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itinéraire

d'un insoumis
Sommaire

Le sommaire ne sera pas aborder de manière linéaire

La liberté et l'école

Le harcèlement scolaire

Le monde du travail

A la recherche de sois

La société opprimante

Qui suis-je?

La case psychiatrie

Savoir et osé être toi , développement personnelle


et ces outils du mieux être.

La différence invisible

Alternatives divers

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Introduction

il s'agit bien d'un itinéraire de vie non linéaire don il


sera question dans ce livre, d’une approche bien
singulière et de son partage bien altruiste. Êtes-vous
certains d'être à votre vraie place dans la société
industrialisée ou d'en avoir une?, et d'être libre et
maître de votre cheminement de vie ?, pour peut que
vous l'ayez trouvé, bonne question me diriez-vous.
Bien plus qu’un exutoire je relate ici un chapitre non
arrêté et continu d'une existence, d'un être différent
sur le plan philosophique et spirituel, comme un
épisode critique de soi à vie de ces errances sociales,
affective, médicale ,éducative , instructive, matériel et
risques adjacent divers et varié, comme le
harcèlement scolaire par exemple et social, contre vent
et marée. C'est une approche critique systémique de
notre environnement de la société humaine
contemporaine que je propose ici, une vision différente,
d'une révolte et d'une découverte intérieure de la
sacro-sainte libre-pensée d'un insoumis profondément
atypique, de récits vécus et de développement
personnelle. Bienvenue aux rebelles, aux dissidents, à
la neuro-diversité, les gens asperger, ou TDAH , voir
les sur-efficients mentaux et intellectuelle associé ou
non.
Toi qui me lis bienvenue, sache que le hasard n'existe
pas …..
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Voici un voyage dans un monde bien étrange que celui
d'un humain anticonformiste, vision revisitée d'un
inadapté sociale que je suis toujours, tel est la
représentation de l'écosystème que fut le mien dans un
voyage plein de promesses, d'espérances, de
désillusions, de rebondissements. Enfant de la
république française mes parents comme dans toutes
sociétés dites civilisées te font se qu'ont leurs a fait à
eux, à dire conditionné ta manière de pensées, t'inclure
dans un système sauvage hyper compétitif, tel est ton
futur cheminement promis, la compétition.
Bien au de la des apparences à dire t'apprendre à lire
et à écrire, je me souviens de cet univers étrange ou
l'on me força à adhérer à côtoyer d'autres humains dis
desdits camarades ou assujettis comme tel, bien
inconscient alors à cet âge (6 ANS) de la classe du
primaire ce que cela représente. Je devais obéir faire
confiance, tel était le minimum à consentir envers mes
aînés, à l'envers de cette confiance qui me fut enlevée
à défaut de m'en inclure, de l’asseoir durablement
pour un avenir serein. Un jour bien différent, un matin
pas comme les autres, midi arriva, on se range pour
partir à la cantine, je fugue ne sentant pas
véritablement ma place évidente dans ce monde
étrange, je décidai de quitter la meute, ce petit garçon
que j'étais pris son cartable et pris à gauche, seul, en
route pour retrouver sa maison à plusieurs kilomètres,
bien innocent insouciant comme un gamin de cet âge
du danger de la route nationale,
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une adulte femme du village m'a recueilli dans sa
voiture via la maison parentale, cour répit, mon
retour dans ce centre de conditionnement était
inévitable, le ton était donné je n'adhère pas à l'école
de la république.
Bien entendu on n'est d'accord adulte maintenant il est
convenu que toutes libertés à ses limites, sinon c'est la
porte ouverte au laxisme, tout ne peut pas être dit, les
dérives nombreuses le non-respect de l'autre des
conventions sociétale sont choses promises, une
certaine cohésion semble indispensable entre humains,
mais qu'en n'est-il d'instiguer un libre-pensée
individuelle réelle?, de choisir pour soi?, ce choix pas
consenti. L'école à défaut d'être une ouverture au
monde, et sur soi surtout fut une entrave à mon
développement à son émancipation propre, mon mode
de vie de liberté s'écroula furieusement par la force et
dû au jeune âge, je dus subir à défaut d'une sphère
familiale solide protectrice, le harcèlement scolaire
s'ensuivit, pourquoi?, qu'elle était la raison profonde
autre que mon apparence décalée, je suis métissé, une
instrumentalisation le bouc émissaire, j'étais le vilain
petit canard, négro, noiraude, mes surnoms, ma
couleur de peau semble-t-il n'était pas la raison
profonde, que le mobile sordide de surface,
l'inconscient régit sa loi en toute impunité imposant
ces directives, devais-je leurs en vouloir?; je me sentis
à part s'en savoir pourquoi, mes camarades eux ils
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s'intéressent aux voitures, au foot, mes intérêts furent


différents, dinosaures, l'univers, histoire etc, mais
l'apprentissage du système me fuit, j'étais un cancre,
double sentence, question de concentration entravée,
la court de récréation fut la désignation du
collimateur, l'école était telle la seule responsable?,
aujourd'hui il est évident que non, j'y reviendrais plus
loin, l'accueille au monde de l'enfant dans sa famille
originelle et primordiale tout autant, un miroir une
résultante intérieure visible dans l'apprentissage,
dans l'univers de Jules ferry, l'école était mordicus, je
cherchais des alliés. Il est relaté si haut le début d'une
aventure de l'immersion dans le moule conformiste,
j'étais rejeté, je le rejetais autant en cachette dans le
silence absolu, question de survit probablement, ma
rébellion était fini en apparence faute d'une ossature
familiale forte et dite pérenne, aucun allié n'est en vue.
Cette petite rétrospective une fois adulte
parfaite en compréhension du pourquoi d'un tel
périple et de ces fondements ainsi que ces raisons
adjacentes, force de constater que ces entraves, ces
souffrances, et les épreuves vécues font de toi un
guerrier de la vie, ce qui te tue pas te rend plus fort
l'adage dit. Le hasard n'existe pas c'est un fait, soyons
philosophe, certaines épreuves te forgent. Le
moule il est bien question de lui, te conformer
durablement à ces attentes, je me souviens en école
primaire encore pleins de son empreinte me diriez
vous, car inévitablement elle reste gravée à vie chez
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un jeune garçon de cet âge rentrant à l'école en cours


d'années, c'était le fils de forains venues pour la fête du
village, une nouvelle façon d'être, un bout d'un ailleurs,
chouette je me suis dit, voulant un copain, je pris
l'initiative de l'accueillir, lui le voulait- il?, je pris le
risque, les autres enfants l’intégrer pas ou
difficilement, l'instituteur principal l'adulte de
confiance faillit, son regard l'a dévisagé ça m'a choqué,
comment un adulte pouvait-il être aussi stupide?.....
finalement légitimement un autre vilain petit
canard il était, à deux petits vilains canards on
pourrait faire équipe?, ce fut une histoire courte aussi
sauvage qu'il était dans son monde restreint de forain,
je fus déçu.

Comme tout animal social l'humain n'échappe pas à la


fondation d'un groupe, ce serait contre nature, la
collaboration, la notion du groupe étant primordiale
pour l'hommo-sapien sapien, pour survivre à son
environnement, faisant partie de cette espèce je les
aime toujours pas, compréhensible aux vu du
harcèlement et maltraitance psychique voire physique
à laquelle j'étais assujetti, la solitude était ma
compagne, si vous êtes solitaire apprécié cette force
vive, cette indépendance de pensées authentique qui
fait de vous un individu singulier.
J'étais déjà un solitaire sans le savoir, morcelés, sans
connaissance de soi, les dits divers chapitres à venir
apporteront son lot de réponses. L'avantage d'être un
solitaire reste et est antinomique à la dépendance
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totale du groupe, la dessus, selon moi, le groupe


annihile l’individu en tant que tel, une hiérarchie
s’établissant la liberté d'être soi de pensées reste
limitées, bien entendu je détiens pas la vérité, nul envie
de faire un amalgame, une certaine singularité
rendant indifférent à la dépendance de la pensée
unique qui la rend difficile.
Le harcèlement scolaire commence pour moi, je
fus inconsciemment l'ombre de moi-même, je
reviendrais plus loin sur cette reconquête de soi, ou
d'autres personnes peuvent s’identifier, la psyché
humaine étant si faite, le but était d'être dans l'ombre,
de ne pas être ou moins visible, de ne pas faire
d'histoire, de me taire même pour le peu que je disais,
je me suis tu, je parler peux ou pas, l'école m'indiffère,
car il est clair que je m'y ennuyais beaucoup.
Contemporainement aux alentours des années 2015 la
société des réseaux sociaux mirent à jour un constat
alarmant, déjà encourue et vécus 40 ans avant, le
maudicus harcèlement scolaire. Bien dommageables
tant de générations connurent cette torture assidue
quotidienne dans l'indifférence totale, ma foi en la vie
était inscrite profondément pour y survivre avec peine,
faire fis et le dos rond, et je ne dis rien à la maison, il
fallait se taire, pas de sécurité. Ma disparition car
j'étais physiquement présent mais psychiquement
absent inquiète, troubles de l'apprentissage, je vis une
personne pour éluder ce mystère d'absentéisme
qu'était le mien, cela dura 1 ans, j'arrive à mieux à
étudier, ce fut de courte durée
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car la retomber dans mes travers survient,


redoublement encore, autant la nature nourrit ma
satanée curiosité assujettie à mon intellect plein
d'imagination, autant apprendre une leçon bêtement
de cet apprentissage me fuie en envie, que faire pour
apprendre?, pas d'internet, ni de bibliothèque perdue
en campagne autre que l'étagère à la mairie
municipale d'un village de mille habitants, la nature
justement était un refuge gratuit, en bonne
observateur les fourmis m'attirent bien mieux, par
exemple, des travailleuses inlassables, détermination
totale, une synergie du groupe sans égal, personnes se
tirent dans les pattes pour un paquet de fric, j'étais
séduit, j'ai imaginé sans fin comment leurs vies
pouvaient s'organiser dans leurs fourmilières, une
idée me vînt, je pris chez moi des plaques de verre, j'en
fis un coffret et le remplie de terre tamisée.
l'idée se fut de recrée un environnement artificiel ou les
observer, je pars à la conquête de fourmis, une poignée
capturée après avoirs creusés des galeries artificielles,
un vrai grand bonheur, ces captives temporaires
entrent dans les galeries, un vrai repos salvateur,
j'étais heureux comme tel en étant moi et solitaire, le
partagé mais avec qui?, loin des préoccupations de
mes camarades occasionnelles imposé à l'école. Cette
histoire relate un périple dans ce monde chaotique
qu'était le mien dans mes plus jeunes années d'un
traitement social particulier sans nom des années 80.

j’obéis après avoir désobéi et mettre révolter en


fuguant, passé sous silence en mode sous-marin
tactique, mais à qu'elle prix?, je perdais le fil de qui
j'étais pour assujettir aux demandes d'autrui et être
aimé, apprécier, je perds une part de mon identité, je
voulais qu'une chose, c'est qu'on me foute la paix!, ce
fut un échec.

Mon intelligence fut mise en mode OFF. L'éducation


nationale de mon point de vue reste un centre de
conditionnement pour l'esclavage, oui on conditionne
un être humain par l'apprentissage, tout comme on
conditionnerait un autre mammifère, par la répétition,
style peut approprier pour ma part tant je fonctionne
à l'opposé, un individu ignorant dans un bain du
moule inadapté que j'étais, ma différence supposée
d'alors trouva point de nom, j'étais bizarre et
catalogué comme tel.
Un constat s'impose, force de constater qu'on
t'apprend à obéir, surtout à l'autorité, même si tu fais
semblant on t'apprend pas à penser par toi-même, on
t'y incite pas. Le collège arriva avec crainte justifiée de
cette violence gratuite, de cet animal social qu'est l'être
humain, en petit forma genre un enfant ou un ados. A
lauré de la prés adolescence je rentrais au collège,
j'étais banni du programme sélectif de l'élève adapté
du moule plein de promesses. Etant méprisé et humilié
catalogué d'y n'intelligent, mais je sentais que c'était
une farce au vue de ma curiosité insatiable d’alors,
seul les livres

de ma fratrie aînée pouvaient m'apporter une certaine


nourriture, j’observe beaucoup mais je parle peut,
faisant peu de bruits pour assujettir aux attentes des
autres, au détriment des miens, c'était inconscient, que
fais-je ici?, j'étais encore rejeté au collège et seul au
monde face à cette meute d'enfants violent naturels
purement instinctifs, l'adulte ayant failli comme ma
meute familiale non sécure ni élévatrice, seul au
monde, le curieux devenu cancre ou supposé comme
telle, je devins ce qu'ont me dis, la répétition faisant foi,
ne dites jamais à votre enfant «tu est bêtes»
inlassablement, il le deviendra, l'encouragement
n'étant pas la norme dans la société française, la
course la compétition étant la directive apprise;

dans le collège toujours cette classe de cancre me


préparai sans conviction, on l'appelle l'orientation,
j'observer ce qui se passe, sans être acteur
véritablement de mon sort comme on t'impose ton
prénom entre les mains de la bien-pensance générale,
sans aiguilleur de vie du sage. Je le rappelle ci-dessous;
l'éducation nationale est sous prétexte d'apprendre à lire et à
écrire un centre de conditionnement pour humain(on
conditionne un humain comme un animal par la répétition),
elle transforme les gens en esclave moderne, servile prêt
employable pour le patronat pour être productif, soumis, elle
n'aiguise pas l'esprit critique acéré ni en réflexions profondes
pour ceux étant moins équipé tel
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que la libre-pensée, elle leur hôte la force et la volonté
de rébellion selon moi, c'est de la soumission et de la
répétition, car les parents reproduisent ce qu'ont leurs
a faits; elle engendre un esprit de compétition malsain
entre individus (responsable de la frustration des gens,
voir l'ambiance sociétale), il n'y a pas de vraie solidarité
elle reste imposée tant l'individualisme fait son chemin
comme un verre dans la pomme, je rajoute que le
système de note favorise un délabrement de l'image et
estime de l'individu,(en phase de construction)faisant
le lit de trouble psychique éventuel futur(bien que la
notation avec des couleurs reste une alternative);
elle reste sur estimer pour d'autres en estime d'eux-
mêmes, elle stigmatise les gens différents (la neuro-
divesité) j'y reviendrais dessus, l'école c'est le monde du
tout séquentiel du linéaire en pensée, l'anti conformiste
n'entre pas dans le moule, c'est l'élève à s'adapter et
non l'école qui s'adapte à tous. l'éducation nationale
sombre inexorablement dans les profondeurs des
classements mondiaux (26 eme), de plus elle n'apprend
pas à apprendre et ne rend pas les gens autonomes, le
stress prend le pas sur le plaisir d'apprendre. elle
fragmente tout. Adulte je comprends mieux ce qui se
jouer à ma tendre enfance les rouages sont saisies et
claire. cette dernière engendre une diminution de la
diversité humaine, l'inadaptation sociologique au
moule mordicus suggère pas une bonne santé mentale,
ou,«ce n'est pas un signe de bonne santé
mentale que
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d'être bien adapté à une société profondément
malade. » «de Jiddu Krishnamurti» , Nous assistons
à une forme d'eugénisme un racisme, un
appauvrissement des individus qui pensent en mode
divergent, ouvrant plus les chemins de travers.
Bien entendu j'aurais des propositions à faire, la
critique étant, la résolution des causes est de mise pour
l'amélioration du quotidien promis à nos petites têtes
pleines d'envies, au départ de son immersion à l'école
de la république française du moins, je me garde la
solution, n'étant pas payé pour le faire ou l'asseoir,
illégitime que je suis, mais les idées sont belles et bien
dans ma tête.
Il n'empêche ce chemin de croix n'est pas pour autant
fini, ce qui faisait le lien entre mes camarades
m'échapper toujours autant, pourquoi lui et pas moi
dans se sataner entente cordiale?, j'étais inhibé
intellectuellement castrer d'une partie de mon «moi»,
un point de vue purement de la psychanalyse,
manœuvrant à l'aveugle, les années de Lycée
professionnelle arrivant sans grande envie ni
conviction aucune. Tout ceci ressemble à une énorme
farce dont j'ignore alors les raisons, dû à la cécité
inconsciente de sa propre personne, il fallait bien faire
quelque chose de moi et d'autres d'un quelque chose
pouvant servir la cause économique, et donnée bonne
conscience aux parents, et à l'école, à dire me classer, je
résume pas ces 3 années perdues ou le cercle vicieux
continua jusqu'à mon émancipation datée illusoire,
juste l'internat me laisse une image en
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attendant le couvre-feu final, je m'isolais dans les
douches seul le soir, à l'internat, une zone de droit ou
une certaines paix m'attendait, sans stimulation inutile
visuelle ou auditive, les lumières artificielles me
dérangent, comme le bruit, le brouhaha ambiant de
jeunes de mon âge ayant été certainement broyé, peut
être tout autant que moi m'était insupportable, fou en
comportement, que je comprends pas sage que j'étais,
comme un pli pris bien malgré moi, et si je n'étais pas
normal?,concept bien étrange mais la conformité
visible m'échappe, j'étais loin de mes repères dits
familiaux indispensable minimaliste,
pris entre un départ du lundi matin à 7 h tous les lundis
pour ledit lycée, déjà peine arrivée avide du départ le
vendredi midi à cette même gare d'arrivée, tant un
sentiment de perdre son temps était acté, j'étais la sans
y être. L'orientation éducative à l'adolescence est une
ignominie dans l'âge tendre ou tout est permis
fondamentalement, mais gâché.
L'échec scolaire s'ensuivit avec une terne image et
estime de soi-même, un vrai saccage, mais beaucoup
d'espoir pour renaître de ces cendres, la suite donnera
la ding du sprint, car une chose est sûre, trop longtemps
je me suis interdit de pensée malgré moi par moi -
même, apportant son lot de tourment incessant, le
refoulement, le sentiment d'être un virus rejeté par cet
environnement inadapté me reste collé au corps aux
tripes. Il me semble qu'une école efficiente donne la
garantie d'apporter une autonomie réelle aux adultes
en devenir, et non une
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dépendance conforme aux exigences de cette société
individualiste, laissant peu de place à être soit dans le
modèle bien unique, je rêve encore me diriez vous, la
lucidité acérée m'ouvre des portes divergentes
consenties ou non, ai-je le droit?, un prémisse d'une
rébellion sous-jacente à venir, le bleue devint pâle, le
bleue de travaille ou je lime l'acier et le cuivre encore et
encore, ou j'appris à souder, assemblé, comme un robot,
la semence viral systémique ne prend pas, ou est ma
place ou est notre place?; Ou est l'expression du talent
humain dans un tel système scolaire?, la bonne
mémoire prime pour régurgiter bêtement ta leçon,
assujetti à une compréhension réflexive à la
profondeur primaire, ou la dite pensée logique à la
part belle, et peut la créativité.
L'ennui prédomine,l'attention volatile emporte la
pensée sous d'autres contrées, ou l'imagination la
créativité domine à défaut d'encrage fort stimulant et
épanouissant.
La liberté à un prix dit ton, je tends à dire qu'on n'a les
chaînes qu'on veut bien avoir, vous en pensez quoi?, je
dis précédemment que certains mécanismes
émotionnels, sociaux culturelles semblent œuvré pour
instiguer ou prés définir votre chemin, et définir des
choix malgré ta nature et tes prétentions profonde,
qu'entend ton par liberté?, je n'ai fait aucune étude,
m'étant fait seul j'exprime ma vision de cette définition
sortie du cerveau humain, cerveau légitimement
semble til très aboutie selon lui, object
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humainement admis comme ultra performant, point de
vue très anthropocentré, idée il me semble corrélé à
l'univers d'une autre pensée unique, la religion, en son
temps Galilée en paya le prix sous l’éteignoir de la bien-
pensance de l'inquisition religieuse, je prends la liberté
justement d'en éditer mes règles, une douce
provocation à la saveur suave. La liberté a ses limites
comme tacitement rapportées plus haut, brûlée les
interdits comme une tête brûlée, pour mettre à
l'épreuve une bride de liberté, mais c'est de courte
durée dans le cocon familial, pas de loyer ni de facture,
facile me diriez-vous, ça durera pas.
je me projette sur ce qui me semble promis, impossible
en mon for intérieur d'adhéré à ce conformisme adapté
au plus grand nombre, don je me sens étranger de ce
destin promis, métro bouleau dodo, puis enfants,
maison, voiture à crédit, et youki le chien, étrangler par
des dettes puis être obligées de supporter
l'insupportable, à dire les humeurs d'un petit chef
despotique ou des collègues? non; la vie est trop riche
en possibilités d'aventures, cette idée jeta le dévolue
d'une vie de bohème précaire pour longtemps, un
chemin tout tracé sans trop se poser de questions reste
confortable pourtant, mais j'y arriver pas à en n'avoir
mal à la tête, pathologique ou non?, j'aurais les
réponses un jour.
Au vue de mes difficultés relationnelle, toujours
inscrite par traumatisme induit en moi, assujetti à la
peur d'un retour d'être le bouc émissaire avec les
groupes, via le monde du travail à voir les mêmes
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tronches, vivre les mêmes situations chaque jour
répétitivement, puis faire semblant et mentir sont au-
dessus de mes possibilités humaines, cela m'indispose
pour longtemps, ce serais le cadet de mes soucis
d'adhérer à ce plan de vie ennuyeux prés établis, non
par fainéantise, vous l'avez compris, mais plutôt à cette
bêtise sans aucun sens véritable qui m'incombe
réellement plus, suis-je fou?, j'ai vraiment peur de l'être,
rien qu'a l'idée un doute et une peur me parcourt
l'échine d'un grand frisson.
Tour ça me fatigue d'avance, que faire de cette existence
d'une pseudo simplicité infini que je n'ai pas choisi?,
dans le but de me nuire ou me détruire par les sbires du
système pour me livrer après en pâture?
??........ je cherche encore inlassablement, quand bien
même le doute et tous ces questionnements existentiels
omniprésents se rajoutant dans mon mal-être, j'avance
sans grande conviction, la philosophie et internet
viendront à mon secourt bien plus tard.
La liberté à un prix dit ton, rien selon moi avoir avec
l'aspect monétaire, elle prend plusieurs aspects, il
m'était de plus en plus évident que cet environnement
social me coûterait plus en santé et en bien être que
l'inverse, une frustration m'envahis à la remise de ma
fiche de paye à la fin du mois, nulle question de retenue
sociale à cette époque, il est évident que le SMIC en
apparence un acquis social de hautes luttes me laisse
sceptique, juste de quoi te maintenir en vie
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subvenir à tes besoins pour revenir bosser pour un
autre et te maintenir en esclavage, la réalité est tel que
c'est ni positif ni négatif. La conscience la lucidité
acérée ne te laisse pas indifférent. Je décide de
continuer cette aventure humaine, ne sachant quoi
pensées de tout ça étant qu'une moitié de moi, je le
rappelle, depuis que je suis en faux self depuis l'école
républicaine.
A la base je fus livré en ce monde avec certaines qualités
humaines reconnues ou non par les gros méchants ou
jaloux de service, qui s'en vouloir rabaissé mes
contemporains je me sentis décalé, décalé dans ma
façon d'être et de pensée n'adhérant pas, la mesure
m'échappa, mais la vie cette grande professeur se
chargea de moi étant muni d'une certaines naïveté
sociale, voulant le bien avant tout mais ce n'était pas la
norme établie. Viens alors le service national, servir la
nation, chose obligatoire en ces années 1990, je n'y
échappe pas, drôle d'environnement que celui-ci qui
consiste à défendre la mère-patrie, nous transformer
en tueur en guerrier soumis corps est âme, c'est resté
une image, dubitatif après quelques mois quant à
l'utilité réelle de cette année sacrifiée, l'idée de tuer un
inconnu dis l'adversaire, un ennemi, embarqué tout
comme moi malgré lui me laisse entendre, je refuse de
tuer, pourquoi?, Et pour qui?, Ou pour le compte de
qui?, le pouvoir de quelque un méprisant la plèbe(le
peuple) disaient les romains antiques en ces époques,
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des intérêts économiques et financiers sous-jacents,
c'est certain, une instrumentalisation de la masse, non
ce n'est pas moi, je suis un pacifiste, au pire si comme
l'armée russe fit durant la bataille de Stalingrad contre
les nazis, auxquels on te pousse à avancer quoi qu'il en
coûte sous la menace d'une mitrailleuse de ton camp, le
comble, quel crédit apporté à celui sensé représentée
lesdites valeurs que tu défends?.... en te traitant de la
sorte?, déserté prendre le maquis serait un minimum à
consentir je pense pour rester maître de ton sort un
temps, surtout être en phase avec toi-même, j'aime pas
obéir aveuglément en laissant la conduite d'un chemin
non consenti, n'aimant pas être commandé par des
inconscients de leurs actes et leurs décisions
contestables.
L'instrumentalisation des individus à bon ou mauvais
escient, voilà le dessous des cartes, question de
conscience envers et contre tout de soi, et de ses
propres actes, on n'a pas le choix disent-ils, tu as
toujours le choix, je ne juge personne à chacun ses
responsabilités, ce serait trop facile ce serais contre ma
nature, prendre la liberté de faire semblant de tiré à
côté ou au sol est une alternative, je le ferais, le reste n'a
aucun sens véritable ordonné que par des despotes aux
raisons fallacieuses, certains leviers comme la finance
le pouvoir bourgeois et financier instiguant leurs
propres paradigmes ou dessein.Tout ça n'a aucun sens
j'en reviens encore à ce constat indéniable, sans outre
de se faire imposer sa façon de
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vivre, défendre la sienne, c'est un minimum à consentir,
la balance reste à estimer en son âme et conscience.
Prenons la polémique qui entoura le chaos à Pearl
Harbor par exemple, bien qu' officiellement surpris,
une enquête suscita de nombreuses questions restées
sans réponse sur ce fiasco, de l'obscurantisme pour
nombres d'entre nous pendant longtemps fiché super
Top secret sans nul doute, la majorité de l'arsenal
militaire navigable fut détruite, mais force de constater
quid des portes
avions parties ou n'étant pas sur place ou hors de
portée??... le porte avions nouvel arme d'une nouvelle
ère de domination géostratégique et géopolitique pour
exporter sa puissance par de la les océans!, c'est à se
demander pourquoi ils n'étaient pas en mouillage à
Pearl harbor le jour J, le hasard n'existe pas, un certain
calcul militaire caché plausiblement admis;
l'histoire militaire et politique s'en serait trouvé bien
différente comme la face du monde probablement, ya
pas de mal à considérer qu'en haut lieu le mensonge
d'état est de mise, qu'ils auraient laissé couler une
partie de la flotte du Pacifique et sacrifier des milliers
d'hommes pour justifier leurs entrées en guerre aux
yeux de tous car victime d'une infamie, la manipulation
de masse; pure folie, vraiment?, le doute subsiste
quand aux vrais raisons.
Sachez aussi que Ford collaborant en armant les nazis
comme leurs adversaires russe bolchevique anti thèse
du capitalisme en son temps, gagnant sous tout
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les plans, c'est un exemple, médité bien sûr les
fondements mêmes de votre instrumentalisation
CQFD. Que pensée des morts pour la France?, ou d'une
autre patrie te sacrifiant dans une tranchée et le champ
de bataille en 1914 à 1918, ou 40000 hommes tombent
pour prendre une colline, et la reperdre quelques
heures après?, mort pour rien, ainsi va une vérité non
admise et dérangeante, je le pense fortement, ce n'est
pas un manque de respect selon moi, juste une réalité
différente et non pas un jugement, juste un constat avec
son corollaire.
J'ai passé mon brevet de secouriste durant cette année
de formation militaire qui n'en avait que le nom, c'est
temps mieux à y regarder de plus prés, ou la violence
m'échappe en mon être profond, ayant pris 10 kg en 12
mois à l'escadron de commandement et de service, aux
corps des marsouins de l'infanterie de marine c'est
pour dire son utilité. soyons sans drapeau; bien qu'une
certaine diversité soit assujettie à une certaine
richesse humaine et culturelle de par le monde, ou
divers idiomes subsistent de part et d'autres la planète,
comme une peine induite pour nous éviter une
cohésion féconde, divisé pour mieux régner, je me sens
pour autant un citoyen du monde, cher soi partout,
une certaine réalité te rattrape je vous l'accorde,
pourquoi se limiter?; à l'origine la tour de Babel ce
mythe d'une fécondité remarquable a inspiré des
réflexions sur l'origine de la diversité des langues, la
puissance de l’effort collectif, l'orgueil de l'être humain,
peu après le déluge alors qu'ils parlent tous la même
langue, les atteignent une dite
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plaine dans le pays de Shinar et s'y installent. En ce
lieu, ils entreprennent de bâtir une ville, et une tour
dont le sommet touche le ciel pour se faire un nom.
Alors Dieu brouille leur langue afin qu'ils ne se
comprennent plus, et les dispersent sur toute la
surface de la Terre. La construction cesse.
La ville est alors nommée Babel, c'est de l'imaginaire
comme l'intuition dont la force reste puissante, c'est à
se demander s'il ya pas une certaine véracité dans ce
mythe. Voyons le verre à moitiés plein que vide, ça
nous laisse plus d'une vie pour apprendre, seul
véritable raison valable en autres pour justifier son
passage ici-bas, perdu sur un caillou flottant dans la
constellation de la voie lactée parmi des milliards
d'autres.
Ça donne le tournis, notre monde doit dépasser sa
féodalité internationale, pour s'abolir, s'extirper de sa
dichotomie, et abolir tout ces conflits suicidaires
imbéciles devenant trop archaïque, pour assujettir
espérons le une vraie civilité en profondeur, comme
faire un bon en mutation génétique en tant qu'espèces
humaines, ou celui-ci ne serait qu'une ébauche
évolutive pour la version prochaine, pour un je sais
trop quoi qui restera un mystère.
La vie n'est telle pas un chantier perpétuel ou tout est
reconditionné?, oui à y regarder; rien n'est figé et
acquis comme certains contemporains le pensent
21
pour beaucoup, le temps impartit qui nous ait dues sur
un plan géologique est quelque peut ridicule en tant
qu'être vivant, un battement de cils.
C'est à cette condition siné-quanon que l'humanité
grandira pour s'extirper du sol planétaire et conquérir
d'autres mondes.
Une certaine évolution est en marche, mais l’évolution
n'est pas synonyme de progrès, restons lucide et
conscient de nous-même, et le plus responsable
possible en ne croyant pas aveuglément, mais plus
critique que jamais, posez -vous les bonnes questions.
Mon service militaire plein d'espérances ce fini, sans
formation ni de métier civil, sans rien au vue de mon
intégration scolaire chaotique, j'entrepris de faire une
formation dans l'aéronautique à ma sortie du devoir
de citoyens, mes testes d'aptitudes furent réussies, il
fallait bien avancée faire un quelque chose de soi, la
passion de jeunesse m'aiguille, mais est-ce
véritablement mes choix et les meilleurs en mon âme
et conscience?, l'inconscient donnant en coulisses ses
directives malgré soi, il ya à parier que oui, la
psychologie le démontrant, l'enfant qui réside en moi
semble l'indiquer, mais je suis un homme-enfant ou
resté en partie comme tel, bonne question restée sans
réponses, étais-je réellement moi et êtes vraiment
vous?, l'avenir et d'autres chapitres le démontreront.
Bien souvent des questions engendrant bien d'autres
questions qui à leur tours resterons sans réponses,
22
devenons nous avoir réponse à tout?, heureusement
que non, le mystère indicible ce devant d'être, la
métaphysique trace une route pour les gens assujettis
à une imagination sans bornes au grand mystère.
Toujours est-il qu'une fois de plus mon association
collaborative durant mon année militaire fut aux
minima avec mes camarades d'escadron, j'étais cool
respectueux mais non pas un suiveur, ce qu'on me fit
remarquer, messieurs dames soyez en sûr je m'en tape
royalement, insoumis toujours et encore.
«le sergent chef m'envoya remettre en état les jaules
abandonnés au goût du jour avec un camarade de
trajectoire de vie, racloirs, ponçage, de la peinture, je
sentis que c'était une vile punition d'un avant-goût
promis pour récalcitrant que j'étais, moi et d'autres,
faire semblant d'être compliant était ma devise du
moment», seule les corporations m’incitent à côtoyer
des individus trop conformes à la bien-pensance ce qui
engendre un malaise profond en inadaptation, j'étais
seul au monde et convaincu de l'être même naît dans
les bras de ma mère et accolé à une fratrie non choisie
par la même.
On ne choisit pas sa famille l'adage dit, force de
constater ce qui devait être un réconfort des alliés,
était pour l'avant-dernier de mes frères un concurrent
direct affectif, la compétition encore au vu d'une
certaine carence non conscientisé par mes parents
défaillant ou n'ayant pas le mode d'emploi
23
adapté; j'avais un frère ennemi, un traître à mes yeux
agresseur, il m'accepte pas, le frère aîné le 1 er fut ma
bouée.
On dirait que le rejet se trouve la ou on ne s'y attend
pas, je n'avais pas au début de ma vie la raison
profonde autre qu'une intuition infaillible, l'intuition
est une force une arme puissante, je me sens différent
sans savoir pourquoi, c'est très intuitif, ma
pensée et façon d'être me le laisse entendre, la
bizarrerie qui m'habite reste intemporellement
indéfini.
L'intuition est antinomique (opposé) au raison-
nement au monde cartésiens à l’ego, c'est le mental
rationnel ou tout est analysé et rationalisé, le mental
intuitif tu sais sans savoir pourquoi, tu sais que tu as
raison, ce mode de fonctionnement ne ment pas lui, tu
le manipules pas par la parole, c'est tel que, d'une
pureté d'une vérité absolue, de grande découvertes
furent faites sous son règne et grasses à elle; son
chemin peut être semi-conscient avant d'être
réellement conscientisé, oublié par la société qu'elle fut.
Albert Einstein disait: le mental intuitif est un don
sacré et le mental rationnel est un bon serviteur. Nous
avons créé une société qui honore le serviteur et à
oublié le don. Je trouve cela assez juste. Je vais faire
une boucle pour revenir à notre système éducatif et ces
fondements même systémiques un peu plus tard ,c'est
obligé. Durant cette époque à la petite
24

vingtaine, inconscient que j'étais castré d'une partie de


mon moi perdu comme une légende, du point de vue
psychanalyse du moins, refoulement de cette arme
infaillible comme une alarme dont je me coupais pour
m'éviter de souffrir tellement ça me faisait peur et
souffrir, c'était devenue automatique tellement j'étais
hypersensible émotionnellement et sensitive-ment
sans trouver de réponses du pourquoi du à un oubli
oublié, mon mode intuitif n'y a pas échappé, constat
accablant, plusieurs décennies après la réactivation
vint, j'étais aveugle ''handicapés'' de mes armes mises
en veille.
Nous avons tous ces armes, bon an mal an ma
différence résulte d'une sensibilité hors normes ou mes
antennes semblent plus réceptives plus nombreuses
que d'autres personnes dites normals ou assujetti
comme tel, c'est de l'ordre de l'intensité, ça diffère, je
voulais plus voir ne plu souffrir, mais la réponse
rétrocède une compréhension plus fine en ces subtilités,
ces paroles sonneront comme une vérité bien tangible
en fonctionnements pour les personnes concerné.
On se comprend n'est ce pas?;). Je reviendrai plu tard
sur l'univers psy ce qui en découle sur la neuro-
diversité ou certaines pathologies associé, élucidé ce
mystère qui vous entoure, pathologie ou pas. Les
corporations parlons en, obéir sans trop réfléchir, tel
un pion militaire envoyé au combat pour les sales
besognes, sous l'égide de la sacro-sainte démocratie
25

détentrice de la sois disant vérité au nom des droits de


l'homme, vous y croyez en ces sornettes??...... liberté,
égalité, fraternité, le tailleur de pierre devrait actualiser
cet artefact d'un autre temps voué à un idéale détourner;
on se moque de nous, une jolie palis la devanture de la
république française. Cela dit soyons conscients
qu'ailleurs dans le monde ces symboliques nous
seraient enviés par manque de liberté de parole, même
la liberté à ses limites, tout ne peut pas être dit non plus,
un juste équilibre une homéostasie de civilisations à
parfaire, étant idéaliste j'ai le devoir de nuancer au
mieux.
Je déteste par conséquent les corporations et ces
attenant les corporatistes, un pour tous tous pour un,
un certain esprit semble fait pour y assujettir pour s'y
subordonner, la vérité la justice n’ya que trop peu sa
place, l'humain aime peut la vérité, la Bible du suiveur
et son maître à pensées, distillant tel un chef
d'orchestre ces règles intérieures, et ces codes sociaux
régissant son code de conduite systémique, précepte
convenu comme étant vrai et non contestable par son
assemblé et leurs adhérents, le dogme, une doctrine!,
autant dire que je n'accepte que les règles justes, et bien
consenti, et utile, la soumission de croire sont une
allergie pour les vrais rebelles, ou le penseur libre dans
ce qui régit un tel environnement. Mon beau pays
paralysé par le corporatisme sauvage éhonté ou tout
semble permis sans vergogne aucune pour nombres, les
audits parlent.
26

