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4 Les similitudes
Activité (page 96)
π
TD 1 2. Le rapport est 2 et l’angle – --- , donc M′ décrit
4
le demi-cercle ′ image de par la similitude de s.
Premier exemple
AB
1. s : I B donc le rapport est --------- = 2 et l’angle ¢
AI
π
R B) = --- .
est (ZAI, A A¢
3
2. s : J N, donc BN = 2IJ.
Deuxième exemple M¢
O¢
π M
On note s la similitude de centre O, d’angle --- et
6
3
de rapport ------- . Alors s(A) = I, s(C) = J et s(E) = K.
2
p
Or, A, C, E sont trois points alignés donc I, J, K –
4
sont également alignés. A O B
TD 3
1. Transformations du plan 1 1 – 2i
3. z = -------------- [z′ – (1 – i)] = -------------- [z′ – (1 – i)]
1 + 2i 5
π
• r O ; – --- • h I ; – --- .
1 1 – 1
donc T a pour écriture complexe :
• tB
3 R A 2 1 1
z′ = --- (1 – 2i)z + --- (1 + 3i).
2 1 3 5 5
a) z′ = --- z – --- ,.
2 2
π 4 Corrigé dans le manuel.
– i ---
b) z′ = e 3 (z – 1 + i).
5 z s s
jz + 1 – j j[jz + 1 – j] + 1 – j
c) z′ = ---------- [z – 2 – 3i].
1–i
4 soit z jjz + j – jj + 1 – j
i 1 or jj = |j|2 = 1 d’où le résultat.
d) z′ = --- z + --- (1 – i).
2 2
6 Plus généralement r2 r1 est la rotation de
3 1. x′ + iy′ = x – 2y + 1 + 2ix + iy – i π
centre O et d’angle --- + θ.
= (x + iy) + 2i(x + iy) + 1 – i 3
d’où z′ = (1 + 2i)z + 1 – i. a) r2 r1 est l’identité si et seulement si :
2. Un point Ω d’affixe ω est invariant si et seulement π
θ ≡ – --- [mod 2π].
si ω = (1 + 2i)ω + 1 – i 3
1 i 1 b) r2 r1 est la symétrie de centre O si et seulement si :
soit ω = – ----- (1 – i) = --- (1– i) = --- (1 + i)
2i 2 2 2π
θ ≡ ------ [mod 2π].
d’où le résultat. 3
304
7 1. a) T1(K) = T2(K) si et seulement si 2. a) O C CB 2
Le rapport de ∆ est ---------- = ------- = 2 .
( 3 + i)z = (1 – 3 )z + 3. AB OA 2
3 b) O C
Donc K a pour affixe --- [( 3 – 1) – i( 3 + 1)]. donc CE = 2 OD = 2 .
8 DE
3
b) L = T1(K). Donc L a pour affixe --- (1 – i). Le point E appartient donc au cercle 1 de centre C
2
2. T2 T1– 1 (L) = T2(K) = L et de rayon 2 .
et T1 T2– 1 (L) = T1(K) = L. c) A B
or AD = 5 donc BE 2 5 = 10 .
DE
8 a) z f g Le point E appartient au cercle 2 de centre B et
– 2z + i – 2iz – 4.
g f
z iz – 3 – 2iz + 6 + i. de rayon 10 .
f g
b) z z + i (1 – i)z + i + 1. 3. Une solution possible est d’écrire les équations de
g f
z (1 – i)z (1 + i)z + i. 1 et 2 à savoir :
1 : (x – 2)2 + (y + 1)2 = 2 (1)
2 : (x – 2)2 + (y + 3)2 = 10. (2)
2. Similitudes : définition On déduit de (1) et (2) que
(y + 3)2 – (y + 1)2 = 8 d’où y = 0
9 Corrigé dans le manuel. donc (x – 2)2 = 1 et x = 1 ou x = 3.
π
r O ;
3
3. Caractérisation complexe d’une similitude
11 1. a) M M1
15 1. Le rapport est |2 + 3i] = 13 .
