Geomorphologie Continentale

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Geomorphologie continentale
Géomorphologie (Université de Picardie Jules Verne)
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La Géomorphologie continentale :
Paysages et Processus
Définitions et histoire de la discipline

Géomorphologie : Géo = gaya en grec = Terre. Morph c'est la forme et logos =
l'étude.
Étude des morphologies de la terre (ensemble de la surface terrestre). C'est l'étude
scientifique des reliefs et des processus qui les façonnent sur les planètes
telluriques (Mars, Mercure, Vénus).
Modelé : C'est l'ensemble des formes de la surface topographique qui s'explique

par l'érosion indépendamment des structures des roches.
Processus : Ensemble d'activité corrélé ou interactive qui transforme des éléments

d'entrée en éléments de sortie.
Structure d'une roche : Désigne l'organisation spatiale des éléments qui

constitue une roche (qui compose la roche).
Texture d'une roche : C'est la composition de taille des grains = la granulométrie.
I) Bref historique de la discipline

Antagonismes entre visions fixistes des paysages et des roches et visions
dynamiques et éphémères.
Aristote livre une vision

dynamique et propose une
surface terrestre dynamique
et évoque l'érosion.
Ronsard livre une vision

fixiste.
Illustre un processus érosif

puisque la pierre qui protège
la structure fait pensé à la
protection des pierres sur des
cheminées.

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Personnes qui ont choisi de se consacrer à l'étude de la terre :
- Jean Etienne Guettard (1715 – 1786) étudie l'érosion des sols et la

chaîne des Puys, en Auvergne. Il en découvre l'origine volcanique après
comparaison avec les roches du Vésuve (Principe d'actualisme,
uniformitarisme)
C'est le premier à se rendre compte que les roches au niveau du massif

centrale sont les mêmes qu'au niveau du Vésuve à coté de Naples.
Ces structures coniques ne sont plus actives dans le massif centrale.
- Au 18ième siècle G.L.L de Buffon (1707-1788) : Découpage en 6

époques dans « l'Histoire Naturelle »
Il divise le temps en 6 époques en fonction de l'Histoire qu'il a voulu
raconter pour ordonner les éléments de la nature qu'il a observer tout au
long de sa vie.
II) La surface terrestre, une interface dynamique entre

Océans, Terre et
Atmosphère
Lithosphère dynamique et va
contraindre l'age qu'on les
reliefs, par exemple les reliefs
sous marin lorsque la croûte
océanique n'est pas éternelle.
a) Les principales composantes de la surface terrestre
On considère la lithosphère,
l'hydrosphère les nappes
phréatique également. Il y a
aussi l'écosphère (impact sur les
formes et les modelés que l'on
observe dans le paysage) et
enfin, l'atmosphère.

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Le cycle de l'eau : L'eau est soumise à de l'évaporation qui va rejoindre des masses
nuageuses et lorsqu'il y a condensation suite à une saturation, on a des
précipitations d'eau sur les continents mais aussi les océans.
Peut avoir un trajet sous terrain et peut rejoindre un lac ou une rivière qui va se
jeter dans les océans.
Ce cycle de l'eau qui est aussi ancien que les première formes d'eau apparut sur
terre sont responsables d'une grande partie de l'érosion et des modelés à la surface
de la terre car les flux d'eau ont un impact considérable sur les modelés qu'ils
laissent derrière eux.
b) Cycles et dynamiques de la
lithosphère
Dynamique d'érosion d'après le cycle de

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Wilson. L'altitude peut être sous présences d'eau solides ou liquides.
Les cycles journaliers :
On a des cycles journaliers comme par exemple la houle des vagues qui creusent
certains reliefs côtiers, qui remanient les sédiments les emportant d'un endroit à un
autre. Il y a également les marées qui peuvent éroder ou non les falaises. Enfin il y
a les variations de température journalière puisque à l'échelle d'une journée on a
des contraintes de températures qui vont éroder les roches ; par exemple les gelées
nocturnes, l'eau est gelée qui sera rentrée dans le sol, la roche qui les feront
éclatés.
Les cycles annuels :
On a des cycles annuels également tel que : marées exceptionnelle (marée

d'équinoxe) = marée très haute ou très basse mais aussi les saisons climatiques
(été et hiver qui s'opposent), ou alors la saison des pluies ou la saison sèche.
Mer des glaces : Glaciers qui est beaucoup plus bas en terme d'épaisseur qu'il y a à
peine 20 ans. La surface du glacier diminue d'environ de moitié.
Les cycles pluri-annuels :

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Les cycles pluri-annuels (plusieurs

années avant le phénomène
apparaissent) peut s'agir du
phénomène El-nino (tous les 8/10
ans), les crues ou les grosses
sécheresses.
Les cycles pluri-millénaires :
On a les cycles pluri-millénaires qui peuvent être des changements eustatiques

(changement du niveau marin – 140 m pour la manche par exemple). Ces cycles ont
les appelle les cycles astronomiques de Milankovitch en 21, 40 et 100 milles ans.
Impact sur la végétation, sur les cycles d'érosion. En zone glaciaire, le fleuve de la
Somme était rythmée par 2 saisons – l'Hiver ou l'eau était gelé et l'été, les neiges
fondent et libère le sol dans lesquels se trouvent et vont alimenter le fleuve et
alimenter des coulées boueuses capables d'attaquer les fondements crayeux.
III) Les agents érosifs, facteurs d'érosion et processus

a) Agents érosifs
Le vent :
mécanique
Les agents érosif

agissent sur l'érosion
et les processus.
L'impact du vent : Il s'agit d'une relique de roche qui était beaucoup plus étendue
auparavant. C'est donc un reste d'une formation plus étendue, l'érosion par le vent
est venue éroder des parties du modelé.

