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chapitre

4 Les similitudes
Activité (page 96)

1. A est un point invariant et A, M et M′ ne sont


Alors z′ =  --- + i ------- z′ + ------------------- + ---------------- i .
π 1 3 3+2 3 6– 3
I
pas alignés puisque (AM, P
AM ′) = --- . 4 4 4 4
3
Donc f n’est pas une homothétie. 4. a) Car r conserve les distances et h multiplie les
1
2. Par r : M  M1, par h : M1  M′ et, si on appelle distances par --- .
2
M2 le milieu de [AM], par h : M  M2 et par b) Parce que r et h conservent les angles géomé-
r : M2  M′. triques.
Donc f = h  r = r  h, c) Parce que r et h conservent les angles orientés.
1 π d) Car r et h conservent l’orthogonalité, r conserve
I
AM′ = --- AM et (AM, P
AM′) = --- . 1
2 3 les distances et h les multiplie par --- .
π 2
i --- e) Si O est le centre du cercle circonscrit :
3. Pour r : z′ = e 3 (z – 1 – 2i) + 1 + 2i;
OM = ON = OP,
1
pour h : z′ = --- (z – 1 – 2i) + 1 + 2i. et, par f, O devient O′ avec O′M′ = O′N′ = O′P′.
2

Travaux dirigés (page 109)

π
TD 1 2. Le rapport est 2 et l’angle – --- , donc M′ décrit
4
le demi-cercle ′ image de  par la similitude de s.
Premier exemple
AB
1. s : I  B donc le rapport est --------- = 2 et l’angle ¢
AI
π
R B) = --- .
est (ZAI, A A¢
3
2. s : J  N, donc BN = 2IJ.

Deuxième exemple M¢

π  M
On note s la similitude de centre O, d’angle --- et
6
3
de rapport ------- . Alors s(A) = I, s(C) = J et s(E) = K.
2
p
Or, A, C, E sont trois points alignés donc I, J, K –
4
sont également alignés. A O B

O′ centre de ′ est l’image de O par s.


TD 2 (O′ ∈ ) et A′ = s(A).
Deuxième exemple
Premier exemple s:OA
B  O.
1. lAMB = 90° donc le triangle BMM′ est rectangle π
R O) = --- .
3. a) L’angle de s est (ROB, A
isocèle en M. 2
302
π Il résulte donc que le triangle ABC et A′B′C′ sont
R A) = (RKB, K
b) (RKO, K R O) = --- .
2 directement semblables.
Donc K est un point des cercles de diamètres [OA]
et [OB] donc K est le projeté orthogonal de O sur
[BA]. C¢ B¢

c) s(B) = O donc l’image de d par s est la perpen-


diculaire à d passant par O, c’est donc ∆.
De même s(O) = A donc l’image de ∆ par s est la
perpendiculaire à ∆ passant par A. C
Or B′ est l’intersection de ∆ et d donc son image A¢
est A′ intersection des droites images.
π O
O A′) = --- donc le cercle de
Il en résulte que (IKB′, K –2 B
2
diamètre [A′B′] passe par le point K.
A

TD 3

1. a) Les égalités (1) entraînent que qA = qA′ et qB = qB′ TD 4


donc les triangles ABC et A′B′C′ sont semblables
α1 a1 + … + αn an
au sens de la classe de seconde. 1. g = ------------------------------------------- .
α1 + … + αn
b) Les côtés sont donc proportionnels et
A′B′ A′C′ 2. La similitude s a pour centre O donc z′ = az ou
------------- = ------------- (2)
AB AC z′ = az car le point O d’affixe o est invariant par s.
2. a) s : A → A′
3. G′ a pour affixe g′ = ag et A′1 … A′n ont pour
B → B′
affixes respectives aa1 … aan d’où
C → C′′
A′B′ A′C′′ α 1 a′ 1 + … + α n a′ n
d’où ------------- = --------------- (3) g′ = ----------------------------------------------- d’où le résultat.
α1 + … + αn
AB AC
b) Il résulte de (2) et (3) que A′C′ = A′C′′.
4. La démonstration est identique.
3. a) (UAB, A O ′B′) = (UAC, A P ′C′′) (angle de la simili-
tude). (4)
b) D’après (1) TD 5
(UAB, A O ′B′) + (OA′B′, A R C) = (OA′B′, AR C) + (RAC, A
O ′C′)
d’où (RAB, A O ′B′) = (RAC, A O ′C′). (5) 1 1. S′ a pour écriture complexe z′ = z et s a pour
c) D’après (4) et (5) il résulte que écriture complexe z′ = az + b.
(RAC, A P ′C′′) + (OA′C′, AR C) = k2π
S s
donc (OA′C′, A P ′C′′) = k2π. Car : z z az + b d’où s′ = s  S.
Les vecteurs A O ′C′ et AP ′C′′ sont donc colinéaires et
de même sens. De plus, A′C′ = A′C′′ donc C′ = C′′. 2. La réflexion et la similitude directe transformant
D’où le résultat. les droites en droites, les cercles en cercles, etc.
donc il en est de même de leur composée.
Application
Il existe une unique similitude directe s telle que 2 Application
s(A) = A′ et s(B) = B′. Son écriture complexe est
s1 : z′ = (1 + i)z + 4i et s2 : z′ = 2iz + 1 – i.
de la forme z′ = az + b avec 2 + i = – ai + b
Les images de d et  par s1
3i = a + b d’où a = 2i et b = i soit z′ = 2iz + i.
On remarque que s est la similitude de rapport 2, • d a pour équation x + 2y – 2 = 0 donc A d’affixe
π 2 1 i et B d’affixe 2 sont deux points de d :
d’angle --- et de centre Ω d’affixe – --- + --- i. A′ = s1(A) a pour affixe a′ = 5i – 1 et B′ = s1(B) a
2 5 5
De plus l’image de C par s a pour affixe : pour affixe b′ = 2 + 6i. La droite d′ est donc définie
z′ = 2i(1 + i) + i = – 2 + 3i. par A′(– 1 ; 5) et B′(2 ; 6). Elle a pour équation :
C’est le point C′. x – 3y + 16 = 0.