Questions de procédure bien encrée ou le


ditestablishment gros mammouth qui reste à
dégraisser pour une efficacité à retrouver, qui se
satisfait d'un acquit d'un autre temps?, la paralysie
règne ou d'autres pays évoluent et avancent, on me
démentira pas.
je proposerais bien des solutions, ici encore je ne suis
point légitime ni payé pour remédier à ces dys-foncti
onnements systémique. Je parlais de codes sociaux
ou des conventions sociale, je rappelle leurs fonctions
et ce que cela veut dire avec concisions,«Les codes
sociaux ou les conventions sociétale sont des règles de
conduites et de pratiques bien précises, de
formulations linguistiques, et de combinaisons
sémantiques qui régissent le fonctionnement des
relations interpersonnelles au sein de groupes
humains». Ces codes sociaux assujettissent une
meilleure compréhension de ce qui se joue en coulisses,
les gens en difficulté sociale ont souvent un défaut ou
étant assujetti à une certaine différence neurologique
pour appréhender ces concepts, tel que les gens
TDAH ou assujetti à l'autisme asperger voir la
douance, pour les gens de la masse ils sont induits
d'office, c'est intuitif automatisé ils n'ont pas à se
soucier de leurs existences, sinon pourquoi?,
inconscient?, c'est pourtant fondamentale pour
interférer avec efficacité dans la dite société
contemporaine, réussite sociétale semble corrélée à
leur bonne pratique c'est une condition sine-quanon;
27

sensibiliser car inconscients de leurs existences!, il leur


faut les apprendre. C'était une parenthèse on n'ira
plus en profondeur encore ultérieurement.
Il est à noter que certaines conventions sociétales
semblent obsolètes voir comme certaines traditions
sorties de l'idiocratie, elles perdurent malgré tout
temporellement, remettre en question re inventé n'est
pas donné au 1 er venue apparemment, loin de moi de
m’aventurer à me penser comme 'intelligent', terme
trop utilisé par ignorance ou trop peu inusité
par autrui.
A y regarder à laurés de mon jeune âge des années 90
dans temps, rien me prés disposer à être assujetti à
une quelconque prétentions, question d'images et
d'estime de soi trop abîmé pour canaliser un sois
disant potentiel hypothétique, car la reconquête de
moi même n'avait pas sonné; à cet effet forcé de
constater à l'heure d'aujourd'hui que faire avance
rapide sur la bande vidéo du film qu'est sa vie reste
impossible, tout semble mûrir en temps voulu , pas de
précipitation, subjectivement c'est un travail de
maturation inconsciente semble proposer un
cheminement non convenue d'avance et malgré soi, est
ce raisonnable et souhaitable même?, j'ai un immense
doute.
Autant dire qu'après avoir eu une tel vision sociétale
énumérer en amont, associé à une fragilité apparente
ne donne pas cher de sa peau; affectivement sa dite
28
conciliation avec le sexe opposé ne fut pas pour autant
plus limpide ou facile; un certain manque affectif mine
nerveusement mes ressources, ne pas confondre
affectif être apprécié et s'aimer et l'aspect
sexuel.......Comment naviguer sereinement dans la vie
sans cette garantie affective dans l'enfance?, qui
donne une confiance indispensable?, encore plus vrais
pour surmonter les échecs et rejets écornant son
hypersensibilité singulière (je dirais pourquoi)
toujours et encore, je pleurais en mon antre seul au
monde.
Mon frère aîné me recueil dans son foyer, dans un
environnement différent pour changer mes idées d'en
découdre, temps l'existence me semblait toujours
autant vaine, les tensions ressortirent à leur manière,
c'était un avertissement.
Je remonta bancale sur la selle à courir après je ne sais
quoi dans l’existence humaine, avec courage force et
volonté d'avancée tel un guerrier blessé ne s'avouant
pas vaincu, dure au mal que je suis force de constater
munis d'une envie de vivre indéfectible chevillé au
corps. Pétage de plomb, remise à zéro ou purge du
système encéphalique pour le trop plein.
Le cours de la vie reprend j'entrepris l'acquisition d'un
titre professionnelle dans l'aéronautique pour me
donner le droit de gagner ma life, vivre comme dirait
l'autre, ma remise en question de mes années
29
militaire prend enfin effet 4 ans plus tard à Bègles -
bordeaux au centre AFPA, instruction dans le dure
avec d'autres inconnus pour un enseignement
différent de l'école à la Jules Ferry.
Je parlerais durant ma formation plus de ce mystère
de cohésion entre diverses personnes qui m'ont
accompagné, que du métier voulu; je les nomes Eric ,
Laurent , moi même et André, 4 acolytes de chambrés
et d'atelier adjacent en place, tout c'est véritablement
fait naturellement entre nos personnalités, j'étais le
plus jeune le plus naïf produit pas fini ni accomplis.
Une certaines complicité bienveillante émana de ce
petit groupe, Eric la force de la nature brute de
décoffrage, Stéphane déjà un pro dans l'âme avec une
certaines aisance intellectuelle avec 10 tensions au
petit gabarie et André le baroudeur débrouillard issu
d'une famille de ch'tis du nord de la France à deux
encablures de ma bourgade.
Camaraderie j'ai appris ce que c'était plus durant ces
10 mois que durant ma courte existence. On fit la fête
les jeudis soir vers 20H en virée nocturne en vrai
noctambule à la place de la victoire à Bordeaux, ce fut
pour moi mes années étudiantes sans l'être, un
rattrapage bienvenu, de virer sans directives autres
que nos envies subites ou l'entente était la norme. Nous
allions souvent commencer nos péripéties bien
30
nocturne au taureau sur le toit devant une bouteille de
bière a 50 francs Français de l'époque partagés entre
nous, une douce amertume unique de cette boisson, on
plaisante et nous lâchions après des journées intenses
d'apprentissages accélérés, c'était pas un luxe.
J'aimais ce petit groupe cette cohésion ou j'étais
comme un petit frère, en se dévergondant, j'apprends
à vivre un peu plus que d'ordinaire et donne ma
partition comme eux la leurs, on délira tous les jeudis
soir ainsi de 21h30 a 5h30 voire plus le vendredi matin,
peut importe on se couche pas on fini à 11 h les cours et
nous rentrions chacun de son côté.
Aucune de ces soirées ne se ressemble, je m'ouvre à un
univers qui m'était inconnu comme ceux de la nuit le
sont, on danse on palabre en harmonie en simplicité
accolé à d'autres festayre de circonstances; Eric le
compagnon de sport de musculation tous les fin
d’après midi me faisaient rêver avec ces histoires de
levage féminin dû aux conquêtes multiples, une vraie
série rose, Eric était un conquérant aux innombrables
conquêtes féminines, une force
virile émane de son être, j'appris un peu de lui un peu
d'un autre pour nourrir ma curiosité sans limite
aucune et apprendre.
La soirée la plus mémorable fut cher Laurent à des klm
de la sa mère n'étant pas la, bien embarqué la nuit
après moult denrées ingurgitées et d'alcool mélangés
ce fini en une immense rigolade défait que
31
nous étions, on rentre à 6 h du matin, on se couche pas.
André noctambule notoire parti seul souvent la nuit, il
partager ces découvertes d'un soir féminin de lieu
anonyme et de club, une vrai fox terrier pour dénicher
l'indénichable non invité de prime abord qu'il était, un
débrouillard avec son faciès de Gaulois moustachu de
clovis; l'équipe s'agrandit avec l'arrivée d'un gas sorti
des îles à la tête d'indien à faire peur, sûrement
descendant de coupeur de tête à faire peur le soir au
sortir d'une ruelle c'est un faite, ce personnage haut en
couleur nous appris une autre façon de vivre (bonne
pâte et gentil qu'il était pour peut de se donner la peine
de s'ouvrir à lui huhu) ... la sienne, le vrai rhum blanc
à la musique des mecs des îles, j'ingurgite en me
méfiant de leurs goûts relevés, une lampé brûlant du
goutte à goutte happé parcouru mes lèvres et ma
gorge, j'y allais doucement mes camarades moins
prudent s'y colle mieux que moi.
La fin du stage arriva après 10 mois de co-existences
communes, on se quitte pas avec une lampée de rhum
blanc dans le gozié avant, pendant, et après
l'examen(un anxiolytique différent), je reste lucide et
fis front avec mes ressources intérieures pour passer
cet examen, je finis en avance même sur d'autres, Eric
semble en difficulté j'avance une de ces pièces à former
pour les avions fictifs à construire ou réparer, Laurent
le king du groupe généralement hyper alaise en tout
parachève la pièce demander pour acquérir le titre
pro convoité, tout le monde à fini en temps imparti,....
Le jour, J'arriva pour la sentence et la
32
rétrocession finale des résultats, tous les 4 ures notre
diplôme malgré le travers du formateur pas tirs cool
loin s'en faut pour certains, une revanche sur le sort,
mon nom fut cité, les 1ers notes sont moyennes, dues
à mon anxiété générale du début en théorie, je réussis
le sprint final avec brio, le directeur du centre de
formation le rappelle au vues des superbes notes, ouf,
j'ai mon diplôme contre toutes attentes, je suis content
sans plus je suis étonné même, c'est mon deuxième titre
après le BNS( BREVET NATIONAL DE SECOURISME)
acquit au service national, je ne ressens pas
véritablement de plaisir ou je le refoule.
Après un pot générale ou 8 sur 12 ont réussi leurs
examens on échangea quelques numéros de téléphone,
chacun rentre cher sois. Par la suite j'ai eu quelques
nouvelles ici ou la de l'un ou de l'autre pendant ou des
années après mainte fortune de vie. Je garde de
mémorables souvenirs de cette année la au centre
AFPA de Bègles-bordeaux ou je gagna en vécu, mais
un vécu salvateur pour s'ouvrir plus au monde.
mais la suite de la route comme Jack Kerouac en sont
temps laisse entendre, sois en sur mec, la suite ne sera
pas forcément plus angélique ou sans embûches ou
l'inverse, aucune certitude m'encombrant. En bon
bipède je navigue dans cette masse grouillante
humaine spectateur de ce qui se passe, comme la
33

loupe interrogatif sur le bien fondé de tout ce qui


anime tout un chacun, que font-ils?, à quoi cela sert -
il?, ya t'il un sens à tout ça suffisant à mes yeux?,
comme des ombres des âmes perdues en peine et
soumises en errance qu'ils semblent être, que fais-je
encore une foi dans ce bazar?, antinomique, simple et
compliqué à la fois, indescriptible, ça m'encombre la
tête constamment, le répit est de courte durée rendant
mon humeur mordicus; force de constaté que la peur
fait avancer les gens;
c'est une émotion suprême, Alexandre le grand
rétorquer déjà en son temps«j'ai la certitude
maintenant que mes hommes marchent avec et par ce
qu'ils ont peur!», par la même semble til, cette émotion
s'inscrit inconsciemment pour faire avancer mes
contemporains, un stress négatif oxydatif.
La peur peut te sauver la vie dans un environnement
adapté comme dans le néolithique ou dans la jungle
verte limite parano, serte, comme l'anxieux qui réfréne
les ardeurs des plus va-t'en-guerre, émotions
archaïque adapté devenue inadapté et pathologique
dans son expression par une mise sous tension
constante de nos jours, nos cerveaux on peut évoluer
depuis envers la société humaine contemporaine,
l'anthropologie le suppose, évolution n'est pas
synonyme de progrès, involution, le stress, peur de
l'avenir ou d'un passée te poursuivant?, peur de
manquer, peur d'être abandonné, peur de manquer
34
de dentifrice ou de P CUL, peur de tomber malade, de
vieillir, de pas «réussir» ou peur encore de souffrir ce
qui est légitime ici, et de mourir encore surtout, une
réalité promise, si toi pas esclave toi est clochard, vie
promise si toi pas soumis, la peur encore en tout,
réfléchis bien toi me qui lis sur le dit pourquoi tu
avances?, vis tu réellement utilement?, est-ce
réellement tes choix?; est-ce légitime à tes yeux toutes
ces peurs?, la seule notion à mes yeux valable
aujourd'hui c'est l'instant présent, Qui sans souci?,
chronos Dieu mythique du temps, lui sortie d'un
imaginaire de la mythologie grec est mise à mal.
J'attire l'attention que la notion de temps, le passée et
le futur en physique ça n'existe pas, seuls les éléments
saisonniers restent réels; c'est une petite parenthèse.
On n'abordera plus loin le bouddhisme et la
méditation pour remédier à ce stress oxydatif du
marche ou crève.
Mes émotions propres restent trop mal identifiables
me concernant pour y mettre des mots dessus, des
détails me furent rapportés, je savais dire que non et
mal, je sus dire non et que non lors de discutions, esprit
de contradiction en son temps, sans m'en rendre
compte, je savais pas dire non pour assujettir à
mes intérêts, ou me faire respecter pour m'affirmer
à bon escient et me protéger, la nuance fut claire et
sans appelle, je modifia mon comportement aprés un
travail de fond conscientisé, j'ai écouté mon entourage,
mais m'affirmer dire non
35
était un chantier; hormis les émotions évidentes en ce
temps la d'autres me fuient, car aujourd'hui plus
évidente. Je rentre chez mes parents aprés un sprint
final pour un repos bien mérité et le diplôme convoité.
Je traversa les années de sorties entre jeunes locaux,
de dites périodes de chaumage, mon domaine
d'apprentissage acquis à Bègles-Bordeaux était
fortement cyclique à mon plus grand regret, je
continua à gagner deux francs six sous ici ou la en
intérim, drôle de sentiment de stress de l'inconnu
avant chaque mission de travail qui me paralyse, une
préparation semble nécessaire, je dis oui sans le sentir
aux agences, je devais m'y préparer, l'inconnue
m'étant angoissant mais les raisons sont inconnues,
pour y' arriver je saute et me jette à l'eau, en me
castrant de ma pensée anxieuse tout en image du
comme ça doit être, sur le comment sera cet
environnement promis.
Très difficile à mes yeux à l'envers des gens dont la
facilité apparente me laisse songeur, dualité, j'aime
changer découvrir différentes façons de travailler
d'autres types de métiers et d'environnement,ma dite
curiosité m'en demande toujours plus, ça me nourrit
et me forme, une richesse ou certains recruteurs y
verraient de l'instabilité,pfff j'en ai cure, faut leur
expliquer du haut de leur pensée unique, et leurs
conformités; la autant j'y trouve un certains compte
36
autre que l'aspect mercantile qui me laisse sceptique,
autant ça me tiraille dans l'autre sens, de diverses
situations qui changent constamment, ou je me dois de
me re adapté dans la difficulté, je me sent fatiguer, je
suis jeune je compense mais dans la souffrance, suis-je
maso??, je fais preuve de bonne volonté assurément,
cette dualité, ce tiraillement entre l'envie d'apprendre,
de changement, de renouvellement, et cette difficulté
d'interagir à ce tempos semble antinomique, mais non
dichotomique (divisible) dans ce qui me constitue
fondamentalement dans mon être.
C'est un fonctionnement inconscient, la encore une
chose est sur, ça me fatigue énormément malgré tout,
je plie je me protège j'interagis plus, je m'isole de tout
ce bruit et stress que cela engendre, je suis pas fainéant,
si l'ennui m’éprend sur le sentiment d'avoir fait le tour
de mes prérogatives, l'envie irrépressible de partir est
très prégnante, et non contestable, c'est plus fort que
moi, un vrais handicap systémique.
Mes réponses du pourquoi viendront bien longtemps
après en décennies, tout ce propose en tant voulu dans
la vie, ma conscientisation de mon être reste à parfaire,
je ne suis pas au bout de mes surprises du pourquoi?.
Je survis malgré tout bon nan mal an à ce rythme
diabolique que le système t'assène, c'est comme une
directive non négociable. Bien des
gens pensent s'y retrouver ici en difficultés, mais la
37
sémantique un certain fonctionnement fait la
différence, tout humain dans cette perversion
systémique dysfonctionne, c'est une question de vision
holistique à appréhender et non fragmenté.
Je fuis, suis-je un lâche?, ou fais-je preuve de justesse
de lucidité envers ce monde du travail?, ou souvent
j'entrevois des gens de toutes confessions mais non
choisis?; dis ton que la diversité c'est la richesse, je vais
énumérer cela dit le côté dit relationnelle, conflictuelle
souvent rencontrer, n'oublions pas qu'on n'est
toujours deux dans une histoire. Je rencontra parfois
de belles personnes, trop peu à mon goût.
Quand bien même force de constatr que j'observe et
analyse tout, le contenue versatile en palabrage de
collègues, ou connaissances diverses et variées, le ton
de la voix, la posture, le regard, tout y passe, mais j'en
tien pas toujours compte, ça me rattrape, et je sens
bien que je dérange que je n'ai pas ma place. Je me
souviens de ces deux années sur Pau, ou je quitta le
foyer familial pour travailler dans l'aéronautique, ou
je tiens toujours mal la distance en endurance, le foyer
des jeunes travailleurs foisonne aussi d'individus
socialement différents en horizons, sur adaptation.
Ce passage de deux années dans cette ville, m’assène
une vérité sur mes limites sociales, mais dans le dure
encore plus. J'aime donner de moi étant gentil donc
empathique à la base mais il ya de l'abus, je connus
38
d'autrui la traîtrise, la manipulation, le faire semblant,
et la méchanceté gratuite, tout à mon détriment, tant
je comprends pas les raisons de tels comportements,
certains disent faut pas être gentil, écrasé son
prochain je n'y arrive pas, ce type de discourt
m'horripile, c'est un manque de sensibilité,
d'intelligence, à l'envers d'une certaines pureté d'âme,
d'une certaine cohésion humaine, ou le chacun pour
soi semble primer.
L'image, l'estime de moi, de soi fragile, hérité de mon
éducation parachève de m'achever, je craque, je tiens
plus mon poste de travail, je m'ennuie, je n'ai rien à
dire aux gens, tant parler pour parler m'indiffère,
comme les palabres de machines à café, je pars, je
touche le dit RMI à cette époque ci, la galère m’enlace
encore une fois, avec des petits jobs et une errance
affective qui me déstabilisé m'étrille en profondeur; je
suis hospitalisé en psychiatrie pour atteinte à mes
jours, cet épisode dure 1 mois en hospitalisation sans
compter l’hôpital de jour, une année ou je continuer à
chercher je ne sais trop quoi dans d'innombrable
questionnement existentiel. On m'a pas aidé.
Ça encombre le bulbe, depuis tout temps je ne juge pas,
le préjugé m'habite pas, question d'ouverture d'esprit,
j'accepte autant ce peut autrui, le rejet je connais, nul
plaisir à l'asséner à un autre, j'écoute je vois pour
savoir et comprendre, je ne sais pas encore vraiment
dire non souvent, j'écoute par empathie, j'ai
39
beau cherché un pote éclectique avec qui converser
d'anthropologie, de cosmologie, de l'univers, de
civilisations ancienne, de géopolitique ou d'histoire et
de préhistoire, et ou d'aviations etc etc, peine perdue je
m'ennuyais.
Étant mutique, je continue cela dis quelques aventures
amoureuses sans lendemain, quelques personnes
resteront inscrites dans mon esprit pour toujours,
comme Roland, un reprit de justice ou d'injustice
plutôt au bon cœur, embarqué malgré lui qu'il a été un
soir de fête pour s'être défendu lui est sa compagne, il
paya de nombreuses années un coup du sort bien
injuste, placé dans un C.A.T, en travaille pour payer la
facture de sécu des salops véritable abîmer; Arnaud
aussi étudiant à l'université de l'Adour bien
sympathique, et quelques autres qui m'apprirent
encore plus du genre humain, l'homo-sapien sapien et
ceux bien malgré eux; je relate si haut un certain
dysfonctionnement sociétal, et humains, don certaines
raisons subjective à cette époque tiennent de
l'obscurantisme, qui suis-je, qui sommes nous??.
Le monde du travaille pour la continuité, la
productivité, engendré de la richesse, acquérir des
biens, avoir un certain confort de vie reste le rêve une
idéologie Marxiste de la planète, et de beaucoup
d'humains, un modèle prêt à l'emploi semble til, un
schéma de vie tout tracée, avec quelques petits
ajustements pour la souplesse d'esprit, et non pas
40
généralisant du plus grand nombre. Tout progrès
social préfigure d'arracher de haute lutte aux dites
élites des droits, l'anarchisme. Qui sait l'origine
propre de cette terminologie?, employé à outrance de
façon inadaptée, peut comprennent le sens véritable
du terme, anarchie, nous allons revisiter ses origines.
Contemporainement le terme anarchie est configuré
pour induire un chaos du nihilisme, un saccage, le
manquement à l'ordre établi lors de manifestations
bien souvent, ou assujetti comme tel par le biais de
marginaux de tous bords, toutes luttes social en sois
est de l'anarchie. Historiquement nous allons voir de
quoi il s'agit réellement, ainsi que ces fondements.
Je pense qu'on peut relier les luttes ouvrières
révolutionnaires de temps de Karl Marx, économiste,
philosophe, écrivain allemand, Il est connu pour sa
conception matérialiste de l'histoire, son analyse des
rouages du capitalisme, et de la lutte des classes, et
pour son activité révolutionnaire au sein du
mouvement ouvrier courant 18 ème siècle sous l'ère
industrielle du capitalisme, nous allons pour cela
revisiter l'histoire de Russie, avec le dénommé Pierre
Kropotkine et sa philosophie, père concepteur de
l'anarchisme en 1917 révolutionnaire, libertaire
qu'il fut. Les dis marginaux ne sont-ils pas saint
psychiquement que la moyenne des gens?, je le pense,
un adage que je trouve juste«ce n'est pas un bon
41
signe de santé malade que d'être adapté à une société
malade», après quelques pages de ce livre on peut se
le demander, la suite finira par asséner une vérité qui
sonnera juste pour certains insoumis, les vrais.
Le mouton les suiveurs seront dans l'incapacité de
pensées librement et différemment pour beaucoup, un
niveau d'éveil une conscience semble nécessaire, ses
adeptes y viendront seuls. Tacitement évoqué plus
haut le travail peut être avilissant, je cite le SMIC par
exemple qui n'ouvre qu'une seule perspective, rester en
vit juste pour continuer à travailler comme une bête
de somme, abrutit telle un robot sans autres
perspectives d'évolution.
Coopérons nous vraiment en œuvrant pour le
meilleurs de chacun de la société?, et du monde en
enrichissant matériellement pour un certain dit
pouvoir?, et vous-même?, non pas réellement. Non
seulement les règles systémiques engendrent de
l'injustice de dis gagnants et des sacrifiés, le perdant
est surtout rejeté. Pensez-vous qu'un tel système ou la
sacro-sainte loi due dis adapter du plus fort darwinien
soit une loi ultime la seule?..autrement dis je décide qui
dois vivre ou mourir, la loi de certains se prenant pour
Dieu!, Ou l'individualisme n’entraînera que la
dichotomie la division, et un écroulement du bien
commun. Je relate ce fais par un certain penseur «La
croissance d’une grande entreprise est simplement
une survie des plus aptes, l'élaboration
42
d’une loi de la nature.» David Rockefeller. Une pure loi
des prédateurs ou l'opposition entre individus règne
par l'exploitation esclavagiste, c'est un faite.
Il semble qu'une autre vision s'affronte; cette 1 er
approche n'est pas un précepte faisant mention dans
la nature, la collaboration, l’harmonie dans une telle
société ne se fait pas par la soumission à la loi, ou par
l’obéissance à une autorité, mais par des accords libres
conclus entre tous les différents groupes territoriaux
et professionnels, librement constitués pour la
production et la consommation assujettit à une liberté
de masse, question d'équilibre et de justice.
OK la nature humaine est une autre directive, mais
quand bien même. Bien souvent je tant à me dire, mais
bon sans le constat accablant de ce monde du travaille,
me ramène à l'école de la république, ou l'on apprend
à l'individu à s'adapter au système, et non le système
qui s'adapte à chacun, l'idéale serait le contraire,
preuve en est que la jonction la corrélation en
influence est faite.
On n'apprend et préparons les gens à la compétition
sans foie ni lois, à faire sa place au détriment d'un
autre, cette réalité jette un froid, la vrai solidarité
indispensable a une société solide et harmonieuse et
bienveillante, reste une douce illusion imposé par
43
l'ordre établi ou l'état, de la pure hypocrisie ou
l'individualisme forcené s'impose; nous voyons ici une
fois de plus, la preuve de l'échec d'une telle société ou
le rejet est la norme arrivée à un âge mûr. N'oublions
pas, l'humain est un mammifère et en tant que tel il est
assujetti au groupe pour sa survie, et non à la division.
Rome dans l'antiquité perdit de son influence, et son
empire s'éffondra car il y eut trop de dissensions en
son sein, qui précipita sa fin inéluctable car il fut
affaibli; même si d'autres détails entrèrent en compte.
On peut corréler le micro et le macro-systéme. La
fourmilière n'est telle pas une meilleurs micro-société
à y regarder?.
Au moins les fourmis elles ne s'entre tuent pas pour un
paquet de fric ou une larve à titre individuel. La nature
pourtant excrète le plus pur des modèles en pur génie.
Cela dis, les gens adaptés et sélectionner auront une
place pour engendrer une descendance adaptée
cognitivement à son tour.
Alors que faire pour les gens dit inadapté à ce système
infernal ?. Mes réponses viendront me concernant,
dans les plus grands tourments tel un survivaliste, don
j'ai abordé les concepts et les modes dans une certaine
autre réalité, s'émanciper de l'accoutumance, de la
dépendance aux biberons étatiques me tenant en vie,
sous perfusions à s'y méprendre malgré moi. une
question de fierté, d'orgueil, mais j'en suis pas la en ces
temps de grande
44
reconquête, de se trouver soit en expliquant cette
forme d'inadaptation non expliqué, et non conscientisé
à l'époque. Ma personnalité sous-jacente étant oubliée
ensevelie. J'étais un rebelle déjà sans m'en rendre
compte, j'aime pas l'autorité ni les petits chefs dont je
doute des qualités et capacités, vue les décisions
contestables bien comprises avant l'heure, et ces
conséquences, je n'étais pas à ma place, le chef naturel
n'étant pas au bout de chaque rue, obéir aveuglément
n'étant pas ma religion ni ma norme.
La compétition n'est pas en sois nuisible sous tout ces
aspects, la compétition permet d'élever son niveau en
se mesurant à l'autre, de progresser, cet aspect revêt
un côté noble du terme, mais seulement dans une
démarche adaptée en philosophie.
Le tout pognon, cette quête franchement m'indiffère en
tout point, je ne parle pas d'avoir de quoi se vêtir, ou
se nourrir et se loger, soyons claire, la aussi le système
ne rend pas les gens autonomes, il ne faut pas rêvé, ce
n'est pas le but, ce serait une demi victoire de l'être. Je
pense pas qu'on puisse se passer totalement de l'argent
cela reste utopique, mais se rendre moins addictif ou
dépendant de son influence oui, un autre chapitre y
sera consacré avec divers solutions.
A l'aurés de mon entrée dans ce monde qu'est la vie
active, au faite de mes difficultés et de ma fulgurance
compréhensive de ce qui me fut promis, je me dis,
45
force de constaté que la difficulté me sera trop grande,
pour assujettir à ce que la société attend de moi, je
décida d'aller au plus simple, vivre ou survivre, existé
en vivant avec le moins possible, et non la course
effrénée à ce pseudo enrichissement matériel donc je
ne comprends pas les valeurs, et qui m'indiffère au
plus haut point.
Je m'identifie pas à cette norme établie avec un
automatisme d'une pureté absolue, ça ne m'habillera
pas, je détruirais pas la nature pour y assujettir, je ne
ferais pas fonctionner les machines, ou à minima pour
une économie énergivore, ou l'on détruit des pays
entiers en asservissant d'autres humains par de la la
planète, chacun d'entre nous sommes des prédateurs
d'un ailleurs, pour vivre au dessus de nos moyens en
ressources économique et minérale et géologique, don
la finalité est contestable, La croissance exponentielle
est une pure illusion et d'une bêtise qui n'a pas de
sommet en curseur de Croissance …. idées farfelue.
Autant désobéir avec grand plaisir. Après maintes
tentatives de travailler dans l'industrie aéronautique
et de contrat de courte durée, comme d'habitude, un
constat s'impose, temps mieux, je m'adapte pas à ce
consumérisme forcené, toujours pas à ce rythme ou je
me sens trop sollicité, il me fatigue trop pour durée, ou
il occupe les esprits faibles pour assouvir ce qui
s'apparente à un rejet de la frustration, histoire de
46
comblé un déficit affectif quelconque en consommant
bêtement l'inutile, un dérivatif pour beaucoup de gens
qui semble til ou le problème est ailleurs. Mon esprit
critique me laisse entendre, une fois de plus, je reste
dubitatif sur l'efficacité de ce système de compensation
psychique humain, tel un rail de coke pour se soulager
en attendant le retour promis en récompense mais
dépendant.
La simplicité de vie la non envie semble être la solution,
ma solution de vie, pour être mieux et le plus libre
possible, liberté seul concept de vie me semblant viable
à mes yeux, le monde économique n'est qu'un des
aspects, d'autres vont être abordée dans ma vision
atypique, de non inclusion sociale ou sur le bout de
l’ongle je dirais.
Mes tourments existentiel revenant souvent me
harcelé avec une humeur mordicus associé, que fais tu
ici bas?, pourquoi tout ça?, est ce que je vie vraiment?,
j'existe serte, mais à quelle prix?, l'existence simpliste
me semble de Mr et madame de tout le monde,
m'indiffère, et pourtant ils ont de la chance; de la
remise en question récurrente j'en dors pas, mes nuits
sont souvent blanches, la matin arrive comme si
j'avais passé une heure à penser, la temporalité
s'étant distordue dans mon crane, nullement celle de
chronos le dieu du temps. Je pense encore à mettre fin
à mes jours.Tout semble vains, sans saveurs, c'est
l'ennuie, pas seulement un mal être existentiel, ou les
deux probablement, tout va si
47
vite, un vrai démon prêt à me sauté sur le râble au coin
de la rue, pour me tourmenter. Tout est pourris tout
m’ennuie, j'ai des cernes sous les yeux, toujours des
questions sans réponse inlassablement, je vais devoir
consulter tant un manque de stimulations me mine au
plus profond de moi; suis-je fou?, je le crains , j'ai peur
avec effroi de l'être réellement, à cette époque ou ces
scénarios durant des années se renouvellent souvent,
en me laissant pas en paix, une pensée divine survient,
est ce que le fou est conscient de l'être fou??..... j'ai
retrouvé un adage bien parlant,
«le sage se sait fou, mais le fou se croit sage» je suis un
peu soulager de cette peur:).
j'ai un zeste de réponse cette fois, mais c'est tellement
peut envers le reste de ces questionnements existentiels,
j'ai le mal de vivre. Sentence qui m'oublie pas. Qu'ai-je
fait dans une autre vie pour mérité cela??..... la vie m'a
châtié, ou est l'amour dans se monde?, n'y ai-je pas
droit à cette caresse que tant d'humain ont besoin?,
temps d'amour j'ai en moi.
Pourtant Je suis ici-bas mais pour qu'elle raisons
exactement??.. bien sur, c'est évident, par la volonté
féconde d'assujettir à un instinct primaire, de deux
individus que sont mes dis parents; issue d'une fratrie
de cinq, ceux m'ayant engendré ne voulurent que deux
enfants, on m'a fichu dans la merde. Il me semble que
je serais ici pour en baver sur un coup du sort, d'un
homme sois dit irresponsable répondant à
48
ses pulsions animales reproductives, ou éjaculateur
précoce, super, râlé me servira à rien leurs en vouloir
encore moins, je passe la sphère familiale, mais à l'idée
d'être issue de la rencontre hypothétique d'un
spermatozoïde et d'un ovule? oouucchhh; l'idée me
laisse perplexe pour éludé seul mes tourments, ou pas,
sur la sémantique de tout ça, pour peut que j'en trouve
un jour un seul, réellement à la hauteur à mes yeux.
je le rappelle je suis un éternel insatisfait un idéaliste,
mais cela n'explique pas tout. Le hasard n'existe pas,
je vais pas sortir la théorie de l'effet papillon et ces
causalités, la spiritualité m'éprend car l'univers de
Descartes, monde divin, adulant le penseur de Rodin
me semble quelque peut simpliste pour appréhender ce
monde plein d'illusions; la spiritualité la dite
métaphysique me donne de l'espérance pour
approfondir, imaginé, à l'inverse d'un raisonnement
simple et inductif, représentatif de la société de type
occidentale, don l'OCDE, ou tout ce qui s'y apparente.
j'en reviens à l'argent, son artefact, qu'est la monnaie,
émise ya des temps immémoriaux, qui semble
satisfaire ou émettre un message un ressenti
neurologique, plein de satisfaction dans le cerveau de
mes contemporains, j'y adhère un zeste, pour la peine
et par respect de mes aïeux qui se sont battus pour
cette bride de liberté en 1968, et durant la révolution
49
apparente. Force de constaté que le dis pognon soit un
révélateur de la mentalité de chaque humain et sa
nature profonde, que j'aime pas vraiment. j'en fais
partie aussi, j'ai parfois un sentiment de honte d'en
n'être, ce sentiment d'injustice au quotidien constaté
reste constant dans le monde, j'y vois une lumière
d'espérance auprès de gens différents, don la
sensibilité et la générosité s'exprime de leur propre
initiative, en association, mais pas que, chacun peut
apporter à sa façon, un regard, un sourire, pour cette
personne assise faisant la manche, donner une pièce,
ou loger un soir, par exemple, tous pouvons donner
une partition à son niveau, personnellement je trouve
horrible l'indifférence le mépris.
Je pense à Eric, que j'ai connu dans un forum pour
vivre de façon alternative, communication préalable à
notre rencontre, sur un tchat, et échange de tel durant
un laps de temps conséquent, Eric homme de 54 ans
ancien cadre de France télécom, ayant perdu son job,
donc je passe les raisons, n'ayant plus rien à espérer à
son âge, la survie s'impose d'elle même, un toit, à
manger, ce minimum que beaucoup d'entre nous
pense acquis ou dû, erreur. Un jour d'été de 2017 de
retour d'un woofing au Portugal, Eric se retrouve
coincé à Bilbao en Espagne, en pleine nuit sous un
arrêt de bus, par temps de pluie, après avoir faits du
stop depuis le Portugal profond… son chemin repris
jusqu'à la frontière en fraudant le train, et un dernier
stop pour arriver au Pays-basque Français, enfin on
se rencontre en vrai lors de son passage
50