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On voit ici des éléments qui appartiennent à des squelettes de dinosaures qui sont
sur le sable, pas vraiment enfoncés. Les fossiles ont 100 millions d'années – ils
devraient donc être érodés s'ils étaient à la surface de la terre.
Ils étaient donc dans une roche avant. Ils sont donc plus résistant que les roches qui
étaient autour. Donc les roches ont été érodé avec le vent mais comme les
squelettes sont plus résistants, ils ne sont pas érodés. Ils sont polis par l'érosion par
le vent mais
quand on les
retournent on
voient encore les
insertions
musculaires, etc..
L'os a subit en
partit une érosion
mais est
beaucoup plus
résistant donc
encore un peu
intact.
Usure par le vent : on a la surface d'une roche lissée, patinée mais on retrouve des
micro-cuvettes.
Cailloux lissée par le vent on retrouve des structures (fils) qui serait liée à de l'eau.

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Les particules que le vent prend avec lui c'est ce qui va érodé. Le sablage de façade
c'est de l'éolisation on jette avec de l'air des grains de sables sur une roche qui va
se faire user à grande vitesse donc on va faire une usure homogène sur la roche.
Paysage désertique : on voit des nuages de poussières, lorsqu'il rencontre des

particules fines, si le vent est assez fort, il va emporter les particules très fines avec
lui, c'est pour ça que l'ont voient des nuages.
On va avoir du vent qui arrache des particules et va les déposer plus tard, a un
autre endroit. Ces particules peuvent être des particules fines en suspension dans
l'air, limons, argile et au ras du sol on a des sables grossiers qui sont projeté par
« sauts » et donc une bourrasque de vent les emmènent, et viennent choquer à un
endroit la surface de sol. Ce processus peut transporter des petites pierres au ras
du sol.
Des particules sont arrachés et

des particules sont déposés
(dunes) et partie de roches (zone
d'ablation des particules pour les
déposer ultérieurement).
3 étapes lors de l'érosion par
le vent :
1. La déflation
2. L'abrasion
3. Le dépôt éolien
- La déflation : c'est le vent qui arrache les particules qui vont faire une ablation des
particules. La particule a un trajet dans l'atmosphère (exemple de poussière rouge
qui viennent du Sahara que l'on retrouve chez nous 15 jours plus tard) si elle est
très fine elle peut aller très loin et très haut.
- L'abrasion : Lorsque le vent faiblis, on a l'impact sur la roche. La roche recule sous
l'impact. Sur le pied on a l'abrasion qui se dépose sur le pied de la paroi. Le pied de
paroi est protégé temporairement puisqu'il y a eu abrasion.
- Le dépôt éolien : Les particules se dépose au pied de la paroi.
L'eau : érosion hydrique, mécanique

ou chimiques

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L'érosion hydrique est liée via des processus physico-chimiques :
• Physiques (ou mécaniques) : effet splash (goutte de pluie sur un sol nu) ,
ruissellement (écoulement concentrés ou diffus), érosion fluviale (suivant
l'intensité du courant), l'hydroclastie (humectation – dessication),
fractionnement/déplacement par le gel (gélifraction, reptation, solifluxion),
érosion fluvio-glaciaire (pression d'un glacier fluant autour d'éléments
rocheux) , haloclastie (fracturation par cristallisation de sel)
Écoulement éphémère = ruissellement

Hydroclastie = rétractation des argiles, une argile qui gonfle développement une
certaine force, suceptible d'agrandir des fissures.
Gélifraction : une pierre craque sous l'action du gel.
Reptation : Le sol contient de l'eau, si le sol gèle en profondeur, l'eau va gagner en
volume et le sol va gonfler. SCHEMA 1
La glace subit des écoulements mais très lents car viscosité importante mais pas
autant que les roches, la glace va effectuer des ablations sur les parois rocheuses
lors de son écoulement.
Haloclastie : cristaux de sels par leurs croissance peuvent repousser les bords de la
porosité peut réalisé les fractures des pores de la roche.
• Chimiques (altération) : hydrolyse (rupture des liaisons chimiques des
minéraux primaires), dissolution (carbonates, etc..)
1 : Erosion par l'eau de pluie, comme les cheminées des fées.