Spécialité • Chap. 4 • Les similitudes • 303


• Le cercle  a pour centre I d’affixe (1 – 2i) et 2 1.
D1
pour rayon 2 , donc I a pour image par s1 le point

d’affixe : (1 + i) (1 – 2i) + 4i = 3 + 3i.
D
|1 + i| = 2 donc le cercle image a pour rayon 2.
Ainsi son équation est (x – 3)2 + (y – 3)2 = 4. C1
D2
5 I
Les images de d et  par s2
• A a pour image d point A2 d’affixe 3 – i et B a
pour image B2 d’affixe 1 + 3i, donc d a pour image A
la droite (A2B2) d’équation : 2x + y – 5 = 0. C2
• De même I a pour image I2 d’affixe
2i(1 + 2i) + 1 – i = i – 3 et |2i| = 2 donc le rayon du
O B2 O1 B1 6
cercle image est 2 2 .
Ainsi 2 a pour équation (x + 3)2 + (y – 1)2 = 8.
O a pour image O1(3 ; 0) par s, donc ∆ est la per-
TD 6 pendiculaire en O1 à (O1A).
Son équation est x – y – 3 = 0.
1 Analyse du problème
a) On connaît alors une diagonale du carré donc 2. La distance de I à s est égale à :
on en déduit B et D. 6–5–3
----------------------- = 2 < 3.
π 2
b) • s a pour rapport 2 et pour angle --- .
4 Donc ∆ coupe en deux points distincts C1 et C2.
• Il en résulte que s(B) = C, que C est un point de
la droite ∆ image de d par s. 3. Voir figure.

Corrigés des exercices


Maîtriser le cours (page 114)

1. Transformations du plan 1 1 – 2i
3. z = -------------- [z′ – (1 – i)] = -------------- [z′ – (1 – i)]
1 + 2i 5
π
• r  O ; – --- • h  I ; – --- .
1 1 – 1
donc T a pour écriture complexe :
• tB
 3 R A  2 1 1
z′ = --- (1 – 2i)z + --- (1 + 3i).
2 1 3 5 5
a) z′ = --- z – --- ,.
2 2
π 4 Corrigé dans le manuel.
– i ---
b) z′ = e 3 (z – 1 + i).
5 z s s
jz + 1 – j  j[jz + 1 – j] + 1 – j
c) z′ =  ---------- [z – 2 – 3i].
1–i
 4  soit z  jjz + j – jj + 1 – j
i 1 or jj = |j|2 = 1 d’où le résultat.
d) z′ = --- z + --- (1 – i).
2 2
6 Plus généralement r2  r1 est la rotation de
3 1. x′ + iy′ = x – 2y + 1 + 2ix + iy – i π
centre O et d’angle --- + θ.
= (x + iy) + 2i(x + iy) + 1 – i 3
d’où z′ = (1 + 2i)z + 1 – i. a) r2  r1 est l’identité si et seulement si :
2. Un point Ω d’affixe ω est invariant si et seulement π
θ ≡ – --- [mod 2π].
si ω = (1 + 2i)ω + 1 – i 3
1 i 1 b) r2  r1 est la symétrie de centre O si et seulement si :
soit ω = – ----- (1 – i) = --- (1– i) = --- (1 + i)
2i 2 2 2π
θ ≡ ------ [mod 2π].
d’où le résultat. 3

304
7 1. a) T1(K) = T2(K) si et seulement si 2. a) O  C CB 2
Le rapport de ∆ est ---------- = ------- = 2 .
( 3 + i)z = (1 – 3 )z + 3. AB OA 2
3 b) O  C
Donc K a pour affixe --- [( 3 – 1) – i( 3 + 1)]. donc CE = 2 OD = 2 .
8 DE
3
b) L = T1(K). Donc L a pour affixe --- (1 – i). Le point E appartient donc au cercle 1 de centre C
2
2. T2  T1– 1 (L) = T2(K) = L et de rayon 2 .
et T1  T2– 1 (L) = T1(K) = L. c) A  B
or AD = 5 donc BE 2 5 = 10 .
DE
8 a) z f g Le point E appartient au cercle 2 de centre B et
– 2z + i  – 2iz – 4.
g f
z  iz – 3  – 2iz + 6 + i. de rayon 10 .
f g
b) z  z + i  (1 – i)z + i + 1. 3. Une solution possible est d’écrire les équations de
g f
z  (1 – i)z  (1 + i)z + i. 1 et 2 à savoir :
1 : (x – 2)2 + (y + 1)2 = 2 (1)
2 : (x – 2)2 + (y + 3)2 = 10. (2)
2. Similitudes : définition On déduit de (1) et (2) que
(y + 3)2 – (y + 1)2 = 8 d’où y = 0
9 Corrigé dans le manuel. donc (x – 2)2 = 1 et x = 1 ou x = 3.

10 a) |zM′ – zN′| = |2zM + 3 – 2zN – 3| = 2|zM – zN| 14 1. s a pour rapport |3i| = 3.


d’où M′N′ = 2MN et T est une similitude de rapport 2. 2. 3i (1 – i) – 2(1 + i) = i + 1 donc I est invariant par s.
De même on démontre : 3. a) 3i × 2 – 2 – 2i = 4i – 2.
b) T est une similitude de rapport 2 2 . Z I a pour affixe (i – 1) et A
b) A R ′I a pour affixe 3 – 3i
c) T est une similitude de rapport 1. donc A R ′I = – 3ZAI et les points A, I, A′ sont alignés.
d) T est une similitude de rapport 5 .

π
r O ;
3
3. Caractérisation complexe d’une similitude
11 1. a) M M1
15 1. Le rapport est |2 + 3i] = 13 .
1 2. Le point Ω d’affixe ω est invariant si et seulement si
h O ; –
2 ω = (2 + 3i)ω + 5(1 + i) soit ω = – 2 + i donc Ω est unique.
b) M1 M¢
2. Il résulte de la question (1) que : 16 Corrigé dans le manuel.
r h
M M1 M¢
17 1. On pose z = x + iy d’où
r h
N N1 N¢ x + iy = (1 + 2i) (x – iy) + 5 – 6i soit :
1 x + iy = (x + 2y + 5) + i(2x – y – 6)
Donc M1N1 = MN et M′N′ = --- M1N1 donc d’où 2y + 5 = 0 et 2x – 2y = 6.
2
1 1 5
M′N′ = --- MN Il en résulte que le point I d’affixe --- – --- i est le seul
2 2 2
1 point invariant.
et f est une similitude de rapport --- . 2. Donc s n’est pas une réflexion.
2

12 Corrigé dans le manuel. 18 a) k = 2 le point invariant a pour affixe – 2 + i.


3
b) k = 5 et le point invariant a pour affixe 2 + --- i.
13 1. 2
D c) k = 2 et le point invariant a pour affixe 1 + i.
d) k = 1 la droite d’équation x – y – 1 = 0 est l’ensem-
1 3 ble des points invariants. La transformation est la
O réflexion d’axe ∆.
e) k = 5 et l’affixe du point invariant est (– 3i).
A C 1 2
19 1. f a pour écriture complexe z′ = z et r a pour
écriture complexe z′ = iz donc s = r  f.
r f
2. z  iz  – iz donc r  f ≠ f  r.
3. a) i(1 – i) = 1 + i donc A est invariant par s. De plus
B O est invariant, donc s est une réflexion d’axe (OA).