1 2. Le point Ω d’affixe ω est invariant si et seulement si
h O ; –
2 ω = (2 + 3i)ω + 5(1 + i) soit ω = – 2 + i donc Ω est unique.
b) M1 M¢
2. Il résulte de la question (1) que : 16 Corrigé dans le manuel.
r h
M M1 M¢
17 1. On pose z = x + iy d’où
r h
N N1 N¢ x + iy = (1 + 2i) (x – iy) + 5 – 6i soit :
1 x + iy = (x + 2y + 5) + i(2x – y – 6)
Donc M1N1 = MN et M′N′ = --- M1N1 donc d’où 2y + 5 = 0 et 2x – 2y = 6.
2
1 1 5
M′N′ = --- MN Il en résulte que le point I d’affixe --- – --- i est le seul
2 2 2
1 point invariant.
et f est une similitude de rapport --- . 2. Donc s n’est pas une réflexion.
2
27 1. A A′ B B′ 36 z′ – (1 – i) = – 3[z – (1 – i)]
donc 5 + i = ai + b z′ = – 3z + 4(1 – i).
et 1 + i = – a + b.
Il en résulte que a = 2(1 – i), b = 3 – i 37 a) Le rapport est BC --------- = 2
soit z′ = 2(1 – i)z + 3 – i. BI
π
2. C′ doit être l’image de C par s, son affixe est donc R C) = – --- .
et l’angle (ZBI, A
2(1 – i) (– 2i) + 3 – i = – 1 – 5i. 3
IC π
b) Le rapport ------- = 3 et l’angle (AIA, IZ C) = – --- .
28 A O ′B′ . A
O ′C′ = A′B′ × A′C′ × cos (OA′B′, AO ′C′) IA 2
or A′B′ = kAB ; A′C′ = kAC ; (OA′B′, A O ′C′) = (RAB, AR C) AC π
d’où R C) = --- .
c) Le rapport ---------- = 3 et l’angle (RAG, A
AG 6
O ′B′ · A
A O ′C′ = k2AB × AC cos (RAB, A R C) = k2A R B·A R C.
38 Corrigé dans le manuel.
5. Forme réduite d’une similitude directe
39 A(i) A′(2 + 2i) B(3i) B′(– 1 – i)
29 a) s est la similitude directe de centre O, d’angle
2 + 2i = ai + b 3 7
π d’où a = --- (i – 1) et b = --- (1 + i).
--- et de rapport 2 .
2 – 1 – i = 3ai + b 2 2
306
3 2 3π 2. a) La droite (AB) notée d passe par Ω donc son
Donc s est la similitude de rapport ---------- , d’angle ------
2 4 image par s est la droite ∆ d’équation x = 1.
7
et de centre Ω d’affixe ------ (1 + 4i). b) Le point I a pour image J et le rayon de ′ est 2,
17
donc son équation est :
40 s a pour écriture complexe z′ = (1 + i)z.
Le cercle a pour centre I d’affixe 1 + 2i donc I′ = s(I) (x – 1)2 + y2 = 2.
a pour affixe (– 1 + 3i).
′ a pour équation : 47 s a pour écriture complexe
(x + 1)2 + (y – 3)2 = 4.
i 1 3
z′ = --- z + --- – --- i.
41 Par s : 2 2 2
D C¢ C
A A′ a) B(– 2) et C(i) suit deux points de d.
B B′
C C′ 1 5
B′ = s(B) a pour affixe --- – --- i et
D¢ B¢
D D′ 2 2
O
3
C′ = s(C) a pour affixe – --- i.
2
Donc l’image de d a pour équation 4x + 2y + 3 = 0.
A A¢ B
b) a pour équation :
42 h = h(0 ; – 2) ; r = r 0 ; -----
2π
- ; s = r(0 ; π). (x + 2)2 + (y – 1)2 = 5.
3
a) h s est l’homothétie de centre O et de rapport 2. Son centre I a pour affixe (– 2 + i) et son rayon est 2
b) h r est la similitude de centre O, de rapport 2 et
π 5
d’angle – --- . I′ = s(I) a pour affixe – --- i donc ′ a pour équation
3 2
π
c) r s est la rotation de centre O et d’angle – --- . 5 2 5
3 x2 + y + --- = --- .