Brins d'herbe donc pas dans un environnement désertique.
Terres rouges = argiles, limons, sables riches en fer donc
couleur rouille. 2 rochers, blocs gris continu, c'est peut être du
grès. C'est une roche plutôt dure semble être résistante, a
subit une érosion mais superficielle. La pluie qui tombe a la
surface du sol peut retirer ou amener plus loin les fines
particules mais le rocher s'en fou car il est plus résistant. Petit
a petit, les paysages en dessous de la roche vont s'éroder,
cela va agrandir les cheminées. Les particules en dessous des rochers sont protégé
par celui ci
2 : Érosion hydrique, mécanique. On est sur un couvert de

-5 % de végétation, on est dans un champs, c'est un sol non
couvert par la végétation. On peut voir des sillons, c'est assez
emoussé, c'est l'effet splash (goutte de pluie). Dans le fond
des sillons on observe des zones un peu plus sombre, c'est de
l'accumulation de particules fines et de matière organique. Les
zones claires correspondent à des graviers, des sables grossier
qui sont assez saillants. Sur la surface du zone on a des
particules grossières en haut de la levé de terre et dans le
sillons des particules fines. Impact de l'effet splash (pas de

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ruissellement, les gouttes de pluie expulse les particules au niveau des sillons).
3 : Hydroclastie. On est en présence d'argiles (croûte de limons, d'argile assez

épais). Une fois que ça a séché, on a des craquelures. On voit quelques plantes
donc hors d'eau. On est dans une zone qui a un afflux en particules fines
4 : Ruissellement. On a des traces, des sillons naturels, des

ravines creusée par l'eau. On est en présence de pente, et de la
terre en bas de pente. L'eau ruisselle à la surface, creuse des
minis ravine pas couvert de végétation. L'eau circule
rapidement et arrivé en bas de pente, pert sa charge
sédimentaire du à la perte de son énergie.
Donc on a l'accumulation des sédiments en
bas de pente.
5 : Des grosses ravines (3-4 m de profondeur). Du au

ruissellement dans un paysage plutôt plat, on a des prés
autour. L'eau ruisselle mais on est pas dans une rivière car pas
d'eau. Creuse des entailles dans un sol non maintenu par une
végétation qui deviennent des ravines mais les flux d'eau sont
intermittente. Si il n'y a pas d'orage, on a une zone
sans eau, et quand on a l'eau de pluie, on a une zone
de ruissellement (différents d'une rivière). Lié a la
concentration d'un flux.
Les processus chimiques d'érosion des
roches :
1. La dissolution des carbonates :
Processus chimique d'érosion des roches. On voit un Lapiez, c'est un modelé

d'érosion important. Il a subit une dissolution chimique par l'eau pour devenir un
Lapiez. L'eau s’enrichit en CO2, un gaz soluble, et cette eau lorsqu'elle contient du
CO2 dissous s'acidifie, et favorise la solubilisation du carbonates de calcium. Un
bloc de calcaire avec des fissures sur les côtés (immense fentes élargie) et en
surface on voit des petits creux, des micro bassins ou l'eau stagnent, et perd son
acidité, et le creux se creuse etc.. Ce sont des cupules de dissolutions.
2. L'hydrolyse des minéraux primaires :

Exemple des micas : la biotite. Au contact avec de l'eau vas donner de la kaolinite +
FEOH limonite ou Goethite.

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Issu de l'hydrolyse de l'altération chimique par l'eau on a des néoformations de

limonite, de biotique. Kaolinite
(phyllosilicates – c'est une argile).
Altération de minéraux en lames minces : on observe l'effet de l'hydrolyse sur

des minéraux.On part d'un minéral primaire avec de l'eau ca donne un minéral
secondaire. Et on a également de la silice également dissoute et des cations dissous
qu'on trouvait dans le minéral primaire.
En libérant des OH-, un acide fort (un proton H+) et une base forte (OH-). Donc en
s'altérant les minéraux produise des bases qui neutralisent les acides. Ce qui
signifie que l'eau qui aura réalisé de l'hydrolyse, va perdre son acidité et produire
des bases, donc en profondeur, l'eau ne peut plus dissoudre car elle a perdu son
acidité et voit sa capacité à hydrolyser
réduite.
Un granite altéré en boules : Il a

subit une altération. Le granite est en
dessous du sol (sous la couverture de
la végétation). On est dans le centre
de la France. Le granite a des formes
circulaires. L'eau doit s'infiltrer dans
les fissures, cela prend beaucoup de
temps, il faut que l'eau fissure le
granite. Autour du granite, on a une
hydrolysation.
En lame mince : Le granite est

constitué de Feldspath, de la biotite
et du quartz. On voit un feldspath –
en LPA on ne voit pas de macle. On a
des zones orangées. Ce feldspaths
est très altéré (on le voit très bien en LPNA). On a une masse couleur rouilles =
minéraux argileux.
La biotite n'a plus de belles teintes de polarisation, en LPA on a des couleurs fluo
(marron-violet-rose, teinte du 2nd ordre).
Le quartz, quant à lui, n'est pas altéré, car c'est un minéral très résistant.
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b) Paramètres conditionnant l'érosion
Un relief dont le modelé s'explique principalement par l'érosion est dit « relief
d'érosion ».
Les climats :
Température, saisons, pluviométrie
Climat de mousson : sur une croûte de
battance.
Les changements saisonniers, les

différents climats vont conditionner
l'érosion.
La pente :
La stabilité de la structure vis à vis des

contraintes gravitaires.
Glissement de terrains. Un fleuve a du sortir de son lit et a du éclaté les bords du

fleuve, les maisons autour s'écroule, glissement de terrain.
Grande colline, un glissement de terrain en loupe. Avec la pluie, on a une surcharge

qui a entrainé un effondrement de toute cette partie sur le bord de route.
On a une surface de rupture. Au niveau