Spécialité • Chap. 4 • Les similitudes • 305


20 1. σ a pour écriture complexe z′ = z et s a pour π
b) s est la similitude directe d’angle – --- , de rapport 2
écriture complexe z′ = – z + 2i. 2
s σ 1
2. a) z  – z + 2i  – z – 2i. et de centre Ω d’affixe --- (– 1 + 2i).
b) La transformation s n’a pas de point invariant. Ce 5
n’est donc pas une réflexion. 30 a) s est l’homothétie de rapport 5 et de centre I
3
d’affixe --- i.
4. Les similitudes directes 4
b) s est l’homothétie de rapport – 3 et de centre I
21 x′ + iy′ = – 2y + 1 + 2ix + 4i = 2i(x + iy) + 1 + 4i d’affixe 1 – 2i.
soit z′ = 2iz + 1 + 4i.
π 31 Corrigé dans le manuel.
T est la similitude directe de rapport 2, d’angle --- et
2
7 6
de centre Ω d’affixe – --- + --- i.
5 5 32 a) z′ = iz + 2i donc s est la rotation d’angle π --- et
2
de centre I d’affixe (– 1 + i).
22 Idem au 21. 1
π b) z′ = --- (1 – 3i)z donc s est la similitude de centre O,
T est une similitude directe de rapport 2 et d’angle --- . 2
3
23 Idem au 21. 10 1
de rapport ---------- et d’angle θ tel que cos θ = ---------- et
2 10
T est une similitude directe de rapport 2 et d’angle
π 3
– --- . sin θ = – ---------- .
4 10

24 2i = (1 + i)a + b et – 1 – i = ia + b 33 a) s est la similitude d’angle π


--- , de rapport 2 et
d’où a = 1 + 3i et b = 2 – 2i 3
i 3
soit z′ = (1 + 3i)z + 2 – 2i. de centre I d’affixe --------- .
3
25 En opérant comme à l’exercice 24 on obtient : b) s est la similitude de rapport 5 , d’angle θ tel que
z′ = (1 – i)z – 1 – i. 1 2
cos θ = – ------- et sin θ = ------- . Son centre I a pour affixe
26 1. a) Le rapport de s est 2 . 5 5
1
b) s(B) a pour affixe 2i donc s(B) = B. --- (7 – i).
4
U M a pour affixe z – 2i = Z1
2. a) B
P M′ a pour affixe iz + 2 = Z2.
et M 34 z′ – (1 + i) = 2  1--- + i ------3- (z – 1 – i)
2 2
Il en résulte que Z2 = iZ1.
soit z′ = (1 + i 3 )z – 3 (1 – i).
b) Donc |Z1| = |Z2| et MB = MM′
π
P M′) = --- .
d’autre part (UBM, M 35 z′ – (– 1 + 2i) = (1 – i) [z – (– 1 + 2i)]
2
Le triangle BMM′ est donc rectangle isocèle. z′ = (1 – i)z – i – 2.

27 1. A  A′ B  B′ 36 z′ – (1 – i) = – 3[z – (1 – i)]
donc 5 + i = ai + b z′ = – 3z + 4(1 – i).
et 1 + i = – a + b.
Il en résulte que a = 2(1 – i), b = 3 – i 37 a) Le rapport est BC --------- = 2
soit z′ = 2(1 – i)z + 3 – i. BI
π
2. C′ doit être l’image de C par s, son affixe est donc R C) = – --- .
et l’angle (ZBI, A
2(1 – i) (– 2i) + 3 – i = – 1 – 5i. 3
IC π
b) Le rapport ------- = 3 et l’angle (AIA, IZ C) = – --- .
28 A O ′B′ . A
O ′C′ = A′B′ × A′C′ × cos (OA′B′, AO ′C′) IA 2
or A′B′ = kAB ; A′C′ = kAC ; (OA′B′, A O ′C′) = (RAB, AR C) AC π
d’où R C) = --- .
c) Le rapport ---------- = 3 et l’angle (RAG, A
AG 6
O ′B′ · A
A O ′C′ = k2AB × AC cos (RAB, A R C) = k2A R B·A R C.
38 Corrigé dans le manuel.
5. Forme réduite d’une similitude directe
39 A(i)  A′(2 + 2i) B(3i)  B′(– 1 – i)
29 a) s est la similitude directe de centre O, d’angle
 2 + 2i = ai + b 3 7
π  d’où a = --- (i – 1) et b = --- (1 + i).
--- et de rapport 2 .
2  – 1 – i = 3ai + b 2 2

306
3 2 3π 2. a) La droite (AB) notée d passe par Ω donc son
Donc s est la similitude de rapport ---------- , d’angle ------
2 4 image par s est la droite ∆ d’équation x = 1.
7
et de centre Ω d’affixe ------ (1 + 4i). b) Le point I a pour image J et le rayon de ′ est 2,
17
donc son équation est :
40 s a pour écriture complexe z′ = (1 + i)z.
Le cercle  a pour centre I d’affixe 1 + 2i donc I′ = s(I) (x – 1)2 + y2 = 2.
a pour affixe (– 1 + 3i).
′ a pour équation : 47 s a pour écriture complexe
(x + 1)2 + (y – 3)2 = 4.
i 1 3
z′ = --- z + --- – --- i.
41 Par s : 2 2 2
D C¢ C
A  A′ a) B(– 2) et C(i) suit deux points de d.
B  B′
C  C′ 1 5
B′ = s(B) a pour affixe --- – --- i et
D¢ B¢
D  D′ 2 2
O
3
C′ = s(C) a pour affixe – --- i.
2
Donc l’image de d a pour équation 4x + 2y + 3 = 0.
A A¢ B
b)  a pour équation :
42 h = h(0 ; – 2) ; r = r  0 ; -----
2π
- ; s = r(0 ; π). (x + 2)2 + (y – 1)2 = 5.
 3
a) h  s est l’homothétie de centre O et de rapport 2. Son centre I a pour affixe (– 2 + i) et son rayon est 2
b) h  r est la similitude de centre O, de rapport 2 et
π 5
d’angle – --- . I′ = s(I) a pour affixe – --- i donc ′ a pour équation
3 2
π
c) r  s est la rotation de centre O et d’angle – --- . 5 2 5
3 x2 +  y + --- = --- .
 2 4
43 r  h est la similitude de centre O, de rapport 3

et d’angle ------ . 48
6 d

44 Corrigé dans le manuel.

45 1. s est la similitude de centre Ω d’affixe 1--- (2 + i)


π 5
de rapport 3 et d’angle --- . N K (D)
2
2. A′ = s(A) a pour affixe (– 2 – 4i) et B′ = s(B) a pour
I
affixe (– 14 + 5i) donc la droite (A′B′) image de (AB) M
a pour équation 3x + 4y + 22 = 0.
3. AB = 5 donc A′B′ = 15 d’où ′ a pour équation
(x + 2)2 + (y + 4)2 = 225.
O H (D¢)
46 1. s est la similitude de centre Ω d’affixe 1 + 2i
π
de rapport 2 et d’angle --- .
4
(D) d
1. La similitude s a pour écriture complexe z′ = 2iz
donc s(H) est K d’affixe 2i et l’image de d est la droite
2
∆ d’équation y = 2 perpendiculaire en K à (OK).
W

2. b) N a pour affixe – 2m + 2i.
I p
4 ¢ 1 – 2m m+2
3. a) I a pour affixe ----------------- + i -------------- .
J
2 2
O 4(2 + m)
b) 2  ----------------- + ---------------------- = 5
1 – 2m
 2  2
donc I est un point de ∆′.