2 4
43 r h est la similitude de centre O, de rapport 3
5π
et d’angle ------ . 48
6 d
B A AC π
49 1. R C) = – --- .
donc k = --------- et θ = (RBA, A 52 1. a + b = 0.
A C AB 2
s1
2. a) Comme s(B) = A et s(A) = C 2. a) C U .
π π 2
(ZIB, IZ A) = (ZIA, IZ C) = – --- . s1 a pour angle --- et pour rapport -------
2 4 2
b) Il en résulte que I appartient aux cercles de diamè- 1
tres respectifs [AB] et [AC]. Ces cercles ont en com- donc u – a = --- (1 + i) (c – a)
2
mun H et A. Or A n’est pas invariant (s(A) = C) donc
1 1
le centre I est en H. soit u = --- (1 + i)c + --- (1 – i)a.
2 2
3. a) La droite (HM) a pour image (HN) et la droite
s2
(AB) a pour image (AC) donc le point M intersection b) C V .
de (AB) et (HM) a pour image l’intersection des droi- π
s2 est la similitude de centre B d’angle – --- et de rapport
tes (HN) et (AC), c’est-à-dire N. 4
2
------- . Il vient
50 1. s est la similitude centre C, de rapport ------2- et 2
2 1
π v – b = --- (1 – i) (c – b)
d’angle – --- . 2
4
1 1
2. a) r(B) = D donc l’image de 1 est 2. soit v = --- (1 – i)c + --- (1 + i)b.
2 2
b) La droite (CM) a pour image la droite (CN).
1 1
c) Comme M est commun à 1 et (CM) son image c) Or iu = --- (– 1 + i)c + --- (1 + i)a.
2 2
appartient à 2 et (CN) en étant distinct de C si M est
De plus b = – a donc
distinct de C donc l’image de M est N et le triangle
MCN est rectangle isocèle en C. 1 1
v = --- (1 – i)c – --- (1 + i)a
3. Le lieu de I est le cercle (Γ) image de 1 par 2 2
soit v = – iu
π
s C, – --- ; ------- . Dans ce cas l’image de B est le point
2
4 2 donc |v| = |u| soit OU = OV
π π
(arg --- = – --- soit (UOU, O
O centre du carré ABCD et l’image de A est D donc v
U V) = – --- .
(Γ) est le cercle circonscrit au carré ABCD. u 2 2
Il résulte que le triangle VOU est rectangle isocèle.
51 Première méthode
53 1. a) L’angle de s est – π 2
--- et le rapport ------- .
a) ( 1 – i ) z + ---------- = 2 donc
2–i 3+i
2 z + ----------- = 2 . 4 2
1 – i 2 b) N est un point de d donc M appartient à l’image
3+i
Il en résulte que z + ----------- = 1. de d par s. Notons ∆ cette droite (voir synthèse).
2 2. Synthèse :
3 i
b) On note I le point d’affixe – --- – --- . L’ensemble des
2 2
points M est le cercle de centre I et de rayon 1 car
IM = 1.
M O
Deuxième méthode
1. s est la similitude de centre I d’affixe – 2i – 1, de
π
rapport 2 et d’angle – --- . N
A F d
4
2. a) OM′ = 2 donc M′ appartient au cercle de
centre O et de rayon 2 .
b) O1 qui a pour image O par s a pour affixe z0 telle J
E
que :
3 i I (D)
O = (1 – i)z0 + 2 – i soit z0 = – --- – --- .
2 2
c) O1 O c) L’image de d par s est la droite (AJ) car s(A) = J
donc OM′ = 2 O1M = 2
M M′ centre du carré IEFA.
donc O1M = 1 et M décrit le cercle de centre O1(ou I) d) M est l’intersection de et ∆ (M ≠ A) d’où la
et de rayon 1. construction de N.
308
Pour progresser (page 120)
2π
1. s est la similitude de centre B, d’angle – ------ et de
Images d’ensemble 3
rapport 2.
54 2. A′BC′D′ est l’image de ABCD par s.