Sur Bayonne en voiture, je le recueille chez moi à des


klm de la , la symbiose l'entente reste la même en toute
simplicité, on rentre dans ma demeure …
Le woofing permet d'apprendre en bossant dans
L'agriculture, ou d'autres travaux, durant 4 h de ton
temps, le logis et couvert assuré, ensuite tu es libre
pour vaquer à tes occupations pour visiter une
nouvelle région. Bonne idée qu'il met à profit pour un
toit, apprendre, être à l’abri, en attendant des jours
meilleurs, un virage agréable de la vie si l'on veut.
Eric tien un site internet qu'il conçoit pour de la
publicité, qu'il met en ligne pour des entrepreneurs, il
est sans le sou, il survit avec quelques euros, voire rien,
nul envie de mendier il dit, juste le RSA un laps de
temps, le vent tourne cela dit. Nous arrivâmes dans
mon foyer après des échanges cordiaux, et instructifs
entre nous deux, content de concrétiser cette rencontre.
j'estime cela naturelle car c'est inscrit dans chaque
humain, enfin je l'espère de tendre la main, Je profita
de ces innombrables péripéties de routard, sans ligne
directrice, de chemins de travers, comme je les aime,
un échange jusqu'à tard dans la nuit en faisant
réellement connaissance, je lui offre le couvert la
douche le canapé tout naturellement. Deux jours
passent pour un repos mérité pour ce survivaliste dans
le dure. Eric de taille moyenne, les cheveux bruns avec
des lunettes, don les sils s'usent en marq
51

uant le verre des lunettes, vêtue de vêtement cédé ici


ou la; je reste admiratif de cette volonté farouche de
continuer à vivre ainsi, personnage instruit, idéaliste,
et fort combatif au mentale fourbi aux joutes du
regard, au jugement des bien-pensants.
Le lendemain matin, je lui file un billet et un casse
croûte pour reprendre sa route en stop vers le sud-est
du pays, ou la sa mère réside et quelques autres
connaissances, c'est ca région, on repart en voiture
vers la bourgade à 10 klm de la boire un dernier café,
le moment est venue, je le laisse sur la route pour le
stop après une accolade sincère, en se donnant rendez
vous un jour prochain avec un regard qui en dit long.
Je reprends ma route en le voyant disparaître dans
mon rétroviseur. Le soir même je reçois un de ces
messages, m'informant qu'il fut pris peu de temps
après en stop, il était déjà à proximité d’Aix en
Provence. Presque deux ans passa ou on s'appelle de
temps à autres, pour suivre nos évolutions respectives,
nous promettant de se revoir; ce qui arriva tout de
suite après le confinement du covid-19, en 2020 invités
que je fus cette fois ci. Eric trouva un logement dans
une grande maison de famille dans le Tarn, en
colocation, perdu dans la campagne. Je pris moi-
même la route en chemins de travers sur plusieurs
centaines de kilomètre,avec un parcourt
52
admiratif de tant de beaux paysages de notre France
profonde. Finalement on se retrouve en terrasse d'un
café du petit patelin, à quelques encablures de la ou
Eric m'attend, l'entente aller tel être véritablement
aussi bonne que la dite 1er rencontre tel la 1er
rencontre?, en effet l'humain change au grès de ces
aventures, de rencontres, de situations diverses qui
façonne son caractère comme les lames de vagues de
l'océan façonnant les falaises du littoral.
Je ressens durant mon périple un ajout
supplémentaire de liberté vivifiant, agrémenter de la
surprise de l'inconnue, mes angoisses de l'inconnue
disparaissent cette fois-ci, mais je sais qu'on m'attend,
je ne serais pas seul perdu ne sait ou, d'ailleurs c'est un
sentiment angoissant, entre mêlé comme tacitement
écrit en amont, avec une avidité d'aventure, un vrai
tiraillement, mais j'ai dû me préparer un laps de
temps, sans me bousculer, car sans aucun repère
promis le malaise m'attendait.
je retrouve enfin Eric, je me gare, il se rase la tête,et
reste un peut plus entamé par l'âge maintenant, je suis
fort heureux, quelque chose existe résolument entre
nous, une amitié, mais je reste prudent, car trop
souvent échaudé par les trahisons du à ma cécité
sociale, car mise en sourdine qu'était mon intuition des
années au auparavant, ainsi que ma petite voix
pleines de vérités. Les prochains jours m'en diront plus.
Des jours passent chez sa propriétaire et quelq-
53
ues autres personnes et ces enfants, son jardin bio, sa
cabane faite mains, et ces animaux et son jardin, une
vraie oasis, une ancienne routarde de road-trip s'étant
implanté dans une vieille battisse acheté à un vieux
paysans, remise en étant progressivement durant une
vingtaine d'années, belle ouvrage de la vraie pierre.
Je sors moi même doucement d'une dépression, pas de
ma bulle en tout cas, ça me fais du bien cette escapade.
Les jours suivant Eric me fait découvrir la région,
entre des repas de groupes familiaux, et d'une sortie
cher une de ces connaissances femme qui accueille des
woofers à son tour, une proprio d'une ferme en
reconstruction. Des étudiants, des personnes d'un
certain âge du site colibris, bref des gens d'un ailleurs
de toutes confessions réunis en un lieu Atypique, une
bonne bouffe, super!, ou un verre seulement, que de
bonnes choses.
Sacrée soirée ou la fibre de rebelle s'exprime
amplement, avec la promesse de s’exprimer, nos
libertés semblent en danger dans la société actuelle, de
plus, je compte pas être en reste pour ma part, se
battre ne pas se laisser imposer mon idiome, ma façon
de vivre, ni imposé une autorité non consenti, pas
possible, je prendrais le maquis s'il le faut; voilà une
raison valable à mes yeux bien stimulante de se battre,
cette société semble trop sage, ou aucun idéal outre la
consommation, en s'enrichissant bien trop
54
superficiellement parle à chacun, un dérivatif, des
vrais enjeux civilisationnelles, je suis un esprit
vagabond, peut-être qu'une entité extraterrestre
envahisseuse nous unifiera, pour peut qu'elle soit
belliqueuse, scénario plausible ou l'homme résolument
au sommet de la pyramide alimentaire domine sans
concurrence en apparence, j'ai personnellement été
témoins de deux phénomènes ufologiques, don un
phénomène attesté en tant que tel dans le département
des Landes et référencé à la gendarmerie.
C'est un autre sujet fort stimulant, ou des secrets sont
révélés ici ou la par des gens de haut vol, en milieux
non conventionnels, j'y reviendrais ou pas dessus,
c'était un aparté. La fin des retrouvailles avec Eric
s'annonce, je pars dans l'inconnue pour un autre lieu,
on se sépare avec un renforcement de notre amitié
naissante, ainsi que son entourage bien chaleureux,
cela me donne une espérance en l'humain suite à
diverses déconvenues de troublions rencontrée de
l'idiocratie, celle du conformiste sociétale, de la bien-
pensance, point de vue subjectif tant la différence et la
méprise avec insulte parfois renforce une certaine
colère en mon for intérieur.
je peux comprendre ce qui m'est différent à condition
que la leur me soi pas imposée comme étant la pensée
unique, et la prédominante. Il est convenu et actée que
le sacré dit paradigme civilisationnel actuel va
s'effondrer, les cartes seront rebattus, redistribuer
55
pour peut qu'il reste des humains vivant aux sorties de
ce qui attend l'humanité. Que pensée d'un système
social présenté comme un modèle, ou du moins ce
qu’on n’essaye de nous faire croire, ou arrivée à un âge
mûr, tu sembles rejeté plus bon à rien?..... ça ne
fonctionne pas, pourquoi continuer à nourrir une telle
illusion soit disant démocratique?, ou la masse régit sa
destinée, non rien n'a semble t'il changé comme durant
la Rome antique, du pain des jeux pour la plèbe (le
petit peuple), pour occuper la pensée des gens laissés
de côté des affaires importantes, régis par une
minorité, ou infantilisé par une dite élite, élite
religieuse ou étatique politicienne qui feignent
d'assujettir à ces intérêts, la démagogie, pourquoi
voter pour un berger ou un maître?, l'état ou d'autres
comme des sectes secrètes?, ni Dieu ni maître, je
propose de re écrire la constitution, ne plus élire un
chef, dis le roi, camouflé, avec son 1er ministre le
cardinal, notre destin dépend de nous autres le peuple
qui soudé détenons le vrai pouvoir.
Sur le plan de la géopolitique, se dessinent des
pouvoirs, des influences multi-polaires, l'empire
actuelle, les USA, il perd de son influence, les bons du
trésor US perdants de l'attrait sont un signe, les
échanges et les achats entre états boudent le dollars
comme devise unique, l'Occident ne régira plus les
affaires du monde seul, et c'est temps mieux!, soyons
réaliste envers le bilan de ces adhérents. Sur le plan
sociétal regardons ce qu'on nomme les MOSO, ceux ci
56
forment une ethnie dans le Sud-Ouest de la chine,
frontière des provinces du Yuan Sishuan, contreforts
de Himalaya ou prés de 60 000 habitants ont une
langue bien à eux, c'est une société type Matriarcale,
donc régit par les femmes, les hommes y ont leurs
vocations, ils y sont heureux, l'harmonie règne, bien
entendu à leurs échelles cela semble fonctionner, à
l'échelle du pays j'aimerais tout autant, une plausible
alternative à la démocratie de surface. La démocratie
a perdu de sa crédibilité aux yeux de nombreux
peuples. Ici encore j'aurais des solutions à apporter, je
ne suis représentatif de tous, ni payé pour ce faire, car
un consensus reste de mise.
L'histoire se répétera, et oui encore question de
cycle, une civilisation naît, évolue, prédate, prospère,
et décline pour disparaître, comme les mayas et les
incas, voir le royaume de Angkor au Cambodge et bien
d'autres, un certain schéma se répète.
Comme l'archéologie et la géologie nous le démontrent
au travers de l'histoire qui l'a retransmise par le biais
de vainqueurs parfois, don la vérité est contestable car
partiale, on n'entrera pas dans les détails d'un tel
chapitre n'étant le sujet du livre.
Ci-dessus je relate grossièrement des schémas
sociétaux et une bride de la géopolitique seulement.
Mon histoire reprend sa route dans un schéma, un
registre don les dynamiques m'échappent totalement,
mais ce qui est certain, c'est que le combat pour la
57
vie continue.Une transition se profil en cette fin de
décennie des années 1990, bien que je pris une liberté
d'un bond en avant non linéaire, en parlant de mon
expérience avec un insoumis par précipitation qu' est
Eric, victime collatérale, un sacrifié d'un système
sociétal marche ou crève.
Malgré les innombrables balafres ou bosses qui me
composent, je renonce pas à ma trame bien humaine
qui est l'humain avant tout, je repars de la ville de Pau
avec un sentiment mêlé d'expérience chaotique et
stimulante entre mêler, j'en conclus que voir le verre à
moitié plein que vide me reste salvateur, un nouvel
épisode de vie pour revenir cher mes parents durant
quelques mois, un nid familier pour rebondir, cette
fois-ci sur le pays-basque, sur la côte. L'homme de la
nature que je suis en profondeur chercha ou couru
après un je ne sais trop quoi, bien diffus, accolé à une
présence d'idées mortifères qui me quittent peut.
Je fais une bifurcation vers cette idée omniprésente
qu'est la mort ci dessous, avant de continuer la route
en récit. Le pétage de plomb quelques mois en arrière,
dite L'expérience interdite comme le film, presque,
pour narguer la mort à ces portes par deux fois, ça me
transforme pas en profondeur, je n'ai pas aperçu la
lumière divine, ce n'est pas mon heure elle veux pas de
moi!, la mort ne m'a pas voulu à l'instar du vécu d'une
NDE, est ce bien finalement?, sûrement, peut être, un
vrai dis marathon qu'est cette
58
existence humaine, bien qu'il y est pas d'âge pour
passer dans l'autre monde. La mort je l'attends, pas
pour fuir, mais m’en portée dans un autre monde tant
celui de l'humain me semble fade dans ce type
d'existence promis, c'est un grand mystère, et j'ose le
dire ça me fais une belle jambe, je l'attends sans la
chercher véritablement, un constat entropique
insoluble.
J'ose encore le dire j'en rie même à l'idée de la fin
terrestre, un grand repos à venir envers mes
tourments, fou vous dites?,vraiment?, je le rappelle «le
fou se croit sage le sage se reconnaît fou» autant le
redire car j'ai peur de l'être vraiment.
Je me sens envahie d'une légèreté, libérée de cette peur
paralysante, mon bulbe est en fonctionnement
incessant. Pourquoi avoir peur d'une échéance à venir
convenue d'avance?, je me suis longuement questionné
sur cette peur bleue de la mort humaine, à l'idée de
cette fin biologique en tout cas, de l'animal que nous
sommes. Est ce un héritage de l'ère judéo-chrétien
dans l'imaginaire collectif?, sûrement, mais pas que.
L'humain à la trouille bleue de l'inconnu c'est un faite,
question de repère perdue peut sécurisant, étant
résolument spirituelle je ne crois pas pour croire
comme dans l'évangile et son Christ jésus, je crois en
une force supérieure régissant l'univers ou en la
nature, ou tout est transformé comme un chantier
perpétuel, je le rappelle, tout est
59
tangible, on croit tous comme l'empirisme la
subjectivité propre à chacun qui la façonne, mais
croire de façon aveugle en une divinité à un dieu, ou
un guide religieux, est d'une idiotie absolue, don le but
à ses origines anciennes est l'exploitation humaine
pour le pouvoir, hormis lors des tribus indigènes. J'en
reviens à la mort qui nous attend tous, étant conscient
de l'être; je reviens en arrière aprés^^. Je m’en pressa
de me documenter de manière très sérieuse
scientifiquement, par le biais de la sociologie, cette
peur bleue inadaptée est telle universelle?, depuis
l'aube de l'humanité?.Enfin je trouva un livre d'un
sociologue, et écrivain ayant mené une enquête sur la
perception de la mort, et ceux depuis le début du
Moyen âge à nos jours en occident. Force est de
constater que les rites d'accompagnement, de veiller,
et les représentations symboliques changèrent dans le
temps, par quel biais?, je le relaterais pas ici, toujours
est-il qu'un basculement sur la peur de mourir fut
attesté courant 18 ème siècle, avant cette période les
gens vivaient bien avec cette idée, c'était bien accepté
et convenue, pas le choix me diriez-vous, oui, mais
quand même, la dessus, je ne pense pas que la
croyance judéo-chrétienne ne sois pas suffisante, pour
expliquer du moins cette peur archaïque devenue
taboue, ou l'on ne s'est pas préparé les gens à ce grand
passage en toutes sérénités. Il est évident qu'une telle
peur du grand passage, arrange bien certains
despotes, tant
60
étatique que religieux, et ou escrocs de sectes de toutes
confessions, question d'exploitation, d'esclaves voués
corps et âmes malgré eux, qui s'y risquera par peur du
néant?, la lâcheté humaine le maintien malléable en
lieu et place.
La médecine occidentale dans son ensemble relate ce
tabou de la mort, temps elle reste convaincue que nous
serions faits que de chair et d'os, et rien d'autre
(j'aborderais peut-être les NDE), elle n'accepte pas la
mort, c'est un ennemi à combattre coûte que coûte,
combat voué à l'échec, on ne repousse que l'échéance
bien entendu, rien de transcendant dans ce constat
inaltérable et intemporel. Toujours est-il de tout temps
comme Icar, l'homme voulu plus que sa sagesse qui le
fuit, on défit bêtement la nature en ces règles
fondamentale, incontestable, ni négociable.
Avons-nous une preuve solide tangible que le néant
nous est promis à la fin du fonctionnement biologique
de note corps?, comme l'avance la médecine
occidentale?, non, des faits ne sont pas des preuves
subsistant sur une possibilité d'un après, ceux ayant
vécu une NDE ou autres corollaires l'avancent d'un
après, question d'esprit critique, question de
philosophie, de civilisations, de conceptions, de
pensées, alliés en perceptions cartésiennes pour les
Occidentaux restant primaire, castré, dans une
dimension à atteindre, la spiritualité, l'intuition, la
haute sensibilité. Pour en revenir à la croyance, il me
61
semble que la croyance contemporaine glisse vers une
autre autorité que l'autorité despotique religieuse, et
c'est temps mieux dans un sens, mais en la médecine
assurément, ce sera une autre chapitre. Une avancée
se profil en cette année 1998, pour un nouveau
chapitre de mon histoire et existence humaine, d'un
insoumis bien Atypique don les caractéristiques dans
ces exigences seront éludé bien plus tard.
Je décide en mon âme et conscience de comprendre
avec l'aide médicaux psychologique ce qui cloche en
ma personne, c'est une répétition, je fais plus ou moins
confiance, de réunions en réunions animées par une
psychologue et d'entretiens individuelle le temps les
mois passèrent, un sale goût plein de désillusion
parachève ces 1.5 années ou je n'avance pas avec moi-
même, ni dans mes questionnements existentiels,
étais- je prêt?.
Mon cerveau était toujours aussi incontrôlable, don la
notice d'utilisation m'était pas livrée lors de ma
naissance, les performances de celui-ci oscillant
comme la température d'un jour à l'autre en
performance haute intellectuelle et sensitive, moi le
cancre, comme un rayon X décortiquant tout sur ce
qui me stimule, accolé à des jours ou la fatigue
m’éprends ou rien ne veut fonctionner comme les jours
ou l'heure d'avant, je suis sans carburant, la biologie
dicte sa loi, moyennement conscient de moi même,
quel étrange sentiment, je n'y peux rien étant
62
peut maître pour canaliser me concentre durablement;
l'esprit critique étant, cet univers la psychiatrie, ou
l'on semble t'il on n'est censé comprendre l'humain, ça
me reste en travers de la gorge, car une chose est sur
je n'ai aucun préjugés dans l'univers des dis fou, don
on peut douté de la véracité de la classification parfois,
la nuance reste à apportée.
La vérité m'est apparue, n'ya rien de pire que de
pas pouvoir mettre un mot ou une raison sur
ce qu'on ressent, noté bien ceci. Le psychiatre ne
comprit rien et me trouva rien en maladie
psychiatrique, temps mieux me diriez vous, ok, je
repars les valises vides sur l'origine de mon mal-être
et de vivre toujours aussi intense, la psychologue dont
je doute sur le mérite à la retraite, tant celle ci était
forte heureuse d'un fauteuil dans l'assistance public
fort confortable, d'ailleurs pourquoi faire des efforts
ou rien ne semble remis en cause ni en question,
surtout pas eux, ou la méritocratie leur échappe, un
pour tous tous pour un me semble juste, ainsi va les
corporatistes, corporations qui immobilisent mon
doux pays la France; si tu n'est pas content la porte est
ouverte bile, ici nous somme point soumis au résultat,
la paye tombe quand même, je repartis en pleure de
mon dernier entretien d'avec ce clown bien content de
sa condition humaine acquise. Ne faisant pas
d'amalgame, je repartis à la conquête sous d'autres
horizons, ici ou la, cher certains professionnelles avec
une colère sous-jacente
63
grandissante, après tout c'était sûrement moi qui
déconné qui interprète mal et en veux à la planète
entière, le doute me laissa entendre n'empêche ce que
je constate et analyse semble juste, c'est inquiétant. Je
demanda à ce dis médecin psychiatre la différence
entre un psychothérapeute, un psychologue, et un
psychiatre, ce dernier me tourna les talons gêné ne
sachant pas les réponses et m'envoie le demander à la
psychologue, il partie à grand pas, je déranger je le
sent bien, je continua en demandant la différence entre,
le moi et le ça et le surmoi?, il est évident que je réside
dans l'ère de la psychanalyse sans le savoir au départ,
ho toi grand gourou dis le druide (le psychiatre) peut
tu m'éclairer?, il semble que j'en sache plus que eux.
Surtout, ne pas confondre avoir l'esprit critique et
analysé, et une critique vil ne servant à rien ni à
personnes dans le but de faire du mal, de détruire
l'autre, ma compréhension du milieux n'en n'est qu'a
ces débuts, ce n'est pas piqué des verres.
En parallèle je navigua à vue dans cette écosystème
qu'est la jungle humaine, nul doute que le temps me
rattrapera sur mes choix à venir. Je survis toujours
avec juste le bout du doigts pour la dite insertion dans
cet univers artificielle, je passe mes journées à l'océan
apprendre le surf, je bosse ici ou la en intérim sans
lendemain, dans la précarité ou assujetti comme telle,
ma norme, j'y trouve une source de liberté bon nan
malan, c'est rafraîchissant l'intérim, même si de
64
changer souvent est une difficulté pour moi, de
nouveau repères à trouver et une angoisse promise à
chaque renouveau en retour, sans être encore
conscient du pourquoi à cette époque la, difficultés
d'on j'ignorais la ou les raisons.
Suis-je pauvre?, chose étrange comme classification
sociale, don le but m’échappai totalement tant cela me
semble inconnu dans mon esprit, pauvre? ,riche?,
mais comment?, riche économiquement?, le monde le
rêve de la planète, du tout un chacun d’après ce que je
compris longtemps après était l'enrichissement
matériel, étais-je naïf?, non, mon système de valeurs
intrinsèque sans fiche éperdument, je refuse avec force
l'esclavage, l'apparence matérielle pour s'habiller se
convaincre d'avoir soit disant réussis. La réussite est
personnelle.
je vis à cette époque sèchement du RMI (que je
paye),de petits jobs étant incapable de me soumettre à
se dictât sociétal, et puis ce qui ressemble à une forme
d'inadaptation sociale, la richesses en diversités
situationnelles et d'entreprises, de jobs multiples
enrichissants, mais l'avenir semble compromis, je
m'installa jamais dans un travail durablement, tant je
m'ennuyais une fois phagocyté vite plus qu'il m'est
assigné en consignes ou prérogatives, je pars vite ne
supportant pas d'être enchaîné ici ou la très longtemps,
question de curiosité insatiable, et d'ennui mortifère,
associé à une grosse fatigue certainement par une
sur-compensation, don j'ignore encore la raison, c'est
65
plus fort que moi, nul plaisir à survivre avec un
minima social et des jobs d'appoint, à se demander que
fais-je dans ce merdier, je suis un galérien un insoumis
vivant seul au monde, une autre façon d'être, de
figurer dans ce monde, don les origines sont inconnues
dans ce décalage une fois de plus qui m’éprend.
Force de constaté que cela résulte d'un sacré coup de
force sociétale que de faire croire aux gens de l'utilité
de justifier leurs esclavage moderne par le biais d'un
contrat de travail, pour éviter une certaines déchéance
promise ou la dite pauvreté. Certains diraient c'est un
échange avec un ou une autre en payant, florilège
pour se donner bonne conscience en manipulant ce qui
dérange ou pas; Qu'est ce que la pauvreté?« ne pas
avoir le minimum requis à sa subsistance, se nourrir,
se vêtir, se soigner, avoir un toit»....... la nature est un
univers ouvert ou l'abondance règne lorsqu'un
équilibre la favorise, il ya pas de pauvre, le
capitalisme la crée.
Lors de la période des chasseurs cueilleurs du
nomadisme ou du néolithique la ressource fut
'abondante' à portée de main car pas économique ou
par mauvaises répartitions ou confiscations de celle-
ci. Le démon est passée par la sois en sur, vous n'êtes
pas libre question de définitions de conscience de
degrés, la dépendance. le libre pensée n'y a pas sa
place non plus quoi que vous pensiez. comment faire
alors pour subsister?, un futur chapitre essayera d'y
66
répondre. En se questionnant force de constaté que
mes contemporains,eux, roulent, et avancent bien
mieux comme une rythmique pleine de noblesse, sans
vouloir rabaissé qui conque car ce n'est pas le but, c'est
un constat, ils adhèrent à cette marche indéfectible
sans apparemment trop se posé de questions, tel la
marche de l'empereur, vraiment.
J'aimerais bien, car cela est vraiment plus simple pour
existé, avancé, pas trop intensément ressentir, et sans
assujettir autant de questionnement récurrent, bien
qu'un avantage potentiel co-existe, je fini par croire
qu'un jour j'en ferais une force dans le meilleurs des
cas. Tous disséqué comprendre ce qui se joue
inlassablement est ma norme c'est d'aucun répit,
fréquemment je constate à quelle point lors d'une
conversation mes contemporains ne comprennent que
la surface du discourt d'un enjeux.
Je m'enfonce dans les profondeurs pour asseoir une
compréhension plus fine, d'autres tout leurs glissent
dessus en évoquant une situation, ou un vécu
communs, ça me choc comme un séisme émotionnelle
qui dilapide les fondations, perso rien me laisse
indifférent, hypersensible que je suis comme un
boomerang et une caisse de résonance en mon fort
intérieur; comment peuvent t'ils restaient aussi
indifférent impassible?....pourtant le monde serait
plus beau plus juste, ainsi va la diversité humaine, je
comprend mieux maintenant, sur ce qui nous sépare !,
une première pierre à mon édifice. Quoi
67
qu'il en sois au sortir une compréhension plus fine
émet ce qui est en jeux, mes ressortissants de
compagnie temporaire ou pas n'en n'ont cure car
inconscient, c'est un inconnu dans nos réalités
respectives étrangère envers la tienne la leurs, le
décalage est bien présent, question d'intensité
émotionnelles et sensorielle CQFD (ce qu'il faut
démontré), nullement une question de raisonnement
cartésien don l'école à la Jules Ferry faisant une place
prépondérante à cette typologie cérébrale, elle fais pas
la place aux 'meilleurs'.
l'explicité à autrui ne restera qu'en l'état de mots don
l'évocation restera vide de sens car ils le vivent pas,
c'est un problème trop intime, il faut le vivre
émotionnellement pour synthétisé avec une certaine
sensibilité pour une compréhension fine et se
rapprocher avec empathie; seul moi ou toi pouvons
nous comprendre si une tel particularité féconde
t’incombe, sinon ça restera en son sein plein d'inanité
pour l'autre différent à sa façon, le hors norme prend
le relais en mécanisme inductif sous-jaccent.
Ces dernières lignes sont un récépissé d'une énoncée
futur à venir plus an aval. Merci de ce jour mémorable
ou lors d'une soirée ou le compagnon d'une amie
conquise en école d'art me signifie, «cherche pas tu est
hypersensible», ce mot inconnue alors signa le début
d'une reconquête de mon être en
68
dénomination pour un long chemin d'introspection de
plusieurs années, terminologie qui demande un
éclaircissement sur ce qu'est l'hypersensibilité,
question de sémantique, étant un ressenti différent,
quelques explications en énoncées ci haut sont un
début en ce qui ce joue.
Force de constater que tout être humain est fondé dans
un système de croyance propre à chacun, je nome le
psychiatre dit le druide de nos jours, un dealer
sommes toutes avec la lois avec eux, comme tout
médecins allopathique à bien y regardé et leurs
associés leurs collabo.
Depuis jeune on nous bourre la caboche à croire à
obéir à l'autorité, le conditionnement n'est ce pas,
force de constaté que je crois, mais croire pour croire
me semble une équation inconnue, comme je le
rétrocède plus haut dans le livre dans mon esprit, tout
humain croit, celui qui prétend ne pas avoir de
croyance est vide et pas humain à l'instar de l'égo le
caractérisant, croire par une expérience subjective
d'une expérience de vie soumise à un fais la rendant
tangible est totalement différent de la croyance
aveugle, je le rappelle comme l'est la crédulité
religieuse d'adulée une divinité quelconque et s'y
référé, il faut nuancé et comprendre.
De même un fais n'est pas forcément une preuve car
on l'explique pas forcément scientifiquement.
69