Spécialité • Chap. 4 • Les similitudes • 307


Apprendre à chercher (page 118)

B  A AC π
49 1.  R C) = – --- .
donc k = --------- et θ = (RBA, A 52 1. a + b = 0.
 A  C AB 2
s1
2. a) Comme s(B) = A et s(A) = C 2. a) C  U .
π π 2
(ZIB, IZ A) = (ZIA, IZ C) = – --- . s1 a pour angle --- et pour rapport -------
2 4 2
b) Il en résulte que I appartient aux cercles de diamè- 1
tres respectifs [AB] et [AC]. Ces cercles ont en com- donc u – a = --- (1 + i) (c – a)
2
mun H et A. Or A n’est pas invariant (s(A) = C) donc
1 1
le centre I est en H. soit u = --- (1 + i)c + --- (1 – i)a.
2 2
3. a) La droite (HM) a pour image (HN) et la droite
s2
(AB) a pour image (AC) donc le point M intersection b) C  V .
de (AB) et (HM) a pour image l’intersection des droi- π
s2 est la similitude de centre B d’angle – --- et de rapport
tes (HN) et (AC), c’est-à-dire N. 4
2
------- . Il vient
50 1. s est la similitude centre C, de rapport ------2- et 2
2 1
π v – b = --- (1 – i) (c – b)
d’angle – --- . 2
4
1 1
2. a) r(B) = D donc l’image de 1 est 2. soit v = --- (1 – i)c + --- (1 + i)b.
2 2
b) La droite (CM) a pour image la droite (CN).
1 1
c) Comme M est commun à 1 et (CM) son image c) Or iu = --- (– 1 + i)c + --- (1 + i)a.
2 2
appartient à 2 et (CN) en étant distinct de C si M est
De plus b = – a donc
distinct de C donc l’image de M est N et le triangle
MCN est rectangle isocèle en C. 1 1
v = --- (1 – i)c – --- (1 + i)a
3. Le lieu de I est le cercle (Γ) image de 1 par 2 2
soit v = – iu
π
s  C, – --- ; ------- . Dans ce cas l’image de B est le point
2
 4 2 donc |v| = |u| soit OU = OV
π π
(arg  --- = – --- soit (UOU, O
O centre du carré ABCD et l’image de A est D donc v
U V) = – --- .
(Γ) est le cercle circonscrit au carré ABCD.  u 2 2
Il résulte que le triangle VOU est rectangle isocèle.
51 Première méthode
53 1. a) L’angle de s est – π 2
--- et le rapport ------- .
a) ( 1 – i )  z + ---------- = 2 donc
2–i 3+i
2 z + ----------- = 2 . 4 2
 1 – i 2 b) N est un point de d donc M appartient à l’image
3+i
Il en résulte que z + ----------- = 1. de d par s. Notons ∆ cette droite (voir synthèse).
2 2. Synthèse :
3 i
b) On note I le point d’affixe – --- – --- . L’ensemble des 
2 2
points M est le cercle de centre I et de rayon 1 car
IM = 1.
M O
Deuxième méthode
1. s est la similitude de centre I d’affixe – 2i – 1, de
π
rapport 2 et d’angle – --- . N
A F d
4
2. a) OM′ = 2 donc M′ appartient au cercle de
centre O et de rayon 2 .
b) O1 qui a pour image O par s a pour affixe z0 telle J
E
que :
3 i I (D)
O = (1 – i)z0 + 2 – i soit z0 = – --- – --- .
2 2
c) O1  O c) L’image de d par s est la droite (AJ) car s(A) = J
donc OM′ = 2 O1M = 2
M  M′ centre du carré IEFA.
donc O1M = 1 et M décrit le cercle de centre O1(ou I) d) M est l’intersection de  et ∆ (M ≠ A) d’où la
et de rayon 1. construction de N.

308
Pour progresser (page 120)

1. s est la similitude de centre B, d’angle – ------ et de
Images d’ensemble 3
rapport 2.
54 2. A′BC′D′ est l’image de ABCD par s.
C¢ B¢ C1
57 ●


B1

D C 1
D1
M

p/4  A A¢

–1 O 2
D¢ A B

π
AB′C′D′ est l’image de ABCD par s  A ; --- ; 2 et
 2  I –2
π
AB1C1D1 l’image de ABCD par s  A ; --- ; 2 .
 4 

55
2 π
B1 1. Par s  I ; ------- ; --- l’image de A′ est O donc 1 est le
 2 4
cercle de centre O et de rayon 2.
2. Si IMM′ est rectangle isocèle direct de sommet M,
2 π
s  I ; ------- ; ---
 2 4 M donc M appartient à  et  d’où
A¢ A C¢A1 M′ 1
la construction.
Il existe un second triangle IMM′.
J
58 ●
O
¢1
C1B C

1
I¢ ¢2

B¢ I
π
A′B′C′ est l’image de ABC par s  0 ; 2 ; – --- . A1B1C1
 3 B

 π O¢ O
est l’image de ABC par s J ; 3 ; – --- .
 2
● 2 A
56 A

B d

D

1. a) s(I) centre de ’1 a pour affixe – 5 + 2i et le rayon
C de ′1 est 4.

b) L’image de O est O′ d’affixe – 3 et le rayon de ′2
D¢ est 2 d’où la construction.

Spécialité • Chap. 4 • Les similitudes • 309


π
2. L’image de d est la droite d′ passant par les points donc s est une similitude de rapport 2, d’angle – --- et
2
communs à ′1 et ′2. La droite d′ est perpendiculaire 2 1
à la droite d. de centre Ω d’affixe – --- – --- i.
5 5

62 ●
Déterminer une similitude M¢

59 ● 1. Pour tout réel λ, les points A, B, C sont


distincts deux à deux d’où l’existence d’une unique
similitude. G
2. a) 3 – i = a(– 1 + 2i) + b M
p
7 + λi = a(3 – i) + b. 4
Il en résulte que
13 – 3λ 4 O
a = ------------------ + ------ (4 + λ)i.
25 25
b) s est une translation si et seulement si a = 1
π
13 – 3λ = 25
4
λ = – 4 et dans ce cas ------ (4 + λ) = 0. s  0 ; --- ; 2
25  4 
1. a) M M′
Donc s est une translation pour λ = – 4.
donc z′ = (1 + i)z.
s est une rotation si et seulement si |a| = 1
1 2+i
2
( 13 – 3λ ) + 16 ( 4 + λ )
2 b) L’affixe zG est donnée par --- [z + (1 + i)z] = ----------- z.
soit ---------------------------------------------------------- = 1. 3 3
2 2. Il résulte de la question précédente que G est l’image
25
Ou encore λ2 + 2λ – 8 = 0. 5
On obtient λ = – 4 (translation) et λ = 2. de M par la similitude de centre O, de rapport ------- et
3
7 24 2 1
Pour λ = 2, |a| = 1 avec a = ------ + ------ i. d’angle θ tel que cos θ = ------- et sin θ = ------- , donc
25 25
5 5
Dans ce cas s est une rotation.
π θ  0,46 radian.
c) s est une similitude directe d’angle --- si et seule-
2
13 4
ment si λ = ------ , dans ce cas a = --- i. 63 ●

