoe, on sous-entend que vous éesinapte ou peu disposé ile ds- pliner correctement. Lidée qu'une maladie afllige ces ‘enfants et soit responsable de leur mauvaise conduite est parface pour déiouaner les parents sur un plan affecif, ‘ar ils passene aussitée du statue de mauvais parents & celui de parents martyrs se démenant pour soccuper un enfant malade. Au liew de se lancer dans une thé- rapie familiale et de cheshcher & découvrir pourguoi leur ‘enfant se comporte mal ou ce quils pousraient y fae, ils peuvent aller dans des groupes de soutien et recevoir des marques d’ffection et de compassion pour avoir éxé traits aussi cruellement. Si Lincroduction des stimulants finit de les convaincre. Les études montrent de fagon concluante que les stimulants rendent fous es enfants plus obéissants et docile, quils aient ou non des “problémes comportementaux” ou autres. De toute évidence, les parents embérés par lz 'mauvaise conduite” de leurs enfants seront contents de les voir devenie plus obéissanes. Plus d’embarras vis 3 vis des autres, plus de coups de téléphone provenant de ‘école. Pas étonnant qu‘autant de parents ne jurent que par le diagnostic du THADA. 4- Les écoles. Force est de reconnaftre que dans la société modeme, eaucoup d’écoles publiques sont surchargées et ne disposent pas de ressources suffisantes. Les enseignants ‘ont souvent 30 ou 35 éléves, voire plus, dans leur classe alors quils cssant courageusement de leur offtir une instruction décence. Lorsqu’un éléve distrait ou dérange Ia clase, il et comprehensible que Venseignant veuille que cela cese. Lorsque d'aueres parents se plaignent de Vélave perturbateur i Padministration de école,celle-ci soubhaite maftrser le comportement de enfant en ques- tion. Si cette mauvaise conduite peut faire Fobjet dun " diagnostic” er eer traitée par des médicaments, la clase er ’école ne sen porteront que mieux. Cette dynamique a été si puissance que plusieurs Erats américains ont &é obligés @adopter une loi interdisant au personnel sco laire non médical de prononcer des diagnostics sur les éléves et de leur recommander des médicaments, “Toutes ces forces puissantes se sont alliges pour former tune équipe pas si drdle que cela et on comprend bica mieux pourquoi le THADA est devenu une "épidé- mie" dans certains pays comme Australie. Lorsque le diagnostic est érabli et que enfant est mis sous mé dicamenss, tour le monde est content; ainsi la boucle cst bouelée. La compagnie pharmaceutique réalise une nouvelle vente, le médecin a un nouveau client, les parents sont mis hors de cause et I'école a un probleme de comportement de moins. Tout le monde est content sauf Penfane qui lui, 11a pas voix au chapite. Recommandations (Remarque : Elles sont adaptées du livre : Queensland Children At Risk: The Overdiagnosis of “ADHD” and the Overuse of Stimulant Medication:®) Les cliniciens, les éducateurs et les chercheurs ont par- fois tendance & user déquivoques et "édulcores” dans Yespoir de paraitre vraiment "professionnels’. Lorsque Ja santé physique ct le bien-étreaffectif de nos enfants sont en jeu, il est emps de se montrer ees directs. Il est temps daller & Vesentiel", examiner les fits et de dire la vérié. + Sont prescrits des médicaments puissants et dangereux aux enfants pour lutter contre un “trouble” dont Pexis- motiuin 2008, tence na jamais été prouvée. + Desenfants sont exposés ces dangercux médicaments rmalgeé les preuves montant quils wont aucun effet positif et ne "marchent” qu’en créant des enfants plus dociles ec obeissants + Niles parents, ni les enfants ne disposent pas des in- formations dont ils ont besoin pour pouvoir donner leur consentement éclaié,en violation de 'éthique médicale, des Droits de Homme ec du Droit International. Les gens 'accordent sur peu de choses dans le domaine controversé du THADA, mais la plupare ‘accorderaient a dire quil faut effectuer de plus amples recherches ‘Actuellement, il y a beaucoup top d'inconnues, et quiconque affirme quil existe des "preuves" ne dit pas Ia véeieé, Ine faut pas tenter de eraiter quelque chose avant de savoir ce que Cest. Au vu des dangers reconnus des sti -mulants pour les enfants, les familles et la société, es ‘une question de simple bon sens que d'arréter utiliser ces médicaments jusqu’a ce que nous ayons idencifé ce aquest vraiment le THADA, sil ya lieu. Nous devons 1) Dédlarer un moratoire sur Tusage des stimulants jusqula ce que les chercheurs soient capables identifier ‘une étiologie organique spécifique pour le THADA, de ‘montrer que les stimulants sont efficaces pour remédier Ia pathologie découverte et de montrer que usage prolongé de stimulants ne présente aucun risque pour les enfants en pleine croissance. 2) Nous assurer que les parcnts et les enfants sont pat faitement informes des dee facetes de la. concroverse sur le THADA, et exiger que les uns comme les auties donnent leur consentement éclairé avant d'acceprer des stimulants, 3) Exiger un examen par un spécialiste en psychologie infantile avant de commencer i mettre un enfant sous médicaments et exiger d'autres essis de traitements avant de commencer utiliser des stimulants. Mettre des batons dans les roues de la charrette folle du THADA ne sera pas bien accuelli par les parents ui sont nombreux 4 compter sur les stimulants pour raltriser leurs enfants et Sabsolvent du méme coup de toute culpabilté ou responsabilité. La nouvelle ne sera pas mieux accueilie par les enseignants qui soutiennent leur usage pour apaser les enfants difficile en classe, Pas plus que pares péditres qui ne connaissent sirement pas autre moyen que de proposer des stimulants pour contréler le comportement. Sans paler des compagnics phanmaceutiques, qui considéreront toute discussion ouverte ec hionnéte comme une menace potentelle x cente poule aux cus d'or de plusieurs miliards dole Cette proposition implore tous les individus concernés ‘examiner de fagon approfondie et honnéte une ques- tion controversée. C'est une exhortation & protéger nos enfants, qui ne peuvent pas se protéger tout seuls de ces Giquettes et médicaments néfastes et inuties. Enfin, est un appel & cflébrer la cxéativté, la spontancité et énergie de Venfance et & sourenir la beauté unique de chaque enfant ‘A propos de Fenteur Le Dr. Bob Jacobs défend Fenfance depuis plus de 30 ans, au titre d’enseignant, consciller, psychologue et avocat. Il posséde un doctorat en psychologic de la United Staces International University et un doctorae en Droit de ! Université de Floside. Parmi ses nombreuses autres activités, le Dr, Jacobs milte actuellement pour la justice égaliaie et siége au comité directeur national du réseau des droits de Fenafnrs @’ Amnesty Intemational, aux Etats-Unis. Som article se base sur les vases recherches quil a réali- sées cn 2002 en association avec le Youth Affairs Network of Queensland (YANQ), la principale organisation de fa jeunesse du Queensland (Australie), ainsi que sur sa longue expérience. Le Dr. Jacobs peut éere contacté par e-mail} DeBobQA@aolcom. Notes de fin 1. 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Bregain, supra note 13, p. 176 59, Varadajin, supra nove 44 60. Jacobs, “Queensland Children At Risk’, supra noted, Nexus nese ‘matin 2005 EOPHYSIQUE a = U spectre des fréquences de Schumann En quelques mots, utilise la Terre comme une antenne pour cap- feret enregistrer les signaux 8 ultra basses fréquences qui passent 42 travers fa planéte. On sait que les signaux électromagnstiques Ss «CC LE CHANT DE SIRENE DE LA TERRE Par Benjamin Lonetree site web, mai 2004 btpsidereal org introduction cosignée par Iona Millet tp www. geocities.comviona_m Installé en Arizona, Vingéwicur-électricien Benjamin Lonetree des instruments sensibles pour écouter, enregistrer et ana- Iyser les signaux clectromagnétiques de la Ferre; il observe que nos ancétres étaient bien plus a Punisson avec ces vibrations subtiles que nous. Gont fa fréquence est inférieure 3 environ 3Hz pascent 3 travers la Terre comme s1l n'y avait aucun obstacle. Autrement dit, fa Terre est un bon conducteur pour ces iréquences. L’équipement que je viens de mettre au point me permet non seulement d'observer Ces signaux, mals aussi les perturbations du champ magnétique terrestre, Vactivité solaire et ses effets sur la planéte, les signaux annonciateurs de séismes, les pluies de météorites, etc. Benjamin Lonetree. La Torre gouvernate noire Mien artis que tlfigue, ot Cingénioar la ton. Brust ‘poctttre dosed sneabiath lor eblbbro experiences Clerics de nfamt Ss a forme den Ware pored & bcoaseay, ot ible contor 0 damian i la fois un coven nombres de concernant las de nate et la maniive done ctle eee we avec los erbatuures quielle Reberge, nows-wisiwes inclus. Le travad dle bon li conduit vers le bio feedback, lee ee ae ce arene Lonetree, qui habits ox Arizona, A appris & ses dépens & coat e me or “a rep oregon np men burst aipabe in Bn ae Da ee we eee A otic ee tee ate ‘adn Mads iL content de turd certainas ches. I sft da décrive cet homme comune un «X-files asnbulane | Jona Miller eee haz do non di ton chant de se rive onbrjuntl ele woe dire comma wit ta diirnd, is comms els enue peut lo far bene, “Lametree tot whe des rues dita ot dintor: vise) a ee eee a Bitte ei ae ae ees de fibre. De trite marcia, feria oo a Sf een Serena repeat eed eR ee ae aan Pace ret rae projets gourerne- seat cara ais opr fur ign médical 2 par la NASA eb le MIT: y. Etude de la théorie des vortex et des signaux électromagnétiques Depuis des années, ‘observe les énergies EM (Aectto- magnétiques) naturelles de la Terre ct de Vionosphéxe dans les gammes de fréquences ULF (lea basses), EIF (extrémement basses) et VLF (1s basses) Je mers & jour tun site internet (hetp/fsidereal7.org) afin de partager le fond de ma recherche sur larésonance de Schumann, @s). Je me concentre sur les effets naturels, Pac exemple ‘comprendre laction du géomagnétsme sur la RS dans une zone géographique particule. En éourant le radar | de Roswell, je me sus apergu que je pouvais entendre et | entegistrerle son d'une météoitetandis quiclle traverse atmosphere. Mon apparellage entepstr les ultra basses firéquences de sa combustion mais sculement dans la toute demitre partic de son parcours. ‘Mes équipements se sont également montré efficaces pour lobservation et enregistremene des effets des EMC (Gections de masse coronale), ou éruptions solares, sur a RS. La science @ postu l'apparition d'une coupure de la partie basse de la premire RS, & une fréquence approximative de 7,83 Hz, lorsque ces émissons atci- ‘gnent la magnétosphite terestre. Cette fréquence vatie | lgtrement en fonction des diftrences saisonniéres de la hauteur de lionosphére au-dessus de la surface terrestre. 1a foudre et moi entretenons une relation de longue | date, Elle m’a frappé une fois et me manqua de pet & autres occasions. Lorsque j'éais enfant, la maison de | mes parents écaic flanguée d'un tour voisine d'un puits. Tavais remarqué que ma tour appréciac les orages au point d'attier souvent la foudre. Pensant quobserver Vaccumulation de Iéleccrcié statique était une bonne idée, je construisis une grille d'un mitre carré que je | posai horizontalement et connectée & la paroi du puits. ‘Quelques centimetres au-dessus de la grille jfen montai tune deuxiéme, paralléle & la premitre et connectée & ‘maun 2005 GEOPHYSIQUE NO U i tour. Lorsque des orages approchaient, particulié ‘ment la nuit, je soreais pour observer les étincelles qui dlansaient entre les deux grilles. Survint alors, une nuit farale, un orage particuligrement violent et la tour pric ‘un coup au but. Les grilles furent pratiquement vapo- risées, mais la pompe immergée au fond du puits fut catbonisée en méme temps. Bien entendu, mon pére minterdit dorénavane de faire encore des expériences & la Benjamin Franklin. Je pense que le veux Ben eut éxé fier de moi. ‘Chacune des sept RS occupe une bande de 1H 5 autre- ment dit, chaque résonance a une largeur de 1H. Pai cobservé et enregisté la coupure dont d'autres avaient subodoré Fexistence. En utilisant un autre équipement sensible aux erés basses fiéquences, j'ai enregist€ les premicts esas réels de HAARP en 1999. Je ne Pavais pas cherché, mais les traces étaient [4 patmi mes autres relevés. Sur mon site internet on trouvera les résultats de cet essai, ainsi que Fexpérience en VLF de HAARP dde mars 2002. ‘Outre ces données sur HAARP, vous y dénicherez aussi ‘mon livre céléchargeable Seven Subtle Vibrations Je vou- dais encore ajouter beaucoup de choses 2 ce live, par exemple démontret que, contrairement & ce que cert contaffirmeé sans référencesfactuelles séricuses, la RS rest ‘pas en teain de changer ni de glisser vers les fréquences béta des ondes cérébrales. Les fats parlent rout seuls. A Yorigine, ce livre Sadressit un certain tourisme dans Ja région de Sedona ec j' indique comment la premizre bande de la RS peut eure amplifige en des iewx particu- liees par Pactivité de F énergie géomagnétique locale Si vous démontez un simple haut-parleus, vous wouver ‘un eéne en papier, un diaphragme, deriére clui-i une bobine de filet enfin un gros aimant. Le signal audio passe par la bobine entre le diaphragme et 'aimant. La bobine fait vibrer le diaphragme et cette vibration cst amplifge par le champ magnétique de aimane La vibration est 4 son tour amplifge par le cé- rne en papier. Certaines conditions géophysiques agissent comme un sys- tame damplifcation et de haut-parleurs, rendant plus puissamment audible [a evoix» naturelle éleccro- ‘magnétique de la plantte, Je pourras expliquer cela avec plus de déuails, mais je tiens & rester simple, U1 faut surtour se souvenir que T'aimane permanent ‘Les anteanes du programme HARP Nexus joue un s6le important dans amplification du son d’un hraut-parleur. Recherche sur I’énergie des vortex a Sedona. Une bonne partic de ma recherche & pour origine Sedona, en Arizona, réputée pour ses énergies dites «de vvorter. Jai choisi ce leu parce qu’ et riche en oxyde de fer, en slice et en magnétite, V'aimane nacurel de la nature. Sedona est aussi un des sites les plus spectacu- haires ’Amérique, zéputé pour sa beaut, ses montagnes rouges cr sa terre ocre. Les Iégendes anciennes et la concentration d'oxyde de fer alimentent la renommée de lénergie vortcille dont la population locale chante les vertus. Je crus d'abord que ce nétaic qu'un stratagme destin & atirer le tou- risme, mais je dus réviser mon jugement. ‘Avane de visiter Sedona, je rencontmai un perionnage de Ja nation Navajo I me demanda si javas & L-bas car ‘ces i que la Tere parle. Je montrai plus tard que son affirmation Gait exacte, mais dla Iégende ila démons- tation sciensifique, le chemin est long. PPeu aprés cere rencontre, je décidai de parcourir & pied les kilomésres de pistes, les serpentins de ravins ct les érroits canyons de Sedona. Comme dans la plupert de mes aventures je métais muni de mon récepteur VLF et une boussole. Je marchais tard la nuit, car Cest apres le coucher du soleil et avant Paube que les fréquences VLF de atmosphere sont les plus audibles. Les phénoménes VLE sont expliqués plus en détail sur mon ste internet. Ce fut lors de cette premiére randonnée, tandis que j'écoutais les signaux atmosphériques une heure ou deux apris le crépuscule que 'entendis et enregistrai le test de HAARP que je mentionne plus haut Parmi les anomalies que jobservai& cece occasion, il y cet le fai que les signaux atmosphériques Etaiene net- tement plus puissants en certains points de la piste ; mais ce mézit pas toujours le cas. Je me demandai si cete variation de puissance avait un rapport avec la fameuse énergie des vortex. Mon esprit scientifique me fit douter + mais au cours de randonnées suivante, ilarriva que ma boussole perdt le nord. Cependant aux endroits ott la puissance d’émission atmosphérique avait augmenté, et lorsque ensuite elle diminuait, ma boussole fonctionnaic 4 nouveau normalement. Je pensai dabord métre arrété au-dessus dun vaste fgisemenc de magnétive ec que je me touvais dans une position comparable 4 celle du bobinage d'un haut- ne38 ‘akan 2008 pparleur. Le récepteur VLF interprétaic augmentation de puissance 8 une amplification des signaux atmosphé- riques. Cependant cette théoric ne tenait pas, car si cela avait été Le cas, Fintensité atmosphérique & eet endroit particulier aurait éc€ amplifige cout le temps 5 or tel siétait pas le cas. Je cherchai donc d'autres causes possbles 4 ce que fob- servais Bien que toujours peu convaincu de la réalité de énergie de vortex, je décidai de pousser Pinvestigation jusqu’> prouver que, soit cette énergie existait, sft elle ‘existait pas. Une piste possible sembla résier dans une secherche sur le géomagnétisme (le magnétisme engen ddeé parle magma intérieur de la Terr). ‘Des éuudes menées par le USGS (Bureau des Recherches Géologiques des Ecats Unis) révélent la présence sur Ter- rede lieux ot existent des flux d’eneré et des flux de sor- tie d’énergie magnétique non polarisée agissant comme des vortex. «Non polarisée»signifie que, conuairement 4 un aimant, ces phénoménes wont pas de ples nord cet sud. Ce flux entrant ou sortant nest que de Iénergie ‘magnétique pure en mouvement dynamique. Pour érayer ma chéorie il me fallaic un matériel supplé- Imentaite appelé détcteur de flux magnésique. Cer ins- trument est utilisé pour observer le champ magnétique terrestre ou toute autre source de magnétisme. Tandis que fatendais qu'on nvexpédie les composants dont favais besoin pour assembler cet instrument, je con- sacrai du temps i discuter de Fénergie des vortex avec quelques résidents de Sidona. Us décrvirent comment, Grant en présence d'un vortex, leur mental changeait ; ils étaient cavahis par un sentiment de calme et de pais. Aujourd hui, je sus d'accord avec cus, car j'ai éprouve plus d'une fois exactement les mémes sensations. Il ne Sagit pas seulement de mon expérience personnelle subjective, mais est aussi ce que mes appareils entegis- trdrenc par la suite ‘Comme je si indiqué plus haut, la premire bande de RS se produit & une fréquence de 7,83H2. Il se trouve que cette valeur se situe dans Pincervalle entre les deux fréquences cércbrals alpha et theta. Il en existe en tout quatre : alpha, béta, delta er théra. Lorsque notre cerveau. fonctionne calmement, esentiellement dans la zone al- pha-théta, nous sommes détendus et en paix. Le cerveau hhumain fonctionne comme un circuit électrique appelé sboucle de verrouillage de phases. Un signal éectroma- {gnétique extere local plus puissant que nos ondes o&xé- brales induit un eff de résonance par lequel le cerveau se met en phase et se verrouille sur cette fréquence. Je pensais que sila premitre RS était en quelque sorte amplifée par un puissant flux géomagnédique, cette RS pourra influer sur Pactivité eérébrale. Le premier )» signal se situe donc entre alpha et théta. Me placant dans un vortex de Sedona, muni du détecreur de ux magnétique, je pus observer et enregistrer simultané- ‘ment la premidre résonance et le champ local d'activité séomagnétique, et cette double observation confirma ima théoric. Ce qui ne fat longtemps que conjecture Savéra démontré. Les résultats graphiques peuvent étre consultés dans mon livre en ligne. Jai aussi enregisteé ce qui, je pense, influence énergie magnétique. Aprés avoir obscrvé la concomitance entre Vintensicé de la premiére RS ec Factvité géomagnétique, il_me restat& approfondir observation concernant tant les flux de sortie que les ux entrée gomagnétiques, ‘mais ma recherche fut provi- soirement interrompue. Jai finalemene analysé les données recueillies sur deux sites, soit deux spectres, 'un & Kachina Man, Pautre & Ka- china Woman, Je crois que ce que jai capeé nese autre que Vinteraction entre ces. deux liewx. Cela commence par une série de petie fux de sorte et évolue vers un flux puissant. Jignore encore ce gui ext proprement produit par une ou Faucre des dewe formations rocheuses. Il me faudra deux détecteurs de flux magnétiques installés simulanément en ces deux «endroits. Je subodore copendanc que cest Kachina Man {qui et & Porigine du flux de sortie et Kachina Woman du flux dentrée. Lorsque Yon s'insalle entre les deux, ‘on éprouve un indescriptible équilibre yangyin, malelfe- elle, appelez cla comme vous voudte2. Je suis moneé ‘environ un ters de la hauteur de Kachina Man et me suis couché sur un bane de roche en surplomb. Les pho- tos de Kachina Man prises au cépuscule font apparaitre une forme de téte. Je miétais placé juste sous cette tte. Mon comps devint tts lourd cil me fille faite un effore pour me telever et miasseoir. cus momentanément une extéme sensation de verige ; Cest un liew exception- nellement puissant ! On se rend bien compee quil y a interaction entre Kachina Man et Kachina Woman, qui se siruent sur un axe nord-sud, Kachina Woman étane au nord. ‘Sitne-Kachina Woman (On peut se demander comment une onde dlectromagaé- tique de type Schumann, qui se propage bien au-dessous du seuil auditif, pout écre pergue par les humains. Les avis divergent sur cette question. On peut trouver de bonnes sources dinformarions concernant les effets de energie dectromagnétique sur le cerveau et le corps surle site web du Dt. Michael Persinger & la Laurentian Nexus ne3e ‘makin 2005 EOPHYSIQU NEES U University, au Canada (cf, laurentian.ca/_people/Persin- gechtm), et ausi su le site de James Beal, un chercheur sur la sensbilité humaine aux ondes EM (cf. heep/! swww.emfinterface.com). Jeroslay Novak, alias Jardar, un électricien et biothé- rapeute tchéque, prétend avoir pu observer (décembre 2004) une relation entre la RS et un cercin paramétre biologique . Bien que la recherche soit encore en cours, sJarda» est certain que influence de la RS et des champs EM ELF sur les organismes vivants peut étre démon- tuée. La RS varie en fonction des rythmes circadiens et autres cycles temporels. Il reste provisoirement discret quant au paramétre biologique rerenu, tandis quil met au point un dispositif peu cofiteux Pobservation & domicile, Novak affirme que le paramétre biologique constieue un faible signal qui nécessce ’étre amplifié 100.000 fois, mais