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E.O.E
Préparé & Présenté par
Monsieur MODI ADAMOU
1. Proposer une définition de l’entreprise faisant
apparaître sa fonction économique et sa finalité.
Quant à la méthode 20/80, elle consiste à classer les articles en stock en deux
(2) grandes catégories :
• La 1ère catégorie regroupe environ 20% des articles en stock mais assure
80% du chiffre d’affaires ou de la valeur ;
• La 2ème catégorie est composée d’environ 80% d’articles en stock mais
assure 20% du chiffre d’affaires ou de la valeur.
21. Quels sont les critères de
segmentation ?
Réponse : Pour réaliser efficacement une stratégie de segmentation, il
est nécessaire que les segments de demande satisfassent les
qualités suivantes :
• Possibilité de mesurer : on se réfère à la possibilité d’obtenir des
informations de caractère quantitatif sur les consommateurs qui
composent le segment ;
• Substantialité : la dimension du segment doit être suffisante pour
justifier l’adoption d’une politique spécifique de marketing ;
• Possibilité d’agression : on fait référence à l’affluence compétitive
du segment qui, s’il est excessif, compromet le succès de la
segmentation ;
• Accessibilité : disponibilité des ressources humaines, financières
technologiques, productives et commerciales compatibles avec les
exigences même du segment.
22. Quelles sont les variables de
segmentation ?
Réponse : Les paramètres de segmentation généralement utilisés sont les suivants :
• Géographiques : aire, région, et dimension de la commune ; ce premier critère de
segmentation se base sur les variables géographiques. L’hypothèse de base est que
les exigences de la demande sont différentes dans les diverses aires géographiques.
• Démographiques : âge, sexe, nombre élevé de familles et phase du cycle de vie de
la famille. Les variables utilisées sont l’âge, le sexe, la dimension et la phase du
cycle de vie de famille (célibataire, couple sans enfants, couple avec enfants
• Socio – économiques : classe sociales, instruction, travail, revenu, et profession du
chef de famille ;
• Comportementaux : Cela fait référence de manière spécifique au comportement
d’achat ; fréquence d’achat, fidélité au magasin et sensibilité à la publicité.
• Psychographiques : le style de vie, de valeurs, type de personnalité, les convictions
influencent le choix d’achat et de consommation.
• La segmentation de bénéfices : cette segmentation porte son attention sur les
avantages – bénéfices que l’acheteur cherche à obtenir en achetant un « produit –
service ». les segments ainsi identifiés consistent en des ensembles d’acheteurs qui
recherchent dans l’offre le même ou les mêmes attributs (bénéfices ou avantages).
Les bénéfices ou avantages peuvent être soit tangibles soit intangibles (prestige,
reconnaissance de statut, confort psychologique…).
23. Pourquoi dit- on que l’information est facteur de motivation
et cohésion sociale, de coordination et de cohésion
fonctionnelle et d’adaptation et de régulation de l’entreprise ?
Réponse :
• L’information, facteur de coordination et de cohésion
fonctionnelle :Dans la plupart des entreprises, le
principe de la division du travail est appliqué ; d’où
l’existence de différents services. Pour que l’entreprise
puisse fonctionner correctement, il est nécessaire de
coordonner les différentes activités (fonctions) entre les
services par des échanges d’informations.
Cette coordination informationnelle favorise ainsi la
cohésion fonctionnelle : l’information relie les
différentes fonctions entre elles.
Suite
• L’information, facteur de motivation et de cohésion sociale :
L’efficacité et la rentabilité d’une entreprise dépendent de sa principale
ressource : les hommes. Dès lors, motiver le personnel devient un
objectif primordial. L’atteinte de cet objectif passe par l’information
qui doit favoriser l’intégration du personnel dans l’entreprise. Celle –
ci doit communique pour mieux impliquer le salarié et accroitre
l’émulation.
L’entreprise étant un lieu de vie sociale, alors l’information doit
favoriser l’insertion et l’intégration des salariés dans l’entreprise,
approcher les personnes et améliorer les liens sociaux.
Pour ce faire, l’entreprise doit communiquer le sentiment
d’appartenance à l’entreprise, le sentiment d’unité et de solidarité
entre les salariés et des valeurs communes.
Suite
• L’information, facteur d’adaptation et de
régulation :
L’information permet à l’entreprise de mieux
s’adapter à l’accélération des mutations qui se
produisent dans son environnement.
Par ailleurs, l’information favorise l’ajustement des
sous – systèmes internes de l’entreprise.
Le rôle d’adaptateur et de régulateur de
l’information est très vital pour toute entreprise
qui se veut performante sur les plans techniques,
commerciaux, humains et financiers.
24. Quelles qualités doivent posséder les
informations pour fonder de bonnes décisions ?
Réponse : Pour assurer une parfaite gestion de l’entrepris, favoriser la prise de
bonne décisions et minimiser tout dysfonctionnement, l’information doit
être pertinente, objective, fiable et vérifiable.
