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éléments de réponse à un problème donné, à une question qui se pose »1. Ce sont là,
les caractéristiques spécifiques de celle-ci.
1- N’DA (Pierre), Méthodologie et guide pratique du mémoire de recherche et de la thèse de doctorat, (Paris,
Harmattan, 2007, P.22.
2- N’DA (Paul), Méthodologie de la recherche, de la problématique à la discussion des résultats, 2 e éd, EDUCI,
Abidjan, 2002, P.15.
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b)- Recherche appliquée.
De ce fait, Pierre N’DA définit la recherche appliquée comme « celle qui est
faite dans un but déterminé et pratique, visant des résultats concrets, utilisable dans la
société et par la communauté, ou pour résoudre des problèmes qui se posent, ou
encore pour améliorer les conditions de vie »4.
C’est le cas des recherches sur l’huile de palme, le riz, des recherches sur le
paludisme, sur le sida, des recherches dans les domaines technologiques tels que les
NTIC ou les TIC…
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I- CHOIX DU SUJET ET DU DIRECTEUR DE MEMOIRE.
Cela signifie que le choix du sujet de recherche n’est pas aussi simple qu’il
paraît et ne peut se faire inconsidérément, d’autant qu’il correspond en réalité à
plusieurs autres choix : le choix d’un domaine d’étude et de spécialisation
(télécommunication, informatique, électronique…), le choix d’un projet
professionnel, le choix d’une méthode de travail, le choix d’un directeur efficace de
recherche, le choix d’un rythme de vie et de travail… Bref, il faut donc réfléchir pour,
comme le dit Daniel FONDANECHE, « choisir un sujet qui présente au moins une
touche d’originalité, qui puisse se formuler en termes de problématique, qui offre un
corpus assez étendu pour vous donner matière à un travail approfondi »5.
5- FONDANECHE (Daniel), Guide pratique pour rédiger un mémoire, (Paris, Vuibert, 1999), P.25.
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2°)- Choix du Directeur de mémoire.
- Chargé de l’aider à faire l’état des connaissances sur la question traitée et lui
fournir une bibliographie de base ;
- Chargé d’aider le candidat dans ses démarches pour avoir accès à des ressources
et à des institutions : lettres de recommandation, attestations…
- Chargé de lire les travaux remis, de faire des observations, des remarques et la
critique qui s’impose.
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1°)- Définition d’un problème de recherche.
Cette opération vise à faire le point des connaissances sur le sujet choisi ou le
domaine concerné. Les chercheurs, à qui mieux mieux, parlent ‘’d’analyse des
sources’’, ‘’d’histoire du problème’’, ‘’de fondement théorique de la recherche’’, ‘’de
recension critique des études et travaux antérieurs’’.
Quelle que soit l’appellation que l’on préfère, il s’agit dans tous les cas de
faire le point, d’établir l’état actuel des connaissances sur le sujet de la recherche.
6- BEAUD (Michel), L’art de la thèse : Comment préparer et rédiger une thèse de doctorat, un mémoire
de D.E.A ou de maîtrise ou tout autre travail universitaire, (Paris, La Découverte, 1987, P.31).
Cette recension des travaux publiés et études sur la question se présente comme
l’inventaire et l’examen critique de tout ce qui a été produit d’intéressant dans ce
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domaine et en particulier sur le thème d’étude. Elle permet aussi d’apprécier toutes les
productions et de mieux percevoir son propre sujet et d’en avoir une vision d’ensemble
plus nette.
C’est autour de ce problème principal que s’organise tout le travail (les autres
questions annexes, les hypothèses à vérifier, les analyses à faire, les réflexions, les
commentaires et les développements). C’est le nœud, le pilier central ou l’élément
architectonique du sujet.
L’hypothèse peut être envisagée comme une réponse anticipée que le chercheur
formule à sa question spécifique de recherche. Il s’agit d’une affirmation anticipée par
rapport à une question énoncée autour d’un problème formulé. Elle oriente la
démonstration du chercheur.
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défendues par le chercheur. Leur analyse ou vérification donne lieu à une confirmation
ou une infirmation des questionnements formulés en début d’étude.
- Identification du sujet ;
- Question de recherche ;
- Hypothèses de recherche.