3 3
M2(z + a)
60 ●
1. s a pour écriture complexe z′ = 2iz M(z)

donc I a pour affixe zI= -------------- =  -------------- z.


z + z′ 2i + 1
2  2 
M1(iz)
2. La transformation z  zI =  --- + i z est une simili-
1 A(a)
2 
O
5
tude de centre O, de rapport ------- et d’angle θ tel que
2
1 2 1. M1 est l’image de M par la rotation de centre O et
cos θ = ------- et sur θ = ------- donc θ ≈ 1,11 radians.
5 5 π
d’angle --- et M2 est tel que O P M2 = O R A+O U M.
2
61 ●
1. a) f est une translation si et seulement si T2 T1
 u = 1 dans ce cas f est l’identité 2. z  z + a  iz + ai .
 Un point Ω d’affixe w est invariant par T1  T2 si et
 ou seulement si :
u2 = 1 soit  .
 u = – 1 dans ce cas f est une translation ω = iω + ai
 de vecteur u w d’affixe – 2
 ai ( 1 + i ) a a 1
soit ω = --------------------- = – --- + i --- = --- (– 1 + i)a
b) f est une rotation si et seulement si u = eiθ avec 2 2 2 2
π donc Ω est l’image de A par la similitude de centre O,
i --- π 5π 2
e2iθ = e 2 soit θ = --- cos ------ donc u1 = ------- (1 + i) 3π 2
4 4 2 d’angle ------ et de rapport ------- .
2 4 2
et u2 = – ------- (1 + i).
2 3. zM′ = iz + z + a = (1 + i)z + a.
c) f est une homothétie de rapport – 2 si et seulement π
a) s est la similitude directe de rapport 2 , d’angle ---
si u2 = – 2 donc u1 = i 2 et u2 = – i 2 . 4
2. Si u = 1 – i, u2 = – 2i et z′ = – 2iz – i et de centre I d’affixe ai.

310
b) I est donc l’image de A par la rotation de centre O 66 ● 1. a) Le triangle ABC est isocèle en B et Ω
π est donc un point de l’axe des abscisses. Soit x son
et d’angle --- .
2 abscisse ΩB2 = ΩA2 donc (14 – x)2 = (– 4 – x)2 + 36.
Il résulte que x = 4 et Ω a pour affixe 4.
b) Voir figure ci-dessous.
Démontrer avec une similitude 1
2. s a pour écriture complexe z′ – 4 = --- (1 + i) (z – 4)
2
64 1
C¢ 3 B¢ --
-
soit z′ = (1 + i)z + 2 – 2i donc A1 a pour affixe
2
1
--- (1 + i) (– 4 – 6i) + 2 – 2i = 3 – 7i,
2
de même on trouve que B1 a pour affixe 9 + 5i et C1 a
C pour affixe – 3 – i.
1

3. I a pour affixe 5 – 3i. Donc A U 1I a pour affixe 2 + 4i
1 P 1B1 a pour affixe 6 + 12i.
et A
O B

–1
A
C 6 B1
Notons s la similitude telle que J
A  A′
B  B′ –4K B
alors O W
C1
2 + i = – ai + b
I
3i = a + b.
Il en résulte que a = 2i et b = i donc z′ = 2iz + i. A –6
L’image de C par s a pour affixe 2i(1 + i) + i = – 2 + 3i. A1
Donc s(C) = C′ et les deux triangles sont directement
semblables.
Il en résulte que A U 1I. D’où l’alignement des
P 1B1 = 3 A
65 ● points A1, I1, B1. La démonstration est identique pour
B C
les points B1, J, C1 d’une part et les points C1, A1, K
d’autre part.
W
67 ● 1. N  N et M  B avec l’angle de la simili-
12
tude est (UNM, NR B). Dans le triangle AMM′, le point B
π
O I 12
 A est l’orthocentre donc (UNM, N R B) = – --- .
2 2
BC NB
Le rapport de s est ---------- . Or les triangles ANB et
CA NM
1. Si z′ = az + b est l’écriture complexe de s alors NB AB AB
M′NM sont semblables donc ---------- = ------------- = ----------------
2 + i = ai + b. NM M′M 2 MH
2 = a( 2 + i) + b. NB 6 3
or MH2 = HA . HC donc MH = 4 et --------- = --- = --- .
2 2 NB 8 4
Il en résulte que a = – i ------- et b = ------- + i 2. a) L’image de d est la droite perpendiculaire en B
2 2
à d, c’est-à-dire AC (car s(M) = B).
2 2 L’image de NM′ est (AM).
d’où z′ = – ------- iz + ------- + i.
2 2
b) Il résulte de la question précédente que l’image
2 2 2 de M′ est l’intersection des droites (AC) et AM, c’est
2. A a pour image I car – ------- i × 2 + ------- + i = ------- .
2 2 2 donc A.
s s
BCA 3. M  B et M′  A. Comme H est le milieu de
s s
CAI [MM′] son image est le milieu K de [AB].
1 La droite (NH) a donc pour image (NK) et (NK) est
s  s est une homothétie de centre Ω et de rapport – ---
2 perpendiculaire à (NH). Il en résulte que (NH) est
donc Ω est aligné avec B et A d’une part et C et I tangente en N au cercle de diamètre [AB] qui a pour
d’autre part. centre K.

