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Module d’auto-apprentissage
Séance N°3
Sujets :
LE TISSU CARTILAGINEUX
LE TISSU OSSEUX
Sous la direction de :
Pr Mounir Trabelsi
Tissus et développement embryonnaire
Pré-test
Pour bien préparer votre module, un pré requis est nécessaire. Vous devez avoir bien
préparé le tissu conjonctif
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2- Un tissu conjonctif
A- contient des fibres de collagène
B- contient des fibres élastiques
C- contient des fibres de réticuline
D- est entouré d’un épithélium pavimenteux simple
E- peut contenir des glandes
6- Le fibroblaste :
A. Est d’origine mésenchymateuse
B. Possède un cytoplasme basophile
C. En activié, est appelé fibrocyte
D. Synthétise les protéines de la substance fondamentale
E. Est une cellule mobile du tissu conjonctif
Réponses
LES OBJECTIFS
1) Le tissu cartilagineux :
1. Définir un tissu cartilagineux et décrire ses différents constituants.
2. Définir un cartilage hyalin.
3. Citer les différentes localisations du cartilage hyalin.
4. Décrire les particularités de la matrice du cartilage hyalin.
5. Décrire les particularités du cartilage articulaire.
6. Définir un cartilage élastique.
7. Citer les différentes localisations du cartilage élastique.
8. Décrire les particularités de la matrice du cartilage élastique.
9. Définir un cartilage fibreux.
10. Citer les différentes localisations du cartilage fibreux.
11. Décrire les particularités de la matrice du cartilage fibreux.
12. Définir un périchondre, décrire sa structure et ses fonctions.
13. Décrire les différents modes de croissance du cartilage.
2) Le tissu osseux :
1. Définir un tissu osseux.
2. Décrire les constituants élémentaires d’un tissu osseux : la matrice organique, la
matrice minérale et les cellules osseuses.
3. Décrire la structure du tissu osseux haversien.
4. Décrire la structure du tissu osseux spongieux.
5. Décrire la structure et les fonctions du périoste.
LE TISSU CARTILAGINEUX
INTRODUCTION :
a- La substance fondamentale :
b- Les fibres
2- Les cellules
a- Les chondroblastes
b- Les chondocytes
II- LE PERICHONDRE :
1- Le cartilage hyalin
2- Le cartilage élastique
3- Le fibrocartilage
1- Histogénèse du cartilage
2- Croissance du cartilage
a- Croissance appositionnelle
b- Croissance interstitielle
4- Evolution
LE TISSU CARTILAGINEUX
INTRODUCTION :
Le tissu cartilagineux est un tissu conjonctif spécialisé dont il diffère par les propriétés de sa
substance fondamentale ; celle-ci est un gel solide, déformable dans certaines limites.
Comme tous les tissus conjonctifs, il est formé par une substance fondamentale, des cellules
et des fibres. Il est caractérisé par le fait qu’il ne contient ni nerfs, ni vaisseaux sanguins et
lymphatiques. La matrice cartilagineuse est formée par les fibres et la substance
fondamentale.
a- La substance fondamentale :
Elle est constituée essentiellement d’eau (70 à
80%) et de protéoglycanes sulfatées. Les
protéoglycanes sont de volumineux complexes
formés d’un noyau protéique sur lequel viennent
se lier de nombreux glycoaminoglycanes. Ces
derniers sont de longues chaînes de
polysaccharides où un disaccharide est répété
plusieurs fois. Les principaux
glycoaminoglycanes sont la chondroïtine sulfate,
le kératane sulfate et l’acide hyaluronique.
Les protéoglycanes portent une charge négative Figure 1 : La matrice extracellulaire du tissu cartilagineux :
élevée qui leur permet d’attirer une grande présence de fibres de collagène et de protéoglycanes
quantité d’eau, conférant aux cartilages une
certaine élasticité. La MEC contient également des enzymes protéolytiques, de nombreux
facteurs de croissance et cytokines.
b- Les fibres :
Ce sont des fibres de collagène dans les cartilages hyalins ou fibreux (voir plus loin) soit des
fibres élastiques dans les cartilages élastiques. Les fibres de collagène sont constituées
essentiellement par des fibres de collagène de type I pour le cartilage fibreux et de type II
pour le cartilage hyalin.
