Vous êtes sur la page 1sur 7

D . CORNU - J . GARBAYE - Y . LAPLACE - F . LE TACON - J .-F .

PICARD

Boutures enracinées à Nancy


La photo a été prise en hiver, après la chute des feuilles . On remarque l'enraci-
nement très spécial du noyer hybride : racines grosses et courtes, très
aqueuses et très plagiotropes, et non ramifiées.

/ -,Frr .
~ ;''°`
~ rY, r i‘
Chene
-~ i
MML ._~.

4nn~ ~IF
.
/ ., {
. ;. ! nnn~s;l/./1 !~ Ado
t

=1j :.~1iv'1l . nnfH IL/1~ :1


~~~li:w1/in ~è. +. ; nn1~ 1
•~ '~II~nn~~ .- n1SyEomû'
1~ ~~ ~ e
~t.~1n~nf•~~ ,: Jli
i
'— .v3ik'VaIf1:iWIZ'
\~ .~a wIw~ .~'M
. ~ ..J/ ' it
7~~~
►1nn ÎJ1'
n . i! •► 1 ~I
r/
nne!'
nn //nN \If ► :~mi~l
n~\1! 1rs~!/ ~n
' t:/n/n n t~
nnt~fli
'Snn~1/',4, I_ •Il11 . . t
~~n n ft n ~ô~'nId~ Lnnnnnnnil+a .l .~. ~ ! 1_
-AM 1 ~ nn/D`~~~ ► n In nnnnnn tl~►`
"II\n 1 nnnFLII ii nl; ,INUMnnnnn/a
~
.. 11M11,~~1~~ I111~1~►1111
l►11 nn ► I n~ nnnri~nnI 1nnnnnn _~ K
**~ ! .' ~' ~ nt n y ~n 1nnnnnn ~
Noyer
n
___ I~I tf~~nnn ~nn~ ~~n~ nn n .ii 1
ilybride
~
Trllav4
à pet tes feutllat . ,
h~~ ~.1/Annn n~
Z~n~~~'L: l~~~iE 1~~

~~!nnnn ,r
~~~,~

n n
~ nr
nn.
.
~1i'll
► ;.
M n :
~:~l~J ~~~ ~ ~ ~t , , ►~ nv
ti!~~';r,~~~` : ~nnnnn~~ nn nn[i ~ .i,~
=. ` - ►' ,~titi,~ ~ 1~n nnnnflnli~n~!'i~ li ,Ni~ l nn 7•n~n
.~~~~
`/~~~';~ nn KI'i /Î►~li/ '/nnn nnn .___~
,' r+!:3~ KIM= ,n~%/~~~ AMEN or.
a
, ►nontad ne -I
MME AMI .-,
~~n~) " ~ nnnn~I!< /.~ 1 i a>/~ .~ n i
~i~n n n~nNn/ ~ l~~'~ ,i~ ' ~fre~ ; ;~1 _
1 h'!
~n~ n n nn~ ~~
nnn
MME. . . i~ ` ` " ~`S~ ,f.#'610 ,, ,.,
nn r
Mensler nn
n ~+~s I •=eii~1 V i r ~I~ 9i t r l" ,' it
M1 Ebl
raene
la
P n ~ ~ ~ ~'' ; :S ~ g Ir • 5, . ' `~'
~

1 ~ et nn~ : it ~ ii~~~~ ~ Î •I r~ e..


`' s
( W II i» ~~nnnn~ '~
M ~~'~~
; i~ -. !~ i ►~5 ~' ~-
.~ ~~A r ..A :;i, ,+.~
i ► E r
nnn
►. ~ ~~ t nnn / r
.~fl~~,
, ._ A,
e.~t
. t ' '. ,- ~ 1• ryl ~
, ~ I . • :d'A
~ . t _ . . .4$ ~~ P!
R
l , r

278

Cette rubrique est dirigée par :

M . VIART
Ingénieur en chef du G .R .E .F.
Chef de la Division « Sylviculture
Centre technique du génie rural
des eaux et des forêts
Groupement de Nogent-sur-Vernisson