C¢ B¢ C1
57 ●
M¢
B1
¢
D C 1
D1
M
p/4 A A¢
–1 O 2
D¢ A B
π
AB′C′D′ est l’image de ABCD par s A ; --- ; 2 et
2 I –2
π
AB1C1D1 l’image de ABCD par s A ; --- ; 2 .
4
55
2 π
B1 1. Par s I ; ------- ; --- l’image de A′ est O donc 1 est le
2 4
cercle de centre O et de rayon 2.
2. Si IMM′ est rectangle isocèle direct de sommet M,
2 π
s I ; ------- ; ---
2 4 M donc M appartient à et d’où
A¢ A C¢A1 M′ 1
la construction.
Il existe un second triangle IMM′.
J
58 ●
O
¢1
C1B C
d¢
1
I¢ ¢2
B¢ I
π
A′B′C′ est l’image de ABC par s 0 ; 2 ; – --- . A1B1C1
3 B
π O¢ O
est l’image de ABC par s J ; 3 ; – --- .
2
● 2 A
56 A
B d
D
C¢
1. a) s(I) centre de ’1 a pour affixe – 5 + 2i et le rayon
C de ′1 est 4.
A¢
b) L’image de O est O′ d’affixe – 3 et le rayon de ′2
D¢ est 2 d’où la construction.
62 ●
Déterminer une similitude M¢
310
b) I est donc l’image de A par la rotation de centre O 66 ● 1. a) Le triangle ABC est isocèle en B et Ω
π est donc un point de l’axe des abscisses. Soit x son
et d’angle --- .
2 abscisse ΩB2 = ΩA2 donc (14 – x)2 = (– 4 – x)2 + 36.
Il résulte que x = 4 et Ω a pour affixe 4.
b) Voir figure ci-dessous.
Démontrer avec une similitude 1
2. s a pour écriture complexe z′ – 4 = --- (1 + i) (z – 4)
2
64 1
C¢ 3 B¢ --
-
soit z′ = (1 + i)z + 2 – 2i donc A1 a pour affixe
2
1
--- (1 + i) (– 4 – 6i) + 2 – 2i = 3 – 7i,
2
de même on trouve que B1 a pour affixe 9 + 5i et C1 a
C pour affixe – 3 – i.
1
A¢
3. I a pour affixe 5 – 3i. Donc A U 1I a pour affixe 2 + 4i
1 P 1B1 a pour affixe 6 + 12i.
et A
O B
–1
A
C 6 B1
Notons s la similitude telle que J
A A′
B B′ –4K B
alors O W
C1
2 + i = – ai + b
I
3i = a + b.
Il en résulte que a = 2i et b = i donc z′ = 2iz + i. A –6
L’image de C par s a pour affixe 2i(1 + i) + i = – 2 + 3i. A1
Donc s(C) = C′ et les deux triangles sont directement
semblables.
Il en résulte que A U 1I. D’où l’alignement des
P 1B1 = 3 A
65 ● points A1, I1, B1. La démonstration est identique pour
B C
les points B1, J, C1 d’une part et les points C1, A1, K
d’autre part.
W
67 ● 1. N N et M B avec l’angle de la simili-
12
tude est (UNM, NR B). Dans le triangle AMM′, le point B
π
O I 12
A est l’orthocentre donc (UNM, N R B) = – --- .
2 2
BC NB
Le rapport de s est ---------- . Or les triangles ANB et
CA NM
1. Si z′ = az + b est l’écriture complexe de s alors NB AB AB
M′NM sont semblables donc ---------- = ------------- = ----------------
2 + i = ai + b. NM M′M 2 MH
2 = a( 2 + i) + b. NB 6 3
or MH2 = HA . HC donc MH = 4 et --------- = --- = --- .
2 2 NB 8 4
Il en résulte que a = – i ------- et b = ------- + i 2. a) L’image de d est la droite perpendiculaire en B
2 2
à d, c’est-à-dire AC (car s(M) = B).
2 2 L’image de NM′ est (AM).
d’où z′ = – ------- iz + ------- + i.