2- Les cellules :
a- Les chondroblastes :
Les chondroblastes proviennent de la différenciation des cellules mésenchymateuses. Ce
sont des cellules immatures, jeunes et actives qui vont se différencier à leur tour en
chondrocytes. Les chondroblastes font partie du périchondre.
b- Les chondrocytes :
Les chondrocytes, constituent entre 1 à 10% du volume tissulaire selon la localisation. Les
chondrocytes sont de tailles et de formes variables, souvent arrondies ou ovalaires. Le
noyau est arrondi et central. Le cytoplasme est légèrement basophile, témoignant une
certaine richesse en organites. Les chrondrocytes sont enfermés dans des logettes sans
parois propres, les chondroplastes, qui peuvent être divisés en plusieurs logettes
secondaires par de minces travées de substance fondamentale.
L’aspect morphologique du chondrocyte varie en fonction de l’état d’activité de la cellule : il
peut être très actif (riche en organites) ou au repos (pauvre en organites).
Les chondrocytes synthétisent et dégradent l’ensemble des protéines de la matrice qui les
entoure (substance fondamentale amorphe et fibres).
Les chrondrocytes synthétisent des cytokines et des facteurs de croissance. Ils expriment de
nombreux récepteurs hormonaux comme par exemple : le récepteur à l’hormone de
croissance (GH), le récepteur à la vitamine D3, le récepteur aux œstrogènes.
Les chondrocytes peuvent se diviser pour donner d’autres chondrocytes.
II- LE PERICHONDRE :
Le périchondre est une formation conjonctivo-cellulaire vascularisée qui entoure les pièces
cartilagineuses. Cette enveloppe est formée par deux couches :
- Une couche externe, fibreuse, vascularisée, riche en fibres de collagène, avec quelques
fibres élastiques et de rares cellules d’aspect mésenchymateux.
- Une couche interne, cellulaire qui contient :
des fibres de collagènes à trajet arciforme, qui pénètrent dans la substance
fondamentale du cartilage, fixant solidement le périchondre au cartilage.
quelques capillaires sanguins
des cellules d’aspect mésenchymateux, à potentiel chondrogène : ces cellules
peuvent se multiplier, se transformer en chondroblastes, élaborer la matrice
cartilagineuse et devenir des chondrocytes lorsqu’elles sont complètement
entourées par la matrice.
En période de croissance, la couche cellulaire interne du périchondre est riche en cellules et
devient plutôt fibreuse quand la croissance diminue.
Le périchondre est absent au niveau des surfaces articulaires et des fibrocartilages.
1- Le cartilage hyalin :
Le cartilage hyalin est le plus répandu des cartilages. Il constitue la plus grande partie du
squelette fœtal et persiste au niveau du cartilage de croissance chez l’enfant et l’adolescent.
Chez l’adulte, le cartilage hyalin se trouve dans les cartilages articulaires, les voies
respiratoires (larynx, trachée, bronches) et les côtes.
Le cartilage hyalin est aussi appelé cartilage vitreux en raison de son aspect translucide. En
effet, la matrice est très abondante et très riche en eau (70 à 80%). La matrice du cartilage
hyalin contient des fibres de collagène peu abondantes et de petite taille. Il s’agit
essentiellement de fibres de collagène de type II qui sont consolidées par les collagènes de
type IX, X et XI les reliant les unes aux autres. Les fibres de collagènes forment un réseau à
mailles larges, non visible en microscopie optique (MO), car elles ont le même indice de
réfraction que la substance fondamentale, d’où l’aspect amorphe et homogène de la MEC du
cartilage hyalin. La matrice du cartilage hyalin est basophile, métachromatique et faiblement
PAS positive.
2- Le cartilage élastique :
Le cartilage élastique est localisé au niveau du pavillon de l’oreille, dans la trompe
d’Eustache, au niveau de l’épiglotte et dans les ailes du nez. Macroscopiquement, le
cartilage élastique diffère du cartilage hyalin par son opacité et sa teinte jaunâtre. Il présente
les mêmes cellules que le cartilage hyalin avec une densité cellulaire plus importante que les
autres cartilages. La matrice est riche en fibres, représentées essentiellement par des fibres
élastiques et des fibres de collagènes de type II. Les fibres élastiques ont une disposition en
réseau tridimensionnelle permettant au cartilage élastique de retrouver sa forme après
déformation.
