Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
1
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
2
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
Plus grand champ d'applications : Le faisceau laser est un outil universel pour de nombreux
matériaux, comme le bois, le verre, le MDF, les tissus, le carton, le papier, les films, les métaux et bien
plus encore.
3
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
Traitement du matériel sans contact : Dans la gravure mécanique, le matériau doit souvent être fixé
fermement, parfois sous vide. Cela prend du temps et peut endommager le matériau. Avec le
traitement laser, cela n'est plus nécessaire. Le traitement se fait sans contact, ce qui ne produit pas
d'éclat et, en comparaison, très peu de poussière. Tout cela permet de gagner du temps et de l’argent.
Pas d'usure des outils : Grâce au traitement du matériau sans contact du laser, il n'y a pas à faire de
frais pour les fraiseuses et les perceuses.
Une précision maximale et des détails très fins : La technologie laser permet de réaliser les motifs
les plus fins, avec la plus grande précision. Tant que vous pouvez le dessiner, vous pouvez le graver et
le marquer à l'aide d'un laser.
Typon : Le typon est en fait le schéma de notre circuit, imprimé sur du papier transparent (le plus
souvent avec une imprimante laser). Pour créer ce typon on peut soit dessiner notre circuit à main
levée (à éviter) ou bien utiliser des logiciels spécialisés dans la création de PCB (= circuit imprimé,
cela signifie Printed Circuit Board).
On trouve divers logiciels destinés au dessin des CI, parmi eux on trouve le logiciel Eagle, Dessinci,
CIAO, Autosketch, ...
4
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
L'étude du circuit se fait à l'aide d'une grille normalisée au pas de 2,54 mm, ceci pour obtenir une
position standard des composants.
La difficulté du dessin d'un circuit imprimé vient du fait que l'on ne peut pas croiser les bandes de
cuivre comme les connexions du schéma théorique sous peine de court-circuit, donc le dessin du CI
sera souvent très différent du schéma.
Il sera composé essentiellement de bandes (pistes) et de pastilles de cuivres :
pastilles pour la soudure des composants ;
bandes (pistes) pour relier entre elles les pastilles conformément au schéma.
Règles de réalisation de dessin de circuit imprimé
5
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
Pour les transistors on fera en sorte d'écarter les pattes le moins possible.
Pour les circuits intégrés, les sorties étant rigides et normalisées
au pas de 2,54mm.
Les pastilles :
pastilles rondes :
généralement elles sont utilisées pour les composants discrets et les circuits intégrés de boîtier rond
(To 5), Leur diamètre dépend de la dimension des pattes du composants. La valeur courante que nous
utiliserons sera de 2 mm pour la majorité des composants spéciaux le diamètre des pastilles sera à la
demande. Le trou central des pastilles de 2 mm sera de 0,8 à 1 mm.
pastilles rectangulaires : ces pastilles sont destinées pour les circuits intégrés DIL.
Les pistes :
En général la largeur des bandes sera de 1 mm, mais pourra être différentes dans les cas suivants :
Plus minces : circuits miniatures, forts taux de remplissage, etc.
Plus larges : lignes de masses, lignes à forte densité de courant, etc.
Les dimensions de la carte seront multiples du pas.
Toujours prévoir la fixation de la carte.
Les composants sont toujours parallèlement et perpendiculairement montés entre eux.
Du côté composant, toutes indications utiles au câblage doivent être notées.
6
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
Remarque
Il existe une technique dite "câblage anglais" qui permet d'enlever le minimum de cuivre à la gravure.
Pour passer du typon (masque) au circuit imprimé, on optera la plupart du temps pour la solution du
cuivre présensibilisé. Cela signifie que lorsque l’on va insoler sa surface avec des lampes ultraviolet, le
dessin du typon va venir s’y graver. Ce principe relève de celui de photographie.
Une fois que la couche photosensible se retrouve gravée, il ne reste plus qu’à plonger la plaquette dans
une solution liquide que l’on appelle le révélateur. On assiste alors à la disparition de toutes les
surfaces qui furent exposées au rayonnement ultraviolet. Après le rinçage de la surface de cuivre, on
peut administrer le traitement du perchlorure de fer. C’est l’étape la plus délicate car « irréversible ».
en effet, si le cuivre est resté trop longtemps dans le bain, centaines pistes ont pu disparaître. L’acide
attaque toutes les parties de la plaque de cuivre non protégée par la couche sensible (résine n’ayant pas
été impressionnée par l’UV).
