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1. PROBLEMATIQUE
2. HYPOTHESES
Les hypothèses ne sont que de manière générale une façon de nous faire voir
qu’en utilisant le pompage à cavités progressantes nous pouvons avoir un bon
rendement. Cette dernière est plus utilisée en vue de faciliter un bon refoulement de
pétrole brut à la surface.
Nous avons opté pour ce sujet en vue d’accroitre notre connaissance par
rapport aux modes d’activation d’un puits surtout le mode par pompage en
particulier le pompage à cavités progréssantes (PCP). Le principal intérêt est
d’approfondir nos connaissances en matière de la production pétrolière et d’analyser
des capacités des modes d’activation de puits pétrolier.
4. SUBDIVISION DU TRAVAIL.
Notre travail qui a pour sujet « Etude du rendement d’un puits pétrolier activé par le
pompage à cavités progressantes (PCP) » à part de l’introduction et la conclusion,
votre travail est subdivisé en trois chapitres notamment :
Chapitre III : Activation d’un puits par le pompage à cavités progressantes (PCP)
CHAPITRE 1 : GENERALITES SUR LA PRODUCTION DES PUITS
PETROLIERES.
I.1. INTRODUCTION
Ceux-ci sont forés pour extraire du pétrole, du gaz, et, dans plusieurs
cas, de l’eau de formation. A cette catégorie on rapporte également les puits
d’injection, d’évaluation, témoins et piézométriques.
Les puits d’injection servent à pomper de l’air, des gaz ou des produits
chimiques dans les gisements productifs soit pour maintenir la pression, soit pour
diriger le pétrole vers les puits de production par la force hydraulique ou par une
élévation de pression. Un puits injecteur est un puits dans lequel on injecte des
fluides au lieu d’en produire.
• Isoler les zones productrices pour empêcher toute communication avec le fluide.
Le nombre de sacs de ciment à utiliser pour l’élaboration d’un forage pétroliers est
donné par la relation suivante :
Ns=VL/y
Avec :
VL : le volume du laitier
y : le rendement
La pression du fluide dans le fond d’un puits est une combinaison de trois
paramètres :
Un écoulement à bulles
Avec un écoulement monophasique, tous les gaz sont dissous dans le fluide. Ceci
arrive quand la pression du fluide est plus élevée que le point de bulle. Donc si la
pression dans le tubing jusqu'à la surface est plus élevée que le point de bulle, le
fluide aura un écoulement monophasique dans le puits.
Un puits injecteur est un puits dans lequel on injecte des fluides au lieu
d’en produire. L’objectif qui est d’injecter des fluides, est normalement le maintien
de la pression sur le réservoir et/ou son balayage. Deux types d’injection sont
communs : gaz et eau. Il est possible d’utiliser du gaz qui provient de la séparation.
II.1. GENERALITES
Cette classification est à la fois technique et économique. Dans tous les cas, il
s’agit plus des resserves récupérables et non des resserves en place.
Cette influence est réelle dans un grand nombre de cas. Considérons les trois
exemples suivants :
En réalité, dans tous les cas interviennent les facteurs économiques, ainsi que
ces services de conservation des gisements, qui font que la solution choisie soit
intermédiaire entre les deux précédentes.
II.2.5. COEFFICIENT DE COMPRESSIBILITE DES FLUIDES : EXPANSION DES FLUIDES
Les ordres de grandeurs pour l’huile, l’eau et le milieu poreux sont les
suivants :
CO=1 à 3.10-4 bar-1
CW=0.4 à 0.6 10-4 bar-1
Cp=0.3 à 1.5 10-4 bar-1
Quant à la compressibilité du gaz, elle est de la forme :
1
Cg
P
dP dV 1
+ ≈ 0et Cg
P dV p
Dans la roche réservoir, peuvent se trouver en présence deux ou trois fluides, dont
les proportions peuvent varier lors de l’exploitation. Lorsque la pression baisse, il
apparait une phase gazeuse croissante (cas des huiles à des pressions inferieurs au
point de bulle) ou une phase liquide d’hydrocarbures (cas des gaz à condensat
rétrograde), ou encore une phase liquide gazeuse provenant d’une aquifère sous-
jacente.
drainés facilement dans le milieu 1 qui est perméable, et qui est de plus continu, alors
que ceux du milieu 2 vont se déplacer beaucoup plus lentement et vont être fonction
de l’imbibition liée à cette hétérogénéité. Au total, la récupération sera plus limitée.