témoigne avoir verfié que les chan- igements biologiques sont en relation avec les variations dela RS, Des recherches menée par une de mes relations, doc- teur en médecine, indiquent que les sujets soufffant de roubles du sommeil et de fibromyalgie ont un taux supérieur 4 la normale de magnétite dans le uide de Foreille interne. Chez 80% des sujets observés, ce sont les femmes qui ont les taux les plus élevés. Ayer du respect, Messicurs, pour la gent feminine, car il est plus probable que ses membres soient sensibles aux influences d'énergies aussi réelles que subtiles et que les hhommes ne peuvent percevoir. Brant donné que audition humaine normale se situe centre les fréquences de 60 & 20,000 Hz, il ext clair que des signaus inférieurs a 6OHz ne sont percus que par dautres moyens, ou pas du tout. Certe perception pourrait se faire via la magnétie contenue dans Poreille interne ou, comme lindique dautes recherches tees aque celles du Dr. Persinger, le signal serait regu directe- ‘ment par le cerveau. Vous disposer maintenant d'une comprehension basic que de ma recherche ec de lextréme sensibilcé de V'ap- parcilage qu'elle nécessite. Effets des champs EM sur les humains. Des données sur la vraisemblance de Veffet de cer- tains champs électromagnétiques sur Chumain sont accessibles sur hetp://nvwthebackpacker.com/trailtalk! thread/24225,php. Ce ste web offe extrait du brevet US n°6.506.148 suivant, qui constitue une référence en la matire. Il est intitulé «Manipulation du systéme nerveux par des champs électromagnétiques dirigés eta ‘Rocher de Sedona &é attribué le 14 janvier 2003 & Hendricus G. Loos, de Laguna Beach, Californie. Extrait : "Des effets physiologiques ont été observés sur tun sujet humain soumis & des stimulations de la peau par de fables champs électromagnétiques pulsés & eer- taines fréquences voisines de 0,5 3 2,4Hz, au point de provoquer une résonance sensorielle. Un grand nombre de moniteurs dordinateurs et d’écrans de télévision émercent, lorsquils affichent des images pulsées, des champs électromagnétiques pulsés amplitude suff- sante pour provoquer ces sensations Il est donc possible de manipuler le systéme nerveux d'un sujet en pulsant des images sur un ordinateur ou une télévision proche. Concernant cette demiére l'image pulsée peut écre in- cluse dans le programme ou superposée par modulation un champ vidéo, soit en tant que signal RF (radio fréquence), soit signal vidéo. Limage aflichée sur un moniteur dordinateur peut facilement ére pulsée par tun programme informatique simple. Sur certains mo- niteurs, les champs électromagnétiques pulsés capables de provoquer des résonances sensorielles sur des sujets proches peuvent étre générés méme lorsque les images sont pulsées & des intensités subliminales.” La voix de la Terre. Exemple de subtlité, la RS est 20.000 fois moins puis- sante que le champ magnétique terrestre. La «voix» de ta plandte ext bien discréte aujoun?hui. Nous savons us, il y a des millirs d'années, fe champ magnétique terrestre était beaucoup plus intense, et je pense que la voix de la plantee devaie éte également plus fort, plus incisive, moins diluée par la pollution EM. Je erois que nos ancétres pouvaient lentendre. Un étu- diant du Dr. Schumann, (inventeur de la résonance qui porte son nom), croyait que le systéme nerveux humain était développe au fl de Pévolution par Vaction de la RS. Crest ce que semblent indiquer nos quatre ondes cérébrales car, sauf Yonde delta (sommeil profond), elles tombent dans les mémes bandes de fi¢quences. onde delta occupe la bande de 1 a 3H, ‘motuln 2005, | i | | | | Note les signaux de fréquences inférieure 8 3Hz passent a travers [a Terre, plus facilement quia travers Patmos- phire, Dans «Résonance de Schumann : un mécanisme biophy- sique plausible des effess sur a santé humaine de Facti- vité solaire/géomagnétiques on signale que Kénig, un leve du Dr. Schumann, avait pris des rlevés des signaux RS. Il observa Fétroite rssemblance du signal diume de Ja RS avec le rythme alpha et de onde RS ultra longue dle 3Hz nocturne avec le rythme delta, elui du sommeil, tous enregistrés 4 TEEG [Aectroencéphalogramme] ‘Ceue similarité et de nombreuses expériences de fa- boratoire concduisirent Kanig a postuler que les ondes ‘césébrales ELF avaient évolué de maniére & utiliser les signaux naturels (Kinig, 19742, p 5). Kénig montra aussi que les signaux de 342 provenant d'orages locaux enregistrés au méme moment que ceux de lEEG avaient ssurces derniers un effer marqué de ralentissement. Cela fut confiemé par des essais en laboratoire avec des vor lonesires humains. Konig découvrit que, dans une four chette de puissances de champs de 1 4.5 vim, le signal de 3Hz-ralentissaitréguligrement les réactions des suets tandis qu'un signal de 10He les acoflrat. Les réations farent aussi verifies par un eest plus Fable de réponse galvanique de Fépiderme (GSR), utilisant un signal de 5 ‘vim ct 3Hz (Konig, 1974, p 17). Je pus, avee mon apparillage, enregistrer deux autees signaux anormaux qui se situent dans la gamme delta Lun ve produie 4 0,9He (9/10 de Hert), fautre 2 1,82H, Ces signa, on ondes énergie, sont peue-étre ce quion apple les ondes Affven, des micropulsations dans le plasma magnétosphérique. Celui de 0,9Hz ap- pparalt assez souvent. Lautre, de 1,82Hz, se manifeste tun bref moment immédiatement aprés ou vers a fin un orage magnétique. Il ya tant & apprendre de cette ‘mervelleuse plandee! Ji aussi la conviction que Fatmosphére est un milieu favorable au mélange des signaux. Quand deux se mé- Jangent, on obrient la somme, le dfférence et a fonda- ‘mentale. Pai dja démontré que des signaus, naturels ou antficiels, se produisant & des fréquences ultra basses, sépondent 3 certaines lois acoustiques, Tai enregisté la RS dans des canyons mais jai aussi décecté des échos de la RS fondamentale qui, je pense, sont des réverbérations sur les parois des canyons, etc. “Teese peut-écre le cas du +Taos Hume [bourdonnement ddeTaos). Le mélange et un puissant signal fantéme sont les produits du puissant réseau élecrique opérant sur fa fiéquence de GOH (aux USA). Sur le site intemet Eskimo» du Taos Hum (hip://www.eskimo.com) il y yy a quelques dossiers sur onde du bourdonnement. J'ai analysé ces ondes avec mon logiciel et je constae qi Sagie d'une désivée de 60H2. Jai instinctivement le sentiment que ces deux signaure ne sont pas de l'énergie magnétique, mais une légére oscillation de la magnétosphire terest. Supposez. que la magnétosphére recive impact d'une érupton Solaire; de ‘méme que la piere jerée dans l'eau provoque des vague- Jette, ainsi nocre magnétosphére se met-elle peut-étre oscller sous Paction du soleil I est aussi possible que, au lieu de la magnétosphére, ce soit une ou toutes les couches de Tatmosphére qui oscillent, Aussi étonnant que cela paraisse, la RS exerce tune légere pression sur la sueface de la planete. L2 aussi je pense que nos ancétres devaient étre sensibles 3 ces vibrations subtiles. Depuis I'avénement de Félectrcicé au service de lhumanité, la pollution éleetromagnétique 2). Certe étude sou- ligne en outre, une plus grande sensbilté des fernmes pour les perturbations du sommeil ©. D'autres effes ds éléphones cellulaires ont &é observés chez Phom- me: — perturbations de Vactvieé dectrique cérébrale, — modifications du sommeil ct de la pression artériclle, — augmentation des céphalées, —atteintes de la bariéte hhémato encéphalique, 3. Des effets biologiques sont rapportés par des riverains de stations rclais et d’émetteurs de radioté- lévision, Nexus nese ‘alain 2008 ‘al Pour les stations relais, la premitre étude pare ‘st frangaise. Publiée en 2001 elle porte sur 530 rive- rains dantennes ®. Elle met en évidence par rapport ‘au groupe référent (personnes situées & > 300 m ou ‘non exposées), une augmentation significative de la fréquence de certaines plaintesjusqu’d une distance pouvant atteindre: 100 m pour I'iritabilite la ten- dance depressive, la perte de mémoite, les difficultés de concentration, les veriges, 20) m pour les maux de t€te, les perturbations du sommeil, le sentiment inconfort, les problémes cutanés, 300 m pour la fatigue, Certe Gude monere également une plus grande sensbilité des femmes et des sujets agés de plus de 60 ans et souligne une plus grande nocivité de la position face aux antennes ©), Deux autres Eeu- des, une espagnole ec une autrichienne, viennent etre publiées. Elles alertent aussi sur les problémes de santé de tiverains de stations elas Une étude officiclle du. Gouvernement hollandais parue en septembre 2003 (Rapport ~ TNO-FEL-Re- pport-03148) a été ralisée en laboratoire, sur des vo- lontaites, en « double aveugle»,Flle met en évidence aprés seulement 45 minutes d'esposition & 0,7 Volts/m, 3 des radiofréquences de type antennes relais (GSM 900 MFlz— UMTS 2100 MH), des effets sur | mémorisation, lattention vsuelle, le sentiment de Dien écre, ... Cette étude fait également apparaite: ales diférences significative entre des sujets « dleetro- sensibles» et ceux qui ne le sont pas b/ Pour les émetteurs de radiotélévision : ~ Des adultes cxposés (rayon de 2 km) 4 un émetteur de radiotélevsion, présentent une augmentation signie ficative du risque de leucémies et de cancers de la vessie. ~ Des enfants exposés & un relais de revi sion ont unc augmentation significative du risque de Jeucémies dans un rayon de 12 km. — Des enfants ‘exposés i un émerteur radio souffrene d'une baisse de a mémoire ec de Fattention, d'une baisse des perfor- ‘ances musculaires et d'une diminution des télexes ‘09, — Des femmes exposées aux ondes d'un émetteur de radiotélévision présentent une baise significative des défenses immunicaires ,— Il exe observé chee des riverains d'on émesteur de radio 4 Rome, une augmentation significative de la mortalité par leucé- mie dans un rayon de 6 km 4, Certains pays ont déja adopté pour leur popula tion des limites d’exposition inférieures a celles ac- ‘uellement admises. Ltalie dans un décret de 1998, a adopté un scuil d'exposition de 10 uWieme (6,1 Vim) au liew de 450 et 900 piWiem (41 et 58 Vien) recommandés par les instances européennes pout les » fiéquences de 900 et 1800 MH respectivement. Le Grand-duché de Luxembourg a adopté en décembre 2000 un scuil exposition de 3 Vim. En Auttiche, ka Résolution de Salzbourg recommande 0,6 Vim. 5. La sensibilité aux hyperfréquences afest pas la méme pour tous. En 1995, Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS) conclut suite 2 une étude épidémiologique au sein de Varmée de Pair francaise : «Il existe indiscutablement une sensibilité individuelle & Pacrion des radiofréquences. Souises une méme exposition, certines personnes peuvent présenter des troubles cliniques, autres non » %, Selon [International Radiation Protection Asociation RPA), cette sensibilitéindividuelle aux radiofréquen- ces (Clecuosensibilté) serait d'ordre génétique \? et égilemene dépendante de Pige ec du sexe des person- nes exposées ©! 6. Des extrémement basses fréquences (ELF) sont présentes dans le signal de la téléphonie mobile. Or il est bien conm que les ELF ont des effets biologiques (roubles du sommeil,effers dépresifs, perturbation della glande pinéale et dela mélatonine, augmentation du risque cancérigéne, ...) ec ce pour des valeurs du champ magnétique ELF de ordre de 2.44 milliGauss 19, On peut rappeler que des exirémement basses fie- quences 3 un niveau pouvant atteindre 18 milliGauss, sont mises en évidence dans le signal généré par les céléphones cellulaies ‘fin. de protéger les populations riveraines de stations relais ex les urilisatcurs de téléphones cellulaires, il ‘convient ds & présent dappliquer le principe de pré- ‘alPour les stations relais:~ On évitera de les imn- planter & moins de 300 métres des lieux habités. ~ En aucun eas le lobe principal du fuisceau micro-ondes issu de l'antenne ne sera orienté vets des habitations = Dans environnement des antennes, les siverains ne devront pas étre exposés & une densité de puissance ‘icro-ondes supétieute & 0,1 pWfem? (0,61 Vion) b/Pour les utilisateurs de téléphones cellulaires : ~ Licommunication tééphonique ne devea pas dépassce tune durée de 24 3 minutes. ~ Les jeunes de moins de 16 ans ne Futiliserone quien eas @urgence 8, [REEERENCES I: JOHNSON LIAKOURIS G. Raiifiequenc (RF schncs i the Lee sadly Ancfcrof modulated misowaees? Arch Environ Hels 1998.33: 256.258. 2. SANDSTROM M. cca. Mobile NEXUS nese Tmatjuln 2008 U phone ue and sbjeaiesympcoms experienced by wen of analogue fed dig mob pone. Occup. Ned. 2001, 31/2838, 3 cecal. Symp epeencd yc of dig celular hones A sy of? Hench engincing hoa. Fleromsgneic Bilog an’ Medisne 2002.21" SI-S8 © & SANTINI cal Symes capes par dc esos de maton las Se phone eb tens Met ah30: 15945 SANTINI. fall, Survey ray of people ving in the cn oer ie ion EectomagneeBilngy and Modine. 2008.22 4159.” 6 NAVARRO EA. cll Te micrownve sypdiome: A priory alo Spain Beewomagacic log” and Modoc Foose! cl 7. RUTTER A at i tone ‘acsasones tee on heath and welsing 3" Ine Wrshon 2003 Wa 1 344352.°8 DOLE HT crcl Cancerncdens nest and tlion transmis in Gree Brin, 1 Suton Gabel {mee Am]. Endemic 09? 143" 13. HOCKING Bacal Cay idcoe and oraliy apd pram v9 TV Se Mis es eis =o: KOLOBYNGRT AA. ‘I. Morar and pry! ancians of school en Uvig in {Ee arof te Stine Ral Locton Soni Lat The Snr tf ihe Tool Emuroniene 1986 180° 8733.11 BOSCOLO R col. Eft of eetomapnse els prodacl by exneseon ondeetg rutcon the Farner oir Taos ‘he Total Environment 2001, 273: 1-10.12. MICHELOZZI Pc ‘al. Adul nd childhood leakemia nar «high-power radiomsion in ome anemic 353 Us INRS. & gis, usps magatigus, onde deo Gaeta racge ci malts df etal ae eben Eales TRS ED. 785, 1998. 194 pugs ~ 14 TRPA. Gunns ons af eponue fo rediofequncydecwomagnetic fields inthe feqency Shot fo g0 Rs So Gls Has Phys. ons Sa 1S {2813 SANTINE R. Nee ae fe am champ ecg smignéiges, Des fats Senter awe consis peatguee PSone Sa 1995-156 pages ~ 46. 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Vincapacité dde mutes, de s'adaprer 3 certaines modifications du mi- lieu méne & Vextinetion pure et simple, Selon Michel ‘Tranier, professeur au Muséum ¢’Histoire Naturelle (ciences et Vie N°198 de mars 1997), nous sommes conffontés 4 une extinction massive des espéces. Pen- dant ce scl, cela va se traduire par la dispartion quasi totale de toutes les espéces de moyenne alle: marami- es, oiseaux, et reptiles... Ehomme ne peut, 4 terme, ure exclu dans ce processus d’extinetion globale La pollution des eaux et de atmosphere ne peut, elle seule, expliquer cette hécatombe. (eau support universel de la Vie Tout ce qui vit sur terre est constitué d'eau et posséde la possibile d'adaptation, d'apprentissage, moins de 16% d'eau et cest la mort biologique, jusqu’a 99.5% est toujours la vie, Chez homme, l'eau représente en ‘moyenne 63% du poids du corps. On admet qu’a 100 ‘molécules protéiques d'un poids moléculaire moyen sont associées quatre millions et demi de molécules eau, Veau constitu le veritable suppore universe dela vie, elle en est son expression et sa substance. Une technologie anti-vie Nos technologies, en ce moment dlef de noute évolu- tion, utiisent des ondes électromagnétiques ayant une action sur les molécles d'eau. Or, si nous nly prenons garde, la génération de micro-ondes pour différents usages sonnera le glas de toutes formes de vie basée sur Ja molécule d'eau. Lutilisation de la gamme de fréquences de résonance de la molécule d'eau entraine dans tous les systémes vivanss lors de Ia méiose ou de la mitose, des difficultés ou des erreurs de replications des struc- tures d ADN, d'ARN qui sont les bases denote alphabet biologique et métabolique. Toure procéine a obligatoirement comme support de construction et de transport, des molécules d'eau. Or, la mo- Ikcule d'eau, soumise & un rayon- nement, absorbe l'énergie des ondes électwomagnétiques res ont une fréquence avoisinant celle des ro-ondes,& savoir 2,450 Giga her, cette absorption se traduit par une vibration de la molécule d'eau. Une conde est asociée & un champ magnétique changeant de sens pétiodiquement. Une fréquence de 1 here signifie que le champ sinverse une fois par seconde. Des micro- codes & 2,450 Giga Hertz conduisenc par polarisation de la mokécule d'eau & une inversion du champ 2.45 milliards de fois par seconde. En clair la molécule d'eau vibre 2,45 milliards de fois par seconde, Cest ce qui ordinaire permet la cuisson des aliments, Or, si nous utilisons ces types de fréquence pour com- muniquer A distance comme Cest le cas depuis janvier 2005, nous perturbons tous les mécanismes métaboli- ques du vivant. Une eau vibrant 3 une elle fréquence ou sméme ides fréquences inférieures ne peut plus assembler hharmonieusement fe programme des différentes bases fu protéines, Il sensuit de graves erreurs de réplications des structures ¢'ADN et ARN soumertant ensemble si ces de NEXUS 236 ‘atin 2005 Aun suess rédhibitoire, voire mort! 4 terme, ‘bien considérer que Peau est Féquivalenc d'un rand qui file et agence les trames de la vie, ADN. ez que Fon induise la maladie de Parkingson 3 ce den Je soumettant & des champs magnétiques Combien de chas aiguille va-t-il manguer gue trame de vie et quel en sera le resulta? pouver faire Vexpérience de mettre vote café & =e entre deux orinareurs sans fil pour vous en __ La civilisation des cellules urs, il existe un phénoméne fondamental de appelé sla civilisation des cellules décrit par les cheurs ruses Kaznatcheev et Trofimov. Il montre aire collaboration des cellules entce elles et manidte de communiquer & distance sur des modes coins d'une erés fable intensité et dans des féquen- faibles. Selon Alex Vieq, wn bon exemple de collaboration vibratoire est fantenne parfuite que tela double helice de TADN. Grace asa forme son repliement sur elle-méme, elle ext toujours iculaie aux ondes, doi. quielles proviennent. us multiplicz la longucur d'une molécule €’ADN. ron 2 méttes) par le nombre de celles d'un seul Jhumain, vous arrivez a des longueuts astronomi- organisme s tendent jusqu’a des millards de kms. ion intempestive de fréquences éleetromagnési- vient perturber grandement cette «civilisation des La dispartion massive despaces et lévolution ous les seuls de tolérance sont aujourd'hui large ent dépassés Données scientifiques accultées : ns Ulrich Hertel professeur de Boole Polytechnique Fédérale de Lausanne a effectué des expétiences sur des "cabayes humains nourris avec des aliments réchaufiés “au micro-ondes. Des changements significaifs ont été découverts dans le sang des volontaires ayant mangé des aliments cuits au four 4 micro-ondes. On a relevé une Baise notable en lymphocytes, une baisse de tous les icarents en hémoglobine notamment les valeurs et ra ‘ons en cholestéro, ainsi que des modifications du sang ‘qui semblene indiquer le stade initial d'un processus ‘pathologique el quil se présente lors du déclenchement dun éat cancéreux. Te profeseur Leif Salford, de Phopical universitaire de Lund, en Suéde, a tre la sonnette dalarme en délarant gue les adolescents qui uilisent un mobile plus de 30 minutes par jour, rsquent fort davoir une maladie @Alcheimer & 30 ans. Il en a fait la démonstration cl- nique sur des ras. > La pollution éleccromagneétique modifie Pactvitéélec- trique du cerveau et notamment le rychme alpha (8-13 Ha). Ul en résulte des troubles pour le développement intlleceuel des enfants et des adolescents qui se soldent. par une basis significative de la vigilance, de la con- centration, de la motivation et de la mémoire. On note également une diminution de l prolifération neuronale et une dérégulation hormonale aboutisant 2 un sent ‘ment danxiété et des comportements agresifs, voire violents. Ces troubles comportementaux trouvent leur origine dans la multiplication par 4 de la production hormone de stress ACTH par ’hypophyse, la perte de 80% de la production de mélatonine et la multiplica- tion par 2 de la production de calcium hypophysaire, ce {qui a pour effer de fausser le rile neuro-équilibranc du ‘magnésium. Laugmentation importante de sérétion de corticosterone, provoque des troubles du sommel et des [pereurbations importantes du sysréme nerveux. Une énude en Allemagne a démontré qu'un champ ma- gnétique de 1,2 micro Tesla inhibaicPaction anti-cancer de la mélatonine. Or, Europe préconise un seuil de toléeance sanitaire de 100 micro Tesla soit 83 fois plus due le seuil de tolérance mentionné dans l'expérience allemande. Pas de normes universelles SAR A cause dlimpératifs techniques et économiques on ne parvient pas aujourd’hui & défnir de normes universel- les SAR (Specific Absorption Rate ou Taux €’Absorp- ton Spécifique). Pourtant, force est de constater quven ‘atte de bio-électromagnétisme ce sont les chercheurs russes qui ont le plus de recul. Les normes mondiales devraient done saligner sur les recommandations des ‘meilleurs chercheurs soit 0,02 micro Tesla. Les déci- ddeurs en Europe semblent étre sourds & ces données scientifiques, I va pourtant étre vital de faire un choix centre impératifs économiques et impératifs sanitaires. Pouvons nous imaginer une seconde qu'une économie ppuisseéreflorissante avec toute une population atteinte Alzeimer et de maladies dégénératives? Sources: : fe utes Hie Vic, Dic nfo fees 2005, article rg de Morphéus N°8 78700 CONFLANS Se Honnne imieeeibe al aeste worm noepheus fe NEXUS 9°38 soem ‘rajuln 2005 was NOUVELLES DE LA SCIENCE FIRESTORM UNE BOUGIE U Ss REVOLUTIONNAIRE Aussi simple que cela puisse paraitre, une simple modi- fication du dessin des éléctrodes des bougies alum: ge permet des gains impressionnants de consommation ctde pollution. Les intérés en jeu freinent malheureu- sement I'arrivée de ce progrés dans nos moteurs ‘Au cours des neuf demnires années, tandis que je fisais de la prospection commerciale pour une grande marque japonaise de voiture, je pris conscience que le prix du pétrole allat concinuer 3 grimper partout dans le monde, Toffre ne pouvant suive la demande. Les rapports que je consulta’ hissaient présager d'un sérieux probléme pour tous Ie fabriquants de voiture