Rudolf

Diesel
1858 - 1913

1892  –  L’ingénieur 
allemand  Rudolf  DIESEL  
dépose le brevet du moteur 
Diesel

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injecteur arbre à cames

soupape

piston

bielle

vilebrequin
 Soupape  Un cycle : 2 allers-retours  Soupape 
d’admission  du piston d’échappement 
ouverte. ouverte.
A E

admission compression injection échappement

détente
 Cycle de DIESEL

Le cycle théorique
§ Diagramme de Clapeyron ( p , V )
§ Diagramme entropique ( T , s )
§ Cycle réel
Les calculs ( hypothèse : gaz parfait )
§ Travaux
§ Bilan
§ Chaleurs
FIN
Rendement théorique
 Diagramme de Clapeyron
p

B combustion Système :
C masse m de fluide 
isobare aspiré en un cycle.
détente
compression adiabatique
W tot < 0
adiabatique D
refroidissement
isochore
A
V
V B V C V A Cycle MOTEUR
 Système :
Diagramme entropique
masse m de fluide 
aspiré en un cycle.
T
C
combustion détente
isobare adiabatique
B D
W tot < 0
compression
refroidissement
adiabatique
isochore
A
s Cycle MOTEUR
 Comparaison
p
T
B isobare C
C
isobare
adiabatique
B D

adiabatique adiabatique isochore

D
isochore
A
A
V s

Diagramme de Clapeyron Diagramme entropique
 Cas particulier d’un cycle 
TRAVAUX réversible décrit par un gaz 
p
parfait :
B
C
A B : adiabatique

et Premier Principe
adiabatique
D

A
V
 Cas particulier d’un cycle 
TRAVAUX réversible décrit par un gaz 
p
parfait :
B
C
C D : adiabatique

adiabatique

et Premier Principe
D

A
V
 Cas particulier d’un cycle 
TRAVAUX réversible décrit par un gaz 
p
parfait :
B
C
D A : isochore

D
isochore

A
V
 Cas particulier d’un cycle 
TRAVAUX réversible décrit par un gaz 
p
parfait :
B isobare
C
B C : isobare

A
V
 Cas particulier d’un cycle 
TRAVAUX réversible décrit par un gaz 
p
parfait :
B isobare
C
B C : isobare

A
V
 Cas particulier d’un cycle 
CHALEURS réversible décrit par un gaz 
p
parfait :
B isobare
C
B C : isobare

A
V
 Cas particulier d’un cycle 
CHALEURS réversible décrit par un gaz 
p
parfait :
B
C
D A : isochore

et Premier Principe
D
isochore

A
V
Cas particulier d’un cycle réversible décrit par un gaz 
parfait :
A B : adiabatique C D : adiabatique

B C : isobare D A : isochore

Chaleur reçue  par le fluide, au cours d’un cycle
Cas particulier d’un cycle réversible décrit par un gaz 
parfait :
A B : adiabatique C D : adiabatique

B C : isobare D A : isochore

Travail reçu  par le fluide, au cours d’un cycle ?
Cas particulier d’un cycle réversible décrit par un gaz 
parfait :
A B : adiabatique C D : adiabatique

B C : isobare D A : isochore

Travail reçu  par le fluide, au cours d’un cycle
Cas particulier d’un cycle 
réversible décrit par un  Relations 
gaz parfait :
A B : adiabatique C D : adiabatique

B C : isobare D A : isochore
 Du point de vue de 
p l’utilisateur …
B La « dépense » est Q B C !
C
isobare
adiabatique
Système
adiabatique
isochore D

A
V
CHALEURS
 Du point de vue de 
p l’utilisateur …
B
C
isobare Globalement, sur un 
adiabatique cycle, l’utilisateur reçoit 
Système du travail ….
adiabatique
mais fournit aussi  du 
isochore D travail

A
V
TRAVAUX La  « recette »  est  - W tot !
 Du point de vue de l’utilisateur …

La  « recette »  est  - W tot !
Rendement  h =
La « dépense » est Q B C !
 Du point de vue de l’utilisateur …

D’autre part:

U est une fonction d’état donc : 
 Du point de vue de l’utilisateur …

On en déduit :
 V A
Taux de compression volumétrique t :
p V B

B combustion V C
C Taux d’injection c :
V B
isobare
détente
compression adiabatique

adiabatique D
refroidissement
isochore
A
V
V B V C V A
 C D : adiabatique

D A : isochore

Soit :
C D : adiabatique

D A : isochore
 V A
Taux de compression volumétrique t :
V B

V C
Taux d’injection c :
V B

B C : isobare
 V A
Taux de compression volumétrique t :
V B

V C
Taux d’injection c :
V B

B C : isobare
A B : adiabatique
puis :
 Pour en savoir un peu plus …

Le rapport volumétrique de compression  est de l’ordre de 
20  de  sorte  que  le  rendement  d’un  moteur  Diesel  est 
meilleur que   celui d’un moteur fonctionnant selon le cycle 
de Beau de Rochas.

On constate, d’autre part,   que le rendement est meilleur si 
c reste petit ; il est important de garder c aussi proche que 
possible de 1 ce qui nécessite une combustion la plus brève 
possible.
Le rendement théorique est de l’ordre de 60 %.
Le rendement du cycle réel est deux fois moins élevé !