Figure 2 : Hétérogénéité du réservoir (René COSSE 1988)
La plupart des gisements déjà exploités ont permis d’obtenir les chiffres de
récupération (réserves récupérées par rapport aux quantités en place) regroupés
dans le tableau ci-contre. Les fourchettes de récupération pour chaque type de
gisement proviennent des qualités des fluides, des conditions thermodynamiques,
des qualités pétro physiques, des variations dues à l’architecture et aux
hétérogénéités du gisement, ainsi qu’au rythme de production.
Tableau 2.2 : Récupération en fonction de type des gisements (René COSSE 1988)
Apres complétion des puits, les hydrocarbures peuvent être produits en surface, ils
quittent le réservoir et circulent dans les puits sous l’effet du différentiel entre la
pression de gisement et la pression de fond de puits. Au fur et à mesure de la
production, la pression de gisement chute, réduisant d’autant la capacité éruptive
des hydrocarbures et de l’huile en particulier.
I.3.2.1. GENERALITES
Dans les années 1988, compte tenu de prix du brut, les procédés classiques
en général, et parfois la vapeur et les méthodes miscibles étaient intéressantes au
plan économique. Les autres procédés font l’objet cependant des nombreuses études
et de mise en œuvre des pilotes expérimentaux.
II.3.2.2. FACTEURS INFLUANT SUR LA RECUPERATION
A.1. PERMEABILITE
Une injection est réglée essentiellement par le volume de fluides disponibles, le type
de fluide injecté et la configuration des puits d’injection.
B.1. VOLUME DE FLUIDE INJECTE
Si ce volume est égal, en condition de fond, au volume des fluides (de l’huile, du gaz
et d’eau) produits, on parlera de maintien de pression ; et si le volume injecté est
supérieur, il s’agit d’une recompression : cas d’un gisement très déplétif. Mais le
volume injecté est d’abord fonction de source d’injection possible (niveaux aquifère,
gaz de production associé ou niveaux gazifière), et le maintien de pression n’est pas
toujours possible.
L’efficacité de l’injection sera d’autant meilleure que celle-ci est mieux répartie et
balaye le maximum d’huile, et sera donc fonction aussi du nombre de puits.
L’optimum technico-économique nous fournira le nombre de puits à forer.
B.2. TYPES DE FLUIDE
Comme nous l’avons déjà souligné, l’injection est plus efficace que si le fluide est plus
visqueux et donc le rapport de mobilité est faible. L’eau sera un bon vecteur pour les
huiles légères, moins bon pour les huiles plus visqueuses, et de toutes les façons le
gaz injecté balaiera mal l’huile en place, sa viscosité étant très faible.
B.3. DIFFERENTES CONFIGURATIONS D’INJECTION (PATTERNS)
La disposition relative des puits d’injection dépend de l’aspect géologique du
réservoir, de son contenu en fluide, et de l’importance du volume de roches
imprégnées qu’il faut balayer.
a) INJECTION GROUPEE :
Dans un réservoir présentant une pente, on cherche à disposer les puits d’injection
de façon que la pesanteur rende le déplacement aussi régulier que possible.
Notamment dans le cas où le gisement présente un gas-cap et/ou un aquifère, il est
intéressant d’injecter du gaz dans le gas-cap, soit de l’eau dans l’aquifère proche de
l’interface eau-huile (injection périphérique).
En effet, les interfaces se déplaçant tel qu’un « piston » sur des surfaces
considérables et vont avancer lentement et régulièrement et jusqu’à ennoyer les
puits que tardivement, ce qui est souhaitable. On parle alors d’injection groupée. A
noter de plus que l’injection sera maximale : pas de perméabilités relatives.
b) INJECTION DISPERSEE :
Le choix d’un schéma est déterminé par calcul ou par simulation sur
modèle. Mais ceci est théorique. En réalité, il faudra réapprécier les hétérogénéités
diverses : elles ne seront reconnues que progressivement avec les forages successifs.
D’où une adaptation du schéma réel par rapport au schéma prévisionnel de base :
études faites sur modèles. Le problème de drainage lié aux failles éventuelles sera à
considérer attentivement.
II.3.3. INJECTION D’EAU (WATER FLOOD)
C’est le procédé le plus ancien (fin du XIX e siècle), et encore le plus
employé. Son but est d’augmenter la récupération, mais aussi d’accélérer la
production, ou plus précisément de diminuer son déclin. Le moyen utilisé est souvent
le maintien de pression. L’injection peut être soit du type reparti dans les zones à
huile, soit du type périphérique dans un aquifère existant.