du monde. Tout le monde au sein de cete industrc éait 'aecord pour estimer que la solution ne pousait venir que dune avancée technologique Pendane des années je me suis demandé quand, et doi, viendrait le nouvel Edison inspré qui inventerait une machine & rouler sobre et propre». Je Fai finalement trouvé. II habite 4 Farmingcon Hills, dans le Michigan, et il Sappelle Robert Krupa. Nous avons tous entendus le dicton :« trop beau pour = & Gros plan de a BougieFitestom {are vain. Lincroyable nouvelle bougie congue par M. Krupa ct quil a appeé «Firestorm est une exception 3 cere rig. Je sais que toutes les bouies quion trouve sur le marché se ressemblen, suf par leurs pie. Alors pourquoi fire un fromage 4 propos d'une nouvelle bougie ? Caractéristiques et performances de la bougie Firestorm Voyons dabord ce que les bougies Firestorm de Krupa apportent i un moseur 3 combustion interne * Plus de puissance; + 44.8 50 % @/auconomie supplémentaire; * Diminution spectaculaire des rejets. Voyons ensuite ce que les bougies Firestorm éliminent : * La pompe 3 fumée ; * Le pot catalytique : * Les interférences de radiofréquences (RFD et Iutilisa- Par Robert Stanley © cotobre 2004 tion de résistances dans Pélectode centile $ * Le déréglement del écarcement (des pointes “Les sytémes de recylage des gaz «échappemenc (EGR) * Les rarés dallumage, les iréglaiés, les retours de flame, les cognements, les calages. Origine de ridée En un mot, plasma. Par sa conception révolutionnaire, cetee bougie erée un plasma électrique qui remplit toute la chambre de combustion, comme une tempéte de feu INDT = firestorm). Cela raméne la consommation d'un moteur du caux airarburant de 14,7/1 a un taux incroya- blement sobre de 24/1. Avec un tel rapport, Pentitreté du mélange ait/carburant est brilé avec beaucoup plus defficacé sans augmentation de température, ce qui est économique, produit plus de puissance et moins de pol- lution. Cela, c'est la bonne nouvelle La mauvaise nouvelle, Cest que dans limmédiae il es {impossible de se procure des bougies Firestorm, aucun fa- briquant de bougies ne veut enteprendre la production. Robert Krupa connaitparfaitement les ouages de indus- twie automobile et de celle des bouges; i a travallé com- ‘me technicien, puis comme ingéniew, chez GM et Ford. Mexplique:: «Avant d’entree au collage er obtenir ma BS licence és sciences] en ingéniere, je montais des conden- sareutsdlectrolytiques sur la borne positive d'un dstribu- teur d’allumage ; cela égalsaic les impulsions électriques vers le disribuceur er les bougies. Rien quavec ce petit perfectionnement, les moteurs tournaient de fagon plus régulitre. Ce fut le debut du parcours dingénierie dans lequel je suis encore engagé aujourd hui. fal une pratique en électricité qui est surtout orientée vers [a motoriation. J'ai une oreille partculitrement sensible aux bruits mécaniques. Je puis écouter tournet tun moreur et en décelerexactement les défauts. Mon oute est 8 ce point entrainge que, lorsque je travaillais pour General Morors (GM), on mienvoyait au Mexique, en Allemagne ou & New York pour optimiser des chaines de ‘montage de moteurs. A New York, ils avaient des proble- mes avec des moceurs dans un cieuit de réparation. Aprés avoir observé ce quils fussient, avoir un peu réfléchi, puis effecrué des modifications i 22 machines, le chaine de fabrication fonctionna plus vite que ce qui avait été prev & sa conception. Le chef de production mofiic suc le champ un emploi» Krupa connatt es bougis, ia énormément travallé pour améliorer les designs dans le marché automobile. Bien gue le concept ne ft pas de hi, est & lui que Pon doit apparition sur le marché de la bougie «Spitfires il y a tune dizaine d’années. Ce r’alt qu'une variance de bougie ondinaire donc une des éectrodes érai fendue, comme Ia Tangue d'un serpent, ce qui en augmentait la surface etincelle, Cela cotta plus cher qulune autre bougie et sgénéra 60 millions de USS de vente en 1993. Te destin voulue que Robert Krupa se ia damisié avec le Nexus 1°38 ‘mabjuln 2005 Henry Smokey» Yanick, de Daytona Beach, Smokey étaie lextraordinaite inventeur et eur des stock-cars Nascar de Hall of Fame, Us connaissance & Poceasion d'un projet pour GM. Fépoque, Smokey souffrait de problémes dauition, supa monta, 2 Vintention de Smokey, un dérecteur de ts accouplé 2 un oscilloscope. Le lendemain, invita Krupa & venir tavallet avec lui. Celu-ci courtoisement, mais ils devinrenc bons amis. ce A cela, Krupa décida de montrer 3 Smokey son pe de bougie Firestorm. Tandis quil observa le “fonctionnement dela bougie sur un bane d’essi, Smokey clara: «Apris avoir été consilé pendant 30 ans pour “Champion [NDT : une marque de bougics, je oa jamais ‘ru unc bougie fonctionner comme la tienne. Ta vas exas- _pérer industrie automobile + ‘Avec parell encouragement, Krupa comprit qui cenait “un trésor. La méme aprés-midi, Krupa engageait Smokey “comme expert dans sa toute nouvelle fieme : Century De- ‘elepment International Limited. Genase de Ia Firestorm (Ce fue Vindéfectible determination de Krupa 3 mettre ‘au point une meilleure bougie qui mena 3 linnovation ‘echnique que fut le prototype de la Firestorm, en 1996, Questionné sur cet événement qui bouleversa sa vie, ‘Krupa répond : Gf gran para les participants del courses au NOS (Gystéme nitro-oxide) en Californie. Leu chéorieénongait qu'une bougie marchait ou ne marchait pas, sans nuances “Aprés unc longue recherche, 'ifinalemene découvert une caractéristique particulitre des bougiesdallumage. «Entre temps, je m éais plongé dans examen du contenu un ft de 250 litres rempli de vieiles bougies poisseuses. Je les examina toutes tréssoigneusement et découvis que plus elles étaient anciennes, plus lélectrode centrale érat corrodée sur son pourtour; elle prenaic la forme une pe- tire sphere, une demi sphére, plus eactement un petit déme. «Cet alors que me vin lidée que, si eae vers cete for- Ime que tendait lélectrode, pourquoi ne pas la lui donner au depart et voir ce qui se pass ? Je pris done une boule toute neuve, limai Pélectrode postive jusqu’s ce quelle soit ronde et fa mis sous allumage ; je découvris quelle fonctionnait un pest peu mieux. Mais ily avait encore tun probléme avec [élecuode cbté masse. Je supprimai alors complétement cele-i et a remplagai par des poles de configurations diverse, fixés avec des cure-dents pour pouvoir en changer facilement. ‘Lorsque je donnai& la mass la forme d'un demi arc cela fonctionnait encore un petit peu mieux. Je pris ensuite tune tée de vis que je battis au marteau jusqua ce qu'elle prefne la forme dun déme la reournant, je martela au putin en crea 'aute cdté pour obzeni Tenvers du déme. Aprés avoir préparé a la lime la pointe de lectrode posi- tive dune bougie neuve, jy fiai le petit dome. Pardessus Te tout, je plagai I'lectrode masse en forme Parc, fxant ‘toujours tout cela avec des bouts de cure-dents. Er lorsque jallumai cette bouge, a quantté énergie qui en sort. ait épountouflane et je me dis que cette fois javais veai- sent trouvé quelque chose! «C érait mon ineuition qui miavaic dit quil devaie y avoie tun moyen de mieux fare les choses et miavait poussé & ces esais. Ces pour cela que les fabriquants de bougies ime détesten. Us investisent des millions ec des millions de dollars dans leurs laboratoires de recherche et moi je bricole le prototype de la Firestorm en moins de deus Iheures dans ma cave.r Performances et essais Lorsque je demandai & Krupa sila Firestorm présentait autres avantages. il me dit: «Si dans un véhicule dont le moteur exige de Fessence super on installe des bougies Firestorm et quion fait les réglages que je recommande, fon pourra y mettre de Pessence oxdinaire ec il n'y aura ni déconations, ni cognements, ni ratés. La seule chose qui ‘xige un carburant a haut octane, c'est taux de compres- sion élev, Br sila charge de travail est lourde, le moteur a tendance &détonner avec des bougies ordinaites.» Cela semblaic trop beau pour ée vrai, cependant il y ait dautres bonnes nouvelles. Krupa poursuivic : «Je sais que cela peut sembler Fique, mais rout a été démonté Au début de mes essai Favais branché un analyseur d'émissions sur la voicure ct javais embarqué un équipement pouvane modifier le rapport airfeuburant et le niveau de ralenti pendant que Je moteur tournat. Cease passait en marge d'une foire de fournicures pour voitures de compétiion. Des types sap- [prochérent pour voir ce que je faisais Je fuisais rourner le ‘moteur 3250 tm! Les moteurs naiment pas rourner 3 un ralenti aussi bas: impossible de faire cela avec une bougie ordinaire, mais avec la Firestorm, oui!» sJe sai jamais oui dire que quelqu’un «autre ait pu le fire et je métais demandé comment le moteur régirait Sur un bane d’essai, la Firestorm est allumée a coté une bougie ordinare. ‘ce rts grand ralenti 5 encore un facteur d'économie de carburant» Krupa précisa encore : «Cela tournsit rout doux, bien reéguligement, sans hésitations ni ratés. Ex 3 'époque ot je fasas ces essais sur un modéle Ford Thunderbird et obtenais une économie de carburant de 44% alors aque la climatisation restit enclenchée ! Or personne ne fait fonctionner laclimatisation pendant quion effeetue des mesures de consommation, Mais je fuiais des essais rdalistes. En fait EPA (Minisére américain de (Envie ronnement] envisage de revoir ses normes de mesures du rapport aifearburant, afin de se rzpprocher de conditions téelles de conduite. Et en plus de Paugmentation de autonomie, jobtins un acctoissement de puissance de 33% avec une Chevy [Chevrolet] de gross cylindrée, sim- plement en ISquipant de bougies Fitestorm et en réglani Je moteur en conséquence. Nexus 1238 ‘atin 2005 U sje fis une autre incroyable découverte en essayant les bougies Firestorm : on pouvait pousser le nombre de tours/minute beaucoup plus haut. Normalement, & de trés hautes vitesses de rotation, a courbe de puissance se ret comber. En usilisane les bougies Firestorm, je pus dépasser la ligne rouge de 600 & 800 tm avec une courbe de puissance qui montait toujours. Bn résumé, je puis titer davantage de tours et de puis- sance du moteur, tout en salisant une économic de carbu- ‘ant, parce que méme & de trés hautes vitesses de rotation, Jk bougie Firestorm continue 3 engendrer un. plasma qui brile complécement fe carburant dans la. chambre. Une bougie classique, avec s2 maigre petite étincelle, ne Sallume jamais convenablement dans une chambre de combustion qui fonetionne & és grande vitese. Ces bou- gies-Ia ne peuvent pas euler la vieese de fx du mélange aie/carburants ‘Krupa me fit voir une remarquable vidéo de la bougie F- ‘estorm fonctionnant en temps rée sur un banc desis. Je vis que le puissant champ de plasma remplissic la cham- bre de combustion mais quil n'y avait rien dure I sem- bait que e plasma tournoyait comme une petice tomade. ‘Comme je le li faisaisremarquer, Krupa expliqua : «)' forgé le terme ionsavion résiduele pour décrte Faction de cette bougie. Dans vorte voiure équipée de bougies dass- 4ques, pour chaque série de six huieallumages ily aura un raté. Ce raté est di une ionisation résiduelle qui stagne aurour de la bougie. Quand la charge arrive par I dectrode centrale, elle rencontre une haute impédance et ne peut franchir Vécart, oi le até «Avec la bougie Firestorm il y a aussi une ionisation rsi- duelle. Cependant grice 2 la tés garnde surface du déme de Télecrode centrale et au systtme wiaxial de prise de ‘masse, lorsque qu apparait ionisation eésiduell, la charge aqui arsve par Pélectode positive cherche 2 échapper & ce barrage en partant vers une zone voisine de la masse twiariale non encombrée dionisation résiduelle. C'est pour «cla que le plasma semble rourner autour du déme comme lune petite tempéte.» Potentialités La bougie Firestorm de Krupa appartient & un monde & part. Un important fabriquane de bougis lui a consacré lune critique dithyrambique, Krupa sexplique : «Chez Bosch, ils ont soumis mes bougies et les meilleures des Jeurs un test comparatif d endurance de huie semaines et ils ont reconnu que la Firestorm nvavait subi aucune aug- :mentation d ar; is ont préic quelle ne usrat jamais Crest peut-ée bien une des raisons pour lesquelles les fabriquants ne sont pas enclins & prodi irestorm. En outre, le modéle standard de bougies serait rapidement dépassé. Cependant la raison principale de ce refus, Cest 4quil ay a pas moyen de concevoir une imitation qui per mette de contourner les brevets mondiaux qui proégent le concept de Krupa. ‘Ainsi qu'il Pexplique : «Nous avons examiné quelle serac a mailleure configuration. Nous 'avons gardée en réserve cet pendane les sept mois suivants nous avons congus des imitations et les avons toutes inchuses dans les brevets» Enfin il fue considéree lmportant facteur financier. La plupare des usines de fa cent ans. Is leur faudcat aire d’énormes investissements ‘en machines avant de pouvoir produire la Firestorm parce tion de bougies ont environ Nexus nese. ‘matjuln 2005 S; que, dans les bougies classiques, electrode centrale est consttuée de tois parties. Celle dela Fitestorm est ’une seule pice. A cause de cela, CDI Limited, la compagnie cde Krupa, a décidé de fabriquer elle-méme la bougie Fires- orm. Cest une groste entreprise que Krupa et ses associés ravaient pas envisagée au depart ; par contre elle offre tune occasion unique & des investisseurs et spécialistes du capita-risques d embarquer tés tx dans Ia Consiérez cec : chaque année, environ six millards de bougies sont fabriquées et vendues dans le monde. Les membres de léquipe de Krupa estiment que la bougie Firestorm coitera, dans un. premier temps, environ US$1,50 la pide A fabriquer. Ils estiment ausi qu'une fois auielle sera commercialisable elle captera enviton 80% du marché, méme si elles sont venducs US$10 la pitce ou plus; cela fac beaucoup argent. Dvautre part, les utilisateutsraliseronecénormes écono- mies en faisunt le plein de leurs réservirs, méme si le prix dlu carburant continue 4 grimper. Cela aura un impact positf sur l'économie mondiale et ne pourrait pas micux tomber. Bill Powers, éditeur du bulecin d’investissements Canadian Energy Viewpoint, prédic dans un rapporc récent ue le prix du brut va monter 4 US$80 le baril dans les deux prochaines années! (cf. page web http//wwwdinan- laberse come perves/ 2004/1104 bun). ‘Questionné sur les conditions requises pour re partenaire dans Tafsir de Krupa, celui) i eépondie «ll fsudraie que nous discutions des détails, voirce quils veulent et trouver un! accord gui saisfase rout le monde. Ex quelles {que soient les personnes engagées, je viens & re responsable du contre de qualité en fin de chaine de production. Patce que si on ne fabrique pas la Firestorm corsectement, cest ‘comme sion se trait un coup de fusl dans le pied avane la course.» A Vinsear d’Edison, qui refusaie tour repos tant qui n’eut pas trouvé une meilleure am- poule électrique, Robert Krupa fut inspire et inventa une meilleure bougie dallumage. Ce faisan, ila offert au moteur & combustion inteme et 2 note environnement un avenir plus lumineux. Quand on lui parle du legs que représente Focuvre de sa vie, il dit Rérement : ai fae passer la modeste bouge 4e Vige de la pierre age de Fespaces a Pigae4, Figure here Krupa est on ingénicur & gue exprimenté qui se spt dane Tes applications ques ct mécanique Ils ft uate fis le ror du monde ex appar la elévision, la radio et dans des revues Ia drt de nombre articles pour ie monde des shot-od (ites gone fs), Son eal x: Hamedtomater@yaboo com oye a page web de Breton: hapifwworcobertatey bil festa A propos de l'auteur Rober M, Stanley et evan et chercheur sé en tendance « ues. Son dernier stile pour New fut une interview de David Adal, expert en technologie de space, Son arte sr Robere Krups et tn copyright © 29 ocabre 2004, UNICUS, 1147 Mankatan Avenue #43, Manhattan Beach, CA90266, USA, Son e-mail et mtanley@soaler.com, at "aes do NOUVELLES DE LA SC SER x U React "Utopia" Lindividu Savére décidément le plus efficace & trouver et & mettre en ceuvre des solutions aux problématiques auxquelles Phumanité et la planéte sont aujourd’hui confrontées. Défiant les difficultés de cotit et de recyclage des solutions imaginées par les grands constructeurs et les institutions, comme Ia pile & hydrogtne ou les véhicu- les mixtes, les bricoleurs et chercheurs op- portunistes sur des systémes alternatifs de production d’énergie, d’économie et de dé- pollution, se bousculent sur internet dont tune des meilleures vitrines savére étre bien francaise avec le trés complet site web de Quanthomme. _(hetp://perso.wanadoo.fr/ quanthommesuite/) Nexus a choisi, avec Paccord de ses dévoués animateurs, d’en tirer quelques pages édifian- tes consactées aux moteurs thermiques avec le systéme Utopia Technologie. Cette techno- appliquée & ensemble du parc routier, agricole ou de chantiers, permettraient de résoudre l'essentiel des difficultés écologiques et économiques inhérentes & l'emploi géné- ralisé des hydrocarbures dans nos sociétés et de réduire drastiquement ’émission de gaz. & effets de serze. Avantages de I'apport d'hydrogéne par éléctrolyse Jean-Marc Moreau, ingénieur de formation, 4 mis au point un systéme d'électrolyse par oscillation. L'étape de la commercialisation est maintenant & l'ordre du jour et le prix dusystéme devrait avoisinner 1000 €, plus ‘ou moins rapidement amortissables selon le nombre de kilométres avalés Ce procédé, aisément adaptable sur toue type de véhicule diesel , mais aussi essence * ou GPLY, sans aucune modification moteur et JENCE Technologie Utopia Le dopage facile de votre moteur diesel ou essence a I’hydrogéne S 20 4 60 % de gains de consommation sans le moindre réglage , permet d’augmenter Yautonomie entre chaque plein , dans un rapport de 130 & plus de 200 % , suivant les trjets , le type de véhicule et le mode de conduite Ce qui équivaud, en d'autres termes & une di- minution de 30 4 60 % de la consommation habituelle, & calle des rejets d’hydrocarbures Imbrilés, des émissions de gaz effet de serze (CO2) ex du monoxyde de carbone LHiydrogine est produit par un réacreur 4 dissociation atomique , provoquant la frag- mentation de la molécule d'eau par résonance fiéquentielle, grice 4 un condensateur haute fréquence Air / Eau , & diélectrique optimisé (protégé par un copyright). La fréquence de celle-ci sadapre par un équi- pement électronique aux variations de tem- pérature et de carburation pour décomposer eau et fournis au moteur un mélange oxy- gine / hydrogine décuplant la combustion et les performances du moteur. La production de ce gaz érant constante, selon la vitesse et le régime moreur, les gains de consommation, garantis pour un mini mum de 20 % (annonce garantie satisfait ou remboursé par Pinventeur) atteignent 50 & 60%. La voiture dédige aux essais, agée de 12 ans ex abilisant 250 000 Km , ne consomme plus aujourd'hui que 2 litres de gasoil aux 100 Kilométres , et 30 millilitres d'eau par 100 Kilometres pour fabriquer son gaz hydrogene en roulant & une vitesse stabilisée de 95 Km & Pheure. Amusant non ? LHydrogéne base pression érant auto-pro- duit & la demande et auto-consommé en NEXUS ne38 ean ‘metuin 2005, roulant , il ne nécessite ainsi aucun stockage dangereux . Ce procédé trés sécuritaire reste de ce fait beaucoup plus siir mais surtout plus économique que l'utilisation du gaz GPL. A Tarrét, plus aucun gaz nest produit. Il suffic juste dinsérer la sortie du tuyau de gaz dans le filtre & air. Un simple interrupteur permet de ‘mettre le dispositif sur arrét pour retrouver le fonctionnement originel du moteur avec son lot de pollutions habicuelles. En moyenne, le procédé H2O Utopia Tech- nologie consomme autour de 1 litre 8 1, 5 litres pour 3000 Kilométres. L'utilisation de cette eau comme matitre premiére servant 4 la réalisation d'un gaz riche en Hydrogéne a été optimisée pour que ce gaz. soit produit et ditectement utilisé sous sa forme orshohy- drogine , c'est 4 dire le carburant des Fusées , beaucoup plus énergétique que son autre Forme pana-hydrogéne. NEXUS n°38 — ‘moun 2005 ene ed Réle du synergiseur Plasmatronic dans le processus d'optimisation de la combustion : Lorsqu’un gaz est soumis & un champ électri- ‘que intense sous trés haute tension, un phé- noméne de ionisation électrique se produit. Les électeons arrachés par les forces électros- ratiques sont alors accélérés et acquiérent une grande énergie cinétique qui leur permet, par collision avec d'autres atomes, de propager ionisation, créant ainsi un phénoméne pre ccurseur d'un état plasmatique de la matizre, amplifié dans notre application par la défrag- mentation de I'air aspiré par le moteur au travers d'une grille CORONA haute tension. Un flux d'air hybride haurement énergisant contenant un gaz hydroxygene arrive alors & admission moteue dans un état semi plasma- tique pour se fondre dans un reformage in- time avec le carburant initial en phase vapeur, dont le spin a & précédemment séorienté pour une union parfaite avec son comburant. NOUVELLES DE BREE U La consommation moyenne en courant électrique prélevée sur la batterie est approxima- tivement de 104 15 Ampéres. Cetce quantité de courant préle- ve reste faible et n’affecte pas le rendement global du véhicule. Crest dailleurs tout le contraire qui se produit aprés transfor- mation en énergies mécaniques sgrice au re-formage énergétique de la formule chimique du car- bburanc initial. Cette quancité énergie électrique est compa- rable 2 celle consommée par les phares du véhicule. Le réacteur a aussi éré développé sous une deuxiéme version industrielle, adaprée aux Groupes Blectrogines. Entitrement modulai- re, cette version permet la mise en paralléle de plusieurs unités de production de gaz_auto- produit et auto-consommé & la demande (ceci de fagon trés sécuricare),alimencées sous 220 volts directement par le groupe électrogéne. Le but recherché érant de pouvoir rendre qua- si autonome de petits groupes de 3.4.5 KVA, et de réaliser des économies de carburant pouvant atteindre 50% sur des groupes de plus forte puissance. Cette version pouvant aussi offrir de précieuses Economies