On peut dire que toutes les méthodes, à la limite, se valent, mais elles valent
surtout par ce qu’on en fait. En fonction du type de travail qu’il a à faire, un paysan par
exemple peut utiliser une machette, une houe, une hache, une tronçonneuse et même
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un tracteur ; de même, dans la rédaction d’un mémoire de fin de cycle, l’impétrant doit
être suffisamment imprégné des méthodes critiques existantes et avoir assez
d’éclairage et de discernement pour choisir parmi toutes, celles qui sont à sa portée,
celles qui siéent le plus à son travail.
D’ailleurs le choix judicieux d’une méthode idoine est, à coup sûr, un signe
d’intelligence et de perspicacité, une marque de pertinence et de compétence ; cela fait
partie intégrante d’une stratégie de recherche, stratégie qui doit nécessairement cadrer
avec la problématique construite et les hypothèses faites.
S’agissant de la première, elle concerne tous les efforts qui sont faits pour
circonscrire le projet et tous les moyens (une problématique, les méthodes d’analyse,
sélection des documents, les hypothèses…) à mettre en œuvre pour réaliser le
mémoire.
- Dépouiller les documents et les ouvrages lus pour en tirer le meilleur profit ;
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Une fois le travail de recherche terminé, avec la mise en place de la problématique,
de la documentation, de l’état de connaissances sur la question traitée, des méthodes
d’analyse, du plan définitif, le candidat passe à la rédaction.
- Amener le sujet en partant d’un contexte plus large que le sujet pour aboutir sur
la question précise qu’on aborde ;
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- Annoncer le plan en exposant les grandes lignes du développement de la
recherche.
La conclusion, qui clôt l’étude entreprise et tous les développements faits, est,
comme l’introduction qui ouvre le mémoire, un des points forts de tout le travail. Elle
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apparait comme l’aboutissement normal, le dénouement conséquent et la révélation
ultime de tout le discours. C’est le résultat final de la recherche. Il fait la synthèse des
grands thèmes abordés en récapitulant les grandes étapes et les idées principales du
développement. Le chercheur doit trouver ici la réponse au problème posé dans
l’introduction. Celui-ci peut terminer son propos en ouvrant des perspectives nouvelles
qui serviront de pistes de recherche pour d’autres chercheurs ; il peut faire des
recommandations ou propositions pratiques.
Les pages liminaires sont toutes les pages qui précèdent le corps du texte ;
celles placées avant l’introduction. Elles comprennent la couverture, la page de garde
ou la belle page, la page de titre, le sommaire ou la table des matières, la dédicace, les
remerciements, l’avant-propos, l’épigraphe, l’errata, la liste des figures et des tableaux,
les tables des sigles, les symboles, les abréviations, les acronymes. Ces pages
liminaires sont généralement paginées en petits chiffres romain (minuscules).
a)- La couverture.
- Le titre du rapport.
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Traditionnellement, elle est blanche ou plutôt vierge, sans mention, elle peut
servir à une dédicace manuscrite à des parents, amis et lecteurs. La belle page vient
juste après la couverture.
- Le nom de l’impétrant (étudiant) en bas, à l’extrême gauche (ou entre les noms
du directeur et le maître de stage);
- Les nom et prénoms du maître de stage, en bas et à droite (ou entre les noms de
l’étudiant et du directeur de recherche);
d)- La dédicace.
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La dédicace est un mot aimable en début d’ouvrage, de mémoire à l’endroit
d’une personne chère ou respectée qu’on veut honorer ; autrement dit à qui on tient à
rendre hommage. On exprime par là une marque d’affection (parents, frère, conjoint,
épouse, ami), soit d’admiration et de considération (professeur, un artiste, un écrivain,
un homme politique), soit de reconnaissance (un bienfaiteur, un professeur), soit de
sympathie et de solidarité (au peuple, aux exploits,…). Elle peut être anonyme et
exprimer une idée forte, une valeur importante qui tient à cœur, ou un encouragement.
e)- L’épigraphe.
C’est une citation (généralement assez brève) d’un auteur bien connu, qu’on
met en exergue au début d’un travail de recherche pour en indiquer plus ou moins
directement l’esprit, l’optique, l’orientation. Elle est une réflexion, une pensée, qui doit
être normalement en rapport avec le sujet traité.
g)- L’errata.