A. ASPECTS TECHNIQUES ET ECONOMIQUES
III.1. INTRODUCTION
Ils existent Les pompes aux tiges : c’est une pompe volumétrique de
fond est actionnée depuis la surface par l'intermédiaire de tiges et d'un système de
va-et-vient ou c’est une pompe dont la force motrice qui déplace du pétrole d'un
réservoir vient de l'énergie naturelle des liquides comprimés conservés dans le
réservoir. La pompe centrifuge : La pompe centrifuge est une pompe qui doit être
descendue jusqu’à sa cote dans le casing, suspendue à l'extrémité du tubing de
production.
L'énergie électrique est acheminée au moteur par un câble déroulé et
fixé par des colliers au tubing au fur et à mesure de la descente de celui-ci En surface,
une tête de tubing spéciale munie de joints d'étanchéité permet la sortie du câble à
l'extérieur vers une armoire de commande.
Rotor et stator ont des formes en tire-bouchon mais avec des pas
différents de spire. La rotation de l’un dans l’autre génère des cavités qui se forment
à l’aspiration de la pompe puis se déplacent le long de l’axe tout en restant isolées les
unes des autre jusqu’au refoulement de la pompe. Les cavités se remplissent
facilement, ce qui convient bien aux fluides visqueux. Le rotor est actionné depuis la
surface par un train de tiges entrainé en rotation par un moteur fixé sur la tête de
puits.
Une pompe volumétrique est une pompe dans laquelle une certaine
quantité de fluide « emprisonnée » est forcée à se déplacer jusqu’à l’orifice de sortie.
Le débit d’une pompe volumétrique est proportionnel à la vitesse d’actionnement de
ses éléments mobiles et dépend très peu de la pression de refoulement (par contre,
l’énergie consommée par la pompe est proportionnelle à la différence de pression
entre la sortie et l’entrée de la pompe). Les pompes volumétriques ont une grande
diversité. Dans les bases de données de brevets, elles portent le nom de « pompes à
déplacement positif ». L’écoulement résulte de la variation d’une capacité occupée
par le liquide.
Figure 3.1. La pompe volumétrique (Total 2007)
III.2.1.2. CARACTERISTIQUES
Une pompe est capable de fournir une charge au fluide, mais cette
charge n’est pas fixe. Pour la plupart des pompes, elle diminue fortement lorsque le
débit augmente. La relation entre le débit passant et la charge fournie est appelée
courbe caractéristique de la pompe. Cette courbe est donc une description précise du
fonctionnement d’un modèle de pompe donné, dans un régime moteur donné.
Elle est toujours fournie par le fabriquant. En plus de cette courbe, le
fabriquant fournit généralement une courbe de rendement, qui fournit l’efficacité
énergétique de la pompe en fonction du débit. Cette courbe a toujours un maximum,
qui constitue le régime idéal de fonctionnement de la pompe. Les pompes
volumétriques possèdent des caractéristiques très abruptes. Le débit de refoulement
Q est pratiquement indépendant de la hauteur de refoulement H. La hauteur de
refoulement maximale Hmax est limitée la plupart du temps par une soupape de
limitation de la pression ou une soupape de sécurité. C’est pourquoi le débit de
refoulement est pratiquement indépendant de la caractéristique de l’installation.
Les frottements mécaniques existent sur tous les types de pompes malgré le soin
apporté à leur conception. Ils se produisent au niveau : du guidage en rotation de
l'arbre : dans les paliers, roulements et joints, des éléments réalisant le pompage :
palettes, pistons, ou engrenages. Les frottements visqueux se produisent à tous les
endroits où le fluide est cisaillé : conduits sinueux, systèmes de distribution. La
conséquence est que pour une pression de refoulement effective P imposée à la
pompe (en plus de la pression atmosphérique), le couple réel absorbé Crée par son
arbre est plus important que le couple théorique Cth.
C th
ηméc = Fuites internes et compressibilité du fluide Le débit de fluide
C réel
refoulé Qs =Qréel (dans le circuit) par la pompe est plus faible que le débit aspiré Qs = Qth
à cause : de la pression de refoulement : le volume occupé par le fluide dépend de la
pression car il est légèrement compressible. Des fuites internes à la pompe : une
partie du fluide aspiré retourne à la bâche (réservoir) et n'est donc pas refoulé dans
le circuit hydraulique.