Spécialité • Chap. 4 • Les similitudes • 311


π
1. a) f a pour rapport ------- et pour angle  –
68 ● 2
● --- . π
2  4 2
2. a) s a pour rapport ------- et pour angle --- .
2 4
b) r – m = -------  ------- – i ------- (n – m)
2 2 2
2  2 2 b) L’ensemble des points est donc l’image du segment
1 1 [BC] par s, c’est-à-dire [OD].
soit r – m = --- (1 – i)n – --- (1 – i)m
2 2 ●
71
1 1
donc r = --- (1 – i)n + --- (1 + i)m.
2
1+i
2
1–i W M¢
2. a) u – s = ----------- (q – n) + ---------- (m – p). (1)  I ¢
2 2
1+i 1–i M
t – r = ----------- (p – m) + ---------- (q – n). (2)
2 2
Il résulte de (1) et (2) que u – s = i(t – r). O A O¢
b) u – s est l’affixe de S R U et t – r celle de R
R T donc
u–s π (G)
comme |u – s| = |t – r| et arg ----------- = --- , SU = TR et
t–r 2
π
(RRT, SR U) = --- d’où le résultat.
2
π
Y O′) = --- donc le centre Ω appar-
1. r(O) = O′ et (RΩO, Ω
2
tient à la tangente commune en A à  et ′ et il est tel
Lieux géométriques
que le triangle ΩOO′ est rectangle isocèle direct en Ω.
69 ● Première méthode π
L’image de M est M1 tel que (UOM, O P M1) = --- avec
π 2
1. s est la similitude de rapport 2, d’angle  – --- et de M1 ∈ ′ donc M1 = M′.
 3
2. I est l’image de M par la similitude s de centre Ω,
centre I d’affixe  – ------- + i .
3
 3  π 2
d’angle --- et de rapport ------- .
2. a) s(M) = M′ avec z′ = (1 – i 3 )z – 3 – i donc 4 2
|OM′| = 4. 3. Le lieu de I est donc le cercle Γ centré en A = s(O)
b) L’ensemble des points M′ est le cercle  de centre O
2
et de rayon 4. Donc l’ensemble E des points M est le et de rayon ------- R.
2
cercle de centre O′ tel que s(O′) = O et de rayon 2.
4. O  A π
Deuxième méthode Z I) = --- .
donc (IOM, A
MI 4
3+i
1. a) |1 – i 3 | z – ------------------ = 4. 72 ●
1–i 3
soit 2|z – i| = 4 donc |z – i| = 2. D2 D1
L’ensemble des points M est donc le cercle de centre O′ A
d’affixe i et de rayon 2.
● N¢ p
70 1. a) r(B) = D et r(C) = E. 3 M¢

E S D C

E M H N (d) F
I

π 1
O M′ est l’image de M par s1  A ; --- ; --- et N′ celle de N
P  3 2
π
par s2  A ; – --- ; --- .
1
 3 2
A B Donc les lieux géométriques de M′ et N′ sont les
droites ∆1 et ∆2 images respectives de d par s1 et s2.
Donc l’image du segment [BC] et le segment [DE].
De plus l’image de (AP) est (AS) donc l’image de P De plus si on construit E et F de d tels que AEH et
est l’intersection de (DE) et (AS) soit S. HAF sont deux demi-triangles équilatéraux, il vient :
Le triangle PAS est donc rectangle isocèle. H = s1(E) et s2(F) = H.
b) Le point S décrit donc le segment [DE]. Donc ∆1 et ∆2 passent par H.

312

73 ● Donc M′ image de M par s a pour affixe
1 1
--- i(1 + im) + --- i – 1 = –  1--- m + 1 + i.
2 2 2 

M¢ 1 m+1
Il en résulte que I a pour affixe – --- m + -------------- i.
4 2
I
1 1 1
W¢ A b) I a donc pour coordonnées x = – --- m et y = --- + --- m
4 2 2
1
donc y = – 2x + --- . Ainsi I est un point de la droite 
M  2
B
1
d’équation y = – 2x + --- .
W 2
O 2 D’autre part m décrit  donc x décrit  et I décrit
(G )
toute la droite .

Similitudes et suites

75 ●

1. • M′ est l’image de M par la rotation Ω de centre O


π A3 C
et d’angle --- . Donc ′ est le cercle de rayon 2 centré A
2 A0
en Ω′ = r(Ω) d’affixe 2i.
A4
L’équation de ′ est x2 + y2 – 4y = 0.
W
• I est l’image de M par la similitude s de centre O,
A6
π 2 A2
d’angle --- et de rapport ------- . Donc Γ est le cercle centré A5
4 2
en B milieu de [OA] d’affixe (1 + i) et de rayon 2 .
Son équation est x2 + y2 – 2x – 2y = 0.
2. B est le milieu de [OA] donc O et A sont des points
de Γ car (Γ) passe par O (s(O) = O).
● O A1 I
74 12 B

1. a) s(A) = I et s(O) = B.
M
I 2 2
Donc ------- = ai + b et 2 = b donc a = ------- i
M¢ 1 D 2 2
2
et z′ = ------- iz + 2.
2
2 π
b) s a pour rapport ------- , pour angle --- et pour centre
–1 1 2 2
B O A 2 2
le point Ω d’affixe : --- 2 + --- i.
3 3
c) Le centre de gravité du triangle ABC a pour affixe
 d
1 2
--- [i + 2 + 2 + i] = --- ( 2 + i).
3 3
C’est donc le point Ω.
1. Le point A(1 ; 0) a pour image par s le point A′(– 1 ; 1) 2. a) Voir figure ci-dessus.
donc ∆ est la perpendiculaire en A′ à (BA′). Son
De plus s(A0) = A1, s(A1) = A2 milieu de [BC], etc.
équation est donc y = 1.
2. a) La similitude s a pour écriture complexe 2 6
b) un = ------- un – 1 et u0 = A0I = ------- .
1 2 2
z′ + 1 = --- i(z + 1).
2 6 2 n
1 1 Il résulte que un = -------  -------
soit z′ = --- iz + --- i – 1. 2  2
2 2
Spécialité • Chap. 4 • Les similitudes • 313

