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Notes

Risque d’état tutélaire

Tocqueville propose par rapport à ça :

1) Développer la décentralisation = l’idée que la démocratie locale est importante. Il faut attirer les
citoyens vers une participations aux éléctions, à la chose locale. Donner une vie politique à chaque
territoire.

Cette implication à la vie locale est un remède à l’état tutélaire.

2. développer la société civile et d’association. → maintient des liens de soladarité avec les
autres. (ex: bénévolat, club, services d’échanges locaux. Développer des liens de sociabilité au dela
des cercles locaux. Pousser les individus à s’intéresser vers autres qu’eux même, ne seront pas
poussés vers l’etat. Développe l’autonomie, l’esprit d’entre­aide, la collectivité. 

 
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Notes

Ce qui est aussi important pour Tocqueville : l’esprit religieux. 

Pour lui, il n’empiette pas sur les affaires publiques. Elle est contenue à sa bonne place. Elle permet de
contenir cette fuite en avant de l’individualisation.
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Notes

La démarche et la méthode que Tocqueville fait comprendre pourquoi il est un précurseur de la sociologie.
→ Il trouve LE fait générateur qui pour lui explique les transformations de la société. Il essaie de
comprendre ce qu’il fait qu’elle évolue. On tente de comprendre pourquoi elle change, pour lui c’est cette
égalité des conditions! Elle explique la naissance de la démocratie. 

Ils arriveront donc à être tous égaux. → essayer de comprendre la société en prenant l’element explicatif
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Notes

On observe un cas, pour comprendre comment fonctionne la démocratie en général. 

La démarche est de regard un cas et y trouver des généralités qui aident à comprendre le fait social de la
démocratie. 

Autre intéret : comparaison entre deux sociétés. 

Neutralité axologique! Neurtalité par rapport aux valeurs, la personne qui obsrve le cas essaie de ne pas
juger le cas. Pour comprendre les choses. 

(Si on est pétri d’idées et de préjugés sur les choses il est difficile de les travailler)

 
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Notes

( Pas de questions sur Comte! Pas une pensée intéressante pour comprendre les phénomènes
sociaux. )

Un autre précurseur de la sociologie → il a de grandes ambitions pour la sociologie, veut l’utiliser comme
une physique sociale pour comprendre la société. Idée qu’on pourrait expliquer les sociétés comme des
grandes lois sociales, àa serait la reine des sociologie. Vision d’une science englobante qui permettrait de
tout comprendre, tout analyser.

Il est marqué par le développement des sciences naturelles. 

Idée du positivisme, on pourrait expliquer le fonctionnement de la société, expliquer les faits à l’égard de
tout jugement de valeur. Tirer des grandes lois explicatives du fonctionnement social. Détérminer de
grandes lois de faits à partir de 

On est donc capable de prédire comment àa va fonctionner. 

Il étudie la statique sociale, ce qui eplique l’ordre. Pourquoi certains individus se comportent bien vis à vis
de la loi ou mal? 

Il essaie de développer aussi la dynamique sociale = comprendre ce qui fait évoluer l’esprit humain. 

Il dit qu’il y a 3 moments de lesprit humain: 1) l’état théologique  les phénomèns sont du à des agents
surnaturel. Remet en question la place de la religion. Du à des principes surnaturels, à Dieu.

2. etat méta­physique ou abstrait = ce qui nous arrive est lié à des forces naturelles (ex: climat...)
3. etat scientique = met des loi pour expliquer tout. La science va finir par expliquer tout meême les
phénomènes sociaux et on pourra prédire ce qu’il se passera dans les sociétés. Ils demeurent des
inconnus… trop de paramètres à analyser. 
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Notes

Un des précurseurs de la sociologie. 

Essaie de montrer que la société n’est pas ce qu’on croit qu’elle est. Il faut chercher, comprendre,
dépasser les préjugés. Penser croirre qu’il y a une logique cachée derrière les chosess qui n’est as aussi
immédiate qu’on pourrait le croire/

→ l’état, le droit, la loi, la religion, tous ces éléments qui essaient de nous gouverner sont des idéoliges. =
dissimuler quelqque chose, dissimuler les rapportss de force. Essaient de nous faire croire que la société
fonctionne bien, nous les fait accepter. → inégalité. Ce sont des armes de dominations sociales. 

Il est un précurseur car il développe la xxx critique – incite à poser le regard sur ces choses, essayer de
les comprendre. L’état et le droit ne sont pas neutres! Ils sont le resultat de rapport de force. C’est une
forme de défense d’intérets particuliers –> des dominants. Ils cachent, occultent les rapports de
production. 

Chez Marx il y a une vision matérialiste de la société. = La société est liée à un état de production matériel
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Notes

Les rapports de production matériel sont le socle de la société. Idée de matérialisme chez Marx.

Cette structure écononique est le rapport réél de la société. Développe la conscience sociale. Ce que nous
croyons vouloir, ce que nous avons conscience, cette conscience sociale n’est pas indépendante des
rapports de production économiques. Pas indépendante de l’infrastructure. 

Les sociétés evoluents en rapport des luttes entre les classes sociales. 

Lutte entre ceux qui possèdent et ceux qui ne possèdent pas le capital. 

 
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Notes

Idée du fétichisme de la marchandise = adoration du fétiche, de quelque chose. Amène une adoration des
objets, culte des objets. L’objet en li même à une vie, une valeur propre. Il est considéré comme aillant
une valeur propre alors que chez Marx.

Pour Marx: la valeur d’un bien il faut la distinguer de la valeur marchande! Ce n’est pas que le prix que
l’on paie mais est aussi définie par la valeur d’usage. Temps de travail nécessaire à la production. (quel
est le temps qu'il a fallu pour le créer?)

