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AERIENE ET FERROVIAIRE
Sujet :
L’ASSURANCE DANS LE TRANSPORT AERIEN
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SOMMAIRE
INTRODUCTION ....................................................................................................................................... 3
I. ANALYSE SWOT DU SECTEUR DU TRANSPORT AERIEN.................................................... 4
II. L’IMPORTANCE DE LA GESTION DES RISQUES DANS LE SECTEUR DU TRANSPORT AERIEN .............. 7
III. LE FONCTIONNEMENT DE L’ASSURANCE DE TRANSPORT AERIEN ......................... 9
CONCLUSION .......................................................................................................................................... 16
WEBOGRAPHIE ...................................................................................................................................... 17
TABLES DES MATIERES ...................................................................................................................... 18
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INTRODUCTION
Le transport aérien désigne l’activité de transport de passagers ou de fret effectuée par la voie des
airs, ainsi que le secteur économique regroupant les activités principales ou annexes concernant ce
mode de transport. Avec 1,3 milliard de passager en 2015, et un tiers (1/3) du commerce
international en valeur, le transport aérien est devenu l’un des rouages essentiels de la
mondialisation. Son développement est exponentiel depuis de longues décennies, suivant les
avancées technologiques de l’aviation d’un côté, la propension des hommes à se déplacer de l’autre.
Mais, la notion de risque étant en permanence évoquée dans tous les secteurs économiques, le
transport aérien n’y déroge pas. Les évènements récents tels que la pandémie Covid-19 sont
l’illustration parfaite que cette croissance folle est menacée. Pour lutter efficacement contre ces
menaces, l’industrie de la gestion des risques ou de l’assurance est depuis de nombreuses années
au cœur du transport aérien et se porte garant de sa protection contre les aléas. Dans le but cerner
le mécanisme de mis en œuvre de l’assurance dans le secteur du transport aérien, nous nous sommes
interrogés de la manière suivante : Comment fonctionne l’assurance dans le secteur du transport
par voie aérienne ? Pour répondre au mieux à cette interrogation, il convient pour nous dans un
premier temps d’effectuer une analyse SWOT du secteur du transport aérien, ensuite de faire
ressortir le rôle clé de l’assurance dans ce secteur, et enfin de montrer comment fonctionne
l’assurance des facultés aériennes.
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I. ANALYSE SWOT DU SECTEUR DU TRANSPORT AERIEN
En mettant en évidence les forces et les faiblesses de l’ensemble en question, on est en mesure de
cerner à la fois les opportunités et les menaces qu’il présente pour l’entité. À travers l’outil SWOT,
deux diagnostics sont menés :
Cela étant dit, une analyse SWOT est une exigence essentielle de toute organisation et essentielle
pour comprendre toute industrie. La volatilité de l'industrie aérienne ne fait pas exception. Bien
que chaque compagnie aérienne analyse et prenne des décisions en fonction de sa propre situation,
il existe des similitudes générales avec l'industrie auxquelles toutes les compagnies aériennes sont
confrontées, chacune s'efforçant de maximiser les forces et les opportunités tout en minimisant les
faiblesses et les menaces.
Alors qu’un avion relie Paris à New York en huit heures, un navire cargo prend une dizaine de
jours pour traverser l’Atlantique Nord (Le Havre-New York). La rapidité, cet avantage
incontestable lui donne, de fait, la prépondérance sur d’autres mode de transport quand il s’agit de
transporter des denrées périssables : animaux vivants, denrées consommables (fruits et légumes de
contre-saison ou exotiques, produits de la mer à la durée de vie limitée, etc.) mais aussi des fleurs
ou certains produits chimiques ou radioactifs (à durée limité).
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moyenne un bénéfice par passager de 8,53 euros pour les compagnies du golfe persique, 7,33 euros
aux États-Unis, 5,59 euros pour les compagnies européennes et 3,76 euros pour les compagnies de
la zone Asie-Pacifique (données IATA pour l'année 2014). Le trafic aérien croît plus que les autres
grands modes de transport : le nombre de passagers aériens internationaux double tous les dix à
vingt ans, de 262 millions en 1989 à 998 millions en 2010 selon l’OACI.