Domaine des Barres


45290 NOGENT-SUR-VERNISSON

LE BOUTURAGE DE FEUILLUS DIVERS


D . CORNU - J . GARBAYE - Y . LAPLACE
F . LE TACON - J . F . PICARD
Class. Oxford 232 . 328

La maîtrise de la reproduction végétative d'un certain nombre de feuillus serait d'un très grand
intérêt . En dehors de l'aide puissante qu'elle pourrait apporter à de multiples secteurs de la
recherche, elle pourrait permettre, moyennant certaines précautions, de multiplier des individus
remarquables (hybrides, arbres sélectionnés pour leur qualité, arbres résistant à diverses
agressions . . .).
Dès 1974, avec le hêtre et le chêne, nous avons obtenu de très bons résultats (Cornu, Garbaye,
Le Tacon, 1975 — Cornu, Delran, Garbaye, Le Tacon, 1977 — Garbaye, Kazandjian, Le Tacon,
1977) . Le bouturage de pousses herbacées sous nébulisation de matériel jeune ou réjuvénilisé
permet des pourcentages d'enracinement élevés chez ces espèces . Farmer et Beseman (1974)
sur Prunus serotina, ainsi que Schreve et Miles (1972) sur Jug/ans nigra et Franclet (1976
et 1977) sur noyers hybrides, par des traitements réjuvénilisants tels que tailles sévères ou
recépage, ont eux aussi obtenu des enracinements très encourageants . Kormanik et Brown
(1974) ont réussi à bouturer une dizaine d'espèces feuillues de l'est des États-Unis.
Ces divers résultats nous ont incités à appliquer en 1976 les mêmes techniques de préparation
de plants et de bouturage, à divers feuillus indigènes (érable, frêne, merisier, noyer . . .), et
exotiques (platane, tulipier, liquidambar . . .).

CONDITIONS EXPÉRIMENTALES

Les essais ont été conduits à Orléans et à : Nancy.


Le matériel de base fut prélevé sur deux catégories d'individus : jeunes plants de 1 à 3 ans
en pépinière et arbres adultes.

Jeunes plants de 1 à 3 ans en pépinière

Ce matériel a été soumis avant débourrement à divers traitements :


— recépage effectué au niveau du collet ; il a conduit à la formation de «rejet» (RE);
— recépage effectué à mi-hauteur sur plants de un an, qui conduit à des ( rameaux de
taille » apparaissant à partir de bourgeons pré-existants;

279

R .F .F . XXIX - 4 - 1977
D . CORNU - J .GARBAYE-Y. LAPLACE - F . LE TACON -J . F . PICARD

- tai//e sévère : la totalité des pousses de l'année précédente est supprimée . Les « ra-
meaux de taille» (RT) apparaissant au niveau des blessures ou à partir de bourgeons pré-
existants;
— témoin le plant est laissé intact, il développe des « rameaux ordinaires » (RO).

Arbres adultes

Nous avons utilisé uniquement du matériel rajeuni par recépage, par taille sévère (traitement
en têtard), ou par drageonnage . Nous n'avons pas prélevé de gourmands, des travaux sur le
châtaignier (Veietez, 1974) comme sur le chêne (Kleinschmit, 1975) ayant montré la faible
aptitude à l'enracinement de ce type de matériel.
Les boutures constituées d'une jeune pousse non lignifiée (avec ou sans apex), pourvues de
2 à 3 feuilles, ont subi immédiatement après prélèvement les traitements suivants :
— la base est trempée dans un mélange pulvérulant contenant 0,5 % d'AIR (acide indol-
butyrique) et 15 % de benomyl dans du talc (Cornu et al ., 1977);
— milieu et environnement : à Orléans, les boutures ont été installées dans un mélange
de deux parties de tourbe pour une de gravier . Le bouturage s'est déroulé sous nébulisation
intermittente en serre polyéthylène . A Nancy, les boutures furent installées dans de la tourbe
pure fertilisée ou non et à deux pH (3,5 et 7,5) . Le bouturage fut conduit dans une serre en
verre avec « cooling system » sous nébulisation régulière (30 s, 3 fois par heure) de 8 h à
20 h . A Nancy, les boutures sont maintenues sous ombrière (50 % d'interception) ;
— durant toute la phase d'enracinement les boutures ont reçu de fréquentes pulvérisa-
tions de fongicides et d'insecticides.
Dans tous les essais, la variabilité génétique a été volontairement éliminée en répartissant
au hasard les boutures provenant de pieds-mères différents . Chaque traitement était constitué
en moyenne par 20 boutures.

