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Nom : Sebastián Rodríguez Moncada

CRITIQUE CINÉMATOGRAPHIQUE - LA JETÉE

Si vous êtes dit que la seule opportunité de sauver l’humanité c’étiez a travers du voyage
dans le temps, vous seriez mentalement capable de voyager et voir le passé et l’avenir
sans tomber dans la folie ? Bon, c’est ça de quoi s’agit ce court-métrage
postapocalyptique, duquel on va faire une petite critique en remarquant les aspects qui
font le film formidable (à mon avis) et très recommandable à voir.
Toutefois, avant de passer directement à la critique, il faut premièrement parler du format
et de l’intrigue. Par rapport au premier sujet, ce film, réalisé par Chris Marker, est un
photo-métrage en blanc et noir de 28 minutes, dont développement de l’histoire est
raconté par un narrateur, la seule personne qui parle dans le film.
Par rapport à l’intrigue, ce court-métrage nous raconte l’histoire d’un homme marqué par
une image d'enfance, laquelle a eu lieu dans la jetée d’Orly, où il a vu la mort d’un homme
sous les yeux d’une femme. Puis, quand la troisième guerre mondiale s’est produite, le
héros, prisonnier par les allemands, est partie d’une série des expérimentes dans un camp
souterrain sous le palais de Chaillot, situé dans une Paris, pleine de radioactivité,
complétement détruite et dévastée par la guerre. L’objectif de ces expérimentes était
d’envoyer des personnes pour établir un corridor temporel qui permettre aux hommes
d'autres époques de transporter des vivres, des médicaments et des sources d'énergie.
Cependant, c’est n’était pas facile de faire ça parce que selon les études des scientifiques,
voyager dans le temps impliquait une expérience assez choquante pour l’esprit qu’il était
décrit comme « Renaître mais cette fois comme un adulte ». Pour cette raison, personne
ne résistait pas à ça et en conséquence, ils devenaient fous et mouraient. Mais quand les
investigateurs ont choisi le protagoniste, celui a réussi l’expérimente et a pu voyager dans
le temps, tout grâce à son souvenir traumatique de l’enfance. Pour renforcer et habituer à
l’esprit de l’homme, il était envoyé au passé plusieurs fois où il a vu la femme de sa
souvenir, celle qui a vu la mort d’un homme sous ses yeux à la jetée. Le héros donc, a
parlé avec elle et ils ont établi une liaison entre eux. Néanmoins, les preuves dans le
passé avaient fini déjà, et l’homme était envoyé au futur ou il choisira entre son bon avenir
ou une vie à côté de la seule femme qu’il garde dans ses mémoires.
Cette fois-ci, je commence la critique.
D’abord, je vais parler des caractéristiques du format, lesquelles étaient faits à partir d’une
série de circonstances sociales et culturels. La raison de ce que je viens de dire c’est
parce que cette production cinématographique est née du « Rive Gauche », un
mouvement conformé à la fin des années 50 par des cinéastes jeunes, lesquelles ont été
contre les structures traditionnelles que les courants dominants imposaient pour faire du
cinéma français. En revanche, cette nouvelle génération des cinéastes proposait une
liberté pas seulement d’expression mais en plus, une liberté technique pour réaliser des
films. A partir de ce qui précède, La Jetée a entrainé une réponse forte aux systèmes
institutionalisés du cinéma « standard » de sorte que ce film casse le grand paradigme du
mouvement dans le cinéma français en réalisant un court-métrage exclusivement des
photos, une chose inconcevable pour le cinéma de l’époque. De la même façon, Chris
Marker révoque la conception conventionnelle de relationner les personnages avec une
communication directe par des dialogues. Cependant, Tous ces dialogues sont remplacés
par la seule voix du narrateur, laquelle comporte les autres voix de l’histoire.
En parlant de l’histoire, il a surgi dû aux situations sociales et politiques. Le plus
important : La deuxième guerre mondiale. Ça a créé une société de la pos guerre dont
principaux sentiments étaient l’angoisse, la peur et l’incertitude au moment de mentionner
quelque chose de la guerre.
Alors, qu’est qui s’arrive avec ces deux sujets ? bon, ce que j’adore de ce fil c’est que
Chris Marker a fait changer la perception qu’on avait de la guerre pour une autre dans
laquelle ces mêmes sentiments déjà nommés (angoisse, peur, incertitude) peuvent être
aperçu à travers de la bande son mélancolique qui accompagne les images d’une Paris
détruite, à travers des battements qu’on écoute tandis que le protagoniste supportait les
expérimentés des allemands. Même, Chris Marker introduit le sentiment du bonheur,
lequel est représenté par la femme de l’histoire comme la seule raison pour laquelle notre
protagoniste peut maintenir l’espoir pour continuer à vivre. De cette manière, on aperçut
aussi l’amour dans une autre contexte, dans ce cas-là, la guerre.
Comme petite conclusion, j’ai trouvé vraiment intéressant ce film parce que c’est une
manifestation de la littérature dans le cinéma. Cette œuvre présente une relation très forte
entre la forme (format) et le contenu (Le sujet – L’intrigue) de façon que Chris Marker joue
avec les diffèrent moyens esthétiques comme par exemple le photo-montage pour faire
concevoir l’histoire, la guerre ou la même existence humaine d’une manière différente à
celle que nous connaissons déjà.

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