Sur le plan commercial, les compagnies aériennes ont la capacité de segmenter le marché, même
sur les mêmes routes. Cela permet aux compagnies aériennes d'établir différents niveaux de service
et des prendre des décisions de prix connexes.
2. Faiblesses
Le transport aérien nuit à l'environnement de manière globale et locale. Globalement, les émissions
des avions contribuent à l'augmentation de l'effet de serre et donc au réchauffement climatique
(voir section suivante). Elles sont aussi sources d'une nébulosité artificielle. Localement, la rotation
des avions dans les aéroports provoque des nuisances sonores, visuelles et contribue à la pollution
de l'air. Du fait de la croissance rapide du trafic aérien, les mesures prises par l'industrie du
transport aérien sont insuffisantes pour compenser l'accroissement des nuisances.
Marc Barthélémy, chercheur au CEA et dans une équipe mixte CEA-CNRS-université de l'Indiana
qui a modélisé la diffusion des épidémies à partir des bases de données de l'IATA, conclut en 2008
que « l'avion est le facteur clé de propagation (des épidémies) au niveau mondial. [...] Les lignes
sur lesquelles il y a de gros flux de passagers créent des chemins préférentiels pour la maladie. Le
SRAS est arrivé en France et au Canada par des vols en provenance de Hong Kong. » Pour autant,
il estime que « même si l'on diminuait de 90 % le trafic aérien - ce qui semble illusoire, cela
limiterait à peine le nombre de cas d'infection ». Le trafic aérien a fortement contribué à la rapidité
de propagation de la pandémie de Covid-19. Ce qui entraîné malheureusement la fermeture des
aéroports. Cette décision a bien évidemment entrainé une chute de l’économie mondiale.
En plus des faiblesses citées en amont, les éléments suivant sont à prendre en compte :
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- Le prix élevé (lié en partie à la raréfaction du pétrole) ;
- La quantité transportable : nettement inférieure par rapport au bateau.
3. Opportunités
La croissance du marché des compagnies aériennes offre des possibilités d'expansion continue pour
les destinations de loisirs et d'affaires. Cela est particulièrement vrai pour les destinations
internationales.
Les progrès technologiques peuvent entraîner des économies de coûts, allant d'avions plus
économes en carburant à des processus plus automatisés au sol. La technologie peut également
entraîner une augmentation des revenus grâce à des améliorations du service conviviales comme
l'accès à Internet en vol et d'autres produits à valeur ajoutée pour lesquels un client paiera un
supplément.
Les liaisons avec d'autres transporteurs peuvent considérablement augmenter le volume de
passagers. En coordonnant les horaires, les compagnies aériennes peuvent offrir un service vers
des destinations via un accord de partage de codes avec un transporteur partenaire.
4. Menaces
Impact du COVID-19
Bien que ne guère pesant dans le PIB, le transport aérien est étroitement lié à d’autres activités, en
particulier celles de l’aéroportuaire et de la construction aéronautique avec lesquels il forme le
« secteur de l’aviation », principal moteur de nombreuses activités économiques.
Alors que les pouvoirs publics prêtaient déjà une grande attention au secteur de l’aviation, la crise
du COVID-19 a précipité une nouvelle cascade de prêts, garanties de prêts, subventions salariales
et injections de capitaux, qui interroge sur le libre jeu de la concurrence et l’utilisation rationnelle
des ressources publiques.
La circulation aérienne
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Le contrôle aérien est indispensable au transport aérien, pour non seulement assurer la sécurité
des vols, mais aussi faciliter l’écoulement du trafic et garantir la ponctualité. Chaque jour, on
compte 23 000 vols dans l’espace aérien européen, dont 7 000 à traiter par les services du
contrôle aérien français. Aujourd’hui pour écouler le trafic en toute sécurité, la CFMU67
impose au besoin, des attentes au sol à certains vols, en régulant les décollages par l'attribution
de créneaux horaires. Les situations d'attente ont été limitées en améliorant le séquencement
des arrivées sur les aéroports. L’espace aérien a ainsi retrouvé une meilleure gestion de sa
capacité.