RÉSULTATS ET DISCUSSION

Taux d'enracinement

Le tableau donne de façon simplifiée les pourcentages de boutures vivantes enracinées après
2 mois (Orléans) ou 3 mois (Nancy).
Il ne tient pas compte des différences minimes dues aux effets fertilisation et pH du milieu.
Globalement, nous constatons que la plupart des espèces utilisées présentent, dans certains
traitements tout au moins, des taux d'enracinement élevés supérieurs à 70 % (cases en grisé
dans le tableau) . A l'état jeune, ou après rajeunissement, elles peuvent donc être bouturés
avec succès.
Nous pouvons remarquer chez certaines expèces une chute très importante de l'aptitude à
l'enracinement dès l'âge de 3 ans . Celle-ci est restituée en partie par la taille sévère, et inté-
gralement (sauf pour le Noyer) par le recépage . Cet effet puissant de la réjuvénilisation est
en particulier net chez les frênes, le tulipier et le noyer hybride . Chez le tulipier, cette action
avait déjà été mise en évidence par W .A .G . Morsink (1974).
Le matériel n'ayant pas subi les mêmes conditions expérimentales, il est difficile de comparer
les résultats obtenus à Nancy et Orléans . De même, aucune observation n'ayant été effectuée
sur l'état de développement du matériel lors du prélèvement, on ne peut donner une conclusion
exacte quant aux dates de prélèvement .

280

`
RE .. . RO
1,
` .~ `` .

Aosnaxoo*xn/muM LIRIODENDRON TULIPIFERA

Boutures enracinées à Orléans


On remarque l'effet de la taille et surtout du recépage sur la vigueur de l'enracinement, parallèlement
à l'effet positif "" ,/ ° taux o'°"ra"m°m°m . Les ""/"°" . A tendance plagiotrope au départ, sont ensuite déviées
vers le bas par les parois du conteneur.
RO = rameau ordinaire, RT = rameau de taille . RE = rejet après recépage .
FRAXINUS EXCELSIOR

` . RT ‘RE . RE
RT

D . CORNU - J . GARBAYE - Y . LAPLACE - F . LE TACON - J . F . PICARD

.0
Ç
.2,
_ _ _ n (h
LO
O
O)
y X
C a)
co C
O no
O
CD
c ~
0 y
C co
°
~
4= E n CO

a
.E o
CD
-O U
a E p
cN

<Q) V)
Q ~ C
co c N to tn
wE n CA cM

Ô
co N
a
C .Ç
~ .,
CO o
co
.aa)
a)
a)
C m
_
CC y wE

r
U ax) cc O O
Z ~ w- n
Q
Z y
a) C C ' 0 N
C) co
„= E 0)
co
. a)
a) Na C . E 0 M O
CC a)
~._. ,?
~
CO (`'7

U
O c m O
O > ,C E O

y X C .0 n
E â ; co M
U) ~
y _
C am LC) Cc)
G_ ÿ w= E CO O
O
E
-a) ai
X c .E N O
H a 4C ~
7 CO CO
co
U
U C a) N CO O
m `C E n cD N
a) X
a) O a)

C6 co
-a) O 0 0 o LO 0 0
U > e- e- - ~
CI) y a) a)
U ~
(a) Lr a) _
7 X
a)
a a) -o
a) a) a
Z c O 0 0 tO n O O O
Q o > o 0 0 n co Lf) O
e
ô J Ny ~y ~ N
a
CC
O E 7
a) X
a)
CO c
co
â
E O O O CV ~ V O