2 2
b) Il résulte de la question précédente que l’image
2 2 2 de M′ est l’intersection des droites (AC) et AM, c’est
2. A a pour image I car – ------- i × 2 + ------- + i = ------- .
2 2 2 donc A.
s s
BCA 3. M B et M′ A. Comme H est le milieu de
s s
CAI [MM′] son image est le milieu K de [AB].
1 La droite (NH) a donc pour image (NK) et (NK) est
s s est une homothétie de centre Ω et de rapport – ---
2 perpendiculaire à (NH). Il en résulte que (NH) est
donc Ω est aligné avec B et A d’une part et C et I tangente en N au cercle de diamètre [AB] qui a pour
d’autre part. centre K.
E S D C
E M H N (d) F
I
π 1
O M′ est l’image de M par s1 A ; --- ; --- et N′ celle de N
P 3 2
π
par s2 A ; – --- ; --- .
1
3 2
A B Donc les lieux géométriques de M′ et N′ sont les
droites ∆1 et ∆2 images respectives de d par s1 et s2.
Donc l’image du segment [BC] et le segment [DE].
De plus l’image de (AP) est (AS) donc l’image de P De plus si on construit E et F de d tels que AEH et
est l’intersection de (DE) et (AS) soit S. HAF sont deux demi-triangles équilatéraux, il vient :
Le triangle PAS est donc rectangle isocèle. H = s1(E) et s2(F) = H.
b) Le point S décrit donc le segment [DE]. Donc ∆1 et ∆2 passent par H.
312
●
73 ● Donc M′ image de M par s a pour affixe
1 1
--- i(1 + im) + --- i – 1 = – 1--- m + 1 + i.
2 2 2
¢
M¢ 1 m+1
Il en résulte que I a pour affixe – --- m + -------------- i.
4 2
I
1 1 1
W¢ A b) I a donc pour coordonnées x = – --- m et y = --- + --- m
4 2 2
1
donc y = – 2x + --- . Ainsi I est un point de la droite
M 2
B
1
d’équation y = – 2x + --- .
W 2
O 2 D’autre part m décrit donc x décrit et I décrit
(G )
toute la droite .
Similitudes et suites
75 ●
1. a) s(A) = I et s(O) = B.
M
I 2 2
Donc ------- = ai + b et 2 = b donc a = ------- i
M¢ 1 D 2 2
2
et z′ = ------- iz + 2.
2
2 π
b) s a pour rapport ------- , pour angle --- et pour centre
–1 1 2 2
B O A 2 2
le point Ω d’affixe : --- 2 + --- i.
3 3
c) Le centre de gravité du triangle ABC a pour affixe
d
1 2
--- [i + 2 + 2 + i] = --- ( 2 + i).
3 3
C’est donc le point Ω.
1. Le point A(1 ; 0) a pour image par s le point A′(– 1 ; 1) 2. a) Voir figure ci-dessus.
donc ∆ est la perpendiculaire en A′ à (BA′). Son
De plus s(A0) = A1, s(A1) = A2 milieu de [BC], etc.
équation est donc y = 1.
2. a) La similitude s a pour écriture complexe 2 6
b) un = ------- un – 1 et u0 = A0I = ------- .
1 2 2
z′ + 1 = --- i(z + 1).
2 6 2 n
1 1 Il résulte que un = ------- -------
soit z′ = --- iz + --- i – 1. 2 2
2 2
Spécialité • Chap. 4 • Les similitudes • 313
5π
2 n+1
------- 1 – -------
6 2 i ------
2 A. 1. a) zn – zn – 1 = ------- e 4 (zn – 2 – zn – 1) (1)
2 2 n+1
Sn = -------------------------------------------- = ---------------- 1 – -------
6 2
.
2 2– 2 2 5π
1 – ------- 2 i ------ 2 2 2 1
2 Or ------- e 4 = ------- – ------- – i ------- = – --- ( 1 + i ) = u d’où le
2 2 2 2 2
2 n+1
0 < ------- < 1 donc lim -------
2 résultat.