Un autre facteur important c'est la confiance, ces prêt


à pensées de druide psychiatre ou de psychologue de
CMP, les charlatants, avec une phrase toutes prête «
vous leurs faite pas confiance??», non du tout je
rétorque car pour moi ils n'ont que la blouse de
blanche, je les trouve pas forcément plus saint pour
certains bon nan malan, je sentis un malaise s'installer
au travers du combiné du tel portable. Ma seul
directive, j'attends de voir en vrais, et me faire mon
opinion, car oui la confiance se gagne bon grés
malgrés la compliance attendu des préteurs du
serment d’Hippocrate hypocrite de notre temps.
Nullement l'envie de faire un amalgame de ces fichus
druide contemporains pleins de certitude, magrés tout
d'un savoir pleins de théorie pro psychanalyste, et sur
les neurotransmetteurs encore plus vrais, ni plus ni
moins, vais-je enfin trouver un mec faisant autres
chose que répété bêtement ce qu'on lui appris tel un
récital appris par cœur?.
Le talent n'étant pas une garanti assuré par le diplôme,
vous en conviendrez, traité qu'un symptôme de
surface, sans en comprendre le fonctionnement
globale ni celui de l’individu dans sa globalité, reste
facile et d'une intelligence contestable; j'attends plus,
bien que je me crus visiblement fou, le pourquoi de ma
présence dans leurs cabiné, pourquoi autant de
souffrance et autant d’errance depuis toujours?;
d’innombrables questions me noient, j'étais désespéré
depuis si longtemps.
70
C'est vains, aucun psychiatre ne me fais avancé, j'ai
voulu voir, j'ai vue, aucun amalgame c'est une de mes
devises, question juste de pratique dite médicale, le
temps passe je me flagelle toujours autant, étant
persuadé que toutes ces péripéties étaient du à moi, et
rien qu'a moi, le responsable directe, mais indirect en
faite, c'est faut vous l'avez lue plus haut, facile et
lucratif d'édité une étiquette de malade bipolaire
fallacieuse avec une facilité déconcertante, question de
rentabilité, et en une seul séance qui plus ai, il fallait
me raccroché à un quelque chose, j'ai accepté, question
de survie, ma vie s’effiloche sans pouvoir y mettre des
mots. Justement comprendre ce que je ressent en
émotions est étrangement non édifié en mots,
inconnue dans mon registre en verbes qu'ils étaient.
Cet épisode dura 4 ans, m’étends oblitéré
inconsciemment de pensée par moi même, car je
trouve pas de bouton pour arrêter ce bruit
encéphalique, crois le je te le dis toi qui me lis, l'autre
n'a que le pouvoir que tu veux bien lui donner, j'étais
complice contre moi même avec l'autre dis, le druide,
qui dans le fond sait rien, le fond le comprendre
l'expression du symptôme ce qui serait intelligent leurs
échappe grandement, je le redis, pour nuancé et faire
valoir une véracité identitaire, ils ne comprenaient
rien, charlatant aux analyses surfaite. Une question
récurrente me reviens incessamment, qui suis-je?,
question me tarabustant régulièrement,
71
en parallèle je change de métiers avec des envies
pleines d'idées, beaucoup resterons en état larvaire,
un crève cœur car faire un choix tue le choix, cela
conditionne que je doive en laisser tomber en route,
dure dure, je repartis à la conquête d'un statu social
pour rehausser par égos ce mal être profond,
inconscient alors de ce qui se jouer, mauvaise pioche.
La vérité c'est un système de compensation. Je décida
de repartir à la conquête de mon ancien domaine de
prédilection, ultime tentative sérieuse, cher Dassault
aviation, teste d'entrée, je finis premier en théorie, je
serais donc pas si nul, je le sais mais pas vraiment
conscientisé, j'y rentre pas ce coup ci malgrès tout, en
intérim oui quelques années aprés, échec, ce rythme
effréné, la collaboration avec un autre mec aux
discours discourtois encore fini de m'enflammer,
j'aime pas la contrainte d'interféré avec d'autres
personnes non choisis, bis répétita, je me sent encore
seul au monde mes émotions enflammés.
Je le rappelle je relate ici des épisodes un cheminement
amenant à mon introspection, le but étant de savoir
qui je suis. La fièvre de la route à venir me viens un
Lundi matin début mai, il faut partir mettre les voiles
d'un ailleurs, je pense à Alain, une connaissance un
pote Franco-espagnole magnant bien sa langue
maternelle, l'espagnol.Petit chapitre d'un périple
aventureux pour capitalisé une vie en vécus, il semble
si vaste ce monde. Alain fort
72
surpris à 10h du matin d'une tel offre de s'évader au de
la de notre contrée habituelle. Ma vidange de l'auto
étant faite le samedi même qui plus ais, «toi mon ami
veux tu partir début d'aprés midi au Portugal?», ça me
ressemble pas, mais l'idée sûrement qu'être
accompagné me donna une sérénité qui abolit mon
anxiété légendaire, je le répète, dés que mon repère
géographique sans préparation mentale préalable est
abolis, une angoisse terrifiante me met en panique, ce
que d'autres ne les gènes aucunement, il me faut une
photo du lieu, ça va mieux, ressenti associé
antinomiquement à une envie de découvertes,
d'aventure, de s'affranchir de ce quotidien sécure
pourtant ou mes schémas quotidiens m'attendent.
je ne sais toujours pas pourquoi à ce jour, mais j'aurais
ma réponse vous le verrez bien plus loin, une grande
surprise de qui je suis lol, nous faisons ici une petite
parenthèse de vie, l'introspection reprendra de plus
belle aprés une maturation. Nous décidons finalement
Alain et moi d'un commun accord aprés débat d'une
tente à deux places de quelques affaires et de partir,
j'ai gagné quelques sous en travaillant dans quelques
missions d'intérim, ici ou la pour ce faire, on partage
tout, c'est une vrais satisfaction, enfin chose peut
fréquente pour moi surtout. On part direction
l'espagne avec une carte, c'est un plaisir c'est une
bonne chose enfin je l'avoue. On se regarde avec de
grand yeux pleins d'envie et de complicités en rigolant
bien, nos jeune frimousse bien
73
brunâtre passe partout dans le monde latin qui nous
tend les bras. Cette fois on n'y est ,on part dans mon
opel corsa pleins d'allant à la conquête d'un univers
méconnue, on passe la frontière à quelques encablure
de notre base habituelle du pays-basque Français au
pays-basque espagnole, mon interprète à mes côtés.
L'euro étant, les échanges en devises étrangère sont
abolis dans l'espace schengen, chose bien pratique j'en
conviens une telle globalisation européenne sur ce
plan ci. Sans plans véritable nous traçons la route en
chemin de travers ou de nouvelles règles nous
attendent avec leurs lots de surprises, il est vrais que
la tension entre frontaliers Français et Espagnole
s'estompe au fur et à mesure qu'on s'en éloigne, haine
ancestral de conquête napoléonienne et de résidus du
conflit franquiste certainement persistant et des
attenants de l'indépendantisme basque.
Ce dépaysement dans une avancée d'une inconnue
nous surprime allègrement par une diversités de
paysages montagneux à quelques encablures de
Bilbao en arrière, de cultures de champs couleurs ocre,
jaune, vert, à perte d'horizon ou rien d'autres ne
subsiste à l’œil nu bien plus loin, nous surprenant de
par leurs étendue et leurs splendeurs, ça me fais
pensées à des fractales dans le quelles on s'enfoncent
qui amorce un mouvement sans fin, nous suivons une
cohorte de véhicules, un accident ce faisant ou un
véhicule sur le toit est immobilisé, un scénario à la
74
Hollywood, une scène d'horreur ou secours et bonne
volonté s’affairent. Je roule à bonne allure
réglementaire sur une 6 voix en pente, inconnue dans
notre pays ou les chauffards te frôlent sans vergogne
à forte allure, mon copilote Alain tout aussi
impuissant car spectateur, ça nous gâchera pas notre
aventure juste notre attention qui est mise à l’épreuve
les cheveux aux vent!.
Notre chemin continue sans encombre, un auto-
stoppeur en apparence agréable tend un carton après
la ville de Burgos pour la ville de Valladolid nous dit
'il, après tout pour rigoler pour immiscer du piment
quotidiens une rencontre fortuite pourquoi pas, moi
même je fis du stop de temps à autre, Alain se faisant
traducteur nous l'embarquons, il se présenta comme
un routard.
Pour nous remercié ce dernier Nicolas sortis de sa
besace un cahier et de nous faire une caricature de
nous ces convoyeurs de fortune, nous faisons
connaissance gentiment entre des petites poses
verbale et pose pipi dans la station service pour ce
ravitailler, Nicolas était fluet de taille moyenne d'un
teint bien ibérique proche du mien métissé,avec
comme cheveux des rastas, ce faisant un sourire
communicateur, j'y comprend que quelques mots
Alain sy faisant mieux que moi, j'ai bien cru que nous
aurions eu droit à une rythmique de guitariste
résidant sur son dos, je ne voulu pas; la barrière de
75
la langue ne nous arrête pas, la culture nous
rapproche parfois, j'ai pas de drapeau dans mon
esprit, les frontières s'effacent. Nous approchons de
Valladolid ville d'une région très sèche, il est temps de
le déposé lui notre camarade de route ou semble t'il ce
dernier sème et signe de son passage à l'instar de
Léonard de Vinci sa sensibilité onirique et créativité
d'artiste, ok la comparaison est osé mais je lui souhaite
le meilleur pour la suite, chaque époque à ces
précurseurs ou re découvreurs.
Adieu garçon avec de grand au-revoir sincère, et au
grès du vent si celui ci le veux car le ressenti ne ment
pas sur l'énergie qui émane de lui. Tolède ce profil et je
ne peut m’empêcher de pensée à ces artistes en
ferronnerie d'art et d'épée. Nous n'avons pas de temps
à perdre la route défile dans des contrées désertique
pleines d'oliviers d'entrées de ranchs ou l'on ne perçois
rien comme habitations tellement ils semblent loin, il
est 20 h pas loin du moins, on n'a le temps mais c'est le
désert^^, Alain demande aux habitants d'un village de
bord de route ou déposé notre tente pour un repos
bienvenue, on se sent en sécurité sans savoir pourquoi,
nous étions bien reçu, nous sommes à 80 klm de la
frontière Portugaise.
1 er fois pour ma tente canadienne et moi même une
forme de dés-niaiseries d'escapade hors de nos bases
habituelle, rarement je me sent aussi vivant, espiègle
comme un jeune archéologue lors de sa première
76
fouille, j'envie presque la quiétude de nos hôtes d'un
certains âge, des sages d'un soir sur leurs banc à
humer l'air et les senteurs, sans se soucier en
apparence de quelconques autres pensées quelque
peut dérangeante, comme celles qui m'assaillent
régulièrement telle que celles de l’existentialisme ,
c'est rafraîchissant.
Nous avons juste le temps de monter la tente, la nuit
tombe dans ce patelin de bord de route aride au
paysage saisissant tel un village mexicain à la Sergio
Léone. Nous sommes sûrement l’attraction de la fin de
journée, quand bien même demain au petit matin on
repart aussi sèchement que tomber du ciel la veille au
soir. Alain et moi partageons tout, une vrais symbiose.
Le matin arriva sans trébuchement nocturne dans cet
environnement inconnue, la, nous
re-prime la route à la quête d'un inconnu avec des
oliviers qui jonche le bord de route comme seul
compagnie.
Mon Opel corsa tien le coup et la route, elle est
confortable et d'un bleue émeraude métallisé
saisissant, peut importe cette fois enfin nous passons
la frontière Portugaise sans coup férir, juste ces
vestiges récent douanier vide, nous y sommes, pas de
guide autre que nos envies et notre boussole, en effet il
est prouvée que c'est à l'instar des migrateurs
terrestres ou aériens, l'homme aussi aurait ce vestige
archaïque, un vestige de notre évolution en tant
77
qu'espèce, la magnétite, les grues en n'ont dans leurs
crane et l'homme dans ces sourcils et ces articulations,
je présume bien que inconsciemment cela nous permet
de bien s'orienter malgré tout allié à la magnétosphère,
c'est de l'ordre d'un débat scientifique du consensus
pour affirmer ou infirmer, selon plusieurs source c'est
un élément avéré, nous en sommes doté naturellement
semble t'il.
Nous continuons notre route de petite routes à des
nationales pour arriver en direction de Coimbra,
endroit inconnu mais comme pour Rome nous
cheminons vers elle, on reste fasciné par de ci belle
murailles lors de la route, des fortifications immense,
on s'arrête on photographie cette longue chaîne fort
solide et imposante, du médiéval ou j'imagine
aisément des batailles pour des joutes conquérante
d'on j'ignore les raisons. Nous arrivons à coimbra.
Alain me dis ne tenant plus en place , hombre ven
rapido me dit t'il en espagnole, ok mec t'excite pas on
n'a le temps, nous fume saisi d'un tel dés paysement,
moi peut linguistique le portugais m'est inconnue,
Alain fin limier comprit très vite ce qui sépare
l'espagnole et le portugais, en une journée grâce à lui
nous pouvons communiquer pour notre périple, il
comprend les portugais de mieux en mieux.
Coimbra est une des plus anciennes universités en
exercice en Europe et dans le monde, la plus ancienne
du pays, et un des plus importants organismes de
78
recherche et d'enseignement supérieur du Portugal,
don la plus vieille faculté de Médecine par ailleurs.
Nous passons bien au faciés nous sommes brun ,
l'ambiance générale est bonne, le décor inspirant pour
les poètes j'en suis convaincu, que dire de ces
magnifiques carreaux bleue relatant des joutes
guerrière ou autres sur les mûrs des églises, des
fresques, ce n'est plus une légende; Alain regarde lui
dis-je, ici c'était une splendeur de civilisation ya à
peine quelques siècle, ce qui c'est fais de mieux, cela le
heurte pas sur les symboles locaux et la lumière
ancienne qui rayonner, et resplendissez en son temps
par de la l'horizon, son objectif était moins achalandé
que les mien intellectuellement parlant, soit on ce
complète!, la richesse entre individus nous complète,
un repos de quelques heures et nous repartons vers la
côte atlantique après s'être restauré.
Cette fois aprés une pose bien mérité nous repartons
direction la côte atlantique, conducteur étant je prend
des chemins de travers direction intuitivement vers
l'ouest, de splendide décors à la végétation
méditerranéenne, petit fourrés buissonneux et de beau
rochet rond enrobé d'un végétation courte
verdoyante,ou aride, un régale, on roule lentement, un
personnage nous apparu au loin habiller tout de vert,
un contrôle semble t'il « à vos ordres monsieur le
gendarme », c'est la rase campagne bien paumé,
lorsqu'on passe les habitants rentrent et ferment leurs
volets, sûrement une occasion pour ce policier
79
d'être moins seul au monde en cette aprés midi torride,
il nous arrête, il a une vielle Renaud clio couleur verte
et exerce seul; On obtempère, tout nos papiers passent
au crible, no soucis !, nous reprenons notre route, nous
sommes soulagé.
Une bonne résolution de s'être paumé dans de ci petit
chemins de campagne, la «sauvagerie » apparente de
personnes qui s'enferment à notre passage nous
estomac , c'est pour de vrais nous y sommes.
Enfin une bourgade ce profil la semble t'il ou nous
approvisionnez, des vivres de secour, et de l'essence
surtout, à la vue enfin des panneaux de signalisation
nous disant, que malgrés tout la côte reste à proximité,
la cité de Figuera da foz ce profil.
Belle cité balnéaire que cette bourgade métissé, entre
d'un côté le Portugal ancien et des structures d'un bon
aloi, bien plus moderne que cher moi, surtout les
centres commerciaux, un récépissé à y regarder à
l'image de l'Amérique du sud, la misère et le
capitalisme côte à côte, une fracturation sociale à la
vue du vieux portugais typique, une charrette avec un
âne pour le tiré, avec comme chef d'orchestre un vieille
homme avec son chapeau noir et sa trique sur le bas
côté, un contraste saisissant ou accolé une myriade de
véhicule récent de bonne qualité, flambant neuf, à la
queue leuleu, l'apparence le dictât consumériste, du
m'as tu vue, la frime sûrement,
80
paraître, une bride de la société de consommation ou
l'image prime. Nous décidâmes Alain et moi de planté
un nouvelle fois la tente deux jours dans le camping
locale. Le temps est sublime mais un air frais de
l'atlantique reste présent.
Au petit matin nous faisons connaissance de deux
jeunes portugaise, Alain habile orateurs investigua
sur l'endroit en question, moi mon regard en dis long
sur mon attirance envers l'une d'elle:) … en portugais
aprés traduction Alain me rapporte « apprend le
portugais on verra aprés me dis telle », fort bien un
jour peut être mademoiselle ! …......j'étais pas confiant
en moi même la drague c'est pas un art bien cultivée
ni maîtrisé pour ma part.
On décide de prendre un sentier pour les hauteur de
Figuera da foz car le vieux port fortifié médiéval fut
vite visité. Nous engagions dans des chemin étroit,
d'un sol blanc, de genêts de plantations types
méditerranéenne, un délice, Alain on s'arrête luis dis-
je, le sol est jonché de fossile, nous surplombons avec
une vue magnifique sur des klm Figuera da foz, des
strates géologiques à perte de vue avec vue sur l'océan.
Nous avons longuement médité dans cette forêt
d'eucalyptus qui embaume l’atmosphère, on s'arrête je
remplis une bourse de feuille jonchant le sol, plantes
médicinal gratuite.
Deux jours bien remplis, ou durant l'aprés midi on
visite la demeure ancienne de nobles d'une lignée don
81
le dernier représentant fut tuer durant une guerre,
deux euros l'entrée, pas déçus du style renaissance,
accolé à de murailles plus ancienne bien constituer, la
vie n'est pas chère il est bien vrais. Cela fais 4 jours
qu'on part de façon aléatoire, nous quittons ce lieu
côtier pour direction la ville de Porto maintenant.
Je me sent limité pour communiqué généreusement,
Alain étant un interprète, cela étant la dépendance
n'est jamais souhaitable, les gens sont d'une simplicité
et t'aident sans détour, ce côté bien humain me donne
le sourire, j’entends de la bouche actuellement d'un
français exilé pour un temps me dire « actuellement le
Portugal c'est la France de il ya 30 ans en arrière »;
ok mais sans certaines infrastructure ni le social.
Étant en route un tronçon d'autoroute nous attends,
les véhicules n'ont cure de prétendu radar ou contrôle
de vitesses, les fous du volant ! .
Nous y voilà le péage s'annonce, ok rien de
transcendant, la queue s'annonce devant nous de
véhicules à l'arrêt, à ma gauche plusieurs véhicule
s'engouffrent, allons y, aprés tout c'est ouvert, je fonce
avec inconscience sur une éventuelle poursuite
judiciaire pour fraude, que ni ni je m'y risque, on passe
sans vergogne ni embûche avec rapidité, c'est fais la
voix est libre, l'argent n'est pas le motif Alain et moi
partageons tout, juste prendre un risque peut être ce
faire peur et ne pas attendre sûrement. Porto
82
n'est plus très loin. La encore on plante la tente
veinard d'avoir un temps sublime mais frais. Cette
ville est un grand chantier avec d’innombrable grues,
un peut terne et des galets ancien pour la chaussée, la
raison d'une réfection intemporelle tellement semble
gigantesque pour s'implanter au 21 ème siècle. Nous
restons deux journées, un restaurateur, un ancien
routier qu'il nous dit, en prenant un verre en terrasse,
fort agréable nous raconte sa vie, un ancien routier
international, la France étant son deuxième pays et
fort sympathique, je lui demande un brandade de
Morue, on peut bien s'offrir un tradition local. Alain et
moi après un au revoir chaleureux avec le dis
restaurateur partîmes en direction du vieux Porto. Un
vieux pont à la mode Eiffel qui constituent les deux
rives du fleuve Douro nous conduit au port d'arrivage
d'embarcadères pleines de tonneaux emplis d'une
liqueur bien local, le Porto !.
Très surpris nous fument de cette ambiance ancestrale
conservé, d'immense caves aligné nous font face, un
représentant du lieu dis nous arrive, un homme au
cheveux bouclé d'un blond châtain claire avec de
petites lunettes ronde, type suédois ,nordique, pas
vraiment portugais tout ça. Un petit plaisir des lieu en
souvenir nous avions envie, je demande à ce
Mr«pouvons nous acheté du porto ici?», oui , Alain et
moi fument surpris des différents Porto existant, super
dis-je!, faire un choix, dure d'en faire un me dis-je,
après une présentation, il a 10 ans d'âge, cela semble
une cuvée vieillissante,
83
autant de Porto pour autant de plats différents, il
s'appelle Porto Kopke, drôle de nom je trouve, pas
locale,ça m'interpelle, après recherche voici ces
origines.
La marque Kopke apparaît avec la famille allemande
du même nom qui s’est fixée à Lisbonne en 1636 où
Nicolau Kopke a eu la fonction de Consul Général de
la Ligue Hanséatique. En 1638, son fils Christiano
Kopke s’est fixé à Porto comme commerçant et
exportateur, donnant le commencement au procès
d’exportation de vin de Porto.
Le vin de Porto Kopke, reconnu par ses
caractéristiques et ses qualités, devient une marque de
référence dans le marché ayant un rôle important.
Après la mort d’un des membres de la famille, avec un
rôle de grande importance dans la gestion de
l’entreprise, qui n’est plus gérée au Portugal et passe à
être gérée en Angleterre. La difficulté à maintenir loin
la gestion de l’entreprise et les problèmes financiers
qui sont apparus avec la 2ème Guère Mondiale, a fait
que l’entreprise ait été vendue en 1953 à la famille
Barros.
La Casa Kopke a maintenu cependant une grande
indépendance commerciale. L’entreprise, au long des
années a été modernisée en ce qui concerne la
production et la plantation des vignes des plus
connues et de plusieurs cépages. En 2006, la Casa
Kopke est acquise par le groupe
84
Sogevinus qui a maintenu la marque tout en gardant
la même qualité, et le même prestige depuis son
existence et le même leader du marché des Vins de
Porto dans la catégorie de Récolte.
Voici pourquoi ce spiritueux locale s'appelle ainsi, une
péripétie familial, une bonne visite, nous sommes
satisfait nous repartîmes en direction de l'Espagne
puis de notre cher France, à Bayonne, la capital du
chocolatier de notre cher pays devenue comme tel avec
les juifs les commerçant d'alors. Une page se tourne de
notre escapade au grès du vent avec son lot de
surprises, doux dépaysement avec ces fractures social
entre nos deux mondes divergent, bien salutaire bien
rafraîchissant pour nos esprits tout ça, osez osons, on
n'a mis en pratique et avons osé. Fin de chapitre.
Avant cet épisode de vie j'ai évoqué une vision réelle
introspective du monde psychiatrique de ces
travers de ces pièges notamment, pour répondre à mes
tourments intérieur, à ce chaos social et mes prises de
positions nombreuses ubuesque et activités
encéphalique prégnante, don j'aurais tant voulu
qu'elles me fichent la paix ; au sortir c'est purement
objectif, subjectif, dans ces profondeurs systémique
que je relate ici pour vous évité des écueils, une
zététique (l'art du doute du scepticisme) ou les dit
'médecins', don on peut douté d'une certaine sainteté
85
mentale pour nombre d'entre eux. Ne soyez pas dupe,
une étiquette fallacieuse avec le médicament qui vous
rendra assidu dans leurs cabiné, rentable,le
médicament est le seul lien qui vous relie entre vous et
leurs assure une certaine rente intemporelle, ça existe,
soyez pas niaise, fuyez !; il faut trouver l'être
bienveillant, intelligent, ne répétant pas bêtement ce
qu'on lui à appris.
Quelques années de vie passent ou je navigue ici ou la
avec vicissitude et fois en moi même dans ce qui
m'était permis. Je suis toujours pas socialement
correct comme disent les gens bien pensant, je n'ai
toujours pas de réponses à tout mes tourments en tout
genre, mais comme relaté plus haut, un indice me fut
glissé lors d'une soirée arrosé par le mari d'une amie
d'école d'art, l'hupersensibilité.
j'ouvre ce chapitre qu'est l'hypersensibilité, une
singularité commune à certains humains. Je
commence par nuancé la sensibilité de
l'hypersensibilité, ce qui infine est somme toutes
différent. Tout humain est munis d'une sensibilité
propre proportionnellement plus ou moins élevés à
l'instar de la diversités la constituant, le continuum,
une échelle pour parler simple, c'est un faite, très fort
celui qui pense définir les sommets de celle ci.Comme
tacitement évoqué ci haut il résulte une différence
conséquente en terme d'intensité entre la sensibilité
commune à beaucoup et l'hypersensibilité. J'explicite
bien dans les pages déjà lu la difficulté de naviguer
86
dans cet environnement qu'est la société des hommes
contemporains qui plus ait, la société est violente; je
ne cesse de part mon empirisme, mon vécu, de
comprendre des subtilités qui passent au travers de
beaucoup d'autres personnes, munis d'une certaines
sensibilité dans divers situations, ce qui te touche pas
toi moi je le prend comme un boomerang en pleine
figure, au sortir la compréhension de ce qui se joue est
plus prégnant plus fine, la compréhension de ce qui ce
joue ne laisse pas indifférent c'est plus acéré, ce qui
rend très empathique, plus humain, rien ne te laisse
indifférent envers des causes nobles autres que
l'appétence du gain, de l'appartenance matérielle bien
souvent, et son lot d'injustices, les priorités elles
différents bien souvent, car l'intensité elle t'habite,
l'intensité reste hors normes envers la sensibilité
commune au plus grand nombre, envers le registre
Sensoriel et émotionnel d'une autre typologie
d'humain que j'évoquerais plus loin. les
frontières sont abolies en conscience de
l'environnement, une éponge. Combien de fois il m'est
arrivée de ressortir d'un lieu public angoissé ou
ressentir des choses qui me sont étrangères, souvent,
pourquoi je ressens cela?, une situation particulière
vécue, non, ça ne m'appartient pas, ainsi va le fait
d'être une véritable éponge de l'ambiance, dans
lesquelles vous êtes de l'instant présent, une vérité
sensitive non manipulable qu'est le ressenti du corps
de ses propres sens, le toucher, l’ouïe, la vision, ça ne
ment pas c'est ineffable, ça diffère de la sensibilité
87
l'ambda (ce qui ne ce défini pas par des mots mais tu
sais que c'est réelle), en somme tu le manipules pas par
la parole, l'intuition est par la même corrélée, tu ne
sais pas pourquoi mais tu sais. Des personnes peuvent
s'y retrouver, serte, il existe plusieurs types
d'hypersensibilité c'est évident, certains la refoulent
plus que d'autres.Il résulte une grande différence entre
celui qui gère bien ces émotions en étant hypersensible,
et l'autre versant. Se savoir hypersensible change la
donne, tu te contrains plus à te soumettre à un
environnement inadapté, par exemple. Le
masochisme inconscient n'est plus de ta norme.
Cependant, une fois bien assimilé, cette
particularité émotionnelle et sensorielle pour
l'inconnue de lui même, une fois mis un mot dessus, tu
en tires profit, c'est un autre cadeau du ciel. Nombres
de grands hommes ou femmes sont créatifs, c'est un
langage dont beaucoup d'adepte dans les écoles d'art
n'en démordrons pas, tellement d'éléments extérieurs
s'intriquent dans le cerveaux. Personnellement ces
années de travail d'intérim m'ont fait atterrir en école
d'arts, elles me furent salutaire pour m'exprimé, et
laisser s'exprimer mon hypersensibilité dont j'ignorais
encore ces années ci les contours, j'arrivais à mettre
un mot dessus. Ressentir l'autre et son environnement,
est une forme d'intelligence bien plus subtile que les
attenant du monde de Descartes, nous avons des
antennes en plus. S’immerger dans la société de
compétition ou l'on ta appris à faire ta place au
détriment de l'autre
88
est une difficulté parfois insurmontable, autant ce
protéger. Sur le plan physiologique, cérébralement,
l'hypersensibilité est corrélée avec ce qu'on nomme
dans son processus l’inhibition latente.
Ce terme définit une capacité moindre de l’amygdale
du cerveau à filtré les stimulus extérieurs, Certaines
personnes souffrent d'un «déficit d'inhibition
latente» ce qui engendre divers pathologies, les sujets
ayant un QI conséquent voire supérieur à la moyenne
traitent plus et mieux les stimulus extérieur, au sortir
ils l'expriment par de la créativité, dans l'art, le
bricolage et bien d'autres encore, les sujets ayant un
QI dans une moyenne bas se souffrirons plus de
pathologie psychiatrique les stimulations se
retournant contre eux. Un individu doté d'une
inhibition latente moyenne est capable de «mettre de
côté» des informations cognitives superflues, tels le
tic-tac d'une horloge, une odeur ou encore certains
détails visuels. À l'inverse, un déficit d'inhibition
latente empêche l'individu de s'habituer à la plupart de
ces informations cognitives et l'oblige à prêter
attention à de plus nombreux détails, entraînant
parfois des phénomènes de«saturation»
d'informations. C'est une explicitation du fruit de la
recherche d'une unité de l'université de Harvard. Pour
ma part un cancrelat rampant la nuit ou un tic tac
lointain n’empêchera de trouver le sommeil, le filtre
comme vous voyez est moins efficace, mais je ne
changerais rien pour autant.
89
Je viens de définir une certaines hypersensibilité. Il est
à parié que des gens comme Labé Pierre se
reconnaîtraient dans ces écrits-ci haut, c'est de l'ordre
de la divergence dans sa position propre dans le
monde de l'humain, être Atypique dans le monde de
la dite normalité temps vendu. Les attenants de la
pensée en arborescence, la prédominance
hémisphérique droit (c'est prouvé), fait foisonner des
connexions non linéaire décapant. Dans ce registre
d'un monde différent, attenant à une haute sensibilité
plus ou moins bien gérée, le pognon avant l'humain
intrinsèquement est une idéologie à combattre. La
nature humaine de prédateur sans concurrent direct
au sommet de la chaîne alimentaire agence le
déséquilibre.J'ai honte, oui j'ai honte d'être un
représentant de cette création qu'est l'humain, ce truc
hirsute, d'une bestialité destructrice créative, j'adule
ce qu'une certaine évolution nous confère, la main cela
dit. On conçois des cathédrales de monuments
millénaires serte, c'est incontestable, la nature
humaine profonde reste archaïque, n'ayant ni l'art ni
la manière dans sa coexistence de la diversité du
vivant, la sagesse, la noblesse se devant d'être un
évolution plausible sans garantie, nous somme une
ébauche agencée par l'environnement constitutif, une
ébauche rien que ça; mes semblables disparaîtrons,
c'est dans l'ordre des choses et franchement ça me pose
aucunement une quelconque culpabilité, on n'est lié et
non dépositaire. C'est un constat un point de vue
purement intellectualisé puis
90
dénué d'affect, mais réaliste, analyse froide, car
dénuer d'empirisme. A ce jour je n'ai pas procréé et j'en
suis fier, on n'est trop nombreux.
La conscience de nous-même est une nature à
acquérir, je le dis et le pense.
Pourquoi procrée exponentiellement ?.., alors que
dans notre cher France depuis 1945 le pays à gagné en
démographie de part sa politique familial 16 millions
de nos citoyens; bien entendu avec le concourent des
allocations familiales comme soutient, en incitant les
gens à faire des enfants et les élevés. Cette idée me
dérange au plus haut point sur le plan humain, oui,
payé les gens pour procréer, cela à t-il un sens profond
autre que d'assujettir à cet instinct primaire?, pour
quelle finalité?.
Avons nous besoins d'une telle masse humaine
expansive?,non, et pour cause. Pour tout dire tout ceci
n'a aucun sens véritable, autre que de donner un sens
à nos petites vies insignifiantes, réussir et faire sa vie,
n'importe quoi. Ou est la responsabilité ind- ividuelle
et collective limitante sur notre emprunte écologique
de la faune et flore et minérale?, ça n'existe pas;
pourquoi continuer à financer une telle frénésie
humaine alors que douze millions de personnes
croulent souffre sous la misère d'une telle condition
sociale dégradante?, ou survivent bien en dessous du
dis seuil de pauvreté?, non ça n'a aucun sens, inutile
sur le plan matériel, spirituellement non.
91
Je plébisciterais une politique familial raisonné en vue
d'une dénationalisation progressive. Il est utile de
rappeler qu'un prédateur une fois ses proies ou
l'environnement mis sous stress, il se régule de lui
même par force une fois sa ressource épuisée, ou il
disparaît totalement, faut il en arrivée la?.
Que pensée du misérabilisme humains stigmatisant
ces gens aux chômage en les faisans culpabilisé en
disant«tu touches, tes un feignant, un parasite, on
paye pour toi», la bonté humaine à l’œuvre alliée à la
générosité divine, la société est en partie responsable,
elle se doit d'assumer ces dysfonctionnement
structurel en assumant la dignité de chacun, je leurs
réponds «n'avez vous pas le sentiment de vivre sur le
dos d’autres sur la planète?» CQFD. Dans la lignée de
mes observations précédentes, j'en déduis que c'est un
élevage d'esclaves modernes ni plus ni moins.
Une lucidité acérée me le rétrocède. Je hurle d'une telle
situation d'injustice de méchanceté gratuite, l'argent
dénature l'humain le rend fou et vil, c'est un révélateur
neutre que je hais quelque part, je suis triste égratigné
en mon fort intérieur ensanglanté, la quête absolutiste
d'un enrichissement matérialiste, te fais pas de bill
mec la matériel t'appartiens pas, tu lui appartient tout
bonnement, comme le clébard que son maître porte
dans ses bras tu es son esclave!, c'est assez cocasse
quelque part. C'est un encrage à l'instar d'une
dépendance qui te rend esclave mais
92
pas maître de toi, toute dépendance je le pense ce doit
d'être reconsidéré, question de philosophie de vie, de
non-conformité aux plans et rêve de la planète,
l'idiocratie; l'éveille préfigure de ré inventé sa vie au
de là d'une domination de normes et codes sociétale
pour les bien-pensants et d'une certaines dite «élite».
Je me fiche toujours autant de «tout», une certaines
légèreté, du franchement foutisme une candeur qui
t'autorise à dépasser des interdits que autrui bien
intégré ne s'autorisera jamais, j'exulte,un enivrement
libertaire pour le dépassement de soi.
Toujours autant sur la corde raide avec mon humeur,
mes pérégrinations sans fin, une production
incessante d'idées aussi folle les une envers les autres.
A ce sujet ma condition d'humain singulière car l'envie
naît avant l'idée, quid?, je me plonge dans une étude
approfondie d'un intérêt restreint, rien d'autre ne
compte, je suis absorbée, je vie que pour elle, je
phagocyte toutes œuvres littéraire, archives du net, je
deviens un vrai spécialiste tant l'espace est occupé par
la préoccupation du moment, c'est très intense, je m'y
sens bien, ça me valorise, j'oublie de manger.
https://aspieconseil.com/2017/10/03/les-interets-
restreints-un-interet-pour-tous/
Au final je deviens un véritable expert, la temporalité
s’efface; un intérêt spécifique tempo-rellement
indéfinissable dans sa durabilité, une journée, une
semaine ou plus voir quelques moi, ça ressource et
93
instigue un bien être psychique qui me régénère, j'en
deviens quasi incollable, un expert dû dis sujet. On n'y
reviendra car je reste dans ma bulle comme un
extraterrestre, cette particularité après la découverte
de ce qui me constitue véritablement comme un talon
d’Achille de prime abord, non, un diagnostic finale
mettra un terme final pour comprendre qui je suis une
fois le tout intriqué, du comment je fonctionne,
l'analyse de soi c'est à vie, quand bien même la
particularité c'est une composante, ça ne définit pas
la personne.
Que fais-je ici?, ça ne me quitte pas, un sourire
s'affiche en moi à l'idée qu'un jour, ce chemin qu'est le
mien s'arrêtera pour d'autres contrée de vie incarnée
hypothétique, rien dans l'absolu n'est sur, la vie
humaine me semble tellement basique, outre le fait
d'apprendre tout ça me semble être une énorme farce,
un jour pour sûr je quitterais ce monde et ce sera une
délivrance. Je suis déjà fatigué il ya belle lurette, je
persévère, je m'accroche toujours, avec le doute,
pourquoi tout ça?, sûrement que j'ai encore à faire,
tout me transforme malaxe mon esprit de façon
féconde ou le vampirise.
Les raisons j'ai beau les chercher du comment se fait
til que j'ai toujours envie de ce monde mordicus
décadent! Je suis un survivant au tréfonds de moi.
Vivre au jour le jour voilà tout, pourquoi se projeter
plus loin?, pourquoi s'ennuyer dans ce système
sociétal de fou?, non je peut pas continuer, ça n'a au-
94
cun sens, la vie est trop courte pour endurer
l'inacceptable. Aller chères humains suivez la route
convergente du voisin de monsieur tout le monde dans
sa façon d'être et de vivre, la divergence m'éprend c'est
moins facile mais intense, d'autres adeptes existent,
chacun sa route, bon grès mal grès je veux pas revivre
ce chemin sinueux qu'est mon parcourt de jeunesse, en
vieillissant une sérénité la sagesse m'emportera, je
l'espère, c'est un prix on dirait bien pour parapher ce
cheminement tonitruant de fou!, je ne regrette pas tout,
loin de la, mais certains écueils il serait louable de ne
pas les vivres, j'en pleure presque, ça m'a façonné avec
dureté de façon mordicus.
Je parlais si haut de chemin convergent ou divergent
dans son fonctionnement et approche sociétal du
monde, j'affirme qu'il n'est aucunement question de
supériorité ou infériorité de l'un envers l'autre, loin de
moi. Effectivement j'estime que chaque vie est
différente, je relate ici l'esprit subtil, la spiritualité,
une approche différente métaphysique. J'aime à me
dire, c'est un joli pied de nez au destin, et à
l'égocentrique de service se pourfendant d'une
quelconque supériorité, que chaque humain vient
apprendre et chercher un quelque chose ici-bas plutôt,
une quête de sens?, peut être, sûrement même; en cela
aucun humain me semble supérieur à l'autre, les
valeurs et leurs contingences sont revisitées, c'est une
abolition de toutes vérités fondamentales admise
inhérents aux esprits rationnels mis sur le pinacle,
95
comme le penseurs de Rodin. l'exemple divin de Rodin
en devenir à qui mieux mieux force de constater. Les
barrières sociales sont abolies vous l'avez compris.
Chacun de nous avons notre parcourt, aucune vie ou
souffrance n'entre en compétition ni ne sont à
comparer, cela reste de l'ordre de l'intime et ne
regarde que toi ou moi, personnes n'a à juger de sa
route, juste la colère ou la peur, une violence nous
trompe dans la perception de cette approche. Je fais de
mon mieux pour conscientiser cette approche,
question du niveau d’éveille de conscience de son
environnement qui lie ou nous rapproche ou pas d'un
autre.

Je comprends le monde sous ce prisme, c'est l'un d'eux


du moins. Malgré mon sentiment de différence édité
dés le début du livre mon histoire relate une leçon« je
n'aurais rien appris à faire aux autres
différents ce qu'ils m'ont faits à la mienne à
moi».La colère la peur sont des émotions qui nous
dérive de la route de la lumière et nous font pêché, on
n'est pas bien on déjoue, comprendre amène de la
tolérance de la bienveillance.N'en faite pas une affaire
personnelle, sinon en répondant je me fais autant de
mal qu'a eux, du bon sens n'est ce pas?;). A chacun de
modeler son intérieur dans la plus stricte vérité
possible. Ci-dessus je relate le cheminement de vie de
l'humain, dans sa raison d'être profondément encré ,
mais non sociale, ainsi
96
j'ouvre ce chapitre. La stigmatisation d'un individu
en la société d’où les raisons restent multiples, cet
animal social comme d'autres espèces n'échappent pas
à ce lynchage et exclusion de groupes; le suiveur,
faire et être comme tout le monde est le chemin ultime
de bon nombre de mes contemporains, on reproduit à
y regarder le même schéma de vie,du copié coller; la
sédentarité de ce que j'en conclus ne rafraîchis pas le
quotidien de la plupart d'entre nous, c'est un récital ou
l'on reproduit inlassablement la vie d'hier, tu pars de
ton domicile à ton travail, tu fais le même job durant
des années pour l'adepte du CDI ou du long CDD
chérie, le même parcourt au retour en ton domicile, tu
vois les mêmes collègues tu fais les mêmes procédures,
de vrais robots biologiques bien dressé et programmé,
une perversion. A y regarder ce sont des pauvres vies
ennuyeuses et je le pense, la vraie vie, c'est la diversité
la richesse en vécus, et non ce simulacre d'existence
vendue avec son prêt à pensée revécue pareille au
même dés ton réveille au petit matin. Je pense que le
nomadisme reste une bonne alternative, l'humanité
s'est coupée de sa nature profonde et d'une richesse
oubliée perdue pour beaucoup. L'homme occidental du
moins de ce que j'en conclus n'aime pas ces derniers,
ils sont stigmatisés, pourquoi?; les braves gens les
bien pensants n'aiment pas qu'on prenne un
autre chemin qu'eux ha ha, voilà tout, il faut un
bouc émissaire aux braves gens. l'exemple des juifs en
39/45 le dénote, surtout en cas de crise économique.
97
la puissance des mots est redoutable, tout ça au nom
d'un dit confort matériel soporifique. Une question de
philosophie de vie, d'organisation différente. Je vais
partager ici des liens, des possibilités pour changer, se
libérer d'une partie du système bien trop confortable.
La mise en pratique reste une question de
conditionnement de volonté féconde, la liberté à un
prix, mais les chemins sont diffèrent pour
l'aboutissement souhaiter. J'attire l'attention qu'un
changement vient après une réflexion profonde et
émotionnelle, soyer clair avec vous, cela demande du
temps voire des années, de l'investissement, savoir
dire non de même. Une fois votre position sur la
représentation symbolique dans votre vie éclairée,
votre singularité vous apparaîtra. De nombreux
ouvrages philosophiques peuvent y aider.
Me concernant étant différent cognitivement cette
approche s'est imposés d'elle même, pour ce faire vous
l'avez compris de rudes combats et dépassement et
écueils me furent octroyer, je te le souhaite pas. On
n'est des re découvreurs vous en conviendrez, d'autres
hommes étant naîssent avant nous, des sources sur le
net existent pour les alternatives.
https://terredeliens.org/spip.php?page=accueil ou
https://www.colibris-lemouvement.org/pour les rebelles
sur le moteur de recherche, tapé «les moutons
enragés....»en dessous il ya divers propositions
économique seront faites trouver un terrain non
viabilisé, c'est possible pour s'installer, le P.L.U s’est
98