• La pertinence de l’information : degré d’adéquation aux besoins de
l’utilisateur. Une information pertinente est une information utile, adaptée
aux problèmes posés. Par exemple, les clients classés par zone géographique
pour les représentants, mais par numéro de compte pour le comptable.
• L’objectivité de l’information : aptitude à rendre compte des faits. Une
information objective est une information qui donne une représentation
fidèle d’un objet.
• La fiabilité de l’information : fonction de l’âge de l’information, de son délai
d’obtention et de sa précision. Une information fiable est une information
complète, à jour, précise, exacte et conforme à la réalité.
• La vérifiabilité de l’information : possibilité de recouper, de retrouver
l’information.
A ces quatre critères classiques, l’on peut ajouter celui de la disponibilité : une
information disponible est une information immédiatement et directement
utilisable. En fin il faut aussi évaluer le coût de cette information.
25. Quelles sont les finalités d’un SI ?
2ème phase:
PROSPECTION 4. Choix des canaux de recrutement
5. Campagne de recrutement
Réponse :
• Entreprise véhicule du progrès technique : elle joue ce rôle parce qu’à tout
instant, elle doit chercher la combinaison capital – travail la plus efficace
c’est – à – dire innover pour l’élaboration des produits. Donc elle est source
du progrès technique qui va se diffuser dans l’économie.
• L’entreprise véhicule du progrès économique : a ce niveau, elle aura pour
souci d’offrir le maximum de produits au moindre coût. Cette efficacité est
considérée comme la condition sine qua non de la réalisation de son
objectif principal : maximisation du profit. Par ailleurs, l’entreprise peut
être un pôle de développement à travers la valeur et les emplois qu’elle
crée, les revenus qu’elle distribue.
• Entreprise véhicule de progrès social : a ce niveau, l’activité de l’entreprise
permet d’augmenter la satisfaction des consommateurs (production de
masse, baisse des coûts, qualité meilleure….). de plus, étant donné qu’elle
est source de revenus, elle crée un pouvoir d’achat pour les différents
acteurs.
40. Qu’est – ce que le SWOT ?
Réponse :
• Le positionnement est la détermination de la
place occupée par un produit et son image,
compte tenu de ses qualités propres, des attentes
de la clientèle, des images de la concurrence
perçues par la clientèle et des positions déjà
tenues par la concurrence. Il consiste à rechercher
la façon dont les produits et les marques sont
perçus par les consommateurs.
Suite
• Les outils quantitatifs du positionnement sont :
• L’effet d’expérience : le fondement de cette méthode est que l’entreprise
est compétitive si elle réalise les coûts les plus bas. Les études réalisées
montrent que le taux d’expérience se situe généralement entre 10% et
30%. Cela signifie que chaque fois que la production est doublée, le coût
unitaire baisse d’une valeur constante comprise entre 10% et 30%.
• Le cycle de vie du produit : il consiste en une représentation de l’évolution
des caractéristiques du marché d’un produit au cours du temps depuis son
introduction jusqu’à son retrait. Nous avons 4 phases principales :
lancement, croissance, maturité et déclin.
• Le modèle PIMS (Profit Impact of Market Stratéy)= Impact de la Stratégie
Marketing sur le Profit : il cherche à explique les différences de rentabilité
d’activités exercées dans des conditions industrielles et commerciales
variables. Donc l’unité d’analyse est définie comme une unité
opérationnelle vendant un ensemble de produit ou de services à un groupe
précis de clients, confrontée à un ensemble de concurrents spécifiques et
pour lequel il est possible de concevoir et mettre en œuvre une stratégie
spécifique. Il est à même de fournir une évaluation du taux de rentabilité
normale d’une activité donnée.
45. Les motifs de la diversification.
• Réponse : Description :
• La méthode BCG utilise les critères le taux de croissance du marché et la part de
marché relative alors que la méthode A.D. Little utilise les critères de Maturité du
secteur et la Position Concurrentielle.
• Le BCG a identifié 4 activités : Activités Vedettes ou « Etoiles » : qui garantissent le
développement et la rentabilité à moyen terme par leur potentiel de croissance
élevé. Donc il créent d’importantes liquidités mais requièrent en même temps
beaucoup de ressources pour assurer le maintien de la position concurrentielle sur
un marché en croissance rapide ; Activités Dilemmes ou « Point d’interrogation » :
assurent à long terme le renouvellement des produits et des marchés car ils
incluent des produits en phase de lancement ; activités Vache à lait : assurent la
rentabilité à court terme et fournissent l’autofinancement nécessaire à la
croissance future (développement de Dilemmes et des Vedettes). Donc elles
produisent plus de liquidités qu’elles exigent et permettent ainsi de financer
d’autres DAS ; Activités Poids Morts ou « Points d’interrogation » : correspondent
à la dernière phase de cycle de vie du produit. Ils continuent à être rentables mais
de façon déclinante (décroissante) et cela en immobilisant des ressources au
détriment des produits d’avenir. Elles constituent en quelque sorte des « Pièges » à
liquidité du fait de leur faible montant de liquidité créé et nécessaire au maintien
des opérations.