H >
a7
. . . . . . . . . . . . . . . . .
a) a) 7 y
. . . . . . . . . C .
T O co co . . . . . .
'a, .N
E ~ _0 . . . . . 07 . m
7
~ Û . . . .
N J a)
a) E d . C C . J
a a y m E co –) m ~ a
E °a . o
.N
= y
a) aJ . a) T X . T = a) a) . '~ .
-o Y d
-O 7 'a) _
m . o O O. C a) C y .. 7 E
-0 -a a) C_
C d y a a x a)
O a ~ C C
n7 -p a) ~ . a) O
C a) 7 E -0
c 7 7 U a C .~ 0 ;7. )
y ~ m , O) ~ a7
l
0 N a) N y a) y ' E y y O N
a c a a
~ a) .N C c a) C 7 y y y
c -0
a) N E a) a) a) X X T 7 U C -2
O O) T 0 a) '- U U U U ~ ~ j) O- O 2 O
J Q H H -o Q Q Q Q Ll LL ~~ J J [L a al U) D

282

Technique et forêt

Vitesse d'enracinement

Des arrachages périodiques réalisés sur certains essais à Nancy montrent que le taux maximum
d'enracinement est atteint en 6 à 9 semaines, et que plus de 50 % des boutures racinées en
fin d'expérience le sont déjà au bout de la 3 e semaine . Si on considère qu'un enracinement
rapide est garant de la vigueur du futur plant, l'enracinement utile est donc réalisé dès la 3 e
semaine.

Qualité de l'enracinement

Les photographies montrent divers types d'enracinement obtenus . En général, celui-ci a


été dans les meilleurs traitements extrêmement puissant.
Au départ, le géotropisme n'est pas toujours très marqué . Il semble cependant que, lorsque
l'enracinement est obtenu rapidement, les racines soient à la fois plongeantes et vigoureuses.

Nous pouvons remarquer que l'effet réjuvénilisation a eu une action très puissante sur la
qualité et la vigueur de l'enracinement . Les rejets sont toujours supérieurs aux rameaux ordi-
naires et souvent aux rameaux de tailles . Cette action, très marquée chez les espèces pour
lesquelles il y avait eu une incidence sur le taux d'enracinement (frêne, tulipier) existe aussi
plus faiblement chez les autres (Acer saccharinum).

Repiquage et croissance des boutures

Un repiquage précoce à racine nue entraîne en moyenne une très forte mortalité, les jeunes
racines étant très fragiles . Néanmoins, après 4 mois ou lorsque les racines ont atteint environ
20 cm, les boutures enracinées peuvent être repiquées sans grands risques . Une intervention
précoce pourrait être réalisable en assurant un repiquage en motte, comme cela a été réalisé
avec succès pour le chêne (Garbaye, Kazandjian, Le Tacon, 1977).
Lorsque l'enracinement est obtenu rapidement, il y a souvent croissance de la partie aérienne.
On peut donc obtenir de petits plants dès la fin de la saison de végétation . Il semblerait ce-
pendant préférable de produire des plants en deux ans après repiquage et élevage sur tourbe
fertilisée (Delran, Garbaye, Le Tacon, 1976) . En serre, en solution nutritive sur tourbe, nous
avons obtenu à partir de boutures effectuées en 1975 des plants d'érable sycomore et d'orme
dépassant 2 m.

CONCLUSION

Les résultats que nous venons de présenter sont très encourageants . Ils démontrent qu'en utili-
sant du matériel jeune ou suffisamment rajeuni (rejets de souche d'arbres âgés) on peut
bouturer avec d'excellents résultats de nombreuses espèces.
Outre les très nombreux problèmes qui restent à définir et à résoudre pour l'utilisation pratique
de ces résultats, des points importants restent à approfondir :
— définition exacte et contrôle de la réjuvénilisation par taille ou recépage et son effet
sur l'aptitude à la rhizogenèse;
— optimisation du traitement hormonal pour chaque type de matériel;
— comportement à long terme des individus issus de bouture (enracinement, croissance,
maturation) .

283

R .F .F . XXIX - 4 - 1977

D . CORNU - J . GARBAYE - Y . LAPLACE - F . LE TACON - J . F . PICARD

En dehors des perspectives immenses que laissent entrevoir ces essais par la possibilité de
disposer facilement de plants génétiquement identiques, ils laissent présager des résultats
rapides et importants dans de nombreux secteurs de la recherche.