1- Histogénèse :
Les tissus cartilagineux sont d’origine mésenchymateuse. Les cellules mésenchymateuses
se différencient pour donner des chondroblastes. Ces derniers sécrètent autour d’eux de la
matrice cartilagineuse. La cellule se trouve alors emprisonnée dans le chondroplaste et
devient chondrocyte. D’autres nouvelles
cellules mésenchymateuses s’ajoutent
aux premières contribuant ainsi à la
formation du premier foyer cartilagineux.
Le périchondre est également d’origine
mésenchymateuse. Il provient de la
différenciation du tissu mésenchymateux
autour du cartilage.
2- Croissance du cartilage :
(Figure 2)
La croissance du cartilage se fait soit par
apposition de cellules à partir du
périchondre soit par croissance
interstitielle.
a- La croissance appositionnelle :
Elle se fait à partir des cellules de la
couche la plus interne du périchondre. Figure 2 : Croissance du Cartilage : (a) Croissance
Les cellules se divisent et se différencient appositionnelle à partir du périchondre, (b) Croissance
en chondroblastes. Elles élaborent la interstitielle : formation d’un groupe isogénique axial et d’un
groupe isogénique conoraire
matrice cartilagineuse, où elles seront
emprisonnées, et apposent alors une
nouvelle couche de tissu cartilagineux sous le périchondre assurant ainsi une croissance en
épaisseur.
b- La croissance interstitielle :
Elle se fait à partir des chondrocytes ayant la capacité mitogène. A chaque division, le
chondrocyte donne deux cellules filles qui s’isolent en produisant la matrice cartilagineuse.
Selon le plan de division, on peut distinguer :
Des groupes isogéniques axiaux lorsque les divisions aboutissent à des cellules disposées
en un seul axe.
Des groupes isogéniques coronaires lorsque les cellules en division se disposent en
couronne en direction radiaires (plusieurs axes).
La croissance interstitielle est responsable de la croissance en longueur et en épaisseur du
cartilage.
Pour le cartilage articulaire, dépourvu de périchondre, la croissance ne peut se faire que
selon le mode interstitiel.
4- Evolution :
Au cours du vieillissement le cartilage subit certaines modifications :
- Baisse du nombre des cellules (chondrocytes et chondroblastes) qui restent
potentiellement actives
- Les fibres de collagène s’épaississent
- La substance fondamentale subi une certaine déshydratation
- La calcification du cartilage est une modalité évolutive fréquente. Elle est due à des
dépôts phosphocalciques dans la matrice extracellulaire qui devient plus riche en
kératate sulfate au détriment de la chondroïtine sulfate
LE TISSU OSSEUX
INTRODUCTION
1- La matrice osseuse :
a- La phase organique :
b- La phase minérale :
2- Les cellules :
b- Les ostéoblastes :
c- Les ostéocytes :
d- Les ostéoclastes
3. Le périsote et l’endoste :
a- Le Périoste
b- L’Endoste
LE TISSU OSSEUX
INTRODUCTION :
Le tissu osseux est un tissu conjonctif spécialisé. Comme tous les tissus conjonctifs, le tissu
osseux est formé par une substance fondamentale, des cellules et des fibres. La matrice
extracellulaire est imprégnée de sels minéraux principalement phosphocalciques, lui
conférant une consistance rigide.
Il est dur et cassant avec une élasticité limitée. Malgré son apparence minérale, le tissu
osseux est en perpétuel remaniement. Contrairement au tissu cartilagineux, il est parcouru
par un riche réseau vasculaire.
Le tissu osseux a une fonction mécanique de soutien et de protection de certains organes. Il
intervient également dans le métabolisme phosphocalcique.
1- La matrice osseuse :
La matrice extracellulaire de l’os est constituée de deux phases : une phase organique :
composées de fibre de collagène et de substance fondamentale, et une phase minérale :
constituée essentiellement par du phosphate de calcium.
a- La phase organique :
Elle est constituée par une trame collagène (90%) et de la substance fondamentale amorphe
(10%).
o Les fibres de collagène : Il s’agit essentiellement de fibres de collagène de type I, de
calibre et d’orientations variables suivant le type de tissu osseux.
o La substance fondamentale amorphe : Elle est constituée par des protéines non
collagènes et de protéoglycanes.