7
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
1. Réalisation de Typon :
Le dessin peut être exécuté sur calque ou film
transparent (typon).
Ce masque peut être positif ou négatif, suivant
la nature de la résine photosensible dans le
procédé photogravure.
LAVAGE + SECHAGE :
eau claire + chiffon
8
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
Celsius environ.
LAVAGE + SECHAGE :
eau claire + chiffon
NETTOYAGE :
Frotter énergiquement
5.ETAMAGE :
Étamage à froid (chimique) ou à chaud (Dépôt
d'étain sur le cuivre) évitant l'oxydation du
cuivre (Protection du cuivre).
9
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
8. Soudage :
Pour réaliser les soudures sur les circuits
imprimés, nous utiliserons un fer à souder de
faible puissance: 25 à 30W.
on termine par cette dernière étape le Circuit
Imprimé.
La dernière chose qui reste à faire est le test du
circuits puis son montage dans un boîtier final.
Placer le composant
2
Centrer le composant sur le CI
Contrôler l'angle
4
Contrôler l'écartement
5 Implanter le composant
10
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
fer à souder:
1 Chauffer la patte
11
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
INTRODUCTION
Un circuit électrique ou électronique est réalisé par un ensemble de pièces de différentes espèces ayant
des fonctions diverses et généralement connues sous le nom de «composants».
Ces composants sont formés de résistances, condensateurs, inductances, transformateurs, tubes
électroniques, semi-conducteurs, circuits intégrés, matériaux de raccordement et de commutation.
Il faut connaître ces composants afin de les utiliser dans les meilleures conditions.
I. LES RÉSISTANCES
Les résistances sont les composants les plus utilisés dans les circuits ; ils présentent une résistance au
passage du courant. La matière de base est constituée par un mélange de carbone, de matière isolante
et de liant.
I.2. IDENTIFICATION DES RÉSISTANCES
Le remplacement d'une résistance dans un circuit électronique nécessite la prise en compte des
paramètres suivants : la valeur nominale, la tolérance, et la puissance nominale.
La valeur nominale : c'est la résistivité électrique, elle est en ohm () à la température ambiante de
25°C.
La tolérance est un pourcentage, en plus et en moins autour de la valeur nominale, que le fournisseur
s'engage à respecter pour toutes les pièces livrées. Plus la tolérance est serrée, meilleure est la précision
; si nous prenons une résistance de valeur nominale 120 avec une tolérance de ± 10 %, nous avons
un écart de ± 12 (120 x ± 10 / 100 = ± 12). Donc : 108 ≤ Rréelle ≤ 132.
La puissance nominale est la puissance que peut dissiper la résistance en air calme à la pression
atmosphérique normale et pour une température ambiante généralement de 20 ou de 25°C.
RÉSISTANCES FIXES :
a) Inscriptions :
Ces données sont exprimées au moyen de chiffres, de lettres ou de bagues de couleur selon un code
bien défini.
Quand la valeur ohmique est indiquée en chiffres, on peut trouver par exemple les inscriptions
suivantes : 0,301 ± 1 % - 1 W ; 19,6 ± 1 % ; 2.10 ± 1 %
On remarque que l'indication de puissance peut être omise et que l'on peut trouver un point à la place
de la virgule.
12
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
Parfois pour les valeurs ohmiques inférieures à 1 000 , le symbole «» est remplacé par la lettre «R»
; si cette valeur est décimale, la lettre «R» peut prendre la place de la virgule ou du point comme dans
les exemples suivantes :
100 R ± 10 % = 100 , tolérance ± 10 %
R499 ± 1 % = 0,499 , tolérance ± 1 %
Pour des résistances produites par le même constructeur et de valeur supérieure à 1 000 , la lettre
«R» est remplacée par la lettre «K» (multiplicateur : x 1 000) :
8K2 = 8,200 k = 8 200
Enfin, l'inscription peut être abrégée ainsi : 1,5M /10 / 1 = 1,5 M ± 10 %, 1 W
b) Code des couleurs :
le code à quatre couleurs : est reporté sur la figure 1-1 ; comme on peut le voir, chaque anneau de
couleur, selon la position occupée, à une signification particulière.