par Penri- chissement en hydrogéne de air des brileurs, sur chauditres de chauffage central... Les résultats de dépollution Différents essais en terme de réduction des pollutions, ont été effectués sur de nombreux moteuss diesels convertis & Passistance hy- drogine. Ces essais en temps réel ont montré A travers les enregistrements une réduction significative des émissions polluantes, y com- pris une réduction visible de 99% des fumées (particules de carbone émises, en ppm ou parties par million), 50% en moins oxydes de azote (NOx), et une réduction de 25% de dioxyde de carbone (CO2) . Les particules hydrocarbure imbrilées , que l'on cherche aujourdhui a briiler en pure perte en sortie du moteur 3 travers un pot catalytique , sont ici brilées idéalement dans le moteur pour produire une énergie utile et faire des Kilo- métres en plus LA SCIENCE Ss Unité et processeur "Utopia" Test & noter que vouloir faire tourner un moteur de conception classique uniquement a Thydrogine reste déconseillé. Parce que Vhydrogéne pur mélangé 3 loxygine génére de la vapeur d’eau qui engendre rapidement tun phénoméne de corrosion des tubulures déchappement, si celles-ci ne sont pas en inox... Alors qu'au contraire, mixer Thydro- géne 4 un pourcentage de carburant (essence, GPL, ou diesel) optimise la combustion et entraine cette vapeur 4 V'extérieur (on ne retrouve pas d'eau dans le moteur), ce qui résout ce probléme et évite les phénoménes de corrosion. Longévité accrue Lamélioration de Ia combustion a pour résultat direct moins daccumulation de par- cules de carbone & lintérieur du. moteur. Ce moteur plus propre, brilant mieux et plus completement ses hydrocarbures, of- fic la possibilité d'un meilleur vieillissement des huiles moteur entre deux vidanges, avec comme conséquences une amélioration de fa longévité mécanique. augmentation de Vefficacité du cycle thermodynamique en- gendre en réalité, comme conséquence di recte, une température inférieure du moteut. H20 Utopia Technologie a &é étudié de ma- nitre A privilégier la sécurité moteur. Une sécurité de séparation Hydro-Gaz a écéintro- duite dans le systéme, coupant le fonction- rnement du réacteur 4 la moindre anomalie, cet des sécurités de stabilisation thermique et électro-hydrauliques intégrées garantissent la fiabilité du réacteur. "matuln 2005, Un moteur & assistance hydrogéne posstde tune souplesse de fonctionnement incompa- table, grice au phénoméne de redondance spécifique A ce procédé. Si offre en gaz hy- drogéne est interrompu pour n'importe quelle raison (Niveau d'eau trop bas), Ia régulation moreur dorigine compensera automatique Parrét de production de gaz hydrogne pour 4 nouveau retrouver un fonctionnement de 100% en carburant diesel, ceci sans la moin- dre interruption moteur. Ceci se passera de maniére identique sur un moteur 4 essence ou au GPL. Basses températures ambiantes et caractéristiques diélectriques de ‘eau Le téacteur H2O Utopia Technologie a évé ‘concu pour fonctionner & des températures pouvant descendre jusqu’a 45 degrés Celsius. Cependant son fonctionnement hivernal im- posera d'additionner l'eau d'un pourcentage alcool propylique ou méthylique durant la période froide pour éviter le gel de l'eau ct garantir le coeur du réacteur durant l'état de stationnement prolongé du véhicule en extérieur. A noter qu’érant congu sur la base du phénoméne d'électrolyse fréquentelle, par résonance harmonique, le réacteur se com- porte comme un condensateur doté darma- tures entre lesquelles un liquide nébulisé air / eau forme Félectrolyte. L'équilibre de cette harmonie fréquentielle étant intimement lige A la concentration ionique de l'électrolyte, Tevolution de cette concentration ionique est analysée en temps récl par le Micro- processeus, lequel corrige en permanence le fonctionnement du réacteur dans sa marge de fréquences, suivant la variabilité de plusieurs paramatres physico-chimiques et électro-phy- siques (comme l'élévation en température du compartiment moteur: En cas de baisse éeentuelle de la qualité ionique de l'eau, un voyane situé sur le boitier électronique indi- ‘que que le réacteur est en perce defficacité. Une recharge ionique d’entrecien, sous la for- me d'une dosette de 20 millilitres livrée avec Vappareil, doit alors étre versée dans la cuve du réacteur. Ceci permet de maintenir dans le NEXUS n°38 ‘mavuln 2005 temps une concentration ionique équilibrée 21 pour 1000 millilitres d'eau (d’oit 'inno- uité et la non agressivité de 'eau utilisé). TL est A noter que dans ce principe de réacteur fréqucnticl, le phénoméne quasi négligeable de polarisation éventuelle des armatures du ‘condensateur bénéficie lui aussi d'une analyse permanente et d'un traitement automatisé de dépolatisation assurant une stabilité exemplai- te du réacreur dans le temps. Actuellement ce produit est le seul sur le marché mondial a bendficier d'un tel algorithme sécurtaire. Liensemble de ce processus reste enfoui dans ‘un composant spécifique programmé pour cette application. Quelques pays Pont déja compris Pintéxee de ce type de procédé d'électrolyse embar- quée, et plusieurs concurrents érrangers sont aujourd'hui présents dans ce domaine de Thydrogene autoproduit en roulant : "Dy- namic Fuel” au Canada , applique depuis plus de 2 ans ce procédé d'assistance hydrogéne sur Poids Lourds pour Amérique du Nord 1 avec des gains moyens annuels de 15 9 & plus de 20% sur de us gros moteurs, et ® Auto Gas India” déjaspécialisée dans les Kits GPL, Fapplique avec suecés sur les voitures et camionneties en INDE, avec des gains en consommation de ordre de 25 4 60 %. Les résultats de Vassistance hydrogene, en terme économie de mos ressources énergétiques ainsi qu’en terme de lutte anti-pollution, sont certains. Le ministtre de environnement frangais sa, quant & lui, pas encore réagi & la présen- tation que lui en a faic Jean-Marc Moreau. Les coupures de lignes téigphoniques et le pi ratage de ordinateur d'Utopia Technologie, sont par contre pas épargné son équipe. Pure coincidence probablement... Sources : = LRME BIO-CYBER / Jean-Marc Moreau ~ Le Bourg - 49160 ST PHILBERT DU PEUPLE, Tel 102 41 51 81 03 - Site web : hetp://pageperso.aol. fi/morojm/utopiatechnology.d - page sur le site Quanthomme : http://perso.wana- doo.fr/quanthommesuite/moreaumothydrog.htm pa HISTOIRE ET GEOPOLITIQUE U LES PRINCES DU PILLAGE S Par David G. Guyatt © 2008 ‘lo Nexus Offee 56 Queone Road East Grinstead, W. Sussex RH19 1 BG Royaume Uni ‘Sta Web htiputinew.deepblackias.co.k Les puissantes familles et entreprises commerciales Uorigine européenne, britan- nique et américaine concernées faisait des affaires avec VAllemagne Hitlérienne de Vavant guerre, se bousculérent également pour tirer profit de la chute de Berlin ct pour eimpécher le butin Nazi de romber entre les mains des gouvernements Alliés. Une troublante continuité des réseaux du pouvoir qui perdure depuis le mouvement de la synarchie 4 travers les loges fondamentalistes et implique les t*res couronnées européennes. Skulls and Bones Si le Président George W. Bush arrive & ses fins, le sys- téme démocratique américsin continuera & se propager dans le monde. Cependant, certains soutiennent que la forme américaine de la «démocratie nen est quvun pale reflet et rappelle plurét unc dictature fascste dont les revirements servent les intéréts d'une riche dite et du monde des affaires.” Cette forme de gouvernement prend comme modéle le mouvement synarchiste européen, fond cn 1870 par Joseph Alexandre Saint-Ywes d Alveydre qui considéraic les. chevaliers Templirs comme les ultimes synarchistes de leur époque er utilissie donc leurs idéaux pour for- mule les sens Ce mouvement commenga a éere connu au début des années 20, aprés la fin de la Premire Guerre Mondiale ct a signature du Traité de Versailles La synarchie pré- naicessentellementla gérance du gouvernement par une «société secréte-»élce de personnes avisées qui prennent les décisions en coulisses+ °. Ainsi que le décrivent les auteurs Lynn Picknete er Clive Prince, « ...Pew importe le parti politique au pouvoir, ou méme le systéme poli- tique adopeé par Vat. Le synarchistesinterviendraient et contdleraient la lé des Institutions de TEtat.+ ‘Aux Etats-Unis, une telle société secréte digne d’@tre mentionnée est ordre de Skull and Bones (Crine et Os = figueé par le edrapeaux de pirates} de l'Université de Yale, Y étte admis implique de passer un rituel éaboré ‘accompagné d'un changement de nom. N’est plus con- sidéré comme un débutant, celui que Yon reconnatt par son nom de famille er qui assume Fidentité dun «chevalier». Parmi les «bo- nesmens, on distingue George W. Bush, son_pére Georges Bush Senior t le sénateur John Kerry. Prescott Bush, le pire de Geor- ge Bush Senior, Gait aussi un wboncsman», ainsi que Herbert Walker (aHerbier), son once préféré. En fait, presque toutes les familles de la céte Est sont eM gavant guerre membres de la Skul! and Bones. ‘avant guerre NEXUS 9238 Dans sa révolutionnaire sags « The Secret Cale of the Or- der (Le culte secret de POrdte], le professcur Anthony . Sutton mentionne que POrdre américain est i & la Grande Bretagne par le Roder-Milner Oxford Group, mais a des originesallemandes. Il est également affilié aux familles Guggenheim, Schiff et Warburg, malgré tune nette tendance anti-sémitique affichée jusqu'aux temps scents Les recherches de Sutton relient Tordre A ela fondation eau développement du Nazism? et considere Fordre des Illuminaci comme les fondateurs de la société originelle allemande. La dynastic politique des Bush, ec probablement leur richesse, proviennent des relations Nazi fongées par Prescott Bush qui travailla pour le magnat Nazi Fri Thyssen ‘Herbie, Foncle de Bush, fur également employé par ce dernier. Un Episode encore plus sombre est relaté par un agenc des renscignements hol- landais qui mentionne que Prescore Bush a par ailleurs drigé une partie des travaux forcés & Pusine de produits chimiques de important cartel IG Farben ienplamé dans Vinfime camp de la more Nazid’ Auschwitz. Allen Dulles tavailla aussi pour Prescost Bush. Il deviendra plus tard le directeur de la CIA aprés une ts douteuse carréte& la téce du bureau suisse du service de rensei- gnement américain, OSS (Office of Sintegic Service) pendancla Deuxitme Guerre Mondiale. Avanc la guerre, Dulles aie le conseiller juridique d 1G Farben aux Etats Unis, Frce Thyssen compraic aussi parm ses clients. Ces connexions étaient pour le moins trés families. Mais certains les considérene plus déloyales que cela. La période lé du développement du mouvement sy- narchiste suit de pros la Revolution Russe et aboutit & Pémergence du PEM ( Pan European Movement ) en 1922. Le PEM fur alors embrassé par les acteurs de la puissante économie Allemande, comme le banguicr Max Warburg qui le finance. Ce dernier érait l'un des dirigeants dG Farben, cartel qui favorisa Vaccession d Hider au pouvoir. Or, curieusement, il artacha aussi aaider Lénine & regagner la Russie en 1917, procurant ainsi son soutien & la Révolution Bolchévique tant hon- tie plus tard par Hider’. Doiton simplement envisager cela comme le cas de la main droite ignorant ce que fait ‘mahjuin 2005 Embléme dv "Skull & Bones! 4 gauche ou plutde comme un exemple de dialectique JBégelienne de stimulation du conflie destiné & modeler forme et direction futures de histoire humaine ? ‘Quoi quil en soit, & Vinstar de Max Warburg et de son soutien 4 la PEM, un autre banquier allemand, Hjalmar Schache, simpliqua ‘en prenant la parole lors du ‘premier meeting de masse du PEM 4 berlin. Il continuera decuvrer comme Ministre de TEconomie Hitler et Prési- dent de la Reichsbank. Si quel- uun croit aux coincidences, cn voici une: Max Warburg, ainsi quHidles, ont signé le document qui metic Hial- ‘mar Schacht la présidence de Ia Reichsbank. Vous réalisez? Paul Warburg, le feére de Max, aac 'un des ditigeants d'1G Farben aux USA ainsi que Ie premier directeur de la Federal Reserve Bank de New York.” Connu sous le simple sigle «AO», (dapris les lertes sgeoques anglicisées Alpha et Omega ) Ausland Organi- sarin consttuait le service de renseignemene & Fétranger ddu parti Nazi. Il, eouvrane les activités espionage, de propagande et de développement économique servant la promotion des idéaux Nazis. ‘Les membres de TAO opéraientessentiellement par lin- termédiaire des societs possédées ou dirigées par des Al- Iemands. De nombreux membres étaient des employés 1G Farben, en Allemagne ou a Vétranger. En fait, Farben ne ditigeait pas seulement AO, mais le finangait aussi. Lun des hommes influents de Ferber impli- qué dans toutes les activités de TAO était Max llgner, neveu d’Hermann Sch- ‘itz, un des directeurs de Farben, dont Vam- ‘Sidge de ta loge "Skull & Bones" "Yale La Synarcbie ext un counans de pensée qui de TAO, Forganisation se touvait sous le contrble permanent de Walter Schellenberg, directeur de la SD, service de contre-espionnage de la Gestapo. Il décrit la Farben comme sun Frat dans Bats aux enquéceurs de Vaprés-guerre. Toutefois, le chef tout puissant de 'AO zat en fait Rudolf Hess, bras droit du Fabre. Les industriels et les banquiers qui ont financé T'acces- sion d'Hitler au pouvoir ont versé leurs contributions sur le compte de Hjalmar Schacht a la banque privée Delbrck Schichler bank & Berlin. Ces fonds étaient gétés par Rudolf Hess. La bangue Delbrick Schickler est une filiale de la AG Metallges!- lichaft (wMerals), de loin la plus importante société productrice acier non-ferreux d’Allemagne et propriété commune «JG Farben et de la British Métal Corporation”. Oliver Lytton étac Fun des deux directeurs brtanni- ques de «Metals, De 1939 a 1940, il état contrdleur & ‘Non-Ferrous Metal, puis devint Ministre britannique de la Production de 1942 4 1945, et membre du cabinet de guerre de Churchill. Par une heureuse coincidence, sa_mére était une membre du Rhoder-Miduer Oxford Groups tandis que le cinquiéme fils du Baron Lyttelton fur le Seerétaite particulier de Lord Selborne durant les années quil passa en Afique du Sud. Lord Selborne a assuré la reléve de la diteetion du «Group» aprés la mort Alfted Milner en 1925. Ainsi que je Fai fait remarqué ailleurs, il éait aussi la téte du SOE ( Special Opera- tions Executive) de la Grande Bretagne durant la guerre, pendant de TOSS américain. trouve sex racines dans la mystique versaillase de Joseph- Alexandre Saint-Yoes d’Alveydre (1842-1909), tse developpa pendant Ventre-dew- gueres dans les mile des grandes écoesinfluencés par Feotériome marinste. Ses partnans reoaiene dexerce le pouvoir au nom de leurs compétences techniques et sons Uausorté politique membre en uniforme | um acollge de grands nite gui, ignorant lalate des clases, tanscendenct le clinage droite dela Gestapo, connecta | gauche. Ib multiplicren les groupes de rélsion dont le plus significatf fu, en 1931, X-Crise Tunité de renscignement A ive de Jean Coutrot, des polyrechniciens y pensérent une économie planifiée pour de Farben connu sous | répondre & la crise de 1929. Sous Philippe Pétain, les partisans de la Symarchie jusifrens le sighe de eNW7» avec | de de unécesaire continuité de UEtam pour poursuivre leur carite x priserver les inséréw de TAO puis recruta une | paistants rt, don la banque Worms. Sadaptane ase pouvoir peronnel de lex-maréchal, ils armada de 5000 person- | abandonnérent conte riference a un aollege de Sages» et autres fantasmes martinistes pon se res opérant 4 travers Ia | cunionner dan le diferse de lear corporaion. A. Vichy, ls factions rioales de VEsar fencas fiiale américaine de Fer- | saccusrent mutuellement de complot synarchique. Le 1? novembre 1941, Fex-maréchal fen. Un autre membre | initua ame aFondation frangaie pour Vétude dex problemes Iman», dont le prix Nobel de la NW7 de Farben de médecine, Alexis Carrel, fut le régent. Cette institution synarchique fut animée notamment ait Gunther Frank-Fa- | par Alfed Saaay president de «Alliance Population et Avenir, et par Gustave Thibon. Elle hile, né & Bradford An- | mbidonnait diventer une eanthropotechmien A la Libration, ce courantde pense, Sépurant gleterre. Méme si Ernst cde toute référence a UEtat francais, sinvestit dans la création de LENA et du Commissariat au Milhetan Bohle € | plan. Gaur: hip rseaolsirenelartce1676 benlinarrechercensyarchit) bition était de «former tun Etat mondial fascste sans guertes"", Tignes, ‘marth 2005 oma HISTOIRE ET GEOPOLITIQUE — U Peut-on alors en déduire que le «Group» était la branche britannique de la loge américaine Skull and Bones? Dune manitre ou d'une autre, Stull and Bones consti- ‘ait oa filiale d'une sociéeé secrete allemande», Selon le professeur Anthony Sutton, le «Groupe conns origine chez les Iluminati (ou Tlhuminés de Bavitre)!® Réunion a la «Maison Rouge» I est Evident que les pouvoirs financiers et industeiels qui ont financé en coulisses aussi bien accession A'Hitler au pouvoir que son développement militaire par la suite prendraient les précautions nécessaires pour protéger leu investssements une fos survenue la chuce @ Hitler et de Allemagne nazic. La lumitre se fit avec la defaite dévastatrce du 6 groupe d'armée du Ma- réchal von Paulus 3 Stalingrad en Janvier 1943. Tous les doutes pessstants jus- que li senvolérenc des Je debarquement du 6 juin 1944 en Norman- die, Face a Fincapacicé allemande & repousser les forces Alliges vers la ‘mer, il devine clair pour tout le monde que les jours d'Hitler éaienc comptés apres le D-Day, une réunion secréte se tint dans un élé- ‘gant hétel de Strasbourg, avec pour ordre du jour la é- cutité et la protection des richesses de Allemagne Nazi ainsi que de ses loyaux banquiers et industrils. Le matin du 10 Aotic 1944, le Dr Obergruppenfilhrer Scheid, un licurenant général de la Waffen SS et directeur de Vindustrie Hermansdorf et Schenburg, ativa i Hotel de fa «Maison Rouges situé dans la Rue des France- Bourgeois. Le Dr Scheid était dépéché par Reichsleiter Martin Bormann, le 2* homme le plus puissant d’Alle- magne aprés Hitler, pour présider la réunion. Laseension de Bormann au pouvoir succéde au vol fatal de Rudolf Hess qui avait sauté en parachute en 1941 our atterrit en Bcosse afin de rencontrer en secret le Duc d’Hamilton. Aprés la perte de son précieux colla- borateur et la ruine de ses plans d’aliance seerée avec la Grande-Bretagne pour combate la Russie, Hitler posa tous les pouvoirs et responsabilités de Hess, exception de son cabinet quill supprima, su le lrges épaules de Bormann qui prt également le contrdle de 'AO. ‘Avant d'envoyer le Dr Scheid & Strasbourg, Bormann lui confia que: sles décsions prises & Tissue de cette réunion détermineront les perspectives d'aprés-guerre de T'Allemagne> et ajoute que le plan est dassurer Véventuelle «resurgence économique de ’Allemagnes " ‘Autor du Dr Scheid, les représentants des compagnies Krupp, Messerchmitt, Rheinmetal, Busing, Volkswa- genwerk ainsi que des ingénieutsreprésentant différentes, tusines & Posen en Pologne comme Brown Boveri partici- Bormann et Hess Deux mois Nexus 1938 Ss paint & la union. Une part importante de Vindustie lctrique allemande appartenait deux compagnies américaines : General Eleceric et international Telephone and Telegraph. Aujourd'hui, Brown Boveri devenue Asea Brown Boveri) esc une multinationale géante employant 200.000 personnes dans le monde et qui entretient des liens éroits avec es USA. Avant sa nomination au poste de Secrétaire Général ila Défense par George W. Bush, Donald Rumsfeld faisait dailleurs partie de son conseil administration. Selon les instructions de Bormann, les industriels devaient érablir de nouveaux contacts et de nouvelles alliances avec des firmes étrangéres pour renforcer ceux. dja en place, sans pour autant susciter Tattention. Le programme de fuite du capital de PEtat et des actifs des sociétés pour Sassurer des refuges dans le monde entier qui ordonna ext out aussi important. C'est ainsi que Topération Eagles Flighr débuta. D’une fagon extique, Bormann pensait quil aurait besoin de 9 mois pour ‘ener ce programme 3 terme”. Cela signifie que les forces allemandes devaienc résiscer& Yavancée des forces Alliges pendant rout Vhiver de 1944 et jusquau début de la mi-Mai 1945. Par un curieux cour du destin, la guerre en Europe prend fin le 8 Mai 1945, 3 seulement 2 jours des estimations de Bormann, Opération Market Garden (Or, moins de 2 semaines eprés la réunion dela «Maison Rouges, le Maréchal Britannique Bernard L. Montg ery congue une audacieuse stratégie qui, st elle avaic aboutie, aurait complitement ruiné le plan sur neuf mois de Bormann, Le 23 Aotic 1944, quand le Géné- ral Dwight D. Eisenhower, commandant supréme des forces Allées, se rend au QG de Montgomery pour un déjeuner et une discussion privée, ce dernicr argumenta que les forces allemandes étant en pleine confusion et ‘qu'une entrée décisive dans la Rubr entrainerait la fin cde la guerre avant le Nodl de 1944. A son insistance, le directeur de cabinet d'Eisenhower, le général Walter Be- dell Smith, fur exclu de cette éunion, 3 cause deville rancceurs, Eisenhower quitta le QG de Montgomery sceptique et hesitant ‘Apis la fermenure du Falaise gap, Montgomery était dé- Cermin€ & ne pas laisser Eisenhower perdre une occasion dde mettre fin a la guerre en 1944. Le 4 Septembre, il Tui envoie un message codé disant: «personnel, unique- ment pour le général Bisenhower» déaillane une auda- ieuse sratéyie pour semparer des ponts stravégiques cen Hollandes et pénécreren Allemagne par la Ruhe. La Ruhr est le cocur de l'industrie allemande ec par coinci- dence, la ville natal de la plupare des industriels ayant assisté la réunion décidane des modalivs de la fue des ‘apitaux du II" Riech présidée par le Dr Scheid moins fun an auparavant. La stratégie, connue sous le nom dsOpération Comets cst rejetée par Eisenhower. Face 3 la protestation éner- sique de Montgomery, une autre stravégie dérivée de a ‘matuin 2008 Li promitre, baptisée «Operation Market Garden» et nécessirant plus de moyens militares, ex entérinde par Eisenhower le 10 Septembre 1944. Le dernier pont pris par les troupes aéroportées britanniques et