Il y a des tentatives de se détacher de cette valeur marchande, des mises en oeuvres concrètes sur la
valeur des biens. (échanger un service contre un autre)

La plus value = ce qu’on gagne en plus quand on revend un bien marchant, plus important que la valeur
travail qu’il y a derrière. Quand on fait pression sur les salaires la plus value augmente. → va dans les
poches du capital.

Marx critique l’exploitation des travailleurs. Il travaille beaucoup plus que nécessaire à la production des
biens, salaire qui aide à engroger la plus­value. → il y a sur­travail et exploitation qui va dégager de la
plus value qui n’aide pas le travailleur mais les capitalistes. 

 
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Notes

Il étudie les débats autour de cette loi (Les propriétaires peuvent fixer des amendes pour prendre du bois
sec en foret)

Interet pour les pratiques sociales, elles ne sont pas fies mais evoluent dans le temps. Il étudie la posture
critique. 

EXCERCICE “CRISTAL PALACE, Londres 1851 ou comment une architecture peut aider à comprendre le
capitalisme”

Que veut dire Marx quand il parle du caractère fétichiste de la marchandise? Pourquoi cela lui
inspire­t­il cela?

1ère idée: culte de lobjet. orme de croyance très forte au niveau de culte religieux, qui ne serait plus
reliegieux mais matériel. Fetichisme de l’objet, de consommation. 

2ème idée: ils vont idéaliser le pays, cet objet masque les inégalités sociales, dissimule les rapports de
production. 

La marchandise est une idole, il y a un culte de l’objet.

Elle dissimule quelque chose, le travail et les conditions de travail qu’il y a derrière. Tient une relation
implicite de travail et de domination. Nous ne voyons pas ça, elle a un air indépendant, nous voyons la
forme marchandise mais pas ce qu’il y a derrière. 

Le cristal palace rassemble tout ce qu’il y a de marchandises en lui.
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Notes

Un des premiers sociologues qui amène l’institutionnalisation de la discipline. Il fait partie d’un courant
qu’on appelle le “Holisme” = Vision de la société qui prédomine sur les individus qui la constituent. =
plus que la somme des individus. Comprendre la société c’est comprendre les grands faits qui pèsent sur
le social. La société prédomine par rapport aux individus. 

 
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La notion principale de Durkheim : Le fait social
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Notes

idéale de vie non basé sur la dépense. + on est pratiquant, + on va engraiger de l’argent en le
réinvestissant dans ses affaires. → +  on va avoir un idéal de vie sobre, et une reconnaissance parmi les
autres fidèles.

Puis qu’on réinvesti le fuit de son gain → réangandre 

Ce n’était pas une intention de vouloir développer une logique libérale capitale, mais pour des raisons
religieuses. Il y a une distinction entre la logique non intentionnelle et intentionnelle. “L’enfer est pavé de
bonnes intentions” 

La réofmre protestante a aidé à delelopper le Capitalisme. 

Il y a un paradoxe de lactio humaire pcq on peut agir ave des intetions (perçu comme un bon protestant)
MAIS avec des concéquences autres que prévu. On a des intentions mais pas réactions tjrs par rapport au
lien qu’on voulait faire. 

cartquant rationnaliste → travailler dur. Se propage

 
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Notes

Les acteurs indivuels et collectifs sont pris dans des constructions antérieurs, des réalités qu’on ne peut
pas changer (comment la société fonctionne, elle a un poids sur nous) et on peut en même temps
s’en affranchir. (changer la manière de s’habiller, etc, des réalités sociales). 

 
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Notes

L’objet n’est pas la société ni les individus, mais entre les deux. 

On est tenu par des supports obligés (exemple: regarder un spectacle → s’asseoir dans les fauteuils, pas
pouvoir se mettre autrement ou ailleurs)

On a appris qu’on devrait se comporter d’une certaine manière face à certains objets. 

 
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Notes

La réalité sociale est une construction. 

Q’est ce que la réalité sociale ?

Notre manière de la voir est subjective mais il y a des choses qu’on ne pourra pas remettre en
question.

Exemple : – Le racisme. Un phénomène qui existe indépendamment de notre volonté. – Les éléctions,
sont une réalités sociale indépendante de notre volonté. 

Est différente dans le temps et l’espace (ex: la démocratie) 
La démocratie en France au 19 et ajd n’est pas la même. Elle est multiple mais matérialisé → ex : isoloir  
La réalité est matérialisée par des objets, qui nous aident à construire cette réalité. Elle est partagée,
construite par les individus → Intersubjective. C’est une réalité sociale partagée, qui est néamoins le fruit
d’un travail. Si on change les choses, c’est le fruit d’un traitement social. Elle est évolutive. La réalité
sociale n’est pas la même pour tout le monde. Le vécu, et don cce qu’on concoit comme réel n’est pas
toujours identique. 

 
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Notes

Comment cette construction sociale de réalité se produits?

1. Externalisation → les individus vont classer, typifier (banc, chaise, vêtements,…) vont les classer et
déterminer. Une étiquette partagée qui va s’institutionnaliser. Vont etre progressivement partagés. 

2. Objectivation → avoir des bouquins dessus, s’institutionnaliser dessus. La réalité s’objective. Elle est
discutable. 

3. Internalisation → devient tellement naturel qu’on a oublié le processus de construction. (pourquoi on
travaille, a des vêtements etc.) On pourrait très bien avoir une société conçue autrement mais c’est
tellement naturels qu’on refuse de voir que c’est une convention. 

Le language aussi durçi la réalité sociale (tous les mots qu’on utilise ici pour la pluie, ailleurs pour la
neige).