Errata est initialement un mot latin ; c’est le neutre pluriel de ‘’erratum’’ qui
signifie : faute, erreur signalée. En français, il désigne la liste de toutes les fautes et
erreurs constatées encore, après correction et confection du document saisi et relié. Il
sert à corriger les fautes qui ont échappé malicieusement à la vigilance de l’auteur.
L’errata doit comprendre les indications suivantes :
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- Le titre du mémoire ;
- Le texte de l’errata .
Le texte d’errata se présente sous la forme d’un tableau comportant : les pages,
les paragraphes, les lignes, les mots ou expressions fausses et leur correction.
Dans les livres, on trouve soit un sommaire au début, soit une table des matières
à la fin, soit une table des matières au début. Mais on observe que, généralement, la
table des matières (au début ou à la fin) est plus détaillée et le sommaire plus
schématique. En effet, la table des matières a une fonction à la fois signalétique et
synthétique : elle indique d’emblée les différentes rubriques de l’étude (les parties, les
chapitres, les divisions, les subdivisions). En somme, elle fait apparaitre sa structure
générale et donne une vue d’ensemble du travail avec les principaux développements
qui ont été fait dans l’ordre chronologique du texte.
Quant au sommaire, il est plus bref et apparait comme le résumé de la table des
matières. Le sommaire se place en début d’ouvrage et contient, en une page, les
articulations essentielles de la recherche, les éléments constituant l’ossature globale de
l’étude.
i)- L’avant-propos.
j)- L’index.
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Placé à la fin d’un travail de recherche, avant la bibliographie, l’index est aussi
un autre outil pratique et utile de référence ; il permet de consulter assez facilement un
mémoire et d’avoir accès au contenu. C’est un classement alphabétique de noms cités,
de mots-clés, de thèmes, de notions spécifiques ou de concepts utilisés, accompagnés
du ou des numéro(s) de page(s) dans l’ouvrage. On distingue généralement deux sortes
d’index : (index nominaux, index thématique).
Les sigles sont des abréviations constituées de lettres initiales, mais qui sont
traitées comme des mots (O.N.U., U.N.E.S.C.O). Lorsque la suite des lettres a une
prononciation syllabique, avec naturellement la suppression des points qui suivent les
lettres, on parle plutôt d’acronymes (ONU, UNESCO, onusien).
PREMIERE PARTIE.
Chapitre 1.
Chapitre 2.
DEUXIEME PARTIE.
Chapitre 1.
Chapitre 2.
TROISIEME PARTIE.
Chapitre 1.
Chapitre 2.
Les citations ou les renvois aux bas des pages sont essentielles pour apporter de
la crédibilité à la recherche, pour renforcer un point fort de l’argumentation ou pour
appuyer un point de vue. Faire une citation, c’est prendre à témoin un autre auteur,
donner la parole à quelqu’un d’autre pour confirmer une opinion sur un sujet. Ce
faisant, il faut rapporter cette parole avec exactitude, sans déformer et indiquer très
précisément sa provenance : référence ou adresse bibliographique complète et
indication du numéro de la page.
Les annexes (ou appendices) sont des documents extérieurs, des hors textes, des
informations additionnelles ou supplémentaires qu’on place entre la conclusion et la
bibliographie. Elles permettent d’avoir des informations complémentaires importantes,
indispensables à la bonne compréhension dont la présence dans le corps du texte
risquait de le surcharger.
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5°)- La bibliographie.
- Des ouvrages ;
La pagination est une étape très délicate qui conditionne la qualité formelle de
votre travail. L’impétrant doit user d’une certaine habilité en respectant les normes de
mise en page universelle, c’est-à-dire les normes UNESCO, ISO (Organisation
Internationale de Normalisation), AFNOR (Association Française de Normalisation).
Ces normes régulent la rédaction des travaux scientifiques et surtout leur configuration
formelle. Aussi, la valeur scientifique d’un document dépend des critères académiques
admis par chaque école, institut, grande-école ou université. Ainsi, le mémoire doit :
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- Avoir une numérotation des pages qui précèdent l’introduction en chiffres
romains ;
NB : la page de titre est la première page, par conséquent, elle n’est jamais
paginée. La numérotation de la page se fait au coin supérieur droit ou au
coin inférieur droit.