=0
2 n→+∞ 2
1 3i 1 1
b) Si n = 2, z2 – z1 = – --- + ----- – i = – --- + --- i
6 2 2 2 2
et lim S n = ------- ( 2 + 2 ) = 3 ( 1 + 2 ) .
n→+∞ 2 z0 – z1 = – i
donc z2 – z1 = u(z0 – z1) = – ui
76 ● 1. s est la similitude de rapport 1--- , d’angle π
--- si zn – zn – 1 = (– u)n – 1i
2 2
et de centre Ω d’affixe (1 – i). alors d’après (1)
1
2. a) ΩM1 = --- ΩM0 et plus généralement zn + 1 – zn = (– u)n – 1i(– u) = (– u)ni.
2
1 Donc la proposition est vraie pour tout n 2.
ΩMn = --- ΩMn – 1. c) z1 = i donc la proposition est vraie pour n = 1
2
De plus ΩP M0 a pour affixe i [ 1 – ( –u ) ]
n
si zn = ------------------------------ calculons zn + 1 = (– u)ni + zn.
1 + 4 3 + 3i – 1 + i = 4( 3 + i) donc ΩM0 = 8 1+u
n n+1 n
1 n ( –u ) i – ( –u ) i + i – i ( –u )
et ΩMn = 8 --- soit ΩMn = -----------
1 Il vient zn + 1 = ---------------------------------------------------------------------------
-.
2 n–3 1+u
2 1
b) ΩMn 0,05 si et seulement si ------------ 0,05
n–3 i [ 1 – ( –u )
n+1
]
soit n 8. 2 zn + 1 = ------------------------------------- donc la proposition est vraie
1+u
3. a) M0M12 = ΩM02 + ΩM21 = 64 + 16 = 80 pour n + 1. Elle est donc vraie pour tout n 1.
2
donc M0M1 = 4 5 .
z2 = i -------------- = i(1 – u) = i --- + --- i soit z2 = – --- + --- i.
1–u 3 1 1 3
b) (dn) est la suite géométrique de premier terme 4 5 1+u 2 2 2 2
1 2. a) et b) A0 A1 et A1 A2
et de raison --- .
2 1 3
donc i = b et – --- + --- i = ai + b
1 n+1
4 5 1 – ---
2 2
2 1 n+1
c) n = ------------------------------------------- = 8 5 1 – --- 1 1 1
2 donc ia = – --- + --- i soit a = --- (1 + i) = – u.
1 2 2 2
---
2 Il en résulte que s a pour écriture complexe
lim n = 8 5 . z′ = – uz + i.
n→+∞
P M0 + … + Ω
4. a) (n + 1)PΩGn = Ω P Mn 2 π
c) Soit donc la similitude de rapport ------- d’angle --- et
donc (n + 1)ΩGn ΩM0 + … + ΩMn 2 4
de centre Ω d’affixe (– 1 + i).
1 n+1
1 – --- n+1
16 2 u + ( –u )
ΩGn ------------ 8 --------------------------- d) – uzn + i = i 1 – ------------------------------
n+1 1 1+u
---
2 1 – ( –u )
n+1
soit i ------------------------------ = zn + 1 d’où le résultat.
1 n+1 1+u
soit ΩGn ------------ 1 – ---
16 16
------------ . π
n+1 2 n+1 3. a) s4 est la similitude de centre Ω, d’angle 4 --- = π
4
b) lim ΩGn = 0 donc Gn est en Ω.
n→+∞ 2 4 1
et de rapport ------- = --- , c’est donc l’homothétie de
2 4
●
77 ● A3 1
A2 centre Ω et de rapport – --- .
A4 4
b) Il en résulte que Ω, An et An + 4 sont alignés.
A1
A5 c) Les points An appartiennent donc aux quatre droites
W (ΩA0), (ΩA1), (ΩA2) et (ΩA3).
2 n 2 n
B. 1. ΩAn = ------- ΩA0 = ------- × 2
2 2
A0 O donc lim ΩAn = 0 et à « la limite » An est en Ω.
n→+∞
314
80 ●
2. La suite (AnAn + 1) est une suite géométrique de Notons s la similitude de l’écriture complexe
2 z′ = (1 +
3 i)z – 3 (1 + 2i).
premier terme A0A1 = 1 et de raison ------- . π
2 Son rapport est 2, son angle --- et son centre Ω a pour
2 n+1 3
1 – ------- affixe (2 – i). Un point M d’affixe z a pour image M′
2
Donc Ln = ------------------------------- . d’affixe z′ tel qte arg z′ ≡ 0 [π] donc M′ décrit l’axe des
2 abscisses privé de O. Il en résulte que M décrit
1 – -------
2 l’image de la droite d’équation y = 0 privé de s– 1(O)
2 par s– 1.