 
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Notes

Phase d’externalisation? → tout départ, il y a un problème qu’on solutionne/ → attacher le chat

Phase d’objectivation? Progressive institutionnalisation 
Objectivation materielle → traités sur attacher un chat

Phase d’internalisation? S’enracine tellement dans la pratique, est dans la tradition. Tellement ancré et
naturel qu’il faut lutter très fort pour s’en dégager. 
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Notes

Question du paysage? Comment y réfléchir à partir de Berge et Luckman? Qu’est­ce­qu’un beau paysage?

Un beau paysage pour un européen et pour un asiatique n’est pas la même. Elle est différente d’un
groupe social à un autre. Et pas la même chose selon les époques. Ce paysage se métérialise dans
des tableaux, agences de voyage, elle est partagée et inter­subjective. Cette qualité évolue , on vente la
beauté d’un paysage urbain. (Charleroi, voir les industries) on voit le traitement social, les acteurs derrière
qui essaient de de changer l’image, il y a des acteurs qui travaillent ça. Il y a une évolution de la réalité
sociale qui peut changer. 
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Notes

Représentant de l’école de Chicago

cette école s’intéresse aux problèmes de la ville de Chicago au départ → confrontées à une série de
problèmes sociaux liés à l’expension de la ville. Croissance de la population. Développement de l’industrie,
de certains quartiers

Se développe une sociologie dans la ville alors, qui est un laboratoire social

 
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Notes

La ville est un organisme vivant qui va s’adapter à une série d’influences (techniques,
économiques, matériels).L’école de Chicago étudie la manière dont les sociétés s’accomodent à leur
environnement. (Pq loin du centre? Au bord etc)

Il y a des forces à l’oeuvre qui expliquent le développemeent ordonné.

La science cherche à isoler ces facteurs, les comprendre et les décrire → l’écologie humaine 
= L’étude des relation spatiales et temporelles. étudier la manière dont elle s’adapte aux pression. La ville
est donc un organisme qui s’adapate à une certaine pression. 
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Notes

Park va d’abord étudier l’organisation matérielle de la ville, les usages des habitants. Est­ce­qu’on vit de la
même manière partout? L’état d’esprit et les usages sont différents.

/!/ texte n°1 du portefeuille de lecture 

on ne peut pas changer la nature

L’ordre moral : manière de se comporter, dire bonjour, codes vestimentaires différents par quartiers. Ne
se changent pas comme ça parce que la ville a sa dynamique propre. 

La ville est un état d’esprit, un ensemble de coutumes et traditions. Un produit de la nature humaine. →
C’est un construit matériel mais aussi une série de normes et coutumes liées à la ville, ancrée dans les
individus et leur impose des choses. 

La ville est un laboratoire social → on peut y observer les dynamiques sociales, économiques,… Car tout se
passe dans la ville. 
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Notes

On l’observe par un travail de terrain : il faut s’y immerger comme un anthropologue qui étudie les
peuplades primitives. Pour connaitre les différences entre quartiers
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Notes

l’idée que certaines populations se retrouvent donc dans certains quartiers en fonction de certains critères.
 → comprendre le processus de ségrégation, la division du travail. Il y a un processus de spécialisation des
fonctions 

Développement des industries, métaux, cuir, textiles.. Tout un tas de développement lié à la spécialisation
qui entraine une compétition pour la survie. Il faut donc se spécialiser. Il faut s’approprier l’espace. En
fonction du pri du foncier, de l’intérêt de se situer. Les industries vont se trouver près du centre, car
intéressant vu les voies de mobilités.

Développement des industries → va inviter des gens et en rejeter d’autres. La logique économique
pèse sur la distribution de la population. Aussi le regroupement selon certaines affinités. (pas
spécifiquement personnels) répartition des populations dans les grandes villes de manière non­
intentionnelles. (pcq ils ont plus simples, on a pas les moyens d’habiter dans les beaux quartiers etc. Par
nécessité on est obligé de faire certains choix. )

 
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Notes

Les quartiers constituent des airs morales qui instaurent des mosaïques de petit monde différencié. La
mosaïque montre bien qu’il y a une différence de quartiers qui rassemblent les personnes par ethnies ou
cultures. Une mosaïques d’aires morales. Mais les frontières ne sont pas étanches! → Quand il y a une
ascension sociale les gens quittent le quartiers, et trouvent d’autres quartiers résidentiels où habiter. (car
ils se spécialisent, sont complémentaires les uns des autres.) Il y a une logique de complémentarité
entre les quartiers. 
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Notes

à l’origine du schémas concentrique de la ville 
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Notes

l’aire centrale est le coeur de la ville;

La 1ère zone (ghetto juif, chinatown,… quartiers de taudit, précairs. )

La 2ème zone 

3ème

4ème, habitats aisées

On peut à partir de ce modèle là conçu dans les années 30 à Chicago d’autres développements de villes.
La ville se régule à la manière d’un organisme vivant → elle réagit à des perturbateurs, à des
pressions, phénomènes de croissantes. 