Mais certaines problématiques demeurent : cette gestion des flux ne prend pas véritablement
en compte la saturation des capacités aéroportuaires (les avions bloqués au sol réduisant
d’autant plus les capacités aéroportuaires qui sont déjà des ressources rares aujourd’hui) et de
ce fait respecte mal les schémas en route.
Le terrorisme
Les avions sont des cibles privilégiées en raison du nombre de potentiel de victimes, du
nombre potentiel de victimes, du retentissement médiatique des attentats et parce qu’ils
symbolisent l’avancement économique et technologique des sociétés dites développées.
Au vue des nombreuses faiblesses et risques qui menacent le secteur du transport aérien, il convient
de mettre en place un cadre assurantiel permettant de gérer au mieux les risques dans ce secteur.
Dans la suite de notre analyse nous aborderons la question de l’importance de la gestion des risques
dans le secteur du transport aérien et donc du rôle clé de l’assurance dans ce secteur.
L’assurance est une industrie financière qui se consacre à la gestion du risque des agents
économiques (particuliers et entreprises). Le cœur du métier de l’assurance, c’est le risque.
L’assureur est expert du risque. Le risque représente la probabilité de perte ou de dommage. Pour
le gérer, il convient de l’identifier. Ainsi, nous verrons dans un premier temps une liste non
exhaustive des risques dans le transport aérien.
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1. Énumérations des risques dans le transport aérien
Il existe une multitude de risques présent dans le transport aérien de passagers ou de fret. Ce sont :
Après avoir donné une liste non exhaustive des risques présents dans le transport aérien, voyons-
en quoi il est important de les gérer.
L’assurance est un service qui offre une prestation, généralement financière, lors de la survenance
d’un évènement futur et aléatoire appelé « risque ». Autrement dit, c’est un filet de sécurité : elle
nous permet de nous prémunir d’un évènement qui en cas de survenance, pourrait avoir des
conséquences économiques désastreuses. Dans cette veine, l’assurance transport procure aux
professionnels du transport (armateurs, transports aériens, etc.) une protection efficace contre les
risques d’avaries de leurs moyens de transports (aéronefs) et de leurs marchandises. Cette sécurité
est d’autant plus stratégique que les sommes engagés dans ces activités sont souvent considérables.
Dans ce contexte, l’assurance assure trois points essentiels dans le transport aérien :
Garantir la confiance entre les agents économiques : l’assurance étant obligatoire dans le
transport aérien (passager et fret), c’est la sécurité minimale que la loi impose pour établir
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un climat de confiance entre les acteurs. L’assurance obligatoire tend à supprimer les
craintes, et ainsi augmenter les échanges internationaux de manière considérable ;
Permettre le recouvrement des pertes et dommages occasionnés lors du transport, sa
fonction principale ;
Contribuer au développement du commerce international.
Après avoir perçu le rôle clé de l’assurance dans le transport (aérien), il convient de voir son
fonctionnement. Dans la suite de notre analyse, nous nous focaliserons sur « l’assurance facultés
aériennes ».
Depuis la loi du 2 Mars 1957 les transports intérieurs sont soumis à la convention de VARSOVIE
1929 modifiée par le protocole de LA HAYE du 28 Septembre 1955. Le transporteur ne peut
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s’exonérer de sa responsabilité qu’en prouvant que les mesures nécessaires ont été prises ou qu’il
était impossible de les prendre ou bien que le lésé a commis une faute. Le protocole de
MONTREAL limite la responsabilité à 17 DTS par kilo de poids brut (emballage compris)
manquant ou avarié avec déplafonnement en cas de faute intentionnelle ou inexcusable mais
également en cas de déclaration d’intérêt à la livraison ou déclaration de valeur.