de cette surface, la terre va glisser. On a
une partie de base, qui va connaître un
écoulement. Création d'une surcharge
qui entraîne une coulées boueuses et en
amont des étages qui dégringole.
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La physique et la chimie des minéraux de la roche exposée :
Suivant la taille des

sédiments, on a pas la
même sensibilisé à l'effet
splash ou par rapport au
ruissellement. Un champ
de galet ne craint rien face
à l'effet splash.
1. La physique (dureté)
Pour les minéraux ont a une sensibilité plus ou moins forte à l'abrasion. Echelle de
Moss.
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2. La chimie (solubilité)
Résistance à l'hydrolyse de différents types de minéraux. Par exemple l'olivine est

vite altérable par hydrolyse.
Image d'un granite qui subit

une altération. On a des oxydes de fer. Issu des minéraux les plus vites altérable
(biotite).
Faciès en aiguille (pyroxène en cours d'altération). On a des bords en aiguille qui
nous explique l'altération.
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Autre élément qui conditionne l'altération : la solubilité d'une roche. Le sel est très
soluble. Si on a un massif de sel qui emmerge à la surface, on a un diapir de sel, qui
fait la taille d'une colline est exploitée comme carrière, l'eau de pluie tombe à la
surface. On a des pointes orienté vers le haut : c'est le résultat de l'altération de
l'eau de pluie. On a une altération par l'eau de pluie qui ruisselle à la surface donc
solubilisation de ce massif de sel. On peut voir ici un exemple de solubilisation par
l'eau, cela va être beaucoup plus rapide que dans le cas d'un calcaire.
L'histoire tectonique : failles, fissures, fracturation
L'histoire tectonique d'une roche : si la roche a subit de la tectonique, elle peut être
faillé, fissuré. Si on prend l'exemple des fissures, fracture issu de la tectonique, on
imagine que l'eau va pouvoir s'infiltrer. L'altération va pouvoir avancer plus vite car
on a des fissures.
Lapiez : on a une roche calcaire, on voit un paysage

plat, avec des fissures grandissantes. On remarque
que les fissures, des fentes existent à 120°.
Lorsqu'une roche connaît des contraintes tectoniques

elles ont des angles à 120° - 60° qui se réalisent.
Diaclase : fracture dans la roche, sans déplacement.
SCHEMA 36
L'héritage tectonique peut conditionner l'érosion dans un paysage.
La présence ou l'absence de couverture végétale : biostasie ou

rhexistasie
La présence ou l'absence de couverture végétale et la nature des végétaux :
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- En présence d'une couverture végétale, on a une protection des sols face à l'effet
splash. La foret protège contre l'influence de la pluie, le sol en dessous. Peut de
particules va partir dans les bassins sédimentaires.
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- En l'absence de végétaux, on a un effet splash, entraîne un ruissellement qui va

dégager les sols, et va les déplacer dans les bassins sédimentaires sous forme de
colluvions.
Alternance biostasie/rhexistasie : changements climatiques (période glaciaire/inter-

glaciaire), la steppe à mammouth en Picardie. Contexte de biostasie, en période
interglaciaire. En période glaciaires, on a une rhexistasie, le fleuve de la somme
s'est agrandit. Des zones sont moins affecté = les zones de l'équateur → pas de
changements très fort entre interglaciaire et glaciaire.
L'action des organismes vivants et notamment de l'homme :

pratiques agricoles, urbanisation
L'action des organismes vivants et notamment de l'homme : les pratiques agricoles

ou l'urbanisation est responsable de l'érosion des paysages. Des colluvions dans les
fonds de vallées. Les alluvions aussi (les coulées boueuses) dans les fleuves. Deux
ravines dans le fleuves, pas présentes si on avait pas fait des sillons dans le
champs, etc..
Un sol est débarrassé d'éléments fins, il ne reste que des cailloux en surface, les
particules fines sont prises par la dynamique de l'eau.
On voit les alignements de plantes, on voit en bas de l'image, des boues, on ne voit
pas trop les sillons, on a eu un flux, et un dépôt de colluvions (boues qui s'est arrêté
en bas de champs), ont enterré les petites plantules, les alignements de plante.
c) Processus et vitesses, les échelles à considérer
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Le temps
On peut parler également d'échelle de

temps, sur les érosions.
Du plus lent, au plus rapide, selon les
différents processus d'altération au sein
d'un paysage.
Quelques secondes on a l'effet splash,

mais aussi une cassure d'une liaison
moléculaire (un micas par hydrolyse
casse). Un glissement de terrain est très
rapide.
Hydroclastie prend quelques heures voire quelques jours. Le ruissellement

concentré (les flux d'eau se rejoignent pour en former un plus gros) va durer plus
longtemps, 10 minutes, quelques heures.
L'altération des minéraux tel que le sel c'est quelques minutes, cependant un grain
de carbonates c'est quelques minutes, quelques heures. Un micas, on est sur des
temps d'altération de plusieurs semaines à plusieurs mois.
Les feldspaths c'est plus long et le quartz encore plus long aussi environs plusieurs
dizaine de milliers d'années. L'ensemble de l'altération d'un gros rocher granitique
c'est plusieurs
millions
d'années.
L'espace
IV) Sols et géomorphologie : impacts de l'anthropisation