L’expension de la ville est un processus de digestion 

un phénomène de distribution et sélection. La désorganisation est un phénomène normal pour Burgess.
Mais elle va engendrer un nouvel équilibre, un processus d’organisation. Ce n’est pas pathologique, pas
mauvais. Il faut trouver une situation d’équilibre face aux problèmes sociaux. Le sociologue ne va pas
juger, mais observer comment la ville va trouver une forme de solution.
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Notes

La sociologie historique, la réalité sociale ne tombe pas du ciel (la manière dont on concoit la ville, l’état,
la manière dont les institutions sont créés)

Les sociologue s’intéressent à l’histoire, pas pour faire de l’histoire (pas historiens, pas la logique
d’ensemble) → ils le font pour comprendre le présent, la genèse 

L’influence des actions passés, des configurations passées pour comprendre les traditions culturelles
d’aujourd'hui (le système scolaire, la famille,...) 
Il ne faut pas egagerer le lien entre le passé et le présent → pas d’automaticité 

ne pas en faire de l’agiographie (= rendre qlqch sacré, évident). Essayer de comprendre pourquoi (ex:
l’avortement aujourd'hui est dépénalisé? Pourquoi on créé un ministère de développemet durable?
→ revenir sur les raisons, les acteurs qui font émmerger le processus. Sur quels arguments ils s’appuient? 
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Notes

approche constructiviste = ni la société ni l’individu domine le monde sociale, c’est les deux

Comment l’individu se créé? 

Il essaie de sortir en pensant la ganèse de structure sociale

quand les structure sociales changent, l’individu aussi → forme de dynamisme entre les deux

 
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Notes

Il essaie de penser ensemble la ganèse des structures sociales

Il s’appuie sur la notion d’inter­dépendance

/1! L’individu autonome, responsable, capable de penser en JE et pas en NOUS, n’est pas tombé de nul
part! Vient à un moment donné de l’histoire, en lien avec le développement des structures sociales. 
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Notes

Contrairement à Durkheim, la réalité sociale n’est pas complètement extérieure au socioligie. Pour
comprendre le monde il faut s’y engager! Aller voir tout près, poser des questions

La production de la science, de la sociologie est un entre les deux, il faut s’engager mais prendre
distance. 

Mais comment distinguer la recherche → mettre à plat ce qu’on pense des choses et à chaque fois essayer
de s’en distentier. Tendance irréfutable de se réfugier dans le présent! Mais il faut comprendre le passé
pour comprendre le présent.
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Notes

Monarque → symbolise la société de cour 
On est dans un régime absolutiste (ex: Louis 14, Louis 15)

Dans cet ouvrage il essaie de comprendre la création de l’état, d’un monopole unitaire. Commet l’état
(monopole militaire est fiscal) est né? Et d’où il vient?

Féodal = multiplicité de petits régimes enchassés les uns dans les autres (systèmes d’empilement de
pouvoir et d’autorité sur un même territoire. Enchassés les uns dans les autres (ex: le suserain peut
demander un impot, et lui devrai peut­être payer aussi à un supérieur))

Elias s’intérerogge sur pourquoi on sort de la féodéalité
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Notes

Il explique la sortie progressive de la féodalité au 11ème siècle 

1. La loi des monopoles = concurrence, des unités de petites tailles qui se font concurrences. Elles se
font la guerre, s’allient, parce que les resources sont limitées. Il faut capter des resources de
subsistance pour pouvoir survivre. Il y a concurrence entre ces petites unités, qui va les amener à la
diminution du nombre des unités. → elles deviennent de plus en plus grosses, jusqu’à ce qu’une
seule unité ai la victoire sur les autres. Elles se transforment en état.  
+ les unités territoriales grandisssent + elles doivent gérer la fiscalité 
Retention des biens, pouvoirs...
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Notes

Forme d’interdépendance entre ces unités. Spécialisation des fonctions (politiques, sociales). Mais le
monopoliste lui aussi est dépendant car la gestion de ce monopole va impliquer tellement de taches que le
monopoliste est complètement relié à cette division du travail. Le monopoliste, peut­être + puissant,
devient un acteur par mis d’autres. 

le budget privé devient un budget de l’état → Socialisation du monopole

Intérdépendance = manière dont les individus sont dépendants les uns des autres (de l’administration, de
la fiscalité), les individus sont dépendants les uns des autres sans en avoir la conscience. 
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Notes

on dépend de l’action des autres peu importe le rang, et ce n’est pas conscient. 

 
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Notes

La naissance des états modernes sont reliés à d’autres /// imposent à des mécanisme de gestion,
administration qui va avoir sa logique propre. Concurrence pour occuper certaines fonctions 

Elias travaille aussi sur la civilisation des moeurs = évoquer l’idée du recul de la violence (physique;
ex: tuer quelque’un dans la rue) et le développement de l’auto­contrôle (on exprime moins des émotions
violentes, on est bcp plus réservés, on se gère beaucoup plus qu’avant) plus dans la pudeur. 
Violence des passions, la manière de se comporter à table varie vraiment dans le temps. 

La civilisation des moeurs pour Elias n’est pas un processus volontaire, ni rationnel, mais ordonné.
(= a du sens, une logique)

C’est l’interdépendance (besoin de chacun, on ne peut plus se rendre justice sois­même) 
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Notes

Il compare la noblesse féodale qui est responsable d’un changement de structure

La centralité du pouvoir fait qu’il y a une justice lié, on ne peut plus la faire sois­même. Il y a compétition!
Toujours, mais ne peut plus être violente. 
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Notes

tout fait en sorte que l’individu va controler ses intentions, va réfléchir avant d’agir et devoir refouler ses
intentions spontannées. (ex: je dois me repprocher de x pour obtenir un privilège)

Lien entre socio­genèse et psychogenèse. Va de + en + penser en JE et s’auto­contrôler. → augmentation
de la pudeur, du seuil de sensibilité face aux fonctions physiques (se balader tout nu, dormir tous dans la
même pièce)

Il a étudier les changements dans les ‘manuels de civilité’

( ex : Au 1530 :  tousser pour cacher ses pets 
prendre au plat en laissant les plus qualifié mettre la main en premier, ne pas prendre les meuilleurs
morceaux etc. ) Des règles de civilités différentes en fonction des époques. On ne va plus partager les
choses (bols, verres) pcq on a une augmentation du seuil de sensibilité. Pourquoi? Ne pas laisser
paraître nos fonctions physiques, pas vouloir montrer. 