gardé jusqu’a Paivée des eroupes blinds est celui d’Armhem . Par coincidence aussi, le 4 Septembre, le Maréchal Model ermine le lieutenant général Bitich, ancien ‘combattant au II SS Panzer et afficusement blessé, bi ‘youaquer dans le secteur d’Armhem pour se reposer et reprendre des forces. Bitch déclare plus tard que: « n'y a aucune raison particulitre pour son choix des alentours d’Araher, hormis le faie que Cest un endroit paisible oi il ne passe jamais rien» 2 Rétrospectivement, en connaissance du besoin vital de Bormann de 9 mois pout la réalisation de son plan, on ppeuc se demander si d'autres facteurs plus secrets ont influencé la décision de Model. La manipulation en faite partie? Bernhart de Hollande Le chainon manquant Rappelons que le Prince Bernhard de Hollande avai été fnommé Commandant en chef des forces hollandaises par [a reine Wilhelmina. Les semaines suivant le D- ‘Day, le prince Beenhard est resté en contact permanent avec ses ministres et ensemble des ambassadeurs US William Bulle, Anthony Biddle et le Général Bedell Smith. Les relations étroites avec ces hommes sYavaient rien de foreuit, car ainsi que allons le découvsts rien nlavaic &€ Iissé au hasard par la oPraternités de Bormann. “Thomas Bradish Biddle compte parmi les tous premiers membres de ordre du Stull and Bones, Vayant intégré en 1839, seulement 6 ans apres sa création en 1833. Son descendant direct, Anthony Biddle, dont le nom complet est Anthony Joseph Drexel Biddle Jr, ntait pps Iui-méme membre de Forde. Néanmoins, il es loin etre innocent de toute implication. Pendant les premiers mois de la Deuxitme Guerre “Mondiale, Biddle occupaic la fonction d'adjoint de !am- tbassadeur des USA a Paris, France. C'est & ce moment aqui devient un ami proche des Duc et Duchesse de ‘Windsor, pro-Navis. Ces derniers passen¢ un temps con- sidérable séjoumer dans la demeue du Baron Eugtne de Rothschild, Cepencant, le meilleur ami de Biddle & Paris reste Fambassadeur William Bulle, qui est aussi tun Pro-Hiderien, Crest lui qui arrangea la rencontre cntre le millionnaire américain Charles Bedeaux et les Windsor. Bedeaux est un bon ami d’Hermann Schmitz 1G Far- ben, Hest nommé la téte des opérations commerciales de la socieé, Son investssement dans une relation avec les Windsor n'est pas accidentel car le chef S$ Heinrich Himmler le charge de les convaincre daider en secret es projets de négociation d'une paix avee FAngletere. Lots d’une séunion secréte 4 'Hotel Meurice & Paris, ‘entre Bedeaux, Rudolf Hess, Martin Bormann et Errol Flynn, Lacteur hollywoodien, le Duc de Windsor pro- met daider Hess & encrer en contact avec le Duc &Ha- milton, Cela « conduit & Pastertissage fatal d'Hess sur le domaine ’Hamilton en 1941» Le prince Bernhard de Hollande a également un incon- testable passé pro-Nazi. Né de nationalité allemande sous le nom de Prince Bernhard zur Lippe-Biestereld, il intdge le parci Nazi dans les débuts des années 1930 ‘ex zevée Puniforme SS. En 1935, i est avantageusement ‘employé au département du service de renseignement 1G Farben, I semble que son idylle avec la princesse Joliana, fille de la eine hollandaise Wilhelmina, ait é aurangée par Geebard Frive, un directeur de Farben et parent de Max Ilgner, chef de la NW7. © Lots de leur cérémonic de mariage en 1937, les amis proches du prince chantenc Thymne des Nazis de Horst Wessel. eu de temps aprés, le noble prince se rend a Berlin pour un entretien privé avee Hitler. Ce dernier déclare publiquement que ee mariage scele alliance entre les 2 pays, iée que la reine Wilhelmina refute. Encore plus révélatcur est efit que qu’ som arrivée en Angleterre aprés le début de la guerre lorsquiloffte ses services auprés de Funité de renseignement britannique, son olfte est refusée par les membres de !Amirauté qui ne lui fone pas confiance, ainsi que par le Général Ei- senhower, Commandant supréme des forces Alliées. qui lui refuse Paccs aux renseignements américains. Malgré tout, geice 3 Fintervention du roi George V1, le prince est finalemene aucorsé& ravaille au conseil organis- tion de la guerre. Oups Mais changeons de sujet. Pour comprendre la relation tris spéciale entre le prince Bernhard ct le Général ‘Walter Bedell Smith, qui a bien stir un acces complet au service de renscignement du Général d'Fisenhower, rious devons avancer de plusieurs années. Aprés la Deuxitme Guerre Mondiale, le prince Bembard est soupgonné avoir versé dans le commerce d'ceuvres dare volées durant la guerre. Gerben Sonderman, que le prince qualifie de smeilleur ami que j'ai jamais ews (a- tl oublié Adolf? } est son pilote privé pour le transport des ceuvres en question , daprés Ton Biesemaat, qui a écrit sur le cercle de l'art dans son écude « The Corrgeio 26 En 1941, Sonderman, un pilote hollandais sur fatter, entre en contact avec des Allemands impliqués dans le pillage de chefs d'oeuvres flamants. Alois Miedl, un sbanquies, espion et marchand dart» qui porte Punifor- me SS 2 est son proche contact. Aprés lz guerre, Miedl travalle pour !ODESSA, le réseau d'évasion SS qui met des criminels de guerre Navis en sécurité en Amérique du Sud, particulizremene en Argentine ot Yon pense que Bormann ses réfugié. C'est aussi la destination du prince Bernhard apres la guerre ec il est comme habi- tude aecompagné par Gerben Sonderman, son «meilleur Le prince Alfied zur Lippe-Weissenfeld, un Noble hon- grois et parent du prince Bernhard, est aussi impliqué clans ce erafic d'art. Par un autre de ces heuseus hasatds, NEXUS nese ‘malin 2005 _ HISTOIRE ET GEOPOLITIQUE coe ene U Ia fille du prince Alfred ext la femme du Baron Hans Heintich Thyssen-Bomemisea de Kaszon, neveu de Fritz Thyssen et hériter dela fortune familiale, Ainsi que nous avons vu auparavant, Walter Bedell Smith entretenait des relations étroites avec lk ‘moment 0 Montgomery élaborai sa srat pour prendre les ponts hollandais et ainsi pénétrer 3 Berlin par la Ruhr. Comment peut-on qualifier cette relation si fon considére le fait quaprés la guerre, Be- dell Smith et le prince Bernhard fuisaient des affaires ensemble sinon comme servant des intérés ed'import- expor parce quelle comprenait une société de com- merce eure d'art appelée Bernhard Lid qui utilise des avions militaires pour aller de Soterberg ~& une cource distance du palais de Soesdjik, palais du prince = aux USA. Cependant, en Aode 1945, Bedell Smith préta son jet privé a Reinhard Gelen, le maitre de Tespionnage Nazi et ses 5 subordonnés pour aller & Washington DC pour des négociations seerétes. Ce déplacement éait en contradiction avec la politique américaine et, selon ‘écrivain Chatles Higham, a abouti& des poursuites en ‘Cour Martiale contre Bedell Smith. Les rapporss entre la famille du prince Bemhard et les Thyssen peuvent d'une certaine manigre expliquer pourquoi le prince , ainsi que les services de renseigne- ‘ments hollandais parcouraient la Russie en 1945, afin de récupérer des epapiers compromettantss cachés et ap- partenanc& Fria Thyssen portant la mention «propriété secréte de Thyssen». Cette petite faveur fut accordée sous le prétexte fallacicux que le prince soccupait de récupérer le bijoux de la Couronne hollandaise dérobés par les Nazis, Les papiers sont ramenés en Hollande et déposts la banque Voor Handel 4 Scheepvaart, Roxter- dam, appartenant en sous-main 3 Thyssen, Connie sous le nom d'»Operation Juliana, cette astucicuse combine est un coup porté aux efforts des enquéteurs des forces Alliges chechant & retrouver le pices manquances de la fortune de Thyssen. ® Allen Dulles, qui éait Pavocat américain.de la Rotterdam Bank. Aprés la guerte, il quitte le bureau de OSS & Bern pour devenie le chef du service de renscignement US en Allemagne. Le Cercle de la Rose La famille Lippe semble avoir entretenu de nombreux liens avec des organisations dotées de services de renseignement. Prenons comme exemple’ [Ordre de La Rese de Lippe, un ordre chevaleresque rclié 3 la Maison Allemande de Lippe. La Noble Compagnie de la Rose ‘st une ramification de cet ordre. Elle fut fondée paz ‘messicurs Ernst August Prinze zur Lippe, le premier cousin du prince Bernhard, et Rodney Harewell. Aujourd’hui, Tacc’s au Noble Ordre de La Rove est exclusivemene attribué & Vinvitation des membres d'un curieux institu de recherche, PAugusten Society, créé en 1957 sur des critres basés sur la généalogie, la royausé, la nobless, la chevalerc, la science héraldique. et dont le Nexus nese = QG est un chateau sicué danse déserc de Mojave prés de Dagett, en Califor Le plus curieux ici, Cest que plusieurs des premiers membres de lAugusran Society &t certains de ses fone dateurs dont Crolian Eden, Robert Formhals, Robert Gayre, John Driscoll, George Balling et Forest Baber nt autrefois, pendant la guerre, avec les cervi- ces de enseignement, principalement !'OSS, Tous sont en outre des anciens Shickshinny Knigha, un so-disant faux» ordre qui prétend descendre du Grind Prior Russe de VOndre de Saint Jean de Jerusalem. Les Shickshin- ny Knigha se vancent de comprer parmi eux de ves militares pro-Nacis poids lourds anglais ec américans ainsi que des officers de services de renscignement™ (On prétend que la premitre activité de /Auguiten Socery est la collece de renseignements. Plusicurs de ses mem- bres ont travallé ensemble pendant 3 ou 4 ans avant dy adhérer officiellement & ee qui devine une entité légal aux environs de 1954. D’autes affirment que ce slest qu'un service de renseignement de facade pour le SMOM ( The Sovereign Military Onder of Malta) VOrdte officiel des Chevaliers de Malte du Vatican . UAugustan Society érit 3 Vorigine basé & Torrance, en Californie, ot Tadage populaire aux USA : asi vous entendez un éernuement & Torrance, on répondra ‘que Dicu vous béniss’ sur la Via Condottis. La Via Condotti & Rome aceucille le Palais de Malte, QG du SMOM. Son lien avec cette histoire s'est pas sans intérét. Les membres de ‘et ordre comptent parmi eux des Nazis notables tels le Dr Herman Abs, directcur 7G Farben et de la Deussche Bank, également conn pat son sobriquet de «payeur des salaies d'Hitler. Robert Gayre, un des fondateuss de PAugustan Society et décoré de la prestigicuse Grande Croix du «Merito Melitense> du SMOM, tout comme Reinhard Gelhen, le maitre de Vespionnage Nazi, qui la regu en 1948, et James Jésus Angleton, auquel nous reviendrons plus tard. Aucun des fréres Dulles n'est ho- noré par cere récompense, tout simplement parce quis. sont protestants et non catholiques. Par un fait curicux, en 1946, Adolf Martin, le fils de “Martin Bormann choisit @entrer dans les ordres et suit tun cours préliminaire au Monastére Federaun, prés de Villach en Autriche, Ce monastée est sous la tutelle de Pévéque Hudall, membre influent du Vatican et respon- sable de la mise en place des voies ferées souterraines Aérasion Nazies plus connues comme les #? Furieux le colonel Tucker com- smandant le 504% régiment US qui assurat la prise du pont protesta avec vehémence quil ne flat pas perdre de temps avant l'asrivée des renfortsallemands et que les britanniques devaientsaisir cece chance de venir en aide au colonel Frost & Arohem. Indiférent 3 ces arguments, Vofficier anglais répéta: «Bon, mais nous ne pouvons pas bouger nos tanks la nuit» en ajoutant: enous les bougerons au matin» * Le matin suivant, de fagon prévisibl, le secteur est reprs par les troupes blindées allemandes venues en renfort. ‘Oubli inhabituel, Cornelius Ryan ne mentionne pas le rnom du chef de division britannique dans son livre. On note aussi quelques incxacticudes dans fenchainement des événements. : Une récente série de documentaire sur BBC inticulé sBattlefelds» présentée par un historien, le professeur Richard Holmes produisit une émission & «La Baallle Arnhem». Le réalisateur a fat une interview de Mof- fae Burss, commandant de la compagnie ol» du 504, présent lorsque le Général anglais Horrocks a demande au Colonel Tucker, le commandant de Ia 504 de prendre d'assaut le pont en traversant la viviére Waal. ‘mau 2005 mR mx U Selon Buriss, le Général Horrocks déclara: «Crest une tiche impressionnanez, Est ce que vos soldats peuvent Paccomplit + A quoi le colonel Tucker répondit : «Eh bien Général, si nous prenons le pont d’assaut, vos tanks serontils préts & intervenir ’» Horrocks assura : «Mes tanks serone diablement préts pour Arnhem et rien ne les arséveraw * Une fois le pont pris, le capitaine Buriss accucillt es premiers tanks et quelle ne fut sa surprise de les voir arréer Il en demanda la raison au sergent qui com- smandait les 3 premiers tanks bientOt rejoint par un 4% sous le commandement du chef de division, Celui-i rérorqua qu'un poste anti-tank avait dans sa ligne de rire et que: «i javance par Ii, cette arme détruira mon, tanks, Buriss lui proposa: «Bien, nous irons neutralise cette arme avec vous», Mais le sergent refusa son offte ct lui dic: Non, impossible, je ai aucun ordre & ce sujet Cette situation est en totale contradiction avec les propos du général Horrocks ainsi qu sa promesse au colonel Tucker. Dans son journal de bord officicl, le chef de division a seulement consigné que la position du pont de Nij- ‘megen avait éxé econsolidéer. Ce dernier apparate aussi dans le documentaire. 1 y déclare:« Il aurat 6& plutée difcile d'vancers. Mais Buriss nest pas du méme avis et avoue quil «était senti this, Ses hommes ont payé la prise du pont au prix fore avec les mitrailleuses, es canons de 20mm ex autres nombreuses autres armes qui les arrosaient. Par ‘contre, les britanniques «se sont artétés sous la menace d'une seule arme alors quils avaient une division entire ‘de tanks» leur disposition. D'un poine de vue pratique, ‘aucun poste armé ne séparaitles gardes-grenadiers d/Ar- nhem, 12kilométres. A Pextrémité nord du pont &/Ar- nnhem, les parachuristes britanniques tenaient encore bon, Avec le colonel Frost blessé, son commandant en second, le major Tony Hibbert de la 1% Brigade de pa- rachute: ménait le combat. II pouvait entende les tanks du chef de division de loin. Mais ils ne sone jamais venus jusqu’a lui. Interviewe pour le documentaire, Hibbert exprime cyniquement, un brin amer que Popération «Market Garden» «aurait pu et aurait div marchers, et ajoure avee un air désabusé que les tanks du chef de division étaient pourtant sjuste de Fautre o6té du pont lorsque nous avons écé surpassés» Les amitiés nazies de la cour Royale ingleterre En vertu du fait que le monarque britannique sur le twdne est généralement nommé Colonel en chef du. xégiment, on peut en conclure un patronage royal du. corps des gardes-grenadiers. Seul Pun des cing régiments britanniques a Phonneur de porter les couleurs du roi, le ddrapeau royal, devant ui Foceasion de son anniversaire officiel. Cette tradition remonte & leur mission de pro- tection rapprochée de la famille royale, des palais royaux et de leur statut de «troupe domestiquer 42 wee HISTOIRE ET GEOPOLITIQUE Ss Les gardes-grenadiers forment aussi Pun des régiments ayant Phonneur de protéger la personne du roi. Ensem- ble, is font sermene d'allégeance & celui qui ext considéré ‘comme le Chef des Forces Armées du Royaume-Uni, Le fait que ce serment soit adressé au roi et non au Par- Jement a une signification particulitre. Curieusement, la 1 sortie en public de Pactuelle monarque, a ri Elizabeth I, eutliew en 1942 & Poceasion de l'inspection du corps des gardes-grenadiers, en tant que princesse Elisabeth lors de son 16** anniversaire. Le chef de division des gardes-grenadicrs auquel Hibbert fait reference se nomme Peter Alexander Rupert Smith. est un membre dela ers puissante et influence famille Smith, une des dynasties de banquiers peu connue du public et qui remonte & 350 ans, C'est dans les années 1650 que Thomas Smith crée la banque Samuel Smithe> (Coa Nottingham. C'est la 1* banque anglaise dont le sidge se trouve hors de Londres. Les générations succes- sives de Smith sassurent de la bonne marche des affaires ten 1902, 10 succussles sont en activité Non seulement un ditigeant de la famille Smith pris Lord Rothschild en amitié, mais les deux dynasties fu- rent plus tard liées par un mariage. Une autre alliance dynastique fut aussi scellée avec la célebre Famille de banquiers, les Baring, influence dela famille Smith prt de plus en plus d'am- pleut. Frances Dora Smith épousa Sir Claude Lyon: Bowes. Ce sont les grand-parents maternels de lady Elisabech Bowes-Lyon, qui se maria avec le prince Albert Berti»), Duc d'York en 1923. En 1936, le prince Albere deviene le Roi George VI et Elisabeth deviene la Reine Elisabeth, la Reine Consort, connue plus tard ‘comme la Reine Mere. Ces demitres années, un article su sa sympathie envers le xmouvement pour la paixe éoqua son vdésir d’éviter es conflits avee Allemagne ex détablir des liens plus étroits entre les 2 payss. % Un journal alla jusqu’a publier quelle auraitvolontiers accepté une occupation allemande & condition que son starutet celui de la monarchie demeurent intact.” Son, firtre, David Bowes-Lyon, dont elle est exceptionnelle- ‘ment proche, fut avant la guerre, un des directeur de le banque Lazard Brothers et tint aussi un r6le important bien que vaguement défim au sein du SOE °S) La «connexion Lazard Brothers « est importante éant ddonné les liens de cette banque avec le pro-Nazi Sir Henti Dererding de la Royal Dutch Shell (longtemps considérée comme détenue en majeure partie par les famillesroyales hollandaise et britannique) ainsi qu’avec le Vicomte Bearsted ¢’Hill Samuel, tous deux rliés au baron Kure von Schréder, pur et dur Nazi, financier du chef $5 Heinrich Himmler et membre dirigeant du «Cercle dAmis du Reichsfthrers. Et comme par hasard, Allen Dulles était Vavocat américain de yon Schrier. Celui-ci était en outre un des direteurs de Lazard Broibers &t membre de ! Association Anglo-Al- lemande (AAA) fondée en 1935 per Ernest Tenant. Ce Nexus ne3e — ‘maluin 2008 : { banguicr allemand état le proche ami de Joachim von Ribbensrop, ministre des affaires étrangéres d'Hitles. [De nombreux membres de certe association étaient des admiratcurs ¢'Hitler dont certains ne se concentérent pas de Padre. Prenons Pexemple de Sit Oswald Mosley, Pun des mem- bres fondateuss du Brish Union of Fai, plus conn ‘comme les Blackehires t financé par Berlin, Un autre membre de TAAA érait PAmiral Sir Barry Domville, admirateur enthousiaste du nazisme, qui devienda plus tard un Shiokshinny Knighe * Charles Edward, Duc de Saxe-Coburg er Gotha est envoyé en Angleterre pat Hitler pour présider 'AAA, avec pour instructions améliorer les relations anglo-germaniques, de faire pression pour une alliance entre les deux pays . Membre tat le Duc d'Hamilton qui, comme nous avons yu précédemment, est le contact britannique recherché pat Rudolf Hess pour son vol en Ecosse. Saxe-Coburg-Go- tha es bien sir le vrai nom de Faille de la famille royale britannique ; il ext remplaeé par Windsor pendant la 1° Guerre Mondiale pour effacer routes es expressions fanimosité du peuple britannique. La mise & jour des éeonnantes connexions entre la fa- rnille royale britannique et fes Nazis continue. Le 25 ‘Aosit 1942, le prince George, Due de Kent et free du Roi George VI meurt a bord du Sunderland, appareil de Vescadron 228 du commandement tier de la RAF, qui sist éerasé. sur la colline d'Bagle's Rock pris de Berre- dale, en Ecosse, Les auteurs du livres Double Standard» © amettent la possibiité d'un sabotage de 'avion sur les ordres de Churchill afin dévicer la conclusion d'une al- liance serite entre 'Allemagne et Angleterre qui devaic tre offiialisée en Suédle par le Duc de Kent, probable- iment au nom de son frie, le Rei. Les auteurs pensent que Fadjoint du Fahrer, Rudolf Hess voyageait avec lui 4 bord de cet avion, “? Brant reste & Balmoral la nuit précédanc le crash, le Duc sestrégalé d'un dernier diner cen compagnie du prince Bernhard de Hollande. La princesse Sophie est par Page la sceur la plus proche du prince Philip (quia change son nom de famille Mount- boaten ec est devenu le Duc d'Binburgh en 1947 lors cde son mariage avec la princesseFlizabeth). La princesse Sophie épouse done le prince Christopher de Hesse, un membre du staf d’Himmler ayant 6 recruté en tant qu! agents ®, Le prince Christopher meurt dans un ac- cident avion en 1944, deux ans apres la more suspecte du Duc de Kent. Les "Bildeberger™ C’cst sans grande surprise que fon apprend que le chef de division des gardes-grenadiers, Peter Smith est en fait le 6 Baron Carrington, plus connu comme Lord Carringron. En Avril 1985, Is reine le sacre chevalier du trés noble Onder of the Garter, le plus ancien et le plus prestigieux ordre de chevalerie britannique qui remonte Aplus de 700 ans. Lord Carrington, membre de la fax mille royale par le sing a connu une ilstre carrie, I est notamment un ancien président du groupe secret et a'Aive des Bidelberger. Initiées en Mai 1954, les conté- ences des Bidelberger rasemblent Vive du monde a de rechercher un consensus sur les rournures prises dans les affaires mondiales. Elles sont vues avec beaucoup de suspiscion par pensent quelles outrepassent les prin- cipes démocratique et exercent sur nous une dictacure mondiale au profit des seus incérets de quelques prvilé- ‘ies. Parmi ceux qui one fondé le Bidelberger Group, on distingue le Général Walter Bedell Smith, Allen Delle, le Premier Ministre francais diexcr8e droite Antoine Pinay (44) et Ouo Wolf de la firme Osto WolfAG basée 8 Cologne. Le pire de ce dernier fur un important sponsor Hitler. Aucte membre: Sir Colin Gubbins le directeur du SOE pendane la guerre qui mic en place ec entraina les «Unités Ausiliaires» préts 4 former une résistance clandestine 4 une éventuelle invasion Nazi. Celles-. Voici quelques-uns des problémes neurologiques obs és avec l'usage d'hydroxyde et de phosphate alu nium dans les vaccins. Cher deux enfants et cing ans, des médecins du All Children’s Hospital de Sc Petersburg, en Floride, ont décric une pseudo-obs- ‘uuction intestnale chronique, une rétention urinaire et tines sgnesréveateurs dune dégendrescence gindral- sé: du foncionnemene du sytéme ere autonome — Nexus n238 _— ichés sur les recherches du Vaccine