du paysage
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Ici on voit un sol sous la végétation. Ce sol est le résultat de l’interaction d’une
roche (avec sa chimie a lui), une flore qui se trouve a sa surface (racine dans le sol,
feuilles qui tombent sur le sol, acide organique libérés par les plantes) et aussi le
climat (eau, air …)
C’est un sol méditerranéen qui illustre un manque d’eau pendant une partie de
l’année
Le climat a un impact sur la nature du sol
Les organismes vivants dans ce sol vont avoir un impact sur sa structure et sa
porosité.
La pente est un facteur important (le ruissellement sera plus important si la pente
est forte).
Le temps va également jouer un rôle.
Un sol est le fruit de toutes ces interactions en fonction du temps (au bout de 10
min et au bout de 10 000 ans on aura pas le même résultat)
Ces différents facteurs déterminent l’état pédologique du sol.
Les sols vont être soumis à l’érosion quand l’homme défriche la surface
Facteurs déterminant la nature d'un sol :

• Le climat
• La végétation
• Le drainage
• Le temps
• Le matériel parental (roche mère)
L'érosion des sols :
L'altération chimique
• Lessivage
• Action biologiques
• Hydratation, hydrolyse
L'altération mécanique
• Chocs physiques, impacts
• Contraintes, pressions (gel, racines des plantes, sels, croissance cristalline,
expansion de minéraux hydratés)
• Effet splash, ruissellements, inondations, etc...
Le lessivage (altération chimique) est un processus naturel, l’eau va passer au

travers du sol (porosité) afin de rejoindre les nappes d’eau sous le sol. Elle peut
emmener avec elle des minéraux.
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De nos jours la pression de la population mondiale augmente beaucoup

Le sol va donner toutes les ressources alimentaires pour nourrir la population
Avec l’augmentation de la population mondiale on a de plus en plus de
déforestation.
Carte de répartition des différents sols
Synthèse
globale de
l’érosion :
En
connaissant la pente, l’élévation, les statistiques de précipitations à travers le

monde nous pouvons modéliser puis calculer la quantité de sédiments délivrée à
l’exutoire des rivières. Ici nous avons une carte globale de la production de
sédiments / le taux d'érosion.
Quelles sont les principales caractéristiques de la carte qui en résulte ?
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L’érosion des sols est quasi

totalement absente sur toute la
partie Sahara (car le sol n’est pas
réellement un sol, c’est plutôt des
débuts de croûte biologiques)
Pour les régions couvertes par une

végétation continu on a très peu
d’érosion également
On a une érosion des sols depuis le néolithique

L’homme va surtout augmenter le phénomène d’érosion dans les périodes ou on ne
devrait pas en avoir = biostasie
Durant les période glaciaire et les passage au période glaciaire, on a une diminution
de la végétation pour aller vers une végétation plus rase. Donc on avait plus
d’érosion.
Pendant les périodes interglaciaire, le climat est favorable a la formation de grande
forets. Dans ces cas la l’érosion des sols est minimes. Sous une foret l’érosion est
quasi égale à 0 car les sols vont avoir une excellente bioporosités, en été les arbres
vont préservé le sols de la pluie, et en hiver se sont les feuilles mortes qui vont
protéger le sols.
L’agriculture a commencé il y a 6500 ans. Pour pouvoir cultiver des plantes il faut
leur libérer de l’espace et leur libérer un accès à la lumière. Certaines plantes ont
des exigence au niveau de la chimie du sol. Donc l’homme a du changer la chimie
du sols en le rendant moins acide en apportant des minéraux comme de la craie ou
en bruant la végétation au dessus de ce sol pour augmenter le potentiel alcalin.
De ce fait on a des phénomènes de ruissellement qui vont emmener des particules
jusque dans les rivières. Donc on a plutôt un bilan négatif pour les sols qui ont
tendance a perdre de l’épaisseur en s’érodant par le dessus.
Quand l’agriculture s’est fait dans des régions
désertique on va soumettre les sols a de l’érosion
éolienne
Exemple de sol méditeranéen
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Les cailloux émergent a la surface du sol alors que dans les zone en creux le sol a
gardé un peu d’épaisseur
En méditerranée, l’hiver est un véritable probleme pour l’érosion des sols. Ce sont
des périodes ou le sols est a nu donc on a de la battance et la formation de croutes
de battances et un ruissellement diffus puis concentré a la surface des sols
provoquant des coulées de boues.
On a beaucoup de lithosols = sols composé majoritairement de cailloux (pas de
terre)
L’homme a mis en place des stratégies pour protéger les sols de l’érosion :
- Haie de plantes sur le contour des champs pour limiter le ruissellement  mais
cela réduit la zone cultivable
Ex de sols dans le nord de la France
Limon très épais sur la surface des

plateaux.
Pendant l’hiver ou les sols sont a nus on a
moins de pluie comparé à la méditerrenée
A gauche on voit une croute de batance
qui va entrainer un ruissellement qui va
retirer les couches les plus nutritives du
sols.
A droite on voit une rigole d’érosion
Les taches blanches sur un

champs correspondent a de la
craie = zone du champs ou
l’épaisseur est faible et ou la
charrue va donc retourner de la
craie en même temps qu’elle
va labourer le champ
Vers le milieu de pente on a un
bilan sédi négatif mais en bas
de pente on a un bilan sédi
plutôt positif
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Vallée de l’Authie
Sillon qui traverse l’ensemble des sillons de la