Les réserves doivent être prises immédiatement pour les dommages apparents et dans les 15 jours
après la livraison des marchandises et 7 jours après la livraison des bagages. Les actions se
prescrivent par deux (2) ans.
2. Les incoterms
En se référant dans leurs contrats à l'un des Incoterms® de la ICC, l'acheteur et le vendeur réduisent
l'incertitude inhérente à toute transaction internationale : pratiques commerciales et interprétations
différentes d'un pays à l'autre. Ils précisent leurs responsabilités et obligations respectives pour la
livraison de marchandises et les obligations documentaires du vendeur. Ainsi les Incoterms®, bien
que facultatifs, sont des clauses standardisées et reconnues, qui permettent d'éviter les litiges en
répartissant clairement entre l'acheteur et le vendeur : les obligations, les risques, les coûts. De plus,
ils dissocient la question du transfert des risques de celle du transfert de propriété, ce dernier
restant régi par la loi régissant le contrat. Concrètement, dans un contrat de vente international, les
Incoterms® vont clarifier les points suivants :
Situer le point critique du transfert des risques du vendeur à l'acheteur dans le processus
d'acheminement des marchandises (risques de perte, détérioration, vol des marchandises)
permettant ainsi à celui qui supporte ces risques de prendre ses dispositions notamment en
terme d'assurance.
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Indiquer qui, du vendeur ou de l'acheteur, doit souscrire le contrat de transport.
Répartir entre les deux les frais logistiques et administratifs aux différentes étapes du
processus.
Préciser qui prend en charge l'emballage, le marquage, les opérations de manutention, de
chargement et de déchargement des marchandises ou l'empotage et le dépotage des
conteneurs ainsi que les opérations d'inspection.
Fixer les obligations respectives pour l'accomplissement des formalités d'exportation et/ou
d'importation, le règlement des droits et taxes d'importation ainsi que la fourniture des
documents. Il existe 11 Incoterms® retenus par la ICC, (codification originale anglaise sur
3 lettres, ex : FOB) plus une localisation précise ex : "FOB Le Havre".
Répartition des risques et frais entre l’acheteur et le vendeur selon l’incoterm négocié dans le
contrat
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Il existe trois types de contrats en assurance transport aérien :
La police au voyage
Elle couvre des marchandises et un trajet déterminés et convient donc pour les expéditions
occasionnelles. La marchandise, sa valeur, le nom du navire, le port d’embarquement, le port de
débarquement sont connus. Le risque est bien délimité.
Elle convient surtout pour l’exécution des contrats commerciaux comportant des expéditions
échelonnées sur une période indéterminée. Plutôt que de conclure une police au voyage pour
chaque expédition, l’assuré peut souscrire une police à alimenter, dans laquelle il indique la valeur
totale des marchandises et le nombre d’expéditions prévues. Avant chaque envoi, il informe
l’assureur de la nature, de la composition et de la valeur de l’expédition.
Conclue d’avance et pour une période donnée, cette police a pour objet essentiel de couvrir
automatiquement tous les envois faits par le même expéditeur, quels que soient les marchandises,
les modes de transports et les lieux de départ ou de destination, sans qu’il ait à faire de déclaration
préalable, ni connaître les envois effectués par ses préposés ou mandataires. La seule mise en route
des marchandises entraîne la garantie des assureurs. L’engagement des assureurs — qui
garantissent automatiquement les marchandises expédiées sans les connaître — est limité à un plein
fixé par la police, c’est-à-dire à une valeur maximale convenue par expédition et par navire. Pour
les compagnies de navigation, commissionnaires de transport et transitaires..., il existe des polices
d’abonnements, dites « tiers chargeurs », établies à leur nom et sur lesquelles ils peuvent appliquer
les marchandises que leurs clients ont demandé d’assurer.