D . CORNU', J . GARBAYE, Y . LAPLACE


F . LE TACON, J .F . PICARD
CENTRE NATIONAL DE RECHERCHES FORESTIÈRES
(I .N .R .A.)
Champenoux
54280 SEICHAMPS
"CENTRE DE RECHERCHES FORESTIÈRES D'ORLÉANS
Arden
45160 OLIVET

BIBLIOGRAPHIE

CORNU (D .) ., GARBAYE (J .) ., LE TACON (F .) . — Résultats d'un essai préliminaire sur le bouturage du chêne
et du hêtre. — Revue forestière française, t . 27, n o 2, 1975, pp. 139-140.
CORNU (D .), DELRAN (S .), GARBAYE (J .), LE TACON (F .) . — Recherche des meilleures conditions d'enracine-
ment des boutures herbacées de chêne rouvre et de hêtre . — Anna/es des sciences forestières, vol . 34, n o 1,
1977, pp . 1-16.
DELRAN (S .), GARBAYE (J), LE TACON (F .) . Production rapide de plants feuillus sur tourbe fertilisée.
— Revue forestière française, t . 27, n° 6, 1975, pp . 436-448.
FARMER (Jr . R .E .), BESEMAN (K .O .) . — Rooting cuttings from physiologically mature Black Cherry . —
vae genetica, vol . 23, no 4, 1974, pp . 99-134.
FRANCLET (A .) . — Production de boutures racinées de noyers. — A .FO .CEL . ARMEF — Informations-forêts,
n o 3, 1975.
FRANCLET (A .) . — Propagation of conifers and other difficult species by cuttings . Second world Consult
on forest tree breeding . — Washington, I .U .F .R .O .-F .A .O ., 1969.
FRANCLET (A .) . — Résultats d'essais d'orientation pour l'amélioration de la propagation végétative des noyers
hydrides (Juglans nigra x regia) . — Compte rendu A .FO .CEL, 1976.
FOURCY (A .), LANTELME (J .) . — Essais sur l'enracinement des boutures de noyer. — Comptes rendus heb-
domadaires des séances de l'Académie d'agriculture de France, t . 51, n o 18, 1965, pp . 1183-1190.
GARBAYE (J .), KAZANDJIAN (B .), LE TACON (F .) . — Développement des boutures racinées de chêne
rouvre . Premiers éléments d'une technique de production de plants . — Anna/es des sciences forestières,
vol . 34, n o 2, 1977.
JACQUIOT (C .) . — Aperçu sur les problèmes du bouturage en matière forestière . — Revue forestière française
t . 1, n o 5, 1949, pp . 214-223.
KLEINSCHMIT (J .), WITTE (R .), SAUER (A .) . — Recherches sur le bouturage des chênes . — Allgemeine
Forst- und Jagdzeitung, vol . 146, n° 10, 1975.
LAPLACE (Y .) . — Intérêts et problèmes d'application du bouturage chez les arbres forestiers . Évaluation de
l'aptitude au bouturage de quelques feuillus précieux . — Nancy, École nationale du génie rural, des eaux
et des forêts, 1976 (D .E .A . — Université de Nancy I).
KORMANIK (P .P .), BROWN (C .L .) . Vegetative propagation of some selected hardwood forest species in
the south eastern United-States . New-Zealand of forest science, n o 2, 1974, pp .228-234.
MARTIN (B .) . — Bouturage des arbres forestiers au Congo .—Bois et forêts des Tropiques, n o 154 à 157, 1974.
MORSINK (W.A .G .) . — Propagation of hardy strains of tulip trees (Liriodendron tulipifera L .) for Southern
Ontario . — The plant propagator, vol . 20, n° 3, 1974, pp . 14-17.
RYOOKITI TODA . — Vegetative propagation in relation to Japanese forest tree improvement . — New zea/and
journal of forest science, vol . 4, n° 2, 1973, pp . 410-417.
SCHREVE (L .W .), MILES (N .W .) . — Propagating black walnut clones from rooted cuttings . — The plant
propagator, vol . 18, n o 3, 1972, pp . 4-7.
VIEITEZ (E .) . — Vegetative propagation of chestnut . — New zealand journal of forest science, n o 4, 1974,
pp . 242-252 .

284

Vous aimerez peut-être aussi