La lecture débute à partir de la bande la plus proche de l'une des extrémités de la résistance ; les
couleurs des deux premiers anneaux indiquent les deux premiers chiffres significatifs de la valeur
ohmique, la couleur du troisième anneau donne le coefficient de multiplication et enfin le quatrième la
tolérance.
L'éventuelle absence du quatrième anneau sous-entend une valeur avec tolérance de ± 20 %.
R = X Y . 10Z ± T%
Figure 1-1: code à quatre couleurs
le code à cinq couleurs : est reporté dans la figure 1-2; il est utilisé quand la valeur ohmique est
composée de trois chiffres significatifs ; la valeur nominale est comprise dans les trois premiers
anneaux et les deux derniers correspondent aux mêmes paramètres que ceux du code à quatre couleurs.
R = X Y Z . 10J ± T%
13
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
14
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
RÉSISTANCES VARIABLES :
Les résistances variables sont constituées par un élément résistif sur lequel se déplace un contact
appelé curseur qui est commandé par l'utilisateur.
Quand les extrémités de l'élément résistif et le curseur sont raccordés à trois bornes externes distinctes,
on a un potentiomètre ; si par contre le curseur est relié à l'un des contacts latéraux et ne présente que
deux bornes externes, on a un rhéostat ou une résistance variable.
POTENTIOMÈTRES
Sur l'élément résistif glisse un contact mobile (curseur) sur lequel est fixé mécaniquement un axe de
commande isolé du curseur. En tournant cet axe, on fait varier la valeur ohmique entre la borne reliée
au curseur et chacune des bornes latérales fixées aux extrémités de la résistance.
Rtotal = Ra + Rb : elle est clairement indiquée sur le capot en même temps qu'un code qui en désigne le
type de variation.
L'allure de la variation de cette résistivité en fonction de rotation (elle peut être linéaire, logarithmique
ou pseudo-logarithmique), la tolérance et la puissance pouvant être dissipée.
Souvent à la place de la virgule, les lettres R, K et M sont utilisées et remplacent les coefficients
multiplicateurs qui valent respectivement 1, 1 000, 1 000 000 .
Les potentiomètres linéaires peuvent être marqués avec le sigle «A», «C1», «LIN» ou «L».
Les potentiomètres logarithmiques peuvent avoir le sigle «B», «C», «C2», «LOG» ou «E», «BR».
II. - LES CONDENSATEURS :
Nous allons voir maintenant un autre composant aussi indispensable que la résistance dans les circuits
électroniques : le condensateur.
Ils sont formés par deux plaques conductrices, appelées armatures et séparées par un isolant qui est
nommé diélectrique. Pour un type de diélectrique donné, plus la superficie des armatures est grande
ou la distance qui les sépare petite, plus grande est la capacité du condensateur.
15
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
16
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
17
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
18
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
19
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
20
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
21
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
Ce sont des produits de fabrication courante généralement fabriqués par plusieurs constructeurs
différents, ils sont interchangeables et sont généralement repérés par un code alphanumérique :
Soit, selon le standard américain JEDEC (composants discrets) ;
Soit, selon le standard japonais ;
Soit, selon le standard européen PRO-ELECTRON.
Ce sont des produits développés et fabriqués par un constructeur et pour lesquels il n’existe pas
toujours d’équivalent chez d’autres constructeurs. L’identification se fait alors selon un code
alphanumérique propre à chaque constructeur.
Ce sont des produits fabriqués par un ou plusieurs constructeurs pour un seul client selon un cahier de
charges fourni par les clients. L’identification se fait alors selon les désirs du client.
Il est pratiquement impossible de retrouver l’origine du composant (c’est le cas d’un certain nombre de
circuits intégrés utilisés dans les systèmes informatiques).
II. Le marquage :
C’est une information importante pour la recherche d’un numéro dans un catalogue. Il est en effet
inutile d’éplucher le catalogue X alors que le produit est fabriquer par Y.
C’est évidemment l’information la plus importante ; c’est elle qui permet de retrouver la notice du
composant dans le catalogue du constructeur.
22
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
Elle permet de dater un équipement, de situer une technologie. La date de fabrication se présente
généralement sous la norme de trois ou quatre chiffres séparés. Les deux derniers chiffres
correspondent au numéro de la semaine et les premiers à l’année.