Safety Datalink, lors ), rant soulé mot des do: par les vaccins contenant du mercure, de Valurninium et autres ‘neurologiques causes wants toxiques. (dysauronomic diffuse). Lenfant de tois ans présentait ln retard de croissance et une hypotonie (perte de tonus ‘musculaire). Une biopsie effectuée sur le ste d’njection des vaccins des deus enfants a révélé des taux d'alumi- nium élevés Dans une étude menée sur quelques 92 patients souf- frant de ce syndrome émergent, huit ont développé un trouble complet de démyéfinisation duu SNC. (sclérose ‘muleiple) (Authier EJ, Cherin Petal,» Central nervous ‘gsiem divease in patients with macrophage myofascitis », Brain 2001; 124:974-983). Ce trouble incuait des symptmes moteurs et sensorels, une pertevisuelle, un Gpatonctonnement bilale, ds slnesceetbaleur (pore de I équilibre et de la coordination) ainsi que des trou- bles cognitifs (raisonnement) ct comportementaux. Le Dr. Gherardi, médecin francais qui fuc le premier & décrire cette pathologic en 1998, a rassemblé plus de 200 cas avérés ; dans un tiers de ces cas, les patients fone développé une maladie auto-immune tele que la sclérose multiple. Découverte capitale, méme en ab- sence de maladie auto-immune évidente, il est prouvé gue aluminium injecté, connu pour éere un adjuvane i ie puss, prveque ane sialon ire chronique. La raison pour laquelle ce poine es si imporcant est qui existe des preuves écrasantes montrant que Vactivation immunitaite chronique dans le cerveau (activation des microglies dans Je cerveau) est une cause majeure de dommages dans de nombreux troubles eésébraux dégénératifs, depuis a sclérose multiple jusqu/aux mala- dics neurodégénératives clasiques (maladie d’Alzheimer, ‘maladie de Parkinson et selérse latérale amyotrophique -SLA). En fait, 21 présenté des preuves montrant que activation immunitaire chronique des microglies du SNC écait une cause majeure de 'antisme, du trouble déficiaire de Vattention (TDA) et du syndrome de la Guerre du Golfe. Le Dr. Gherardi souligne qu'une fois que Valursinium est injecté dans le muscle, Pactvation immunicaire persiste pendant des années. En outre, nous devons considérer Veffet de Paluminium qui parvient jusqu2u cerveau Iui-méme. De nombreuses études ont montré les effets nocifs d'une accumulation qaluminium dans le cerveau. Un nombre croissant de preuves désigne les taux élevés aluminium dans le cerveau comme un ‘ain 2005 factcur déclencheur majeur de la maladie d'Alzheimer et peutttre aussi de la maladie de Parkinson et de la SLA (maladie de Lou Gehrig). Cela peut également cxpli- oe ani peon Peas det xs Phas es Es penonnes ayant rogu le vaccin contre Ia grippe cin a ddffles (De High Pideaberg ous poses Journ of Clinical invetigation). Test en outre intéressant de Dopp inet iSeenic| race a islen Evidence! ua! te phosphate d'sluminium entrainait un taux d'aluminium, tro is supéicur au taux daluminiumn dans ke sang tout comme Fhydoryde aluminium (Barend RES Hem S.L. et al, « fu nivo absorption af aluminum-con- taining tccine adoans cing 26 Al, Naccine 1997; 15:1314-1318). jien entendu, dans cette conférence, nos chers experts soak dicar quid renine «oucune donnée mantant tin eft curl ou eynergique ente le rateute et Taluminium ». fe Le Dr labellc Rapin expime son inquigcude au sje de la reaction de Popinion publique lorsque ces infor- trations fait par Aluez Ele expla (ge 197) que Ic public va fen emparer et qufon ferait micux de Sassurer de « (a) recommander Bs ceudears {sic} et (b) iaperiie &c Gs Ginna ek pepe a yublique *. Le Dr. Johnson ajoute que « les enjeux sont Enomes «A partic dehy comment ne pas au mons en conclu tu Constat une reaction exrtmement préoc Coupee des scientifiques aux résultats de Pécude : Vaccine Safry Devlin Us Eaiene de toute Evidence erties & PPidée que le public ait vent de ces informations. Tam- ponndl en earsenires gras en. hau de chacime des pages de Fétude, on pouvait lire les mots « NE PAS COPIER OU DIFFUSER» et» CONFIDENTIEL. (Cest le gunre de formule que l'on gattendrait & trouver sr'der dosleds tp secre dc la NSA on dee CTA ples $64 quc aur une Erne Clinique de Flonacais des vaca Pourquoi ces informations éeaient-elles gardées secréres, 2 La reponse ex Gvdente + elles pourmcae metre en taoger fe progamime de vocation @condamper ler erpanabes de cighmention feds pou eit ignore ce risque pendant tant d'années. Notre société rogorge de malions esfans ayant dé afects plus ou moins gravement par octte politiqae de vaccination. outlines pes aon pls Js falls de poren! ayant Get obligts desis trnpuissany, aux rete strates leu enfans parce programme dévascteu Le Di Roger Bem vei (page 198) que «les réul tas négachs doivent ee afichesec pubis» (par esl ‘tat négan, il fic allusion aux conclusions indiquant Tabsente de voxeté da mercure sure sytéme nerve). Pourquoi tiene-il tant & ce que les « résultacs négatifs» soient pubis» Parc qu, dtl, « aus pares ns responsables. cote Ja rétention de ces résultats Comme signe defvorable» Il veu die le signe qu'il xine un preblime avec les vacins contenant du ‘mérosal. A partic de I, je suppose qu’il veut un artic disantsculement que ude rien découvet. Comme ‘nous le verrons, son souhait s'est réalisé. Par ailleurs, le Dr. Rapin note (5 198) qu'une étude dlink cn Calforaies découverte mukiplicaion pat 5300 des eas autsme suite 3 Finuoducion de eres yaccins, Elle sempressc d'actribuer och 2 un meilleur Uiagnoeic des medecing. ya deux choosseseciles & ans = Nexus ne38 noter 3 ce stade. Premirement, son idée d'un meilleur diagnostic des médecins ne Sappuie sur aucune donnée, mais juste sur c- quelle a envie de croire (si quelqu'un soulignant les dangers des vaccins fuisait de méme, elle tierat a la supercherie), Deuxiémement, le Dr. Bill ‘Weil auaque ce raisonnement quand il dit (page 207) «nde nombre de réactions liges& la dose est linéaire et scatistiquement signficati: On peut jouer sur les moss 4 volonté : linéaire... staistiquement significa.» En autres termes, comment peut-on contester des résul- tats qui montrent un fore lien dose/réaction entre la dose de mercure et les problémes neurodéveloppemen- taux ? Plus les enfants one des taux de mercure devés, plus ils ont de problémes neurologiques. Le Dr. Weil continue en disane que augmentation des problémes neurocomportementux ex” probablement réelle. IL expligue aux autres quill eavaille dans un systéme scolaire offrant des programmes pédagogiques spéciaus. Il déclate (page 207) : «Je dois dire que le nombre denfants ayant besoin d'une éducation spé- cialisée augmente 3 une vitesse sans précédent, tant 2 échelle du pays qu’a celle de chaque érat. Il y'a donc bien une augmentation. Nous pouvons nous demander A quoi ele est duc. » Le Dr. Dick Johnson semble également impressionné ar les résultats de Vétude. Il déclare (page 199) : « Ce lien me conduit & déconseller dimmuniser les enfants de moins de deux ans avec des vaccins contenant du thimérosal sil existe d'autres préparations «. Chose incroyable, il vempresse ajouter : «Je ne pense pas que le diagnostic jusfie une indemnisation dans le cadre du Vaccine Compensetion Program (programme diindemnisation des victimes de vaccins) A ce sade » Test intéessant de noter que Fun des experts présents rest autre que le Dr, Vito Caserta, directeur du Vaccine Injury Compensation Program. Hypocrisie et fausses déclarations Ace stade, le Dr. Johnson faic part au groupe de ses inquigcudes concernant son propre petits. I! déclare (page 200) : « Pardonnes-moi cette observation person- nelle, mais a regu un appel urgent & huit heures et ma belle-ille a mis ats monde un fils par césarienne. Il Sagit du premier gargon de la génération suivante et je ne ‘yeux pas que mon petifilsregoive un vacein & base de thimérosal rant que Pon ria pas didée plus précise sur la question. Cela prendra probablement lony attendant, je sais que cela aura sirement tions échelle internationale, je préfere que mon pet fis recoive uniquement des vaccins sans thimérosal» Alnsi, nous avons [a un scientifique siggeant 3 ce co- mité chargé d’élaborer la pol enfancs de ce pays, et méme ceux d'autres pays, qui ‘xt terri & Tidée que son propre petit-fils resoive un vaecin contenant du thimérosal, mais il nese préoccupe 28 suffsamment de vorte enfant & vous pout prendre Etparole ec essayer de mete fn 8 cette fle Il ase mettre en place une vaste opération de camouflage une fois cece reunion terminée et garde le silence. lest également intéressant de noter que le Dr. Johnson sent que les réponses mectront du temps 2 ariver, mais en attendant son petisfils sera protégé. LAmericen Academy of Pediatrics} American Academy of Family Phy implica- ‘matin 2008 —_ fa Lad — | sicians, YAMA, le CDC et toure autre organisation sou tiendront ces vaccins et clameront leur innocuité, mais le Dr. Johnson ec quelques autres garderont le silence Ge nest que lors de la demise journée de la confé- rence que nous apprenons que la plupare des objections concernant le lien positif entre les vaccins & base de thiméromal ct le TDA ou le THADA sont bidon. Per exemple, le Dr. Rapin remarque (page 200) que tous “Lesvaccinations ont toujours été empiriques “eon scientifiques. Ceci nous a conduit a “Giliser des produits dangereuxetincertains. Poartant, les vaccinations, progressivement, “sont devenues miraculeuses, au regard des ‘aividus et des médecins. ‘Les partisans des vaccinations, par exem- ‘ple, depuis plus de 70 ans, nous affirment GE vaccination antelanige est‘ 100%. Pour eux, les tétanos ont fie uniquement chez les'non-vaccinés. Ce Gicours endoctrineur et moralisateur n'est ide la science medicale. Cette science, cette nouvelle religion nous ‘est imposée de plus en plus autoriaire- ‘ment, avec arrogance et intimidation, Etudions donc la vaccination antitétani- ae. Gette vaccination ne sert strictement & ‘Gen. Elle est le resultat d'une monumen- “ale erreur, elle ne nous protege pas. Le bacile du tétanos appelé Clostridium ‘tani est une bacterie anaérobie strict. ‘Ceci veut dire que ce bacille ne peut vivre -dans un milieu privé d’air, donc d’oxy- = Dans un tissu sain, irrigué, oxygéne, baclle du tétanos meurt. Peut-on avoir une action des anti-corps areitoine dans'un tissu en anaéreblo- se Absolument pas puisque le systéme femurs ei ars ie song, unig ays. Le transport es arco, le immunitare, ee Paniews, se aure dare eatin sangre Lou ty 2 des aerobie, ite peut y avoir, Gesbaces du tetanos, rile anaerdo, Nous avons a faire deux mondes tota lement hermétiques un par rapport & autre. a meilleure prewe de ce que j'écrs, ‘Gest que, aprés un tétanos quer kn'y & Jamais d'anticorps antibactériens ou an titoxnes dans le sang des comvalescents. Ceci prowe que les baciles, la toxine ne Fentrent jamals en contact avec le Jimmunitaire. Nous avons donc bien une ‘accination placebo, Les partisans des vaccinations vont m’ob: Jecter que la vaccination n’est pas dirigée ‘contre le bacille, mais contre sa toxine. La toxine fabriquée dans la plaie anaéroble, période, SBSORSTTE BIO ‘TTré.du Livre du Or Jean Méric par le microbe, va devoir quitter la plaie et Fejoindre le systeme nerveux central, Elle Ya done sort de la plate et se retrouver Alors dans un milieu abrobie. Elle peut donc tre attaquée par le systéme immunitare. Est-ce que la toxine peut tre atiaquée : pat Tes anthcores lrsauelle quite HHélas, pas de chance. La toxine chemine de la plaie anaérobie au systéme nerveux ‘central (la tate) dans les ners & Uintérieur des nerfs. Clest, (A aussi, un milieu inaccessible aux ‘anticorps. ‘Tout ce qui chemine dans les nerfs« (toxin, virus ete.) fest_A abr du systeme immunitaire. C'est our cela qu'apres un tétanos guéritn’y a Jamais d’anticorps antitoxin. 1 faudrait que les vaccinalistes se posent ‘enfin les bonnes questions. Admettons ‘que [a toxine puisse étre neutralisée par ibs anclcorps, bien que cela sft Iptsh- ‘le, que se passerait-? Ved gl nce peed cea is & vis du bacl tl est dans. sa plaie anadrobie, seule a toxine dans ce as serait neutralisee, Les anticorps vont Fencontrer la toxine et former des. com- plexes antigenes-ant-corps, mais le bacille teétanique va encore produire de la toxine ursqu'il n'est pas atteque, de nouveaux copie mtmceewtinr at Wie lus. Une surcharge en complexes ant genes-anccorps va se produ, Des dégsts itreversibles vont se produire et au bout, fa mort du malade. Heureusement que cette Vaccination ne sert rien, qu'itn'y a pas de contact entre toxine et anticorps. Nous voyons done que ce vaccin est tota- lement inutile qu’ n’a aucune action. Que Yous soyer. vacciné ou non vous avez les ‘memes risques d’attraper le tétanos quand les conaitions locales anaérobioses sont présentes. La baisse du nombre du tétanos est dur essentiellement ala chirurgie et a emplot des antibiotiques. La chirurgie est l pour perer la plate, enlever les partie nécrosées, les échardes etc. Elle supprime les parties anaerobies et ainsi revasculariser la plate. Les antibotiques ont. pour fonction de supprimer les surinfections par des bacilles yogénes gros consommateur d’oxygéne, Eesbacllesfevortent a chute dy potent NEXUS ne36 ‘matjun 2005 les enfants de Fétude avaient moins de six ans er que le TDA et le THADA étaient ers difficils& diagnostiquer chez les enfants d’age préscolaie. Elle note également ‘que certains enfants vont écf suivis que sur une courte Le Dr. Marry Stein ajoute que, en réalité age moyen de diagnostic du THADA est de quatre ans ct un mois (diax gnostic ts difficile &établir) et que les recommandations suite page 40.. « Vaccinations, je ne serai plus complice » Editions Marco Pietteur d'oxydoréduction qui aide A Uinstallation ddu tetanos, La toxine tétanigue est sécré- tée dans ie but d'augmenter Uischemie locale, cst a dire renforcer l'anaérobiose. Hélas pour les malades c'est tous les mus- les du corps qui sont tétanisés. Nous comprenons pour! existe dest tanos sles grands bles alors que eevee Visiblement ont pas eu de contacts avec des spores tetaniques au moment de (abr ture. Des spores presentes chez Vinivdu avant leur brolure, restantes ala chaleur, {rouvent des tsi presenta apres ls br- lure, des conditions locales d’anncrobioses. Ges partes ne sont plus vasclaises, le ‘anos eelate, Nous comprenons aussi pourquoi le té- tanos néonatal est toujours mortel. Les {tssus soulllés par la coupure du cordon ne peuvent retrouver une vascularsation sal- vatrice. La ligature empéchant tout retour possible de la vascularisation. En résumé, nous avons un microbe et sa tonne ul sont a abr des antieorps dara Plaie tétanigéne et une toxine a l’abri des. Anticorps dans ls nets. Les anticops an- titoxne vacenau, ne sont done d'avcune lutte, Cette vaccination dot tre aban ‘donnée, puseu'elle ne save personne. LYétude de cette vaccination, fleuron de ta médecine, [a pls ule et Ia plus ins pensable ded vaccinations, se revele com: Plétement inte, Malheureusement, sen ‘st de meme pour ¢'autres vaccinations et, peut tre bien, toutes les vaccinations. Je pense qu'il n'y a pes de vaccinations possibles contre une bacterie, quelle que ‘olt la bactérie, lorsque les conditions loca- les sont réunies. Pour les viru cest un peu plus compliqué cue pour les bacteres, mais action des ‘hci antivirux nest pas pls sata Sante et tes dangreuse pour ta sarte des inawvids. est temps de reflecir avant Fag ef d'etider enfin, toute la face ‘achée' des vaccinations. Les vaccinations ne son pas des prods anodes. Bescon Merman ds iat diuresis Ean sera de yea produts chimgues, métaux lous. Les vaccinations vin vivans ne peuvent re strilses pusave cela détruait action du vrs vaccnal. ese seers doe pas cea nas jects. } | | | | | | | | | | | | ppubliges par American Academy of Pediatrics limitent le cliagnostic aux enfants agés de 64 12 ans. Bien entendl, il sous-entend que le THADA a && diagnostiqué chez un top grand nombre d'enfants. Pourtant, une recente énude a revélé que la fameuse étude danoise* qui avait conduit Institute of Medicine \ annoncet quil nexistat aucun lien entre lautisme et le vaccin ROR avait utilisé a méme tactique + ils arétent le suivi de Venfant & P’ige de six ans (* Madsen K.M., Hid A.,Vestergaard M. et al, « A population-based study of measles, mumps and rue tele ocho and nti Me Bed. 003 347:1477-1482). On sait que, surtout avec le TDA et le THADA, beaucoup de cas apparaissent apres cette tranche d'ige. En fait, la plupare des problémes da prenisage spparssens au fur ce metre que enfant fest amené 3 gérer davantage de substance intellectuelle Par conséquent, il y a des chances que les auteurs de étude naiene pas diagnostiqué un certain nombre de cas en arrétant étude trop t6t. Développement cérébral et effets neurologiques Plusicurs des participants tentent d'insinucr que l'autis me est un rouble ggique ec ata donc ten hol avec les vaccins. Le De. Weil fat tire cette rumeur avec ce ‘commentaire ; « une tele évolution génétique en 30 ances imposible. Auement dit pen pttiy nous soudainemen¢ voir une augmentation de 300 % un trouble génétique sur une si courte période ? On sit aussi quil existe deux formes d'autisme : une qui est apparente 3 la naissance et autre qui se développe plus tard dans Fenfance. Le nombre de as dela premiere for- me d'autisme n'a pas bougé depuis que on a commence den ctuier les statistiques ; autre ext épidémique Notons un échange intéressant, dont ils finissent par se servir pour affirmer que le mercure ne présente aucun danger pour les enfants immunisés aves des vaccin & base de thimérosal. Il concerne deux études réalisées chez des enfants nés de méres consommant de grosses ‘quantiés de poisson contaminé au mercure. Lune de ‘ces études, rapportée dans la revue Neurotoxicology, Sst penchée sur les enfants vivant aux Seychelles. Dans cette étude, les auteurs onc examin€ [effet d'une exposition prénatale au mercure via la consommation par la mére de poisson riche en méthylmercure. Une sétie de tests sur des étapes clés du développement ont été effectués cet aucun cffce néfaste n'a été rapporté dans cette érude menée par le Dr. Tom Clarkson (ct ss coll@gues), clui- li méme qui ai présent 3 cette conférence. Il ne men- cionne ne pare qu une ude de suv de ces méaes en fants abel erbien découvert un lien entre une exposition au méthylmercure et des résultats médiocres 4 un test de mémoire. Dans une émude ultérieure portant sur les enfants des ies éroé exposés au méthyl- mercure, les chercheurs font aussi découvere des troubles du_développe- ment neuronal. Cee experience a été réalisée par des scientifiques ja- ponais. Nexus Ss Pendant tout le reste de la discussion, le Dr: Clarkson et les autres se referent & ces deux érudes. Quand on leur rappelle que I'éeude des ile Féroé a bel ex bien sévélé des lesions neurologiques chez les enfants, ils répliquent en disae qui fai dune exposition prenaule au mex cate (ct non une esposiion posal, comme das le cas des vaccins), Vidée étant quavant la naissance, le cerveau est plus vulnérable car en phase d'intense développement et de formation des neurones. Comme je lai mentionné, cete croissance et ce développement rapides du cerveau se poursuivent pendant deux ans és La naisance ; méme 3 Pige de six ans, le cerveau nest formé qu’ 80 %, Le Dr. Clarkson ne cease de faire allusion i 'éeude des Seychelles, qui a démontré que les enfants atteignaient les sades neurodéveloppementales normau au vu d'un cerrain nombre de tests. Le Dr. Weil souligne (page 216) que cela nous en dit peu sur activité cérébrale & venit de ces enfants. II déclare :« ai entendu dire que beaucoup d'enfants avaient des dificultés scolaices. Le ic est quilsavaientareint un stade de développement normal ou avancé, mais quils ne savaient pas lire & Tage de huit ans, ne savaient pas écice a I'age de neuf ans, ne savaient pas comprer 3 Fage de dix ans et, autant que je ppise en juger ces lacunes sont sans rapporcavec ce que Pon apprend des différentes étapes du développement de cerfanes Je pense done qui Fuge dune gon ts rudimentaire d évaluer le neurodéveloppement. » ‘Autrement dit, les éeudes des Seychelles et des les Réroé ne nous disent rien du véritable développement de la fonction eérébrale de ces enfants, si.ce nest quils atte gnent les érapes les plus basiques. En d'autres termes, votre enfant peut éxre capable d’empiler des cubes, de reconnaltre des formes et favor dt competences lan res de base, mais plus tard dans la vie il pourra ere Considéablement déficiene dts lors quil ¢agita de ma- thématiques avancées, de compétences langagiéres plus poussées (compréhension) et de aptitude 4 alfzonter la concurrence dans un miliew intellecwel erés compéctif tel que le collége ou les érudes supéricures. Lavenir de enfant se réduira aux métict les plus terre-i-erre et les plus limiés sue plan intllectuc Le développement cérebral postnatal (Cestcdire, de- is a naissance jusqu’ age de sx ou sept ans) englobe Faffinement des connexions synaptiques, le dévelopy rent dendstigue tle ratinement det voles neurles, Grapes préparant toutes le cerveau & un raisonnement plus complexe. Ces éléments du cerveau sont tts sensibles aux toxines et 3 une stimulation immunitaire excessive durant cette période, Cela n'est pas mentionné tune seule fois lors de cette conférence. Nroublions pas non plus que les enfants de ces deux éru- des n'ont été exposés quiau méthylmercure et non 3 Te fee neurotoxique combiné du mercure, de 'aluminium et d'une activation excessive et chronique du systéme immunitaire cérébral (microglies). C'est done dautant plus incroyable que plusieurs de ces « vaccinologues » ct soicdisane experts expriment des doutes quant 3 la « plausbilité biologique » que le thimérosal ou rout acre ingrédient encrant dans la composition des vaccins enatne des rouble newodéveloppementux. La do- cumentation médicale regorge d'études de ce genre. La plausbiebilogique ets fore f ness ‘malun 2005 __ VACCINATIONS ET CHAMPS ELECTRO-MAGNETIQUES Fa 1 precepts we veces oe Teme: meee divert dein a | ‘se fixe sure systzme nerveux central. Les seuils de rolérance sont trs largement dépassés. Au del de cela un autre probléme se pose. L’hydroxyde d'aluminium se fie sur les parties