Les protéines non collagènes sont très peu abondantes. On distingue parmi ces
protéines : l’ostéocalcine, l’ostéonectine, l’ostéopontine, la fibronectine, …
Les protéoglycanes
b- La phase minérale :
Elle est formée par un complexe où prédominent le calcium et les phosphates. La plus
grande partie des ions calcium et phosphate se trouve sous forme de cristaux
d’hydroxyapatite. Ces cristaux ont la forme d’une plaque hexagonale. Chaque cristal
représente une unité fonctionnelle pour les échanges ioniques. Les cristaux sont disposés
d’une façon ordonnée le long des fibres de collagène, dans les interstices des fibres de
collagène. Les ions calcium et phosphates à la surface des cristaux peuvent être mobilisés
pour circuler dans le sang et participent à des échanges avec le milieu interstitiel. L’os
représente un réservoir de calcium et joue un rôle primordial dans le métabolisme
phosphocalcique. La minéralisation de la MEC est à l’origine de la rigidité de l’os qui contient
98% du calcium et 90% du phosphate de l’organisme.
2- Les cellules :
Les cellules de la MEC sont représentées par les cellules ostéoprogénitrices, les
ostéoblastes, les ostéocytes, les ostéoclastes et les cellules bordantes.
b- Les ostéoblastes :
Les ostéoblastes sont des cellules mononuclées de forme cubique ou polygonale. Le
cytoplasme est basophile riche en organites. L’ostéoblaste est une cellule ostéoformatrice se
trouvant en périphérie de l’os. Au contact de la face appliquée sur la surface osseuse,
l’ostéoblaste possède des prolongements cytoplasmiques qui s’enfoncent dans la matrice
osseuse. Ces prolongements sont en contact avec ceux des ostéocytes par des jonctions de
type gap. L’ostéoblaste possède un riche équipement enzymatique : la phosphatase alcaline
y est particulièrement abondante.
L’ostéoblaste est une cellule ostéoformatrice qui assure la synthèse des fibres et des
constituants de la substance fondamentale amorphe : l’ensemble constitue la substance
ostéoïde ou substance préosseuse qui sera minéralisée par la suite. L’ostéoblaste intervient
également dans la minéralisation de substance ostéoïde grâce aux phosphatases alcalines.
En synthétisant la MEC, l’ostéoblaste s’enferme en s’entourant de la matrice osseuse et se
transforme alors en ostéocye.
c- Les ostéocytes :
L’ostéocyte est un ostéoblaste différencié, incapable de se diviser et entièrement entourée
par la MEC osseuse minéralisée. L’ostéocyte est une cellule de forme ovoïde ou fusiforme
de plus petite taille que l’ostéoblaste, à grand axe parallèle à la surface osseuse. L’ostéocyte
est enfermé dans une cavité à l’intérieur de la substance osseuse appelée ostéoplaste. Le
noyau de l’ostéocyte est central, ovoïde. Le cytoplasme est peu abondant avec une
basophilie variable selon l’état d’activité de la cellule. L’ostéocyte possède peu d’organites
par rapport à celui de l’ostéoblaste actif impliquant une activité moindre de synthèse des
protéines. L’ostéocyte possède des prolongements cytoplasmiques situés dans de fins
canalicules radiaires anastomotiques faisant communiquer les ostéoplastes entre eux et
avec les ostéoblates. Des jonctions de type gap existent entre les prolongements
cytoplasmiques des canalicules voisins, réalisant un réseau cellulaire très étendu permettant
une surface d’échange considérable avec la matrice.
Les ostéocytes jouent un rôle dans l’homéostasie phosphoscalcique et participent au
remodelage osseux. En effet, les ostéosytes sont capables d’une faible activité de synthèse
de tissu ostéoïde et de résorption du tissu osseux.
a- Le périoste :
Le périoste est composé de deux couches :
Une couche externe fibreuse vascularisée : les fibres de collagène ont une direction
longitudinale, parallèle à la surface de l’os.
Entre les fibres de collagène se trouvent
quelques fibres élastiques et de nombreux
vaisseaux sanguins.