charrue dans l’autre sens
Ruissellement locale : quand on aura la formation
de croutes de battances on va avoir le
ruissellement local qui va être augmenter
On voit que le sol du champ est beaucoup moins en pente que le sol de la prairie
La haie va retenir les masses de terres qui sont censé descendre avec la pente 
effet blocage
Cela va également permettre de diminuer la pente et donc de diminuer le potentiel
érosion pour les années a suivre
Colluvions = beaucoup présent dans les fond de vallées dans les cartes géologique
V) Différents paysages, différents modelés : processus

et genèse
La diversité géologiques du territoire Français va avoir un impact
a) Les paysages de plaines
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Espaces géographiques caractérisés par une surface topographique plane, avec des
pentes relativement faibles. Elle se trouve à basse altitude, les vallées y sont donc
moins encaissées que sur un plateau.
- La plaine deltaïque (confluence entre plaine alluviale et mer= au niveau
d’un delta)
- La plaine alluviale (fond de vallée, faible dénivelé, inondable, dépôts

d’alluvions)
- La pénéplaine (large espace avec de faibles dénivellations, qui résulte d'une

longue érosion et de la coalescence de bassins hydrographiques)
Massif armoricain, massif central et le massif des Ardennes sont de vieux massif qui
on subit une forte érosion ce qui a permis de passer de relief très important a des
reliefs moins importants = processus de pénéplanation.
- La plaine de piémont (pieds de chaînes de montagne, formée par le dépôt

des matériaux charriés par les torrents et rivières)
Zones qui se trouve au pied

des montagne
Débâcle glaciaire = fort

ruissellement de l’eau qui vient
24

lOMoARcPSD|4460327
de la neige qui va fondre après l’hiver

- La plaine d’épandage (accumulations fluvio-
glaciaires tributaires des torrents et moraines
glaciaires ; Sandur) (contexte encore plus froid)
= zones où l’on va retrouver des sédiments
apporter par la fonte des glaces
Les modelés de plaines

Sur les versants des vallées : Terrasses alluviales et Systèmes de terrasses
alluviales
Cas d’une rivière qui va creuser des

sédiments déjà présents
Ce qui va influencer les dépôts ça va
être les périodes de biostasie et
rhexistasie
Terrasses alluviales et systèmes de
terrasses alluviales :
Situation
initiale : on avait une craie qui avait la même épaisseur partout
Ensuite on a la mise en place de biostasie et rhexistasie
Schéma : formation de terrasses et de pente par la Somme durant le passage de

période interglaciaire a glaciaire
25

lOMoARcPSD|4460327
Les différentes terrasses vont être de plus en

plus ancienne a mesure que l’on remonte la
vallée
Les terrasses qui sont situées a 20 m au-
dessus de la somme on le même âge (même
altitude = même âge)
Système de terrasse alluviale sans

aménagement :
Vocabulaire (a connaitre) :
- Un talweg (ou thalweg) correspond à la ligne qui rejoint les points les plus
bas d'une vallée (correspond au fond de vallée dans toute sa longueur)
- Un interfluve est un relief compris entre deux talwegs. Il est constitué de
versants, séparés ou non par une surface plane. La crête d'interfluve désigne
la ligne où se partagent les eaux de pluie. Les interfluves représentent la
majeure partie du relief terrestre, puisque : les talwegs ont une largeur
26

lOMoARcPSD|4460327
relativement faible : le lit d'un cours d'eau s'inscrit dans un talweg ; on

appelle « interfluve » toute partie du relief terrestre qui n'est pas un talweg
Un interfluve se situe entre 2 cours d’eau
Les interfluves représentent la majorité du relief terrestre car les talweg représente
une largeur assez faible.
Classification des cours d'eau alluviaux fondée sur leurs formes en plan et la
géomorphologie de la plaine alluviale (d’après Friend et Sinha, 1993)
Les cuestas des bassins sédimentaires : Lorsqu’en bassin sédimentaire, on a

des structures à faible pendage et qu’une couche dure surmonte une couche
tendre, on peut avoir formation d’une cuesta.
Bute témoin = la couché résistante a résister plus au niveau de la bute témoin ce

qui a isoler ce morceau de roche dur résistance mais ce morceau va quand meme
protéger les couches du dessous  formation d’une bute témoin
b) Les plateaux et leurs modelés
Les plateaux de roches sédimentaires calcaires

C'est le domaine du karst : écoulement dans des fissures élargies, formant de
véritables rivières souterraines. Les circulations sont plus proches d'un système de
drainage par chevelu de rivières, mais souterraines. Les eaux de surface
communiquent d'ailleurs avec les eaux souterraines par de nombreux systèmes de
pertes et de résurgences. Il peut cependant exister tout un réseau de fissures, plus
ou moins élargies, jouant le rôle de réservoir ou de nappe dans le karst, en liaison
avec le système de drainage par chenal, s'il existe.
Dans les plateaux calcaires on retrouvent des karst
Karst = Plateau calcaire affecté par le modelé karstique (modelé d'érosion qui
marque le plateau calcaire) résultant de l'érosion hydrochimique et hydraulique de
formations des roches carbonatées (principalement de formations calcaires). Il faut
27