η global=η méc . η
vol= puissancehydrauliqueen sortie de pompe
puissance mécanique fourniesur l 'arbre
E
H= (m)
G
III.2.2.1. INTRODUCTION
Une pompe centrifuge est constituée par : une roue à aubes tournant autour
de son axe un distributeur dans l'axe de la roue un collecteur de section croissante,
en forme de spirale appelée volute. Le liquide arrive dans l'axe de l'appareil par Le
distributeur et la force centrifuge, générée par la rotation de la roue à aubes, le
projette vers l'extérieur de la roue. Il acquiert une grande énergie cinétique qui se
transforme en énergie de pression dans le collecteur où la section est croissante.
ventilé, le rendement ηtot est compris entre 30% et 80%. Sur la courbe de pompe, le
rendement instantané varie également entre zéro et une valeur maximale. Lorsque la
pompe fonctionne avec vanne fermée, on obtient une forte pression, mais le
rendement d’une pompe est nul car aucun débit d’eau ne circule. Le même
phénomène s’applique dans un tube ouvert. Bien que le débit d’eau soit important, il,
n’y a pas de pression et le rendement est nul. Courbe de pompe et rendement.
Q [m³/h] = Débit
H [m] = Hauteur de refoulement
P2 [KW] = Puissance à l’arbre de pompe
367 = Constante
ρ [kg/dm³] = Densité du fluide
Le rendement (ou performance) d’une pompe dépend de sa conception.
Figure3.5. Courbe de rendement d’une pompe centrifuge.
- l’environnement général ;
- l’architecture du puits ;
L’équipement de surface ;
L’équipement de fond.
III.4.2.1.1. Equipement de surface
Les éléments qui forment la partie intégrante de l’équipement de surface d’une
pompe à cavité progressantes (PCP) sont ceux énumérés ci-après :
A. La tête de pompage (Flow tee)
Elle joue la fonction de tête de puits et est composée d’un Té forgé. Son rôle consiste
à évacuer l’effluent par sa sortie latérale raccordée à la ligne de conduite (flow line).
L’autre sortie supérieure est vissée à la tête de commande (drive Head) .
B. Le système de commande (drive system)
Dans un système de pompage à cavités progressantes, le système de commande est
doté d’un certain nombre d’éléments en l’occurrence :
- Le moteur d’entrainement ;
- Le réducteur de vitesse (speed réduction) ;
- La tête de commande (drive Head).
a. Le moteur d’entrainement
Différents types de moteurs sont utilisés pour faire actionner cette installation. Les
plus courants sont les moteurs diesel, hydraulique et électrique.
b. Le réducteur de vitesse (speed reduction)
Il permet d’obtenir la vitesse de rotation désirée de la pompe et de transmettre le
couple à l’arbre de commande (shift drive).
c. La tête de commande
D’après la classification PCM, un total de 8 têtes de commande peut être sélectionné
en fonction du type et du poids de la tête de commande.
En effet, trois paramètres fondamentaux de commande sont désignés ; il s’agit de :
Vs, VH et RH.
La désignation normalisée relative pour les têtes de commande s’interprète comme
suit :
V = vertical ;
- S = Solide ;
- H = Axe creux ;
- R = Angle droit
En effet, cette même désignation intéresse les éléments comme :
- La puissance maximale (HP) ;
-La charge axiale maximale.
Tableau (III-1) : puissance et charge maximale en fonction de type de tête de
commande (PCP, 2004).
Command Solid Axe creux Angle droit
VS 25HP 4T VH 25HP 4T RH
Avec :
- E : excentricité (m)
- D : diamètre (m) ;
- Ps : pitch du stator ;
- N : nombre de tours (RPM). (PCM,)
CONCLUSION
Nous voici au terme de notre travail de fin de cycle, d’où nous avons porté notre
choix sur le sujet intitulé « Etude du rendement d’un puits pétrolier activé par le
pompage à cavités progressantes (PCP) » ce sujet nous a amené à approfondir nos
connaissances dans le domaine de production en particulière sur les modes activation
d’un puits pétrolier.
L’équipement de surface ;
L’équipement de fond.
Les équipements de fond d’un système de pompage à cavités progressantes
comprennent deux parties essentielles ; à savoir :
Les éléments du train de tubing et ;
Les éléments du train de tiges.
Le débit d’un PCP dépend du diamètre du rotor (D), de l’excentricité de la pompe (E)
et de la longueur du pitch (Ps), multiplié par la vitesse de rotation. Notons que le
pitch (Ps) est la distance de déplacement du volume d’une cavité pour une rotation
du rotor. Quand la pompe est entrainée en rotation, les volumes de fluide contenu
dans la cavité sont déplacés à une hauteur égale.
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