assoupli, la collaboration refait surface. Vous avez


aussi https://www.passerelleco.info/ ou bon nombre de
conseilles et d'exemples sont relatés car existants.
J'ai beau avoir visité sous d'autres contrées certains
adeptes survivalistes de tous genres( j'y reviens après),
un constat s'impose, le tout sans argent et réellement
utopique. On peut diminuer amplement son emprise
cela dit. https://www.france-microcredit.org/Le-
microcredit-personnel-19.html
Si des difficultés vous barrent la route, ici une aide
peut être étudié, sinon cela deviendra une vraie
Aporie( difficultés à résoudre un problème).
Autant ce faire passer à l'action, la subjectivité
naissante passe par la, je décida sous l'égide de mes
envies outrancières envers la société qui me vit naître
de partir voir Uli-Alto, coup de canif à son hégémonie
sociétale dictatoriale occidentale.
Être différents se caractérise par une démarche une
façon d'être singulière. Je partis avec ma Peugeot 106
par le pays basque Français, direction le pays-basque
espagnol, les montagnes via entre un bled paumé
perdu ou je suis censé trouver en bordur de chemin une
stèle indiquant Uli-Alto et Pampelune. Je finis par
trouver l'entrée de ce royaume perdus pleins de
promesses, chemins de rocher de trous de boues, je
roule en seconde me faufilant quand bien même au fil
99
des klm, mais ou sont t'ils?, j'avance et rien en vue, je
suis inquiet, ma voiture voit rouge chauffe, je semble
perdu, d'un coup au loin je reconnais le panneau tout
de bois avec les jumelles, le dis lieu du haut du chemin
rocailleux fort aiguisé. J'arrive enfin, la voiture ça sent
le cramé, 40 mn de trajet en seconde comme vitesse.
J'arriva et me présenta avec un cadeau pour ma venue,
oui j'ai quelques outils de bricolos, ça va aidé.
Je me sens perdu avec une emprise de déjà vue, comme
perdu sans mes repères, un peut paniquer. Sous un
porche 5 individus conversent sans trop me
remarquer, je fais le 1 er pas; J'y suis, il réside
quelques Français des espagnols, un allemands etc,
c'est cosmopolite. Je suis bien accueillis par deux
rouquins frère et sœur d'origine hippie Français, en
effet leurs parents l'étaient, les fondateurs de la re
habilitation de ce village espagnol abandonné ya des
lustres, de vrais anti-système rejoints par quelques
autres, 12 résidents principaux.
Ce microcosme de civilisation me laisse entendre ceci,
hormis parfois une cinquantaine de troubadour des
gens marginaux festoyant avec les résidents locaux de
passage, ces derniers bien humains fondèrent des
couples et quelques enfants sont nés ici. Après bien des
récits de ces derniers, un hélicoptère de la guardia
civile se posa un jour les observants, les enfants
conditionna à un retour plausible systémique car leurs
scolarisation fut débattue, un certain équilibre semble
à parfaire pour une conception de
100
la liberté sinon utopique(ce détachement sociétal hors
norme nous préfigure notre inanité), Jardin bio pour
l'alimentaire et des serres, des chevaux des ânes. Pour
l'eau, une roue fut inventé pour acheminer l'eau
courante de la rivière du contre bas, ou l'on manger en
commun le soir et le midi plus haut au séjour avec
internet, il ya un chalet fabriquer par un routard
artisans de passage, on n'y dormis à six dedans,
électricité compris, des yourtes. J'observa durant mes
deux jours à Uli-Alto une timbale, un geste pour aidé
au minimum d'argents les résidents principaux, tu
donnes ce que tu veux, avec ils font quelques courses
utile élémentaire à Pampelune, avec deux vieux 4X4
Lada pour le non fabriquer sur place. Je fis un geste,
une forme de solidarité d'échange, le principe me plaît.
https://www.youtube.com/watch?v=0BVTuU0S-8o
Vous verrez sur les vidéos les différentes infra
structures existante, c'était en chantier, depuis ça du
bien évoluer. Un autre village plus loin fut re matriculé
par d'autres aventurier des années avant, ils ce
visitent parfois. Ce séjour concrètement me fit
entrevoir une réalité ou tout n'est pas rose, ou la
diversité humaine cosmopolite existe, avec des règles
plus souple serte mais non évidente, la frontière
semble ténu entre un idylle d'autonomie et une
certaine conformité sociale de masse. Je repartis
joyeux, d'avoir surtout enfin mis en pratique ce
voyage tangiblement plein de souvenirs, et de
compréhension affinée sur mes envies concomitantes.
101
Il existe véritablement une différence visible, tangible,
et concomitante, une différence invisible que juste
l'inconscient de l'individu convergent ou du moule de
la masse peste, il ordonne ainsi certains méfait à son
encontre, c'est semi-inconscient; une certaine
bizarrerie comme je fus parfois affublé gentiment«tu
es différent», ha oui très bien merci ^^, cette fois ci
c'est concret. Je suis un survivant, je trébuche, parfois
un genou à terre, le phénix m' habite, une irrépressible
envie de vivre semi- consciente, car comme un
psychiatre, dis le druide, me dis un jour«putin vous
avez l'envie chevillée au corps de vivre vous!», parfois
je me demande pourquoi tant dans l'absolu la vie est
absurde, en cet instant me dressant devant la mort je
dis vertement provocateur« la mort je l'attends qu'elle
vienne».
La différence individuelle prenant les chemins de
travers sont utiles, oui je le rappelle, les bien pensants
devraient dire....merci!, les sociologues l'avouent,
nous sommes des explorateurs (trice), humain de
laboratoire, ils sont profitables à l'humanité pour
agencer un progrès plausible dans la société humaine
et des alternatives.
Sinon je rajoute que le terme consanguin est un
parallèle possible envers les sociétés humaines
structurelles, ça finit par une dégénérescence
systémique, la stagnation, puis sa disparition.La voie
ultime réside en soi même pour ce faire, et non dans
les livres ou la réalité intime d’autrui. Je rappelle ici
102
par la même que les réponses sont en vous, ne donner
pas du pouvoir indu à un quelconque préteur de prêt à
penser en vous enrôlant, tracé votre route sa route et
pas celle de tous du plus grand nombre, le
prosélytisme social et culturel; les psys ( même si
certains sont fort, une aiguille perdu dans la paille je
le pense),les gourous cachés, les religieux de tout bords,
même la philosophie enseignée peut être remise en
question, tel est notre vérité celle de notre être et fort
intérieur; je pense que la science n'amène pas
forcément vers la vérité, elle peut nous en éloigner. Un
constat s'étale, l'humain n'aime pas la vérité que ces
émotions lui assènent, se remettre en question n'est
pas facile, et encore moins être confronté à ses limites
ses défauts, sois en sûr il t'en voudra de les lui renvoyer,
«dis moi qui je suis je te dirais qui tu es», sonnant le
glas de l’empoisonneur se découvrant dans ce qu'il est
fondamentalement, On n'a tous notre chemin dont les
niveaux de conscience divergent entre individus, le
décalage, peut être l'avez vous attesté«c'est un petit
rappel»..
Pour ce faire, sa différence doit s'étaler, s'exprimer, se
matérialiser, au risque de rester fantasque ou de
passer pour ce qu'on n'est pas, oui, la différence se
paye cache dans ce dictat social, le vilain petit
canard vit tangiblement sa différence, alors toi qui
lis merci de ta curiosité, mais croit le bien c'est pas un
idylle ni une condition humaine de tout repos, cela dis-
je ne changerais rien car je n'ai aucun regret, mais je
ne revivrais pas tout, tellement beaucoup de
103
tourments de souffrances me furent assignés, si tu
veux en être prend tout, tous les tourments, et les
souffrances associés avec ces risques et périls, peut
être je dirais, tu réviseras alors que le prix coûtant est
beaucoup trop lourd pour toi et tes épaules. Je
rajouterais sans certitudes aucune, l'humain selon moi
ne peut évoluer, ni apprendre, ni se remettre en
question sans un certain niveau de souffrance accolé,
je cherche une utilité à ce ressenti de la vie comme la
mort l'est intimement lié.
Le confort soporifique tant vendu et recherché n'incite
pas, ou peut, à un chemin d'évolution progressiste de
l'âme, ou de la conscience de soi, même si l'évolution
n'intrique pas forcément un progrès, mais du plus
adapté certes, pas forcément les meilleurs sur certains
critères bien attendu, l'involution existe, la science
peut aider pour affirmer ou infirmer certains aspects.
Je diverge:), j'en reviens aux alternatives. Le
nomadisme en est une autre, le nomadisme est un
mode de vie fondé sur le déplacement; il est par
conséquent un mode de peuplement d’expansion
humaine, bien que l’avènement du pétrole précipita
cette dernière, c'est un autre débat. La quête du gibier,
ou d'un travail actuel a bien motivé les déplacements
des hommes, une économie de cueillette et de chasse
peut en être à l'origine, mais les plus grandes sociétés
nomades pratiquent l'élevage pastoral, où la tentative
de recherche de pâturage ou
104
déplacements des animaux fondent la mobilité des
hommes, c'est une définition. Contemporainement
l'aspect a évolué, c'est un gage une bride, de liberté
gagner de plus, liberté homme libertaire non
liberticide. C'est une organisation différente pleine de
richesses, et ceux importent le moyens, à pied, à vélo,
en voilier, à cheval etc etc …. je cite pourquoi lors des
pages précédentes les avantages envers le système de
masse, vendu aux plus grands nombres. Voici un site
bien achalandé , un forum concordant
https://fr.forumviesmobiles.org/regards-
croises/2013/05/22/nomadisme-et-neo-nomade-764
il en existe d'autres, à vous d'instiguer la marche en
avant, ce forum n'est qu'un exemple. Le nomadisme
est une philosophie de vie, l'aspect Mercantile
économique est inhérent à la volonté de liberté qui
prime, au pire un effet secondaire accélérateur de ce
procédé ou un phénomène d'existence. A chacun son
expression dans ce monde, la tolérance est de mise
pour les biens pensants, vous seriez surpris de
l'étalage d'un tel talent d'organisations, d'adaptation
anthropologique.
Le télé travail peut permettre ce type d'évasion,
l'émergence des jobs du numérique est un créneau à
exploité, la dite modernité apporte son cortège
d'avantages de «confort» utile pour gagner sa vie,
une chose vous l'avez compris que je trouve des plus
105
étrange, c'est un non sens de devoir la gagner, c'est
comme ça on dira paraît il. La liste des alternatives
est non exhaustive bien entendu, vivre sur mars ou sur
vénus ce n'est pas pour demain, les hommes viennent
de mars, les femmes de Vénus, une arborescence,
l'extension rappelant le titre du livre intitulé en ce
terme, pour la compréhension commune des deux sexe
diamétralement différents ; encore une histoire de
différence systémique pour interférer favorablement,
l'équilibre l'homéostasie.
Me concernant, étant rompu à être un galérien, rien
ne prime au dessus que de garder mon degré de liberté,
comme tout elle à une limite, souhaitable; ma
précarité sociale n'est qu'apparence, vivre de peu, de
presque rien, sans le sou, sans cette abondance inutile,
énergivore, qui accapare beaucoup de gens, ça m'est
pas indispensable, peu importe le moyen, vivre
chichement repousse nos limites, tout le reste
m'indiffère, peu importe le sacrifice, la liberté avant
tout!, le célibat choisi et sans enfants«on n'est trop
nombreux», pas de contrat tout cour, ça c'est imposé
de lui-même, quitte à vivre dehors mais organiser,
en Trek par exemple, être en harmonie avec soi même.
Surtout ayez les compétences, pour ce faire certaines
régions dans la diagonale du vide sont plébiscitées car
peu peuplé. En perspective d'une extraction
systémique extrême, ces lieux seraient l'alternative,
j'attire l'attention que ne pas subir sa condition est
106
une condition sine-quanon pour s'éviter un stress de-
structeur. Ne vous faite pas phagocytés par la peur ou
des raisons plus que de raisons. Fou vous dites?, un
brin de folie est nécessaire sans s'auto jugée, ce qui
n'est toujours pas évident, un conflit, s'affirmer, se
convaincre de son bon droit, car la critique envers soit
peut déranger en surchauffe du bulbe, je le vis, une
bonne sacrée résilience force de constaté il faille.
Bien entendu toutes forme d'autorités, étatique, ou
religieuse, pour ne cité qu'eux, n'aiment pas ceux qu'ils
ne peuvent contrôler, les vrais rebelles, les dissidents,
les anti conformistes, ceux qui voient les choses
différemment, ces derniers leur font peur, peur de
perde de leurs pouvoirs ou le reflet de celle ci, une fibre
paranoïaque, de la psychorigidité voire despotique,
d’où carrément une certaine défiance. L'acronyme,
SDF, sans domicile fixe, conspué, moqué, et craint, est
à revisité dans l'imaginaire collectif contemporain,
pour la réhabilitation dans la société et dans l'esprit
des hommes.
Il existe une alternative pour mieux ce géré, et canalisé
émotionnellement, sensitivement c'est loin d'être
évident, ce qui s'apparente comme un handicap, étant
reconnu comme telle, ma condition d'humain est de
diminuer l'enfer dans ce monde. J'ai médité sans
savoir ce que c'était, après mes lectures sur
Siddhartha Gautama dit Boudha, et sa vie dans son
plus pur sanskrit, un constat s'impose, tout humain
cherchant la paix intérieur peut méditer, il
107
a un tel mécanisme en lui, voici un lien pour
comprendre le précepte, débutant suis bien les
instructions.https://www.dailymotion.com/video/xmjmdoc'est un outil de
développement personnel. Il en existe d'autres, mon
hypersensibilité sensorielle, émotionnelle, hors
normes à l'instar d'une puissance, n'est rien sans
maîtrise, ça me flagelle, m'indispose, m'étrille à en
devenir taiseux tellement tout s’entremêle dans ma
tête, j'en perds le fil et mes moyens, je m'isole autant
que j'ai donné pour échanger tant la fatigue m'éprends,
me mettant tout simplement en danger par
dysfonctionnement, l'appelle de la nature est mon
repère, comme l'étaient les douches durant mon
internat au lycée, souvenez-vous; c'est le prix à payé
dans le côté sombre, car in fine, je somatise puissance
mille envers mes contemporains en terme d'intensité.
Les gens dit Atypique cognitivement, ou même
hypersensible tout bonnement me comprendrons,
un autiste asperger se relira ici« ça ne se voit pas sur
soi étant une forme légère, sans déficience
intellectuelle, peu connus dans la francophonie», dixit
énuméré en amont dans le livre. Je regrette rien il ne
faut jamais, surtout pas, moi homme enfant avec un
brin d’insouciance, je me permets de dépasser les
cadres et certaines limites, in fine tu ne vas plus loin
que d'ordinaire dans tes pérégrinations et actions, un
processus de maturation nous est indispensable à un
événement, la perte de repères met en panique et les
difficultés s'accumulent; doué d'une perception
compréhensive hors norme«hormis
108
si tu n'es pas bien, tu déjoues», ça nous rend comme
un éternelle émerveillée, comme un enfant, même une
fois que tu es devenue grand, adulte, que je suis
devenue envers une légèreté bienvenue nourrissante.
l'aspect d'être un caméléon dans ce qu'est l'autre, le
mimétisme par la même, un implicite capté, un
langage non verbal comme un rayon X sur l'autre en
face, j'absorbe telle une éponge l'ambiance
rayonnante, les flux intarissables d'informations, le
langage tu lui fais dire ce que tu veux, tu le maîtrises
comme déjà évoquées, mais le corps lui ne ment pas,
les incohérences te sautent aux yeux, bien des gens
peuvent s'y retrouver à quelque chose prêt, mais les
mécanismes sous-jacent divergent, il existe divers
degrés en cette sur-efficience bien singulière en terme
d'intensité; rien ne t'échappe inutile de mentir.
L'éponge, ce ressenti de l'ambiance et de l'individu te
laisse entendre, ça m'appartient ou pas?, un
dilemme!«rappelle», la subjectivité aide à trier. C'est
comme un sérum de vérité malgré le consentement de
l'individu, sans consentement formel. J'ai rencontré
Denis que j'ai côtoyé un temps sur Bayonne, Denis à la
truffe des émotions, je resta estomaqué de cette faculté
de lire dans ce type de registre peu commun, dans
l'intensité. Il existe aussi la synesthésie, une intrication
des sens, la vision ou un son te fait voir certaines
lettres en une couleur particulière à chacune d'elles, il
existe bien d'autres exemples de synesthésie. Je glisse
comme un aveu en me livrant dans ce qui m'est le plus
intime, inconnu car elle est
109
silencieusement et belle et bien impalpable. En
médecine l'alternative elle existe belle et bien, la
médecine Holistique, je vais explicité la différence
entre la nôtre, l'allopathique, envers la médecine
holistique, c'est fondamentalement important de bien
saisir les nuances. L'avantage de la médecine chinoise
ou indienne telle que l'ayurvéda c'est qu'elles
considèrent l'humain dans leurs intégralités, elles
traitent le fond et pas que le symptôme de surface!, et
oui!, et non de façon fragmentée telle que la nôtre en
Occident, elle traite qu'un symptôme de surface,
peuvent telles ce complété?; la médecine holistique n'a
pas vraiment besoins généralement de la nôtre,
antinomiquement la médecine Occidentale, elle, peut
bénéficier de l'holistique. La médecine holistique
traite les causes profondes et elle reste
véritablement préventive, sa conception elle réside en
quelques profils types physiologiques d'individus,
comprenant ses forces et ces faiblesses; fort instructif,
car l'apanage de la médecine chinoise, ou celle de
l'inde, leurs prérogative est de traité les faiblesses
avant que tu ne tombes malade, ou de risquer de
contracter une pathologie. Ces dernières pratiquent
aussi la chirurgie etc. La médecine Occidentale, ne
traite qu'un symptôme de surface sa rapporte
beaucoup de fric, sa paye, elle ne peut pas intriquer les
dits symptômes pour une compréhension fine, tout
comme l'ayurvéda par exemple sait bien le faire, sa
sémantique est diamétralement opposée, l'occidental
sa génétique
110
ne le lui permet pas d'être intelligente, elle n'a pas la
puissance préventive de la Chinoise ou Indou tel que
l'ayurvédique. Personnellement moi je préfère
l'holistique, mais les deux peuvent être utiles, je
garde notre médecine pour les urgences, la chirurgie,
c'est tout. Je pense résolument que nos médecins
occidentaux sont des dealers avec une blouse blanche,
avec la loi avec eux, mes lauriers vont aux chirurgiens
dont l'acte reste pragmatique tangible; sans compter
la prédominance, l'influence de Big pharma, don
l’intérêt est de faire un fric monstre sur les dites
maladies chronique !, douter toujours de ce qu'ils
vous diront, soyez critique et curieux d'un autre chose,
ça peut vous sauvez la mise, voir vous prolongez
l'existence si vous le souhaiter, la vie humaine la vie
tout court est un état précaire, médité bien la-dessus,
la vie est une maladie sexuellement
transmissible car mortelle j'en dis!. Ce rappelant
ou j'ai eu temporairement omis l'existence de la
médecine indienne; un temps pris d'infections à
répétition, notre médecine même fut impuissante, j'en
ai eu assez, elle traite que le symptôme rappelez-vous,
pas la cause; ma médecin ayurvéda diplômé
officiellement la-bas je vis, elle fit mon profil propre à
moi-même (forces et faiblesses) et mes
constantes,«vous avez le foie intoxiquer» me dis telle,
intéressant, «trop de médicaments et autres en sont la
cause, toutes vos défenses immunitaire sont cantonné
au foie, et pas mobilisable ailleurs efficacement» elle
entrepris de me nettoyer et de
111
régénéré efficacement mon foie avec une cure de
substances «herbes et substances à boire», que je
trouve aisément, traitement tous les jours à chaque
repas durant 1 mois, au printemps et automne. Mes
soucis se sont effacés rapidement, définitivement, mes
défenses immunitaires retrouver, et je n'ai plus eu
d'infections pulmonaires ni de crèves durant
longtemps. C'est un exemple. Même les cancers sont
traités efficacement, un documentaire vécu le relate,
une Française s'étant expatriée en Inde pour se
soigner, par peur de ce qu'on lui promettait en France,
car trop invasif et handicapant en actes divers.
A l'âge de 18 ans je lus un livre d'un américain, le
professeur psychiatre Michael Lesser comprit ce
précepte l'holistique, un renégat aux yeux de sa
corporation car ce dernier mis en lumière des
désordres chimiques, carences alimentaires et allergie
divers, il eut de bons résultats sur les pathologies
mentales, bien entendu il fut conspué, les corporatistes
suiveurs n'aiment pas les moutons noirs, c'est un autre
exemple. Je fais l'apologie de l'holistique
effectivement, le bon sens et la qualité prime. Chacun
ces responsabilités sur ces choix, c'est un partage une
ouverture sur un autre monde que je propose ici!.
aussi le jeûne est aussi une pratique à prendre en
considération comme alternatives, je vais l'expliciter
au mieux; ces périodes creusent en ressources
alimentaire endurée par nos ancêtres leurs conféra
112
des capacités physiologiques extra ordinaires. Durant
des millénaires les hommes préhistoriques les
chasseurs-cueilleurs, eurent à affronter bien des affres
et conditions climatiques, mettant leur capacités
d'adaptation à rude épreuve à défaut de nourriture
constante accessible, la nature étant bien faite
l’hérédité officie, le jeûne lui permet le dépassement
de soi, en boostant notre corps pour la survie et
dépassait une disette.
Le jeûne confère de bonnes perspectives pour le
cerveau, c’est évident, avec tous les changements
constatés, surtout sur la sphère neurochimique fort
bénéfique qui se produit dans ce dernier, surtout
quand nous jeûnons, tel que la production du cétone,
une énergie pour le neurone plus efficace que du
glucose. La pratique améliore également les fonctions
cognitives, augmente les facteurs neurotrophiques,
augmente la résistance face aux stress et réduit
l’inflammation dans le corps entier, une efficacité
remarquable contre les fibromyalgies, les maladies
auto-immune, le jeûne produits d’innombrables
substances chimiques, cela reste très bénéfique, ce
qu'aucun médicament de synthèse ne peut égaler, la
cellule se transforme littéralement, le système
immunitaire est assaini et plus efficace, par exemple,
les cellules cérébrales poussent. C'est un bon procédé
pour affamer les dites cellules malignes cancéreuses,
c'est bien connu, 21 jrs de suffisent. Pour ma part je
pratique sois 3 jours entier ou 76 h ou de
113
façons qui est le jeûne intermittent. Des documentat-
ions sur le net vous guiderons comment l'exercer. Le
carême ou le ramadan pour les religieux font office de
jeûne, l'abondance n'est pas ou peu naturelle, notre
organisme le sait trop bien, la mémoire génétique
existe, tant mieux je dirais, car voici une occasion de
plus de des s'apprendre ce qu'on nous inculque comme
étant vrais et la seule. A votre guise maintenant pour
vivre vieux, et en bonne santé si ça vous chante, sinon
vous déchanterez en enrichissant les praticiens de la
médecine allopathique, cet aspect- ci mercantile
m'horripile au plus haut point; j'ai une sainte horreur
qu'on s'enrichisse sur ma souffrance ou quelconque
douleur, je trouve ça très malsain.
Après cette rétrocession de certaines alternatives
libératrices, je ne peux m'empêcher de repenser à
Virginie, je rencontre Virginie une jeune femme
d'une trentaine d'années sur le groupe d'un réseau
sociale, ce dernier étant dédié aux gens hypersensibles.
Nous décidâmes de nous rencontrer étant proche à
peine de quelques encablures l'un de l'autre!, la
virtualité s'efface ; le profil de Virginie étant très
Atypique, Autiste asperger qu'elle est-on se complète
bien, je suis Atypique et couronner du Haut potentielle
intellectuel, surtout pour rappelle faire de hautes
études n'a rien à voir avec le haut potentielle
intellectuelle(hpi ou thqi), on peut faire de grandes
études sans l'être, c'est une façon de pensées et le dit
114
ressentis est différent, surtout il faut bien le
comprendre, je rajoute cet adage «ceux qui pensent
que l'intelligence à une quelconque noblesse
n'en n'ont pas assez pour ce rendre compte que
c'est une malédiction» c'est un rappel; surtout cher
lecteur médité bien sûr ceci. Je rencontre virginie fort
singulière, en apparence pas très arrêté médicalement
parlant, une marque de fabrique, ok je mets Virginie à
l'aise, on interfère bien, elle apprécie, nos
conversations sont épiques, nous divergeons en
convergent sur nos dites singularités, incroyable
qu'elle étrangeté, je suis différent elle aussi à sa façon,
et pourtant la convergence nous éprend, quelque chose
nous rassemble dans sa dite «pathologie», anguille
sous roche il y a. on va se revoir. Nous sortons
ensemble, c'est ma compagne je suis son compagnon,
je me délecte de son être tout entier, corp et esprit, tout
y passe, nos palabres au fondement insondable
coupent l'espace temps, frugalité , il faut un bouton
arrêt pour manger et dormir. Bien des aspects de
personnalités et particularités me concernant
interpellent Virginie sur la sphère sociale, j'écoute et je
me dis peut-être bien, ça me reste en arrière-plan
comme un sapement inconscient faisant son lit durant
1,5 an, un complément à ma différence. Virginie est
une autiste asperger, fort peu connue un France, la
France sur l'autisme si on peut la catégoriser ainsi à
40 ans de retard avec l'Argentine et ils restent les plus
archaïque de tout les pays de
115
l'OCDE, ça change pas, la France archaïque toujours
et encore sur la neuro-diversité, surtout vous
attendez pas à ce qu'ils le reconnaissent.
Finalement nous nous séparons notre histoire touche
à sa fin après des longs mois. Je travaille en auto-
entreprenaria un temps, 1,5 an s'écoule et j'arrête
l'activité, trop de stress les gens sont fous et moi aussi
sûrement. N'étant encore pas serein sur mon devenir
dans ce monde trop étrange dû à ma réalité par
inadaptation sociétale systémique, je me dis, quelque
chose manque, et si elle avait raison malgré ce que je
pense conceptuellement de notre science médicale
fragmentée?.
Je décida de vaquer à cette quête existentielle de qui
je suis, toujours prégnante et d'explicités certaines
difficultés récurrentes qu'est le Haut potentielle
intellectuelle et ces particularités qui ne suffisent pas à
m'expliquer. Je pousse pour voir le portillon de ces
professionnelles en psychologie et psychiatrie qui
permirent à Virginie d'avoir un diagnostic, mais j'ai
un doute de ce que je fais ici, autant en avoir le cœur
net, une pierre de plus à mon édifice ou pas?............, je
rencontre tout ce beau monde par paliers
temporellement, ledit verdict tombe enfin, ayant la
particularité neurologique, je tombe des nues, ma
définition en typologie humaine s'étale ce complète.
Bien des mois et deux années passent ou je ré-intègre
une part de moi-même, je comprends mieux, je ne
116
suis pas adapté à cet univers social conçus pour le plus
grand nombre, ccchhuuuuttttt il ne faut rien dire à la
plupart, j'ai le syndrome d'asperger avec «la
douance», qui à me voir en surface me croira?, peu, ça
ne se voit pas cette différence, je joue aux caméléons,
qu'on me fiche la paix, je veux plus souffrir et ne plus
penser à m'autoéliminer, je joue avec mes doigts, je
compte dans ma tête, je suis dans mon monde, je
pense tout en images pour mes évocations mentales
bien net, je parle un langage inhérent à Mr et madame
tout le monde, question de profondeur, c'est mes
secrets. Restons équanime envers soit, c'est une
différence neurologique, l'asperger n'a rien à faire
dans la psychiatrie, les vrais fous dit le druide
psychiatre, comme tacitement évoquer plus en amont,
sont obscurantistes en pratique par manque de
preuves scientifiques, je les trouve dangereux, je les
hais pour nombres. Au fil du temps ça me confère le
mérite de comprendre mon parcourt, de ne plus
culpabilisé, c'est le mien chemin, et pas le vôtre, ou
celui d'un autre, même si toi qui lit tu est concerné par
la neuro-diversité, dans ce cas tu me comprends, sinon
si tu es adapté du moule et fier d'être affublé de la
normalité sois en heureux, il n'est nullement question
de supériorité ou d'infériorité ici, mais de différence,
bienvenue à toi! , j'espère que tu ne seras pas trop dure
avec moi et mes écrits!. Je fais de mon mieux, je me
suis faits seul, je prétends pas connaître et avoir la
vérité sur tout , la sémantique en discourt de mon livre
le stipule pour
117
peut que ton analyse le comprenne ou la saisisse. Quoi
qu'il en soit je douterais toujours d'une étiquette, on
nomme les choses seulement, nous sommes plus
complexes qu'une étiquette, mais force de constater je
me comprends mieux avec des brics et des brocs sur
mon étrangeté. La typologie en terme me semble
plus adaptée que la catégorie. Une chose est certaine,
on ne se connaîtra jamais à fond, à l'instar de la vie et
l'univers nous changeons continuellement, la vie est un
chantier perpétuel, l'analyse de soi est réellement
constante et un périple à vie.
Méfiance, les diagnostics sont souvent
fallacieux, je m'en méfie, mais personnellement je
comprends mieux mon parcourt chaotique, tortueux,
il ya rien de pire de ne pas comprendre ce qu'on
ressent ou ce qu'on vit à défaut d'y mettre souvent des
mots, c'est terriblement déstabilisateur, c'est mon
dessin de vie, je me plains jamais. J'espère que ces
évocations écrites guideront sur certains aspects dans
leurs existences certains contemporains dons toi qui
me lit jusque ici.
En quoi et ton nous «supérieur», différents oui, je le
rappelle, il est clair que ce qui s'apparente à des
défauts nous rend plus bienveillant que la moyenne
des humains «normaux», c'est une question de
personnalités plus abouties dans la nature humaine,
bienveillance, l'hypersensibilité, l'intensité surtout une
sacrée différence, l'envahissement et l’intrication
118
des sens assènent des vérités d' ambiances et d'autrui
telles qu'un rayon x, telle une synesthésie, inutile de
mentir, la liste est non exhaustive car conséquente,
question de continuum envers les représentants
assujetti à une certaine norme; la nature façonne et
parfois je trébuche, mais elle compense par d'autres
subterfuges avec son intelligence bien à elle, non
quantifiable, ni qualifiable par nos petits cerveaux
humains parfois.
Et si tout ça n'est encore que pur délire??..., j'en sais
trop rien, je doute, le doute peut être un poison envers
la confiance en soi s'il est trop présent.Ce que je sais?;
notre science fragmente tout, échafaude des théories
basées sur un symptôme de surface pour le médicale,
elle ne traite pas les causes profondes «je le rappelle»,
la compréhension systémique et holistique rendrait
l'homéostasie possible sur la conception et
compréhension même de ce que serait le symdrôme
d'asperger, peut être; j’échafaude une théorie à mon
tour!.. le doute toujours.
Quoi qu'il en soit pour conclure ce chapitre de vie, ma
vision propre de l'individu singulier que je suis est
étayé, je ne suis plus un pur délire un fantasme ou un
ressenti. Expliquer ma complexité mes difficultés aux
gens semble insurmontable, peine perdue, je me fais
confiance, je sais et moi seul me comprend, je suis
seul un solitaire et je n'ai à convaincre qu'un seul être,
c'est moi-même, je me vis moi-même, je suis
mon secret pour la vie, une énigme pour toujours, ain
119
si va ma réalité qui joue au billard avec de multiples
réalités adjacente, humaine ou animale.
Voici un bout du récit de mon mémoire de vie
inachevé, bien entendu, Chronos étant ma seul limite
actuelle dans ce monde physique, voici un bout de
chemin.
Mémoire
Enfin je dirais, je change favorablement et me récupère par
étapes car m'étant perdue ya bien longtemps en sacrifiant
mon moi. Avant je n'existais pas mais survivais, étant
observateur de ce qui ce passe. J'étais épris de mutisme, une
façon d' être accepté, être compliant en apparence, je voulais
la paix !(depuis l'enfance),ma bulle s'était rétrécie,
j'étouffais mais pour qui ?, j'observais les gens, j' essayais
de les comprendre d'en faire des copains, voulant des
copains pour tout, peine perdue, juste des partenaires
d'enfance et d'adolescence.
L'image que l'ont me refléter, rien sans valeur, transparent
aux autres, souffre douleur à l'école souvent, pourquoi?; je
suis juste un survivant. Je comprenais que je comprenais pas
les réactions inadéquates des beaucoup d'élèves, des profs
aussi, l'adulte incarnant le modèle lui avait failli, le regard;
Paradoxalement les conversations des adultes
m'interpellaient on me disait d'aller jouer ailleurs. J'étais
dans mon monde, je m'imaginais seul dans ma tête,
d'innombrables mondes ou je me bats au prés du plus faible
pour la justice( justice qui n'est qu
'un mirage ici bas), j'étais un super héros étant un
120

battant, dépasser l'insurmontable, la ici ce fut mon


échappatoire ou tout me semble possible envers et contre
tous, étant ingénieur dans mon imaginaire, le défis de
dépasser le camp adverse, tout ce réaliser mon énergie était
intarissable un paradoxe au vue de la restriction d'alors!, je
suis un tacticien apprenant. Pour palier la solitude trop
prononcer voulant des ami(e)s, n'ayant pas d'ami(e)s,
comment avoir des ami(e)s ?, qu'es ce qui faisait qu'on
étaient ami(e)s ?, pourquoi lui et pas moi?, l'appartenance
aux groupes me fuyer, s'était vain, ma timidité et mais
approches pour éviter l'isolement physique et intellectuelle
furent timide, il me manquait les codes ce qui fait le lien, et
alors je pensée toujours à d'éventuels mondes ou j'étais
partie prenante, ne partageant rien avec ceux de ce monde
si, ni mes hobis, ni mes préoccupations d'alors existentielle,
juste le sport et des aspects tactiques, à part cela j'éprouve
de la colère, du mépris envers eux et de leur bêtise de leurs
manques de souplesses et de compréhensions, leurs
méchancetés gratuites.
A l'âge de 10 ans je ne parlais plus ou de manière restreinte.
La nature venue à mon secours, de l'authenticité, cette
symbiose me ressource alors, ma curiosité fut un zeste
récompensé, je m'extasiais devant la richesse de mère nature
c'est un cadeau du ciel, j'y trouvais bien plus en observant,
en écoutant, en sentant les yeux fermer que partout ailleurs;
seulement voilà, le monde m'a
121

enfanté il ya trois ans en 2008 , ma réanimation s'intensifie


depuis ce début d'année seulement, avant je sous vivais
j'étais toujours observateur de ce qui ce passer. Tous c'est
accéléré.
Depuis ce tout début d'année j'ai réellement pris mon
indépendance vis à vis de certains de la famille étouffante,
la remise en place à leurs juste place plutôt, de mon frère
aîné de mes deux ex belle sœur et belle-mère; de la sorte en
montrant qui je suis ce que je voulais plus, à dire être le
gentil petit garçon compliant faisant plaisir à tout le monde,
à mon détriment et mes besoins vitaux réels, l'empathie à
haute dose est délétère, ça se mérite maintenant, je suis le roi
de la survivance, dans cette société sclérosante je ne
m'exprimais pas, à l'âge de 6 ans j'ai fugué de l'école on me
ramassa sur le bord de la national à voiture je le rappelle,
j'aimais pas l'école, maintenant enfin je m'affirme bien mieux.
Je viens de faire une connaissance, une "entité"
puissante en moi, tapis dans l'ombre, observant, pleines de
désirs inassouvis, avec une main gauche redoutable prête à
en découdre, je l'admire et la redoute à la fois. Je sors du
coma, d'avoir joué un rôle, vivre ce qu'on appelle un faux
self (fausse identité),un trouble identitaire, dû à la castration
de mon moi. Les autres ont été mortifères, ils ont été
saccageurs de mon image, regards désapprobateurs, regards
du juge, m'enlevant souvent le peu d'estime de moi-même et
rayant mon image pleine de bleue, je vis la tout un
122

drame avec une once pleine de promesses, paradoxe, je suis


un scorpion de feu un phénix flamboyant qui me laisse
entendre, si je meurs ce sera entier en accord avec moi-même,
je me suit fais manger et le pire c'est la famille mes 1er
bourreaux, que dois-je en conclure, c'est de ma faute ?, quel
idiot, non, l'inconscient officie insidieusement en coulisses,
je me suis caché, et je me cache encore, j'ai peur
d’apparaître tel que, un être semble t'il " doué de sur
efficience accolé du dit syndrome d'asperger.
Ma prise de possession s'intensifie, le temps joue envers et
contre moi, j'ai envie de gouter à la vie, va telle me laisser
faire?. En pointant le nez dans ce monde la communication
se fit en décaler avec les autres personnes, je sais ou ils
veulent en venir en conversant, c'est l'ennuie (une piste),
finalement je me suis floué, résultat les autres gens sont
toujours pareil.
En accord avec moi-même, je vous en merde tous!, pourquoi
avoir peur du rejet aujourd'hui?, être seul ?, j'ai toujours été
seul, parler avec eux, oui bof, certains m'ennuient, j'écoute
par politesse, par empathie, éviter la solitude total,
j'interagis avec parcimonie, ne vous y tromper pas, je suis
bien dans ma solitude, elle m'est salvatrice, un gage de santé.
Les groupes me désavantagent ils me cannibalisent de
l'intérieur, j'interfère avec le monde de la pensée séquentiel,
ils ont cure de mon hypersensibilité, eux ceux de mon âge
tout leur passent au travers.

123

CURIEUSE SOCIETE :

Finalement je n'éprouve rien d'excitant dans cette ineptie de


société, donc "normal" acceptabilité. Drôle de schémas de
vie que les attentes sociétales, cela m'indiffère, quel est ici
l'objet de ma présence?, tous me semble vains, sans saveur,
incolore, dangereux, mais pour quelle finalité?, c'est la un
éternel recommencement tacite, la comme si j'avais vécu
d'innombrable vie, la répétition, naître, apprendre,
disparaître,. Le verbe apprendre, seule signification viable à
mon sens, dans mon esprit j'élabore, j'apprends à apprendre,
je sais que je ne sais rien.
Toujours et encore, l'aspect pragmatique me fais défaut
j'apprends à l'être, à exister en élaborant, le geste
d'expression est le prolongement de mon moi, comme la
semence est le prolongement de l'homme, et si c'était le sens
de ma vie ? et non pas bien-sûr une
idéologie conventionnelle?, toujours est-il qu'elle reste trop
conventionnelle et je m'en éloigne sans vergogne.
EXISTENTIEL:
Ce jour contrairement à mes contemporains je n'ai pas peur
de la mort , fou?, peut-être , à quoi bon avoir peur ?, la mort
restera toujours un mystère elle me fascine. En Occident
l'éducation judéo- chrétienne éduque et influence
malsainement, la société la tabootise, la diabolise, la"fin', la
peur, en cela la liberté humaine est entravée, j'apporte un
zeste de préparation et de second bon nan malan en
124

seconde j'apprends à vivre en apprenant à mourir, chaque


seconde s’égrenant, c'est une douce symbiose des entités, je
me sens léger et libre. Aujourd'hui force de constater que
j'existe mieux avec l'idée de mourir, suis-je nihiliste ?, je me
sens léger, plus libre quelque part. c'est en cela que ma
quiétude augmente encore, j'apprends de mon inanité non
pragmatique. De la découverte de ma sur efficience cela
m'insuffle un nouveau défi, fouiller mes combles avec l'idée
d'être à l’affût tous les jours de subtils éléments extérieurs
qui me stimulent véritablement, être enfin moi-même est le
défis de ma vie, probablement ma réussite personnelle et non
celle de la société; je sais qui je suis en partie je dirais ... et
non plus comme une ex personnalité de surface comme
beaucoup de gens avec le masque social, je dis rien mais je
sais que je suis dans le vrai, je suis en auto observance car
certaines peurs subsistent encore, c'est elles ou moi. Le
regard de l'autre, je peux me targuer d'une chose, le regard
assassin des gens m'indiffère, de ce combat je sors grandi,
mais cela semble jamais acquis à vie cela dit.

A y réfléchir je meurs pour véritablement renaître!,je change,


enfin, tous les jours je ressens que j'attise le désir, et l'envie
pour d'autres (mince), une certaine présence aussi, un
charisme me dit ton, ok, sûrement par ce que je me fiche de
tout semble-t'il ?, un coup de dérision je ne maîtrise rien.
Cessons d'être gentil soyons vrais, car l'être tout le temps
me semble pas
125

naturel ni souhaitable, question de justesse, l'empathie la


gentillesse se mérite maintenant, je reste correcte cool car
c'est ma nature de pacifiste, preuve que je m'affirme mieux
que le quand dira ton qui m'indiffère de plus en plus, j'en sors
grandi. De ce parcours mordicus je suis un survivant. En
cette année 2021 sans attache ni certitude du chemin de
travers à venir, vivre parcourir le pays le monde en trek?, fort
possible, prendre le Maquis si le dictat étatique covid19 se
renforce est plus qu'une option, qui sait?, j'avance pas à pas
en disparaissant à l'horizon insaisissable sans la certitude
d'un lendemain......... .
Fin temporaire …

Bien entendu tout ce qui est écrit ici m'est bien singulier, il
n'est aucunement question de croire, je vous invite justement
à faire votre critique personnelle de votre parcourt, c'est un
partage ou d'autres atypiques peuvent sur des aspects se
sentir beaucoup moins seul, et moins incompris, mais ne
croyez pas aveuglément comme le demandent les religions,
tel est le chemin. Nous avons tous un système de croyances
anobli par notre empirisme, faisant le lit de notre vérité et
réalité qui nous compose, mais aucunement une croyance
aveugle, tel est la différence, celui qui croit ne pas croire déjà
semble-t'il est une croyance, CQFD (ce qu'il faut démontré).
La spiritualité: j'émets une critique, le genre humain
capitaliste éhonté sont déshumanisé
126

et rendu vil par l'argent, et le pouvoir, je vaudrais pas mieux


qu'eux si j’adhère à ces versés, que les dit jean couillon de
la masse bêtes et méchant traduisant par, l'utile l'inutile,
versatile discourt de capitaliste. En cet année 2020/21 les
véritables raisons d'être du covid 19 posent questions « je
décide qui dois vivre ou mourir» du haut de leurs
supposé supériorités d’apparat d'élite terrestre la
collapsologie pointe, fin de cycle de civilisation,
inlassablement les répétitions de schémas systémique
se répètent, le temps n'est pas linéaire, tout se répète
mais différemment en spirale, le temps de la
spiritualité est l'avenir, l'ère actuelle c'est le morne
avec à l'horizon l'âge d'or qui lui succédera,
l'homéostasie. En mon sens qu'est-ce qui anime nos
vies ?; trouver un sens suprême, l'incarnation,
apprendre et évoluer point; tournant décisif?, une
décennie?, une sûrement jusqu'au seuil de non retour.
l'Occident et sa pensée sont une calamité mondial pour
l'humanité, profités de la faiblesses des autres hommes,
de son ignorance, de sa bêtise nous rendra pas
forcément meilleurs, un manque d'empathie de
bienveillance, un monde battit sur de tel fondation ne
peut que engendré une déchéance total, et disparaître
à son tour, des imbéciles; on n'est un animal social, en
tant que tel, il ya les dominants et les dominés, mais
la sauvageries nous habite, pas la civilité, du moins en
profondeur malheureusement. Le capitalisme, la
conquête habite le cœur des hommes parce qu'ils ont
peur, c'est un système de compensat-
127

ion pour combler un certain vide«à bon entendeurs»


et qu'ils n'ont pas apprivoisé la mort !, peu importe,
finalement la forme de nos existences est une
lapalissade, la casse matérielle et biologique n'a que
peut d'importance la dedans, la vérité demande une
consistance, autrement dit l'élévation est la source
'divine' à atteindre et quelle que soit les moyens, ni plus
ni moins, notre réalité terrestre n'a que peut
d'importance, peut être. Nous avons chacun un
chemin, une route différente pour grandir s'élever
dans un degré de conscience, qui je le pense engendre
un décalage entre humains et individus, nos niveaux
divergent. Aussi on ne peut régenter par la violence ni
la haine, temporellement ce n'est pas viable à l'image
de notre société contemporaine qui est résolument un
échec car non intégrative de la neuro-diversité et du
désenchanté laissé pour compte. En lisant, vous avez
constaté que je relate ici ou la avec parcimonie un
relent de particularités spécifiques à un type
d'individu, les autistes asperguer. Ce chapitre vous
est dédié et bien plus encore à un but pédagogique,
pour les novices, don le grand public sur ce qu'est
l'asperger ce dit «l'aspergueur», qu'est -ce donc?, Le
syndrome d’Asperger est une forme d’autisme sans
déficience intellectuelle, ni retard de langage, qui se
manifeste par un trouble affectant la vie sociale et les
perceptions sensorielles. Ce syndrome a été décrit
pour la première fois en 1943 par le médecin pédiatre
autrichien Hans Asperger puis remis en valeur par la
psychiatre Orna Wing en
128

1981. enfin Reconnu officiellement en 1994 par


l’association psychiatrique américaine, la définition
varie sensiblement suivant les pays ou les
organisations. Les personnes Aspergers ont une
intelligence normale voir parfois même supérieure à
la moyenne voire même avec de la douance, ils ont
souvent une mémoire impressionnante. Ils sont décrits
comme méticuleux et perfectionnistes. Passionnés, ils
développent des compétences pointues dans les
domaines qui les intéressent. Des personnalités telles
que Bill Gates, l’actrice Daryl Hannah ou la chanteuse
Susan Boyle feraient partie des 1% de la population
mondiale des gens Asperger de ce monde, sachez que
ça se voit pas sur de l'extérieur. Cette particularité
ressemble à un handicap sociale, la vérité c'est plus
une forme d'inadaptation social, ça pose question sur
l'étiquette handicap tant comme je le relate plus en
amont«ce n'est pas signe de bonne santé mentale que
d'être adapté à une société foncièrement malade». La
difficulté réelle subsiste à une difficulté à une
compréhension des interactions sociales et des codes
sociaux (pour rappelé)pour interférer efficacement
avec les gens, le langage verbal et les sous-entendus
sont mal saisis, il existe divers degrés 'd'atteinte'
certains s'en sortent mieux par compensation que
d'autres, surtout suivant l'âge(l’expérience),et si tu as
la douance associé ou pas, pas un ne réagira vivra
pareillement qu'un autre asperger, bien entendu Les
gens asperger sont particulièrement sensibles aux dit
129

sons et stimulations sensorielles multiples, ce qui


engendre une fatigue plus importante que chez
l’employé dit « typique» question d'être une éponge
qui confère plus d'informations sur l'environnement.
Ils sont aussi plus sensibles aux changements et
imprévus spontanés ,il me faut y être plus ou moins
préparé. Une imprévue peut devenir angoissant
déstabilisant, sauf pour les asperger à Haut potentiel
intellectuelle comme moi, ça m'a fait avancé. De ce fait,
un aménagement adéquat et adapté de leur
environnement de travail leur permet d’être plus
performants. Voici en sommes de quoi il en retourne.
Je me dis, au vue de toutes ces difficultés, plus celles
énuméré en amont je n'ai aucunement à rougir d'un
tel parcourt.
Le monde de l'entreprise : ils s’avèrent être un
avantage conséquent et compétitif pour les
employeurs, car ils présentent un registre de qualités
intrinsèques telles que

 conscience professionnelle excellente.