Il en résulte que lim Ln = ----------------
n→+∞ 2– 2
On obtient ainsi la droite d’équation 3 x + y – 2 3 = 0
soit lim Ln = 2 + 2. privée du point de coordonnées.
n→+∞
---------------
3 + 6 2 3 – 3
- ; ------------------- .
4 4
Prendre toutes les initiatives 81 ● OMM′ est un demi-triangle
équilatéral.
78 ● s est la similitude de rapport ------2- , d’angle π
--- et En posant OM = d, OM′ = 2d
2 4
de centre Ω d’affixe 4i. 3
Posons un = ΩMn. La suite (un) est une suite géométri- et MM′ = d 3 , donc IM = d -------
2
2 7
que de premier terme u0 = ΩM0 = 5 et de raison ------- . et IO = ------- d.
2 2
2 n OI 7
Donc ΩMn = 5 ------- . Il en résulte que ----------- = -------
2 OM 2
2 n 2 3
5 ------- --------- équivaut à n 16 donc N0 = 16.
1 Z I) = θ, cos θ = ------- et sin θ = -------
et en posant (UOM ; O
2 100 7 7
donc θ 40°9. Ainsi I est l’image de M par la simili-
79 ●
7
tude de centre O, de rapport ------- et d’angle θ.
2
82 ● O
H A
O π
2 4 ∆
¢ d
T H A B
87 ● A. 1. M′O = 2 MO ⇔ M O O′2 – 4 M
U O2 = 0. r′
Soit (OMO′ + 2 MU O) · (OMO′ – 2 MU O) = 0. B. 1. Si s transforme () en (′) le rapport est ---- soit
r
O O′ + 2 M
2. a) M O O=3M U A et M
O O′ – 2 M
U O=–M T B 3 s IO′
d’où M′O = 2 MO ⇔ M U A·M U B = 0. ------- = 2. Il en résulte de O O′ que --------- = 2 donc
1,5 IO
I est un point de (Γ).
π
2. a) Dans ce cas (AIO, IR O′) = --- donc I est un point
2
du demi-cercle (rouge) (γ) de diamètre [OO′] et du
cercle (Γ).
b) I est le point d’intersection de γ et (Γ).
88 ● ● 1. a) v0 = 1 et v1 = re .
iθ
2
donc b) est vraie. θ
c) s(O) = O′, s(C) = C′ et s(A) = B donc c) est vraie. et OI = cos --- OM
2 I
d) A B or θ ∈ ]– π ; π[
C C′ q
θ π π
donc la droite (AC) ou (AB) a pour image (BC′) la --- ∈ – --- ; --- O M
2 2 2
proposition d) est vraie.
θ θ
donc cos --- = cos --- et la proposition est vraie.
90 1. Si on admet que la rotation ou (et) l’homo- 2 2
thétie peuvent être l’identité du plan alors la proposi-
91
tion est vraie.
2. Faux car si k < 0, h(Ω, k) = s(– Ω, – k, π). t–1 s
π π 2. a) z z – 1 – i i(z – 1 + i) + 2 = iz – i + 1.
3. h(0 ; – 3 ) r 0 ; --- = h(0 ; 3 ) r(0 ; π) r 0 ; --- b) f(A) a pour affixe 1 – i + 1 = 1, f(A) = A
3 3
f(B) a pour affixe i(i) – i + 1 = – i donc f(B) = B.
= s0 ; 3 ; ------
4π f est donc la réflexion d’axe (AB).
3 c) Il en résulte que s = f t composée de la réflexion
4π 2π d’axe (AB) et de la translation de vecteur w y d’affixe
or ------ = – ------ [2 π] donc la proposition est vraie.
3 3 (1 + i).