cristallines du corps 4 savoir loeil. Une fois fixé& cet endroic il fait perdeecertaines aptitudes et prédspose Foil 3 Fonctionner comme un eran plat. En clair, une fos biologiquemenc ing dans une parte cristalline, Vhydroxyde d aluminium est pilotable & distance par interferences de champs éleceo-ragnéti- ‘gues. Votre portable es un excellent repéte pour cela Si vous avez été sur-vaccing, il devient possible via le roisementciblé fémerteurs omnidirectionnels & champs électro-magnétiques, dactiver vos yeux comme des 6erans plats, en vous faisant ‘oir ce que Yon veut, ou en vous rendant aveugle & certaines choses. Dans ces conditions si vous souhaitez voir la Sainte ‘Vierge tous les jours c'est possible, si vous souhaiter voir des soueoupes volantes atterir sur la place de la Defense, est possible. Avec de larges émetteurs couveant toure la surface d’un pays, on peut fate illusion pour toute une nation, Frédéric Morin Morphéus N'8 wwwamorpheus.ft Le mercure, par exemple, méme a de fables concente tion, et eonnu pour perurber la production ¢ éncrge ppar les enzymes mitochondriales. Le cerveau a l'un des taux métaboliques les plus clevés de tous les organes, et une perturbation de son apport en énergie, surtout durane la croissance, peut avoir des conséquences dévas- tattices. En outre, méme a des concentrations plus fai- bies, le mercure est connu pour endommager YADN et nie aux enzymes réparatrices de TADN qui, la encore, jouent un ble vital dans le développement cérébral Enfin, méme & des taux exteémement faible, on sait aque le mercure perturbe La stabilicé des neurocubules. Les neurorubules sont absolument essentiels au fone tionnement normal des celules cérébrales. Le mercure active les microgles, ce qui augmente 'excitotoxicité et te production dé radicaux brs parle cerveau ainsi que Ia peroxydation des lipides, mécanismes centraux des Kesions cérébrales. D’autre part, méme & des doses inf&- rleures & celles pouvant causer des dommages cérébraux évidents, le mercure perturbe le systéme de transport du glutamate, ce qui déclenche & son tour une excitoroxi- Gité, mécanisme central cle Vautisme et autres toubles neurologiques. Ironie du sort, Faluminium paralyse également ce systtme. Ala page 228, ilapparat encore une fois que le gouver- nt américain n'a pas cherché & démontres inno ccuité des vaccins 4 base de thimérosal, malgré existence de plus de 2 000 articles révélane les effers néfastes du metcure. On nous dit que la FDA « posséde un formi- dable site d’expérimentation dans [Arkansas avec des centaines de millers d'animaux » & sa disposition pour cHcroes toute re nécesnve afin 'apporer cos ponses sur Pinnocuité. La question suivante simpose : pourquoi, alos, le gouvernement a-til ignoré le besoin de recherches pour répondre a ces questions concernant Flanocuicé du himéroal ? Reppcler-vous quan début de la conférence, les participants séaient plains quil terse que quelques énudes volre pas érudes di tour, concernant ce « probléme » Une fois encore, le Dr. Robert Brent se répand en injures contre les procts (page 229). Il dit aux autres quil a &xé Impliqee dane wou procs lis desea anoraiscon- sgénitales provoguées par les vaccins et conclut:« Si vous voulez voir dela science de pacotille,regardez plutdt ces affaires...» Il se plaint ensuite du type de scientifiques ayant témoigné dans ces procés. Il ajoute : « Mais le fat est que ces scientifiques sont ici, aux états-Unis.» En substance, il qualifie toute personne opposée 3 la « oltiqe ofl» devacination de sientique de pacotlle». Nous avons vu dans fa discussion qui sont les ‘éritables scientifiques de pacotille Conscient que leurs découvertes peuvent leur causer Nexus beaucoup diennuis, le Dr. Brent ajoute (page 229) «Les conclusions médicales/juridiques de cette étude, causales ou non, sont horribles.. Sion venaie& suppo- ser que es troubles neurocomportementaux dun enfant éraient provoqués par des vaccins & base de thimérosal, ‘on nfaurait pas de mal 3 trouver un scientifique de pa- cotille qui souriendrait cette hypothese avec un degré de conviction suffisant.» Il admet ensuite quils sone fen mauvaise posture parce quils nione aucune donnée pour leur défense. Alors, qui sont les scientifiques de pacotlle ? Les « vrais scientifiques » soncils ceux qui_ne disposenc sucune donnée, se contentent de prendre leur désir ppour la rélité et ont le « sentiment » que tout ira bien ? Les vais scientifiques sontils ceux qui omertent din viter des spécialistesreconnus du probléme en question ‘durane une conférence parce que cela risque de mettre en cause Te « programme »? Ou encore ceux qui décla~ rent ne pas vouloir que leur peti-fils regoive des vaecins A base de thimérosal jusqu's ce que le probléme soit réglé, mais affirment pourtanc& des millions de parents ue ces vaccins ne présentent pas le moindre danger pour leurs enfane ec pei-enus i Le De. Martin Myers formule les choses ainsi (page 231) +e qui me piocoupe, et quelquevuns dente vous ec des problémes qu Ingulérent aura les parents que les pédiatres». Il cite @’aueres explications possibles aux problémes neurocomportementaux et neurodévelop- pementaus lids aux vaccins, dont le nombre de vaecins administrés les types fancigines utilisés et d'autres foo Le Dr. Casere déclare quil a asssté 4 Ia conférence sur aluminium année précédente et qu'il a appris que les ‘métaux pouvaient souvent agi dilféremment dans les systémes biologiques que sous forme dions. Cela est intéressant quand on sait qvassocié & Paluminium, le fluor forme un composé capable de détruire de nom- breux neurones hippocampiques & une concentration de 055 ppm dans eau potable: Pus de 60 pour cent des agglomerations ayant de l'eau potable fluorée, cela sees Préoccupation majeure. a Taluminium imitatent les composes de. phosphate ec pouvaient active les protéines G. Les protéines G jouent ln réle majeur dans de nombreux systémes biologiques, tels que le systeme endocrinien, et dans la fonction neurotransmettrce en tant que messagers secondaires inuracellulares. Cereains récepteurs dv glutamate sone ‘gis par un mécanisme de protéines G, nese ‘tun 2008 mea Limiter les dégats Pendanc les 10 15 pages suivante, sont examinés les moyens de contrler crs informations de fagon & cafes ne Alrent pas et, le cas thtant, comment limiter les degit, 2a page 24s de Dz Jit Clements diececi: « On en atvve desormnal au sade 6b les ceulas des echerches ATivenc Ee wate = Hite cornice qu 4 aucun lien t que informations flten, le wall 3 Gc falc oxen verted ut bbe He invoke Imation, ces informations seront Teprises par autres ef nous saurons aucun conte sur Tusge quis Gf feront. Et cela me préoceupe beaucoup, car je crus quil ne soit défi op card pour fare quol que cea iidépendammenc de wou organisme profexionnples de ceqils dsent » En daumes termes il veut que ces informs sofa tenues 4 Técart non seulement du public mils uss de fue sclenelques ce pares jusq ce fe pu dire corectement consis. Dans Ia dedlatation eu vance i ahi la raison pour lgucle il est si déerminé ce quaucune personne exéieure ne sempare de ees informations devasauies. M délare « Ma misdon eh tant que membre de ce groupe ext de nfssurec& fin dela Journés que 100 rullons d enfant vont Sim tmuniss contre la diphetie le teanos etl coutelatheg Thepatie B ec si possible Tepaie B, cecte année, Tan ile prochaine ex pendant encore de nema tt eala devas ie avecdesvacins bse de thi Sal, moins quun miracle survienne ex que fon troure fapldemene une autre solution, quon Pexpéliiene 6 quele ¢avtrenafinsive.» Gres une des déctartions les plus choquantes quel jamais ie ou entendue En substance, dese Gn de dire qul se fiche éperdament que ce) Yacfage lene néfats et détuisene le développement du cervean des enfin co vaccine seront adn, olin! Hee jusqu’ fa fin ds temps. Son seul souct, econnatcl fl mime, et de proniger le proprmiidide vacclaton, méme il xe dangereux. Le Dr. Brea qualfie ces pro- pos de « délaracon dloguente » Als page 253, nous voyons ue fols de plus ue cs scientigues changene de discours des qu'il agit de leurs enfants et peterenfans, LISD) Rain gic ls question de la pere dun point d€QUguite&ane cx Position at chimérosl Elle demande: « Pouyons-nous Mesure fe QI avec autane de préision, si Blea que ce tout peti point pulse fare une diffrence? Pus lle répond elle- mlm Asa question « En ge ql ebncerne mes petteenfants, je vis me bare pour ce point de Of» Pour, is cament4 Min de AS ce, «Aller vou fare vor avec vos enfants!» Ist également inéresantquils souvent Pistoire du plomb comme roxine ncurocomportementile. Le Dr Well note que les neuotaaldlogucs x ex Seganismes de régmentation ont abaisl le tae aceepeble de 10 2°5 ug En fat, corains pensent que meme des taux Infédetrs sont neurotoues paul lle en dle: loppement, Avant que les roxcologues commencent considérer le ploms comme upe'fninc elchale cher les enfanes, la plupar des expeft » avalent suppost ql seat pas torque, mise des tux ete Aves Ue fois encore, cla monte queles« exper» peuvent Ss se tromper et cest le public qui en paie le prix. Le Dr. Bob Chen exprime son inquiétude 3 Tidée que ces informations parviennent au public. Il obsctve (page 256) : « Jusqu’ présent, nous avons été privilegies ‘ar, malgré la Sensibilité dc cs informations, nous avons russ & faire en sorte quilles ne tombent pas, disons, entre des mains moins responsables.. » Le Dr. Bernict approuve ct remarque : « On a réussi & tenit ces infor- ‘mations assez bien en main. » Plus loin, il es qualifie formations ibys embargo» = informa tions hautement protégées Jie faic quid connaissaient parfaitcment fes implications de cequileavaient découvers est illusté parla declars- tion du Dr, Chen ala page 258, of il déclare :« Je pense que, globalement, on sentait quvon éeait engage dans quelque chose d'une importance sans précédent. Je cois donc que cer élément a lui aussi conféré un caractére quelque peu special & cete reunion. » Yous vous souvenez sans doute que le Dr. Weil a soul- que I'analyse des données ne lassat aucun doute sur fe fort lien exstant entre es problémes neutodéveloppe- ‘mentaux et une exposition 3 des vaccins contenant du thimérosal. Alors, sils onc compris importance de cette découverte et si Cétait la question Ia plus importante duis alent jamais eaitée, pourquoi avoir rien dic au public ? En fai, cela va méme plus loin, Juste pour que vous ne doutice pas un instant de ma pa- role quand je vous dis que ce panel d’expertsnfétait pas objectif, je vous livre les propos du Ds. Walter Orens- tein, Directeur du National immunization Program au sein des Centers for Disease Control (CDC) figurant page 259. Il déclare «Je ai vu [Verseaeten] audience aprés audience aux prises avec des individus excessivement sceptiques...» «Des. individus excessivement scepti- ques »: cela désigne-eil des scientifiques objectifs qui souhaitaienc examiner les données avec un esprit neuf, ‘ou bien des scientifiques qui étaient convaincus avant Ia tenue de la reunion que le chimeérosal ni aucun autre ingrédient encranc dans la composition des vaccins ne présentaic un danger pour les enfanss ? Dans Pune des remerques de conclusion, le Dr. Bernier ddéclae (page 257) : « Lautre clémene qui mia frappé, esta science», Fisant par I allusion la science éalée par les participants de la rencontre. Pus, le Dr. Orens- tein ajoure: + Jaimerais aussi remercier Roger Bernier quia organisé cee rencontre au pied lev Voici une rencontre supposée etre d'une importance sans précédent, ec on apprend quelle a éé orgenisée au pied levé. En oure, on nous die que les résultats de cette téunion abouticone finalement & une politique de ‘matjun 2005, Le Dr. Orenstein a ensuite le cran dfajouter : « Dans tun sens, cete réunion aborde quelques-unes des in- 4uiétudes que nous avons eues Pété dernier quand nous, essayions d'élaborer une politique en Pabsence d'un amen sinsfique minus, Je pense que cette fel tout est parfaigement clit. » Eh ben, fname pas Joucr es abarJol, male il na ren éclarei du tout. La réunion na comporté que peu. voire aucun, élément scientifique; au leu de cela, les pari pants ont chicané et erouvé &redire sur la méthodologie épidémiologique et les menus détails statistiques dans Tespoir de discréditer les données, en vain. En fait les soi-disant experts du mercure ont admis quis avaient besoin de quelques bons cours pout se raftaichir la mé- moire et apprendre quelque chose sur le sujet. Conclusions Cente réunion top secréte a &é organisée pour discuter une étude réalisée parle Dr. Thomas Verstracten et es collegues 2 partir des données du Vaccine Safty Data- link dans le cadre d'une collaboration entre le National Immunization Program (NIP) du CDC et quatre OSI (rganismes de soins de santé intégrs). Ceute érude s'est penchée sur le dossier de 110-000 enfants. Dans les li- mites des donnée, ils ont fat une écude ts minutieuse et ont découvert les choses suivantes 1. Une exposition des vaccins contenant du thimérosal a Tge d'un mois était fortement associée au « trouble avec tristesse ex décresse morale » qui était lié a la dose + autrement dit, plus Penfant avait été exposé au thi- mérosal, plus le trouble était important. Ce trouble se caractérise par un bébé qui pleure de fagon incontrblable ex se montie plus grognon que les bébés normaux, sans présenter de lésion newrologique connue, 2. Un risque accru quasi significatif de TDA avec une exposition 2 12,5 yg 8 Pige d'un mois, 3. Pour une exposition commencant & V'age de trois mois, un risque grandissanc de wouble neurodéveloppe- mental avec une exposition croissante au thimérosal. Ce twouble éait statistiquement significa et incluait des troubles du langage. Nroublions pas que le groupe témoin ne se composait pas d’enfants jamais exposés au thimérosal mais 'en- fants exposés 2 12,5 pg, Cela signifie que fon aurait ues probablement observé un nombre accra de problémes nneurodéveloppementaux sils avaient pris un groupe témoin digne de ce nom. Personne wa contesté le fait que ces découvertes éraient importantes et roublantes, Pourtant, lorsque l'étude finale a éé publiée dans le journal Pediaerc, le Dr. Verstraeten et ses collegues ont rapport avoir wouvé aucun lien concordant entre tune exposition & des vaccins contenant du thimérosal cet des problémes neurodéveloppementaus. Pur ailleurs, il Sy présente comme un employé du CDC, sans dite ‘qu lépoque oft Farticle a éé accepts il travaillat pour GlaaSmthtine, un fiat de vac, lors comment ontils réussi ce tour de prestidigitation Pls ont simplement ajoueé les données d'une OSSI sup- plémentaie, celles du le Harvard Pilgrimage. Le député Dave Weldon a nocé dans sa leure adressée la directrice du CDE que cette OSSL avait été misc sous séquestre par Frat du Masachusetss pour ses fous de gration Pourtant, cete étude a réuss faire disparatre les don- nnées embarrassantes de la précédente. Les temtatives du député Weldon pour obliger le CDC 2 divulguer ces données un chercheur indépendant, le Dr. Mark Geier (chercheur aux références impeccables et largement publié dans des revues professionnelles) se sont toutes soldées par un échec Test évidenc qu ume vaste opération de camouflage est en cours, comme cela a été le eas avec tant d’autresseanda- les (le luo, les excitotoxines alimentaires, les pesticides, aluminium et maintenant es vaccing) Je conoeleris aux détracteurs de la politique de vaccination actuelle de ne pas mettre cous leurs ceufs dans le méme panies, c'st- dire de ne pas accuser le seul thimérasil. Nul doute qui joue un role majeut, mais il y a @autres facteurs qui sone également essentiels, tels que aluminium, les Sea ames Talimiehas ec Festa ‘unitate chronique des microglies du cerveau. En fait, activation chronique excessive des microglies peur expliquer bon nombre des effets néfastes dune ‘exposition excessive aux vaccins, comme je Ii souligné dans deux articles récemment publiés. Lune des proprié- ‘és communes 4 faluminium et au mercure niest autre que Factivation des microglies. Une activation chronique des microglies entraine la libération de forces concentra- tions d'excitotoxines et de cytokines neurotoxiques. Ces ddemitres se sont avérées détruire les connections synap- tique e les dendrites, et provoquer un développement anormal des voies ncurales dans le cerveau en développe- ment de méme que dans le cerveau adulte. En substance, on administre trop de vaecins aux enfants durant la phase de développement oérébral la plus ra- pide. Dans les vaccins, on utilise des mératr toxiques ‘connus pour interférer sur le métabolisme cétébral et les ‘enzymes antioxydantes, pour endommager ADN et les ‘enzymes de réparation de 'ADN et pour déclencher une excitoroxicié Supprimer le mercure sera une bonne chose, mais cela ne résoucdra pas le probléme parce que Phyperactivation ddu systéme immunitaire causera des dommages neuro- logiques plus ou moins graves & des cerveaux vulnérables cen phase de développement acti. A propos de auteur: Le De Russell Blaylock, neurochirurgien reconnu, ‘que la neurochirurgie depuis 26 ans etdirige un cabinet nutritionnel privé lorissanc. II fait parti des journalists, du Journal of the American Nutraceutial Asacation et du ‘conseil de rédaction de la revue de'! American Physicians sand Surgeons, organe de presse officiel de I Anaciation of ‘American Physicians and Surgeons. Son premier livre, Bxctoraxine: The Taste That Kill, a ‘démontré le lien entre les additifs alimentaires et les maladies dégénératives. Le Dt. Blaylock a également participé [a rédaction de ois manuels médicaux et 2 eri ct ilusteé des brochures sur la sclérose multiple et le bioterrorisme, Crest également auteur de deux livres sécents, Health and Nusvition Secrets That Can Save Your Life ot Natural Siategies for Cancer Patients. Son article, «Tes excianaxines: de dangerews additifi alimentaires» & 4&¢ réimprimé dans NEXUS n°10. Le Dr. Blaylock peut frre contacté via son site Internet + hep: fiww.russel- Iblaylockmd.com Nexus ne38 ‘akauin 2005 Référencer 1. Lonicheidr FL: Vins Ml: Pendergrs, JC: Haley, BE. Mencury ‘spor exposure inhibi rebulin binding fo GIP in a rain Am ledaar eson a prsene im human Alsheimer bran Pom’ FASES J. 5G), ASSIS. 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I! sagit la d'un chapitre perdu de Phistoire de la biologie, inconnu da grand public. Locuvre @Antoine Béchamp, reprise par le Docteur Jules Tissot, 2 su démontrer les origines des jes (choléra, peste, dipheérie) . Deux autres livres Sappuient sur les travaux de ‘agit du livre du Dr Eric Ancelet, «Pour en fi- nit avec Pasteur» aux éditions Marco Pierteur, de Philippe Decourt, membre de TAcadémie Internationale d'Histoire de la Médecine. LA RAGE "De nos jours pour la moyenne des hommes ex des imme, la mection du nom de Pasteur Evoque int tobdisornent fa pensée une maladie horuble la rage (eu yiophaie. : Test dommage que ce sujet ait provoqué un dio, car Thydrophobie ex une maladie dos nerfs et ia peur en ex le premier factcur. On rapporte de nom- Breux exemples de cis incontestablement produits par ln suggestion. Par exemple, deux junes Francais furent mordus au Havre par le méme chien en janvier 1853, Lan dix mourut des effets dela morsure au Bout dun pols: mals avant denouement fa, Faure jeune omnne pari pour TAmeriuc lt wet gains ans dios Fighrae we dean de on compagnon. En Septembre 1868 ll revinten France e appitceur mort tragique; dts cet insane eur tous ies spapedmes de tage oxen mourut cols semaines apres Vole un autre cas Un malade atine dhydrophoble menagait de mordte son médecin. Apes que ce dernier ined quele eile mprdmed wn aque her tin dee hata dele Pisage es pong, Bappa cout amour de Hitesenela bexateei enna nce tors fubl plusieurs rises sous cete nouvelle forme Eviter la peur est en conséquence le consel essentiel de sécurité apres une morsure de chien, ct le danger tes restrcint qui peut en résulter apparait fore bien quand on songe aux milliers de morsures inoffensives recues par les vsnales ts personnes ul soccupentconsam- ‘ment d'animaux. Il peut y avoir oceasionnellement une victime d'une morsure, de méme que la mort peut ée provoquée par une pigire d'épingle ou d'insecte, tandis ue, cerns gaigores et ds blessures provoquent uelquefos le étanos, maladie donc Phydrophobie sem- Ble éte'une varlante(...) Cesten fannie 1880 gre de chin crag i rn offers par M. Bourrel, ancien veecinare de Taree ‘lo cormenctrent es bev, ce cs pout le plupere, ec qul aboutrent a bs déckstion fee devane TAcaddonle des Sclences, de le découverte dfn procédé qu alns que Pasteur le prétendat- p= senda inblibiemen Te daeoprement de ss cher pesomes aan ee mabe ee mo Ex date de cere Corsmunicauon, le 26 ocabre 1885, doi re «menor das hive ef mesic et plorieuse pour a scence hangs», sulvan opinion tothouslaste du president dela sence M. Boule. Ce fie Ggaemene uh Jour mémonble pour Masugution et «Les Vérités Indésirables» d'un systéme dintolérance, antithése de tou ce qui est scientifique, syst8me qui, malheureusement, reste en Vigueur pour les adorateuss fétichistes de Porthodoxie ppasteurienne. En ce jour passé, fécond en événements, Cette intolérance fut portée & son comble par le refus entendre un seul mot de ce qu avaient & dire M, Jules Guérin, le docteur Colin et quelques autres qui osaient se risguer & critique’ les conclusions de M. Pasteur. Le grand homme avait pa Il aa eae Finalise © la prophylaxie de la rage aprés morsure est asurée », disaiil. I convenait soit que les aures louent, soic quis restent tranquil. Cependane ily avait beaucoup 3 eritiquer ! inoculation meme qui devait émoigner de la rage était ers incer- taine, Certeexpérience,introduite par Pasteur, consistait 3 prendre un peu de matire provenant d'un animal sus- pect - soit sous a forme de salve, de sang, d'une parcelle Ac cxrveau ou dela moelle éinire, habituellement le liguide cérébro-spinal - et 3 Pinjecter 4 un lapin vivant. Méme en dehors de la lumineuse explication de Bé- champ. il parait évidene pout le sens commun que cete iatire prise &un individu et introduite dans un autre individu semble devo péudicable 3 eden, alpian, médecin