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b. Les pièces à fournir
c. Le calcul de l’indemnisation
Les assureurs remboursent, en fonction de la valeur d'assurance, la perte ou les dommages matériels
consécutifs à un risque couvert, et constatés par le commissaire d'avaries.
Si la marchandise peut être remise en état, l'assureur règle le coût de la réparation, sous réserve que
celui-ci ne dépasse pas la valeur d'assurance.
En cas de perte ou d'avaries communes, le propriétaire d'une cargaison peut avoir l'obligation de
régler une contribution calculée en fonction de la valeur de ses marchandises alors même que
celles-ci arrivent en bon état. L'assureur intervient pour payer le montant de la contribution fixée
par l'expert répartiteur ou le « dispacheur » chargé d'établir le règlement.
d. Délai d’indemnisation
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L’indemnité due par l’assureur est payable dans les trente jours qui suivent la remise du dossier
complet des pièces justificatives du dommage. Ce délai est nécessaire pour établir le document de
décompte de l’indemnité et effectuer matériellement le paiement.
e. Bénéficiaire de l’indemnité
L’assurance est en quelque sorte intégrée à la marchandise. Elle est négociable et transmise en
même temps qu’elle. L’indemnité est payée au porteur des documents de réclamation comprenant,
notamment, le titre original de l’assurance.
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CONCLUSION
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WEBOGRAPHIE
Assurance cours : L’assurance transport (consulté le 18/10/2021 à 01 h 17) ; [En ligne] URL
https://www.academia.edu/31105559/_Assurance_Cours_Lassurance_transport
Fret aérien : quelle assurance ? (consulté le 18/10/2021 à 02 h 42) ; [En ligne] URL
https://www.qualitairsea.com/newsroom/guide-du-transport-international/articles/fret-aerien-
quelle-assurance
Les avantages du transport aérien (consulté le 16/10/2021 à 19h19) ; [En ligne] URL
https://www.lantenne.com/L-avion%C2%A0-un-mode-de-transport-rapide-sur-mais-
cher_a16907.html# ,
Risques associés aux modes de transport (consulté le 18/10/2021 à 17h19) ; [En ligne] URL
https://wikimemoires.net/2011/03/les-risques-associes-aux-modes-de-transport-international/
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TABLES DES MATIERES
INTRODUCTION ....................................................................................................................................... 3
I. ANALYSE SWOT DU SECTEUR DU TRANSPORT AERIEN.................................................... 4
1. Forces du secteur du transport aérien ........................................................................................... 4
2. Faiblesses .......................................................................................................................................... 5
3. Opportunités .................................................................................................................................... 6
4. Menaces ............................................................................................................................................ 6
II. L’IMPORTANCE DE LA GESTION DES RISQUES DANS LE SECTEUR DU TRANSPORT AERIEN .............. 7
1. Énumérations des risques dans le transport aérien ........................................................................ 8
2. L’importance de la gestion des risques ou le rôle clé de l’assurance dans le transport aérien 8
III. LE FONCTIONNEMENT DE L’ASSURANCE DE TRANSPORT AERIEN ......................... 9
1. Cadre juridique de l’assurance transport aérien ......................................................................... 9
2. Les incoterms ................................................................................................................................. 10
3. La souscription du contrat d’assurance assurance facultés aériennes ..................................... 11
a. Les garanties de l’assurance transport aérien ........................................................................ 12
b. Les risques couverts .................................................................................................................. 12
c. La durée de la garantie ............................................................................................................. 12
d. Les types de contrats ................................................................................................................. 12
4. Le recouvrement en cas de sinistre .............................................................................................. 13
a. La réclamation en cas de sinistre ............................................................................................. 13
b. Les pièces à fournir ................................................................................................................... 14
c. Le calcul de l’indemnisation ..................................................................................................... 14
d. Délai d’indemnisation ............................................................................................................... 14
e. Bénéficiaire de l’indemnité ....................................................................................................... 15
CONCLUSION .......................................................................................................................................... 16
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TABLES DES MATIERES ...................................................................................................................... 18
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