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Exercice 1
B = (e x + e − x ) − (e x − e − x )
2 2
( 2 2 2
) (
B = (e x ) + (e − x ) + 2 × e x × e − x − (e x ) + (e − x ) − 2 × e x × e − x
2
)
B = (e ) + (e ) + 2 × e × e − (e ) − (e ) + 2 × e × e
x 2 −x 2 x −x x 2 −x 2 x −x
B = 4 × e x × e− x = 4 × e x − x = 4 × e0 = 4 × 1 = 4
Exercice 2
ln 1
a) A = e − ln(3) = e 3
=1
3
ln 3
b) B = e ln(3) − ln( 2 ) = e 2
=3
2
ln 5
5
e ln(5) − ln(3) = e 2 = 2 = 5 × 1 = 1
c) C = ln(5) + ln(3)
e e ln ( 5 × 3) 5 × 3 2 5 × 3 6
Exercice 3
8 – f (x) = 8 –
1+ e −x
1+ e −x
1+ e −x
1 + e− x
8 × 1x 8
8 – f (x) = e = ex = 8 × ex = 8
1 + 1x ex + 1 ex 1 + ex 1 + ex
e ex
Ces deux quantités f (– x) et 8 – f (x) sont toutes deux égales à 8 x .
1+ e
Donc on a bien 8 – f (x) = f (– x).
Parité
Exercice 4
On constate que l’intervalle ] – 3, + 3[ sur lequel la fonction est définie est symétrique par rapport à zéro. D’autre part, compte
tenu de la remarque ln a = − ln b , il vient :
b a
3+ x
f (– x) = ln = – f (x).
3− x
La fonction f est impaire.
Exercice 5
x −1
Dans le repère d’origine O, une équation de la courbe est : y = 1 x + 2 + ln
2 x +1
Dans le repère d’origine A, une équation de la courbe est :
X −1
Y + 2 = 1 X + 2 + ln
2 X +1
X −1
Y = 1 X + ln
2 X +1
Dans le repère d’origine A, cette courbe est représentative de la fonction h définie sur ]– ∞ ; – 1[ ]1 ; + ∞[ par
X −1
h(X) = 1 X + ln
2 X +1
Le domaine est symétrique par rapport à 0.
− X −1 (− 1) (X + 1) X +1
h ( − X) = − 1 X + ln = − 1 X + ln = − 1 X + ln
2 − X + 1 2 (− 1) (X − 1) 2 X −1
X −1
h ( − X) = − 1 X − ln = − h (X)
2 X +1
La fonction h est impaire donc l’origine A du repère est un centre de symétrie de la courbe.
Conclusion : le point A est un centre de symétrie de la courbe.
Exercice 6
a) e x = − 2 . On sait que la fonction exp est strictement positive, cette équation n’a donc pas de solution : S = Ø.
2 − ln 12 2 − ln 12
b) Pour tout x réel, e 2 − 7 x = 12 équivaut à 2 – 7x = ln 12, soit encore : x = . Donc S = .
7 7
c) L’égalité est définie si et seulement si l’on a simultanément : x + 3 > 0 et x + 2 > 0 et x + 11 > 0 c’est-à-dire : x > – 3 et x > – 2 et
x > – 11
L’ensemble de définition est : ] – 2 ; + ∞[.
Exercice 7
Il vient :
2 x + 3 = e ( x + 3) ln( 2 )
3x − 7 = e ( x − 7 ) ln(3) .
L’équation s’écrit alors : e ( x + 3) ln( 2 ) = e ( x − 7 ) ln(3) ce qui équivaut successivement à :
(x + 3) ln(2) = (x – 7) ln(3)
x ln(2) + 3 ln(2) = x ln(3) – 7 ln(3)
x (ln(2) – ln(3)) = – 3 ln(2) – 7 ln(3)
− 3 ln(2) − 7 ln(3)
x=
ln(2) − ln(3)
− 3 ln(2) − 7 ln(3)
Donc : S =
ln(2) − ln(3)
Exercice 8
On pose X = e x , l’équation s’écrit alors X² + 5X + 24, soit sous la forme canonique : X² – 5X – 24 = 0
Le discriminant de cette équation est Δ = (– 5)² – 4 × (1) × (– 24) = 25 + 96 = 121 = 11².
Les solutions de l’équation X² – 5X – 24 = 0 sont donc 8 et – 3.
L’équation e 2 x = 5 e x + 2 4 équivaut alors à e x = 8 ou e x = − 3 ; or : e x = 8 équivaut à x = ln 8.
e x = − 3 n’a pas de solution car la fonction exp est strictement positive.
Conclusion : S = {ln(8)}.