Par ailleurs, l’auteur d’un travail scientifique doit faire preuve d’un
raisonnement objectif et cohérent. Il doit être concis et sobre en bannissant de son
langage le ton émotif, le ton de mépris et de haine. Le recours au « je » dans la
rédaction peut paraitre prétentieux et égocentrique. En conséquence, il est
traditionnellement troqué contre le « nous » de modestie dont le choix traduit une
certaine prise de distance. Le « on » étant impersonnel et vague, son utilisation est
déconseillée car il donne une imprécision. Il est également interdit de ne jamais
commencer un paragraphe à la dernière ligne en bas de page. La langue utilisée doit
être, également, accessible à tous en évitant par la même occasion d’être vulgaire.
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- Combattre le trac : éviter la panique. Avoir une attitude sereine et rassurante ;
- S’assurer que tous les membres de jury ont bien reçu leur exemplaire de
mémoire;
- Prévoir et mettre à portée de main tout ce dont on aura besoin : crayon, stylo,
feuilles, schéma, photo, vidéoprojecteur, graphiques, statistiques… aménager la
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salle de soutenance, vérifier son équipement (micro, climatiseur, sièges
confortables des membres du jury…etc. ;
- Mettre sur pied une équipe d’amis ou de camarades étudiants pour s’occuper
des détails et veiller au bon déroulement de la cérémonie et pour le cocktail ou
le rafraichissement à la fin.
- Etre habiller de façon classique ; éviter les tenues extravagantes ou sexy, car il
faut se donner une image sérieuse et positive ; pas de transpiration gênante, ni
de mauvaise haleine et parfum à forte odeur. Eviter d’indisposer le jury ;
- Attendre que le jury lui donne la parole avant de commencer son propos par les
remerciements à l’endroit du président et des membres du jury, puis présenter
son exposé;
- Ecouter et prendre les notes quand un membre du jury intervient, pour mieux
répondre.
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paniquer si vous êtes vraiment incapable de répondre. Dites sincèrement : « je
m’excuse ; je n’ai pas la réponse exacte à votre question ».
CONCLUSION GENERALE
Ce cours répond, un temps soit peu, aux préoccupations de tout étudiant en fin
de cycle ingénieur. Il permet en effet aux impétrants d’approfondir leurs
connaissances. Le mémoire de fin de cycle favorise chez l’étudiant la réflexion et
l’acquisition de l’expérience professionnelle (le contact avec les activités des
entreprises). C’est ainsi que nous avons élaboré ce document pour éclairer l’impétrant
sur la recherche scientifique, la rédaction, la composition et la soutenance du mémoire
ou du projet de fin de cycle.
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Comment faire un nœud de cravate
CRAVATE NOIRE, BLANCHE, ROSE,
Le choix de la couleur d'une cravate est toujours délicat. Il doit tenir compte de la
couleur de la chemise mais aussi de celle du costume.
La cravate noire, unie, chic et sobre, est principalement associée à un costume noir et
à une chemise blanche pour offrir un heureux contraste.
Les cravates blanches ou crème sont souvent réservées aux grandes occasions. Elles
viennent se fondre dans le blanc d'une chemise des grands jours.
Généralement la cravate rose est parfaite pour répondre à une chemise blanche, bleue
ciel, ou à un costume gris.
La cravate rouge, quant à elle, s'harmonise parfaitement avec une chemise bleue,
rose, noire ou blanche.
La cravate jaune est idéale sur une chemise bleue unie ou à rayures, du bleu soutenu
presque marine au bleu pastel, ou encore pour égayer une chemise au ton d'automne
(marron glacé par exemple). La cravate jaune est par contre à éviter sur une chemise
rose.
La cravate bleue se marie magnifiquement avec une chemise bleue dans les mêmes
tons ou plus clairs ainsi qu'avec une chemise blanche. Plus la couleur de la cravate est
soutenue plus elle signera l'élégance.
Enfin, pour la cravate verte, moins évidente à marier, elle peut s'accommoder de
chemises rouges, blanches, noires, ou vertes dans des tons plus clairs.