2 n+1
------- 1 –  -------
6 2 i ------
 2 A. 1. a) zn – zn – 1 = ------- e 4 (zn – 2 – zn – 1) (1)
2 2 n+1
Sn = -------------------------------------------- = ---------------- 1 –  -------
6 2
.
2 2– 2  2 5π
1 – ------- 2 i ------ 2 2 2 1
2 Or ------- e 4 = ------- – ------- – i ------- = – --- ( 1 + i ) = u d’où le
2 2 2 2 2
2 n+1
0 < ------- < 1 donc lim  -------
2 résultat.
=0
2 n→+∞  2 
1 3i 1 1
b) Si n = 2, z2 – z1 = – --- + ----- – i = – --- + --- i
6 2 2 2 2
et lim S n = ------- ( 2 + 2 ) = 3 ( 1 + 2 ) .
n→+∞ 2 z0 – z1 = – i
donc z2 – z1 = u(z0 – z1) = – ui
76 ● 1. s est la similitude de rapport 1--- , d’angle π
--- si zn – zn – 1 = (– u)n – 1i
2 2
et de centre Ω d’affixe (1 – i). alors d’après (1)
1
2. a) ΩM1 = --- ΩM0 et plus généralement zn + 1 – zn = (– u)n – 1i(– u) = (– u)ni.
2
1 Donc la proposition est vraie pour tout n  2.
ΩMn = --- ΩMn – 1. c) z1 = i donc la proposition est vraie pour n = 1
2
De plus ΩP M0 a pour affixe i [ 1 – ( –u ) ]
n
si zn = ------------------------------ calculons zn + 1 = (– u)ni + zn.
1 + 4 3 + 3i – 1 + i = 4( 3 + i) donc ΩM0 = 8 1+u
n n+1 n
1 n ( –u ) i – ( –u ) i + i – i ( –u )
et ΩMn = 8  --- soit ΩMn = -----------
1 Il vient zn + 1 = ---------------------------------------------------------------------------
-.
 2 n–3 1+u
2 1
b) ΩMn  0,05 si et seulement si ------------  0,05
n–3 i [ 1 – ( –u )
n+1
]
soit n  8. 2 zn + 1 = ------------------------------------- donc la proposition est vraie
1+u
3. a) M0M12 = ΩM02 + ΩM21 = 64 + 16 = 80 pour n + 1. Elle est donc vraie pour tout n  1.
2
donc M0M1 = 4 5 .
z2 = i -------------- = i(1 – u) = i  --- + --- i soit z2 = – --- + --- i.
1–u 3 1 1 3
b) (dn) est la suite géométrique de premier terme 4 5 1+u 2 2  2 2
1 2. a) et b) A0  A1 et A1  A2
et de raison --- .
2 1 3
donc i = b et – --- + --- i = ai + b
1 n+1
4 5 1 –  ---
2 2
 2 1 n+1
c) n = ------------------------------------------- = 8 5 1 –  --- 1 1 1
 2 donc ia = – --- + --- i soit a = --- (1 + i) = – u.
1 2 2 2
---
2 Il en résulte que s a pour écriture complexe
lim n = 8 5 . z′ = – uz + i.
n→+∞
P M0 + … + Ω
4. a) (n + 1)PΩGn = Ω P Mn 2 π
c) Soit donc la similitude de rapport ------- d’angle --- et
donc (n + 1)ΩGn  ΩM0 + … + ΩMn 2 4
de centre Ω d’affixe (– 1 + i).
1 n+1
1 –  --- n+1
16  2 u + ( –u )
ΩGn  ------------ 8 --------------------------- d) – uzn + i = i 1 – ------------------------------
n+1 1 1+u
---
2 1 – ( –u )
n+1
soit i  ------------------------------ = zn + 1 d’où le résultat.
1 n+1  1+u 
soit ΩGn  ------------ 1 –  ---
16 16
 ------------ . π
n+1  2 n+1 3. a) s4 est la similitude de centre Ω, d’angle 4  --- = π
 4
b) lim ΩGn = 0 donc Gn est en Ω.
n→+∞ 2 4 1
et de rapport  ------- = --- , c’est donc l’homothétie de
 2 4

77 ● A3 1
A2 centre Ω et de rapport – --- .
A4 4
b) Il en résulte que Ω, An et An + 4 sont alignés.
A1
A5 c) Les points An appartiennent donc aux quatre droites
W (ΩA0), (ΩA1), (ΩA2) et (ΩA3).

2 n 2 n
B. 1. ΩAn =  ------- ΩA0 =  ------- × 2
 2  2
A0 O donc lim ΩAn = 0 et à « la limite » An est en Ω.
n→+∞

314
80 ●
2. La suite (AnAn + 1) est une suite géométrique de Notons s la similitude de l’écriture complexe
2 z′ = (1 +
3 i)z – 3 (1 + 2i).
premier terme A0A1 = 1 et de raison ------- . π
2 Son rapport est 2, son angle --- et son centre Ω a pour
2 n+1 3
1 –  ------- affixe (2 – i). Un point M d’affixe z a pour image M′
 2
Donc Ln = ------------------------------- . d’affixe z′ tel qte arg z′ ≡ 0 [π] donc M′ décrit l’axe des
2 abscisses privé de O. Il en résulte que M décrit
1 – -------
2 l’image de la droite d’équation y = 0 privé de s– 1(O)
2 par s– 1.
Il en résulte que lim Ln = ----------------
n→+∞ 2– 2
On obtient ainsi la droite d’équation 3 x + y – 2 3 = 0
soit lim Ln = 2 + 2. privée du point de coordonnées.
n→+∞
 ---------------
3 + 6 2 3 – 3
- ; ------------------- .
 4 4 
Prendre toutes les initiatives 81 ● OMM′ est un demi-triangle
équilatéral.
78 ● s est la similitude de rapport ------2- , d’angle π
--- et En posant OM = d, OM′ = 2d
2 4
de centre Ω d’affixe 4i. 3
Posons un = ΩMn. La suite (un) est une suite géométri- et MM′ = d 3 , donc IM = d -------
2
2 7
que de premier terme u0 = ΩM0 = 5 et de raison ------- . et IO = ------- d.
2 2
2 n OI 7
Donc ΩMn = 5  ------- . Il en résulte que ----------- = -------
 2 OM 2
2 n 2 3
5  -------  --------- équivaut à n  16 donc N0 = 16.
1 Z I) = θ, cos θ = ------- et sin θ = -------
et en posant (UOM ; O
 2 100 7 7
donc θ  40°9. Ainsi I est l’image de M par la simili-
79 ●
7
tude de centre O, de rapport ------- et d’angle θ.

2

82 ● O

H A
O π
2 4 ∆

¢ d
T H A B

s a pour écriture complexe La droite ∆ image de d par s est obtenue en construisant


K image de H par d. Le fait que d soit perpendiculaire
3 1 3
z′ = ------- ( 3 + i )z + --- – i ------- . à (OH), ∆ est perpendiculaire en K à (OK).
4 2 2
∆ coupe d en B. On construit A tel que s(A) = B et le
1 3 triangle AOB répond à la question posée.
Donc s(O) est le point T d’affixe --- – i ------- . C’est le
2 2 83 ● ● B ¢

point du cercle trigonométrique  de coordonnées


π A¢
polaires 1 et – --- .
3
3
De plus le rapport de similitude est ------- donc le rayon P B
2
3
de ′ est TH = ------- . Le cercle ′ est ainsi tangent en H O
2 A
à l’axe des abscisses. Q

Spécialité • Chap. 4 • Les similitudes • 315


Notons z′ = λz l’écriture complexe de la similitude s0. 85 On note a, b, c les affixes respectives de A, B, C
π
B  F par r  A, – --- donc f – a = – i(b – a) soit
Ainsi si A et B ont pour affixes respectives a et b,
alors A′ et B′ ont pour affixes λa et λb.  2
• La similitude sA de centre A est telle que sA(B) = B′ f = – ib + a(1 + i).
π
 a = ma + n a – λb ab ( λ – 1 ) De même D est l’image de A par r  C, – ---
donc  donc m = ---------------- et n = ------------------------ .  2
 λb = mb + n a – b a–b donc d – c = – i(a – c) et d = – ia + c (1 + i).
π
Ainsi sA a pour écriture complexe E a pour affixe ic + a(1 – i) car C  E par r  A, ---
a – λb ab ( λ – 1 )  2
z′ = ---------------- z + ------------------------ . donc A R E a pour affixe i(c – a), et A R H a pour affixe
a–b a–b
i(c – b) et H a pour affixe a + i(c – b).
ab ( λ – 1 )
Donc P = sA(O) a pour affixe ------------------------ . R D a pour affixe Z1 = (c – b) + i(c – a)
Il en résulte que B
a–b
R C a pour affixe Z2 = (c – a) – i(c – b).
et H
• De manière analogue avec sB telle que A  A′, Z π
on démontre de même que Q = sB(0) a pour affixe Donc Z2 = – iZ1 soit |Z2| = |Z1| et arg ------2 = – --- donc
Z1 2
ab ( λ – 1 ) π
------------------------ . Il en résulte que O est le milieu de [PQ]. BD = HC et (RBD, H R C) = – --- d’où le résultat.
b–a 2