Exemple :
L’inscription 7847 ou 847 Veut dire que le composant a été fabriqué en 1978 pendent la 470 semaine,
c'est-à-dire à la fin du mois de Novembre.
Seul le marquage des produits standards répond à l’une des trois systèmes de numérotation standard.
Le code des composants « Clients » est pratiquement indéchiffrable.
Pour produits « Maison », le constructeur utilise un code qui lui est propre et qu’il utilise soit pour
désigner un produit nouveau soit un circuit fabriqué en seconde source. C’est le cas du populaire
ampli-opérationnel 741 que l’on trouve sous les références μA741, SFC2741, SN72741, MCI741,….
On trouve en général dans les catalogues des constructeurs, des listes d’équivalence qui permettent de
s’y retrouver.
Il faut différencier à ce niveau le marquage des composants discrets de celui des circuits intégrés.
C’est le système le plus ancien ; il ne contient pas en lui-même d’informations sur la nature et
l’utilisation du composant. Il se compose de :
Un chiffre donnant grossièrement la nature du composant :
1 : Diodes
2 : Dispositifs à quatre électrodes (transistors-thyristors)
3 : Dispositifs à quatre électrodes
4 : Dispositifs optoélectroniques.
De la lettre N indiquant qu’il s’agit d’un composant semi-conducteur.
D’un numéro d’ordre de 2 à 4 chiffres.
Exemple :
1N914 Diode
2N2222 Transistor
23
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
il se compose de :
Un chiffre indiquant la nature du composant (même code que JEDEC).
La lettre S suivie pour les composants actifs d’une lettre indiquant la fonction.
Exemple : 2SA : PNP – Haute fréquence
2SB : PNP – base fréquence
2SC : NPN – Haute fréquence
2SD : NPN – base fréquence
2SJ : FET – canal P
2SK : FET – canal N
Un numéro d’ordre de 2 à 4 chiffres.
Deux lettres :
La première indique le matériau de base de la partie active du dispositif :
A : Germanium
B : Silicium
C : Arséniure de Gallium
24
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
25
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
Les redresseurs et thyristors : Un numéro, Le suffixe indique la plus petite des tensions
inverses de pointe répétitive ou tension de pointe répétitive à l’état bloqué. La polarité
inverse est indiquée par l’adjonction de la lettre R au suffixe.
Exemple :
BYX 67 – 1000 : Redresseur silicium / 1000 V
BTW 27 – 400 : Thyristor / 400 V
L’identification des circuits intégrés est beaucoup moins aisée. En effet, beaucoup de circuits
développés par un constructeur sont ensuite fabriqués par plusieurs autres sous une référence qui ne
rappelle pas toujours de manière évidente l’origine du composant. Cependant, pour les nouveaux
circuits, la plupart des constructeurs européens utilisent maintenant le code PRO-ELECTRON.
L’identification s’effectue à l’aide de trois lettres et quatre chiffres suivis éventuellement de versions
indiquant une variante du modèle de base.
b) La troisième lettre :
26
3 Licence TLC : PFC : Chapitre 1& 2 Mme Guebgoub
D : - 25 à + 70 0C
E : - 25 à + 85 0C
F : - 40 à + 85 0C
c) Le numéro d’ordre :
Ce numéro individualise le modèle. Il est composé d’un numéro à quatre chiffres.
Exemple :
TDA 1042 : amplificateur BF intégré
UAA 180 : circuit de commande de LED
Elles peuvent éventuellement être ajoutées pour indiquer une variante du type de base, le boîtier par
exemple :
C : boîtier cylindrique
D : ’’dual in line’’
F : boîtier plat
Q : ’’quadruple in line’’
L’identification d’un composant semi-conducteur est souvent délicate. S’il s’agit d’un composant
standard utilisant le codage européen PRO-ELECTRON, le problème est simple ; par contre si l’on se
trouve en présence d’un composant ’’maison’’, il faut tout d’abord identifier le constructeur et
rechercher dans les catalogues de celui-ci.
Enfin, si l’on est en présence d’un composant ’’client’’, il vaut mieux abandonner.
NB : (circuit intégrés logiques)
Code Texas Instriments :
TL : C.I. linéaires
TIL : Composants Optoélectroniques
TIC : Composants de commande ex : Thyristor, Triac
TIP : Transistors de puissance
Pour les CMOS :
CD40XX = MC140XX
27