Une couche interne ostéogène : elle
est constituée par des fibres élastiques plus
nombreuses qu’au niveau de la couche
externe et des faisceaux de fibres de
collagène à trajet oblique et arciforme. Ces
fibres poursuivent leur trajet dans le tissu
osseux superficiel où elles constituent les
fibres de Sharpey responsables de la forte
cohésion du périoste à l’os. Au niveau de la
partie profonde de la couche interne, existe
des cellules à potentialité ostéoblastiques.
Ces cellules sont responsables de
l’élaboration du tissu osseux périosté, en Figure 7 : Diaphyse d’un os long en coupe
particulier le système fondamental externe des transversale : 1.Couche externe du périoste, 2.Couche
diaphyses. interne du périoste, 3.Système fondamental externe,
En dehors de la période de croissances, le 4.Ostéone, 5 et 6.Systèmes interstitiel, 7.Système
fondamental interne, 8.Endoste, 9.Cavité médullaire
périoste est plus mince et ne possède plus
d’activité ostéogène.
b- L’endoste :
L’endoste est une fine couche cellulaire qui recouvre les cavités internes de l’os compact et
les trabécules de l’os spongieux. Cette couche cellulaire contient des cellules bordantes et
des cellules ostéoprogénitrices capables de se transformer en ostéoblastes.
Evaluation
2- Le cartilage
A- est dit hyalin quand il est riche en fibres de collagène
B- est dit élastique quand il est riche en fibres élastiques
C- est dit fibreux quand il est riche en cellules
D- fibreux se rencontre dans les ménisques
E- fibreux se rencontre dans les disques intervertébraux
4- Le périchondre
A- est présent dans le tissu osseux
B- est formé de 2 couches, cellulaire interne et fibreuse externe
C- est responsable de la nutrition du cartilage
D- est vascularisé
E- contient une couche de chondroplastes
5- Les chondrocytes :
A. Sont enfermés dans des logettes appelées chondroplastes
B. Se différencient en ostéoclastes
C. Synthétisent les protéines de la matrice extracellulaires
D. Expriment des récepteurs hormonaux
E. Dérivent des ostéoblastes
6- Le cartilage :
A- Est d’origine mésenchymateuse
B- Sa substance fondamentale contient des protéoglycanes
C- Sa croissance interstitielle se fait à partir du périchondre
D- Contient des ostéocytes
E- Contient une matrice cartilagineuse non vascularisée
7- Un os primaire
A- est très résistant
B- est le premier type d'os à être formé
C- est présent chez le fœtus
D- est caractérisé par la présence de lamelles osseuses
E- se rencontre, chez l'adulte, au niveau des fractures osseuses
8- un ostéone
A- se rencontre dans le cartilage fibreux
B- se rencontre dans l'os primaire
C- se rencontre dans l'os lamellaire
D- est une structure non vascularisée
E- est formé de lamelles concentriques, centrées par le canal de Havers
15- Par quels types de canaux se fait la communication des canaux de Havers :
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16- Donner une particularité du tissu osseux primaire le différenciant du tissu osseux
secondaire :
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18- Par quels types d’artères est assurée la vascularisation du tissu osseux :
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Travaux pratiques 3
Nous allons nous intéresser à l’arc cartilagineux de la trachée : il s’agit d’un arc de
cartilage hyalin ouvert du côté postérieur au niveau du muscle trachéal. Nous
distinguons au niveau du cartilage :
- Des chondrocytes logés dans leurs chondroplastes, groupés en groupes isogéniques
coronaires ou axiaux.
- Une substance fondamentale (intercellulaire) plus basophile autour des
chondrocytes.
- Des fibres de collagènes non visibles
- Un périchondre qui entoure le cartilage et qui est constitué :
o D’une couche fibreuse externe
o D’une couche cellulaire interne (chondrogène)
La lumière de la trachée est tapissée par un épithélium pseudostratifié de type
respiratoire qui repose sur un chorion glandulaire.
Il s’agit d’une coupe transversale du fémur. Nous pouvons distinguer au niveau de cette
lame deux types d’os secondaires lamellaires :
Références : Livres :
- HISTOLOGIE, Jean Pierre Dadoune, 2ème édition, Médecine-Sciences, Flammarion
- Précis de CYTOLOGIE ET D’HISTOLOGIE, Georges Grignon, ellipses
- HISTOLOGIE FONCTIONNELLE, Paul R. Wheater et H.Goeorge Burkitt et Victor G Daniels, 2 ème édition,
MEDSI/McGRAW-HILL