 Une forte maîtrise d'informations liées à leur
travail si c'est un intérêt restreint, un expert.
 Une grande créativité et une orientation vers
la recherche de solutions.
 Une forte capacité d'analyse, de la précision
du sens du détail.
 Le respect des règles, Une bonne mémoire .
 Le franc-parler et l’objectivité, la
persévérance.
130

A l'énoncer de ce paragraphe je rajouterais, on peut


douter franchement d'un certain désavantage,
personnellement je tends à dire qu'il faille un
environnement mieux adapté, comme tout un chacun
vous me direz, mais question d'échelle ou de
continuum, c'est non négociable, mais impératif pour
un autiste asperger (aspergueur).Pour information,
les asperger sont véritablement proportionnellement
des personnalités sans pli, des gens sur qui on peux
compter, je suis franc direct cache, on sait ou on va
avec un asperger, on peut lui faire confiance, il sera
droit, fidèle, pour les joutes amoureuses mesdames
sachez qu'on ne sait pas draguer!, hééé oui ça peut être
un gage de fidélité amoureuse ou une sécurité pour
moins tailler la zone.
De plus on ne sait pas mentir, on n'apprend par
nécessité mais ce n'est pas naturel, un aspi comme on
dit ne manipulera pas non plus pour un gain autrui, il
n'est pas mal intentionné, et n'aime pas faire de mal
intentionnellement, même si par mégarde et
maladresse il peut blesser par son franc parler, il le
fait pas exprès par contre, indulgence slvp lol. Vous
voyez ce qui distingue véritablement de la population
générale, c'est une personnalité bien singulière et
Atypique, sans le prisme des mauvais côtés du genre
humain, chacun bien entendu son tempérament sa
personnalité propre. Je reviens à mon énoncée si haut
sur le ressenti et son flot d'informations assujetti; au
sortir l'a compréhension est plus subtil
131

conséquente, une fois les informations sensorielles et


perceptives bien intriquées, bien souvent, dans divers
situations, je constate que que je saisis mieux ce qu'il
se joue, d'autres cela ne les impacte aucunement, ça les
laisse indifférent, personnellement je le prends en
pleine figure rien n'est laissé en suspend, ça fais une
sacrée différence au sortir question d'intensité!, une
hypersensibilité subordonnée aux sens. Il existe des
gens hypersensibles au degrés multiples, on peut être
devenu hypersensible suite à un traumatisme mais ce
n'est pas iné, par exemple une agression, mais ce n'est
pas comparable car la synergie du sensoriel n'est pas
au rendez-vous, par conséquent ne pas confondre,
mais faire la nuance, ça évitera à certains de ne point
se mentir et se fourvoyer.
Maintenant je tiens à remettre en place des préjugés
tenaces, les dit autistes asperger n'auraient pas
d'empathie, ha bon?, certains c'est plus ou moins vrai,
bien souvent c'est faut on n'est pas démuni d'empathie,
bien au contraire, et c'est la preuve car beaucoup
d'asperger se font exploiter car hyper empathique,
exploité car trop gentil, je le suis devenue moins à force
de claque de dés illusion, et de moqueries diveres et
variées, la vie cette grande école me l'a appris à mes
dépends souvent. j'ai progressé j'ai appris, coup essaie
erreur, un asperger teste beaucoup et apprend ainsi,
car rien ne lui est donné, rien n'est automatisé dans
son cerveau comme autrui mais c'est aux dépends de
beaucoup de souffrance, il
132

singe (imite) et reste un fin observateur, tout est


intellectualisé, le pourquoi ça donne des gens souvent
très intelligents, d'ailleurs bien que humble, j'ose le
dire, les gens qui font progresser l'humanité, les
grands découvreurs ne pensent pas et ne fonctionnent
pas comme tout le monde, Einstein d'après ses lettres
lu, serait un aspi dans son fonctionnement, on voit tout
en image et non en lettre dans notre tête. Les asperger
sont capable de brillantes études, toi qui lit fais du
révisionnisme de gens dis bizarre, voyer nous
différemment.
Les asperger sont des gens qui souvent ne perçoivent
pas le mal , ce sont de bonnes proies pour les pervers
en tous genres et surtout les pervers Narcissiques. Les
femmes sexuellement sont de trés bonne cible
malheureusement, et elles se font avoir(sans vouloir
faire de généralité attention); Je connais certaines
personnellement, deux femmes qui ont enfanté ou n'
ayant pas voulu cet enfant de prime abord, qu'elles
assument parfaitement par ailleurs, elles se sont faite
avoir plus ou moins, au sortir de leurs histoire plus ou
moins cabossée!, les femmes asperger sont à protéger,
car elles se font avoir et sont très fragiles socialement
et manipulable trop aisément, injustice.
Bien que moyennement intégré dans la société
contemporaine, au vue de mon discourt tout du long
de ce livre, je prends comme un grand merci à la vie,
le début de mon périple de vie semble et était
désastreux, je le concède, mais je tire parti d'une
certaine quintessence accolé avec ma maturité de ce
133

désavantage social, les tensions sociétales croissent, je


sors peu, j'ai besoins peu de chose, une certaine
indépendance et un gage une vertu, je dirais même
envers le reste du monde, je suis dans ma bulle dans
mon monde, on peut être célibataire et heureux dans
sa vie, à contrario de beaucoup d'humains qui le
comprendront pas, pour un neuro-typique nous
serions des bizarres et des gens dont il faut se méfier.

Pour un petit résumé; les gens asperger ne sont pas


plus intelligent mais différemment intelligent, surtout
bien le comprendre, c'est qualitatif je dirais. Je
continue mon bout de chemin dans cet univers
inadapté, ou j'avance comme un caméléon, parfois
imperceptible ou en faisant semblant,non, je ne puis
continuer je reste moi sans masque ni autres artifice
pour paraître, naturel, j'ai plus envie depuis un bail de
ce simulacre de jeux socials, stupide, épuisant, une
certaine naïveté nous accompagne autant se protéger.
Je donne ici un récit d'un autiste asperger;
Je suis légionnaire parachutiste, mais rassurez-vous,
je ne me considère pas comme un bas du front.
D’ailleurs, j’ai quitté la légion après avoir ouvert les
yeux.Quoi d’autre? Je suis Guyanais. Je suis atteint du
syndrome de Hans Asperger – je suis un «Aspi»
comme on dit – mais je ne le savais pas jusqu’il y a
quelque temps. Personne ne l’avait remarqué dans ma
jeunesse. Il semblerait que je fasse partie de ces
134

Aspi considéré comme ,«light», ceux du tout premier


niveau, dont personne ne sent rend compte, pas même
les spécialistes de la question. Avec certains tests sur
Internet, le résultat est négatif; avec d’autres, le
résultat s’inverse.Le problème n’est pas d’être atteint
de ce syndrome, mais bel et bien de subir la bêtise
humaine. Et cela commence dans la famille, puis cela
continue à l’école. Et dans la vie adulte, c’est la
catastrophe. Un Asperger est quelqu’un qui a un gros
cerveau, mais ne sait pas l’utiliser, mais surtout, il ne
sait pas se défendre. Du coup, il prend des «baffes»
tout au long de sa vie: en affaires, en amours, en
amitié... Et au bureau.

Je me suis fait emmerder, insulter, moquer, agresser...


Et à chaque fois, j’ai encaissé, ne sachant que faire. Je
n’ai jamais eu de problèmes avec les personnes au
comportement intelligent. Hélas, ils sont une minorité.
Quand un Asperger bénéficie d’un environnement
favorable, au sein d’une famille aimante et
chaleureuse par exemple, puis avec des profs qui ont
de la psychologie, cela peut donner... George Lucas ou
Bill Gates. Quand il se retrouve au milieu de bourrins
qui le cassent verbalement chaque fois qu’il se plante,
cela donne Jean-Jacques Mages, menant une
existence de merde, surtout sur le plan professionnel.
Et je ne suis pas défaitiste en écrivant cela. En 2004,
sur un site internet international, j’ai rencontré une
femme originaire de Finlande au nom peu scandinave,
Alice. Fin 2005, elle m’a demandé de
135

venir s’installer chez elle. Ce fut la connerie de ma vie.


Durant plus d’une année en Finlande, ce fut guerre et
paix, mais rien à voir avec du Tolstoï. Janvier 2007, je
prends un aller simple pour Paris, et c’est comme cela
que je me retrouve à Roissy avec un gros sac de voyage
et aucune adresse où aller. Mon frère et ma sœur me
conseillent «aimablement» de me débrouiller sans eux,
et j’obtempère car je ne suis pas un emmerdeur. J’ai
été dormir sur les banquettes de Roissy, comme
d’autres SDF. Ensuite, j’ai été baladé de droite à
gauche, de-ci de-là, en haut et en bas, sens-dessus et
sens-dessous.
C’est durant ces petites années de belle galère que je
prends conscience que quelque chose ne vas pas dans
mon cerveau. Et c’est mon médecin qui me met la puce
à l’oreille, car un de ses patients est un Asperger. Que
font les institutions et organismes pour ce genre de cas?
Ben rien, comme souvent dans ce pays. Démerde-toi
coco et compte sur la part de chance. En Scandinavie,
il y a des endroits, des suivis, des machins, des trucs.
Autre chose: les SDF ne le restent pas longtemps en
Europe du nord. Du coup, je commence à
gamberger.Voilà que j’apprends que mon ex-copine
finlandaise, Alice au pays des cauchemars, m’annonce
que je suis toujours officiellement hébergé chez elle,
malgré ma présence en France. Et quand vous pouvez
justifier de votre présence dans un territoire de
l’espace Schengen durant deux années, vous pouvez
demander un
136

permis de résidence. Je décide de retourner à Helsinki,


mais de manière plus adulte, cette fois-ci, en
m’inscrivant partout où je peux m’inscrire, et en
effectuant toutes les démarches administratives à la
con, en France comme en Finlande. Une ancienne
amie accepte de m’héberger le temps que je trouve un
job. Et voilà qu’en 2010, je reprends l’avion, en évitant
le fameux nuage islandais, et que je dors dans un
canapé, chose plus confortable que mon parking sous-
terrain. Bref, les choses se décantent. En Finlande, tout
le monde a entendu parler de ce syndrome. Ils essaient
de tout prévoir, car certains étrangers ont été
diagnostiqués Asperger.
Exemple: le service de l’immigration en Finlande
ressemble à un super Pôle emploi. En plus de l’aide à
la recherche d’emploi, y sont inclus un service de
psychologues et le suivi des étrangers. Dans ce service
où tout le monde parle et l’anglais et le suédois, voire
parfois le russe courant, j’ai demandé un rendez-vous
pour discuter de ce problème.
Au cours de l’entretien, l’employé m’a demandé de
suivre d’abord mon stage long (six mois) de langue
jusqu’à son terme. Ce que j’ai fait. Mon stage s’est
terminé très récemment. Comme je pensais, j’ai eu des
difficultés pour suivre les cours. Et j’ai appris, par une
indiscrétion, que le service de l’immigration avait
demandé à l’école de formation que l’on communique
mes notes. A la fin de mon stage je suis
137

retourné dans ce service pour demander un deuxième


rendez-vous. Je viens de recevoir la lettre de
convocation. Je sais ce qui va se passer: un
psychologue va me «cuisiner gentiment», et guetter
voir si je ne suis pas un simulateur voulant profiter des
aides sociales finlandaises. Je vais recevoir une autre
convocation sans aucun problème. Même si on est en
été. Je vais passer ce test et, si le résultat est conforme,
je serai classé comme Aspi.
A partir de ce moment-là, je serai réellement soutenu
pour trouver un emploi (ce qui est mon objectif
numéro 1) et un logement, car un service spécifique va
s’occuper de mon cas. Nul besoin de galérer pendant
des mois comme en France. Du coup, vous
comprendrez aisément pourquoi je n’ai nulle envie de
revenir dans l’Hexagone... A moins d’être contacté par
le secrétaire particulier de Liliane Bettencourt.
FIN du récit.

Cette petite histoire relatée journalistique-ment, relate


les difficultés réelles dans le pays dis des droits de
l'homme par certains aspis, mais ce n'est pas pour
tout le monde incontestablement tous ces beaux mots,
ça m'insupporte, je céderais pas, c'est injuste, je ne
serais pas clochard, je me battrais toujours avec verve,
je reste solidaire envers cet humain. Muni d'une telle
particularité, dou le parallèle de croire en soi, on n'y
revient vous voyez?, beaucoup de gens
138

apprennent à assujettir aux attentes d'autrui, pour


être aimé, aussi nous n'apprenons pas à aimer les
autres pour ce qu'ils sont!, mais pour ce que nous
voudrions qu'ils soient, croyez-le, un asperger ne
tombera pas dans ce panneau ou beaucoup moins, du
moins pour les profils les plus extrêmes je pense, il faut
d'abord arriver à, être, c'est pas le plus simple. Nous
devons nous soustraire d'être dans un rôle. En cette
période pseudo pandémie covidienne 19, ça prend tout
son sens, ne soyons pas victime, ni d'éventuelle malade
par la peur induite par propagande étatique, ni dans
ce dit rôle!, par croyance aveugle; ne céder pas
aux trompettes dues rappelle de ces chancres
scientifiques douteux, toute cette histoire viral est
illégitime, mensonge, manipulations, le vaccin tue,
le vaccin dû au graphène détecté par une équipe de
chercheur espagnol est un poison, il engendre
beaucoup de troubles à venir, voir la mort
spontanément en détruisant l'immunité naturelle, il
fait baisser le gluthation du corps, ce dernier est un
antioxydant naturel conférant une immunité efficiente.
Des troubles cardiaque aussi, des thromboses, des
dégénérescences cérébrales, des inflammations
systémiques et j'en passe seront à court et moyens
termes contractés, un futur génocide, les preuves les
données européennes sont accessibles. Je susurre à
l'oreille des gens ignorant la vérité, un virus, semé la
discorde envers ce chancre mou corruptif pour qui
139

fais du bisness, voir probablement d'autres dessins


moins reluisants. Le tribunal de Nuremberg devrait
être saisi, on ne teste pas cette technologie sur les
populations, c'est plausiblement de la démocide.
Désolé j'ai bifurqué!, soyez en sûr on me vaccinera pas,
je prends le maquis, cette mascarade n'ira pas à
l'encontre de ma légitimité, de choisir, question
d'intégrité physique a préservé tant le doute subsiste,
et de droit constitutionnel est bafoué, j'émets la carte
le sacro-saint principe de précaution. Leurs paroles,
leur bouchent perfide trouverons oreille à qui causé,
ne pas obtempérer est un devoir civic et un devoir
d'entrée en résistance même. Chacun est libre de sa
destiné, faite ce que bon vous semble, à chacun sa
responsabilité Charles!. En ces temps troubles nous le
vivons comme une trame historique civilisationnelle
qui fera date, j'y suis nous y étions. Parole d'un
insoumis car exact c'est le titre de ce livre!, mon
expertise d'asperger synthétise assez efficacement les
divers éléments lu, mais tout sauf des Fake news,
question d'esprit critique pour nuancé car c'est les
détails qui parlent et trahis les intentions et raisons
réelle. C'est une petite aparté.
Bienvenue donc dans l'univers d'une des différences
invisible, on n'y revient. Tout comme cet ex-
légionnaire cité si haut ayant fait partie d'une
corporation, bien des rituelles et procédures strictes
ayant place attirent ce type de profil à cheval avec les
protocoles. Je raconte ici après un désir naît un jour
140

don je relate l'histoire. Je décroche mon téléphone, je


compte m'entretenir avec la père supérieur d'une
communauté de moines, d'une des abbayes de mon
département plus précisément, je suis à bout de tout,
je cherche un sanctuaire; il est évident qu'un profil
Atypique comme le mien depuis les temps ancien
immémoriaux, surtout durant le Moyen âge, devaient
être un profil adéquat pour trouver refuge dans les
monastères, tranquillité, la non-violence physique, le
respect des croyants, le gîte et le couvert, et
l'instruction surtout etc en fit un sanctuaire tout
désigné; bien que cela semble une idée saugrenue au
vue de mon profil de rebelle, et athée qui plus ai, je me
dis, autant allé jusqu'au bout de ce délire je verrais
bien . Je me renseigne.
le père supérieur me reçois pour un entretien formel
au téléphone, ma demande est tel recevable!?.
J'explicite au mieux mon envie et idée de rentrée dans
les ordres, idées récurrentes moi le non croyant, en
arrière-plan une certaine peur me poussa derrière ces
mûrs protecteur éventuel, suis-je lâche ou juste une
idée farfelue de plus?, cette fois j'appelle «je me
présente père supérieur» dis-je, «je suis un citoyen du
monde qui s'est éperdument questionné sur la finalité
de celui-ci à s'y perdre, jamais à sa place dans la
société des hommes ou la superficialité pervertit les
esprits, la quête de sens toujours souvent sans réponse,
je me demande mon père, aurais-je ma place dans
votre communauté ou règne la paix des
141

cieux?, quelles sont les démarches pour devenir moine


de la communauté?». Le père dit « cher monsieur ici
nous avons des frères moine ou novices ayant eu une
vie en société avant celle-ci, vaux motivations et
propos sont louables, elles demandent une grande
réflexion avant de vous lancer dans le noviciat, c'est
un engagement total, de pénitence, de discipline, de
prière avec beaucoup de rituelles, levée 5h30 du matin,
on travaille et prenons nos repas en communauté dans
la prière pour notre Dieu Jésus», je dis «je pense que
Dieu peut m'aider mon père», je sentis un rire en
disant long, il ne semble pas croire véritablement plus
lui-même en Jésus crist que moi huhu, je réponds en
répondant, «je note mon père, j'aimerais croire en
un monde ou la quiétude de l'esprit imprègne
tous les aspects de la conscience des hommes,
je médite chaque jour sur ce qui anime ce monde, et
cherche la sécurité et la vérité en vain, je pense qu' une
force supérieure régit l'univers et non un dieu unique
(monothéisme), un architecte qui organise la vie et
l'univers», je dis ce que je pense, la sentence de ma
verve versatile sonnerait tel le glas de cette idée-ci?, le
père dit«mon chère futur novice qui avait les idées
claires je ne vous contredirai pas, mais je ne peux
m'occuper de vous plus qu'il le faudrait, bien que l'idée
me déplaise pas, en effet je pars sur Rome pour une
formation, mais la condition est, que si en immersion
de 1 mois durant vous vous accordez bien avec mes
frères dit
142

les moines, si oui c'est faisable, il serait souhaitable de


vous adresser à la sœur.... ce trouvant au monastère
d'Urt pour les procédures à suivre, après tout
pourquoi pas, si tel est votre volonté». je dis« merci
mon père pour tous ces détails, j'irais m'entretenir
avec la mère supérieure du lieu-dit...». une idée
diabolique me vînt, me voilà propre avec mes idées
démoniaques de rebelle refaisant surface, susurré mes
idées de rebellions à l'oreille au saint de la papoter, je
voie grand, une idée révisionniste biblique.
La paix à un prix, moi grand libertaire que fais-je
encore? ; j'ai l'accord de principe, le temps passe, je
regarde ce village d'Urt de loin sans en franchir le
rubicon. Vais je franchir le pas comme mes frères
asperger ya bien longtemps alors que ce monde
guerroyer?, l'idée se faufila temporellement pour se
dissoudre, et ne jamais mûrir dans mon esprit plus en
avant, autant invité le diable à la table du monastère
finalement à y repenser! ; mon côté HPI (haut
potentiel intellectuel) me tiraillera dans le sens opposé
d'un tel exercice monastique, je vis ceci comme un
tiraillement de deux entités, l'un le côté asperger
demandant sécurité et calme, et l'autre le côté HPI
aspirant à des aspirations opposés, à dire la
stimulation; la vie est belle n'est ce pas?, faut être
bien accroché, comme si j'étais dans le cockpit d'un
alpha jet qui modifia sa vitesse et trajectoire
soudainement à vous faire perdre toute orientations.
143

Nous voyons ici encore la difficulté d'une sécurité à


obtenir durablement pour un être aussi Atypique, ça
demande une certaine discipline, d'être ascète même je
dirais, d'avoir un vécu derrière sois et souhaitable,
je referme ce chapitre sur la neuro-diversité. Je vais
loin dans mes tentaculaires pérégrinations à l'instar
d'into The Wild à s'y m’éprendre, c'est à se demander
quand vais-je enfin me poser?, la vie c'est le
mouvement on ne peut l'ignorer dans son plus grand
renouvellement, même aussi extrême que cela puisse
paraître.

L'envie dévorante de la vie de la vivre m'envahis, c'est


un sentiment puissant, il m’imprègne de son flot de
désirs inassouvis ou pas assez assouvis, tellement de
possibilités adjacentes m'attendent à porter de bras;
je me projette en sac à dos ou à vélo, à pied, engloutir
les contrées les unes après les autres. Je recherche la
vérité, la vérité sur moi et sur nous les humains, sur
nos origines, l'anthropologie et l'archéologie restent
bloquées contemporainement sur des artefacts, des
fossiles de nos aïeux, des ébauches je dirais de la vie
qui nous représente. Les mystères de nos origines
s’amoncellent tel des mythes que le continent perdu
ensevelit par la montée des eaux après la glaciation;
la Lémurie. Ce dernier rassemblerait l’Australie en
passant par l'Inde et finir par Madagascar, une
histoire à dormir debout?, il n'est pas rare que des
marins-pêcheurs relatent des histoires régulièrement
ou leurs filés s'accrochent par
144

le fond, en effet sur zone les fonds sont très peu


profonds, de l'ordre d'une trentaine de mètres, des
restes de cités y sont visibles, que s'est-il véritablement
passée, qu'elle était cette civilisation oubliée dans
l'océan indien?; beaucoup de plateaux continentaux
furent engloutis par la dé- glaciation, la montée subite
des eaux, que leurs dépositaires soient obligés de
déménager avec leurs savoirs, soi par cataclysme
détruit à jamais, un mystère. ça laisse songeur, ça me
rafraîchi l'ordinaire.
Bien des lieux mythiques sans réponse laissent libre à
foisonnement de l'imaginaire, je pense bien à la
Mésopotamie qui relate l'origine de l'homme dans son
ensemble, avec Enki, Enki est un dieu sumérien ou
arrivant sur terre les Annunakis auraient visiblement
manipulé génétiquement des Homo-érectus avec des
gènes à eux, ainsi naquit l'homme moderne, un
hybride, spéculation?, je pense que l'homme moderne
est un accident de laboratoire.
Autant le dire les extraterrestres sont belle et bien ici
et nous ont souvent visités, que dire de la possibilité
d'une intervention Alien quand à nos origines
génétiques?, farfelue vraiment?, sachez que les
anthropologues n'ont pas trouvé le chaînon
manquant cher lecteur, le manquement de pièces
Darwiniennes de l'évolution reste pattant ici , ce qui
fait le lien entre Lucy de l'anthropologue yves
Coppens, ou hominidés de desinova, voir Neandertal
et nous autres dit l'homme moderne, don nous avons
des codes génétiques ou résulte une fracture béante
145

attesté entre ces diverses souches, pour la simple


raison c'est que le chaînon manquant n'existe pas!,
théorie?, non; temporellement on devrait attester de
ces traces, car il est plus proche de nous que ces
diverses formes de primate et d'hominidés divers et
variés. Bien étrange n'est ce pas?. Jolie histoire que
celle de Enki des Annunaki venue de la planète de
Neburu, une légende au culte fondateur de civilisation
en Mésopotamie relaté sur tablette;
ce dernier se disputa avec son frère, fortement opposé
à cette création biologique don le but était de faire des
esclaves à l'origine, mais surtout ils étaient venue en
ce lieu et place chercher l'or les Anunaki, nul envie de
laisser libre l'homme ni qu'il se repende, ainsi vin la
version Sumérienne de l'origine de l'homme. Les
sumériens sur les tablettes dénotent une connaissance
pointue du système solaire, ainsi que Pluton, qu'on n'a
découvert que récemment, qu'en dire?........ la
civilisation Mésopotamienne à 5000 ans.
Que dire de la mythologie du peuple Dogon au Mali,
ces derniers relatent la venue d'entité exogène venue
sur les terres des Dogons, leur expliquant d'ou ils
venaient, et leur enseigna l'astronomie et l'existence de
l'étoile Sirius B et Sirius C, comment les Dogons
pouvaient-ils connaître sirius B ?, n'étant pas visible à
l'oeil nu en ces temps immémoriaux?? ; son existence
fut mise à jour il ya peu de temps, Sirius C reste à
découvrir, très prenant n'est ce pas??!!.

146

que dire de tant de contrée avec autant de mystère


restant à découvrir par-delà l'horizon?, une liberté
certaine laisse entrevoir pour mes futurs escapades
dévorantes bien des découvertes tangibles. N’en pèche
en cette année 1980 une nuit d'été des gens frappent à
la porte de notre maison complètement effrayée, nous
vîmes une boule d'énergie ce balader dans le bois d'en
face, la voiture de ces 3 personnes ayant calé dans la
descente, à proximité de cette sphère lumineuse. Nous
étions six témoins de cette expérience ufologique,
quoiqu'on n'en pense nous étions la j'étais la, et j'ai vu
un ovni. En cette année 2020 en pleine nuit je vis un
autre ovni ce déplacer au dessu de chez moi, aux
trajectoires et d'une sublime accélération fulgurante
hors avionique contemporaine faisable. Cette 1er
rencontre du troisième type, fut enregistrée comme
rencontre extraterrestre dans le département des
Landes, et ceux à la gendarmerie nationale, ça fait
deux rencontres hors norme!.
Jeune enfant, je regarde un soir d'été le ciel pure
parsemée de nombreuse étoiles, j'étais absorbée. C'est
alors qu'une idée me viens« comment rapproché ces
étoiles pourtant ci loin l'une de l'autre?», j'imaginais
plié l'espace pour superposé ces deux étoiles, y faire un
trou, j'ai créé un raccourci galactique j'arrive du point
A au point B, les distances sont abolis, bien plus tard
ce qu'un jeune garçon inconnue imagina un soir d'été
devin une théorie en cosmologie«les wormoles» ou
tunnel de
147

verre, pour raccourcir l'espace-temps entre deux


mondes trop éloigner l'un de l'autre, qui les rendra
inaccessibles. L'imagination et la créativité féconde
restent un bon vecteur nourricièr de stratégies à s'y
m'éprendre. Une surprise semble promise à chaque
coin de ruelle, ou de sentiers, question d'ouverture à
l'inexplicable, d'être prêt à se sentir bousculer dans
son quotidien bien confortable mais sans relief.
Bien évidemment ce que je nome l'inquisition
scientifique nie voir retoque certains fais ou idées
précédemment écrits, ou cherchant un moyen de la
rendre plus acceptable à leurs yeux, en effet ce qui sort
du prisme universitaire officiel n'a pas sa place, quand
bien même les fais, les artefacts les insoumis
scientifiques hors cadre conventionnelle, eux font
avancer la science, ils n’y a qu'une vile résistance
éperdue de l'inquisition qui feigne d'ignorer ce qu'ils
ne comprennent pas, ou ce qui les dépasse.
Une certaines élite semble vouloir maintenir dans
l'ignorance l'humain sur ces véritables origines,
l'ordre établi, les religions surtout, les véritables
détenteurs de pouvoir en seraient fortement
bouleversés, certains ne veulent pas le perdre, Il ya des
gens visionnaires on ne peut les ignorer, à chacun de
s'ouvrir le crâne. Je ne crois pas pour croire encore
une fois, mais soyons au faite de tous indices, ou aux
faits à être intriqué pour avancer dans cette quête
libertaire, d'être sur la voie d'une certaine vérité qui
m'anime, c'est le maître mot l'unique viable.
148

Actuellement ma vie se résume à mon quotidien,


inutile de lever le menton voir un quelconque horizon,
pourquoi faire?, la précarité, ma norme, m'habille
avec un fichu caractère, j'aime pas qu'on me marche
sur les pieds, j'ai assez enduré, jours après jours ils se
profilent, se consument en soirée, puis un arrêt brutal
de conscience s'établit, un reset, comme si je regarde
une diapositive, un avant tout de noir, un pendant une
ligne de lumière, puis un rien encore tout de noir,
chose curieuse comme une alchimie miraculeuse,
inlassablement une répétition; sans grande conviction
aucune car je suis un éternel insatisfait.

Je ne sais pas comment on fait de l'argent, juste


quelques idées, fabriquer du collyre naturel bio?, pour
le côté allergique ou l'autre versant infectieux, les
plantes?, je les ai je les connais, ya plus cas, les idées
s'impriment s'amoncellent serte, j'y réfléchis, je me
sens portée dans un tourbillon de vie dont c'est à se
demander si je me complais pas dans cette situation
quelque peut inconfortable?, je reste sans réponses,
c'est presque un déni de soi, qu'ais-je connue d'autres?,
mon fonctionnement Atypique me suggère t-il d'autres
perspectives?, juste un équilibre reste à parfaire, jouer
à se faire peur comme un neurone demandant sa
dopamine ou de l' adrénaline. La quête de l'argent
m'indiffère, devrais-je en faire
ma quête?, ignominie j'en serais pas friand car la pe-
ur de le perdre m'attend en bout de ligne, quitte à
149

perdre autant ne rien gagné ou juste de quoi. Je


cherche à l'écriture de ce livre un toit avec un point
chaud, quelque chose de simple m'ira très bien, un
confort aux minima en toutes simplicités qui m'habite,
tel un enfant que je suis, bien insouciant don les
dangers des difficultés me semblent inconcevable,
juste une alerte mûrie en moi pour éviter le dédale de
difficultés insolubles.

Je loge chez ma mère en balance entre diverses réalités


plausibles, l'inconnue me fais peur entre-mêlée
d'envies d'évasion, la balance penchera bien d'un côté,
il faut être prêt être mûr, j'en conclus que si tu ne subis
pas, rien ne peut te dégrader salement. A l'écriture de
ces lignes, j'en conclus que s’insinue seulement un
doute au plus profond de moi, lâche moi un peu s'il te
plaît; pour en revenir à toi on n'est parents jusqu'à la
fin de sa vie, merci chère mère, mais c'est encore cet
ennui existentiel qui me quitte pas, comme si nous
étions mariés pour toujours en plus. En attendant de
savoir sur nos dites origines anthropologiques
éventuelles comme tacitement évoquées partiellement
précédemment, cette course à la marchandisation
mondialiste est alliée à l'idéologie Marxiste, qui est
orchestrée par la géopolitique et ces influences
multipolaire. Qui de bien éveillé à ce qui se trame dans
le dessous des cartes géopolitique peut t'il rester
placide?. A l'instar de la vie le bon sens défini que tout
est intriqué, bien que nombres de nos sciences
Occidental fragmentent
150

ces dernières, agonistes et antagonistes jouent leurs


partitions, question d'intérêt nationaux. L'empire des
states(usa) instig-ue une pression sans précédent avec
des alliés de circonstance ou historique, nous la France
nous les Européens.
Les USA perdent de leurs influences, les bons du trésor US perdants de l'attrait est un signe comme
tacitement évoquer au début du livre, les échanges et les achats entre états boude le dollars comme
devise unique, l'Occident ne régira plus les affaires du monde seul, et c'est temps mieux!, soyons
réaliste envers le bilan de ces adhérents reste calamiteux, pour tout dire j'ai même honte d'être Français,
que fais-je dans cette bouffonnerie d'états pleutres soumis inféodés?, comme l'est la communauté
européenne, j'ai honte de cette faiblesse systémique, j'ai honte de cette fichue naïveté, de ce manque
de courage de nos représentants, notre inconséquence structurelle de nos institutions politique, et
ambitions industrielles sont patentes. J'ai honte d'être Français pour les multiples raisons invoquées
dans les chapitres dans ce livre, ni Dieu ni maître, je n'ai pas de drapeau, le ras-le-bol de toute cette
faiblesse et médiocrités environnante, et systémique, et le mal qu'on ma fait ont sonné le glas d'une
cohésion admissible, cela dit je vais énumérer un long chapitre sur le déchaînement sur notre état, et
de son inféodalité envers l'oncle SAM dis les usa qui m’équerre. Nous n'avons pas les moyens dit
systémique de se soustr-
151

-aire à la volonté de cet Empire contemporain que sont


les USA, c'est une question de moyens à mettre en
œuvre, je citerais par exemple le système swift, c'est une société
résidant en Belgique, tous les échanges et paiements bancaires nationaux et internationaux passent
par lui, votre carte visa c'est lui. Pour infos sachez que les Américains ont fait pression pour couper
l'Iran du système swift, le pays ne pouvait plus échanger ni acheter, ce fut le chaos économique, à la
vue d'un tel chaos les pays non alignés tels que les BRICS ( Brésil, Russie, Inde, Chine, sud-africains)
mais surtout la chine et la Russie eurent créé leur propre système, le Cips pour la Chine, pour la
Russie le système Mir, ainsi ils se préservèrent d'un tel destin, la communauté européenne est
dépendante de swift, il est évident qu'il faille ce posé la question que faisons-nous pour s'émanciper
en créant le nôtre?, c'est un autre débat.

Nous n'avons pas les moyens de se soustraire tourner le dos aux USA.Partout ou passe l'Empire
américain, ou ces derniers instiguent une quelconque influence c'est la déstabilisation des états, ou de
différents groupes ethnique et religieux qui à leurs tours sont instrumentalisé, la raison est de mettre
en place une opposition au régime en place afin de s'octroyer les ressources pétrolières, gazière,
minérale, la France instigue cette doctrine de déstabilisation à son seul profit infine de prédateur, elle
l'a de tout temps fais
152

mention de cette pratique en tant qu'empire. Je cultive une certaine défiance, une colère brute, voir
de la haine envers toutes les institutions de ce pays. Les raisons sont déjà évidentes au vue de certains
chapitres du livre, mais étant idéaliste ça en rajoute une couche envers ces malversations un peut
partout ailleurs dans le monde, je vais en énumérer certaines.

L'injustice tien la corde, nous le pays des dit droits de


l'homme jouant une partition de déstabilisation en tant qu'associé de l'empire des states, à l'encontre
de la Syrie, je prends cet exemple, je vais énumérer les
dessous des cartes, je vais dire la vérité, et rien que la
vérité. Selon certaines source géopolitiques sûres, nos
services secrets instiguent la déstabilisation et
l'armement et la formation de mercenaires qui tue des
civiles innocents syriens, semé le chaos, c'est à vomir,
injustice, le but détruire ASSAD le président Syrien et
son armée et le pays tout bonnement, l'état islamique
ou Daesh et son chef «al-Baghdadi», ce monstre armée
étant la vérité créé par la CIA; le but légitimé
l'intervention des occidentaux soit dite en passant au
nom de la sacro-sainte démocratie et des droits de
l'homme bafoués par le dit dictateur Assad,
Bien entendu la plupart des gens ne savent pas le
cynique jeu de dupe, la vraie raison, c'est que les alliés
occidentaux voulurent faire passer un gazoduc
partant du Qatar passant par la Syrie puis la Turquie,
pour ravitailler l'Europe de l'ouest et ceux
153
sous l'égide des états unis d'Amérique voulant sortir
l'Europe de l'ouest de la dépendance russe en gaz,
diminuer par la même les dividendes de Moscou,
l'affaiblir dans son pouvoir d'influence. La vérité
Assad ne voulut pas que ce gazoduc passe dans son
pays(ni les Russes d'ailleurs), la sanction ne tarda pas,
les usa et nous ces fameux alliés de suiveurs inféodés
avons détruit un pays entier, massacré des villages
entier pour en prendre le contrôle. Échec et mât, la
valeureuse Russie avec ces intérêts propres entra dans
la danse, bombardement et soutient divers sonna la
glas et ambitions des pays alignés, ceux des salops
véritables.
Doux raccourcis car à l'instant ou j'écris ces lignes le
conflit est encore tambour battant, l'armée syrienne à
presque reconquis son pays en entier, quelques poches
de résistance de milices instrumentalisées, de
positions Turques sévissant contre les Kurdes ennemis
de toujours, et près deux milles soldats US dans une
enclave résident pour ne pas perdre la face en faisant
acte de présence, c'est très symbolique. Mes dents
grincent, pourquoi ne pas partager?...,
pourquoi autant de souffrance?,l'emprise du mal est
manifeste, je pleure du non-droit à la paix, finalement
la justice l'emporte, les agresseurs sont refoulés et mis
hors jeux. J'exulte, le mensonge, la perfidie, la
manigance a déjoué et fait place à la légitimité. Sur ce
chapitre-ci, la seconde option sera que sous l'égide de
l'ours Russe un gazoduc passera
154
bien par l'Iran, et la Syrie, direction l'Europe de l'ouest, fin du jeu. Cet épisode dramatique jouait en
partition par l'Empire contemporain n'est qu'une lapalissade, partout ou sont les USA partout le chaos
règne, comme au Venezuela pour ne cité que ce cas typique de géopolitique; la encore déstabilisation
de l'état en minant les infrastructures sociales du pays en semant le chaos; pétrole et minerais et terres
rare en sont les clés de voûte et la motivation suprême, franchement croyez-vous encore à ces versés?,
que c'est pour défendre la démocratie et les droits fondamentaux des gens??....., soyez plus dupe!, le
mal le loup est bien dans la bergerie, nous le sommes en guerre mais pour la ressource, la guerre
hybride, les guerres régionales.

Autant avoir une autre conception que cette brutalité de cette violence, étant à contre-courant du je
mange pour être mangé à mon tour, l'humain est un prédateur pour lui-même, étant au sommet de la
chaîne alimentaire car il est seul.
Au vues d'un tel dédale de sable mouvant terrestre, moi globe-trotter en devenir autant être bien
instruit avant d'arpenter ce vaisseau spatial nommé terre ou Gaia. Quel courage qu'ils ont tous ces
gens, les grands reporter, les balances politiques ou autres parleurs de l'ombre qui assène la vérité,
gloire à vous les combattants de la lumière.