Pour Elias ce n’est pas du aux changements physique (créer des toilettes, ...) c’est à cause du Je plutot
qu’au nous, en fnction du fait qu’on se controle beaucoup plus. 
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Notes

on a l’impression que la violence est de plus en plus présente! Mais ce qui domine est une violence de
basse intensité. Répétés. Ceux soumis le sont de plus en plus souvent. 

La processus de pacification des moeurs se pourcit.

hausse de violence verbale mais diminution de violence physique. 

Des violences autrefois tolérées sont aujourd’hui plus sensibles, notre seuil de tolérence baisse. Il y a
moins d’actes violents de manière grave par rapport au passé, ce qui augmente sont les petites violences. 
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Notes

groupes sociaux = rapports sociaux, expriment aussi les diffusions des pratiques civilisées. (les
bourgeois copient les hommes de cour. imitation des plus riches. Ils inventent alors de nouvelles choses
pour s’en distinguer. La société évolue en lien avec cette dynamique sociale). Ces comportements sont
donc dévalués, la noblesse va toujours inventer des choses de manière à se distinguer.

Diffusion des pratiques de la cour vers l’ensemble de la société; c’est à partir de cette société de cour que
tout létat français va être gouverné. Le roi domine la cour via l’étiquette, une série de codes et
comportements. → Des normes formelles, la pratique quotidienne qui nous fait obtenir certains
privilèges ou droits. 

Le roi maintient un équilibre entre les différents groupes. Les acteurs sont bien inter­dépendants,
avec une notion de configuration.

→ impact sur la configuration matérielle : l’emplacement dans le château, appartements les plus proches
du roi, les plus grands, mieux disposés etc. Jeu de pouvoir! Au près du roi pour obtenir des faveurs.
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Notes

Noble = titre par héritage, titre de noblesse transmis de famille en famille

Bourgeois = travaillent et gagnent leurs revenus en lien avec leurs activités commerciales

Au sein d’une même habitation il y a une proximité spatiale mais très fort écarts social. Marqué par
la domination, écarts sociaux (devoir respecter des ordres, même si on peut amoindrir certaines règles.
On essaie d’augmenter sa position sociale)
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Notes

2 ) La maison familiale est partie inhérente du système, permet de montrer la puissance de la famille.
→ lien à la tradition, permet d’assurer la puissance. Perdre sa maison c’est déchoire, ne plus permettre
d’assurer la lignée. → contribue à maintenant le patrimoine, assure le rang

 3 ) 
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Notes

On voit la centralité des espaces de réception (PLAN). Les salons de reception sont là pour assurer le rang,
organiser des mondalités, des réc”ptions ou on invite d’autres aristocrates pour assurer son rang social.
Grande cour permet aussi de recevoir des invités, montre par la grandeur de la cour la distinction de la
personne qui reçoit. 

→ Les dépenses liées à la maison et au préstig de rection “ne sont pas un gout du luxe” dit Elias. C’est une
nécéssité pour les hommes de cour, s’ils ne remplissent pas ce rôle ils vont déroger à leur rang et
déchoir. 

 
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Notes

4 ) En acceptant, la noblesse assoit sa distinction et sa domination. Les bourgeois copient aussi les
aristocrates dans leur maison. Ce qui va changer va être la dimensions des espaces ; proximité

Dans les hotels aristocrates il y a tjrs une séparation de monsieur/ madame mais chez les bourgeois plus
étroits, plus rapprochés. Les salons et salles de réception ont presque disparus. L’appartement de parade
fait défaut. Salon plus modeste et que d’un étage. Car l’homme de cour doit recevoir plus que l’homme
bourgeois. → imitation pas tout à fait la même, diminuée par les resources que l’on a.
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Notes

Les états ne sont pas forcément la dernière étape de création des institutions.

­ Les individus sont inter­reliés les uns aux autres (ex: problème nucléaire, pas juste arrêté aux frontières
→ a des impacts ailleurs dans le monde) Les problèmes environnementaux font qu’on est tous reliés. 

­ Les unités de survie = intégration des … politiques (ex: naissance de l’union européenne ) → création
d’unités politiques plus vastes (taxation des entreprises qui doivent etre identiques) 

 
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Notes

L’intégration objective est bloquée par l’intégration subjective. Demeurt lié à l’habitus national (
= sentiment d’appartenir à un groupe, une collectivité, plus fort au niveau de l’état qu’européen.)  
Le sentiment national est plus puisant que le sentiments européen → c’est ça qui freine l’intégration
objective

l’intégration subjective est en retard sur l’intégration objective → manière de se sentir aparternir à
un collectif, le NOUS est toujours en retard. Quand un état se construit, il n’y a pas encore de
sentiment d’appartenance! L’état va mener des politiques pour construire ce sentiment d’appartenance.
C’est pcq l’état n’a pas encore mené des politiques publiques qui font qu’on appartient à son pays (fait par
des politiques d’éducations de scolarité, militaire… )

C’est normal pour Elias qu’il n’y ai pas de sentiment fort européen. 

Mais il y a un sentiment de commune humanité qui existe, forme de responsabilité envers
l’humanité, les droits de l’homme. Mais ce sentiment est trop faible par rapport à celui d’appartenir à des
communitif nationaux. 

QUESTION PHOTO : Europa, Philippe Samin

Qu’est­ce­que ça représente pour l’identité européenne ?

Idée de récupérer des anciennes fenêtres dans tous les pays européens pour construire cette façade. Trop
compliqué. Juste gardé l’idée de construire une façade avec des tailles de fenetres différentes.