frangais, physiologisee ex partisan Pasteur, a trouvé luieméme que la salve d’étres humains sans tnt saps use apidement que a save dun enfant more de Fhydrophobie (...) Voie pour les preuves dela maladie passons maitenant lk prophylnie: Que de changements Pasteur Bt sobir& son rome depuis le début 1.) Le 26 ocrabre 1885, Pasar déstvet sa deme méhode de aftement qui cansistic prendre lx moellesépinires de lpins ayant PEMA E a alin ie aces eee temps différents, pus & bate chacune dlls avec deux fois son propre poids de bouillon série; Fnalement, en commencant pat la culture la plus arénuée, on inocula Te patient pendane dix jours consécudlfs, De ahs ise pre opment uc un Joseph citer, enfant alee ig de neon, ut aialt & crudlement mond par us chien le 4 Jailer précédene (1885) er fur conduit & Pasteur, deux jours fas tard, pour ee trait ca, Ene preave décisve don se came le cfl- be Pana pr pends a sc au Bien Les plus graves des sévéres morsures reeues par enfant, ferent causal jour méme ave de acid phénigue ‘ravjuin 2005 Auteurs du soi jules Pasteur at nol 4 Tlenfant, au moyen d'une seringue de Pravaz, quelques ove dem care de moc rns ds isp Eraient morts de la paralysie résultane d'injecions faites au cerveau de ees pauvses animaux, (...) Pendant les dix jours suivants, Joseph Meister fut inoculé réguliérement, teorant en tout environ dour injections dea dose de Maintenant, en considérant ce cas, nous devons deman- der quelle preuve avait Pasteut, dune part que ce chien fur erage et ae par dee probabil hydropho- Deh stvagerie de animal e du fie d'un examen pesumortem gu avait via présence de «fin, pile Scan ete era oe oak son état rabique, (...) Quant & enfant, le nombre et la sévérté des morsures regues fient dire, aux docteurs, Valpian ec Grancher, appelés 3 donner leur avis, quill érait, en conséquence, presque inévitablement exposé i contacter Thydropbobie, Pourquol ? Comme Hous Favons vu il nly avait pas de preuves réelles de la rage chez le chien qu Tart ataque Mais, dang inwéret de Ia discussion, admettons que I'animal ait é@ enrage, on doit se souvenir que les blessures avaient éré_ caunérisées (..) Pasteur Ini-méme écrivait comme suit & un docteur exer gant envions de Pais « Monsieur les cautérisations que vous aver prati- quées doivent vous rassurer pleincment Sur les conséquences de la morsure. Ne faites plus aucun traitement; ¢est inutile. , mourut sept mois aprés le raitement. Pour se disculper de la mort d'un autre enfant, la petite Louise Pelletier, Véchee fur attribué aux morsures profondes ila &te, au temps trop long écoulé entre la morsure et Finoculation ; cependant Pasteur prétendai la réussite de son traitement sil ait Louis PASTEUR commenct avant que Ihydrophobie ne sétablisse, meme aprés une année ou plus... ss contradictions ne semblent ére dancune impor- tance quand on a besoin de se disculpe, si bien qu'un édecin américain, le docteut Dulles de Philadefphie, a pu dire qu’en placant les décarations de Pasteur cote 4 be, facepation de presque chacune dels appli Feu le docteur Charles Belle Taylos, dans la National Review de juiller 1850, donne une liste de cas oit les lads de Pater sont mors ands qu le chens ql Le cas du facteur frangais, Pierre Rascol, (..) qui fut contraine pa les autorités postales 4 entreprendre le trie tement, ce quil fit du 9 au 14 mars. Le 12 avril suivant, de graves symptimes se révélent, avec une douleur aux joints inoculation - non 3 celui de la morsure, pour la Bonne raion quil avi amas éx€ mords. Le 14 aval, il meurt de "hydrophobic paralytique, la nouvelle mala. die mise ay monde par Pasteur. Il ne faut pas s tonnet aque le professcur Michel Peter accuse : « M. Pasteur ne sguért pas la rage, il la donne, »(..) La revendication du suceés remporté par Pasteur est basée sur af firmation quil reduisi le raux de la morralité a la rage de 16 9 4 1 %. Mais feu le colonel illard 2 montré dans une brochure intitu- Ie Pasteur et la Rage que la théorie d'une morc de 16 8, avane que Paster na introduit son eraitement supposé préven doit étte ridiculement fausse (..) Pasteur, ‘compte 1.7782 malades durane 'année 1887, cee qui signifc, suivant son calcul, que 250 Personne serient mors si elles néien pas venues vers lui, Ceci ne peut que paraftre absurd en regard de fis Ie chife Ie pls Alevé de cas mortels, entegisué au cours dune année, ayant jamais dépassé 66 ! En outre, ‘quittant la France, si nous nous rournons vers autres pays, nous wouvons qu’ Zurich, par ‘exemple, sur 233 personnes mordues par des animaux ‘enrages au cours de 42 années, «4 seulement sont mor- tes, dont 2 Furent morducs a des endroits alt les mesures gueventivs ne pouvaent ve pis » Encore une fois « Wend de Bred, a uit 196 personnes mordues par s animaux enragés, entre les années 1810 ct 1823. Deux one mae ce nombre 4 Avec le alert de Pasteur , la moyenne de cas d hydrophobie passa de 30 & 45, Feu le professeur Carlo Ruata se plaine du pas- sage de 65 décés & 85 aprés installation de huit insticucs anti-rabiques(_.) Nous pouvons rajourer que la Socigté Nationaled’Antivivisection a réuni une liste de 1220 mmorts aprés traitement pasteurien entre les années 1885, e¢ 1901, et que Union Britannique pour Faboltion dela vivisection prépare une autre liste qui totalise deja presque 2000 cas, et que chacune de ces morts apres traitemene a été prise sur les état offciels des institus, Pasteur pour la Défense des Etres Humans ‘contre 20 € ce livre inédit qui avait pas été rei depuis 1948, sous forme de CD-ROM pour PC et pour ‘Mac. ‘Académie pour la Défense des Etres Hamains - 37, rue de Ia Pépinitee - 17000 -LA ROCHELLE ‘ma-juln 2008, a _ CONTACTS-EXOPLANETAIRE U ae Lrs EXTRATERRES' RES Ss) Pac Michoe Sal, PAD © 3 décarbre 2004. Conmeriae axopaltiqua n” 23. Sto ‘web niip/hawa.onopoltes.org Entatons avec Chars J Hal BS, MA, BA, sis web Ripsinembers eos ‘couniChares al «GRANDS BLANCS» Tandis qu'il occupait un poste d’observateur météo au Nevada sur la Base Nellis de US Air Force, au milieu des années 1960, Charles Hall eut des contacts avec un groupe d’étres aliénigenes, dits «Grands Blanes», qui y sSjournaient et effectuaient des transferts de tech- nologie avec les militaires américains. MOTIVATIONS ET IMPLICATION EXOPOLITIQUE, [DES EXTRATERRESTRES GRANDS BLANCS. (Ce qui suc ese adapté d'une entrevue avec Chatles Hall. réalise le 2 décembre 2004 et concern l'existence d’ex- traterrestes Grands Blancs quil rencontra tandis qu'il assurait son service dobservateur météorologique 4 la Nellis Air Force Base au Nevada de 1965 & 1967. Son expérience est consignée dans Fouvrage en trois volumes Millennial Hospitality (pout les détails, ef. hep:!/mem- bers lycos.co..uk/Charles Hall). Javais précidemment Ju les deux premicrs volumes de son ouvrage et exposé ‘mes impressions dans un court article (ef. heep://wwww. cxopolitis.org/Exo-Comment-22.htm). Je fus mis en relation avec Chatles Hall par Paola Harts la premigre éminente cherchcuse & sétte penchée séreusement sur ce cas (ef heeps//sww-paolahatrs:ifhall hr). Loss de entretien, mon but état d obtenir une meilleu- re notion des motivations des Grands Blancs et de la portée cxopolitique de leur présence sur Terre. Je com- mance la transcription de mon interview par un résumé cde mes questions et des reponses de Charles Hall. (Note: les réponses sont resticuées& la eroisiéme personne et nous avons adapté en conséquence la personne grammaticale des questions. Ed). Je termine par une analyse de son témoignage et de sa série de livres quis je pense, sont d'une importance vital en tanc quinitative de divulga- sion susceptible d'attirer attention du public et d’avoir tune grande portée exopolitique Michael E. Salla, PhD, décembre 2004, Pourquoi a-til qualifé som livre de «fiction» ? I falaicquil se protége, ainsi que ceux qui travaillaient avec lui Il changea les noms pour protéget les innocents Iuieméme et e’autres militares. I remplaca également le rnom de ceux qui avaient subi de graves pressions psy- chologiques et des taumatismes. Certains demandérent que leur nom soient modifié. I affiema que tout ce qui cst relaé est authentique et ausi fiddle que possible de son expérience des événements. ‘Comment s'esil souvenu de toutes les conversations rapportées dans le livre? Tne tenait pas de journal mais consignait Fessentiel ddans un rogistc. Pour érie le livre il se a surtout 3 ses souvenirs. Avec chacun d’entre eux, il revivait ses émo- tions et celle-i Faidaient a resticuer les événements et les conversations. Les épisodes clef étaient gravés dans sa mémoire. Il lui fillur résumer de nombreuses con- versations et certaines durent étre reconstituées. C'est habituellement le cas pour les entretiens quil tint avec des membres des forces aériennes. Les conversations avec les Grands Blanes {G.B] sont presque transcrtes ‘mot & mot, pour la simple raison que ceux-ci parlaient tuts peu. Les individus masculins ne patlaent presque pas alors que les femmes G.B. étaient plus bavardes. Sis ne portaient pas leur équipement de transmission, les G.B. ne communiquaient pas du tout. Charles attachait ‘beaucoup d'imporcance a ses émotions et celles-ci sont fidalement resttuées dans le livre. ‘Quand a-til commencé a écrire le livre? Pendant la période de 1965 4 68, il tata d'abord de raconter ses expériences. Lorsqu'l disposa d'un crite- ment de texte en 1985, il commenca di les taper puis es ‘enregistrer sur disquettes. Ce fut un processus lent, pour des raisons techniques autant qu'émotionnelles, puisque cela lui fasai revivre ses expériences, Il lui fallut, par exemple, six mois avant de maitisr les peurs quill eut en 1965 visa vis des G.B. (Quand le livre Fut-il terminé ? Dans les années 1980 il eur du mal & trouver un éditeur sympathisant, ct i cela sajoutaient sex responsabilités familales. En 2002, se trouvant sans emploi il com- ler puis publier ce quil avaic trouva, Firtbook com, accepta les simpressions & la demandes, qui lui permettaient de conudler les droits d’auteus, ec. Il nlest pas encore cntigrement satisfit de ce quil a publié jusquici ex vyoudrait remanier encore le premier volume. Lessentiel du live a &é en chanticr de 1985 3 2002, Védition dé- finitive fut réalisée de fin 2002 a fin 2003. A-til pris des photos? Jamas, Lorsquil était sur le terrain, son premier souci ‘rai de rester en vie, il nétait pas question de prendre des photos. Au début, il croyait réver, (Cest pour cela ‘que I'Aire 51 a écé baptisée «pays du réves). Plus tard, lorsquil sapergut que les G.B. étaient authentiques, tenta, i chaque retour la base, de sen Laver la mémoire, ce qui exclusit Fidée de prendre des photos. Craignant, en outre, d’importuner les G.B., il observa tun comportement erés réservé. Il estima quil eur &é NEXUS ne36 ‘at an 2005 imprudent de photographer, cla aurait ples ficher : et de coure fagon ils éraient Capables de détruire ces preuves, car ils avaient aecés & routes ses aflares person- nelles. Sait il si d’autres militares one pris des photos des G.B.? Non, mais il se souvient avoir apercu des phoros de G.B. quiil pense authentiques dans un livre de poche publié au début des années 1990 5 elle avaiene été prises par une mize au foyer qui se rendait 3 Albuquerque au Nouveau Mexique ; andis qu'elle awendait au bord dune grand route elle vi passer un whicule de recon- naissance et prit six photos de G.B. qui mesuraient deux métres de haut. On suppose que, sous couvert de cette histoire, il Sagisait de Texpérience d'un militaire qui aura pris les photos et les aurait envoyées & cette femme. Malheureusement, i nese souvient pas du nom de Peuteur les A-til regu des pressions ou des recommandations de ne pas divulguer les événements de Nellis? Non. Il dit que l'information mééorologique n'a jamais fait partic des domaines clasifés. Comme observateur rméo il ra jamais fait partie d'une operation secre oil fallic preter serment de silenee. Les ordees donnés A Charlie éraientclasifiés, mais pas ses activités. Cette décision avait &cé prise par un comité qui incluait les G.B. et certaines personnes du Fentagone. En principe, Charlie érait libre de communiquer avec les G.B, sans avoir le rapporter systématiquement. Tl raconte que les généraux américains étaient préts & ‘tout pour obtenir des transferts de technologie. Ils auto- risaient les G.B. 4 tuer les militares qui les insulter. les menaceraient ou leur feraient du tore. Dans son live, il décrit un incident au cours duguel un militaire, ayant bruyamment invectivé un enfant de G.B., dat plaider pour sa vie. La seule raison pour laquelle les G.B. ne le mirent pas 2 mort fut, selon Charlie, Vintervintion un G.B. masculin auprés de la femme G.B. qui argua 4que, puisque le militaire avait pas touche & enfant, les généraux américains ne comprendraient pas pourquoi elle aurat eué Pinculpé. Charlie affirme cependant que les généraux étaient préts & sactifir des subalternes 3 la vindicre des G.B. plurdr que de voir entravé l'échange de technologies. Diautres militaires ont-ls été mis & mort pour avoir agressé ou irrité des GB. raconta un incidene survenu en septembre 1965 prés dea montagne Indian Springs oi les G.B. avaient leur Frangar principal. Selon une histoire qui fit la Une parm les réces relatant les rencontres avec les G.B., eeuxcei avaient été pris pour des moutons bighorn dans le sert. Un chasseur et son copain louérent des chevaux. avec intention de ramener un trophée. Ils se séparérent cet Fun deux sapprocha du hangar des G.B. et tra sur tun de leurs enfants, Les G.B, le saisirenc et le emisent Bee ses années 60 aux gardes militares humains. Ceuxei Texécutérent et firentcroire 3 un déets accidentel. Les gardes trouvérent le deuxitme chasseur, le passérent 3 tabac ec le mirent au trou pendanc environ six Charlie assure quthabicuellement si on ne blesait personne, qu‘on méaic pas armé et quon se comportait en simple randonncur, les G.B. rintervenaient pas. Is ne euaiene que sils étaient mena- cf; leur doctrine erat: voeil pour ocil, dent pour dent» Si on ne faisait rien pour les effrayer ‘ou les agresser, au pire ils effarouchaient pacifiquement les intrus pour les éloigner. Quiest-ce qui lui fat dire que les générau étaient si avides de recevoir de la technologie des G.B. ? Is auraiene fait wimporte quoi pour entrctenit de bonnes relations avec les G.B., afin d‘obtenir leur tech- nologic. Ceci fut corroboré par une conversation que le G.B. sinstructeur» cut avec Charles. Les généraux américains ne sopposaienc pas a ce que les G.B. tuent des milaires qui auraient causé du tore 3 un de leurs enfants. Les G.B. échangeaient des technologies telles que des systtmes radios et communications, mais rien de ce qui touchait aux vitesses supra luminiques. Ces échanges de technologie se limitaient 3 ce qui pouvait leur ére utile, tel que Taccés& nos sytémes de télécom- munication Ils aidaient au développement de véhicules A propulsion nucléaire, mais pas & celui de systémes de propulsion pout le voyage spatial. ls ne partageaient pas avec les généraux leurs technologies antigravité destindes a Tespace. Les généraux américains les accompagnaient parfois dans leurs véhicules de patrouille dont la technologie ézait done partagée, puisque ces véhicules étaient cons- ‘tits sur’ Terre avee nas matériaux et aide des militares US. Les G.B. assstaient parfois 3 des réunions secretes ex participaient 8 des recherches de technologie. Charles décrivit comment sopéraient ces échanges. Les G.B. participaicne & ces reunions et contribusient au travail «en posant les bonnes questions Dans le premicr tome, il conte un incident au cours 4 la Chine abandonner tout voyage dans Fespace au deli de 100 mills de la Terre eici 2012. (Source : India Daily, 1 Novembre 2008) L'Inde pourrait étre la 1ére nation 4 révéler au monde ses contacts extra-terrestres New Delhi est au ceeur d'un importane débac interne gar dé secret. D’un céré, son staut de plus grande démocratie au monde exige de révdler & ses eitoyens et au monde ses contacts entretenus avec les ovnis et les extraterestres. De autre, la bienséance implicte en vigueur dans les relations internationales interdie quoi que ce soit susceptible de pro- voquer la peur et la panique dans le monde enter. Iesebien connu des ufologues que chacune des 5 puissan- «es nucléaires a & contactée avec des étres venus des toi- les depuis un certain temps. Il n'y a pas longtemps, l'Inde ‘ava un grand nombre de nouveaux reportages sur les ovnis et leurs bases secréves dans P Himalaya, pres des installa- tions militaireschinoises. A Ladakh par exemple, es gens du coin signalene précsément le phénoméne journaler de grands vaiscaur triangulaires surgissane de sous la cere et des forces indiennes qui assurent leur sécurité Miliaires et politciens ont admis que I'Inde a été contac- tée et mise au fait des lois et régles de Univers. Le choix qui se pose est soir de garder le secret comme les autres pays . soit de sortir du rang et de dire la vérité selon la tradition d'une société totalement transparent. LTnde est yuverte et démocratique que cela Iui ext ts difficile de garder longtemps un secret ~ et 8 la différence des autres pays, Cestaujourd’hui devenu le plus grand souci du gou- Si Finformation passe en premier par des voies non off cielles, et quensuite les autorités soient obligés de se con- fesser, deux conséquence importantes sont 3 craindre. Tout @abord, cela pourrait probablement causer Iz panique aussi bien dans le pays que dans le reste du monde. En- suite, vu a fagon donc la politique indienne est organisée, le parti au pouvoir pourrait dere rejerté en un clin del si jamais on découvre que le gouvernement cachait de tells informations au public. I semble que les puissances mondiales aient conseillée 4 inde de respecter les consignes tactes en la matiére et lui ait proposé une reconnaissance comme superpuissance émergeante en échange. Le pays est confronté 3 un dilemme intétieur: soi se sou- mertre au réples internationales, aux lois de I'Univers, et ire reconnu comme une superpuissance, soit ére honnéte cenvers ss citoyens et envets les habitants du Monde. Selon des sources proches du gouvernement, les contacts des fovnis sont connus de quelques membres de opposition et bien sir de ceux du parti au pouvoir Larmée a aussi routes les raisons légitimes de ne pas dé- voller le seeret. Source: India Daily 6 janvier 2005, Chesplisvorindiadaly.comeditoril/01-063-05.asp ) ‘matin 2008, aaa | Des archéologues jettent une lumiére nouvelle sur les civilisations les plus connues en Amérique. De sécentesfouilles archéologiques entratnent la mise 3 jour d'une civilisation apparue ily a plus de 5000 ans, dans 3 petites vallées 4 100 milles aut nord de Lima, au Pérou et ayant duré plus dun millénire. Ces fouilles démontrent Taménagement de plus de 20 importants espaces rsidemticls séparé,caractérisés par une architecture majestuese, des grands éifices céiémonills sphériques ainsi que des logements ex une agriculture iriguée Lex chercheurs, qui ont publié eur découverte dans Védition du 23 décembre 2004 du journal scientifique « Nature», cont utilisé la datation au catbone pour déterminet l'spogée et la chute de cette premitresocieé complexe des Amédi- «ques datant approximativement de 3000 8 1800 ans avant Jésus Chris. Ils ont érudié I éendue de cet empire qui couvre tune suefice d'envizon 700 milles (1800 km?) dans la région de Norte Chico, au Pérou. Larchitecture majestucuse ‘tai lagrante & chaque emplacement, marquee parla présence de grandes dlévations de plate-forme, également décrites comme des pyramids en terrasse receangulares qui atteignaient une hauteur de 26 m. «Tl ne Sit pas d'un site unique d'actvieés peu communes, mais dune région enttze, de route une culture ol qui conque éuait desting 3 édifer de grandes pyramides e des places encassées, structures jamais wuss en Amérique aupa ravant » selon le profescur Winnifred Creamer, anehropologue de la Northera Illinois Universisy (NIU). « Ceux qui one crééle premier de ces bétiment favaient aucun exemple &suivre, aucun précédent dans la construction dde monuments. C'est un peu comme décider de construire un vasa spatial en état de marche dans votre ati cour ty parvenit» (Creamer ext co-autcur d'articles de « Nature» avec son mari, Jonathan Haas, profexeuradjoine& fa NIU et Conser- ‘ateur en Anthropologie au Field Muséum de Chicago, ainsi qulavec Alvaro Ruiz, éudiant diplmé de la NIU ec le dlizcteur péruvien du projet. En 2001, Creamer et Haas fussine patie de 'équipe de recherche qui annoncé qucles six rumulus immenses dé- couverts sur le site de Caral, dans la Supe Vlley dans les Andes, représentaient les plus antiques constructions ft par 1 Homme conus en Amérique. Leus dernies découvertes éablissent qu les sites comme celui de Cara font partie dun vaste complexe de centres | résidentiels S@tendant sur un_terrivoie qui comprenat les sallées de la Supe jde la Patvilea, et de a Forealeza — une | ségion qui eétead des Andes a linoral occidental du Pérou Centra ass ate ace ee eee | FARCE OU AVOLE te LOT Con eee ete | eC aouan va mies rectangulires en terrases. Les plus grandes dente | issuers elle ayaient un volume de 80,000 & plus de 150,000m?, Les terrae es pus lewées de ces constructions accuellaent des pies. Un ate signe dstintif de es sites ext ka présence de places circulars encassées en diamétre variant de 20 340 méues et profondes d'un & deux metres. En bref, les sites de Norte Chico indiquent une civilisation | avaneée qui a surgi sans le développement des céramiques, munype eallene i aneee eee ermemettee | ‘monde enter. Des campagnes de fouillessupplémentares seront néoes- | saires 3 Févaluation précise de la population de oes centres, tesidenticl, | (Source: Pres release, Northern lines University Office of GLoBALE ET ECONOMIQUE, — ao (QUE VOUS SOYEZ COMMERCANT, w- L€ PROGICIEL WEBDATAGEST \VOUS APPORTE UNE SOLUTION Public Affi, 22 December 2004 | , POUR VOUS PREPARER «at Inpil www. niwsedu/pubaffairs/presskits/perul A LVavenTR OU WEB. Voir aus le rapport dans Nexus n° 16) | | | WWW. BEeee Cas yin NEXUS ne3e ‘matin 2008 _

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