84 ● ● On note z l’affixe de M donc N et A′ ont 86 Notons s la similitude d’écriture complexe


respectivement pour affixe iz et 2i par la rotation de z′ = λz + µ telle que A  A′ et B  B′.
π Donc a′ = λa + µ et b′ = λb + µ.
centre O et d’angle --- .
2 a′ – b′ ab′ – a′b
De plus OR C=O R A+O U M donc C a pour affixe Il en résulte que λ = ---------------- et µ = -----------------------
a–b a–b
R Q=O
zC = 2 + z et O R C+O Y N.
a′ – b′ ab′ – a′b
Donc Q a pour affixe zQ = 2 + z(1 + i). donc z′ = ---------------- z + ----------------------- .
a–b a–b
Y Q a pour affixe 2 + iz = Z1
Ainsi M Dire que les triangles sont directement semblables
et MA′ a pour affixe 2i – z = i(2 + iz) = Z2. équivaut à dire que s(c) = c′ donc
Z π c′(a – b) = (a′ – b′)c + ab′ – a′b
Donc Z2 = iZ1 et par suite |Z2| = |Z1| et arg ------2 = ---
Z1 2 soit :
π
donc MQ = MA′ et (YMQ, M P A′) = --- . ac′ + b′c + a′b = a′c + ab′ + bc′.
2
D’où le résultat. D’où le résultat.

Problèmes (page 125)

87 ● A. 1. M′O = 2 MO ⇔ M O O′2 – 4 M
U O2 = 0. r′
Soit (OMO′ + 2 MU O) · (OMO′ – 2 MU O) = 0. B. 1. Si s transforme () en (′) le rapport est ---- soit
r
O O′ + 2 M
2. a) M O O=3M U A et M
O O′ – 2 M
U O=–M T B 3 s IO′
d’où M′O = 2 MO ⇔ M U A·M U B = 0. ------- = 2. Il en résulte de O  O′ que --------- = 2 donc
1,5 IO
I est un point de (Γ).
π
2. a) Dans ce cas (AIO, IR O′) = --- donc I est un point
2
du demi-cercle (rouge) (γ) de diamètre [OO′] et du
cercle (Γ).
b) I est le point d’intersection de γ et (Γ).

88 ● ● 1. a) v0 = 1 et v1 = re .

b) Donc M2 a pour affixe 1v + reiθ.


2. b) |vn| = r|vn – 1| et arg  ------------ = θ donc vn = reiθvn – 1.
n
b) Donc Γ est le cercle de diamètre [AB] tel que  v n – 1
1 c) v0 = 1 donc vn est une suite géométrique de premier
R A = --- O
O O O′ et O
R B=–O O O′. terme v0 et de raison reiθ donc vn = rneinθ (1).
3
1
Ω milieu de [AB] est tel que OR Ω = – --- O
O O′. O nMn + 1 donc vn = zn + 1 – zn.
3. a) vn est l’affixe de M
3
316
b) v0 + v1 + … + vn – 1 = z1 – z0 + z2 – z1 + … + zn – zn – 1 donc la proposition est vraie pour tout n de  (elle est
avec z0 = 0 donc v0 + … + vn – 1 = zn. en effet vraie pour n = 0).
iθ 4. a) M0  M1
1 – re et M1  M2
z1 = 1 et ------------------

= 1 donc la proposition est vraie
1 – re z′ = az + b avec 1 = b et 1 + reiθ = a + b
pour n = 1. soit a = reiθ et z′ = reiθz + 1.
n inθ n inθ n + 1 i ( n + 1 )θ
1–r e 1–r e 1–r e
Si zn = -----------------------
- alors iθ
- + 1 = -----------------------------------------
b) reiθ ----------------------- iθ
- = zn + 1

1 – re 1 – re 1 – re
1–r e
n inθ donc s(Mn) = Mn + 1.

- + rneinθ
zn + 1 = zn + vn = ----------------------- 1 π 1
1 – re c) Si r = ------- et θ = --- , z′ = --- (1 + i)z + 1
2 4 2
n + 1 i ( n + 1 )θ
1–r e donc Ω a pour affixe (1 + i).
= -----------------------------------------

- 2
1 – re d) lim [M0M1 + … + Mn – 1Mn] = ---------------- = 2 + 2 .
n→+∞ 2–1

C’est nouveau au bac (page 126)

89 a) s(I) = I et s(A) = B donc a) est vraie. θ


b) (1 + 2i) (1 – 2i) + 2 = 7 donc s(C) = C′ d’affixe 7 Z I) = ---
4. (UOM, O M ¢

2
donc b) est vraie. θ
c) s(O) = O′, s(C) = C′ et s(A) = B donc c) est vraie. et OI = cos --- OM
2 I
d) A  B or θ ∈ ]– π ; π[
C  C′ q
θ π π
donc la droite (AC) ou (AB) a pour image (BC′) la --- ∈ – --- ; --- O M
2 2 2
proposition d) est vraie.
θ θ
donc cos --- = cos --- et la proposition est vraie.
90 1. Si on admet que la rotation ou (et) l’homo- 2 2
thétie peuvent être l’identité du plan alors la proposi-
91
tion est vraie.
2. Faux car si k < 0, h(Ω, k) = s(– Ω, – k, π). t–1 s
π π 2. a) z  z – 1 – i i(z – 1 + i) + 2 = iz – i + 1.
3. h(0 ; – 3 )  r  0 ; --- = h(0 ; 3 )  r(0 ; π)  r  0 ; --- b) f(A) a pour affixe 1 – i + 1 = 1, f(A) = A
 3  3
f(B) a pour affixe i(i) – i + 1 = – i donc f(B) = B.
= s0 ; 3 ; ------
4π f est donc la réflexion d’axe (AB).
 3 c) Il en résulte que s = f  t composée de la réflexion
4π 2π d’axe (AB) et de la translation de vecteur w y d’affixe
or ------ = – ------ [2 π] donc la proposition est vraie.
3 3 (1 + i).

Spécialité • Chap. 4 • Les similitudes • 317

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