Suite
• Alors que la méthode A.D. Little identifie 5 activités :
Les unités dominantes qui possèdent une supériorité
évidente en raison de leur nombre d’atouts ; Les unités
fortes celles qui disposent de possibilités d’actions
importantes ; Les unités favorables tout en possédant
certaines forces, elles sont malgré tout contraintes par
les conditions créées par le leader du marché ; Les
unités défavorables celles qui font preuve de
défaillances dans la maîtrise des facteurs de succès
essentiels ; Les unités marginales qui ne doivent leur
survie qu’à la bienveillance des concurrents.
Fin
• Apport : La méthode BCG est utile pour fournir rapidement
une approche synthétique de la situation de l’entreprise. En
somme, ces préconisations donnent la ligne générale des
missions stratégiques adaptée à chaque cas au plan des
parts de marché : la maintenir ; l’accroître ; rentabiliser ;
s’en priver. La méthode A.D. Little, semble supérieure sur
deux points fondamentaux : Champ d’application plus
général car les modalités du jeu concurrentiel ne se limitent
plus au seul jeu des coûts et des volumes de production ;
effort de recherche de la part de l’analyste sur les éléments
décisifs de la position stratégique et de la concurrence
enrichissant ainsi la réflexion stratégique. Mais ces
avantages se paient au prix des difficultés à la fois
techniques et psychologiques des analyses
multidimensionnelles.
49. En fonction des critères suivants, donner les
catégories d’entreprises qu’on rencontre : statut
juridique & taille ou dimension.
Réponse :
• Statut juridique : on a les entreprises privées qui
appartiennent à des particuliers, les entreprises
publiques qui appartiennent à l’Etat et les
entreprises semi-publiques qui réunissent les
apports de capitaux des particuliers et de l’Etat.
• Taille ou dimension : on a les Petites entreprises,
les moyennes entreprises et les grandes
entreprises.
50. Expliquer très brièvement comment l’Etat peut
influencer le fonctionnement des entreprises.
Réponse :
• Étant donné que l’Etat mène la politique
économique dans l’économie, il a une grande
influence sur le fonctionnement des entreprises.
Par la fiscalité et la parafiscalité, il opère des
prélèvements qui infléchissent l’activité de
l’entreprise, sa rentabilité et son financement. La
fiscalité affecte l’entreprise dans ses résultats
(impôts sur les bénéfices), dans son patrimoine
(taxe professionnelle, droits d’enregistrement) et
dans ses opérations (TVA).
Suite
L’Etat s’efforce d’aménager la fiscalité soit, pour ne pas
entraver l’activité des entreprises et ne pas fausser
leurs choix (neutralité fiscale), soit pour orienter le
comportement des entreprises (incitations fiscales aux
investissements, à la concentration, à la
décentralisation, à l’emploi…)
La législation (lois) et la réglementation (décrets, arrêtés)
déterminent le cadre juridique de l’activité des
entreprises. Le code du commerce ou d’investissement
et le code du travail s’imposent aux entreprises. Donc
l’Etat, en conduisant la politique économique de la
Nation, affecte la vie des entreprises.
51. Comment se manifeste la fonction
économique de l’entreprise ?
Réponse : L’entreprise assure une fonction
économique à travers deux rôles majeurs :
• la création de richesse à travers la production
de biens et de services
• la création d’emploi
• la répartition de ces richesses à travers le
partage de la VA en revenus.
52. Quelle est la contribution de HERZBERG
dans l’étude de la motivation des salariés au
travail ?
Réponse : Pour HERZBERG (courant des relations humaines), le
contraire de l’insatisfaction n’est pas la satisfaction. En
conséquence, motiver des salariés en enlevant les éléments
d’insatisfaction ne sert à rien.
Il classe alors les sources de satisfaction des travailleurs en deux
catégories :
• les facteurs d’hygiène : ils sont liés à l’environnement du travail
(rémunération, relations sociales, ambiance, communication, …)
• les facteurs de motivation : ils sont liés au contenu du travail
(intérêt, autonomie, responsabilité,
• Pour lui, seuls les seconds sont source de satisfaction pour les
salariés. C’est donc sur ces facteurs que les politiques des
entreprises doivent se concentrer.
53. Faites ressortir l’importance de la
logistique pour l’entreprise
Réponse : la logistique permet :
• de coordonner la production et la commercialisation ;
• d’éviter les temps d’attente ou les ruptures de stocks durant la
production ;
• de mieux gérer les quantités stockées de matières et de produits ;
• de réduire les délais de production et de distribution ;
• de réduire les délais d’adaptation du produit aux besoins des
clients ;
• d’optimiser la gestion des flux d’informations ;
• la mise place de moyens assurant la traçabilité des produits
durant le processus d’approvisionnement, de production et de
distribution.
54. Qu’est – ce qu’un objectif SMART ?