lOMoARcPSD|4460327
des centaines de m de roches carbonatées, principalement des calcaires.
Quand on voit un Lapiez (dissolution des carbonates) il y a le plus souvent de

l'érosion calcaire (grottes, fissures).
Paysage karstique (pas de réseau karstique en Picardie) = grotte
A l'intérieur
des roches, on a des réseaux de grottes,
La rivière creuse son lit, pendant une période de rhexistasie, ces réseaux remplies
d'eau (même altitude que la rivière) vont se vider dans la rivière et va se recreuser.
On retrouve ce réseau qui va être abandonner. Dans une grotte, pendant un temps
la rivière était à cette altitude la et l'eau occupé une bonne partie, la rivière creuse
son lit et la grotte se retrouve à une altitude haute comparé à la rivière actuelle.
Quand l'eau ne circule plus dans les grottes, on peut retrouver une accumulation de
sédiments. Plus la grotte est ancienne, plus les sédiments seront anciens.
En surface, on est sur un plateau, va manifesté le modelé karstique par des

gouffres.
Les dolines
c'est une
petite
dépression à
la surface
du paysage
(creux
circulaire vu
du dessus),
c'est du
calcaire.
Sous cette
dépression,
elle illustre
le
phénomène
du soutirage
qui
28

lOMoARcPSD|4460327
correspond à un réseau de fissures qui se situe en dessous des dolines. Et encore

dessous, on retrouve une grotte.
Lors d'une précipitation, on a du ruissellement, l'eau va s'infiltrer le long des

fissures sous les dolines, on a des effet d’altération hydrochimique lié à la
dissolution des calcaires.
La terre est attiré vers le bas (sous-tirage), les fissures vont augmenter, grossir, et
l'eau va circuler plus rapidement, avec le temps, la cavité va devenir de plus en
plus importante. Effondrement du toit de la grotte, on se rapproche de la surface, et
si la zone s'élargi, on peut avoir un effondrement d'un bouchon – on passe donc de
la doline à un gouffre.
Voir schéma sur feuille
Dolines : paysage de pâtures
Fractures ouvertes : lapiez (dissolution

des carbonates)
Gouffre
Résurgence : une rivière s'écoule, au

fond d'une vallée, et la rivière sous les
dolines va ressortir (résurgence) au
dessus du niveau de la rivière
c) Les paysages montagnards et les modelés glaciaires
Modelé glaciaire (en anglais glacial landforms) : Les glaciers, soit par leurs
creusements, soit par leurs dépôts de matériaux, ont façonné le relief.
29

lOMoARcPSD|4460327
Glaciers et Inlandsis (grand glaciers continental - Groenland)

Glacier : Masse de glace formée par l’accumulation et la compaction de la neige. On
distingue :
Calotte glaciaire : Elle revêt entièrement un sommet montagneux.

Glacier de cirque : Il occupe une dépression perchée.
Glacier de piémont : formé à partir d’un glacier de vallée suffisamment alimenté,
il vient s’étaler dans la plaine…
Glacier de vallée : Langue de glace plus ou moins longue partant d’un glacier de
cirque. De grande taille, souvent la jonction des glacier de cirque. Très différent en
été ou en hiver = la mer de glace.
Inlandsis : Glacier couvrant une importante (quelques milliers de km2) surface
continentale. Glaciaire : qualifie ce qui se rapporte aux glaciers.
Formes de
creusement :
Vallée en Auge : Vallée à laquelle le creusement par le glacier a donné une forme en
U typique.
Schema feuille
Cirque glaciaire : Dépression contenant, ou ayant contenu un « glacier suspendu ».
Dynamique des glaciers : exemple Alpins
La glace s’écoule très lentement,

lorsque l'écoulement s’accélère on
peut observer des fissures à la
surface d'un glacier, accélération
quand la pente s'accentue.
Les zones ou la pente est
importante sont les zones les plus
dangereuses.
Le glacier passe et occupe une

dépression, passe au pied de
reliefs, les pierres peuvent tomber
a la surface du glacier. Ces
phénomènes d'érosion sont
accentué si le glacier exerce une
érosion mécanique sur la flan de la
montagne mais aussi avec de
l’altération physique (mécanique),
30

lOMoARcPSD|4460327
la cryoclastie. Les alternances de gel / dégel vont entraîner une érosion importante
des flans des montagnes, lorsqu'une pierre chute, la pierre va voyager au dessus du
glacier, et va joindre un point assez bas en altitude de son point de départ.
Petit lac, ancien cirque avec

dépression en son centre. On voit la
vallée, et dans le sommet de la
montagne on a une dépression
comblée par de la neige fondue. On a
de la roche sur creusée par la
présente d'un glacier et dépassé le
« verrou » pour aller vers la vallée.
Schéma
Vallée glaciaire en Auge : on a

plus de glacier, des habitations
ont été construites car il fait
trop chaud pour que le glacier
puisse passer. On a un héritage
des climats passé.
Chamonix est construit sur

l'ancienne mer de glace qui
était la auparavant.
Les reliefs et dépôts fluvio-

glaciaires :
31

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On voit une zone frontale du glacier de Tourtemagne (Alpes française). Ouvertures