Exercice 9
On pose X = ln(x), l’équation devient X² – 4X – 77 = 0. Le discriminant de cette équation est : Δ = (– 4)² – 4(1)(– 77) = 324 = 18².
L’équation X² – 4X – 77 = 0 a donc deux solutions : 11 et – 7.
Ainsi l‘équation (ln(x))² – 4 ln(x) – 77 = 0 équivaut à ln x = 11 ou ln x = 7.
Exercice 10
e1 − x ≥ 2 équivaut à 1 – x ≥ ln 2 c’est-à-dire à x ≤ 1 – ln 2.
Conclusion : S = ]– ∞ ; 1 – ln(2)[.
Exercice 11
ln(1 – x) existe si et seulement si 1– x > 0, c’est-à-dire x < 1.
Pour x < 1 ln(1 – x) ≤ 1 équivaut à 1 – x ≤ e1 c’est-à-dire à x ≥ 1 – e.
Finalement,on obtient 1 – e ≤ x < 1.
Conclusion S = [1 – e ; 1[.
Exercice 12
Exercice 13
On pose X = ln(x), il vient X² + X – 6 > 0.
Le trinôme X² + X – 6 a pour racines – 3 et 2, il est strictement positif (c’est-à-dire du signe de son coefficient dominant) si et
seulement si X < – 3 ou X > 2.
Par conséquent (ln(x))² + ln(x) – 6 > 0 équivaut à ln x < – 3 ou ln x > 2.
La première inégalité équivaut à x < e − 3 .
La deuxième inégalité équivaut à x > e 2 .
Et tout ceci pour x > 0.
Conclusion S = ]0 , e − 3 [ ]e 2 ; + ∞ [
Exercice 14
La fonction f est du type e u avec u(x) = – x ; donc u’(x) = – 1.
Finalement f’(x) = − e − x .
Exercice 15
Cette fonction est du type u² avec u(x) = ln(x).
La dérivée est du type 2uu’.
2 ln(x )
Donc f’(x) = 2(ln(x)) 1 = pour x > 0.
x x
Exercice 16
′
La fonction f est du type ln(u), u dérivable et strictement positive sur tout intervalle ne contenant pas 0. On sait qu’alors (ln u ) = u ' .
u
On en déduit que f est dérivable dans tout intervalle I ne contenant pas 0, et f ' ( x ) = 2x2 = 2 pour x appartenant à I.
x x
On a : g = u × v avec u : x x et v : x ln(– x)
La fonction u est évidemment dérivable dans ]– ∞, 0[.
La fonction v est la composée de x – x dérivable et strictement positive sur ]– ∞, 0[, par la fonction ln, dérivable sur ]0, + ∞[. Elle
est donc dérivable sur ]– ∞, 0[.
De tout ceci il résulte que la fonction g est dérivable sur ]– ∞, 0[ et g’ = (u × v)’ = u’ × v + u × v’ entraîne g’(x) = 1 × ln(– x) + x = ln(– x) + 1
pour tout x > 0.
Exercice 17
L’une des deux limites n’est pas une forme indéterminée…
a) Etude en + ∞ :
lim (x + 2) = + ∞ et lim e x = + ∞ entraînent lim f ( x )= + ∞ .
2
x→−∞ x→−∞
Pour lever cette indétermination et pouvoir appliquer les résultats sur les croissances comparées, on met x² en facteur :
2 2 2
f ( x ) = x 1 + 2 e x = x 2 1 + 2 e x 1 + 2 x 2 e x pour x < 0.
x x x
D’après les résultats sur les croissances comparées, il vient : lim x 2 e x = 0 .
x→−∞
2
Pour lever cette indétermination et pouvoir appliquer les résultats sur les croissances comparées, on met e x en facteur :
g ( x ) = e x xx − 1 pour tout x.
2
e
De xlim e x
= + ∞ il résulte lim xx = 0 puis lim xx − 1 = − 1 .
2 2
→+ ∞ x2 x→+∞ e x→+∞
e
Exercice 18
ln(x ) 5 + 1 5 +1
ln( x ) ln(x ) ln(x )
a) f ( x ) = = 2 ×
1 1
x 2 1 + 1 + 12 x 1 + x + 2
x x x
ln(x )
Il suffit maintenant de prendre les limites de chaque terme : lim = 0 d’après les résultats sur les croissances comparées
x
x→+∞ 2
Donc lim f ( x ) = 0 × 1 = 0 .
x→+∞ 1
b) Pour la fonction g, on procède de la même manière : mettre en facteur le terme le plus puissant x².
ln(x )
g ( x ) = x 2 1 − 2
x
ln(x )
lim = 0 et lim x 2 = + ∞ .
x→+∞ x2 x→+∞
En conclusion lim g ( x ) = + ∞ .
x→+∞