Né de la volonté européennene de marquer , créer un nouveau batiment qui symboliserait l’image de
l’archi européenne

Témoigne du travail de l’union européenne, sa volonté pour créer le sentiment européen. Il prouve ce
qu’Elias dit, que l’identité ne vient pas de soit, mais que les institutions cherchent à le produire. Par
l’architecture pour créer une unité, un symbole. Tout un travail de production de leurope, de l’enjeu passe
par l’architecture.
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Notes

culte de l’effort

reconnaissance de la culture dominante 

privilégier l’aspect fonctionnel des choses 

Sport → force physique privilégiée que la tactique
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Notes

Classe les gouts, les pratiques culturelles (pétanques marche...) les lie et fait des corelations pour montrer
cet espace social de position. 
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Notes

constitué de petits mondes sociaux 

si vous faite de l’audience, si les gens vous écoutent vous êtes un bon journaliste. On a des enjeux
propres, des relations sociales. On a des plus forts et plus faibles dans le champ. Pour Bourdieu, il y a les
dominants et les dominés. Il y a une loi propre pour chaque champ. 

Quelle est la logique du champ en architecture? → remporter des concours, la commande publique plutot
que privée. 
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Notes

Il y a une violence symbolique sur les dominés, ils intériorisent cette domination sociale et la reconnait
comme naturelle et juste. → VIOLENCE SYMBOLIQUE
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Notes

Elle aime lire / lui pas du tout ­> culture, théâtre, parle plusieurs langues
Mauvaises manières en public de l’homme, langage, désagréable, chante

On voit des capitaux culturels (elle va au théâtre, lit, langues)

Capital économique (il est garde du coup, c’est son employé) un capital économique déguisé.

On est face à deux dominants de capital différents.

Il y a une forme de mépris ­> ascétisme aristocratique (il parle mal au vendeur de fleurs/ elle est gentille
– il n’a pas le gout de ses moyens, pas la culture )
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Notes

lecture de qui vous êtes, de votre être social en voyant la maison. Formes d’appropriation intéressantes à
observer, qui révèlent quelque chose, ce qu’on est dans l’espace social.

Pourquoi c’est si important ? Parce qu’il montre l’idée du foyer en achetant une maison. L’habitus
fonctionne comme un élément structurant. 

Ceux qui batissent les maisons ont un effet 

Qu’est­ce­qu’on valorise derrière la construction de la maison? Comme image de la personne qui va
habiter? On va façonner la manière de satisfaire les besoins. 
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Notes

Georg Simmel va travailler sur la ville, la ville est un “mode de vie”. Va travailler sur ce que la ville fait au
MODE DE VIE des individus.  
La ville est le produit de l’esprit d’une époque qui va se matérialiser. C’est un esprit qui change! 

→ révolution industrielle → urbanisation 

 
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Notes

Idée de la rationalisation, l’époque va se matérialiser. La forme rectangulaire va se propager. 

Tout ce qui est personnel est mis de coté, ce qui compte est le développement du rationalisme. 

La ville va avoir des effets sur les expériences citadins, sur la manière de vivre la ville. → impact sur la
mentalité et la manière de vivre des gens dans ces grands villes.

Une opposition entre grande ville et petite ville
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Notes

Le rythme de vie et la solicitation est intense.

La prévisibilité est aussi différente, dans la grande ville on est face à l’incertitude, au changement, on peut
avoir des incidents. / A la campagne, les choses se passent de manère plus régulière.

Grande ville → déracinement, population qui vient d’ailleurs.

Simmel oppose les choses

L’argent fait parti de la logique rationnelle –> va avoir des effets sur la valeur des choses. L’argent va
lisser les valeurs des choses. Au nom de l’argent et plus au fonction concrète que les choses remplissent
(ex: manger / avoir une montre) 

 
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Notes

Ce qui va déterminer le caractère du citadin est le caractère blasé → réagi plus aux choses auxquelles il
est confronté. Va l’exprimer du point de vue sociologique.  
C’est une réaction à une SUR­stimulation. Provoque une certaine forme d’intellectualité, on va analyser les
choses 

Dans la grande ville, on s’extraie de cette stimulation nerveuse et en est blasé. 

Ce phénomène vient aussi de l’importance monétaire. 

Les choses n’ont plus une valeur des choses qu’elles remplissent mais celle de l’argent. A un effet nivleur,
ce qui compte est “qcq elle a comme valeur comme objet?”

Il est distant à l’égard des autres par protection. 
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Notes

L’idée que l’impérsonnalité va provoquer une ou des formes d’extrencicité. C’est une manière d’extérioriser
sa propre singularité. Montrer qu’on existe. 

Le rapport au temps: grande ville → le temps c’est de l’argent, il est de + en + réglé. Devient un rapport
d’exactitude. 
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Notes

La question sociale est une aporie fondamentale = énigme, question épineuse, difficulté à résoudre dans
la société. 

expérimente l’enigme de sa cohésion et tente le risque de sa fracture sociale. 

Tout les signaux montrent que la répartition des richesses devient de plus en plus inégale. 
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Notes

enfants nés dans les années 50­70, idée qu’ils auront un meuilleur avenir que nous.
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Notes

On a l’impression que la société s’améliore. Idée de consommation de masse accessible à tous, la
propriété aussi. 

C’est ça qui s’est brisé à la fin des années 70, cette trajectoire qui se brise. Il y a une fin de l’âge d’or. Ce
modèle est permis parce que la croissance économique est forte. Le développement de la protection
sociale a 

Plus besoin de créer du collectif, de s’entraider puisque l’état s’occupe de tout. Trop d’individualisation qui
pousse les individus à s’occuper uniquement de leur propre confort personnel. Il y a une remise en cause
de l’était social → pour des raison économiques et écologiques. L’état à trop assisté les individus. On
tombe dans un excès de faire tomber l’échec des individus sur les individus eux même. 