155

Le révisionnisme m'éprend, terme emprunté à des


faits appartenant à l'histoire de la Seconde Guerre
mondiale, tendant à nier ou à minimiser le génocide
des Juifs par les nazis par certains, tout comme fut
détourner le terme «résilience» par la psychologie,
terme employer à l'origine par la métallurgie « c'est la
capacité à absorber un choc sans se briser en
retrouvant son état initial», c'est juste un petit aparté.
Un rêve mais d'une bonne facture imaginative, rendre
tangible le monde souhaiter, je ne peux changer toutes
les réalités adjacentes à la mienne, encore moins celles
commune à tout le monde, les règles systémiques, dans
ce cas autant régir ces règles propres en ignorant
celles de la masse trop contraignante ou illégitime car
bête, contestable, ainsi va la force de celui qui pense
par lui-même, être en mode sous-marin; toutes la
contrainte ressentie m'instigue le ….prend ton chemin.
Du reste il faille être conscient de ne pas jouer contre
soi ou de se faire du mal telle une colère chaude, chose
qui m'arrive parfois, il faut se conscientiser, divers
influences nous façonnent et j'y réponds autant se peut,
toutes contraintes ou obligations écrasant la liberté
sera résolument combattue et ou ignoré haha,
n'obtempère pas autant qu'il le faudra, question de
respect envers soi et ces propres principes fondateurs
et idéaux foncier. Je n'aime pas la médiocrité
antinomique à l'efficience qui reste la seule adéquate.
156
Une grande nouvelle tombe ce jour sur le plan
géopolitique, les occidentaux pourfendeurs de la
pensée unique sont éjectés de l' Afghanistan , initiant sa
propre pensée unique!, quelle joie!. J'aime les bonnes
nouvelles mais les vrais, c'est une demi-bonne
nouvelle! :), j'aimerais qu'on plante des millions
d'arbres la-bas adaptés, et que la lumière universelle
s'étale et abonde, l'empire recule.
J'ai beau avoir grandi, depuis mon enfance une
tendance n’imprègne toujours autant, une certaine
idée de la justice, de défendre et aider le dit plus faible
au dépassement, surmonté et vaincre l'ogre. Tout états
royaux ou empire par conséquent est à abolir, toutes
corporations sont à dissoudre car adhérer est de
l'esclavage à la pensée unique. Han solo de star wars
me semble une bonne alternative comme profil, pour
son propre compte.

En ayant rien j'ai tout!.


Cette idée me vînt spontanément, sonnant comme la
vérité somme toute légère, en ayant rien j'ai tout, juste
l’essentiel, liberté, la possession conditionner, ne pas
s'y attacher la rend possible.
Ne pas abonder envers l'économie capitaliste.
Ne pas faire marcher les machines.
Ne pas acheter l'inutile le consommable.
Ne pas produire ou nourrir le CAC 40.
157
épargner la voracité envers les ressources naturelles.
Ne plus finançaient l'ordre étatique établi en les
privant de TVA, Taxes divers, ou les réduire
drastiquement. Ne plus financer cet obscur réseau
mafieux qui administre le pays. l'affaiblir le détruire.
Ces directives sont gravées dans mon antre comme
étant des lois inaliénables et incorruptibles.
Surtout conscientisez bien que rien nous appartien,
c'est une illusion, la possession matérielle est illusoire,
elle disparaîtra comme une glace qui fond au soleil
avec ou sans vous.

158
J'ai beau faire du révisionnisme sociétal, mais force de
constaté que réformer un tel mammouth est digne du
film de fiction , toute force extérieur que je trouve
superficielle telle que les guerres, les luttes sociales, les
réformes ou lois diverses n'ont aucune prise pour
initier un changement de la nature humaine profonde
donc des sociétés en elles-même.
Au sortir d'un article scientifique sur la génétique, ce
dernier instigue une règle de cinquante mille ans pour
qu'un changement structurel de notre génome se fasse
sentir. Mais un indéfectible sens critique me dis, par
quel biais avez-vous pu assujettir à une aussi parfaite
règle dans l'absolu?. Il me semble que l'évolution n'est
point synonyme de progrès, ou la règle de ce dernier
serait linéaire à sens unique, une idéologie sortie de
doux rêveur idéaliste.
J'attaque ici ce prisme de la compétition nauséabond.
Si on regarde bien un des aspects de la vie c'est bien la
compétition, je mange pour vivre au détriment d'un
autre être vivant,je confisque la tienne qui devient
mienne huhu , mais pour une dite forme de vie dite
civilisée l'humain n'échappe pas à ce constat accablant
de preneur de vie.
Pourtant il serait souhaitable qu'une coopération soit
le maître mot, mais notre agressivité naturelle
d'abord individuelle nous rend à titre individuel aussi
responsable par nos actes quotidiens, exemple le
racisme, l’égoïsme, la peur, nos préjugés, nos idéaux
font de nous des êtres bien responsables à bien des
159
égards sur l'état de notre monde. Encore semble-t-il
qu'une minorité seulement semble se pourfendre d'une
essence spirituelle, et intellectuelle suffisante à des fins
plus glorieuses, en dehors de toutes instructions qui
feignent une intelligence mais instruite seulement, non
en profondeur. La encore ce serait un idéale ou tout
semble orchestré d'avance comme une directive sortie
d'une loi écrite d'avance, ce serait idiot, autant
assujettir à un quelconque état pré établi voulu, à
chacun sa vérité ou son costume de comédien à enfiler.
Si vous me croyez pas et ne me suiviez pas vous auriez
résolument raison!, à chacun sa vérité et son chemin,
à chacun de trouver selon ce qu'il a besoin, quitte à se
planter pour s'en servir et progresser.
Je perçois au loin comme un conseil des individus ou
la peser viens, une fois dénudé et fais abstraction de
tous ces apparats terrestres foncièrement laissé sur
terre dans le cercueil, ai-je bien foncièrement
travaillait sur cette terre spirituellement??, ou cet
animal comme véhicule terrestre m'a servi de socle
d'apprentissage. Même ces lignes sont telles
significatives ou pas d'un agrégat de pensées prés
établis?, le déterminisme?, je détiens que ma vérité et
rien d'autre, je ne suis responsable que de moi-même
et de mes actes, et non celles d'autrui. Adoptez un
quelconque système de penser près établis d'usage
semble être encore une norme malheureusement ou le
sonné creux affuble.
160
Accentuer son propre état de conscience me laisse
vertement songeur en vertu de mon intellect. Intellect
auquel mon cerveau est lui-même agencé de sorte
que …....
Ma représentation de ce monde m'est offerte par ce
mécanisme somme tout sous-jacent qui restera un
mystère. Si je regarde la planète de l'espace je perçois
la France, je me représente bien le ciel ici en haut sur
terre puis bien au-dessus de ma tête une fois bien
revenue sur terre, ok jusque-la cela me semble juste,
mais si de l'espace je me représente l'Afrique du sud, le
pays, ils ont la tête en bas par rapport à l’Europe,
pourtant ma représentation une fois revenue sur le
plan terrestre ça me fera voir le ciel bien au-dessus de
ma tête en l'air chez les Sud-africains, par quelle
magie?.
Ainsi va ce fabuleux cerveau humain qui agence une
représentation de notre espace et réalité. C'est un petit
aparté, je ne suis pas physicien pour y répondre ou
même eux ne connaissent pas toutes les règles ou
l'immensité de la complexité de la vie, et c'est temps
mieux je pense, ils y arriveront pas j'aimerais à me
dire, et que restera-t-il à l'humain à découvrir si oui?,
cet impossible peut être?, il est bon de n'avoir pas une
limite acquise dans un sens et oui dans l'autre.
L'humain muni d'un cortex cérébral qui fait sa forme
d'intelligence bien singulière n'est-il pas un fardeau?,
je me surprends à dire oui, car vivre sans trop se poser
de questions c'est bien confortable à s'y méprendre à
double titre.
161
Ce fonctionnement dont la nature m'a fait don qui ne
me laisse pas en paix, mordicus, je n'ai résolument pas
la notice explicative de ce dernier, je suis comme un
nouveau naît perpétuel, j'en rie, j'en pleure aussi car je
ressens une grande torture mentale, l'intensité,
quelle félicité cela doit-il être de pouvoir faire OFF, ou
est le satané bouton?.
Bien que j'explicite les divers tourments de ma vie
humaine et mes atermoiements la maturité étant, la
seule alternative fut le sport, sentir mon corps vivre en
souffrant, un dérivatif de souffrance, mais temporaire
seulement, troquer un mal par un mal qui ressemble à
un bien!.
Ou comme tacitement évoquer précédemment dans ce
livre une délivrance, sous l'égide d'une nature
chimique de synthèse, la castration du bulbe.
J'aimerais de la légèreté et je vous le redis cher lecteur,
«ceux qui pensent que l'intelligence à une
quelconque noblesse n'en n'ont pas assez pour
se rendre compte que c'est une malédiction» je
me répète et c'est voulu sachez-le, on ne le dira jamais
assez cet adage point connue, esprit critique pour
esprit critique, une fois ce suintement d'égo effacé, je
suis critique envers-moi même, soyez le envers vous,
se recentrer sur soi pour se conscientiser préfigure un
esprit saint et éclairé, bien que je me pense réellement
fou et perdu à tout jamais.
162
La mort je l'attends qu'elle vienne, c'est déjà trop long,
je me sens terriblement fatigué de la vie humaine qui
ressemble à une énorme farce, et pourtant une
flammèche me tire de l'avant comme un garde fou me
disant....., hey bili! La route s'ouvre devant toi!, on
s'endort pas!; on capitalise autant se faire que peut
avec une bonne dose de résilience intimement liée et
indéfectible, il ya tant à découvrir dans ce monde, le
courage dans la tête comme moteur de secourt.
Nous sommes un animal social, en tant que tel soumis
à ses propres règles, pour un hominidé commun ça
c'est certain, mais ces appels d'intégration sociale,
mariage, femme, enfants, youki le chien et maison et
auto à crédit m'échappent complètement ho ho, le coup
du sort se transforme en une certaine quintessence
acquise dans le dure au mal, c'est ma destinée, et pour
se faire je l'assume parfaitement car je suis un
marginal dans l'âme avec la précarité proche du
boutisme mais pleinement acquis; ouch c'est chaud, je
ressens le danger d'un tel boutisme, peut être vaux t'il
mieux s'en éloigner, rester conscient, et non comme un
enfant inconscient de son environnement et ces
précipices sans retour, ou la soupe populaire aurait un
goût amer.
Je conscientise. je touche d'un brin de conscience
l'inconnu en projection, comme un chercheur dans son
laboratoire de simulation dont le résultat est sans
équivoque.
163
Le preneur de risque calculé sur le fil du rasoir. La
seule alternative d'un monde existant en alternative
plausible, est?..... Uli Alto. Précédemment j'ai explicité
la place forte de ce sanctuaire perdu dans les
montagnes basques espagnoles, forteresse naturelle
don la cité la plus proche reste Pampelune, ou le lâché
de Taureau lors de leur féria annuelle reste une
fabrique, drôle de façon de faire la fête, la beuverie
dont un but commercial, ou certains lâchent leurs
frustrations annuelles, drôle de conception je trouve
des fêtes qui firent des petits jusqu'à Bayonne, Dax,
Mont de marsan dans les Landes voire plus loin encore,
les furias de Nîmes mais côté Français, et tous auréolé
de blanc de rouge comme habillement pour s'identifier
comme des robots sortis d'une ligne de fabrication ou
la conformité règne, et don la légende romanesque
remonte très loin car partie de Pampelune.Uli alto
reste une alternative de dernier recourt dans un
monde sauvage, ou par de la l'horizon règne une paix
sans la vue de civilisation contemporaine. Le marginal
de toute confession, les désarçonnés de la société de
consumériste, ou même toi le rejeté tout court une
place t'y attend. Une halte de diligence ou se réfugier
dans ce que je nome le maquis. Les règles les cartes
sont redistribuées, je me rappelle cela dit d'un jeune
français de passage en partance pour un woofing plus
au sud me disant«tu comprends l'espagnol toi?» quasi
rien lui dis-je, pourquoi?, je compris que la critique
méchante était ici aussi, il me
164
fit entrevoir que ces pièces d'hommes espagnols au
nombre de deux, perdue et rapporter à cette idylle de
contrée hors réseau me critiquer dans leurs langues,
presque en face à face, les faux culs ont fait leurs
chemins jusqu'ici profitant de mon noviciat espagnol
en palabre; peu importe les tenanciers d'origine du
lieu dit des hippies Français me semblèrent honnêtes,
à dire les fondateurs frères et sœur à l'instar de
Romulus et Rémus, frères fondateurs de la Rome
Antique, don la louve aux dents longue les nourris de
ces mamelles, ça passe bien avec eux les deux frangins
et frangine dotée d'une crinière rousse, et c'est bien la
l'éssentiel, je choisis en cohabitant de prés ou de loin
avec certains, j'atterris alors dans une autre réalité
pas si blanche que cela. Uli alto n'est régi par aucune
règles autre que le respect naturel qu'on veut bien
initier, à chacun sa bonne volonté par conséquent,
comptée fleurette sinon ça sent bon les fleurs des prés.
Le bon côté c'est qu'il n'existe aucune contrainte
d'ordre économique Mercantile, pas de patron, pas de
collègues imposé, ni Dieu ni maître, tu ne te lèves que
quand tu veux en respectant tes heures de sommeil, ou
juste une certaine bonne volonté pour la bonne entente
subsiste. J'irais à Uli alto pleins de pragmatisme une
fois acculé dans mes retranchements les plus profonds,
je ne suis jamais aussi efficace une fois dans l'urgence,
bienvenue dans l'univers des cow-boys de Uli alto.
Les bourriques ânes et chevaux des locaux restent
sans entraves, les aigles culminent de leurs grandes
165
envergures au-dessus de nous pauvres humains
rampants sur le plancher, ou les fumeurs de cannabis
s'octroient la liberté de s'exercer à leurs plaisirs dégu
statif. Un soir une diligence de nouveau vint chercher
refuge, cela engendra une soirée festive, allons-y tous
à poil dans la rivière en contrebas ou elle se déverse
par déviation une fois ouverte, dans une cuvette
artificielle fait de pierre, c'était le début de l'été je le
rappelle, ce fut bien bon j'en conviens, tous les codes
ont flambé. Je n'en demandais pas mieux de cet espace
ou peu de code social m'était imposé ou à apprendre
car inconscient de leurs existences.
A ce sujet, si toi qui me lis tu est assujetti au
syndrome d'asperger ce repère de marginal est
une bonne expérience à vivre pour toi, sur les points
dûment mentionner plus en amont. Entre colline
boisée et rivière et sentiers, tous les champs du possible
te sont ouverts pour la rencontre hors norme, à l'instar
d'une nature sauvage, surtout entre deux cultures
adjacentes; tu ressentiras le bénéfice d'expatrié à
l'étranger pardonné d'office car étant un nouveau
venu ne connaissant pas les codes du pays, c'est un
atout pour un temps et tu comprends ce don je parle.
Je rêve d'une nature sauvage avec une végétation
dense et luxuriante, certains endroits en France
existent encore ou croiser un seul humain ou pas de
toute la journée existe, ou seul ton bon vouloir
l'instigue.
166
Sur le chemin de la vie je glisse sur des chemins
sinueux, ou chaque instant fut une jolie surprise du
jour, tel est la fondation de ce qui me nourrit et que je
me projette en cet instant présent comme une idylle,
las du départ attendu pour d'autres situations ou le
pragmatisme doit s’immiscer pour me dire…. top
départ, je me libère et m'arrache de ma condition
confortable du moment, une fois partie c'est bon,
passer à l'action. Le confort doit s’effacer.
La route, ma route ou je caresse la pierre ou un
artefact ou j'imagine un autre humain l'ayant caressé
lui aussi, mais il ya des milliers d'années, une
superposition des temps qui relate la condition défunte
que je ranime de par une conscientisation de sa propre
condition d'alors. C'est purement imaginatif à défaut
de la machine à remonter le temps, une prolongation
pour courber l'espace- temps......, ressentir cet autre,
vivre deux vies en une seule, c'est un partage et non
être un voleur d'intimité sans vergogne, une projection
à l'instar du projectionniste qui fait défiler le film. Je
marche en l'air sur un chemin de feuilles traçant un
chemin ou mes pas sont invisibles pour qui veux les
suivre, je me sens léger ou tout obstacle terrestre
inutile pour certains la ou le toit du monde m'attend.
Je l'arpente d'un pas décidé arrachant le sol d'une
forte vélocité, à y regarder cela me rappelle la
couverture du livre d'un quidam traçant sans s'en
retourner, bien confiant de ce qui l'attend par la bas.
167
L'âge mûr me caractérisant en ces temps, induit en me
rappelant que le temps m'est compté pour l'aventure
terrestre, peu importe de l'intérieur cette vivacité et
fraîcheur ne bougent en rien, juste ce véhicule
terrestre me caractérisant une certaine identité
sociétale de surface commence à fatiguer, mais mon
âge biologique interne n'est pas représentatif de l'âge
social, il m'indiffère je suis plus jeune, peu importe je
compense d'une envie féroce d'une certaine
abnégation. L'aventure continue nous laissons pas
abattre ni se laisser dévier de nos objectifs et des
futilités rendues comme tel par talent.

L'esprit critique est à double tranchant, oui mec sois


en sur l'esprit critique propre étant on se fait pas de
cadeaux, c'est la force du juste de la claire voyance.
Bon an mal an il faille se comprendre sous forme de
parcours de vie, de directions, ça y est je retombe sur
mes pieds, comme un chat sait le faire, je me sens
mieux, je comprends ce cheminement de vie et
personne n'a de critique nauséabonde à y apposer la
dedans. Devant moi je sais qu'une direction se profil,
j'interfère comme un aiguilleur ferroviaire ou pas si
l'envie ou un danger s'avance ou non pour changer
une destinée contestable ou pas, à chacun de faire sa
critique la-dessus.
La solitude permet un certain recentrage des divers
trajectoires de vie, c'est une force vive comme
tacitement évoquer succinctement plus an amont dû
168
livre, la solitude permet de se soustraire de tout
parasitage extérieur, on s'émancipe on n'est un
électron libre, cette indépendance n'est pas bien
comprise en ces temps, en effet pour l'être humain
contemporain assujetti à la norme bien pensante c'est
inconcevable d'être seul, c'est un défaut à effacer, c'est
négatif, et mal vue, tu es un pauvre type don personnes
ne veut telles et leurs définitions tant l'ouverture
d'esprit leur manque, c'est faux, et une simplification
morale et intellectuelle due à la norme qui vous habite.
La dessus soyons claire, je vais clarifier,
inévitablement on renvoie malgré soi des manques des
failles à l'autre, s'il vous aime pas c'est que vous
dérangez et leurs renvoyés ce qu'ils ne comprennent
pas, c'est leurs problèmes ça leur appartient ils sont
confrontés à leurs propres limites.
C'était un petit aparté. Je revendique d'être pleins de
cette verve de solitaire, un solitaire a plus besoin
d'être seul pour se retrouver et être en face et en phase
avec lui-même, c'est un moment intime avec soi à ne
pas négliger, question de nature, n'empêche il a bien
souvent ses propres liens humains, mêmes s'ils
semblent invisibles, ne pas juger pas trop facilement
d'un humain semblant seul en apparence seulement.
Surtout il faut bien nuancer la solitude imposée
parce qu'on vous rejette car, pour diverses raisons car
vous en souffrez au final, elle est subite, et le solitaire
n'en souffre pas lui, l'un est imposé «la solitude» et le
«solitaire» ce dernier est une force une personnalité
bien singulière peut comprise, nuance.
169
J'en tire une certaine quintessence je dois l'avouer car
assujetti à de bonnes qualités humaine assez jalousé,
c'est une force car source d'autonomie d'indépendance,
je m'autorise en passant bien plus que la plupart des
gens des largesses ici ou la, bien entendu en phase avec
son code éthique dans la poche. Personnellement je me
sens jamais vraiment seul car je sais intimement que
je suis inter connecté avec d'autres, je sais qu'ils sont
la , même si d'une certaine façon on naît seul et
mourrons «seul», ça nous rassemble quelque part,
mais c'est d'une tout autre nature dont il s'agit ici;
vous voyez c'est un ressenti je le partage avec vous
sans retenue aucune.
Le solitaire n'a pas à assujettir aux exigences
d'autrui, ça n'a rien à voir ici avec un manque
d'empathie, je le rappelle on interfère avec une
certaine nature humaine, ce qui fait sens, la
conscientisation des choses, je n'éprouve pas l'envie
particulière de me faire des amis(e), pourtant si je
donne mon amitié je sais êtres fidèle on peut compter
sur moi au cas ou, je trahis pas, pourquoi?, c'est simple,
je donne pas ma confiance facilement, et si je la donne
c'est un trésor à chérir à apprécié plus que tout,
surtout ne me trahis pas, je serais impitoyable car il
y' aura pas de bonnes raisons recevables. Autant être
entier, je donne sans attendre un retour,c'est avec
cœur, perso j'aime la profondeur la superficialité
m'indiffère et m'habillera pas, je préfère la qualité que
la quantité.
170
le silence
c'est en lien avec cette singularité qu'est la
personnalité du solitaire. Le vide d'apparence, le
silence reste à apprivoiser, je vais vous raconter une
trame de mon enfance pour cela. Je me rappelle petit
enfant ou régna un silence pesant lors des repas
familiaux ou nous étions sept, enfants et parents, je
sentais bien une sale ambiance, il fallait se taire avec
mon père renfrogné qu'il était, sûrement une image de
ces propres malaises profonds qui imprègne
l'ambiance familiale, depuis j'ai durant longtemps
essayer de masquer ce «silence pesant» en le meublant
par de la logorrhée.
Il m'a fallu des décennies pour comprendre le
pourquoi d'un tel comportement et de considérer le
silence comme un trésor, et le solitaire aime le silence,
pesant pour les gens sociables, moi ce jour elle est une
bonne compagnie, car c'est quelque chose qui délivre
des messages intérieurs bien précieux. J'en reviens sur
le langage du corps qui ne ment pas alors que la parole,
elle, on lui fait dire ce qu'on veux, une jolie apposition
des genres je trouve ou transpirent par le corps une
certaine authenticité et vérité, le silence reste du même
acabit mais dans un genre un zeste différent je pense.
Le silence permet de mettre en exergue les sentiments
les plus profonds, d'observer, d'intriquer tout ce que
les sens peuvent capter!. Le parler pour meublé était
une erreur sortie d'une malencontreuse expérience ou
la subjectivité familial
171
m'a trahi durant longtemps, une compensation
psychologique, je suis heureux que le silence fasse
partie de ma vie les moments choisis ou apportée, aux
minima c'est un repos. Il n'empêche que je reste
malgré tout véritablement empathique et conscient de
ce qui résulte envers mon entourage direct ou
indirecte, même solitaire, comme peuvent l'être les
dessous des cartes et leurs secrets.
« L’arbre du silence porte les fruits de la paix.»
Proverbe arabe
Le silence n'est pas la porte du néant, j'en dis.
Je pense aussi que les agitations de la vis nous isole de
notre exaltation intérieure et de sa vérité, et de nos
besoins essentiels, le bruit sème le désordre et
l'agitation, la-dessus une fois de plus je me dis, les
autistes asperger n'ont-ils pas une longueur d'avance
dans cet irrépressible besoin de silence, une évolution
et non une pathologie sortie et comprise comme tel par
des humains majoritairement normé, et fier de l'être,
autrement dit un putin de complexe de supériorité mal
placé!, Je pourrais parler dudit mûr du silence qui
reste à franchir pour ceux le supportant
pas.Personnellement j'éprouve moins de satisfaction à
socialisé, cela dit en passant des études en
neurosciences relatent que le système dit de
récompense pour socialiser est moindre cher le
solitaire adepte du silence que les gens lambda qui
172
aime ça. Lorsqu’un conflit éclate ce que je n'aime pas
provoquer ou par mégarde, sachez garder votre
silence un temps. Il faut bien comprendre que, garder
le silence ne signifie pas rester impassible face à une
attaque. Garder le dit silence revient à s’isoler
intérieurement, prendre le temps de la réflexion ou du
recul, je me rappelle un exemple ou une jeune femme
fort belliqueuse fut prise de court et sans réponse vue
que je n'ai pas répondu à sa verve du moment, ça
permet à l'autre de temporiser ou de s’inquiéter car
comme l'adage dit, la vengeance est
un plat qui se mange froid!.
Dans l'absolu il s'agit de fourbir ces arguments à froid,
de revenir bien armée. Accepter de se taire est parfois
préférable, si une personne fait une crise de nerfs
sachez que la laisser isolé seul et être taiseux est le
meilleur des façons de la calmer, elle se débattra plus
très longtemps seul étant coupée de cette énergie que
vous représentez comme un ouragan coupé de courant
chaud et froid ascendant et descendant, le calme le
silence revenu la résolution du conflit aura une place,
c'est une stratégie efficace pour protéger ces émotions
et son entourage pour le coup. Dans le silence on
brouille les pistes sur soi sur ces fonctionnements ces
failles on protège son intimité lol.
On n'a beaucoup à gagner d'être silencieux, notre
quotidien, notre façon intime de pensées, nos ressentis
ne sont pas à partager avec ceux n'ayant pas la
profondeur adéquate pour l'apprécier, c'est
173
déjà important, ça ne regarde que nous, ça évite les
jugements hâtif, les préjuger, bien qu'on ne puisse
jamais éviter les jugements intempestifs. Se garder de
bien des choses, faire preuve de silence est une preuve
à l'instar du solitaire d'une grande force et non d'une
agitation inutile. Je travaille au quotidien un certain
silence tant une certaine curiosité me fais aller au-
devant d'autrui, c'est un outil le silence à bien canalisé,
la-dessus j'ai une écoute naturelle ce qui fait mention
de silence, elle reste à adapter par conséquent à bon
escient, pas évident avec constance.
Le silence est d'or
Le silence vaux bien des mots force de constater, il
révèle bien des éléments indicibles, ça permet de lire
entre les lignes pour ceux ayant un décodeur assez
performant. J'atteste personnellement que mes
réflexions naissent et mûrissent dans le silence et non
dans la cacophonie, qualitativement c'est
incontestablement vrai. Apprendre à parler est
louable, apprendre à se taire et un véritable art,
j'apprécie, j'observe, je ressens dans ce qui ya de plus
profond. La plus grande source de soucis dans nos vies
n’est pas le travail (tripalium),ni l’argent, mais nos
relations avec les autres généralement. Trouver la
bonne distance en soi avec les autres est une condition
indispensable pour vivre en harmonie avec nos
contemporains. J'ai trouvé dans mon isolement
systémique une source d'énergie bienfaisante. Cette
174
économie que me viens du silence reste pourvoyeuse
d'une grande économie d'énergie, les gens asperger
savent s'y reconnaître plus que tout, car palabré 1h
signifie à quelque chose prêt à 1 h de repos pour
récupéré voir plus, cette typologie d'individus avides
de silence s'y retrouve. A chacun son havre de paix,
apprendre à vivre seul est un excellent exercice à cet
effet, la solitude s'impose comme une compagnie
indéfectible pleine de mises en lumière sur soi, sur sa
vie, elle est véritablement éclairante sur ce qui reste à
apprivoiser, n'y voyer pas en la solitude et dans le
silence des ennemis, mais plutôt comme une chance
qui s’amoncelle penché sur votre personne en devenir.
Un adage dit« Le silence est l'ami de l'humilité»
La nature nous pourvut d'une bouche et d'oreilles,
nous ferions mieux d'écouter beaucoup plus que de
parler, conscientisé ses faiblesses, la face du monde
s'en trouverait améliorée. Faire preuve de silence c'est
savoir écouter, être disponible pour l'autre, même si
nous devrions faire bon usage voir être avare de cette
qualité avec certains. Soyons silencieux pour mieux
apprendre et accueillir de cet apprentissage délicat.
Savoir écouter faire preuve de silence est une preuve
d'empathie à bien y regarder, une belle preuve
d'attention. Nous devrions cultiver avec silence ce
condiment de la vie sommes toutes indispensable à la
sagesse elle-même, un bon antidote au verbiage et la
grandiloquence.
175
Quelques citations sur le silence.
Le silence est la sagesse, et de lui le jugement est
dispersé
Le silence est l'antichambre de la sagesse
Dans le silence se perd la notion du temps
Le silence caractérise l'intelligence, mais le sage ne
serait travailler sans bruit
Mon âme hurle des silences qui sont l'expréssion de la
sonorité de mon Coeur pour ainsi tant t'aimer
C'est par le silence d'une absence que l'on mesure
l'importance d'une absence

Le silence, c'est la mémoire discursive des absents


Le silence est à l'affût de nos confidences

j'ai vécu le malheur dans le silence qu'il a fait en


arrivant

Parfois garder le silence raconte plus que des mots

Le silence est la connaissance de l'ignorance

Le silence est l'étui de la vérité


176

Il ya des silences qu'il ne faut pas déranger

La ou le silence se fait, l'arrogance ce tait

Les mots du silence sont violent pour soi mais


également pour les autres

Si le silence est le refuge des âmes solitaires, il est


nécessaire, afin qu'ils puissent s'y ressourcer en toute
quiétude et disperser, leur bonté et générosité, envers
l'humanité.

Le silence de la nature hurle des vérités

Le silence est une succession de mots inaudibles


pour certains

Le silence est parfois plus sage que la parole


Le silence n'a que de valeur pour celui qui
n'entend pas

Le silence renferme toutes les vérités ; la parole porte


tous les mensonges.

Le silence est le refuge des faibles et la grandeur des


puissants.

Certains silences valent mieux que toutes les


confessions du monde.
177

Il serait louable de revisiter son propre registre sur les


taiseux à l'avenir, société qui met sur le pinacle le
fameux penseur prolixe au sommet de la gloire surtout.
Je me rappelle naguère un temps ou j'étais taiseux
enfant et jeune adulte, hormis pour combler ce vide
angoissant comme tacitement rapporter plus en
amont, je m'exprimais peu, la culture apprendre pour
intellectualiser grâce à des livres puis après
l'avènement d'internet donna une nourriture à mon
cerveau plu conséquente. J'intellectualise tout à défaut
que ce soi automatisait comme tout un chacun, hormis
la sphère sensorielle et émotionnelle qui reste hors
normes et automatisée. A partir de la je m'exprimai
plus j'appris à m'exprimer, et non causé pour rien dire
dans un vide juste pour socialiser comme bien des gens.
j'arrivai dans le temps à accepter ce qui s'apparente à
de la légèreté, cinq minutes me suffisent.

Souvent je me rappelle des situations ou j'imite mes


semblables, se demandant que faire ou dire en telles
situations?, le faux self fut une peine à effet immédiat,
au sortir ces situations ne furent que l'expression ou
un trou un raté dans la tram communicative. Je mis
en place des stratégies compensatoires conscientes et
ou inconsciente, que l'intelligence pure et propre à
l'individu officia dans son plus pur style. Bien que je
douterais toujours d'une étiquette, je retrouve en ce
fonctionnement le style d'un autiste asperger HPI.
178

Le mystère vagabonde dans une tentative d'expliquer


l'indicible, chaque homme devrait se rencontrer dans
l'univers du sans voix, du pas prolixe mais dans un
mur de silence. D'ailleurs c'est à l'unisson d'un acte
social courageux que d'habiter seul, de se contempler
dans ce silence cette solitude individuelle, apprendre à
vivre avec elle s'en faire une amie comme un avocat
qui plaide dans ce que tu es véritablement. C'est une
rencontre subtile avec soi même don il est question ici
vous l'aviez compri(e)s?.

Dans le silence on médite on met tout en suspens, la


pensée tant adulée par notre civilisation occidentale
est mise en suspens mais pas abolis, la mettre en
observance, vous n'êtes pas une pensée, l'esprit est
l'esprit, on se détache ainsi on devient neutre et son
influence mortifère s'estompe. C'est un entraînement
méditatif, la strate du silence joué comme une
guidance spirituelle, surtout lorsque le bruit extérieur
cessant met en lumière son propre bruit intérieur bien
dérangeant, qui le sépare de ce qu'il est dans son for
intérieur, la rumination intérieure Mordicus qui reste
à mettre en observance, il faut faire voeu de silence.

Le bouddhisme est une voie royale pour le quidam


éveillé, ça quête du silence sera exaucé et sonnera en
lui comme une révélation, un pur cadeau s'exonérant
de toutes valeurs Mercantiles car sa propre valeur est
indéniablement illimitée, dis merci.
179

Après cette apologie comportementale à asseoir, j'en


dis, dure d'éditer un équilibre à parfaire entre ce qui
doit être dit et le non-dit, un besoin de m'exprimer
m'éprend m'habite, seul un auditoire bienveillant
s’écure et aidant élève le ver. La réalité me rattrape.

Les écovillages me semblent une direction louable, je


trust les sentiers battus pour en sortir, vers ce qui
s'apparente à une étape franchie. Dans ma région
rurales diverses initiatives naissent ici ou la, le but
comme tacitement apportée est l'indépendance
vivrière, et non la dépendance étatique ou d'un joyeux
faiseur de bonheur conditionner. D'ici 2025 la
sentence tombera, la monnaie sera numérique, une
prise de pouvoir concrète tangible, comme une pieuvre
qui étendra ces tentacules sur l'ensemble de la société,
surveillance de masse, flicage, liberté disparue à mon
bon souvenir, je ne peux me satisfaire d'un tel tournant
de civilisation, l'ordre totalitaire tue l'émancipation.
Les Gafa les milliardaires les puissants imposeront
beaucoup plus leurs emprises sur les états et les
hommes politiques par le biais de lois en leurs faveurs,
le peuple devra se battre pour reprendre et imposer
son droit de veto à l'instar d'un membre de l'ONU et
s'imposer pour une destinée joyeuse. S'émanciper
vivre et évoluer tel un sous-marin m'inspire, question
de légitimité retrouver et empirique ancien consolidé.
180

Les petits secrets de tout un chacun s'effilocheront,


c'est un faux confort de cet i matérialisation du
pouvoir d'achat pour le quidam consumériste pris
dans la spirale qui l'éloigne de l’essentiel. Le pouvoir
passe par l'argent le reste suit dans ces plus ferventes
manigances. L'heure de vérité se profil, je vais
paraître dure, mais cette heure j'avance jours et
semaines après semaines, tâtonnement ou une
direction s'efface ou profit d'une autre, je vis ainsi
comme le tracé du chemin d'un nomade sans certitude
sur l'avenir plus qu'incertain, le prix à payer d'un
galérien.

L'incertitude nie la sécurité, elle nous échappe


totalement comme une étoile filante, ba peu importe,
inutile de se débattre de fuir, la liberté la vrai s'exonère
et diffère d'une révolte, conscientiser, la peur s'en va
on lutte différemment mais sans cette violence qui
l'instigue, un sentiment différent s'annonce, le réveille
de cet état à convenir et ou tout humain se doit de
tendre.

Les écovillages semblent être une énergie libre


nourricière, l'entendement en bon idéologue est une
condition sine-quanon, après un appelle d'offre
journalistique sur papier, un sacré programme à
venir, on me répond, j'atteste des dires, mon caractère
me laisse entendre prudence, voyons doucement ce
profiler ce satané chemin et ces inconnues dans cette
autre alternative systèmique.
181

Le marginal est en non-conformité avec les mœurs, il


semble exclu d'un groupe, ou il s’exclue lui-même par
interférence objective et cognitive car il reste dans
cette optique résolument lucide.