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LE PETIT NOEUD
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Préparation : Placez votre cravate à l'endroit et retournez le grand pan de 180
degrés (voir le schéma ci-dessus). Ou pour éviter la "torsade", glissez simplement
votre cravate à l'envers autour du cou. Le grand pan est laissé plus long que le petit
pan.
Pour que le nœud soit parfaitement réussi, le dernier bouton de la chemise et le petit
pan de la cravate doivent être dissimulés.
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LE NOEUD DOUBLE
Le nœud double est très proche du nœud simple si ce n'est qu'il nécessite une
deuxième rotation ; au départ, le grand pan est passé deux fois autour du petit pan.
Plus épais dans son allure que le nœud simple, le nœud double est idéal avec la
plupart des chemises. Il est aussi parfait avec toutes les cravates à l'exception de celles
trop épaisses.
Préparation : Glissez votre cravate autour du cou après avoir fermé le dernier bouton
de la chemise et remonté le col.
Les deux pans de la cravate sont placés de façon asymétrique. Le grand pan est laissé
bien plus long que le petit pan.
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Le nœud double en 4 étapes :
Etape 1 : Sous le col, passez une première fois le grand pan autour du petit pan (voir
étape 1 à 3 du nœud simple).
Etape 2 : Passez une deuxième fois le grand pan autour du petit pan.
Etape 3 : Placez le grand pan vers le haut sous la cravate et glissez le dans la boucle
formée par la première ou la deuxième rotation.
Etape 4 : Enfin ajustez le nœud obtenu, remontez le et centrez le au milieu du col.
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LE NOEUD WINDSOR
Le nœud Windsor est le nœud des grandes occasions. Très anglais, son nom provient
du Duc de Windsor qui l'a popularisé.
Comme il est volumineux, il doit être réalisé de préférence sur des cols écartés,
comme des cols italiens ou des cols Windsor.
Parfois complexe à réaliser, il nécessite pour être réussi de tomber entre les deux
parties du col et de cacher le dernier bouton de la chemise.
Préparation : Glissez votre cravate autour du cou après avoir fermé le bouton du haut
de la chemise et remonté le col. Les deux pans de la cravate sont placés de façon
asymétrique. Le grand pan est laissé beaucoup plus long que le petit pan.
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Les étapes :
Etape 1 : Croisez le grand pan sur le petit pan. Maintenez le croisement, et à coté,
faites une boucle en montant le grand pan sous la cravate et en le rabattant.
Etape 2 : Amenez le grand pan de l'autre côté sous le croisement. Faites une autre
boucle en montant le grand pan sur la cravate et en le rabattant.
Etape 3 : Passez horizontalement le grand pan en dessus du petit pan.
Etape 4 : Passez verticalement le grand pan sous la cravate, défroissez le et faites
glisser le grand pan dans la boucle.
Etape 5 : Maintenez le petit pan, tirez délicatement sur le grand pan pour resserrer la
cravate ; centrez le nœud en haut et au milieu du col.
LE DEMI-WINDSOR
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Il s'accorde idéalement avec des cravates fines ou peu épaisses. Elégant et triangulaire,
il se porte de préférence sur une chemise à col classique ou sur une chemise à col
ouvert.
Préparation : Placez votre cravate autour du cou. Les tailles moyennes placeront le
petit pan bien au-dessus de la ceinture.
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glissez le dans la boucle.
Etape 4 : Maintenez le petit pan. Tirez sur le grand pan pour former le nœud. Glissez
ce dernier jusqu'au dernier bouton du col de la chemise et centrez-le.
A l'issue du nouage, le petit pan ne doit pas être visible et l'extrémité du grand pan doit
se situer au niveau la ceinture.
LE NOEUD SIMPLE
Le nœud simple est le grand classique des nœuds de cravate. Il est de loin le plus
utilisé puisqu'il est simple à faire et qu'il s'accorde avec la plupart des cravates et
presque tous les cols de chemise. Il est parfait pour les hommes de taille moyenne ou
grande.
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Conique et allongé, le nœud simple est étroit avec des cravates fines et plus large avec
des cravates épaisses.
Préparation : Remontez le col de votre chemise, fermez son bouton et placez votre
cravate.