naturelles à la base d'un glacier. Écoulement à la base du glacier qui va se
manifester par de l'eau qui circule et fais fondre la glace. Jaillit une eau qui charrie
des débris (blocs, graviers, sables) qui sont charrié avec violence lorsque la glace
est à son maximum de fonte.
Un glacier est passé car paysage « lunaire » sans végétation, on voit la couleur
grise des roches, et couleur verte car à l'hiver des végétaux ont été protéger. Ici on
a la limite d'un glacier, qui revient tous les hivers ici. On est en été, plus de glacier,
et plus de végétation. Les eaux de fonte du glaciers en tresse circule.
Schema
En bordure on a des tas de pierre repoussée « moraines latérales » et à l'avant on a
des pierres repoussée « moraines frontales ».
Les moraines sont des indicateurs des climats et des temps géologiques car laisse
des débris sédimentaires. Moraines avancée = temps froid (période glaciaire),
moraine un peu reculée = interglaciaire, réchauffement.
Cours d'eau en tresse sans

chenalisation.
On peut avoir des terrasses sur
les bords des vallées en aval. Et
si on découpe une terrasse, ou
des bancs des graviers en fond
de vallée. On a des mégas
stratifications obliques (esker)
dans le Jura. Ces bosses =
esker
En Islande on est a haute

latitude. Draine la fonte des
neiges. On est en été, on voit
bine les formes de rivières en
tresse.
32

lOMoARcPSD|4460327
1 : On voit le fond des creux

blanc. Glacier en fonte, on a la
poussière qui s'est accumulé. Il
ne reste que les débris de roche
qui sont concentrés. Le dessus
des glaciers est revêtu des blocs
qui accélère leurs fontes.
2 : On est sur le coté de la

vallée. On a un tas de pierres =
anciennes moraines latérales qui s’accumule sur les bords.
3 : Printemps – le bloc ne fond pas 1 200 °pour qu'il fonde. Le bloc protège la neige
qui se trouve en dessous. Le
glacier porte la bloc de pierre =
bloc erratique.
1 : Bloc erratique dans pas

longtemps. Le glacier est en
train de fondre.
2, 3 : Ces blocs peuvent être

déposé dans des paysages
33

lOMoARcPSD|4460327
insolites.
Traits typiques des environnements glaciaire, on permis de découvrir il y a environ 2

siècle, a développé une théorie d'anciennes périodes glaciaires.
Roches moutonnées : les cailloux

quand la glace passe, vont user
les cailloux.
Schéma
On voit le passage de la glace,

érosion mécanique de la roche
transporté sous la glace.
34

Geomorphologie Continentale

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Géomorphologie (Université de Picardie Jules Verne)

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Définitions et histoire de la discipline

Modelé : C'est l'ensemble des formes de la surface topographique qui s'explique

Processus : Ensemble d'activité corrélé ou interactive qui transforme des éléments

Structure d'une roche : Désigne l'organisation spatiale des éléments qui

Texture d'une roche : C'est la composition de taille des grains = la granulométrie.

I) Bref historique de la discipline

Aristote livre une vision

Ronsard livre une vision

Illustre un processus érosif

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Personnes qui ont choisi de se consacrer à l'étude de la terre :

- Jean Etienne Guettard (1715 – 1786) étudie l'érosion des sols et la

C'est le premier à se rendre compte que les roches au niveau du massif

- Au 18ième siècle G.L.L de Buffon (1707-1788) : Découpage en 6

II) La surface terrestre, une interface dynamique entre

a) Les principales composantes de la surface terrestre

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Dynamique d'érosion d'après le cycle de

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Wilson. L'altitude peut être sous présences d'eau solides ou liquides.

Les cycles journaliers :

Les cycles annuels :

On a des cycles annuels également tel que : marées exceptionnelle (marée

Les cycles pluri-annuels :

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Les cycles pluri-annuels (plusieurs

Les cycles pluri-millénaires :

On a les cycles pluri-millénaires qui peuvent être des changements eustatiques

III) Les agents érosifs, facteurs d'érosion et processus

Les agents érosif

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Paysage désertique : on voit des nuages de poussières, lorsqu'il rencontre des

Des particules sont arrachés et

- Le dépôt éolien : Les particules se dépose au pied de la paroi.

L'eau : érosion hydrique, mécanique

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L'érosion hydrique est liée via des processus physico-chimiques :

Écoulement éphémère = ruissellement

1 : Erosion par l'eau de pluie, comme les cheminées des fées.

2 : Érosion hydrique, mécanique. On est sur un couvert de

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3 : Hydroclastie. On est en présence d'argiles (croûte de limons, d'argile assez

4 : Ruissellement. On a des traces, des sillons naturels, des

5 : Des grosses ravines (3-4 m de profondeur). Du au

1. La dissolution des carbonates :

Processus chimique d'érosion des roches. On voit un Lapiez, c'est un modelé

2. L'hydrolyse des minéraux primaires :

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Issu de l'hydrolyse de l'altération chimique par l'eau on a des néoformations de

Altération de minéraux en lames minces : on observe l'effet de l'hydrolyse sur

Un granite altéré en boules : Il a

En lame mince : Le granite est

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b) Paramètres conditionnant l'érosion

Les changements saisonniers, les

La stabilité de la structure vis à vis des

Glissement de terrains. Un fleuve a du sortir de son lit et a du éclaté les bords du

Grande colline, un glissement de terrain en loupe. Avec la pluie, on a une surcharge

On a une surface de rupture. Au niveau