 
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Notes

Aujourd’hui: beaucoup moins de protection sociale. On cotise en tant que travailleur. Cette sécurité sociale
n’est pas neutre dans l’accès à ces droits sociaux. 

On est dans un retour de la question sociale. → la société ne s’intègre plus, nottament par le travail. On
parle de la société en sablier

Au dessus du sablier : la société intégrée

La condition salariale s’effrite, le compromis sur l’économie n’existe plus. On n’investi plus dans le social. 
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Notes

Le salaire ne permet plus de contrer les inegalités. Ce n’est pas parce qu’on travaille qu’on n’est pas
pauvre. 

La question sociale est aussi une question spatiale. Elle s’incarne dans des enjeux spatiaux. 

L’insecurité sociale est aussi une forme d’insécurité urbaine. 

→ phénomène de ségrégation. Les plus riches créent des espaces pour se sentir bien entre eux, et dans
les ville sil y a des zones de poches de pauvreté. 
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Notes

L’initiateur de la pensée des classes sociales est Marx

Les formes de capitaux sont très diversifiés. 
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Notes

En fonction du fait que vous apparteniez à de grande manufatcture industrielle etc, l’expérience de classe
n’est pas la même. Il n’y a pas de convergence, pas d’intéret commun. S’il y a convergeance, dans
certains cas, Thompson dit que c’est en raison d’une expérience commune, qui se crée au travers de
rencontres, de conscience de nos intérets communs. Cette convergeance est crée dans la lutte. C’est un
processus dynamique. 
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Notes

Différents types d’inégalités dans la société. Est­ceQue la société change? Est ce qu’elle évolue? Elle offre
à tous une égalité des chances, l’imaginaire d’un ascenceur social possible à tous. Un imaginaire
méritocratique. MAIS le système tend à reproduire les inégalités sociales. 

La question de l’héritage, du patrimoine immobilier favorise la question d’inégalité. 

Cet habitus tend à favoriser ceux qui possèdent les codes et défavoriser ceux qui ne les possèdent pas. 

Violence symbolique qui reproduit … des classes supérieures. 
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Notes

La spirale du déclassement conserne les classes moyennes. → elles sont aspirée vers le bas. Les classes
les plus pauvres restent pauvres, les classes moyennes ont un déclassement de deux types :

– déclassement scolaire : plus le niveau de diplôme augmente pour tous, sans que le nombre d’emploi
augmente, beaucoup sont sur le carreau. On est pas préservé du chômage. 

­ Déclassement résidentiel / géographique : le prix de l’immobilier augmente. Les salaires ne suivent
pas en conséquences. On ne peut plus s’offrir la maison de ses parents.  
Il y a un malaise résidentiel au sen de la classe moyenne car il y a un décalage de plus en plus important
entre le salaire et le prix de l’immobilier. L’accès à la propriété devient plus difficile. 
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Notes

En fonction de son appartenance de classe il y a des schémas qui ne sont pas aléatoire ou on va
plutôt trouver des classes sociales dans certains quartiers que d’autres. (population aisée, moins aisées,
‘nouvelles’, de première installation...)

Le premier schéma est celui de l’école de Chicago : schéma concentrique, autour de l’extrême centre es
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Notes

Le scientifique a de l’autorité sur les autres, ils lui obéissent. a société est traversée de rapports de forces.
Dominants / Dominés.

Ceux qui détiennent une forme de rationalité, une forme de pouvoir. 

Les pouvoir de l’élite, des médias, de l’idéologie etc.

Le pouvoir = capacité d’action personnelle, maîtrise, capacité d’action relationnelle. Il y a une forme de
confusion entre toutes ces dominations. La sociologie permet d’utiliser de manière plus fine ces concepts.

 
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Notes

Il y a une asymétrie de pouvoir, de resources, qui permet une emprise sur les individus. Capacité de faire
agir quelqu’un en fonction de l’emprise qu’on va faire agir sur lui. Un individu exerce un pouvoir sur un
autre s’il obtient une action qu’il n’aurait pas eu normalement. 

 
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Notes

Pas toujours. Il peut y avoir l’effet caméléon. B anticipe la situation, il agit comme A attend qu’il agisse
mais pour un tas de raison.

non­linéarité : On a l’impression que B agit à cause de A. Or la réalité du monde sociale n’est pas linéaire.
On peut agir pour des raisons pas liées à cette linéarité là. Le monde n’est pas aussi lisse et univoque
qu’on voudrait le croire. La rationalité est limitée. Ce qui se passe ne se déroule pas selon un scénario fixé.
Par ailleurs, il y a le pouvoir de non­décision : agir sur B n’est pas forcément agir sur B, mais sur tout le
contexte qui environne B et faire en sorte qu’on ne discute pas de certaines choses. Stratégies, on va
avoir l’impression qu'on va pouvoir discuter de certaines choses mais non. Parler de l’intégration, de la
peur des migrants que pourraient jouer dans notre société. Rapports d’inégalités flagrantes. Agiter le
drapeau blanc permet parfois de faire taire. En terme éducatif aussi, on peut avoir l’impression que
l’enfant vous a écouté mais il pense au cadeau qu’il aura etc. 
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Notes

ce qui fait dire cette définition “peut importe sur quoi repose cette chance” → pour Weber elle ne dit rien,
ni des raisons pour lesquelles j’obéis, ni des resources sur lesquelles s’appuient celui qui gagne la relation
de pouvoir POUR être obéi. La domination de manière générale renvoi au fait pour un groupe social
d’exercer de manière déterminante sur un groupe social. Quelque chose de + structurel, plus collectif, un
groupe social a du pouvoir sur un autre. Sans considération pour les resources 
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Notes

La domination réfléchit aux raisons, aux ressources qui sont exercées. Ces ressources sont assez diverses.
Pas toujours économiques.