Les hommes de taille moyenne positionneront le petit pan au niveau de la ceinture. Les
hommes grands le placeront au-dessus. Les hommes aux bustes courts quant à eux
préfèreront le nœud double dont la forme est similaire.
Les étapes :
Etape 1 : En dessous du col, croisez le grand pan sur le petit pan.
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Etape 2 : Faites glisser le grand pan en dessous du petit pan.
Etape 3 : Ramenez ensuite le grand pan sur le petit pan.
Etape 4 : Faites passer le grand pan vers le haut sous la cravate en plaçant votre index
dans le nœud en formation. Enlevez votre index et glissez le grand pan dans la boucle.
Etape 5 : Maintenez le petit pan. Tirez délicatement sur le grand pan pour serrer
la boucle. Ajustez le nœud, puis remontez-le jusqu'au dernier bouton du col.
Une fois la cravate nouée, le petit pan ne doit pas être visible et l'extrémité du grand
pan doit se situer au niveau la ceinture.
BIBLIOGRAPHIE
BEAUD Michel, 1999, L’art de la thèse, comment préparer et rédiger une thèse,
un mémoire de DEA ou de maitrise ou tout autre travail
universitaire,
Paris, Editions La Découverte, coll, « Guide Repères », Nouv,éd.
DORZELAER J. 1984, Méthodologie pour rédiger un travail de fin d’étude, Bruxelle,
éd. CRID.
FRAGNIERE Jean-Pierre, 2001, comment réussir un mémoire, Paris, Dunod, 3e. éd.,
FONDANECHE Daniel, 1999, Guide pratique pour rédiger un mémoire,
Paris, Vuibert,
Page 34
GUIDERE Mathieu, 2003, Méthodologie de la recherche, Paris, Ellipses, 2e éd.,
GUENOCHE (Alain), Méthodes mathématiques : www.recherche-endurger apine.org
N’DA (Paul), 2002, Méthodologie de la recherche, de la problématique à
la discussion des résultats, 2e éd, EDUCI, Abidjan,
INTRODUCTION GENERALE……………………………………………………………P.1
1- Définition de la recherche scientifique……………………..……..P.1
2- Recherche fondamentale et Recherche appliquée……………..….P.2
I- CHOIX DU SUJET ET DU DIRECTEUR DE MEMOIRE……………..….P.4
1- Choix du sujet…………………………………………………..…P.4
2- Choix du directeur de mémoire…………………………………....P.5
II- CONCEPTUALISATION DU PROBLEME DE RECHERCHE…………...P.6
1- Définition d’un problème de recherche…………………………....P.6
2- L’état des connaissances………………………………………..…P.6
Page 35
3- Hypothèse ou question de recherche……………………………....P.7
III- CHOIX D’UNE STRATEGIE DE RECHERCHE………………………….P.8
IV- PLANIFICATION OPERATIONNELLE DE LA RECHERCHE……....P.9
V- REDACTION DU TRAVAIL SCIENTIFIQUE……………………………P.10
1- Méthode de rédaction de l’introduction……………………….…P.10
2- Le corps du travail………………………………………………..P.11
3- Méthode de rédaction de la conclusion…………………………..P.12
VI- SCHEMA ET STRUCTURE D’UN TRAVAIL SCIENTIFIQUE……..P.12
1- Les pages liminaires……………………………………………....P.12
2- Schéma du corps du travail………………………………….……P.17
3- Les citations et les renvois aux bas de page……………………....P.17
4- Les pages annexes………………………………………………...P.18
5- La bibliographie……………………………………………….….P.18
6- Les techniques de pagination……………………………………..P.18
VII- SOUTENANCE DU MEMOIRE DE FIN DE CYCLE………………....P.19
1- Les conditions psychologiques…………………………………...P.20
2- Les questions d’ordre matériel…………………………………....P.20
3- La présentation du mémoire en terme de communication………..P.21
CONCLUSION GENERALE…………………………………………………………….…P.23
COMMENT FAIRE UN NŒUD DE CRAVATE………………………….……P.24
BIBLIOGRAPHIE…………………………………………………………….......P.35
TABLE DES MATIERES………………………………………………………...P.36
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