Par de la les apparences, le marginal est toléré par les


autres mais non exclus, après me direz-vous il faut
d’abord s'affirmer soit en s'acceptant soit même,
s'aimer, joli tour de force car autrui fait office de
miroir car tout se passe dans le regard de l'autre bien
souvent. Pas de psychologie ici, c'est une science
interprétative ne sonnant point comme une véracité
absolue, ce n'est point être objectif car son empirisme
interfère ou sa subjectivité comme preuve tacitement
apportée.
Top dépars à la conquête d'un autre territoire en trek,
en rando sur les chemins des Pyrénées. Je me lève,
diable une lourdeur m'éprend à l'estomac, un malaise,
fichtre non, je pars à l'aventure comme convenu,
j'avale un gros bol double ration d'eau et chicorée, je
vomis 5 minutes après, le contenue de la veille avec, un
mal pour un bien?. Je décidai de partir quand même,
impossible de renoncer, le terrain me donnera raison
ou tord sonnant comme la vérité d'une telle décision.
Une reprise d'entraînement pour s'adapter à mes
futures enjambées pour un ailleurs. Sac à dos et
équipements pour un ou plusieurs jours dehors.
J'arrive aisément au pied de ce monticule naturel, ou
le début du chemin de rando s'amoncelle devant moi
comme Jack Kerouac le fit en son temps
182

en bon aventurier aux usa après la seconde guerre


mondiale,ces joutes à grande enjambée fiévreuse
furent un continent d'interjections qui parlèrent à des
générations entières. D'autres hommes sont nés avant
moi, je trace mes pas bien singulier, Bien confiant je
débute le sentier balisé pour le départ, j'avance et
monte à bonne allure et ressent une faiblesse après
quelques kilomètres m'envahir, j'ai vomis, mais
jambes sont lourdes, dure réalité que voilà, c'est si
soudain, le terrain parle, la meilleur des armes la
volonté me permet d'avancer, de ne pas céder aux
découragement, je refuse un quelconque échec
terrassé par une toxine dans mon corps, d'autres
randonneurs me dépassent pourtant point tailler pour
le sport, ça m'interpelle, les moules préparés ya deux
jours par ma mère semblent être les pourvoyeuses
d'une intoxication.
Je marche à reculons mais j'abdique pas. Les
apparitions furtives ou évidentes d'animaux telles que
des chevaux munis de cloches me laissent pas seul, ho!
Des vautours!, ils ont senti une future carcasse?, moi?,
ma peau n'est pas à vendre. Encore une pente abrupte,
je m'y colle, mon pif collé au sol pour éviter la pierre
qui m’aplatira au sol définitivement, le but c'est le
sommet pour bifurquer et passer la nuit avec sa tente
et son couchage prévus à cet effet. Je picole déjà ma
réserve d'eau pour évacuer ces toxines, elles
amenuisent mes capacités physique déjà éprouvée et
fourbie dans le dure dans divers occasions
hasardeuses.
183

Courraient toujours cher vautours tant voulus dans le


viseur de certains visiteurs, des forces me restent. Une
bergerie ou ce qu'il en reste m’apparaît, bon endroit à
labrit du vent pour un bivouac bien mérité, Dieu que
c'est dur, tu n'existes pas mais on t'a intégré dans mon
répertoire mémoriel, je ne t'appellerais donc pas. Un
couple passant me trouve marquer bien plus que
d'ordinaire en me disant« on va vous mettre dans
notre sac à dos si vous voulez», très sympa
effectivement. Rien ne me démoralise.
La récompense par un temps ensoleillé écarquille mes
mirettes, je prends mes jumelles, une vue splendide
m'apparaît, des carreaux de pâturages en contrebas,
des clairières, quelques battissent luxuriantes, ça
redonne le moral, aller redressons nous moi et mes
jambes. J'avance, force et honneur comme disent les
romains antiques!, la volonté l'esprit est plus fort que
la matière et ces règles physiologiques ?, fort possibles,
la d'un coup je rejoins et dépasse ceux m'ayant moqué
un zeste précédemment, la transpiration dégouline de
mon front comme le força que j'étais. Ça paye un peu
maintenant au vue de cette nature évidente très belle,
sentiments d'être petit en même temps, totalement
dépendant de sa force qui me rappelle à elle. L'asile du
confort soporifique de la société s’efface à chaque pas
que j’émets les uns après les autres, bientôt de
nouveau confronté à soi-même, une certaine anxiété
arriva, ba dis-je une épreuve naturelle de l'inconnue
promise,je ne suis pas seul, l'étendue de la dite nature
184

qui m'entoure et de ces satanés vautours et aigles sont


magnifiques. Autant s'y coller, et rester ici à labris du
vent, je décide de ne pas redescendre, lampe miniature,
réchaud, plats déshydrater et couette, la nuit tombe,
mais je me sens heureux. J'observe délicatement ce ciel
pur du à cette altitude, contemplation ultime à
l'horizon de la civilisation éclairé, oui je suis esseulé et
heureux, le confort est aboli bien conscient de ma place
petite dans cette nature. J'ai un peu froid, j'ai monté la
tente, le temps est bon comme mes services de
renseignements l'ont prévue.C'est tangible, des crie ici
ou la de bêtes tapis dans le noir laissent vagabonder
mon imaginaire, le yéti?, drôle de rencontre j'en
conviens, autant prendre des risques calculés qu'un
humain seul est à même de pouvoir assujettir sans
maîtrise aucune.
Les derniers randonneurs ont sonné la retraite je suis
bel et bien sans congénère pour une quelconque aide
possible. Ma couette m'enlace en me glissant dedans,
dans chaque bruit inconnu laissé à interprétations,
juste ce fin tissu me sépare d'un possible être inconnu
venu me renifler, je flippe un instant seul dans mon
duvet, tien voilà tu la voulus tu y est!. Mon MP4 est le
seul outil que je me suis autorisé me relayant à la
civilisation, mon tel mobile étant inopérant, je suis
évincé, mes jambes crient pitié, je suis rincé aboli de
forces supplémentaires. Malgrès tout je dors d'un œil,
l'anxiété résidu dans son utilité du néolithique laisse à
l'affût tous mes sens hyper développer, comme l'est
185

un être humain hypersensible que je suis, ils sont en


alerte, une douce projection de ce qu'un homme
néandertalien aurait pu vivre dans la sauvagerie
d'alors, prêt à toutes éventualité. A la limite je serais
une cible de choix en étant abducter(enlever) par un
extraterrestre, ni vue ni connue. Le sommeil malgrés
mes tensions musculaires tarde à venir, je sombre
d'un œil, quand bien même, il est tard, j'entends des
pas sourds et maladroits se frayer un chemin vers moi,
je panique, je prends mon bâton et mon couteau !,
qu'est-ce donc?, je suis prêt à vendre ma peau
chèrement, la peur monopolise mes forces, c'est tout
prêt maintenant, ça renifle, quel maladroit j'ai
réchauffé ma bouffe trop proche du bivouac, et le
saucisson aussi, erreur fondamentale; C'est un animal
sûr, le qu'elle?, il renifle autour de moi, une certaine
lourdeur imposante il semble bien, ce n'est pas un loup
on l'entendrait pas arriver, un ours?, je ne sais pas, je
décide de faire du vacarme, je hurle, ce dernier
décampe mais difficilement, il rode, je l'entends
s'éloigner, mais un grognement subsiste rodant
encore, je flippe bien, j'ai dormi un peu mais mes sens
étaient en alerte, un réflexe naturel de conservation.
J'ouvre légèrement la tente, un certain claire de lune
éclaire un peu, il est partie, il est 5h30 du matin et j'ai
fermé l’œil quand même avant cette agitation. Le jour
se lève, j'atteste des traces, j'ai des nocions
d'emprumptes animal, je n'ai aucune idée de ce qui
s'est trouver ici devant ma tente, il n'en faut pas plus à
mon imagination fertile ici pour faire des
186

siennes, ainsi va son cortège de surprises pour l'adepte


des chemins de travers. Je pense sincèrement que
quelques étrangetés peuvent subsister dans des
endroits reculés, tous les champs du possible sont
ouverts. Après tous nos yeux sont paramétrés pour
percevoir certaines choses et pas d'autres. Je ressens
ma marginalité elle est vécu, ressenti, interprété. Le
risque de la sauvagerie bien ensevelie dans nos
inconscients collectifs est susceptible de ressurgir, il
est à parié que si un humain isolé dans la forêt
amazonienne survit durant un mois, deux ans après il
pensera comme le singe. Civilisé mais pas en
profondeur. Ça me laisse entendre, cette civilité
superficielle démontre notre inanité dans celle-ci car
l'animalité reprendra le dessus.

Au petit matin reprenant ma route bien secouée par


une visite fortuite inconnue, une ANI(animal non
identifié). A peine plus loin que les chemins balisés,
vivre un tel épisode restera longtemps gravé.

Il me reste un peu de vivre, se frayer un chemin reste


difficile, une forêt exploiter fut un temps abandonner
de nos jours par les bûcherons depuis une centaine
d'années, drôle d'arbres aux branches tombantes
habiller de mousse tombante, une drôle d’atmosphère
règne ici, je continue ma route sans réponses sur un
certain mystère ambiant. Je trace en me guidant du
soleil, ici pas un quidam qui vive, une exploration ou
mon arborescence m'a amené par ricocher si je puis
187

dire vers des surprises. Apparemment mes congénères


homo-sapiens sapiens n'aiment pas se perdre hors
sentiers battu, pourtant il suffit de regarder. Il est
facile de se créer un ami imaginaire pour combler un
déficit à qui le veut, le silence est ici aucunement
angoissant heureusement, le solitaire dans une zone
de non-droit soumis à la rudesse, je me parle à mon
autre dans l'enfant qui réside en moi, l'inconscient
prend une part conséquente, c'est lui qui initie en
coulisses ces directives, on pense avoir les manettes,
c'est une illusion.

Surprise la faiblesse de la veille c'est estomper, les


jambes sont ragaillardies. Je retrouve le sourire
comme le soleil se levant, régénération. Un tel endroit
est une chance, une ambiance particulière ou le temps
s'écoule plus se ressent ici, c'est intemporel, une chance
qu'il existe encore un brin d'endroit encore presque
vierge si prêt et lointain en même temps de la
civilisation. C'est une grande chance d'être un solitaire,
j'apprécie cette liberté et l'indépendance qui en découle,
de la sérénité d'une simplicité naturelle.

Il se passe quelques jours ou j'arpente avec allégresse


ces monts sinueux, chaque creux chaque montée
délivre un inconnu, bigre un berger, je m'avance, le
chien signale ma présence, un Gas d'une prestance
gaillarde m'attend, ses premiers mots délivrent que je
suis coté espagnol, je lui serre la main, je parle peu
188

la langue, langage des signes tous les appareils de


secourt y passe, pourvue qu'on se comprenne, la est
l'essentiel. Je ressens la simplicité et la bienveillance
de cet homme, d'un signe il me fait signe de le suivre,
il rentre avec ces moutons, je ne sais pas ce qu'il veux
mais je le suis, je communie avec l'équipe dont je suis
un produit rapporté. Miguel il s'appelle, il sort à labrit
du vent que nous somme une liqueur de sa besace, on
partage on croise les coudes, il semble ravi de cette
visite impromptue nul besoin de parler.

Autant ce laisser porter dans cette félicité quotidienne,


comment pourrais-je revenir en arrière?, étant bien
reçu par Miguel, individu au visage marqué et halé, au
rasage oublié, un humain sortie d'un autre temps bien
authentique, il parle un zeste de français c'est une
chance, mais le temps passe je dois continuer ma route
lui dis-je, «sois prudent toi dévoreur des grands
espace» dit il, «adios ombré et gracias» dis-je, avec
mon bras en l'air en signe d'amitié, son chien ne me
quittant pas, depuis mon arrivée 2 heures se sont
écoulés.
Ma petite visite impromptue à semble til rendu cet
homme heureux et c'est temps mieux, nos regards en
disant long respectivement, il m'a accepté sans coup
férir, moi le décaler le marginal mal accepté bien
souvent dans ma différence. Ma prochaine rencontre
sera peut-être un ours de visu, mais non un bipède de
la société de consommation qui habille les gens pour
combler la creutitude intérieur, la course au pognon
189

la consommation effrénée semble lointaine. En tant


qu'aspergueur une pensée subite me vint, cette anxiété
de l'inconnu m'habite moins, l'adaptation officie enfin,
ouuff ce fut dur avec en plus l'alerte de ce monstre
déboulant en pleine nuit de clair de lune, j'ai besoin de
peu mais le risque n'est même plus calculable, je sais
plus ou je me trouve hormis côté espagnol, juste le
soleil me rappelant que la méditerranée est de ce côté
ci, j'ai soif, ma gourde filtrante m'aide bien pour l'eau
avec au dessus de moi les traces d'avions de ligne
passante qui signale une trace de civilisation. Allons
s'y pas à pas à l'encontre de diverses vicissitudes qui
me régaleront, j'objecte juste qu'un brin d'insouciance
reste un bon moteur dans les meilleurs dans cas dans
les tribulations.
En bonne place sur le continent européen je
conscientise ma place dans la planetosphère, un point
d'arrivée se proposera bien. Mes étiquettes sociales
pèsent plus rien, elles sont obsolètes en ces lieux, la loi
Darwinienne fait foi, les cartes sont rebattues le plus
adapter survie. Miguel m’apparaît mais j'aurais eu à
troquer contre une présence féminine un bref instant
que j'aurais dit oui, il faut faire avec le menu que me
propose la vie ici. En avant vers l'est, la-bas après, le
nord me fera remonter vers le pays et ladite
civilisation, non le sud?, ou par de la l'horizon la
Tunisie et l'ancienne grande Carthage Antique
m'attendent, douce projection archéologique ou je
marcherais à mon tour sur leurs traces, avant il ya
Carthagène en Espagne,territoire phénicien venue
190

exploité des mines d'argent dans l'Antiquité, ville


fondée par le général Carthaginois Hasdrubal le beau ,
ce sera un satané point de départ, le chemin sera long,
en stop?, peut-être; je rêve, au-dessus de moi des
vautours me lorgnant dans une éventuelle faiblesse
pour faire les nettoyeurs. Un point ravitaillement
semble bien hypothétique, voyons voir ma besace, des
hameçons pour diverses truites dans une rivière, des
vers artificiels, des plantes comestibles sauvages que
je connais, au pire l'astreinte convenue de ne pas
manger, ou une fois par jour auxquelles je suis rompu
dans le pire des cas. Des toitures m'apparaissent à
l'horizon, un village peut être, je trace avec hardiesse
le long d'un ce qui ressemble un étroit chemin de terre
et de cailloux, j'entends pas de bruits, je m'avance en
rentrant, c'est bien ce que je redoutais, un village
fantôme avec les volets tombant, des gamelles rouiller,
ou la porte entrebâillée grinçante, pas de petits
buissons comme dans les westerns, non, un repère de
chauve-souris et d'oiseaux de nuit, la nature reprend
ces droits, en Espagne beaucoup de ces villages sont
abandonnés, la prise de possession ce fais
naturellement comme le roi que je suis en conquérant,
mais sans ces âmes déambulant car je rentre dans une
battissent, un point chaud abandonné un vieux gobelet
sur une table, de vieux meubles aussi. Dommage pas
d'appareil photo, saisir ces instants les immortaliser
dans un style de fin du monde reste inspirant à souhait.
191

La vie pour la vie, ne pas perdre son temps à la gagner


je le rappelle. Suivre ses pas et non ceux induit d'office
dans la facilité par la société bien pensante, sois-en sur
la vie ta vie est trop courte et précaire pour la gaspiller
ou la grappiller dans le bon vouloir de certain comme
le patronna qu'ils veulent bien t'octroyer. Ce n'est pas
une question d'argent, c'est un état d'esprit bien
singulier à pratiquer, à acquérir, s'il n'est pas de ton
état d'esprit imbriquer naturellement, et surtout ne
l'oublions pas c'est un type d'organisation sociale à
revisiter, c'est un petit rappelle; cela dis une certaine
précarité matérielle et de confort est à accepter, de
quoi sera fais demain?, aucune idée!, la retraite je
m'en fiche!, je n'ai aucunement envie d'exister
grabataire ou trop vieux dans ce monde puéril
imbécile; avantage et inconvénient te restent à évaluer
dans l'acceptabilité et leurs sacrifices si tel est ta vision.
Je mourrais libre quitte à nourrir parterre dans un
bois et seul à se décomposer, décidé sois de sa fin quitte
à l'organiser, c'est un luxe, on naît seul et on meurt
seule de toutes façon!, et oui autant en emporte le vent!.
Même accompagner on se sent seul parfois.

C'est juste une projection dont le but est de donner la


mesure.

C'est un récépissé testamentaire un pied-de -


nez à la bien-pensance générale.
192

Chacun doit pouvoir vivre comme il l'entend et non lui


être imposé, la société contemporaine est l'anti thèse
d'une liberté voulue, d'ici 2025 selon des sources
l'argent numérique sonnera le glas, liberticide, c'est
une pensée noire une projection du cerveau. Mais en
cet instant présent, j'apprécie ce microcosme libre de
toutes ingérences humaines dans ce village, de ce qui
fut et ne l'est plus, incartade humaine balayée par la
temporalité telle des indésirables un temps, par cet
environnement silencieux. Je passe la nuit c'est décidé
sous ces toits, après tout ce hameau m'inspire bien il
est sortie droit d'Hollywood!, le silence s'impose et
impose un respect.
Ces instants précieux vous laissent la possibilité d'être
vous, sans fioritures, sans critiques inepte, comme un
diamant à l'état brute sans interventions extérieures,
ne pouvant compter sur rien ni personnes pour être
dévoyé et vivre seul face à soi même, toujours et encore,
on n'est-ce que nous sommes en fonction d'un
environnement ou d'une situation spécifique à l'instar
d'une tectonique des plaques qui façonne le climat, la
découverte de soi au lâcher prise assujetti un lot de
surprises en se libérant du connu.
Un joli recueil sans jugement d'un autre bout de soi
délivré comme un cadeau du ciel ou inversement car
qui peut prédire?. Le dépassement de la peur
archaïque revêt un caractère sans failles, et devient
une entrave ou un lanceur d'alerte, je joue avec pour
193
initier sur le bon versant émotionnel. La connaissance
de soi même demande de recueillir des informations
mais la j'admets qu'elles s'imposent tel que, je prends
ou je prends pas?, ais-je le choix?. La nuit arrivant elle
me dépose tel le holà , me déposant avec ma carcasse
entière sur un matelas de fortune sans demander le
reste, je bloque la porte d'entrée de ces vieilles
demeures, cette fois-ci je vais être moins ennuyé par
une bête sauvage vagabonde menant sa vie tambour
battant, sans se soucier autre que ces instincts
primaires il est certain qui plus est.

Au petit matin la lueur du jour te réveille, nul besoin


de savoir l'heure, le temps semble aboli, pas de
contrainte, il faut le vivre pour le comprendre, on
dirait que la peste est passée par ici, je suis au anges et
chanceux de vivre un tel épisode de vie bien épisodique
mais résolument seule car solitaire sans loi humaine.
En prime personne n'est avec toi pour interférer et
influencer son chemin, seul au monde, seules aux
manettes, ou juste un élément ou le facteur X de
l'environnement s'imposera, au petit bonheur la
chance!.

Tel un vagabond j'arpente un retour avec en points de


mir le nord en laissant derrière moi ces reliques d'un
autre temps. Autant le dire en ces lieux reculé la santé
est un trésor, rien ne force à revenir mais la
découverte d'un lieu ou vivre libre n'est pas encore
trouvée, tout se propose en temps et en heures.
194
Nul habitude de croire pour croire, étant très critique
ce n'est point une option mais le destin existe selon moi,
tu as beau instiguer une démarche croyant engendré
ton chemin, cela reste qu'une virgule,c'est très intuitif,
quoi que tu fasses quoi tu instigues les grands axes
semblent dessiné et convenue d'avance. Le reste
s'amoncelle comme une illusion d'être le maître du jeu.
Pas après pas se déroule tel un film des contrées des
paysages, un affluent, enfin une route de bitume,
rencontrée d'autres hommes mais pas Français me
réconciliera peut-être avec le genre humain, question
de mentalité!.
Douce France avec ta course aux pognons rendant
mes contemporains vil, égoïste, servile, tu me
manques pas, ni ton impérialisme imbécile d'un autre
temps perdu. Des gens bien humains à l'esprit pas
corrompu me récupéreront dans une réconciliation et
une coopération subtile envers l'humanité. J'aimerais
des humains ne se cherchant pas des bouc émissaires
à leur frustration sociale, la société engendre des
frustrés, des lâches, je vous hais pour votre manque
d'intelligence de souplesse d'esprit, c'est une involution,
c'est facile et gratuit, c'est plus facile de trouver un
coupable à ces frustrations que de les résoudre en se
remettant en question, ces failles ces faiblesses mise
devant ta fasse ne te plaise pas, ta crasse t'étouffe, ils
courent tous après le pognon de dingue!. Les Français
sont mûr pour une autre guerre malheureusement, ce
sera sans moi, les luttes de pouvoir m'indiffèrent, ni la
quête du pognon de
195
dingue qui corrompt les esprits. Cette route longe la
côte méditerranéenne, Des pêcheurs s'affairent en
contre bas dans une petite crique, je me dirige vers eux
ou un tenancier d'un boui boui fais de bois et de tôle et
de broc m'attend, je pose mon sac l'accueil semble bon.
Après mes tribulations montagnarde un changement
de registre s’opère.
Tout humain aspire à la prospérité, mais la sagesse
devrait être la compagne indéfectible accolé. Dans
l'instant présent ce déroule devant moi une vie neuve,
étant un éternel insatisfait ça à tendance à gâcher les
acquis. Inutile d'avoir un masque social ou être un
acteur de la pièce de théâtre car étant nouveau ici et
un étranger un Alien.

Une dame m'accueille devant un parterre de filé de


pêche ou les marins pêcheur s'affairent à les démêlé,
j'adore l'aspect rustique de l'endroit, barque de
pêcheur coloré. J'observe et reste mutique après de
longue marches sans parler à personnes, un aspi
serait heureux de cela dans une communion, le savoir
être s’effiloche au profit du savoir faire, cette option
me va.
Il s'offre à moi un choix aux ressentis cornélien,
l'apanage du chanceux pris au piège de sa gloire, faire
un choix tu le choix. Attablé ma décoction signalé d'un
signe de la main m'est servis, c'est un délice coulant
dans le palet.Ces gens s'occupent en travaillant et non
l'inverse, question de tripalium.

196
Mon cerveau doit interféré, cette fois je rentre après
un bon périple in-convenue de bifurcations envers
d'autres bifurcations, la n'est pas ma route plus bas
malgré Carthagène à porter de main, j'ose pas aller
plus loin. La tenancière des lieux me dis «la cointa
senor?» en ce penchant sur moi avec ces long cheveux
noir et un parfum indescriptible avec un sourire
naturelle, affirmatif d'un hochement de tête dis-je,
incroyable, un bail que j'ai pas eu à payer quoi que ce
soi, la nature te donne sans compter et tu prends en
respectant, la nature humaine est tout autre.

Il est évident que ces incartades ont une limite,


l'équilibre l'homéostasie rappelant à l'ordre sur ce
qu'il te faut, car oui se prendre à apprécié ce doux
contact arrive, ce constat sonne comme une vérité
dérangeante envers ces envies de sauvagerie, étant
force de constaté un vrais animal social, très
dommageable au vue de ce que je pense, qu'elle honte
d'en n'être de cette bête hirsute, la honte!, je suis
misanthrope à un degrés à géométrie variable suivant
les rencontres et déceptions.Vive les animaux non
bipède.
La monétisation de la liberté deviens de plus en plus
vrais, la virtualité la rendra hégémonique dans son
emprise, sauf pour un homme relevant d'un monde
archaïque, ce retour soudain en ce lieu la rend tangible
sonnant trébuchant comme une vérité formel.
197

Mes voisins de terrasses, les vieux pêcheurs, mangent


avec voracités leurs mets artisanaux en se
trémoussant sur la banquette, en écoutant un furieux
disque de bop. Autant asseoir une douce observation
pleine d'authenticité, la parole reste mutique dans ce
qui est ici et maintenant dans sa mouvance pas dans
ce qu'on croit, mais dans ce qui est.

Juste l'acceptation de ma recherche de l'hédonisme


prise et gobé au vol, car c'est lui le plaisir et sa quête
qui nous guide bel et bien et nous rend vivants, mais
attention à cette frugalité qui engendre la frustration
en retour, et addictif dans sa virulence qu'est la
douleur la souffrance, dans sa perception, du contact,
du désir et de la possession. Fin de récit ou par la bas
je rentre analyser posément après un plein qui
instigue l'état de satisfaction, ma besace en vécu bien
achalandé. Une vie doit être bien emplie, les regrets
sonnent comme un indésirable une allergie, car oui je
pense en avoir peu. La marginalité s'est imposée elle s'est
exprimé dans son plus pur registre, un rappelle d'avant ces
joutes aventureuses, un prisme de personnalité bien vorace
et vivace qu'on ne pourra jamais abolir, tout comme le
solitaire en sois car tout ne fais qu'un, aucune dichotomie
possible.

198

La cohésion sociale
Le fameux vivre ensemble dans la société contemporaine
reste une tentative une fuite désespérée en avant, car c'est un
échec monumental!. Société hypocrite à la Française ou le
chacun pour soi prime ou la compétition instiguée par leurs
écoles règne. La nature humaine ce faisant les gens s'aiment
pas ne se supporte pas, et pourtant ils ne peuvent se passer
dès un des autres, c'est un animal social pris au piège de sa
nature propre, imparfait que nous sommes.
Il est à observé que l'insoumis est affublé de méprises
invectives du style<tu dois toucher, c'est nous qui payons ça
(RSA ou alloc chômage etc)>, souvent sans preuves autres
que leurs préjugés ou manque d'esprit et de souplesse
intellectuelle. Moi l'insoumis je te dis; ce sont les esclaves
du système qui peste contre ceux qui le sont pas ou moins.
Tout le monde n'est pas évolué.

Ou, il te faut un bouc émissaire à tes frustrations sociale


sale lâche; facile. Pour se remettre en question il faut de
l'intelligence mais c'est facile de trouver un responsable à
ses mots!, lâche encore.
Toi le mouton ne crois-tu pas vivre sur le dos des autres sur
la planète?, si!, vos pays pillent détruisent d'autres pays
pour leurs ressources pour

199

ton confort soporifique indu en bon prédateur; alors si toi


qui me lis est de cette fibre humaine accusatrice, et que tu es
arrivé jusqu'à ces lignes regardes bien ta face avant de
montrer du doigt un Quidam, ce que je ne fais pas car je suis
une «victime» de cette bassesse. A ma charge faisons preuve
d'esprit critique. Malgré tout j'ai travaillé épisodiquement
ici ou la pour payer une quelconque aide à la mesure de mes
moyens d'insertion dans l'univers impitoyable et pitoyable
des humanisant, je ne suis pas adapté et je le revendique haut
et fort!. Je le redis, c'est n'est pas un bon signe de santé
mentale que d'être adapté à une société malade. Je
m’insérerai pas plus en avant dans ce système qui broie les
gens, je me protège, intolérant?, le seuil est dépassé accepter
sera du laxisme. Ou ya-t-il dénoté ici dans ces affres
ambiantes sociétales mise en avant une cohésion sociale?,
C'est une illusion. Le poison le virus s'est insinué dans les
têtes de certains dons toi le bien-pensant si tel tu te retrouves
dans ces attaques facile puéril envers d'autres.
Que pensée des CCAS censé comprendre et combattre la
misère humaine alors qu'ils organisent cette dernière!?, la
vérité c'est qu'ils l'entretiennent le but n'étant pas de rendre
autonome l'individu du système mais addict et dépendant à
ce dernier!, CQFD, question de pouvoir, je cite en exemple
ces emplois précarisés d'aide à domicile sous-payé par les
CCAS eux-même, pour certains pour être prudent, mesuré.

200

Étant un être hypersensible j'objecte que, bientôt c'est les


gens bien humain et sensible aidant qui seront les
indésirables si cela continue, autant se le dire rester soi et
droit avec ces principes et qualités est de mise et un rude
combat quotidien dans son intégrité, question de résilience,
c'est légitime, même seul devant une majorité corrompue.
Donner avec l'intelligence de bon cœur, juste un zeste de
reconnaissance le minimum à consentir me suffit, rien de
plus ne sera demandé en retour, comme la rencontre avec
Eric le vagabond hors système, ce dernier me remercia par
la suite, c'est tout à son honneur. Pour rappeler les
neurosciences prouvent que plus l'on est sensible et dans
l'émotion plus cela assoie une meilleure compréhension,
j'objecte que ça sonne en mon for intérieur comme une
véracité sans failles subjectivement, sentiment indéfectible
de mieux saisir l'enjeu à l'instant T, une question d'intensité!,
l'intensité instigue au sortir une compréhension plus fine, et
la cohésion si besoin, certains ça leur passent dessus mais
mes semblables non, les enjeux sont bien saisi. Autant ce
retrouver en bonne compagnie. Bien que muni des plus belles
intentions n'importe quel quidam sera confronté à la nature
humaine et ses limites très anthropocentré, j'aurais la encore
des solutions pour la question éducative, c'est d'un autre
registre complémentaire.
Autant en apporte le vent, l'objectif ultime n'est pas d'être
assisté comme aime le faire la société, mais de s'en soustraire,
d'être libre en autonomie totale ou
201

partielle du dictat sociétal et de son bon vouloir, j'écris mes


propres règles et conventions sociale, inutile de se battre
contre le système autant feindre d'y adhérer. Le mouton
soumis devra se trouver un autre bouc émissaire!. La société
ou l'autorité n'a que le pouvoir qu'on veux bien consentir à
leurs données comprend le bien, réfléchis toi qui lis, la
croyance a basculé de la religion en la science, exemple
pour rappelle la confiance aveugle envers notre médecine
allopathique qui guérit rien autre que traitait un simple
symptôme de surface, et non le fond ce qui serait intelligent;
notre médecine dés intrique l'humain et les systèmes
physiologiques CQFD, vision antinomique au bon sens pour
avoir une vision holistique!, pratiquer la dichotomie ça paye
bien charlatants du serment d'hypocrite, car traité paye et
guérir et prévenir ne paye pas!.....
Soyez incrédules de ces apôtres de notre médecine
occidentale, vous êtes instrumentalisé au travers divers
examens servant à rien pour rentabiliser l'outil industriel,
oui c'est une industrie, soyez vigilant. Ne croyez pas de façon
aveugle tout ce qu'on vous apprend non plus. Les médecins
sont des dealers avec la blouse blanche et la loi avec eux,
personnellement je garde le chirurgien les urgences, il faut
comprendre leurs forces et faiblesses systémiques. Une
hémorragie interne, l'appendicite, l'infarctus, une fracture
ouverte reste tangible, chirurgien je te donne mes lauriers,
mais je douterais toujours, question d'esprit critique assez
acéré, il est
202

ici encore question de marchandisation de l'humain et de


sa santé et le profit dégueus. Pourquoi suivre et adhérer à
un système basé sur des piliers sociétaux superficiels et
imbéciles ?, l'école et la médecine ainsi que le système
politique sont superficiels et corrompus, et d'une médiocrité
qui rend pas viable vos sociétés. l'esclavage moderne car
addict et dépendant. Je le redis pour mémoire et votre bien,
et t'éviter le pire en santé, associez-vous à un médecin
holistique traitant le fond, un médecin ayurvéda ou la
chinoise comme tacitement déjà dis en amont, déserté les
cabinets de notre médecine sera un acte de résistance en
affament leurs systèmes, ils sont basés sur une norme qui
ignore la différence en les pathologisant, j'en ferais pas
l'apologie. J'associe cette corporation médicale à une secte
ni plus ni moins!, c'est un dogme avec son inquisition l'ordre
des médecins, à l'instar de l'église qui est une secte aussi,
comment assujettir à une adhésion pour asseoir une
cohésion sociétale saine avec de tels constats bien
accablant?. Les dés sont jetés. Ce livre libère un brin en des
pensées bouillonnantes, mais faire officieusement preuve de
silence pour feindre est un type de stratégie de sage, je ne
peux aller sur MARS ou Vénus, ou d'un autre ailleurs pour
se soustraire à la médiocrité planétaire la folie des humains.
Je préfère les règles de la jungle verte ou tout est très claire
et sans détour, d'une grande authenticité et non
d'anthropomorphisme dans l'hypocrisie.
203

Certains diront que nos sociétés sont une avancée majeure


historiquement dans la condition humaine, en Occident du
moins, peut-être, c'est discutable, mais foncièrement le
doute m’éprend amplement. Il est peut-être ici question de
vouloir exorciser le sacro-saint perfectionnisme,
l'empêchant d'apprécier ce faisant les acquis, même si pour
la profondeur ça l’empêche grandement, ce que je regrette
car faut-il en arriver la?. Une autre joyeuseté, la politique.
La corruption est une lame de fond de notre société,
indissociable du système politique ou de l'homme politique,
humain désinvolte devant nos intérêts aux personnalités
singulières de prédateurs qui la feint. L'intégrité requise à
l'exercice du pouvoir et ces arcanes demande une éviction au
sonné des lobbyings une exemplarité pour une cohésion
saine.
Abolire les partis politiques, ne plus élire un président. élire
un homme de la société civile qui repartira sans indemnité
faramineuse, ni garde du corps à vie de sa mandature en
reprenant son poste initial, le mieux ne plus élire un berger
qui fait ce qu'il lui plaît une foi élue, n'attendez rien, croyez
en vous dans l'absolu. Lech Wałęsa ex président-fondateur
du mouvement Solidarność en Pologne reprit son ancien
travail d’électricien, c'est un bon exemple. Re fondé la
constitution ce faisant est d'une logique fondatrice d'une
purge plausible et gardienne d'une vraie démocratie . Bien
que ladite démocratie est vécue son temps?, un autre
système différent reste plausible, en effet l'Occident s'est
décrédibilisé
204

en voulant vendre à outrance la démocratie, surtout


en bafouant les règles élémentaires fondatrices qui
faisaient son porte-drapeau. Personnellement autant
dégraisser le super mammouth en l'affamant, pas
d'impôts ni de taxes faramineuses pour toi et d'autres
loups affamé et vos curés. Autant toujours veillé à ne
pas payer d'impôts, entretenir ces méprisants est
insupportable et un puits sans fond et d'une trop
grande injustice, Il en va de sa responsabilité en
alignement total avec ses principes fondateurs et
dicteur tel un justicier fort idéaliste, traître que vous
êtes même si je suis sans drapeau, question de justice
et d'équité économique et sociale. Je me prends à
prendre la défense de l'hominidés hirsute don
l'appartenance même m'horripile, chose étrange.
Douce France vieux pays déclassé sans dents, petit
pays de seconde division mondiale rêvant de son
lustre perdu dans temps colonisateur et capitaliste.
Autant être réaliste, ne plus vivre sur d'anciennes
bases idéologiques erronées sur votre place et
importance dans le monde contemporain ça rend
lucide, son rayonnement étant terni. La féodalité
internationale prime, les prédateurs des blocs
internationaux impriment une concurrence acharnée
au lieu d'une cohésion saine, la coopération et le
partage, elles donneraient et engendreraient une
homéostasie mondialisée qui aurait pu pérenniser la
planète, et plus que tout le vivant dans sa diversité.

205

C'est un récépissé de la croyance d'un monde meilleur


très idéalisé, et non le rêve de la planète le capitalisme
éhonté le poison de l'esprit humain. Changer de
paradigme induire un virage systémique c'est induire
un idiome un virus dans la tête des gens, car ce dernier
par la répétition fera son chemin. Pourquoi voit ton
plus ce qui est mauvais négatif souvent que le bien me
dis-je un jour?, réponse quelques jours après apporter
sur une station radio qui confirma, c'est une question
d'évolution, l'homme est fait pour prévenir toutes
menaces dans son environnement, vaux mieux
prévenir que guérir, il est paramétré pour percevoir ce
qui ne va pas que ce qui va bien!, ce dernier est plus
occulté. Cela semble une stratégie perdu d'avance
même avec la meilleure des volontés, un changement
de logiciel reste utopique.
Nous voilà bien cher lecteur, restons lucide réaliste sur
nous-même toi et moi, se conscientiser pour le quidam
qui en est pourvu ou évolué pour ce faire, c'est un axe
un levier sur lequel on peut instiguer opéré un
changement bénéfique sur l'instant présent, car je le
rappelle le temps est une invention humaine, la notion
du futur et du passée n'existe pas, les physiciens en'ont
apportée la preuve. Un monstre despotique
propagandiste s'annonce, le cancer est structurel aux
mains d'intérêts obscurs identifié, l'état semble-t-il
encore lui veut nous vacciner nous les insoumis, nous
les incrédules du satané méchant

206

dit covid-19, nous qui voyons comprenons cette


mascarade, moi je te dis, je suis un état dans l'état, je
re écrit mes propres règles, les vôtres sont abolis,
question de légitimité dans son intégrité physique à
préserver, notre corps est un temple qu'on ne viole pas.
Toi qui agites le sacro-saint drapeau de la «solidarité»,
c'est juste quand cela t'arrange car tu es pété de
trouille, la vérité comme tacitement rapportée dans le
livre elle n'existe pas ta solidarité, c'est quand ça vous
arrange, gloire aux vrais altruistes bien esseulés; la
désobéissance civile est un devoir, les années noires
des années 1940 et sa stigmatisation pointent leurs nez,
l'histoire et ses stigmates se répètent, rentrée en
résistance reste une symbolique puissante.
Vive les rebelles, les dissidents, les fous, les
anticonformistes de tous bords, c'est vous de par
votre singularité qui créé ouvrez de nouvelles voix, et
non l'apôtre du droit chemin bien trop normal. Je ne
sais de quoi sera fait demain, mais à titre individuel je
semble avoir accès au film de ma vie tel un
visionnaire, ou bien d'autres joutes aventureuses
authentiques ce profil devant soi, c'est un mélange
d'enthousiasme ou la fin du film s'amoncelle en
passant par une accélération vers la destinée promise,
forte intuition, mais j'en dirais pas plus, ou
collectivement outre qu'on n'aura tous la fin du
chemin comme une voie d'arrêt sans issue mais de
façon incarnée, la spiritualité elle dit tous autres
choses avec espoir. Qu'elle aventure.........
207
Table
Index
La liberté et l'école
3, 11,14, 53

Le harcèlement scolaire
4, 7,13
Le monde du travail
15, 36, 37, 41, 42, 43, 66,97

La recherche de sois
67,86 à 89,116 à 118,

La société opprimante
4,37,38,56,66

Qui suis-je?
2,9,14,24,40,68,86 à 89, 93 à 94, 116 à 117

La case psychiatrie
47, 48, 62, 64, 70 à 71, 85 à 86

savoir et osé être toi


14, 31, 33,79 à 84

développement personnelle et ces outils du


mieux être. 35 à 36, 88, 89, 108

La pensée en arborescences – 90

Index

La différence invisible
47, 90

Neurodiversité
11, 25 , 88 à 90, 93, 117

Anti conformiste
24, 26, 86 à 88, 97

Le moule
95,
Liberté
14,46 à 47, 54, 56, 97, 103

Philosophie
16, 91à 92, 96 à 97 , 102 à 103

Rébellion
17, 23 à 24, 45 à 46, 50 , 54 , 56

Les codes sociaux


27

Alternatives – 98 à 114, 141 à 14

Index

Hypersensibilité
85 à 90

le solitaire
169 à 172

le silence
171 à 178
asperger
114 à 117 /128 à 138/ 175
récits de vie
3 à 12/ 17 à 23/ 30 à 33
50 à 55/ 72 à 85 / 95 à 102
120 à 126 / 134 à 138 / 141 à 143
164 à 166 / 182 à 199/

La cohésion sociétal
199 à 206

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