La sociologie mesure cette inégalité. 

Ce qui est intéressent est de voir pourquoi certains groupes dominent les autres. Pourquoi les architectes
ont du pouvoir sur les dessinateurs? Les ouvriers, maçons… Pourquoi les groupes dominés considèrent
qu’il est naturel d’obéir à certains moments? Qu’est­ce­qui fait cette domination? Pourquoi il y a autant
d’inégalités et on les accepte? On est placé dans des relations inégalitaires qu’on trouve normales. 
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Notes

Quelque chose de plus précis, plus étroit que la notion de pouvoir. quelle raison pour que certains ordres
spécifiques vont s’exercer, sur quoi s’appuie ceux qui dominent? 

Il y a 3 types idéaux de domination :

1. traditionnelle → croyance en la sainteté des traditions. Légitimité de ce qui a été définit. On obéi
par respect. On y croit donc elle est légitime. Traditions qui expliquent l’obéissance.  
ex: L’église 
 
2. Domination charismatique → peut amener à faire des choses folles, on a un pouvoir charismatique
exercé par certains sur d’autres. ex: personnalités qui sont fortes. On peut imaginer la relation de
certains maîtres à certains élèves. ex: F. L Wright, les personnes qui travaillent gratuitement par lui
pcq ils sont subjugués.  
 
3. Domination légale­rationnelle → lois, institutions, droits, rationalité de la légalité. On a une croyance
que ces lois sont des bonnes lois, qu’ils le font de manière légitime. Mais est­ce­que la loi a toujours
raison? Est­ce­que le droit est toujours juste? La légitimité est une croyance, mais elle n’existe pas
en soi. ex: quand un état est contesté, les sociologues vont dire qu’il y a un problèmes. Juristes vont
dire qu’il a été élu en droit. Il y a l’idée de la rationalisation du monde. On croit en quelque chose de
rationnel. On perçoit comme étant rationnel le monde scientifique qui établit des modes de
fonctionnement de la société.Il y a une croyance envers la légitimité de la science. Ils ont raison du
point de vue scientifique mais pas toujours des conséquences.
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Notes

→ chez Weber il y a un monde contemporain. La légitimité renvoi à certaines questions: pourquoi certains
gouvernent et pas d’autres? Pourquoi ces prétentions sont reconnues, acceptées. C’est ce qui explique les
resources. Elle est inséparable du travail des dominants. Il y a toujours chez les dominants un travail de
justification de leurs pratiques. Des discours qui renforcent la domination. 

Il y a un travail de légitimation du dominant. “Je décide pcq je sais” ou “ pcq la tradition a dit que..” la
légitimité est la croyance en la validité d’un ordre et non les caractéristiques de cette ordre. C’est la
croyance que l’ordre qui découle de cette tradition est le BON ordre, est valide pour tous. 
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Notes

il articule 3 concepts : pouvoir / contrôle social / domination

interaction, pouvoir qui s’exerce, mais cette question de s’il doit obéir ou pas s’exerce à un autre niveau. 

On dé­zoom → logique de situation : exemple: l’ouvrier, est obligé d’agir et obéir à celui qui porte le
costume cravate à cause de son contrat de travail. On a des régulations externes, des formes de langage.
Des formes de régulation externe qui impose. Au niveau médian. Il y a des lois, codes, règlements de
travail, mais aussi des formes de régulation sociale intériorisées. Des modes de s’exprimer, on apprend à
se faire respecter. A se tenir et à parler de manière à que l’on ai de l’autorité sur les autres. 

On peut encore dé­zoomer et regarder à un niveau encore plus fondamental. Par exemple Capitaliste, le
petit gars en costume est détenteur économique et de resources symboliques. Il a du pouvoir. Au niveau
fondamental, ça renvoie a la distribution inégalitaires de pouvoir (économiques, symbolique (médias,
manier les symboles...) et coercition. )

 
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Notes

(travaille sur l’hopital, les prisons, notion centrale chez Foucault → POUVOIR )

Dit que le pouvoir est une pratique sociale, il est disséminé dans toute la société. Il a une multitude
d’effets, il est au coeur de tous les rapports sociaux. Pas centralisé au niveau de l’état. Mais une mutlitude
de foyers de pouvoirs. C’est le modèle du réseau, du pouvoir partout dans tous les rapports sociaux. Il est
disséminés, a ue multitude d’effets sur les rapports sociaux qui s’exercent entre les individus. 

Foucault s’en fiche de sur quoi repose le pouvoir, mais sur comment il s’exprime? Comment on exerce ce
pouvoir? Il ne s’exerce pas de la même manière selon les époques. Il y a trois grands ages du pouvoir
selon Foucault. 

1. La féodalité → état qui fonction sur la loi, la contrainte, un état pas très efficace. 
2. Etat administratif, centralisé, avec des règles, disciplines (armée, scolaire, ...) état administratif
usant des règlement avec de la discipline
3. la gouvernementalité, lié plutôt à un pouvoir décentralisé avec une diffusion des instances de
pouvoir. Lié à une forme de subjectivation. S’exerce sur les corps mais surtout les âmes. Les
individus vont être conscients d’eux même, le sujet, et aussi gérer la population en général. C’est
celui qui gère les sujets et xxx. 
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Notes

un individu conscient de lui même, qui va agir selon des règles instutionnalisée. Un pouvoir bio­politique,
qui va rationnaliser son action. Augmenter les effets pour en diminuer les couts. 
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